| Il est devenu possible d'avoir quelques semaines
                          durant ensemble à Stuttgart, les gens avec lesquels on
                          pouvait parler sur les prochaines exigences d'une vie
                          de l'économie non étatique libre. J'ai souvent dit là
                          aux gens : ceux-là qui seront appelés à
                          collaborer à cette libre formation de la vie de
                          l'économie, ils verront bientôt véritablement si cela
                          devient sérieux qu'ils ne peuvent rester debout aux
                          phrases socialistes, au marxisme et ainsi de suite,
                          mais qu'ils devront travailler à partir des exigences
                          concrètes de la vie de l'économie, chacun à sa
                          place : le directeur d'entreprise, le
                          contremaître, justement ainsi le prolétaire, ils
                          devront travailler, chacun de sa place, de points de
                          vue qui viennent de la vie de l'économie elle-même. Là
                          viennent au jour de tout autres questions que celles
                          qu'on soulève aujourd'hui, - et nommément celles que
                          la pratique soulève.
 J'ai montré comment par des institutions on peut
                          atteindre la situation de prix déterminée qu'un
                          certain article doit avoir - pas par des choses, comme
                          les veulent par exemple les théoriciens de l'argent
                          avec leurs statistiques, leur administration d’État –
                          ce qui tout est utopique -, mais par la structure
                          sociale de fait, par cela qui apparaît par l'agir
                          ensemble des associations.
 (…) Cela se met à briller chez l'humain
                          particulier, comme c'est insensé, quand de manière
                          démocratique devrait être par exemple jugé sur une
                          question qui devrait intéresser l'industrie. Dans les
                          branches qui sont étatisées, sera jugé par
                          l'administration centrale d’État ou du genre, cela
                          signifie sous des conditions d'une majorité d'humains,
                          qui peut mettre en minorité chaque petite minorité qui
                          tout de suite comprend quelque chose de la chose.
                          C'est pourquoi maint ont proposé : maintenant,
                          oui, nous devons avoir le parlement, nous devons avoir
                          l'état unitaire, donc nous avons au moins besoins de
                          comités industriels pour la vie de l'économie, des
                          représentations professionnelles au parlement tout
                          d'abord pour pouvoir se faire vraiment valoir – ce qui
                          alors de groupement professionnel à groupement
                          professionnel pourra être décidé – qui est
                          nécessaire ; pas qu'à nouveau tout sera touillé
                          ensemble en un parlement et peut être ce qui est à
                          décider pour un cercle, sera décidé par l'autre, que
                          cela ne concerne pas du tout. (…) Tout de suite qui prend au sérieux la
                          démocratie doit séparer la vie de l'économie et la vie
                          de l'esprit – qui ne peuvent pas du tout reposer sur
                          la démocratie, mais qui proviennent de connaissance de
                          chose et matière - de ce qu'est la vie de droit dans
                          le sens le plus large, qui peut seulement se
                          développer quand dans le parlement l'humain devenu
                          majeur fait face à l'autre humain devenu majeur comme
                          égal. Mais alors, n'a le droit d'être décidé dans ce
                          parlement, que ce qui concerne chaque devenu majeur
                          comme égal à l'autre. Et il ne peut pas s'agir de ce
                          que se forment des comités professionnels dans un
                          parlement démocratique et alors les décisions seront
                          quand même provoquées par décisions majoritaires, mais
                          que des négociations directes des groupements
                          économiques provienne ce qui se développe vers dehors
                          dans la vie de l'économie de l'essence même de la vie
                          de l'économie elle-même. (…) Le plus absurde est d'établir des
                          programmes sociaux qui devraient toujours valoir. Car
                          la question sociale, elle est une fois montée, mais on
                          ne peut la résoudre du jour au lendemain. Il peut
                          seulement s'agir de ce qu'on aménage la vie ainsi
                          qu'elle sera perpétuellement résolue, que de semaine
                          en semaine, d'année en année, de décennie en décennie
                          les humains sont toujours là qui amènent ce qui peut
                          résoudre les questions sociales. La question sociale
                          ne peut pas être résolue une fois en bloc, mais elle
                          doit perpétuellement être résolue par la vie. Mais
                          c'est pourquoi est nécessaire que cette vie se tienne
                          là ainsi que les humains qui sont appelés à la
                          solution se développent à partir de cette vie. (…) Quand la vie de l'économie sera placée
                          aujourd'hui sur ses propres pieds, nous ne pouvons pas
                          exiger qu'aussitôt demain les gens qui se tiennent
                          dedans, qui sont seulement bourrés d'idées que ce soit
                          libérales, socialistes, conservatrices, qu'ils jugent
                          d'exigences économiques. Dans les années cinquante,
                          soixante ç’aurait été possible en une haute mesure.
                          Aujourd'hui déjà bien trop de bazar confus a fait son
                          entrée dans les têtes. Mais là-dessus on n'a donc pas
                          à décider, mais la volonté est à déployer
                          qu'aujourd'hui se passe aussi encore ce qui est
                          correct. Supposez une fois – tout d'abord
                          hypothétiquement ! - que les humains se
                          tiendraient, indifférent s'ils sont directeurs de
                          travail, s'ils sont preneurs de travail, dans la pure
                          vie de l'économie et seraient habitués un temps durant
                          à décider des questions économiques à partir des faits
                          de la vie de l'économie, alors se serait formé quand
                          aussi peut-être en premier dans la prochaine
                          génération, une communauté d'intérêts laquelle par
                          exemple doit être disponible quand ont à collaborer
                          ceux qui sont produisant : le travailleur et le
                          directeur du travail, les deux ont donc même intérêt
                          quand sera seulement soigné cet intérêt. Ils n'ont pas
                          des intérêts différents en rapport à -par exemple – la
                          rémunération. Ils ont les mêmes intérêts. Mais avec ce
                          qu'en leurs sentiments ils seront remplis de ces mêmes
                          intérêts, ils doivent pouvoir embrasser la vie de
                          l'économie. Mais on peut seulement l'embrasser, quand
                          à partir d'une association, on peut faire l'expérience
                          de ce qu'est le vrai intérêt parce qu'on a à faire
                          quelque chose avec la prochaine association, celle-ci,
                          de nouveau avec une prochaine, ainsi que se forme un
                          réseau de rapports de confiance.
 Au lieu de cela les vrais intérêts seront sortis de
                          cela : ensemble dans le véritable travail les
                          humains se tiennent qui sont les directeurs de
                          travail, les humains qui sont les travailleurs ;
                          mais ainsi que dans les parlements se forment les
                          partis, ce qui se tient ensemble face à face dans le
                          véritable travail se tient alors séparé conformément à
                          des partis se combattant – un rapport non naturel, un
                          rapport insensé, regardé vis-à-vis de la vie.
                          Pourquoi ? Parce que la vie de l'économie n'est
                          pas séparée, ne vis pas dans son autonomie, mais
                          ceux-là qui font l'économie s'articulent d'après de
                          tout autres points de vue en des partis
                          parlementaires. Mais quand dans l’État la vie n'a avec
                          rien d'autre à faire qu'avec ce qui concerne tous les
                          humains devenus majeurs comme égaux, et pas avec cela
                          qui apparaît à l'intérieur de la vie de l'économie
                          même, alors il est impossible que se développe ce qui
                          veut se développer dans notre temps.
 
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