triarticulation

Institut pour une triarticulation sociale
(version française du site allemand)
Conditions d'utilisation.

Accueil

 

Deutsch EnglishDutchSkandinaviskFrançais ItalianoEspañolPortuguês (Brasileiro)Russisch
Recherche
 Contact   BLOG  Impressum 

Collection: 01-Questions fondamentales
Sujet: Les besoins humains doivent être estimés plutôt que tyrannisés
 
Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes 332a 057-058 (1977) 25/10/1919
Traducteur: FG Editeur: SITE

 

La valeur d'un bien produit ne se pose pas du tout dans un certain rapport aujourd'hui. Il forme toutefois une impulsion à une demande. Mais à cause de cela, cette demande est vraiment problématique dans notre vie sociale actuelle, car lui fait toujours face la question si sont disponibles les moyens correspondants, les situations de propriété correspondantes.

On peut bien avoir des besoins : lorsqu'on ne dispose pas des moyens nécessaires pour les satisfaire, on ne peut pas du tout les demander. Mais il s'agit de ce qu'un membre de liaison soit construit entre les besoins humains, qui donnent aux biens, aux produits leur valeur, et les prix. Car ce dont on a besoin a sa valeur humaine d'après ce besoin.

Des institutions devront se dégager de l'ordre social, qui formera le pont de cette valeur qui est attribuée aux produits par les besoins humains, et les prix, qu'ils doivent avoir.

Aujourd'hui, le prix est défini par le marché, selon que des gens sont là, qui peuvent acheter ces biens, qui ont l'argent nécessaire. Un véritable ordre social doit être orienté de manière que les humains, qui à partir de leurs besoins doivent avoir des biens, puissent aussi les recevoir, cela signifie, que le prix soit vraiment assorti, qu'il l'exprime. À la place de l'actuel marché chaotique doit arriver une institution, par laquelle les besoins des humains, la consommation des humains ne soient pas tyrannisée comme par des sociétés de production des travailleurs ou par de grandes sociétés socialisées, mais par lesquelles la consommation des humains soit investiguée et soit confirmé comment doit être répondu à cette consommation.

Pour cela est nécessaire que sous l'influence du principe associatif soit vraiment introduit la possibilité de produire des marchandises, qui traduisent les besoins observés, cela signifie des institutions doivent être là avec des personnes, qui étudient les besoins. La statistique ne peut interpréter qu'un instant ; elle n'est jamais mesure pour l'avenir. Les besoins qui se présentent, doivent être étudiés, ensuite les institutions pour le produire atteintes. Lorsqu'un article développe la tendance à devenir trop cher, alors c'est un signe de ce que trop peu d'hommes travaillent pour cet article. Des renégociations doivent être cultivées pour que des travailleurs soit reconvertis d'une autre branche de production vers celle-ci de manière à ce que plus de cet article soit produit. Un article a-t'il la tendance à devenir trop bon marché, son producteur gagne-t'il trop peu, alors doivent être conduites des négociations par lesquelles moins d'humains travaillent à cet article.

Cela signifie : de l'art et la manière dont les humains sont placés à leur place, doit dépendre comment à l'avenir seront satisfait les besoins. Le prix des produits est conditionné par le nombre des humains qui y travaillent.

Mais par de telles institutions, les valeurs doivent être semblables, être identiques essentiellement à la valeur, que le besoin humain a attribué au bien considéré.