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Institut pour une triarticulation sociale
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Collection: 01-Questions fondamentales



Sujet: Triarticulation à la place de tripartition de Montesquieu

 

Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes 083 306-307 (1981) 11/06/1922





Traducteur: FG v.03 - 28/04/2024
Editeur: SITE
J'ai seulement voulu indiquer sur ce que, par l'observation, nous sommes rendus attentifs à comment la vie sociale se divise en trois domaines, qui proviennent de conditions toutes particulières, différentes : la vie de l'esprit , la vie de droit et d'État et la vie de l'économie. Celles-ci se façonnent dans une certaine mesure à l'intérieur de la civilisation moderne en une certaine autonomie/indépendance. Comprendre cette autonomie et attribuer la sienne à chacune, afin qu'elles puissent travailler ensemble de manière correcte, c'est ce dont il s'agit aujourd'hui.
Ich habe nur darauf hindeuten wollen, daß wir durch die Beobachtung darauf hingewiesen werden, wie das gesamte soziale Leben in drei Gebiete zerfällt, die aus ganz besonderen, verschiedenen Bedingungen hervorgehen: das Geistesleben, das Rechts- und Staatsleben und das Wirtschaftsleben. Diese arbeiten sich gewissermaßen innerhalb der modernen Zivilisationsentwickelung zu einer gewissen Selbständigkeit heraus. Diese Selbständigkeit zu verstehen und jedem Gebiet das Seine allmählich zuzuteilen, damit sie gerade in der richtigen Weise zusammenarbeiten können, das ist es, worauf es heute ankommt.
On a réfléchi des plus différentes manières à cette triarticulation de l'organisme social dans l'humanité.
Et on a aussi, lorsque là mes "fondements de la question sociale" furent connus ci et là rendu attentif à l'une ou l'autre chose qui y rappelle de ce qui à précédé.
Maintenant, je ne veux pas soulever une quelconque question de priorité. Il ne s'agit pas de ce que l'un ai trouvé ceci ou cela, mais comment cela s'introduit dans la vie.
On ne pourrait que se réjouir, si véritablement beaucoup d'humains y venaient. Mais cela doit quand même être remarqué : quand en France une sorte de tripartition de l'organisme social est définie par Montesquieu, c'est simplement une tripartition. Là, est indiqué sur ce que ces trois domaines ont justement absolument différentes conditions ; pour cela on doit les séparer les uns des autres. Ce n'est pas la tendance de mon livre. — Là, il ne s'agit pas de différencier ainsi : vie de l'esprit, la vie de droit et viede l'économie, comme on différencierait chez l'humain le système nerveux, le système coeurs-poumons et le système métabolique, en ce qu'on dirait, que ce seraient trois systèmes distincts les uns des autres. Avec de telles répartitions/affectations n'est rien fait, mais seulement lorsque l'on voit, comment ces différents domaines œuvrent ensemble, comment ils deviennent au mieux une unité en ce que chaque chose travaille à partir de ses conditions. C'est aussi ainsi dans l'organisme social. Si nous savons comment placer la vie de l'esprit, la vie juridique-étatique et la vie de l'économie chacune sur ses conditions originelles propres, laisser travailler à partir de ses forces originelles propres, alors en résultera aussi l'unité de l'organisme social. Et alors on verra, que de chaque indivi  de ces domaine certaines forces de déclin seront poussées/propulsées en avant qui cependant seront de nouveau guéries par l'action commune avec les autres domaines.
Avec cela est désigné, non comme chez Montesquieu, une tripartition de l'organisme social, mais une triarticulation de l'organisme social, qui se retrouve en une unité de l'organisme social entier, parce que donc chaque humain appartient à tous les trois domaines. L'individualité humaine, dont quand même tout dépend, se tient dedans cet organisme social triarticulé ainsi qu'elle relie les trois membres ensemble.

Man hat in der verschiedensten Weise in der Menschheit über diese Dreigliederung des sozialen Organismus nachgedacht. Und man hat auch, als da und dort die « Kernpunkte der sozialen Frage » von mir bekannt wurden, auf das eine und andere, was aus Früherem schon anklingt, hingewiesen. Nun, ich will nicht irgendeine Prioritätsfrage aufwerfen. Es kommt nicht darauf an, ob der einzelne dies oder das gefunden hat, sondern wie es sich ins Leben einführt. Man könnte sich nur freuen, wenn recht viele Menschen darauf kämen. Aber das muß doch bemerkt werden: Wenn von Montesquieu in Frankreich eine Art Dreiteilung des sozialen Organismus definiert wird, so ist das einfach eine Dreiteilung. Da wird darauf hingewiesen, daß diese drei Gebiete eben durchaus verschiedene Bedingungen haben; darum solle man sie voneinander abtrennen. Das ist nicht die Tendenz meines Buches. - Da handelt es sich nicht darum, so zu unterscheiden: Geistesleben, Rechtsleben und Wirtschaftsleben, wie man am Menschen unterscheiden würde das Nerven-Sinnessystem, Herz-Lungensystem und Stoffwechselsystem, indem man dabei sagen würde, das seien drei voneinander geschiedene Systeme. Mit solcher Einteilung ist nichts getan, sondern erst, wenn man sieht, wie diese verschiedenen Gebiete zusammenwirken, wie sie am besten eine Einheit werden dadurch, daß jedes aus seinen Bedingungen heraus arbeitet. So ist es auch im sozialen Organismus. Wenn wir wissen, wie wir das Geistesleben, das rechtlich-staatliche Leben und das Wirtschaftsleben jedes auf seine ureigenen Bedingungen stellen, aus seinen ureigenen Kräften heraus arbeiten lassen, dann wird sich auch die Einheit des sozialen Organismus ergeben. Und dann wird man sehen, daß aus jedem einzelnen dieser Gebiete gewisse Niedergangskräfte hervorgetrieben werden, die aber durch das Zusammenwirken mit den anderen Gebieten wiederum geheilt werden. Damit ist hingewiesen, nicht wie bei Montesquieu auf eine Dreiteilung des sozialen Organismus, sondern auf eine Dreigliederung des sozialen Organismus, die sich aber dadurch in der Einheit des gesamten sozialen Organismus zusammenfindet, daß ja jeder Mensch allen drei Gebieten angehört. Die menschliche Individualität, auf die doch alles ankommt, steht in diesem dreigegliederten sozialen Organismus so drinnen, daß sie die drei Glieder miteinander verbindet.

Ainsi pouvons-nous dire que — tout de suite quand on se laisse stimuler par ce qui a été dit ici — non une quelque partition de l'organisme social, mais l'articulation/le membrement de ce même est promue, tout de suite afin que l'unité vienne en l'état de manière correcte.
So können wir sagen, daß - gerade wenn man sich anregen läßt von dem, was hier gesagt worden ist - nicht etwa eine Teilung des sozialen Organismus, sondern die Gliederung desselben angestrebt wird, gerade damit die Einheit in der richtigen Weise zustande komme.