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Institut pour une triarticulation sociale
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Collection: 04 - LA VIE ECONOMIQUE ASSOCIATIVE
Sujet L'association surmonte les dommages de l'abstraite économie monétaire.
 
Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes GA337a 144-154 (1999) 03/03/1920
Traducteur: FG Editeur: SITE

 

Qu'est-ce qui peut être atteint par une telle vie de l’économie reposant sur le principe des associations ? Cela peut être atteint que les dommages, qui se sont progressivement montrés par la manière de produire des derniers siècles, particulièrement du 19e siècle, seront absolument écartés de la vie de l’économie et avec cela de la vie humaine. Ces dommages – l’humain les endure donc aujourd’hui d’abord à son propre corps, aimerais-je dire -, ils se sont montrés, parce qu’au cours des siècles récents des anciennes conditions se sont montrées d’autres conditions en rapport à la production dans la vie de l’économie.

Quand on regarde en arrière du 17e jusqu’au 18e siècle, ainsi on trouve absolument, que l’art et la manière, comment était produit se tient encore dans un certain rapport avec l’humain et son organisation elle-même. On voit, que jadis lors de la fixation du prix, ce prix était dépendant non de ces facteurs desquels il est dépendant seulement et uniquement aujourd’hui, mais par exemple des capacités de l’humain, notamment par exemple de ce que jusqu’où un humain est capable de travailler tant et tant d’heures du jour à cette ou telle production avec une certaine ardeur et joie. Le prix était donc fixé par l’avoir grandi avec de l’humain avec sa production.
Aujourd’hui toutefois c’est au plus le cas dans certaines branches de la vie de l’esprit. Quand quelqu’un écrit un livre, on ne peut pas  lui prescrire combien d’heures du jour il devrait travailler et établir un salaire pour tant et tant d’heures du jour. Si par exemple était introduit le jour de travail de huit heures pour l’écriture de livres, en sortirait quelque chose de beau, car il pourrait être très facile, que vous travaillez huit heures et devriez recevoir pour cela un salaire, mais que pendant quatre heures pendant trois jours de la semaine rien du tout ne vienne.
Comme ici est un lien étroit entre les compétences humaines, entre l’organisation spirituelle humaine et les produits fabriqués, ainsi cela était aussi pour beaucoup de branches matérielles – oui, aussi loin nous retournons dans l’évolution humaine, absolument pour toutes les branches matérielles. Pour la première fois dans les temps récents s’est détaché le lien entre le produit et le producteur. Regardé globalement, c’est au fond un plein non-sens, qu’on veuille maintenir ce détachement du produit du producteur. Dans des branches de production particulière, cela peut sauter aux yeux. Prenez maintenant regardé purement économiquement, par exemple la fabrication de livres. Les livres doivent être écrits ; cela ne peut être placé sous les lois de la rémunération, comme, par exemple, la social-démocratie d’aujourd’hui le soutient pour la production.
À cela rien n’en sortirait. Mais des livres doivent être imprimés, et celui, qui les compose, celui-là peut déjà s’appuyer sur les principes de la social-démocratie actuelle, sur le principe syndical.
Car pour composer rien ne doit vous venir de plus ; là on n’a pas besoin de lien de genre intime entre producteur et production. Mais quand on retourne à la source, on trouvera partout, que justement ce travail, pour lequel on n’a pas besoin d’un tel lien, ne serait pas du tout là si d’abord était là ce travailler duquel tout ce travail extérieur dépend. Si l’architecte n’était pas là, ainsi tous les travailleurs rémunérés, qui construisent les maisons, ne pourraient pas travailler. Si l’écrivain n’était pas là, ainsi le typographe ne pourrait pas composer de livre. Ce sont donc des cheminements de pensée qui aujourd’hui ne sont pas employés, mais doivent être absolument placés à la base de considération d’économie nationale dans un sens éminent.

Je ne pouvais pas développer exactement tout ce qui en expériences de vie est déversé dans les « Points fondamentaux », car ils sont donc comptés avec des lecteurs pensants. Et je peux vous donner l’assurance, il est quand même aujourd’hui tout à fait utile, quant à la lecture d’un livre on pense aussi un petit peu et ne dit pas toujours : c’est donc trop difficilement compréhensible, on doit penser à cela, cela aurait du être écrit de manière plus populaire.- Mais donc justement par les articles de notre journal de la triarticulation, ce lien entre producteur et production a donc toujours plus et plus été assoupli à parti de processus éclairants des plus différents points de vue. Et seulement par là que vraiment dans les temps récents, sous l’influence avant tout aussi de la manière de penser matérialiste, a été, seulement plus été vu sur la manière de produire et non sur la constitution et capacité du producteur, s’est donc même constituée la façon de voir des agitateurs et penseurs socialistes abstraits, que la production en tant que telle serait absolument ce qui dans l’histoire entière, dominait toute la vie humaine. Cette façon de voir s’est constituée pour la raison que dans le fait, par la technique moderne et par certains autres rapports sociaux, une domination du produit sur le l’humain produisant s’est introduite. Ainsi qu’on peut dire : pendant que jadis, jusqu’il y a trois siècles environ, était encore beaucoup d’autres (choses – NDT) régnant de l’humain, l’humain économique est devenu [depuis] dans la vie sociale celui, qui [aujourd’hui] semble donner la mesure – à l’humain économique et au processus économique.
De tels humains, comme Renner par exemple, que cela à même amené à devenir chancelier autrichien, l’ont donc exprimé, que plus avant ne devrait plus être parlé d’« homo-sapiens », qui était bien présent dans les têtes humaines dans les derniers siècles, mais que ne pouvait plus qu’être parlé d’« homo-economicus » - là serait l’unique réalité. Mais maintenant, depuis le 19e siècle, parce que les choses dans la réalité des transformations arrivent par leurs propres lois, l’homo-economicus, l’humain économique n’est pas une fois resté donnant la mesure au processus économique, mais nous pouvons dire : environ à partir de l’année 1810 – pour placer un point de départ – le banquier est devenu l’humain dirigeant.
Et plus qu’on croit, dans ce 19e siècle dans la vie économique du monde civilisé le banquier, le changeur de monnaie, celui qui administre purement la monnaie est devenu dirigeant.
Tous les évènements, lesquels se sont introduits depuis ce temps, se tiennent plus ou moins sous l'influence de ce revirement historique : que dans le contexte d’économie nationale à partir des humains économiques et processus économiques, le banquier,  le changeur de monnaie, est devenu progressivement le loueur avant toutes choses, et à partir du processus social public l’administration financière, l’administration de l’argent

Mais maintenant l’argent a des particularités bien précises. L’argent est un représentant pour différentes choses, mais l’argent comme tel est égal. Je peux acquérir une somme d’argent par cela que je vends un morceau de musique – une production spirituelle. Ou je peux acquérir une somme d’argent par cela que je vends des bottes. La somme d’argent peut toujours être égale, mais ce que je vends cela peut être très différent. L’argent prend un certain caractère abstrait vis-à-vis du vrai processus de vie. Et ainsi devait apparaître sous l’influence de l’économie banquière mondiale l’extinction des interactions concrètes dans la circulation sociale humaine, l’extinction des interactions concrètes [entre produit et producteur, et il se constitua] la circulation du pur représentant, l’argent.

Mais cela à des conséquences toutes particulières. Cela à la conséquence, que les trois parties constitutives essentielles de notre processus économique – fond et sol, moyens de production et moyens de consommation -, qui de par leur nature se tiennent dans le processus d’économique nationale de manière toute différente, pas à peu près purement conceptuellement, mais réellement seront placés sous le même pouvoir, traités de la même manière. Car à celui à qui il ne s’agit que d’acquérir ou d’administrer une certaine somme d’argent, à celui-là il peut être égal si cette somme représente fond et sol ou moyen de production, cela signifie machines ou semblable, qui servent pour d’autres productions, mais ont été fabriqués par l’humain, ou si elle représente un article de consommation, un article d’utilisation immédiate.
À celui-là, il s’agit seulement qu’il obtienne une certaine somme d’argent pour quelque chose respectivement que quand il l’a, elle rapporte des intérêts, égal par quoi .
Il devrait toujours plus et plus venir sur le point de vue ; d’éteindre les intérêts, qu’on a aux produits particuliers et branches de production, et de remplacer cet intérêt abstrait à ce capital éteignant toutes les différenciations, cela signifie le capital-argent. Mais par là ressortent de choses toutes particulières.

Prenons une fois fond et sol. Le fond et sol n’est donc pas n’importe quoi, mais il est placé à un certain endroit et se tient en un rapport aux humains de ce lieu, et les humains de ce lieu ont justement aussi des intérêts à ce fond et sol, qu’on peut décrire comme intérêts moraux, comme intérêts de sorte psychique (NDT de l’âme). Il peut absolument être un point important pour la culture et les intérêts universels que sur ce fond et sol soit planté un certain produit.
Je veux dessiner les conditions quelque peu, radicalement, elles ne sont donc pas aussi radicales dans la vie ordinaire, mais l’essentiel dont il s’agit peut être représenté avec cela. Qui a grandi ensemble par toutes ses conditions de vie avec le fond et sol, celui-là aura un avis à cela comment est en rapport, disons, la production de tel ou tel fond et sol avec toutes les conditions de vie. Il a gagné ses expériences dans l’être ensemble avec fond et sol.
Si par exemple ce peut être bien de déboiser une contrée ou pas, pour cela des questions peuvent être significatives, qui absolument ne sont à trancher seulement quand on a grandi avec les conditions locales d’une contrée. On ne peut gagner de telles choses seulement par expérience.

On peut seulement reconnaitre par là que c’est guérissant pour les conditions de l’humanité, quand un quelque fond et sol sera valorisé d’une manière toute particulière, mais dégage seulement un rapport précis. Ces points de vue disparaissent aussitôt, quand à la place des humains en rapport avec fond et sol pénètre le principe du capitalisme d’argent. Là il s’agit qu’alors fond et sol puisse passer d’une main dans l’autre simplement comme marchandise.
Mais celui-là qui simplement acquiert fond et sol par là qu’il donne l’argent, il a seulement l’intérêt à ce que l’argent de manière correspondante se rémunère. Un principe abstrait sera déversé sur tout cela, qui autrefois était intérêt humain concert. Et le concerner se demandera, qui a purement l’intérêt, si alors – sous les conditions, que celui qui a grandi ensemble avec fond et sol, reconnaît comme nécessaires – la chose dégage assez pour lui ; sinon, on devrait utiliser le sol à quelque chose d’autre.Avec cela on détruit les nécessaires rapports humains purement sous le point de vue du capitalisme d’argent.

Et ainsi sur tous les rapports humains ont été tirés les points de vue du capitalisme d’argent. Ils ont détournés les humains dans l’économie nationale de ce qui peut croitre seulement, quand l’humain est lié à la production, est lié avec fond et sol, et est lié avec les produits de consommation, qui dans un quelque secteur circule entre les humains. Cela était toutefois disponible en des siècles passés. Cela a déjà disparu sous l’influence des humains économiques, mais le plus souvent sous l’influence des banquiers au 19e siècle. Pendant qu’environ jusqu’en 1810 l’économie nationale a été dépendante des commerçants et des industriels, au 19e siècle les commerçants et les industriels, aussi quand ils ne s’avouent pas cela, devinrent dépendants de l’économie d’argent nationale et internationale, des banquiers.

On ne peut être complètement enfoncé dans cet égoïsme économique par cette sorte d’économie d’argent. Mais cette sorte d’économie de l’argent on devrait, ce qui arrive très souvent aujourd’hui,ne pas la confondre avec le pur capitalisme. Le pur capitalisme – vous trouvez cela développé de plus près dans mes « Points fondamentaux » - celui-là devrait rendre possible, que ne peut avoir dans les mains ces grandes masses de capital seulement, que se soit en moyens de production, que se soit en argent, le représentant des moyens de production, celui qui est qualifié et justement parce qu’il grandit avec la production. Et il ne doit rester lié avec lui qu’aussi longtemps qu’il peut utiliser ses facultés au service de la production. Ce pur capitalisme est absolument nécessaire pour l’économie nationale moderne ; et pester contre lui est un non-sens. Le supprimer signifierait : enterrer l’ensemble de l’économie moderne. Il s’agit tout de suite de cela, qu’on voit dans la réalité, que par exemple on considère la différence, que l’administration d’un grand complexe de fond et sol, auquel l’aller ensemble de forêt et fond peut être nécessaire, signifiera quelque chose d’autre dans les mains d’un humain qualifié, que quand l’un détache la forêt et isole fond et sol, parcellise alors fond et sol, disperse en petite propriété et semblable.
Cela peut être bon pour certaines contrées, dans d’autre ça devrait ruiner l’économie nationale. Partout cela dépend des conditions concrètes. Et nous devons enfin retrouver le chemin aux conditions concrètes.

Mais cela [manque du concret] ne s’exprime pas seulement dans l’économie nationale, dans les économies nationales particulières, mais cela s’exprime toujours plus et plus dans le système économique mondial. Il se montre – c’est pour celui qui étudie les choses entièrement claires -, que les humains aussi quand ils sont des capitalistes, quand placé sur soi et d’après leurs facultés s’occupent d’une quelconque branche de production, qu’ils ne se gênent pas les uns les autres, mais au contraire travaillent la main dans la main. Le pire commence seulement, quand les, d’une quelque manière, grandissent hors de leur être lié ensemble avec les branches de production. Je ne veux que mentionner un exemple, où cela est apparu sous l’influence de l’économie d’argent des 19 et 20e siècle : lors des formations de trust, lors de la formation de cartels. Considérons une série de branches de production se fusionnant en un trust ; en un cartel. Quelle est la conséquence ?

Un trust, un cartel doit encore avoir un but, et celui-là est évidemment que les humains gagent plus par le trust que sans trust. Mais ils ne peuvent cela, que s’ils créent des monopoles de prix, cela signifie, vendent par-dessus les prix de concurrence ordinaires qui se formeraient.
On doit donc créer la possibilité, de relever les prix, cela signifie, unifier les prix, qui reposent au-dessus des prix de concurrence ordinaires. Oui, on peut créer de tels prix, on les a aussi très souvent créés.
Mais on ne peut produire [sainement]. On ne peut notamment pas sous ce genre de profit produire de manière saine.
N'est-ce pas, quand on ne veut pas susciter un malentendu aux coûts des installations qui deviendraient bien trop chères, quand on ne produit que ce qu’on produit par-dessus le prix de concurrence, alors on doit produire d’autant [plus], pour que les coûts pour les machines et toute l’installation soient couverts, et d’ailleurs autant, qu’on produirait, si on recevait seulement le prix de concurrence. On ne peut alors que vendre autant, que sera vendu au prix de monopole. Car on écoulerait donc beaucoup plus, si on produisait au prix de concurrence et par là aussi devrait produire beaucoup plus, qu’on n’écoule au prix de monopole.
C’est une expérience de l’économie nationale : on écoule moins, quand on vend au prix de monopole, mais on ne peut pas produire moins, parce que sinon la production ne se porte pas. Quelle est la conséquence ? On doit aller vers le pays voisin et là se procurer sa vente, là on vend sous le prix de production. Mais là on rentre dans la concurrence internationale. Cette concurrence internationale a joué un rôle considérable. Si on prend simplement du recul sur la fixation des prix conditionnée par l’économie de l’argent, on se crée une concurrence, qui sinon ne serait pas là, en ce qu’on vent différemment : dans le secteur de vente immédiat [par-dessus le prix de production] et dans le pays voisin sous le prix de production. On peut cela, quand seulement on calcule de manière appropriée, on gagne même encore toujours plus, mais on endommage les cercles de productions correspondants dans le pays voisin.
Si on recherchait une fois les causes de ces ambiances, qui ont conduit aux causes de guerre à l’ouest, on trouverait les causes dans ces choses. Alors, on trouvera, quel énorme pas dans l’endommagement [social] repose sur les chemins du capitalisme à la formation de trusts, à la formation de cartels, à la monopolisation par des cartels.
Le capitaliste en tant que tel, il produit au prix de concurrence, il n’a jamais un intérêt aux protections douanières. La protection douanière est aussi de nouveau quelque chose, qui a joué dans les causes de guerre. Là vous avez l’atteinte de l’économie d’argent à la vie internationale. Tout cela est de la clarté du soleil pour celui qui étudie la vie économique moderne, que rien ne peut être objecté là contre en fait. La question doit apparaître de manière nécessaire : comment sortons-nous de cette atteinte ? – On sort de cette atteinte d’aucune autre manière, que nous ne lions à nouveau l’humain avec le produit, qu’à nouveau nous établissions le lien entre humain et production.

Cela est ambitionner dans l’idée économique de la tri-articulation sociale : ce qui autrefois sous de tout autres conditions existait comme lien entre les humains individuels et la production, ne peut aujourd’hui qu’être provoqué que les produisants de mêmes sortes se lient ensemble et que les humains rassemblés à partir de cercles de profession se rassemblent à nouveau en cercles, en associations, avec les branches de production restantes et les consommateurs correspondants.
Par là les associations, les humains rassemblés savent, comment on peut amener la production en circulation – pas purement l’argent, qui se déverse sur la production comme de même nature.
Mais avec cela pourrait d’une manière tout essentielle être de nouveau suscité, ce qui d’abord rend possible de nouveau une économie prospère pour l’humanité.
Voyez-vous, cela fut nécessaire, qu’aujourd’hui ait été fondamentalement regardé dans la réalité, car toute cette chose socio-économique, qui a été bavardé dans le temps récent, est donc dite avec exclusion de chaque regard sur la réalité. Certainement, des humains individuels ont fait des remarques pertinentes sur l’un ou l’autre.
Mais la plupart de ce qui a été exprimé, et en particulier tout ce qui s’est développé sous l’influence du capitalisme mondial d’un côté, et de la bagarre salariale de l’autre côté, cette atteinte cancéreuse de la vie moderne s’est constitué par là, qu’on n’a plus vraiment regardé dans le rapport conforme aux lois [NDT naturelles] de la vie de l’économie, et que cela ne se tenait aussi plus sous les yeux – en ce qu’on vivait comme humain dans la vie de l’économie -, comment les fils allaient de ce côté et de l’autre, parce que l’argent a tout éteint.
Mais si les associations étaient là, sera de nouveau là clair et évident, comment l’un ou l’autre devra être produit.
Là celui, qui a quelque chose à produire – parce que des associations sont là -, obtiendra de la clientèle par les humains, qui sont dans les associations correspondantes [et il sera conseillé et fixé,] si autant peut être produit par l’un ou l’autre.
Là peut se constituer quelque chose, sans jacasserie à la Moellendorff  sur l’économie de contrainte ; là pourra – en ce que l’un par l’autre en libre circulation sera informé –être tout réparti, afin que la consommation soit vraiment pour tous ce qui donne la mesure.

C’est de cela qu’il importe avec l’idée de triarticulation : une fois parler à l’humanité à partir de la pleine réalité. Parce que les humains sont si peu habitués dans le présent, à aller à la réalité, c’est pourquoi on comprend la chose aussi difficilement ; les humains ne sont pas habitués à aller à la réalité. Que comprennent donc les gens d’une vie économique comme un tout ? Le maitre d’œuvre comprend quelque chose de construire, le maitre menuisier comprend quelque chose de la menuiserie, le cordonnier de la cordonnerie, le coiffeur de la coupe de barbe, chacun comprend de l’économique correspondant avec laquelle il est en rapport. Mais tout cela, que les « praticiens de la vie » savent n’importe comment sur la vie économique est en rapport donc seulement avec le leur et non avec celui de l’autre. Par là c’est si abstrait. Il devait être une fois parlé à l’humanité à partir du vrai contexte de l’ensemble de la vie sociale. Parce que c’est devenu inhabituel d’utiliser les expériences de vie comme fil conducteur, vous regardez justement cela qui est né de la réalité, comme utopie.
Mais à cause de cela, il s’agit que cette idée de tri-articulation sociale soit reconnue comme ce qui est né à partir de la vie véritable, et peut de ce fait se placer dans la vie réelle.