Intérêt sur intérêt

Institut pour une triarticulation sociale
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Collection: 04 - LA VIE ECONOMIQUE ASSOCIATIVE



Sujet: Les intérêts ne se laissent pas évité, mais seulement l'intérêt sur intérêt.

 

Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes GA331 182-190 (1989) 24/06/1919





Traducteur: FG Editeur: SITE

 

Question : Monsieur Münzing : je voudrais en premier lieu en venir à parler sur quelque chose, qui est dans le livre « Les fondements de la question sociale ».Il est écrit là, à la page 78 : « Ce qui en multiplication du capital par les moyens de production – après déduction des intérêts légitimes (NDT ou légaux) – se constitue, cela remercie sa constitution à l’action de l’organisme social tout entier ». – « Après déduction de l’intérêt légitime » - là j’aimerais donc prier de me dire ce que je dois comprendre là-dessous. D’après ma conception, toute la question qui tourne autour du capitalisme et du socialisme, marche sur les mots : « L’argent rapporte des intérêts, le capital rapporte des intérêts »

Question : Lorsque nous arrivons plus près sur les pensées, nous pouvons toujours à nouveau trouver, que l’argent dans la réalité se différencie dans la sorte qu’il porte intérêt, sans que l’argent travaille. Cela doit directement nous dégoûter comme travailleur, quand nous entendons : l’argent travaille. Qui travaille ? Donc pas l’argent ! L’argent sera utilisé, afin que d’autres travaillent, et extraient l’intérêt. Il y a aujourd’hui des conceptions, qui disent : la question sociale se laisse résoudre par l’abolition du profit commercial et semblable, et il y a encore beaucoup d’autres recettes pour la solution de la question sociale. – Je crois que la solution à la question sociale pourrait seulement être réalisée par cela que les partis prescriraient : l’intérêt est interdit ! – Cela concerne aussi les emprunts de guerre et l’argent à la caisse d’épargne. Je voudrais prier, de réfléchir cette pensée, aussi si elle n’appartient pas au thème de ce soir. Si aujourd’hui venait un gouvernement, qui dirait, l’argent ne porte plus d’intérêt, alors toute la situation serait immédiatement déplacée. Tous les renchérissements des marchandises ont finalement leur fondement là dedans, que le capital porte de l’intérêt à la caisse d’épargne, que l’argent doit travailler. Je ne trouve plus dans tous les programmes justement cette simple exigence de la suppression des intérêts. Et je voudrais prier Monsieur le Dr Steiner à des renseignements à ce sujet. Je suis un nouveau, mais j’ai toujours rencontré cette question. A cette question appartient aussi le loyer. Celui-ci devrait être payé de la sorte que certaines dépréciations d’une maison soient payées, car une maison perd donc en valeur par l’utilisation.

Steiner : Quand on cite quelque chose comme le taux d’intérêt, ainsi je vous prie de tenir compte, que dans chaque phrase de mon livre est aspiré à dire sincèrement ce qui est vraiment et que dans mon livre est strictement rejeté tout ce qui doit être intérêt de l’intérêt. Donc, un vrai accroissement du capital, comme c’est aujourd’hui le cas, où un capital peut doubler en quinze ans, est impossible si cette réalité arrive comme je la décris dans mon livre. Mais je parle toutefois d’une condition légitime d’intérêt. A cela je vous prie de prendre en considération comment je parle du capital dans mon livre. Car vous voyez, il est facile, de jouer la comédie aux gens en ce qu’on leur dise : quand on supprime tous les intérêts, alors en sort le correct. – Il ne s’agit à toutes ces choses seulement de cela si on le peut. Et j’ai seulement décrit de telles choses, qui vraiment peuvent être faites.

Réfléchissez comment se tient la chose. L’argent reçoit un certain caractère, quand les choses deviennent réelles, qui sont écrites dans mon livre. J’ai exprimé cela parfois vis-à-vis d’amis quelque peu banalement, en ce que j’ai dit : l’argent puera pour la première fois dans l’ordre économique qui est pensé dans mon livre. Qu’est-ce que cela signifie ? Cela signifie ce qui suit : quand j’acquiers des réalités – l’argent en soi n’est pas une réalité, mais seulement par là, que les rapports de pouvoir sont correspondants, l’argent est une réalité -, quand donc j’acquiers des réalités, ainsi ils sont soumis de la loi du devenir consommé. Capitalisme dans le sens réel nous n’avons donc pas purement à l’intérieur du monde des humains, mais aussi dans le monde animal. Quand le hamster hamstérise, quand il constitue ses réserves d’hiver, alors c’est son capital pour les prochains temps, seulement cela a la particularité, qu’on ne peut l’utiliser que dans les prochains temps, sinon il se perdrait. Et nous l’avons amené dans notre ordre économique capitaliste, qu’au moins pour certains temps courts l’argent a perdu le caractère de toute autre réalité restante. Que faisons-nous quand nous calculons les intérêts ? Nous multiplions l’argent avec pourcentages et temps et divisons par cent. Par là nous en avons l’intérêt. Par là nous avons calculé avec irréel, avec images d’apparence ! Nous avons calculé avec ce que nous avons mis là comme représentant de la réalité.
Ce qui fut produit par capital, peut depuis longtemps être devenu inutilisable, peut même ne plus être entièrement et du tout disponible, et cependant on peut d’après nos conditions de pouvoir calculer : capital fois pour cent et temps divisé par cent. [… À l’avenir il s’agit qu’on soit conscient quand on fonde une entreprise, une activité – et cela doit donc toujours à nouveau se passer, car sinon tout le processus de développement de l’humanité viendrait à l’arrêt -, que toujours le travail passé trouve emploi dans le travail futur.]





Vous voyez, quand vous bâtissez une nouvelle activité, alors vous devez embaucher de nouveaux ouvriers, il est indifférent si maintenant la société ou un particulier fait cela. Autrefois c’était le particulier, à l’avenir cela se montrera par la structure de la société. Vous devez donc embaucher des travailleurs. Ceux-là doivent, quand on construit une activité qui ne peut encore rien donner dans la société, se nourrir, se vêtir. Il doit donc, afin que cette activité puisse se constituer, avoir été travailler dans le passé. Donc, il doit être créé la possibilité que du travail passé soit utilisé pour des prestations ultérieures. Mais cela n’est pas possible autrement que quand mon travail passé s’écoule dans une prestation future, j’aie un certain avantage de cela. Donc en vérité je travaille par exemple, disons, aujourd’hui tout en ordre, et sur quels chemins est indifférent, mais de ce que je travaille aujourd’hui, sera construit dans dix ans une quelque nouvelle activité. Cela vient à cela. Quand je travaille aujourd’hui, je dois aussi avoir quelque chose pour mon travail. Le travail sera seulement économisé pour le suivant. Et c’est cela, ce que je nomme intérêt légitime, et je l’ai ainsi nommé, parce que je veux être sincère dans mon livre, parce que je ne veux pas avoir de succès à bon marché par là, que je nomme blanc noir. Dans la vie économique, du travail passé doit être utilisé pour des prestations futures. Ainsi que des travaux dans le présent ont une contreprestation, ainsi ils doivent aussi dans le futur, quand ils seront économisés, appeler une contre-prestation. La vie économique le fait nécessaire, que du travail passé sera utilisé dans le futur.


Prenez à cela, que le capital s’épuise de proche en proche. Pendant que le capital s’est maintenant doublé en quinze ans, il arrêtera à l’avenir d’exister après environ quinze ans. Le processus inverse a lieu ! Comme les autres choses pueront, ainsi aussi l’argent.

Ainsi, le capital ne porte pas d’intérêt, mais devra être créer la possibilité que cela qui a été travaillé dans le passé, soit contenu dans une prestation future. Alors, vous devez aussi avoir le salaire pour cela. J’aurais du [dans mon livre] pouvoir le nommer salaire, mais je voulais être entièrement sincère et voulais amener à l’expression : gérer réside là dedans que du travail passé sera fiché dans des prestations futures, et là je nomme la correcte rémunération pour cela l’intérêt.


Mais pour cela j’ai aussi dit expressément : il n’y a pas d’intérêt sur intérêt. Celui-là il ne peut y avoir, de plus pas non plus n’importe quel laisser travailler le capital. L’argent puera. Cela se perd justement comme d’autres choses, comme viande ou semblable. Ce n’est plus là, ça ne travaille pas plus loin. Si cous prenez les choses comme elles sont dans mon livre, ainsi vous devez partout réfléchir, que je pars de ce qui est possible et qui doit vraiment devenir, et non d’exigences qui se constituent de ce qu’on se dise : nous supprimons ceci ou cela. Oui, mes très chers participants, quelqu’un pourrait très bien venir à l’idée absurde et dire : nous supprimons le sol. – Alors nous ne pourrions plus aller ! On ne peut pas supprimer des choses, qui sont simplement nécessaires dans la vie économique véritable ou dans d’autres domaines. On doit prendre les choses comme elles sont, alors seulement on est sincère. Je ne promets pas aux gens le bleu du ciel en bas, mais je veux parler des réelles conditions de vie de l’organisme social. Et ainsi je voulais parler ici de ce qui peut vraiment être fait, et cela sera bien ce qui aboutit aussi à ce qui repose inconsciemment à la base des revendications des larges masses laborieuses. Et c’est mieux, quand on prétend à remplir ces aspirations à partir d’une connaissance de la réalité, que quand on endort les humains avec de pures promesses.