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Collection: 05 - LA VIE JURIDIQUE DEMOCRATIQUE
Sujet: Conférences d'histoire contemporaine plutôt que conférences politiques.
 
Les références : Rudolf Steiner Oeuvres complètes 174 072-073 (1966) 08/01/1917
Traducteur: FG Editeur: SITE

 

Lorsque je me suis décidé sur des souhaits réitérés, à parler sur quelques questions de l’histoire immédiate contemporaine, j’ai rendu expressément attentif qu’il doit ici s’agir de la connaissance de faits et qu’il ne pourrait être question de faire de la politique ou quelconque chose en rapport avec la politique ; j’ai même répété cette remarque très souvent.
Seul il semble quand même, comme si toujours à nouveau entre nous l’insouciance – pour ne pas utiliser d’autre mot – se déchire en rapport avec de telles choses, et que l’on ne pense pas, qu’existe une certaine exigence à ce qu(avec la vérité, quand elle est exprimée si intensivement, soit veillé aussi à la façon de s’exprimer. Car il semble ici ou là qu’on parle de ces conférences dans le sens où seraient tenues des conférences politiques. Le sans-gêne et donc à l’ordre du jour chez quelques-uns de nos membres et règne depuis long temps - évidemment parmi quelques-uns ; je ne parle que de ceux, dont il est question. Et tout, ce qui de l’inquiétude pour notre chose a été dit et toujours répété à l’extérieur, rien ne fructifia d’après certaines directions. On peut donc le remarquer distinctement, que toujours à nouveau et à nouveau les choses discutées ici de la manière particulière soit données plus loin à des (personnes) se tenant à l’extérieur. En soi, je n’ai rien contre des communications, lorsqu’elles sont tenues dans des limites allant de soi. Mais des différentes publications, qui sont parues dans les derniers temps, auxquelles aussi appartient par exemple la page inouïe de Vollrathsch en ressortant sortant, est clairement visible, que les choses ne sont pas toujours transmises comme elles ont été discutées ici, mais peut être à partir d’incompréhension, ainsi que les plus atroces défigurations sont possibles. Je sais bien, que cela se passe à partir de notre milieu, et lorsque toujours à nouveau et à nouveau je me tais là-dessus et ne cherche pas à tirer de conséquences dans l’une où l’autre direction, c’est à partir de l’amour pour notre mouvement dans son ensemble et notre société dans son ensemble.

Car il n’est naturellement pas possible de tenir dans une certaine mesure perpétuellement de subtils tribunaux. Mais serait tout à fait possible, que ces membres, qui savent quelque chose de ces choses, s’adoptent la chose, et se comportent de manière adaptée à la chose vis-à-vis de tels membres, dont il peut être connu, comment ils se placent de temps à autre au bien spirituel donné ici. En cela, je ne veux pas– bien qu’aussi ce soit de temps à autre le cas – dire une fois, que toujours un manquement moral direct doit être retenu, mais tout à fait un faible aperçu de ce qu’on est en mesure de faire. Qui veut faire de telles communications devrait toujours par cela se demander, j’aimerais dire, en absolument fidèle connaissance de soi, s’il a compris les choses ainsi, qu’il puisse les communiquer. Il est déjà nécessaire, toujours à nouveau de temps en temps de rendre attentif là-dessus. Sans raison cela ne se passe donc pas, vous pouvez me croire. Mais finalement cela doit en venir peu à peu à un plein se taire sur certaines choses, et ce qui doit alors devenir de notre mouvement, cela est donc facile à prévoir.
Cela sera co-instigué par les membres, qui toujours à nouveau et à nouveau ne peuvent éviter de choisir les descriptions les plus débridées pour ceci ou cela, qui évidemment conduisent aux plus atroces défigurations. Il n’est une fois seulement pas nécessaire, que partout, où chacun peut l’entendre, qui n’est pas d’entre les nôtres, soit parler sur nos choses, et que l’on choisisse des descriptions, qui sont confortables aux uns, mais qui ne recouvrent pas l’entièreté de l’intention qui est à la base ici.

Je dois déjà l’attester : lorsqu’ici ou là pour ce que je présente ici comme considérations sur souhaits réitérés, le choix est fait de la description « conférences politiques », ainsi je dois absolument le considérer comme une attaque toute personnelle vis-à-vis de moi-même.

(…) Dans quel rapport se trouve ce conflit austro-serbe avec la guerre mondiale ? Si l’on veut reconnaitre ce rapport, alors on doit quand même à travers les rapports les plus extérieurs, j’aimerais dire, rentrer dans de profonds secrets de la politique européenne.
Nous ne voulons pas faire de politique, mais seulement conduire devant les âmes ce qui a vécu dans cette politique. Je voudrais vous répondre à la question : comment devint d’un conflit austro-serbe un conflit européen ? Comment la question austro-serbe est suspendue à la question européenne ?