Nous
avons donc vu dans la vidéo précédente comment la
doctrine sociale catholique se scinde actuellement
en deux courants, ce en quoi l’un des courants met
l'accent sur ce qu'on doit laisser l'êtrehumain
individuel
libre dans son action extérieure. Il devrait là,
dans une certaine mesure, faire ses preuves, devrait
vivre son idéalisme/individualisme.
Et
il se montre
quand même de plus en plus que
cet individualisme, qui
peut être plutôt un individualisme entrepreneurial,
conduise à des rapports
qui ne sont quand même pas ainsi que l'on
puisse dire calmement que nous pouvons continuer
ainsi. Et vis-à-vis de cela, se tient un autre
courant qui dit que cela ne peut pas continuer comme
ça, nous devons maintenant organiser de la
solidarité d'en
haut vers en bas, et cet organiser de haut en bas,
cela atteint tout de suite une façon et manière
particulièrement puissante sous le mot-clé "great
reset" ou grande réinitialisation/grand
bouleversement et j'ai montré comment là, avec cette
offre actuelle
du Forum économique mondial, qui est vraiment portée
avec une grande force d’affirmation dans le monde,
comment là derrière se place en paroles et en actes,
le courant qui aussi, on doit dire, est représenté
par le pape François, les deux courants ne peuvent
pas montrer, convainquant, une voie vers l'avenir.
Les
deux courants se tiennent dans une certaine mesure à
des précipices différents, et la grande question est
s'il y a un chemin entre ces deux abîmes. J'ai
utilisé là l'image de Charybde et Scylla dans
la dernière vidéo. Y a-t-il un chemin entre ces deux
abîmes pour naviguer à travers sans sombrer ?
Ou, en d'autres termes, y a-t-il une possibilité de
vivre individualisme et liberté et d'avoir, malgré
cela, des objectifs de communauté à réaliser. C'est
aussi l'espoir du courant plus conservateur qui
s’est toujours plus lié au néolibéralisme.
Simplement parce qu'il laisserait la personnalité
entrepreneuriale libre. Et l'espoir est que
l’eucharistie qui est la célébration sacrificielle
suprême du culte catholique
élève les humains ainsi qu’à partir de raisons
libres, ils peuvent s’efforcer à ces objectifs
communautaires. Dans cette vidéo, j’aimerais
contourer le chemin que Rudolf Steiner a démontré il
y a plus de cent ans et de nouveau j'utilise des
matériaux
provenant d'un webinaire que j'ai préparé pour cette
vidéo. Là sont, conformément à la nature, quelques
erreurs que je vous prie d’excuser.
LA « VRAIE COMMUNION »
DES HUMAINS.
Donc j’aimerais maintenant une fois représenter et
défendre ici la thèse que
tout de suite, nous, centre-européens, exprimons
massivement par l'Église catholique dans les
1200 dernières années, c'est donc plus tard
après l’arrivée du christianisme en Europe centrale
que nous avons été imprégnés et que ce catholicisme
a absolument
quelque chose à faire avec nous et qu'aussi Rudolf
Steiner était donc lui-même catholique de par le
baptême. Et le livre « Des énigmes de
l'âme » qu'il a écrit en 1917, où alors il
conduit tout d'abord une discussion avec le
philosophe médecin, psychologue
et historien de l'art Max Dessoir qui, du reste, a
d’ailleurs amené le concept de parapsychologie. Et
qui en 1917, dans son livre « Au-delà de l'âme,
les sciences secrètes en une considération
critique » l’a critiqué fortement et consommer.
Steiner montre
maintenant la particularité de la pensée
scientifique qui encore aujourd'hui, en de nombreux
cas, l'emporte et qu'il n'est déjà pas prête à
s’immerger dans ce qui repose dans les pensées de
ces autres, mais critique, finalement à partir d'une
antipathie,
seulement, ce que l'on se représente soi-même et
alors, de l'autre côté, est le catholique Franz
Brentano qui a quitté l'Église en 1870 parce qu'à
l'époque, l'infaillibilité du pape a été amenée dans
l'Église. Donc quelqu'un qui était aristotélicien,
qui était
entièrement lié à toutes ces questions,
remarque : non, ce qui là vient purement, alors
je dois continuer autrement, mais il lutte avec une
question intérieure d’âme. Et maintenant, Steiner va
là-dessus dans cet essai, très affectueusement, très
sympathiquement
et tente de montrer cette voie, d’accompagner en
fait en pensées. Il venait donc de mourir lorsque
Rudolf Steiner a écrit ce livre donc serait
accompagné après la mort et montre maintenant là une
nouvelle perspective qui, avec un problème de fond,
n'a pas tout de suite à faire avec le courant de
droite du catholicisme qui, notamment parce qu’il ne
trouve pas cette voie en une pureté spirituelle, de
l'autre côté remarque la liberté accentuée. La
liberté devient arbitraire et l'humain inférieur commence
à tout maîtriser et j’aimerais maintenant encore une
fois partir d’une polarité. Quant à l'humain
supérieur et l'humain inférieur, on jette un coup
d'œil, et on peut cela donc aussi jusque dans des
hommes/messieurs médicaux, comment un humain lors de
la conception apparaît, comme en premier en fait à
partir du sang, le cœur se forme, comme donc
aujourd’hui on dit toujours que le cœur serait une
pompe, mais quand on lorgne dans l'embryologie, on
remarque que toujours est primairement le mouvement
et forme/façonne,
du mouvement du sang, ce qui est cœur. Et quand le
cœur est formé comme premier organe, les organes
périphériques peuvent être fournis de manière
autonome. Et ainsi de suite. Donc que là une force
est effective qui façonne l'humain, donc a à faire
avec les forces du sang quand alors on est mis
bas/naît. En fait, aujourd'hui, on dit toujours plus
avec le premier souffle, l'humain pénètre le monde,
oui, mais c’est donc aussi ainsi qu’avec la
respiration, avec le premier souffle/train de
respiration,
l'humain commence absolument à s'éveiller pour le
monde. Et exactement cette polarité intervient qui
maintenant, cette fois-ci chez l'enfant, de proche
en proche jusqu'à l'adulte, doit se développer afin
que l'être humain commence l'effort pour le monde,
de comprendre le monde. Et le petit bébé dont le
cordon a maintenant été coupé de la fourniture de la
mère, il commence à désirer le lait maternel comme
premier, vit le désir et cette polarité nous
accompagne toute la vie. Qu'une telle chose veuille
nous
rendre éveillés, mais de l'autre côté, qu’avec nos
impulsions de volonté, nous sommes d'abord un désir
placé dans le monde et maintenant on peut, dans la
langue allemande, faire ce jeu de langue que d'un
saisir à un comprendre et d’un comprendre, on arrive
dans la raison analytique tandis que, quand on
développe le saisir dans une autre direction, donc
que le comprendre est rentré dans la raison
analytique pour ainsi dire, on saisit quelque chose
de limité et choisi du particulier, mais quand je
sélectionne
purement quelque chose, alors j'ai les parties dans
la main, manque malheureusement, seul le lien
spirituel.
Et
ce lien spirituel, je dois apprendre à le saisir. Et
à partir de cela apparaît en allemand le mot la
« Vernunft (raison synthétique) » qui maintenant
effectue quelque chose. Elle perçoit quelque chose
d’un pendant/lien spirituel. Elle peut apprendre à
le contempler. Et d'après la direction corporelle du
désirer, se transforme donc d'un côté dans les
désirs et quand l'âme, pour ainsi dire, saisit
quelque chose, et veut l'avoir pour elle-même, alors
naît/apparaît une avidité toujours plus forte pour
les choses. Donc vers l'autre côté, quand l'humain
se transforme toujours, alors il ne peut pas
seulement prendre ses propres besoins en vue, mais
aussi
les besoins de l'autre et c'est exactement ce que
nous devons faire dans la vie économique. Nous
devons justement toujours plus apprendre à
comprendre les besoins de l'autre et en dériver la
nécessité/le besoin, mais cela va seulement quand
l'humain supérieur
vient à l'humain inférieur dans un jeu d'interaction
qui est une double polarité qui y est efficace là.
Et nous vivons aujourd'hui dans le domaine de la
tête. Nous nous sommes pour ainsi dire entièrement
retirés, nous avons... cette capacité à percevoir
un spirituel, elle nous est devenue extrêmement
étrangère et cela est pendant à ce que nous avons
développé une conscience de science de la nature. Et
cela signifie que c'est maintenant une pensée qu'en
fait, on peut trouver par tous les écrits épistémologiques
jusqu'à « Des énigmes de l'âme », toujours
de nouveau en différentes variantes chez Rudolf
Steiner et dont finalement il dérive la
triarticulation et cela je veux maintenant aussitôt
montrer, donc nous nous tournons entièrement vers le
monde extérieur.
Il pénètre en nous à travers la perception
sensorielle et à cette perception des sens, nous
apportons des concepts en vis-à-vis, mais nous ne
savons pas d’où nous prenons les concepts.
Donc dans la conscience de tous les jours, nous
utilisons des concepts
et nous ne nous efforçons pas, à cause de cela, de
comprendre comment nous avons formé les concepts,
donc d'une certaine manière par l'orientation au
monde des sens, nous sommes encouragés/incités à
former des concepts d'une certaine manière, mais
nous ne nous faisons pas de véritables pensées sur
comprendre si nous le sommes maintenant nous-mêmes
qui formons les concepts ou si c’est encore d'autres
choses qui œuvrent formant en nous. À partir de ces
concepts, apparaissent là où la perception et le
concept apparaissent liés, pour nous l'image de
représentation.
J'aimerais
maintenant faire un exemple : aussi quand
quelqu'un qui n'a aucun concept de la doctrine
sociale catholique, lit le livre de Klaus Schwab il
ne remarquera pas comment massivement le
livre est constitué à partir de ces concepts, il
éprouve par cela quelque chose à percevoir des
liens/pendants qui se tiennent là, mais pour lui, ne
sont pas existants. Lorsqu'un biologiste va
par-dessus une prairie, il reconnaîtra, entièrement
différenciées,
de nombreuses plantes tandis qu’un humain non exercé
va là-dessus dire bellement coloré quand les bonnes
sont dessus, donc dans notre concept et la façon
dont nous avons aussi formé nos concepts, porte
aussi ce que nous voyons dans le monde et regardons
cependant de l'autre côté, nous réagissons à ces
images de représentation avec notre sentiment/sentir
et dans le sentiment l'être humain inférieur donne
déjà dans le désir. Et la question est maintenant
comment cela peut être transformé. Puis-je me développer
une conscience sur ce que je fais quand je saisis le
monde et est-ce que cela a éventuellement aussi
quelque chose à faire avec la transformation d'un
sentir ? Donc quand je rentre dans ce contre
geste de voir/contempler : haha je ne peux pas
seulement
abstraire des concepts ce que le scientifique de la
nature aujourd'hui fait combiner se tenant ensemble
en un modèle, mais je peux facilement/bientôt/en
même temps les amener dans un mouvement intérieur,
je peux procéder plastifiant/modelant avec cela,
donc je dois ouvrir encore un autre nouveau champ
d'observation pour voir/lorgner ce que je fais là et
cela est étranger aux scientifiques de la nature.
Steiner nomme ça l’observation par l’âme, et il dit
alors extra dans la philosophie de la liberté. Tout
de suite pour l'édition de 1918, il a même ajouté
encore : "la philosophie de la liberté, là il
s’agit d'observation par l’âme d’après une méthode
scientifique" donc que ce qu’on a appris à la
science de la nature, de se placer les choses
extérieurement
en vis-à-vis et aussi les analyser réellement, cela
on peut aussi le faire dans les observations par
l’âme quand cependant on ne reste pas planté chez ce
qui est abstrait, mais vraiment dans un mouvement
intérieur qui va donc à ce qui justement est immergé
dans le spirituel. On distingue maintenant ce
mouvement intérieur.
Cela
ne fait pas l'anthropologie, ce sont toutes des
sciences qui sont, pour ainsi dire, basées sur ce
purement analytiquement observé, observé penser
extérieur. Aussi les sciences des âmes
par exemple comme la psychanalyse et la voie/le
chemin maintenant dans un autre penser, dans une
pensée qui fait ce mouvement à l'intérieur du
spirituel, développe des concepts mobiles en
contraste aux concepts fixes de la science de la
nature qui sont gelés/frigorifiés,
cela
introduit l'anthroposophie ainsi et maintenant c'est
bien excitant quand, par exemple, on prend le
premier écrit de Steiner, l'introduction aux
écrits de science de la nature de
Goethe,
sont accompagnés/annotés
aujourd'hui en même temps d’une
fondation de la science de l’esprit
« anthroposophie ». Et il y a déjà un
endroit qui, à cette question, oui que
les catholiques posent avec la célébration de
l'Eucharistie, peut laisser devenir attentif, car
dans le chapitre la sorte de connaissance de 1887
est cette belle description des objets de la pensée
que sont cependant les idées, donc j'observe
celles-ci, en
ce que je maîtrise l’observation
de l'idée, cela fusionne puissamment avec les fondements
originels de l'être-là universel/des mondes, ce qui
œuvre à l'extérieur, entre dans
l'esprit de l'humain. Il devient un avec la réalité
objective à sa puissance maximale et alors cette
phrase merveilleuse : le devenir conscient de
l'idée dans la réalité est la la véritable communion
de l'humain. La pensée a, vis-à-vis des idées, la
même
signification que l'œil a à la lumière, l'oreille au
son, elle est organe de la conception/saisie. Donc
dans le moment où je commence à transformer ces
idées en un organe, que par cette activité
intérieure, j'apprends par exemple à vivre la
véracité d'une
déclaration, qu'est-ce qui œuvre là-dedans ?
Dans le moment je m’ouvre justement de ce côté et
peux développer d'autres sortes de concepts, mais
quand je me les place alors en vis-à-vis, alors je
peux les regarder/contempler exactement ainsi avec
la logique
qu’aussi le scientifique de la nature
contemple/regarde et aussi loin qu’il dit alors que
la logique est le champ où l'anthropologie et
l'anthroposophie se rencontrent. Seulement, le
problème est, c'est pourquoi je l'ai occulté
maintenant, tout le côté
de nuit qui nous est tout d’abord fermé. Et nous
commençons à vouloir comprendre cela et nous
endormons immédiatement lorsque nous essayons de
nous rendre dans cette région, c'est-à-dire que ce
n'est pas tout à fait facile dès le début de venir
purement dans
cette direction. Donc elle devrait être lentement
éclairée par activité.
LA "VRAIE COMMUNION" ET
L'ACTIVITÉ ENTREPRENEURIALE.
Mais
maintenant, nous avons besoin de quelque chose de
cette force de communion pour amener notre activité
entrepreneuriale dans
le guérissant. Donc nous en avons besoin tout de
suite quand dans la vie extérieure cela devient
actif parce que cela apporte justement une direction
transformée dans cette activité extérieure.
Seulement nous sommes aujourd'hui ainsi que nous
avons l'habitude
par la science de la nature, seulement dans l’un des
pôles de la logique de la pensée abstraite, ce qui
s'avère bien approprié pour contrôler le monde, là
nous sommes devenus très forts et cela aujourd'hui
les entrepreneurs l'utilisent/l'appliquent de
leurs habitudes et ceux qui le peuvent bien ils y
sont alors aussi très performants. Construisent de
grandes entreprises, propulsent cela toujours plus
loin, s'impliquent toujours plus dans la
technologie, construisent aussi la technologie
ensemble avec
les scientifiques de la nature, toujours plus
raffinés. Ils négocient de numériser le monde et
ainsi de suite. C’est donc l'un des pôles.
Quand
il ne trouve pas de complément par l'autre pôle,
justement qu’on devienne plus flexible/mobile, qu'on
n’a pas seulement
la propre entreprise à l’œil, mais maintenant lorgne
comment je viens alors dans une collaboration avec
les autres. Quand on veut cela, on a besoin
justement de quelque chose qui sera saisi de cette
autre région. Quand purement je reste dans l’organisant,
alors cette force de désir n'est pas utilisée, mais
elle grandit et alors le néolibéralisme vient
dedans. Exactement le problème qu'a la direction de
l'Église catholique, qui dit que nous devons laisser
l'humain libre. Elle ne peut pas montrer un chemin
que Franz Brentano a cherché, mais reste en cela à
des dogmes abstraits. Là sont là seulement les
vérités de chauffage de l'Église catholique que l'on
a transmises du christianisme. Cela n'a pas été
amené à la transformation intérieure, pas été intégré.
Donc maintenant, quand on se renforce vers en haut
cette activité intérieure, alors on peut, vers
l'extérieur, développer une faculté, maintenant
vraiment, de regarder les besoins des humains de
manière plus objective et alors saisir l'interaction
des
vrais processus en images.
Là
nous sommes au tout début, c'est le grand défi que
s'il vous plaît, je voudrais aussi montrer dans les
prochaines vidéos, comment faire, par exemple, pour
qu'un autre système monétaire puisse être développé
que le système développé
aujourd'hui. Mais pour cela, nous devons d'abord
apprendre à connaître le système monétaire actuel.
Mais comment est-il possible de transformer le
système monétaire de telle sorte qu'il devienne un
organe de perception pour le processus économique. Donc
comme grande exigence. Toujours plus le besoin et
non pas le propre désir, le besoin de l'autre est
objectivement poussé au premier plan et qu’il peut
être satisfait ! nécessite cependant
entièrement de nombreux points de vue différents et
là on est alors
de manière intéressante de nouveau très proche de
Klaus Schwab, mais là, on doit très exactement
lorgner sur ce que Klaus Schwab justement dit. Nous
pensons généralement avec notre pensée liée au
cerveau, nous pouvons penser seulement linéairement
et
il admire Bill Gates parce qu'il semble avoir la
capacité d'une pensée en réseau et il veut
travailler en réseau avec son forum, son forum de
dialogue, le forum économique mondial, et il montre
donc aussi qu’on peut le faire, mais il ne
transforme pas les
concepts, mais en principe, ce sera toujours la mise
en réseau de la pensée assistée par ordinateur. On
s'assoit/se place de façon purement mécanique
extérieurement et il y a seulement une seule petite
instance qui peut utiliser cette forme de mise en réseau
pour faire ce qu'elle tient pour correct et
l'humanité aimerait dire/contribuer à cette offre.
Donc cela est lié à la transformation, une autre
force doit justement être développée qui passe
par-dessus cette pensée abstraite. Néanmoins, dans
la vie économique,
là nous avons assez fortement à faire avec les
forces de la tête, donc la vie économique sera une
vie économique mondiale dans le moment où l'humanité
commence à penser en science de la nature, elle se
forme, à partir des forces de tête, et cela
ne trouve aucun complément des forces de
l’environnement/de la périphérie et cela nous
conduit en bas dans la situation de crise actuelle.
Donc
maintenant on peut dire que la vie économique est
elle-même un énorme organisme de tête. Et dans la
vie de l'esprit,
là il s'agit toujours du développement/de
l'évolution individuelle et d’un développement, par
exemple de transformer la pensée, c'est une décision
de volonté, cela on doit vraiment le vouloir
entièrement autonome, cela aucun autre ne peut vous
l’enlever.
Donc forme son chemin de volonté, c'est pourquoi là,
la vie de l’esprit se forme à partir des forces de
volonté parce que dans la mesure de comment je
deviens fort intérieurement... et peux renforcer ce
pôle percevant par ma propre force, quelque chose
peut soudainement devenir spirituellement efficace à
travers moi, et la prochaine chose est, et là c’est
donc aussi de nouveau une proximité au dialogique du
forum économique mondial, ce qui en soi est
correct/exact, se place aussi merveilleusement là, c'est
le plus grand forum de dialogue au monde et on doit
rester en conversation, tout cela est correct, mais
la question est quel esprit commence, par cette
conversation, à devenir efficace et je crois qu'il
commence a être échanger un autre esprit donc où
Steiner compare la vie de l'esprit avec l'humain
métabolisme-membres, et par le système des membres
rayonne le système éducatif, mais nous avons dans la
vie de l'esprit à faire avec un élément de volonté
tandis que dans la vie de l'économie avec un élément
de tête. Mais individuellement nous nous tenons dans
la vie économique, pour ainsi dire, dedans avec
notre faire extérieur et si cette action extérieure
par cette vie spirituelle ne reçoit pas une
véritable force de direction alors flue sur
l'individuel,
de l'humain inférieur un autre esprit qui, au début,
nous apparaît comme si c'était notre propre volonté,
mais nous avons toujours affaire avec une
spiritualité et c'est le grand processus de
transformations.
Maintenant
peut-être, on peut comprendre ce duel
de la triarticulation. Steiner dit aussi que la vie
économique est à comparer avec l'organisme tête, la
vie de l'esprit avec le système métabolique-membres
et la vie de droit avec le système du milieu, car si
la
vie de droit est seulement façonnée pour ainsi dire,
que les humains se tournent sur les problèmes
extérieurs et ensuite veulent trouver quelque
règlement et délimiter ce qui convient en fait, cela
fait tout de suite aussi Schwab pour cela des
personnes déterminées
s'imposent alors à occuper les organes
démocratiques, alors imposent les représentations
qu'ils tiennent pour correctes. Il veut, dit-il,
lier le socialisme et le capitalisme donc le plus
haut et le plus bas, mais en fait il débranche en
cela le
milieu. Et la grande question pour le thème droit,
c'est qui d'autre maintenant une question
supplémentaire : comment apporte-t-on au pauvre
que le sentiment de droit de l'humain peut se
développer. Ce sont pour ainsi dire, c'est la grande
image de l'humain
de la triarticulation que nous avons, c'est un
gigantesque défi qui est pendant avec cette
transformation et ce serait alors aussi dans la
prochaine vidéo le grand sujet ce qui serait
exactement de comprendre comment cela est possible,
comment peut-on réorganiser
la vie de l'économie afin d'accueillir les processus
de prestation des autres humains ainsi que nous
entrions dans une conception/un façonnement
solidaire. Il y aura ensuite à montrer tout d'abord
comment notre système monétaire est construit et
quels sont les défauts/manques de ce système
monétaire. Pourquoi il s'agit d'un système qui
conduit les humains dans une dépendance toujours
plus grande et justement ne rend pas possible
l'auto-organisation de la vie économique et il sera
à montrer comme
polaire pour/à cela, de proche en proche, un système
monétaire, de bas en haut, peut être construit qui
en même temps reçoit une fonction perceptive et ce
que cela signifie alors en pratique.
J'essaie
d'indiquer cela dans des vidéos supplémentaires. Je
me
réjouirais si ceux qui regardent ces vidéos et qui
se disent : oui, ces vidéos me sont pleines de
valeur, qui reconnaîtraient que l'agencement de ces
vidéos, de ces feuilles, aussi le couper et
l'assembler complet est lié à beaucoup beaucoup de
travail et
il est certes entré de manière valant des
remerciements quelques petits dons et aussi une
somme légèrement plus importante, mais ce n'est pas
vraiment suffisant pour financer ce travail vers
l'avenir afin que je peux toujours me demander à
nouveau si je peux
parvenir à le faire. Je serais donc heureux si ceux
qui en ont vraiment la possibilité cliquent
directement ce lien sous la vidéo. Vous serez alors
redirigé vers le site web de notre institut et là il
y a ensuite un formulaire. Si vous y mettez votre nom
et votre adresse électronique alors vous obtiendrez
automatiquement le numéro de compte par envoi. Nous
ne pouvons malheureusement pas faire en sorte que le
numéro de compte soit simplement publié parce que
l'expérience montre qu'aujourd'hui les numéros
de compte sont rapidement utilisés à mauvais
escient. C'est pourquoi une petite fonction de
protection est intégrée ici. Je me réjouis de
recevoir ainsi de vous et espère que la possibilité
apparaisse de réaliser des vidéos supplémentaires.