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Institut pour une triarticulation sociale
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Collection: 04 - LA VIE ECONOMIQUE ASSOCIATIVE
Sujet: Le caractère international de marchandise de l'argent est gêné par les États
 
Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes GA189 111-115 (1957) 07/03/1919
Traducteur: FG Editeur: SITE

 

Et comme sont les choses, les humains perçoivent avec leurs sensibilités ce qui est limitant, ce qui rend malade dans l’organisme social, mais ne voient pas jusqu’aux  fondements. Qu’aujourd’hui l’argent appelle beaucoup de dommages, cela on le voit en petit et en grand.

En petit, dans sa proximité maint voit qu’avec l’argent quelque chose n’est pas en ordre, - aussi de tels qui ne l’on pas. Le temps est justement venu, où l’ancien flegme cesse, qui a un peu passé outre avec le dicton : ‘l’un à le portemonnaie (Ndt :en français dans le texte), l’autre à l’argent’. Le temps est venu où on ne veut plus voir ce dicton comme vrai. Les gens, aussi quand ils passent encore rarement la frontière, remarquent donc, que maints dommages de l’argent existent.
N’est-ce pas, une paix profonde est apparue, mais les gens peuvent encore moins passer la frontière que pendant la guerre. Là dehors un mark vaut tant et tant, ici il est de très peu de valeur. Les gens remarquent en petit et en grand, que quelque chose se passe avec l’argent qui dépend déjà des plus ordinaires conditions humaines.
Ils réfléchissent, comment on pourrait remédier aux dommages qui aujourd’hui sont apparus. Mais ils ne remarquent pas, qu’aujourd’hui est devenu nécessaire de parvenir des pensées ordinaires qui se relient d’elles-mêmes aux conditions aux pensées originelles.

Question : Cela suit une courte description de la triarticulation, qui de nouveau conduit à la question de l’argent.
Qu’est en fait l’argent ?
Il est énormément discuté sur la question si l’argent serait une marchandise ou un pur signe de valeur. L’un est de l’opinion que l’argent est aussi une marchandise parmi d’autres marchandises, qui sont échangées sur le marché économique, qu’on a seulement choisit une marchandise commode, afin qu’on vienne à s’éloigner de tels conflits de la vie économique d’aujourd’hui. Seulement pensez une fois, vous seriez menuisier, et il n’y aurait pas d’argent. Vous devez manger, vous devez avoir des légumes, avoir du beurre mais vous êtes menuisier, élaborez seulement des tables et des chaises. Maintenant vous devez vous rendre sur le marché avec vos tables et chaises et devez essayer, par exemple, de vous défaire d’une chaise, afin que quelqu’un vous donne une certaine quantité d’alimentation pour  la chaise. Vous devez vous défaire d’une table pour qu’un autre vous donne un costume. Représentez vous seulement ce que cela signifierait ! Mais en fait on ne fait rien du tout d’autre ! C’est seulement masqué par cela qu’une marchandise passe-partout, l’argent, est là, et qu’alors les autres marchandises peuvent attendre, jusqu’à ce qu’elles soient utilisées.
Mais cela semble ainsi, comme si l’argent serait seulement une marchandise intermédiaire. De cela, maints économistes nationaux sont de l’avis que l’argent soit une marchandise. L’argent-papier est justement seulement à considérer comme ersatz pour la marchandise. Car la marchandise dont il s’agit, est en fait l’or, et les états sont devenu nécessiteux, d’introduire la monnaie-or, parce que l’état dirigent de l’économie du présent, l’Angleterre, a choisit l’or comme marchandise de valeur unique, marchandise de compensation, et que les autres Etats devaient suivre. La marchandise-moyen est donc là, et le menuisier n’a pas besoin d’aller au marché avec ses chaises, mais vend ses marchandises à qui veut justement les avoir. Pour cela il reçoit de l’argent et peut s’acheter maintenant de son côté légumes et fromage.
Les autres ont une opinion opposée sur l’essence de l’argent. D’après eux il ne s’agit pas de ce qu’on a le petit morceau d’or ou non, mais de ce qu’un moyen de substitution existe, sur lequel est imprimé le tampon. Notre papier-monnaie moderne porte donc un tel tampon : ce papier vaut tant et tant.

Et il y a des économistes nationaux qui le considèrent comme hautement non nécessaire, que pour le papier-monnaie repose dans les banques la valeur-or correspondante. Il y a aussi comme vous le savez peut être, certains Etats, qui ont purement du papier-monnaie, qui n’on pas de trésor d’or pour la monnaie-papier. Ils peuvent aussi avec cela d’une certaine manière exercer l’économie sous les conditions actuelles.
En tout cas vous voyez de cela –et nous devons donc nous placer dans notre domaine sur un pur point de vue humain -, qu’il y a aujourd’hui des humains intelligents, qui regardent l’argent comme une marchandise, pendant que d’autres humains intelligents le regardent comme un pur tamponnement, comme pure marque. Maintenant qu’est-il en fait ? Sous les conditions actuelles il est en fait les deux ! Il s’agit de ce qu’on considère, qu’il est les deux sous les conditions actuelles,  qu’aujourd’hui d’un côté, notamment dans les échanges internationaux, l’argent à seulement le caractère d’une marchandise ; car l’autre sont toutes des cessions d’avoir. Ce qui sérieusement vaut comme couverture, ce sont les échanges de marchandise-or, qui ont lieu d’Etat à Etat. Tout le reste repose seulement sur ce qu’on ai confiance : quant tant et tant de papier ou change ou quelque chose du genre est livré d’un Etat à l’autre, ainsi celui qui livre ce papier, ce change, a aussi vraiment l’or, que donc pour la marchandise, l’or est là, qui alors est traité comme une autre marchandise. Vous donnez donc aussi du crédit à un commerçant égal s’il possède de l’or ou des poissons ou quelconque chose d’autre, si seulement une couverture par quelque chose de réel est disponible. Ainsi l’argent est marchandise notamment dans les échanges internationaux.

Mais l’Etat s’est mêlé dedans et fait progressivement de l’argent quelque chose de purement taxé, tamponné. Ainsi l’un agit ensemble avec l’autre. Les dommages, qui existent, proviennent juste de ce qu’on ne déplace pas toute l’administration de l’argent dans le domaine de ce que nous avons décrit comme le troisième domaine de l’organisme social sain.
Dégagerait-on l’ensemble de l’administration de l’argent dans l’organisme économique, cela signifie délier de l’organisme-Etat, ainsi l’argent deviendrait marchandise et devrait avoir sur le marché des marchandises sa valeur de marchandise. Ne serait plus là aujourd’hui cette curieuse dépendance existante, qui s’exprime par un bizarre rapport entre monnaie et salaire.
Le curieux est aujourd’hui, que la monnaie sombre, quand le salaire grimpe, et le travailleur n’a souvent rien du tout, quand on lui donne encore autant de salaire, parce qu’il ne peut s’acheter rien d’autre, que ce qu’il pouvait s’acheter auparavant avec son salaire bien trop restreint. Quand les salaires et en même temps les prix des produits alimentaires grimpes, cela signifie quand la monnaie devient une toute autre, alors toutes les conditions supplémentaires n’aident pas. On ne peut qu’être aider, en ce qu’on détache aussi l’administration de ce bien économique, l’argent, de l’Etat politique, et quand l’argent, qui est là, pour permettre des comparaisons entre l’un et l’autre, peut aussi être administré par le troisième, par le membre économique de l’organisme social sain.