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L'initiative pour une propriété de responsabilité prenant de l'importance dans la société et le monde politique de la République  féderale, viennent aussi les critiques auxquelles il faut répondre... 

Fondation
propriété de responsabilité
Stiftung
Verantwortungseigentum

Septembre 2020

September 2020

Propriété de responsabilité - un renforcement de la pérennité des entreprises, pas un pacte contre les générations futures

Verantwortungseigentum - eine Stärkung der unternehmerischen Zukunftsfähigkeit, kein Pakt gegen zukünftige Generationen

Prise de position détaillée de la Fondation pour la propriété de responsabilité sur l'article

Detaillierte Stellungnahme der Stiftung Verantwortungseigentum zum Artikel

"Parole magique propriété de responsabilité"

des auteurs Prof. Dr.Rainer Hüttemann, Prof. Dr. Peter Rawert et Prof. Dr. Birgit Weitemeyer dans le Frankfurter Allgemeine Zeitung du 4 septembre 2020.

""Zauberwort Verantwortungseigentum"

der Autoren Prof. Dr. Rainer Hüttemann, Prof. Dr. Peter Rawert und Prof. Dr. Birgit Weitemeyer in der Frankfurter Allgemeinen Zeitung vom 04. September 2020

La critique exprimée par les auteurs se fait à deux niveaux :

Die von den Autoren geäußerte Kritik wird auf zwei Ebenen vorgenommen:

1 Critique de la propriété de responsabilité en général

1 Kritik an Verantwortungseigentum im Allgemeinen

2 Critique du projet présenté pour une nouvelle forme juridique (VE-GmbH).

2 Kritik am vorgelegten Entwurf für eine neue Rechtsform (VE-GmbH)

En ce qui concerne ces deux niveaux, on peut distinguer les aspects thématiques suivants :

Im Hinblick auf diese zwei Ebenen können thematisch folgende Aspekte unterschieden werden:

1 Critique de la propriété de responsabilité en général

1 Kritik an Verantwortungseigentum im Allgemeinen

1.1 Préoccupations d'ordre politique 2

1.1 Ordnungspolitische Bedenken 2

1.2 "Domination de la main morte", "fidéicommis" et "entreprise publique (litt, propre au peuple)". 3

1.2 "Herrschaft der toten Hand", "Fideikomiss" und "Volkseigener Betrieb" 3

1.3 Absence de motivation entrepreneuriale et d'incitations 4

1.3 Fehlende unternehmerische Motivation und Anreize 4

1.4 Absence de contrôle par des associés matériellement intéressés 4

1.4 Fehlende Kontrolle durch materiell interessierte Gesellschafter 4

1.5 Absence de respect des droits de succession et de la réserve héréditaire 5

1.5 Keine Beachtung von Erb- und Pflichtteilsrechten 5

1.6 La "propriété de responsabilité" est une notion présomptueuse 5

1.6 "Verantwortungseigentum" ist ein anmaßender Begriff 5

2 Critique du projet présenté pour une nouvelle forme juridique (VE-GmbH)

2 Kritik am vorgelegten Entwurf für eine neue Rechtsform (VE-GmbH)

2.1 Contournement possible de l'asset-lock 6

2.1 Umgehung des "Asset-Locks" möglich 6

2.2 Gouvernance déficiente 7

2.2 Mangelhafte Governance 7

2.3 Objections liées à la systématique juridique 7

2.3 Rechtssystematische Einwände 7

2.4 Privilège fiscal et équité de répartition 9

2.4 Steuerliche Bevorzugung und Verteilungsgerechtigkeit 9

2.5 Possibilités de financement insuffisantes 10

2.5 Ungenügende Finanzierungsmöglichkeiten 10

2.6 Aucun besoin d'une nouvelle forme juridique 11

2.6 Kein Bedarf nach einer neuen Rechtsform 11

2.7 Faux espoir dans les possibilités du droit 11

2.7 Falsche Hoffnung auf die Möglichkeiten des Rechts 11



1 Critique de la propriété de responsabilité en général

1 Kritik an Verantwortungseigentum im Allgemeinen

1.1 Inquiétudes en matière d'ordre public

1.1 Ordnungspolitische Bedenken

Critique

Kritik

Les réserves d'ordre politique portent essentiellement sur la constatation que la propriété de responsabilité "conduit à une séparation durable, étrangère à l'économie de marché, du pouvoir de disposition et de l'autorisation économique et supprime ainsi l'incitation à profiter des fruits de son propre travail". "Cela signifie qu'il ne doit plus y avoir de propriété directe ou indirecte du patrimoine de la société et de ses fruits". Il est dit plus loin à un autre endroit que "la gestion du patrimoine qui n'est pas au service d'un propriétaire personnel a tout au plus sa place dans un système d'économie de marché si ses revenus profitent soit à la collectivité, comme dans le cas des fondations d'utilité publique, soit à un cercle déterminé de bénéficiaires, comme dans le cas des fondations familiales. La simple thésaurisation de la fortune n'a rien à voir avec la libre entreprise".

Die ordnungspolitischen Bedenken beziehen sich im Wesentlichen auf die Feststellung, dass Verantwortungseigentum "zu einer marktwirtschaftsfremden, dauerhaften Trennung von Verfügungsbefugnis und wirtschaftlicher Berechtigung führen und damit den Anreiz unterdrücken, von den Früchten eigener Arbeit zu profitieren". "Das heißt, dass es am Vermögen der Gesellschaft und dessen Früchten kein mittelbares oder unmittelbares Eigentum mehr geben soll." Weiter heißt es an anderer Stelle: "Vermögensverwaltung, die keinem personalen Eigentümer dient, hat in einer marktwirtschaftlichen Ordnung allenfalls dann Platz, wenn ihre Erträge entweder - wie bei gemeinnützigen Stiftungen - der Allgemeinheit zugutekommen oder wie etwa bei Familienstiftungen - einem bestimmten Kreis von Begünstigten. Das bloße Thesaurieren von Vermögen hat nichts mit freiem Unternehmertum zu tun".

Réfutation

Widerlegung

La propriété de responsabilité a pour conséquence exactement le contraire. Elle établit un lien étroit entre la disposition et la justification économique, entre le travail et ses fruits. L'exclusion de l'accès aux bénéfices et au patrimoine d'une entreprise, fondée sur la propriété, signifie précisément que l'on ne peut participer au succès que dans la mesure où l'on a fourni une prestation personnelle ("profiter des fruits de son propre travail"). Le fait que cette participation ne puisse pas être réalisée en vertu du droit des sociétés par le biais de distributions de bénéfices ou de ventes de parts, mais uniquement en vertu du droit des obligations, par exemple dans le cadre d'éléments de rémunération basés sur les résultats, est précisément dû à cette définition étroite de la prestation et de la participation aux résultats. La propriété directe des actifs de la société et des fruits revient à la société elle-même. Les associés ont la propriété directe de la société en ce qui concerne la disposition dans son intégralité, en ce qui concerne le patrimoine à hauteur de leur apport, et en ce qui concerne les fruits, indirectement, même si ce n'est pas en vertu du droit des sociétés par le biais de leurs parts, par le biais de la prestation d'organisation fondée sur leur pouvoir de disposition étendu. Le patrimoine dépassant le montant de l'apport et les droits basés sur la performance sert à l'entreprise dans la poursuite de son objectif et donc à toutes les parties prenantes, peut être (ré)investi ou affecté à des fins d'utilité publique. Il ne s'agit donc pas d'une simple thésaurisation qui ne sert à aucun propriétaire personnel. Les revenus thésaurisés servent à l'entreprise dans la poursuite de son objectif et donc à toutes les parties prenantes impliquées dans l'entreprise et à leurs "intérêts personnels", et non pas uniquement aux "intérêts d'un cercle déterminé de bénéficiaires". Il ne s'agit pas non plus de "gestion de patrimoine", mais de la liberté d'organisation de l'entreprise rendue possible par la thésaurisation, dans le sens de la pérennité de l'entreprise et de sa résilience aux crises. Si ces conditions sont remplies, il est possible de faire bénéficier la collectivité de revenus supplémentaires sous forme d'utilité publique. La propriété de responsabilité remplit donc parfaitement tous les aspects que les auteurs lui dénient à tort.

Verantwortungseigentum hat das genaue Gegenteil zur Konsequenz. Es führt den Zusammenhang zwischen Verfügung und wirtschaftlicher Berechtigung, zwischen Arbeit und ihren Früchten eng zusammen. Der Ausschluss von im Eigentum begründeten Zugriffen auf Gewinn und Vermögen eines Unternehmens bedeutet gerade, dass nur am Erfolg partizipiert werden kann, soweit eine eigene Leistung dafür erbracht wurde ("von den Früchten eigener Arbeit zu profitieren"). Dass diese Partizipation nicht gesellschaftsrechtlich über Gewinnausschüttungen oder Anteilsverkäufe, sondern "nur" schuldrechtlich, etwa im Rahmen erfolgsbasierter Vergütungsbestandteile, realisiert werden kann, ist genau dieser Engführung von Leistung und Erfolgsbeteiligung geschuldet. Unmittelbares Eigentum am Vermögen der Gesellschaft und den Früchten hat die Gesellschaft selbst. Unmittelbares Eigentum an der Gesellschaft haben die Gesellschafter hinsichtlich der Verfügung in vollem Umfang, hinsichtlich des Vermögens in Höhe ihrer Einlage, an den Früchten mittelbar - wenn auch nicht gesellschaftsrechtlich über ihre Anteile vermittelt - über die in ihrer umfänglichen Verfügungsmacht gründende Gestaltungsleistung. Das über die Höhe der Einlage und leistungsbasierte Ansprüche hinausgehende Vermögen dient dem Unternehmen bei der Verfolgung des Unternehmenszweckes und damit allen Stakeholdern, kann (re)investiert oder darüber hinaus gemeinnützigen Zwecken zugeführt werden. Es geht also nicht um "das bloße Thesaurieren", das keinem personalen Eigentümer dient. Thesaurierte Erträge dienen dem Unternehmen in Verfolgung seines Zweckes und damit allen an einem Unternehmen beteiligten Stakeholdern und deren "personalen Interessen", nicht allein den Interessen von "einem bestimmten Kreis von Begünstigten". Auch geht es nicht um "Vermögensverwaltung", sondern um den gerade durch die Thesaurierung ermöglichten unternehmerischen Gestaltungsfreiraum im Sinne der Zukunftsfähigkeit des Unternehmens und dessen Krisenresilienz. Sollte dies erfüllt sein, so besteht die Möglichkeit, weitere Erträge in Form der Gemeinnützigkeit der Allgemeinheit zukommen zu lassen. Verantwortungseigentum erfüllt also durchaus alle Aspekte, die diesem von den Autoren fälschlicherweise abgesprochen werden.


1.2  "Domination de la main morte", "fidéicommis" et "entreprise collectivisée"

1.2 "Herrschaft der toten Hand", "Fideikomiss" und "Volkseigener Betrieb"

Critique

Kritik

Les notions de domination de la main morte, de fidéicommis et d'entreprise nationalisée, alarmantes du point de vue de la politique de régulation dans l'optique d'une économie sociale de marché libérale, sont mises en relation à différents endroits de l'article avec la propriété de responsabilité en général, mais aussi en ce qui concerne le projet de nouvelle forme juridique. Le règne de la main morte, parce qu'une VE-GmbH permettrait d'immobiliser des biens au-delà de sa propre mort, sur toutes les générations, dans une personne morale potentiellement immortelle. Il en résulte pour les auteurs une similitude avec le fidéicommis médiéval, combattu depuis le siècle des Lumières et finalement vaincu. Avec ce dernier, la noblesse a tenté pendant des siècles de préserver son patrimoine familial de la mainmise des générations suivantes. La propriété de responsabilité ne renvoie donc pas au 21e siècle, mais à des temps féodaux oubliés depuis longtemps. Il est en outre constaté que la propriété de responsabilité serait une forme d'entreprise publique/collectivisée sous un nouveau signe.

Die im Sinne einer freiheitlichen Sozialen Marktwirtschaft ordnungspolitisch alarmierenden Begriffe "Herrschaft der toten Hand", "Fideikomiss" und "Volkseigener Betrieb" werden in dem Artikel an unterschiedlichen Stellen mit Verantwortungseigentum im Allgemeinen, aber auch in Bezug auf den Entwurf für eine neue Rechtsform in Verbindung gestellt. Die "Herrschaft der toten Hand", weil eine VE-GmbH es ermöglichen würde, "Vermögen über den eigenen Tod hinaus über alle Generationen in einer potentiell unsterblichen juristischen Person zu binden". Daraus folgt für die Autoren eine Ähnlichkeit zum seit der Aufklärung bekämpften und schließlich überwundenen "mittelalterlichen ‘Fideikomiss’. Mit diesem versuchte der Adel über Jahrhunderte, sein Familienvermögen vor dem Zugriff nachfolgender Generationen zu bewahren". Verantwortungseigentum weise deshalb "nicht in das 21. Jahrhundert, sondern in längst vergessene Feudalzeiten". Weiter wird festgestellt, dass Verantwortungseigentum eine "Form des 'Volkseigenen Betriebes' unter neuem Vorzeichen" sei.

Réfutation

Widerlegung

Indépendamment de la contradiction évidente qui consiste à attribuer à la propriété de responsabilité des caractéristiques féodales d'un côté et socialistes de l'autre, rien ne justifie objectivement ces liens. Une entreprise publique/collectivisée se caractérise par le fait qu'elle était une unité économique appartenant au peuple et soumise à la direction du parti et de l'État. Il n'en est nullement question en ce qui concerne la propriété de responsabilité, qui se situe au contraire entièrement dans le cadre de l'autonomie privée. Même un nouveau signe precurseur ne peut pas le cacher. De même, la comparaison avec le fidéicommis est factuellement erronée, ce que l'on peut aisément constater à l'aide des critères centraux suivants en comparaison avec la SARL de propriété de responsabilité :

Einmal abgesehen von der offenbaren Widersprüchlichkeit, Verantwortungseigentum auf der einen Seite feudalistische, auf der anderen Seite sozialistische Eigenschaften zuzusprechen, sind diese Verbindungen sachlich durch nichts zu begründen. Ein "Volkseigener Betrieb" ist dadurch charakterisiert, dass dieser als wirtschaftliche Einheit im Volkseigentum der Partei- und Staatsführung unterstand. Davon kann in Bezug auf das sich im Gegenteil vollständig im Rahmen der Privatautonomie bewegende Verantwortungseigentum in keiner Hinsicht die Rede sein. Darüber kann auch ein "unter neuem Vorzeichen" nicht hinwegtäuschen. Genauso ist auch der Vergleich mit dem "Fideikommiss" sachlich falsch, was sich anhand folgender zentraler Kriterien im Vergleich mit der VE-GmbH leicht feststellen lässt:


Ober-
eigentümer
familien-
gebunden
unverkäuflich kann nicht
beliehen
werden
tote Hand in der
Nachfolge
tote Hand in der Zweck
setzung
leistungs- unabhängiger Nutzen
Fideikommiss ja, Familie ja ja ja ja ja ja
VE-GmbH nein nein nein nein, soweit es dem Unternehmen dient nein nein nein



Propriétaire suprême lié à la famille inaliénable ne peut pas être mis en gage main morte dans
Succession
main morte dans

l'objectif
utilité indépendante de la prestation

fidéicommis
oui, famille oui oui oui oui oui oui
VE-GmbH/ SàRL en PR
non non non dans la mesure où cela sert l'entreprise non non non

       

     

La comparaison peut aussi être faite avec d'autres institutions juridiques féodales, telles que le "fief" et le "majorat", avec le même résultat. Non seulement la propriété de responsabilité ne présente aucune similitude avec ces institutions juridiques, mais c'est même tout le contraire. S'il est prouvé que la propriété de responsabilité se comporte de manière opposée à l'"entreprise publique/collective" socialiste et au "fidéicommis" féodal, la seule conclusion plausible est que la propriété de responsabilité se sait située au centre d'un ordre libéral d'économie de marché, l'économie sociale de marché.

Der Vergleich kann auch mit anderen feudalen Rechtsinstituten wie etwa dem "Lehen" und dem "Majorat" vorgenommen werden - mit dem gleichen Ergebnis. Verantwortungseigentum weist nicht nur keine Ähnlichkeit mit diesen Rechtsinstituten auf, es ist das genaue Gegenteil. Wenn sich Verantwortungseigentum nachweislich sowohl zum sozialistischen "Volkseigenen Betrieb" als auch zum feudalistischen "Fideikomiss" gegenteilig verhält, dann bleibt als einziger plausibler Schluss: Verantwortungseigentum weiß sich verortet in der Mitte einer freiheitlichen marktwirtschaftlichen Ordnung, der Sozialen Marktwirtschaft.

1.3 Absence de motivation entrepreneuriale et d'incitations

1.3 Fehlende unternehmerische Motivation und Anreize

Critique

Kritik

Dans cette critique, les préoccupations d'ordre politique sont finalement répétées et ramenées à l'entrepreneur en tant qu'acteur agissant, et "une étrange compréhension de l'entrepreneuriat privé" est supposée. Il est difficile de ne pas voir que ( ...) des mécanismes d'incitation fondamentaux et existentiels pour une économie de marché sont supprimés. Dans les systèmes économiques libres, une gestion d'entreprise responsable est garantie par une convergence des intérêts de l'entreprise et des propriétaires d'entreprise. On parle  de  pures "motivations idéalistes", d' "incitations idéalistes" et d'une "famille de valeurs" qui cultive 'l'héritage' "sans valeur pris en soi" d'un entrepreneur responsable, pour ainsi dire sans exigence, pendant des générations", est déclarée "utopie".

In dieser Kritik werden letztlich die ordnungspolitischen Bedenken wiederholt und auf den Unternehmer als handelnden Akteur heruntergebrochen und "ein merkwürdiges Verständnis von privatem Unternehmertum" unterstellt. Es sei kaum zu übersehen, "dass ( ...) grundlegende und für eine Marktwirtschaft existenzielle Anreizmechanismen" ausgeschaltet würden. "Eine verantwortungsvolle Unternehmensführung wird in freien Wirtschaftssystemen durch einen Gleichlauf der Interessen von Unternehmen und Unternehmenseigentümern gewährleistet." Es wird von bloßer "idealistischer Motivation", "idealistischen Anreizen" gesprochen und eine Wertefamilie", die das "für sich genommen wertlose 'Erbe' eines Verantwortungsunternehmers gleichsam anspruchslos über Generationen hinweg pflegt" zur "Utopie" erklärt.

Réfutation

Widerlegung

On pourrait en principe s'en tenir ici à un renvoi aux explications données au point 1.1 concernant la possibilité, aussi présente dans la propriété de responsabilité, de profiter du succès de sa prestation. Néanmoins, il convient de mentionner ici que les auteurs, dans une perception pour le moins très unilatérale de la pratique et de la science, défendent une image de l'entrepreneur qui est considérée depuis longtemps comme dépassée. D'une part, ils ignorent le fait que des entreprises appartenant à des personnes responsables opèrent déjà avec beaucoup de succès sur les marchés (internationaux) depuis des générations : Zeiss, Bosch, Mahle et bien d'autres. D'autre part, ils ignorent les résultats scientifiques de la psychologie et de la recherche comportementale sur l'entrepreneuriat. Ceux-ci montrent clairement que, bien plus que la participation financière au succès, aussi possible dans le cadre de la propriété de responsabilité, c'est l'auto-efficacité, la création d'entreprise qui est la véritable source de motivation entrepreneuriale, et cela ne vaut pas seulement pour les entrepreneurs et entrepreneuses fondateurs. L'auto-efficacité n'est cependant pas un idéalisme, mais peut être qualifiée de besoin humain. Dans la propriété de responsabilité, l'auto-efficacité entrepreneuriale dispose de tous les moyens (pouvoir de création). Que ce soit d'un point de vue matériel ou immatériel, on peut supposer que la propriété de responsabilité entraîne un risque accru de divergences entre l'entreprise et ses propriétaires.

Mit einem Verweis auf die Ausführungen zu 1.1 hinsichtlich der auch in Verantwortungseigentum bestehenden Möglichkeit, vom Erfolg seiner Leistung zu profitieren, könnte man es hier im Grunde schon bewenden lassen. Dennoch soll hier nicht unerwähnt bleiben, dass die Autoren, in zumindest sehr einseitiger Wahrnehmung von Praxis und Wissenschaft, ein Unternehmerbild vertreten, das seit langem als überholt gilt. Zum einen ignorieren sie, dass Unternehmen in Verantwortungseigentum bereits über Generationen hinweg sehr erfolgreich in (internationalen) Märkten agieren: Zeiss, Bosch, Mahle und viele andere. Zum anderen ignorieren sie wissenschaftliche Ergebnisse aus Psychologie und Verhaltensforschung zu Unternehmertum. Diese machen deutlich, dass vielmehr noch als die auch in Verantwortungseigentum mögliche finanzielle Partizipation am Erfolg, die Selbstwirksamkeit, das unternehmerische Gestalten die eigentliche Quelle unternehmerischer Motivation ist - und das gilt nicht nur für Gründungsunternehmer*innen. Selbstwirksamkeit aber ist kein "Idealismus", sondern kann als menschliches Bedürfnis bezeichnet werden. Der unternehmerischen Selbstwirksamkeit sind im Verantwortungseigentum alle Mittel an die Hand gegeben (Gestaltungsmacht). Weder in materieller noch in nicht-materieller Hinsicht ist davon auszugehen, dass Verantwortungseigentum zu einer erhöhten Gefahr von Diskrepanzen zwischen Unternehmen und Unternehmenseigentümer*innen führt.

1.4 Absence de contrôle par des associés matériellement intéressés

1.4 Fehlende Kontrolle durch materiell interessierte Gesellschafter

Critique

Kritik

En revanche, le risque est réel que les managers d'entreprises en propriété de responsabilité négligent leur devoir d'allocation et d'utilisation optimales des ressources, faute de contrôle effectif par les associés matériellement intéressés. Ici, les auteurs se réfèrent apparemment à une situation dans laquelle les propriétaires responsables ont cédé la gestion opérationnelle de l'entreprise à un "manager". Comme les propriétaires responsables n'ont pas de droits sur les bénéfices et les actifs du fait de leur propriété, et ne peuvent donc pas réaliser d'intérêts matériels dans l'entreprise, un contrôle effectif est improbable.

"Real ist hingegen die Gefahr, dass Manager von Unternehmen im Verantwortungseigentum ihre Pflicht zur optimalen Allokation und Verwertung von Ressourcen mangels effektiver Kontrolle durch materiell interessierte Gesellschafter vernachlässigen". Hier beziehen sich die Autoren offenbar auf eine Situation, in der Verantwortungseigentümer*innen die operative Unternehmensführung an einen "Manager" abgegeben haben. Da Verantwortungseigentümer*innen durch ihr Eigentum keine Gewinn- und Vermögensrechte haben, also keine materiellen Interessen am Unternehmen verwirklichen können, sei eine effektive Kontrolle unwahrscheinlich.

Réfutation

Widerlegung

En principe, l'idée de la propriété de responsabilité correspond au fait que ceux qui sont associés détiennent également la direction de l'entreprise. Il s'agit de rapprocher le plus possible les entrepreneurs et entrepreneuses et les entreprises. Un fossé entre le manager qui est sur place prend des décisions pour l'entreprise et les investisseurs dont l'intérêt pour l'entreprise ne repose que sur leur investissement, ne correspond pas à cette idée de base. Même si les propriétaires responsables délèguent la gestion opérationnelle de l'entreprise à un manager, les associés peuvent être actifs dans la société et être également rémunérés (le cas échéant en fonction des résultats) pour des activités réalisées pour la société. Ainsi, malgré l'absence de distribution de bénéfices, ils peuvent tout à fait avoir un intérêt financier dans le succès économique de l'entreprise.

Grundsätzlich entspricht es der Idee des Verantwortungseigentums, dass diejenigen, die Gesellschafter sind, auch die Unternehmensführung innehaben. Es geht um eine möglichst große Nähe von Unternehmer*innen und Unternehmen. Eine Kluft zwischen dem Manager, der vor Ort Entscheidungen für das Unternehmen trifft und Investoren, deren Interesse für das Unternehmen nur in ihrer Investition begründet liegt, entspricht dieser Grundidee nicht. Auch wenn Verantwortungseigentümer*innen die operative Unternehmensführung an einen "Manager" delegieren, können die Gesellschafter aktiv in der Gesellschaft tätig sein und für Tätigkeiten für die Gesellschaft auch (ggf. erfolgsbezogen) vergütet werden. So können sie trotz fehlender Gewinnausschüttungen durchaus ein finanzielles Interesse am wirtschaftlichen Erfolg des Unternehmens haben.

1.5 Pas de respect des droits de succession et de la réserve héréditaire

1.5 Keine Beachtung von Erb- und Pflichtteilsrechten

Critique

Kritik

"C'est surtout en cas de succession que les associés restants doivent donc pouvoir empêcher un associé 'inapte' sans tenir compte des droits successoraux et des réserves héréditaires". Cette critique concerne le fait qu'en cas de propriété de responsabilité, indépendamment du fait que celle-ci soit/serait mise en œuvre par une solution de fondation ou dans le cadre d'une nouvelle forme juridique, le patrimoine de l'entreprise n'appartient plus aux héritiers en raison de l'affectation des biens.

"Vor allem im Erbfall sollen die verbleibenden Gesellschafter daher einen ‘untauglichen’ Gesellschafter ohne Rücksicht auf Erb- und Pf lichtteilsrechte verhindern können." Diese Kritik betrifft die Tatsache, dass in Verantwortungseigentum - unabhängig davon, ob dieses durch eine Stiftungslösung oder im Rahmen einer neuen Rechtsform umgesetzt wird/würde - das Unternehmensvermögen durch die Vermögensbindung nicht mehr den Erben zusteht.

Réfutation

Widerlegung

Il est exact de constater qu'une fois lié dans le sens d'une propriété de responsabilité, le patrimoine, que ce soit dans le cadre d'une solution de fondation ou d'une nouvelle forme juridique, n'appartient plus aux héritiers. Ce qui est faux, c'est que les droits successoraux et les réserves héréditaires seraient bafoués d'une manière ou d'une autre. Ceux-ci doivent être respectés sans restriction.

Die Feststellung, dass einmal im Sinne von Verantwortungseigentum gebundenes Vermögen - sei es in einer Stiftungslösung oder in einer neuen Rechtsform - nicht mehr den Erben zusteht, ist richtig. Falsch ist, dass in irgendeiner Hinsicht Erb- und Pflichtteilsrechte missachtet würden. Diese sind ohne Einschränkung zu beachten.

1.6 "La propriété de responsabilité" est une notion présomptueuse

1.6 "Verantwortungseigentum" ist ein anmaßender Begriff

Critique

Kritik

Les auteurs estiment que la propriété de responsabilité est une notion présomptueuse qui dénie aux "entreprises 'normales' la capacité d'agir de manière durable et responsable".

Die Autoren sind der Meinung, dass "Verantwortungseigentum" ein anmaßender Begriff sei, der "'normalen' Unternehmen die Befähigung zu nachhaltigem und verantwortlichem Handeln abspricht".

Réfutation

Widerlegung

Toutes les publications de la Fondation pour la propriété de responsabilité et le projet de loi pour la nouvelle forme juridique soulignent sans cesse que l'entrepreneuriat responsable est possible sous de nombreuses formes et en aucun cas uniquement dans le cadre de la propriété de responsabilité. Ce n'est d'ailleurs pas ce que le terme signifie, comme cela est également souligné à plusieurs reprises et devrait être parfaitement clair dans le contexte de l'obligation de réaliser des bénéfices et des actifs. Le terme n'est pas prétentieux, comme le pensent les auteurs, mais a une signification très simple et objective. La propriété de la responsabilité signifie que les personnes responsables détiennent la propriété de la responsabilité, c'est-à-dire le pouvoir de création, mais qu'elles ne détiennent pas la propriété personnelle du patrimoine au-delà de leur apport et des droits éventuels basés sur la performance en vertu du droit des obligations. Le patrimoine appartient en premier lieu à l'entreprise pour laquelle la responsabilité est assumée et exercée. La responsabilité est un terme neutre qui met l'accent sur l'obligation de rendre des comptes des responsables, mais pas sur le fait que les positions responsables sont remplies de manière positive. Ce que les responsables font de leur position de responsabilité, dans un sens positif ou négatif, est une autre question.

Alle Veröffentlichungen der Stiftung Verantwortungseigentum und der Gesetzesentwurf für die neue Rechtsform betonen immer wieder, dass verantwortungsvolles Unternehmertum in vielen Formen und keinesfalls nur in Verantwortungseigentum möglich ist. Das meint der Begriff auch gar nicht, wie ebenfalls immer wieder deutlich hervorgehoben wird und vor dem Hintergrund der Gewinn- und Vermögensbindung völlig klar sein sollte. Der Begriff ist mitnichten "anmaßend", wie die Autoren meinen, sondern hat eine ganz einfache, sachliche Bedeutung. Verantwortungseigentum bedeutet, dass jeweils verantwortliche Personen das Eigentum an der Verantwortung, sprich die Gestaltungsmacht innehaben, nicht aber über ihre Einlage und mögliche schuldrechtliche auf Leistung basierte Ansprüche hinaus persönliches Eigentum am Vermögen halten. Das Vermögen steht primär dem Unternehmen zu, für das die Verantwortung getragen und ausgeübt wird. Verantwortung ist ein neutraler Begriff, der die Rechenschaftspflicht der Verantwortlichen betont, nicht aber dass verantwortliche Positionen positiv ausgefüllt werden. Was Verantwortliche aus ihrer verantwortlichen Position im positiven oder negativen Sinne machen, ist eine andere Frage.

2 Critique du projet présenté pour une nouvelle forme juridique (VE-GmbH)

2 Kritik am vorgelegten Entwurf für eine neue Rechtsform (VE-GmbH)

2.1 Contournement possible de l' "asset-lock"

2.1 Umgehung des "Asset-Locks" möglich

Critique

Kritik

Les auteurs constatent que le projet ne tient pas sa grande promesse de préserver et de développer les entreprises pour les générations futures, ne serait-ce que sur le plan de la technique juridique. En effet, il interdit uniquement la distribution d'actifs de la société aux propriétaires responsables. Il ne limite en rien la justification de ces derniers de 'transformer  en l'argent' l'entreprise. Dans le cas d'une vente d'actifs/assets d'une entreprise, le verrouillage des actifs peut être contourné par un éventuel changement d'affectation à des fins non rentables servant des intérêts personnels. De même, les fondations d'utilité publique, qui peuvent devenir associées d'une SàRL en PR, pourraient accéder aux actifs de l'entreprise. Enfin, il serait possible d' "aspirer" une SàRL en PR en limitant l'apport au capital minimum tout en la finançant par "des prêts aux conditions du marché, des cessions d'usage et des participations silencieuses".

Die Autoren stellen fest: "Sein großes Versprechen, Unternehmen 'für zukünftige Generationen zu erhalten und zu entwickeln' hält der Entwurf schon rechtstechnisch nicht. Tatsächlich verbietet er nur die Ausschüttung von Gesellschaftsvermögen an die Verantwortungseigentümer*innen. Deren Berechtigung das Unternehmen zu 'versilbern' schränkt er in keiner Weise ein." Im Falle eines Verkaufes von Assets eines Unternehmens könne durch eine mögliche Zweckänderung auf persönlichen Interessen dienende unprofitable Zwecke das Asset-Lock umgangen werden. Auch könnten gemeinnützige Stiftungen, die Gesellschafter einer VE-GmbH werden können, auf das Unternehmensvermögen zugreifen. Schließlich sei es möglich, mit einer Begrenzung der Einlage auf das Mindestkapital bei gleichzeitiger Finanzierung über marktübliche "Darlehen, Nutzungsüberlassungen und stille Beteiligungen" eine VE-GmbH "abzusaugen".

Réfutation

Widerlegung

Les auteurs constatent à juste titre que la distribution de bénéfices aux propriétaires responsables est exclue, pour ensuite constater que l'entreprise peut néanmoins être argentée, c'est-à-dire vendue. Cela aussi est juste. Car du point de vue de l'entreprise et de la politique réglementaire, il serait irresponsable de rendre les entreprises invendables. En effet, dans l'intérêt de toutes les parties prenantes (collaborateurs, clients, fournisseurs, créanciers, etc.), il devrait être possible de vendre une entreprise qui, en raison de diverses circonstances, ne peut que très probablement survivre de manière autonome sur le plan de la gestion. Par exemple, pour la laisser se fondre dans une autre entreprise, pour réaliser des synergies ou d'autres avantages et pour préserver des emplois, etc. La possibilité de vendre, en tant qu'option d'une propriété de responsabilité, est donc précisément dans l'esprit du projet et n'est pas contradictoire, tant que le produit de la vente n'est pas distribué aux associés. Ce n'est pas la vente en soi qui doit être exclue, mais la motivation de la vendre pour en tirer un bénéfice personnel. C'est aussi le cas. Néanmoins, les auteurs exposent qu'un changement d'affectation à des fins non rentables permettrait de contourner l'immobilisation du patrimoine à des fins d'avantage personnel. Mais cette possibilité est aussi empêchée par le projet. Une réorientation du patrimoine de l'entreprise vers un but non lucratif à l'avantage personnel des associés serait qualifiée de distribution dissimulée de bénéfices au regard de l'impôt sur les sociétés et serait constatée comme telle par les autorités fiscales, à l'instar de l'avoir corporel (?) en droit de l'impôt sur le revenu. Étant donné que les distributions de bénéfices non seulement ouvertes mais aussi dissimulées sont interdites par le droit civil et qu'elles entraînent une obligation de remboursement/d'indemnisation à l'égard de la société, les cas de contournement de l'affectation du patrimoine par ce type d'objectifs sont aussi passibles de sanctions. En ce qui concerne la possibilité pour les fondations d'utilité publique d'agir en tant que propriétaires responsables aux côtés de personnes physiques, nous estimons que le risque d'une mainmise sur les bénéfices et les biens par "des montages juridiques habiles" n'est pas très élevé, mais nous reprenons très volontiers ce point afin d'améliorer encore le projet à cet égard si nécessaire. Enfin, il est aussi possible de répondre à la préoccupation selon laquelle il serait possible, avec une dotation en capital minimale et un autre financement "par le biais de prêts, de cessions d'usage et de participations tacites", d' "aspirer" les benefices dans une Sarl en propriété de responsabilité.

Die Autoren stellen richtigerweise fest, dass eine Ausschüttung von Gewinnen an die Verantwortungseigentümer*innen ausgeschlossen wird, um dann festzustellen, dass das Unternehmen dennoch "versilbert", also verkauft werden kann. Auch das ist richtig. Denn unternehmerisch und ordnungspolitisch wäre es unverantwortlich, Unternehmen unverkäuflich zu machen. Denn es sollte im Sinne aller Stakeholder (Mitarbeiter, Kunden, Lieferanten, Gläubiger, etc.) die Möglichkeit gegeben sein, ein Unternehmen, das aufgrund verschiedener Umstände betriebswirtschaftlich nur sehr unwahrscheinlich selbstständig überleben kann, zu verkaufen. Zum Beispiel, um es in einem anderen Unternehmen aufgehen zu lassen, Synergien oder andere Vorteile zu realisieren und Arbeitsplätze zu erhalten, etc. Die Möglichkeit des Verkaufes ist also als Option einer verantwortungsvollen Eigentümerschaft gerade im Sinne des Entwurfes und kein Widerspruch, solange der Verkaufserlös nicht an die Gesellschafter ausgeschüttet wird. Nicht der Verkauf per se soll ausgeschlossen werden, sondern die Motivation, es zum persönlichen Vorteil zu verkaufen. Dies ist auch der Fall. Dennoch legen die Autoren dar, dass durch eine Zweckänderung auf unprofitable Zwecke die Vermögensbindung zum persönlichen Vorteil umgangen werden könnte. Aber auch diese Möglichkeit wird von dem Entwurf verhindert. Eine Umlenkung des Unternehmensvermögens auf einen unprofitablen Zweck zum persönlichen Vorteil von Gesellschaftern würde körperschaftsteuerrechtlich als verdeckte Gewinnausschüttung qualifiziert und von den Finanzbehörden als solche festgestellt - analog der Liebhaberei im Einkommensteuerrecht. Da für die VE-GmbH zivilrechtlich nicht nur offene, sondern auch verdeckte Gewinnausschüttungen verboten sind und zur Erstattungspflicht/Schadensersatzpflicht gegenüber der Gesellschaft führen, sind auch Fälle einer Umgehung der Vermögensbindung durch so geartete Zwecke sanktionsbewehrt. Hinsichtlich der Möglichkeit von gemeinnützigen Stiftungen neben natürlichen Personen als Verantwortungseigentümerinnen fungieren zu können, schätzen wir die Gefahr eines Gewinn- und Vermögenszugriffs durch "geschickte juristische Gestaltungen" nicht sehr hoch ein, nehmen diesen Punkt aber sehr gerne auf, um den Entwurf auch in dieser Hinsicht, wenn nötig, noch einmal nachzubessern. Schließlich kann auch die Sorge entkräftet werden, dass die Möglichkeit bestünde, bei minimaler Kapitalausstattung und übriger Finanzierung "über Darlehen, Nutzungsüberlassungen und stille Beteiligungen" die Erträge in einer VE-GmbH abzusaugen.

En effet, d'une part, les participations de droit des obligations ne sont autorisées que dans la mesure où elles ne contredisent pas l'interdiction des contrats d'entreprise. D'autre part, ces financements et d'autres financements par dette ne peuvent être effectués qu'aux conditions du marché, comme le constatent les auteurs eux-mêmes. Mais parler d' "aspiration" dans la situation décrite par les auteurs passe complètement à côté de l'affaire. Dans un tel cas, les conditions habituelles du marché ne sont rien d'autre que les coûts du capital habituels du marché, qui doivent bien entendu aussi être générés par une Sàrl en PR.

Denn zum einen sind schuldrechtliche Beteiligungen nur erlaubt, soweit sie dem Verbot von Unternehmensverträgen nicht widersprechen. Zum anderen können diese und andere schuldrechtliche Finanzierungen nur zu marktüblichen Konditionen vorgenommen werden, wie die Autoren selbst feststellen. In der von den Autoren beschriebene Situation von einem "Absaugen" zu sprechen, führt an der Sache aber völlig vorbei. Die marktüblichen Konditionen sind in einem solchen Fall nichts anderes als marktübliche Kapitalkosten, die selbstverständlich auch von einer VE-GmbH erwirtschaftet werden müssen.

2.2 Gouvernance déficiente

2.2 Mangelhafte Governance

Critique

Kritik

Les critiques relatives à une gouvernance déficiente portent principalement sur la décision d'opter, dans le projet, pour une technique de réglementation fondée sur des principes. "Elle ne précise pas pourquoi un tel 'autocontrole' devrait fonctionner dans la pratique". Ce n'est pas précaire, du moins dans le cas d'un gérant associé unique, ce qui est d'ores et déjà certain pour la SARL de droit commun.

Die Kritik hinsichtlich einer mangelhaften Governance bezieht sich hauptsächlich auf die Entscheidung, im Entwurf den Weg einer prinzipiengeleiteten Regelungstechnik einzuschlagen. "Weshalb eine solche 'Selbstkontrolle' in der Praxis funktionieren soll, lässt sie offen". Dies sei zumindest, soviel stehe für die VE-GmbH schon jetzt fest, im Falle eines alleinigen Gesellschafter-Geschäftsführers "prekär".

Réfutation

Widerlegung

La liste des principes selon lesquels la gouvernance doit être organisée conformément au projet a été élaborée au cours de discussions intensives avec des juristes et des entrepreneurs et constitue une première base suffisante. Le fait de "laisser certains aspects ouverts", comme par exemple la fréquence et les destinataires des rapports réguliers sur le respect du lien patrimonial, assortis de sanctions, ou la mise en place d'une instance concrète habilitée à informer et à intenter une action en justice, a une raison pratique et ne contredit en rien un manque de rigueur. L'expérience montre que les cas de figure dans lesquels une entreprise est créée ou transférée en tant que SARL en PR peuvent être très variés. Une réglementation trop uniforme serait ici contre-productive. Il est plus judicieux de laisser la concrétisation et la détermination aux principes de la liberté de conception des personnes responsables.

Der Katalog der Prinzipien, nach denen dem Entwurf folgend die Governance gestaltet werden muss, ist in intensiven Gesprächen mit Juristen und Unternehmer*innen entwickelt worden und als eine erste Grundlage soweit ausreichend. Das "Offenlassen" einiger Aspekte, wie zum Beispiel wie oft und wem gegenüber regelmäßig über die Einhaltung der Vermögensbindung sanktionsbewehrt berichtet werden muss oder die Einsetzung einer konkreten informations- und klageberechtigten Instanz, hat einen praktischen Grund und widerspricht in keiner Weise einem Mangel an Sorgfältigkeit. Die Konstellationen, in denen ein Unternehmen als VE-GmbH gegründet oder in diese überführt wird, können erfahrungsgemäß sehr vielfältig sein. Eine zu einheitliche Regelung wäre hier kontraproduktiv. Vielmehr macht es Sinn, die Konkretisierung und Festlegung den Prinzipien folgend der Gestaltungsfreiheit der verantwortlichen Personen zu überlassen.

Celles-ci ne manqueront pas de prendre soin de mettre en place une garantie d'immobilisation du patrimoine la plus optimale et la plus adaptée possible pour leur entreprise. En effet, il s'agit là de l'une de leurs principales préoccupations dans le cadre de leur décision de créer une SàRL en PR. Néanmoins, ils sont bien entendu disposés à procéder à d'éventuelles améliorations dans ce contexte, pour autant qu'elles se situent dans un juste équilibre entre les exigences réglementaires et la flexibilité nécessaire.

Diese werden nicht an Sorgfältigkeit vermissen lassen, eine möglichst optimale und passgenaue Absicherung der Vermögensbindung für ihr Unternehmen einzurichten. Denn dies wird im Rahmen ihrer Grundentscheidung für eine VE-GmbH eines ihrer wichtigsten Anliegen sein. Dennoch besteht auch in diesem Zusammenhang selbstverständlich die Bereitschaft, eventuelle Nachbesserungen vorzunehmen, solange diese sich in einer angemessenen Balance zwischen Regelungsvorgabe und nötiger Flexibilität bewegen.

2.3 Objections liées à la systématique juridique

2.3 Rechtssystematische Einwände

Critique

Kritik

Les objections relatives à la systématique juridique concernent l'opinion selon laquelle la VE-GmbH "modifierait fondamentalement et pour le pire le système du droit allemand des sociétés, des successions et des fondations" sur au moins deux points centraux : (1) la VE-GmbH "permettrait de lier le patrimoine à une personne potentiellement immortelle au-delà de sa propre mort et de toutes les générations". (2) Malgré son "imitation délibérée de la fondation", le projet omet de soumettre la gouvernance à un contrôle juridique par les autorités publiques, comme c'est le cas pour cette dernière.

Die rechtsystematischen Einwände betreffen die Meinung, dass die VE-GmbH "das System des deutschen Gesellschafts-, Erb- und Stiftungsrecht in mindestens zwei zentralen Punkten fundamental und zum Schlechteren verändern" würde: (1) die VE-GmbH würde es "ermöglichen, Vermögen über den eigenen Tod hinaus und alle Generationen hinweg in einer potentiell unsterblichen Person zu binden". (2) Der Entwurf unterlasse es trotz seiner "bewussten Imitation der Stiftung" ähnlich wie bei dieser die Governance "einer Rechtsaufsicht durch staatliche Stellen zu unterwerfen".

Réfutation

Widerlegung

Concernant (1) : l'immortalité potentielle de la personne ne peut évidemment pas être l'argument contre la SARL en PR, car elle s'applique à toute SARL. La critique ne peut donc porter que sur le lien patrimonial au sein du droit de la SARL. Mais cela est déjà possible aujourd'hui par des dispositions correspondantes dans le contrat de société. L'immobilisation du patrimoine en tant que telle ne peut donc pas non plus faire l'objet de la critique. C'est plutôt le caractère inaliénable de l'engagement patrimonial qui peut être le seul objet de la critique. En effet, le droit des sociétés est régi par le principe de la modifiabilité des statuts, les clauses d'éternité sont interdites. Premièrement, il convient de noter que seule l'affectation du patrimoine doit être obligatoire, le principe de la modifiabilité des statuts, y compris l'objet, étant pleinement respecté. Deuxièmement, la dissolution de l'entreprise par décision des associés actuels est également possible. La seule chose qui n'est pas possible dans ce cas non plus, c'est l'appropriation personnelle des actifs par les associés qui décident de la dissolution, au-delà de l'apport et des éventuels droits basés sur la rémunération. Le patrimoine restant peut être affecté à une autre SARL en PR ou à un usage non lucratif. On ne peut donc pas parler d'une "disposition/détermination étrangère par une personne décédée depuis longtemps". Aucun associé ne peut être contraint d'intégrer une SARL en PR, que ce soit dans le cadre de la création/transformation ou de la succession. Rien ne contraint à la perpétuation du patrimoine de l'entreprise. Le principe d'autodétermination n'est pas levé.

Zu (1): Die potentielle Unsterblichkeit der Person kann natürlich nicht das Argument gegen die VE-GmbH sein, denn diese gilt für jede GmbH. Also kann sich die Kritik nur auf die Vermögensbindung innerhalb des GmbH-Rechts beziehen. Diese ist aber auch heute schon durch entsprechende Regelungen im Gesellschaftsvertrag möglich. Also kann auch die Vermögensbindung als solche nicht der Gegenstand der Kritik sein. Vielmehr ist es die Unabdingbarkeit der Vermögensbindung, die allein der Kern der Kritik sein kann. Denn für das Gesellschaftsrecht gilt der Grundsatz der Abänderbarkeit der Satzung, Ewigkeitsklauseln sind unzulässig. Erstens ist hier festzuhalten, dass allein die Vermögensbindung zwingend sein soll, ansonsten also dem Grundsatz der Abänderbarkeit der Satzung, inklusive der Zwecksetzung, voll Rechnung getragen wird. Zweitens, dass ebenfalls die Auflösung des Unternehmens durch Beschluss der aktuellen Gesellschafter möglich ist. Das Einzige was auch in diesen Fällen nicht möglich ist, ist die persönliche Vereinnahmung des Vermögens über die Einlage und mögliche vergütungs-basierte Ansprüche hinaus durch die die Auflösung beschließenden Gesellschafter. Das verbleibende Vermögen kann einer anderen VE-GmbH oder einem gemeinnützigen Gebrauch zugeführt werden. Von einer "Fremdbestimmung durch einen womöglich längst Verstorbenen" kann also nicht gesprochen werden. Kein Gesellschafter kann in eine VE-GmbH gezwungen werden, weder im Rahmen der Gründung/Umwandlung noch der Nachfolge. Nichts zwingt zu einer Perpetuierung des Unternehmensvermögens. Das Prinzip der Selbstbestimmung ist nicht aufgehoben.

Il est toutefois exact que la variante de la forme juridique permet une immobilisation du patrimoine qui, en l'état actuel du droit, n'est pas possible de manière permanente dans le droit des Sàrl. C'est précisément pour rendre cela possible que le législateur est sollicité. Celui-ci procède régulièrement à des réformes importantes afin de s'adapter à un monde en constante évolution. Même l'UG (société d'entrepreneurs), qui s'écarte des principes établis du droit classique de la GmbH et qui a fait l'objet de vives critiques, a été introduite en fonction des besoins de la pratique et a connu un grand succès. Néanmoins, pour répondre aux préoccupations à cet égard, une toute nouvelle forme juridique pourrait être créée.

Richtig ist allerdings, dass die Rechtsformvariante eine Vermögensbindung erlaubt, die nach derzeitiger Rechtslage im GmbH-Recht nicht dauerhaft möglich ist. Gerade um dies zu ermöglichen, ist der Gesetzgeber gefordert. Dieser nimmt immer wieder erhebliche Reformen vor, um einer sich stetig verändernden Welt gerecht zu werden. Auch die UG, die von etablierten Prinzipien des klassischen GmbH-Rechts abweicht und scharfer Kritik ausgesetzt war, wurde vor dem Hintergrund von Bedürfnissen der Praxis eingeführt und ist ein großer Erfolg geworden. Dennoch - um diesbezüglichen Bedenken entgegenzukommen - könnte auch eine ganz neue Rechtsform geschaffen werden.

Concernant le point (2) : la proposition n'est pas une "imitation délibérée de la fondation". Il s'agit d'une différenciation délibérée par rapport à la fondation. Tout d'abord, on peut répéter, comme pour le point (1), que l'affectation du patrimoine en tant que telle s'inscrit parfaitement dans le cadre de ce qui est déjà possible dans une Sàrl, même si ce n'est que par dérogation, et n'est pas étranger à la Sàrl. Il devrait aussi être clair qu'il existe une différence systématique entre le fait de lier un patrimoine, par le biais de la société, à un objectif d'entreprise toujours modifiable et lié à la réalisation de bénéfices, et le fait de le lier à des objectifs de fondations privées ou d'utilité publique, qui se distinguent à de nombreux égards des objectifs d'entreprise liés aux marchés concurrentiels et se réalisant dans le cadre d'un échange réciproque de prestations entre l'entreprise et ses clients. De même, la logique bivalente propre à la fondation à savoir la "conservation" - dans la mesure où elle dépasse le capital social d'une société à responsabilité limitée en propriété de responsabilité- et la "consommation", ne s'applique pas aux actifs des entreprises. Une affectation correspondante des actifs à la conservation ou à la consommation n'a aucun sens pour les actifs des entreprises qui, par nature, évoluent de manière dynamique dans la poursuite des objectifs de l'entreprise. Le patrimoine d'une fondation est différent de celui d'une entreprise. Le point commun abstrait dans la relation conceptuelle entre patrimoine et objectif ne doit pas faire illusion. Du point de vue de l'entreprise, la fondation n'est pas une forme de société, mais une forme d'association qui, si elle doit servir à la mise en œuvre de la propriété de responsabilité, entraîne, outre une complexité et des frais nécessairement plus élevés, le risque d'une distanciation entre la personne physique et l'entreprise, entre l'entrepreneur et l'entreprise.

Zu (2): Der Vorschlag ist keine "bewusste Imitation der Stiftung". Er ist eine bewusste Differenzierung von der Stiftung. Zunächst kann wiederholt wie zu (1) festgehalten werden, dass sich die Vermögensbindung als solche völlig innerhalb des Rahmens bewegt, was in einer GmbH schon jetzt, wenn auch nur abdingbar, möglich und nichts der GmbH Fremdes ist. Auch sollte klar sein, dass es einen systematischen Unterschied macht, ob ein Vermögen über die Gesellschaft an einen stets änderbaren und mit Gewinnerzielungsabsicht verbundenen Unternehmenszweck gebunden ist, oder aber an privat- oder gemeinnützige Stiftungszwecke, die sich in vielerlei Hinsicht von auf Wettbewerbsmärkte bezogenen und sich in gegenseitigem Leistungsaustausch zwischen Unternehmen und Kunden realisierenden Unternehmenszwecken unterscheiden. Ebenfalls passt die der Stiftung eigentümliche zweiwertige Logik von "Erhalt" - soweit sie über das Grundkapital einer VE-GmbH hinausgeht - und "Verbrauch" nicht zu Unternehmensvermögen. Eine entsprechende Vermögenszuordnung zu "Erhalt" oder "Verbrauch" macht für naturgemäß sich in der Verfolgung der Unternehmenszwecke dynamisch entwickelnde Unternehmensvermögen keinen Sinn. Ein Stiftungsvermögen ist etwas anderes als ein Unternehmensvermögen. Darüber darf die abstrakte Gemeinsamkeit in der begrifflichen Relation von Vermögen und Zweck nicht hinwegtäuschen. Die Stiftung ist aus unternehmerischer Sicht keine Gesellschaftsform, sondern eine Gesellschafterform, die, soll sie zur Umsetzung von Verantwortungseigentum dienen, neben notwendig höherer Komplexität und Aufwand auch die Gefahr einer Distanzierung zwischen natürlicher Person und Unternehmen, zwischen Unternehmer und Unternehmen mit sich führt.

Quant à la critique concernant l'omission de soumettre la SARL en PR à une surveillance étatique, par analogie avec le droit des fondations, elle n'est pas non plus défendable. Même pour les fondations, la compétence de la surveillance étatique des fondations trouve sa justification dans la perpétuation de l'objet de la fondation et sa réalisation et n'est donc compétente que pour les fondations dotées de la capacité juridique. Les fondations sans capacité juridique, qui peuvent modifier leurs objectifs, ne sont pas soumises à une telle surveillance. Il n'y a pas non plus de pérennisation des objectifs dans le cas de la SARL en PR. Premièrement, ceux-ci peuvent toujours être modifiés par les associés actuels. Deuxièmement, la société peut être dissoute, également sur décision des associés actuels. Même si l'on voulait formuler l'intention de réaliser des bénéfices comme un objectif abstrait, on ne pourrait pas parler d'une volonté de perpétuation. Il en va de même pour l'affectation du patrimoine à la société, qui prend également fin avec la dissolution de la société. Le fait que le patrimoine ne puisse alors pas non plus être perçu personnellement par les associés décidant de la dissolution, au-delà de l'apport et d'éventuels droits basés sur la rémunération, mais qu'il doive être affecté à une autre Sàrl en PR ou à une utilisation d'utilité publique, est une toute autre question et n'a rien à voir avec la mission d'une surveillance étatique des fondations. Dans ce contexte, il semble non seulement possible, mais aussi conseillé, qu'une nouvelle forme juridique de propriété de responsabilité soit mise en œuvre dans le droit des sociétés et non dans le droit des fondations. Là encore, il ne s'agit pas d'une anomalie du système.

Was die Kritik an der Unterlassung, die VE-GmbH analog zum Stiftungsrecht einer staatlichen Aufsicht zu unterstellen, angeht, so ist auch diese nicht haltbar. Selbst für Stiftungen gilt, dass die Zuständigkeit der staatlichen Stiftungsaufsicht ihre Begründung in der Verewigung des Stiftungszweckes und dessen Erfüllung findet und deshalb auch nur für rechtsfähige Stiftungen zuständig ist. Nicht-rechtsfähige Stiftungen, die ihre Zwecke ändern können, unterstehen einer solchen Aufsicht nicht. Auch bei der VE-GmbH besteht keine Verewigung von Zwecken. Erstens können diese von den aktuellen Gesellschaftern stets abgeändert werden. Zweitens kann die Gesellschaft, ebenfalls auf Beschluss der aktuellen Gesellschafter, aufgelöst werden. Also selbst wenn man die stets anzusetzende Gewinnerzielungsabsicht als abstrakten Zweck formulieren wollen würde, könnte man nicht von einem Verewigungswillen sprechen. Das gleiche gilt für die Vermögensbindung an die Gesellschaft, die ebenfalls mit der Auflösung der Gesellschaft endet. Dass das Vermögen auch dann nicht von den die Auflösung beschließenden Gesellschaftern über die Einlage und mögliche vergütungs-basierte Ansprüche hinaus persönlich vereinnahmt werden darf, sondern einer anderen VE-GmbH oder einer gemeinnützigen Nutzung zugeführt werden muss, ist eine völlig andere Frage und hat mit der Aufgabe einer staatlichen Stiftungsaufsicht nichts zu tun. Vor diesem Hintergrund scheint es nicht nur möglich, sondern ratsam, dass eine neue Rechtsform für Verantwortungseigentum im Gesellschaftsrecht und nicht im Stiftungsrecht umgesetzt wird. Auch darin ist also alles andere als eine Systemwidrigkeit zu sehen.

2.4 Privilège fiscal et justice distributive

2.4 Steuerliche Bevorzugung und Verteilungsgerechtigkeit

Critique

Kritik

Les auteurs constatent qu'il est exact "qu'aucun nouveau régime fiscal préférentiel" n'est prévu. Ils critiquent néanmoins le fait que le projet apporterait un "avantage concurrentiel sur le plan fiscal", puisqu'il profiterait "de la faible imposition des bénéfices thésaurisés', qui serait compensée, dans une société de capitaux normale, par l'imposition ultérieure des bénéfices distribués au niveau des associés. Plus grave pèse encore "que les bénéfices générés dans une SARL à capital variable et qui y sont immobilisés à long terme échapperaient à l'impôt sur les successions et les donations". "Certes", constatent les auteurs, "des droits de succession sont dus en cas de transmission ou d'héritage par donation de parts d'une SàRL en PR. Mais il ne s'applique qu'à la valeur de l'apport initial, car les propriétaires responsables n'ont pas accès au patrimoine lié en vertu du droit des sociétés. Alors que dans le cas d'une fondation de famille, ces avantages fiscaux sont compensés par un impôt de substitution sur les successions qui revient tous les 30 ans, il n'existe pas de réglementation correspondante pour la SARL en PR". Ce qui aurait pour conséquence "que des valeurs patrimoniales considérables peuvent être accumulées sur de longues périodes sans être imposées". Enfin, les auteurs font remarquer "qu'il est douteux que le législateur soit bien avisé d'introduire une telle forme juridique, compte tenu du débat sur la justice distributive".

Die Autoren stellen fest, dass es zutreffend ist, "dass keine neuen steuerlichen Begünstigungen" vorgesehen sind. Dennoch aber kritisieren sie, dass der Entwurf einen "steuerlichen Wettbewerbsvorteil" mit sich bringen würde, da "von der niedrigen Besteuerung thesaurierter Gewinne' profitiert würde, "die bei einer normalen Kapitalgesellschaft durch die Nachbelastung ausgeschütteter Gewinne auf der Ebene der Gesellschafter ausgeglichen" würde. Noch schwerer wiege, "dass die in einer VE-GmbH erwirtschafteten und dort auf Dauer gebundenen Gewinne der Erbschaft- und Schenkungsteuer entzogen" würden. "Zwar", so stellen die Autoren fest, "fällt bei einer schenkweisen Übertragung oder Vererbung von Anteilen an einer VE-GmbH Erbschaftssteuer an. Sie bemisst sich aber nur am Wert der ursprünglichen Einlage, weil die Verantwortungseigentümer*innen keinen gesellschaftsrechtlichen Zugriff auf das gebundene Vermögen haben. Während bei einer Familienstiftung solche Steuervorteile durch eine alle 30 Jahre wiederkehrende Erbersatzsteuer kompensiert werden, fehlt eine entsprechende Regelung für die VE-GmbH." Das habe das zur Folge, "dass hier über lange Zeiträume erhebliche Vermögenswerte steuerfrei angesammelt werden können". Schließlich geben die Autoren zu bedenken: "Ob der Gesetzgeber angesichts der Diskussion über Verteilungsgerechtigkeit gut beraten wäre, eine solche Rechtsform einzuführen, erscheint zweifelhaft."

Réfutation

Widerlegung

On ne peut en aucun cas parler "d'avantage concurrentiel fiscal". En effet, chaque société de capitaux profite de la faible imposition des bénéfices thésaurisés. Et aucune société de capitaux n'est obligée de distribuer des bénéfices. Il n'y a donc pas d'avantage concurrentiel. La faible imposition est une incitation à renforcer la base de fonds propres des sociétés de capitaux. En revanche, l'imposition des bénéfices distribués est un impôt sur le revenu des associés, précisément dans le cas où les bénéfices sont distribués aux associéset non pas une compensation en aval de la faible imposition des sociétés de capitaux. Les critiques concernant l'impôt sur les successions et les donations et la comparaison avec la fondation de famille sont également inexactes. En effet, contrairement à une fondation de famille qui peut vendre les parts qu'elle détient et distribuer le produit de la vente aux destinataires familiaux par le biais de la fondation, cela n'est précisément pas possible pour une Sàrl en PR. L'impôt sur les successions repose uniquement sur cette possibilité de distribution du patrimoine à la famille. Les fondations d'utilité privée, dans lesquelles cela n'est pas possible, ne doivent en revanche pas payer d'impôt sur les successions et peuvent tout aussi bien accumuler des actifs sans payer d'impôt sur les successions/donations. On ne voit pas pourquoi cela poserait problème dans le cadre d'une Sàrl enPR. La référence à une éventuelle aggravation de l'injustice de la répartition par l'introduction d'une SàRL en PR est également dénuée de toute justification objective. Si c'est le cas, c'est le contraire qui est vrai. Premièrement, il est beaucoup plus probable qu'en excluant l'accès aux bénéfices et au patrimoine en vertu du droit des sociétés, la participation au succès de l'entreprise repose sur une contrepartie et répond donc à l'exigence de l'équité des prestations. Deuxièmement, les bénéfices qui doivent toujours être capitalisés peuvent potentiellement être utilisés pour une rémunération plus élevée des salariés, justifiable au regard de la capacité de financement de l'entreprise, et contribuer ainsi à une plus grande équité de répartition. Contrairement à ce que les auteurs veulent faire croire, l'immobilisation du patrimoine n'a pas pour but une "pure thésaurisation". Il ne s'agit pas de "perpétuer le patrimoine", mais de renforcer et de pérenniser les entreprises indépendantes dans la poursuite de leurs objectifs respectifs sur des marchés concurrentiels hautement compétitifs et poussant au développement et à l'innovation, ainsi que leur fonction de bien-être social, essentielle pour une société libérale.

Von einem "steuerlichen Wettbewerbsvorteil" kann in keiner Weise gesprochen werden. Denn jede Kapitalgesellschaft profitiert von der niedrigen Besteuerung thesaurierter Gewinne. Und keine Kapitalgesellschaft ist dazu gezwungen Gewinne auszuschütten. Ein Wettbewerbsvorteil besteht mitnichten. Die niedrige Besteuerung ist ein Anreiz zur Stärkung der Eigenkapitalbasis von Kapitalgesellschaften. Die Besteuerung ausgeschütteter Gewinne hingegen ist eine Ertragssteuer auf das Einkommen der Gesellschafter - eben in dem Fall, dass Gewinne an Gesellschafterausgeschüttet werden - und keine nachgelagerte Kompensation der niedrigen Besteuerung von Kapitalgesellschaften. Auch die Kritik hinsichtlich der Erbschaft- und Schenkungsteuer und der Vergleich zur Familienstiftung ist unrichtig. Denn anders als bei einer Familienstiftung, welche die von ihr gehaltenen Anteile verkaufen und den Verkaufserlös über die Stiftung an die familiären Destinatäre ausschütten kann, ist dies bei einer VE-GmbH genau nicht möglich. Auf dieser Möglichkeit einer Ausschüttung des Vermögens an die Familie allein beruht die Erbersatzsteuer. Privatnützige Stiftungen, in denen dies nicht möglich ist, müssen hingegen keine Erbersatzsteuer zahlen und können genauso Vermögenswerte erbschaft-/schenkungsteuerfrei ansammeln. Wieso dies nun im Rahmen einer VE-GmbH ein Problem sein sollte ist nicht ersichtlich. Der Hinweis auf eine mögliche Verschärfung einer Verteilungsungerechtigkeit durch Einführung einer VE-GmbH entbehrt ebenfalls jeder sachlichen Begründung. Wenn, dann trifft das Gegenteil zu. Erstens ist es viel eher der Fall, dass durch den Ausschluss des gesellschaftsrechtlichen Zugriffs auf Gewinne und Vermögen, die Partizipation am Erfolg des Unternehmens auf einer Gegenleistung beruht, also dem Anspruch der Leistungsgerechtigkeit entspricht. Zweitens können die stets zu thesaurierenden Gewinne potentiell auch für eine im Hinblick auf die Finanzierungskraft des Unternehmens vertretbare höhere Entlohnung von Mitarbeitern genutzt werden und so zu einer größeren Verteilungsgerechtigkeit beitragen. Die Vermögensbindung hat, anders als die Autoren es suggerieren wollen, nicht den Zweck einer "bloßen Thesaurierung". Es geht nicht um die "Perpetuierung von Vermögen", sondern um die Stärkung und Zukunftsfähigkeit selbständiger Unternehmen in Verfolgung ihrer jeweiligen Zwecke in hochkompetitiven und zur Weiterentwicklung und Innovation drängenden Wettbewerbsmärkten und ihrer darin liegenden und für eine freiheitliche Gesellschaft essentiellen sozialen Wohlstandsfunktion.

2.5 Possibilité de financement insuffisante

2.5 Ungenügende Finanzierungsmöglichkeit

Critique

Kritik

La critique concernant le financement porte à nouveau sur l'exclusion des droits patrimoniaux et des droits aux bénéfices prévus par le droit des sociétés. Les auteurs tentent d'illustrer ce point par l'exemple des start-ups, "car l'interdiction de distribuer des bénéfices empêche la participation de business angels et d'investisseurs financiers habituellement orientés vers le profit". Mais "les parts sociales d'une SARL en PR ne peuvent pas non plus servir de garantie pour un financement externe".

Die Kritik hinsichtlich der Finanzierung richtet sich erneut auf den Ausschluss von gesellschaftsrechtlichen Gewinn- und Vermögensrechten. Plastisch versuchen die Autoren dies am Beispiel von Start-Ups deutlich zu machen, "weil ein Gewinnausschüttungsverbot die Beteiligung von üblicherweise gewinnorientierten Business-Angels und Finanzinvestoren vereitelt". Aber "auch als Sicherheit für Fremdfinanzierung scheiden Geschäftsanteile einer VE-GmbH aus".

Réfutation

Widerlegung

Ceux qui, comme les auteurs, argumentent de la sorte, méconnaissent tout d'abord le fait qu'aujourd'hui déjà, une partie non négligeable des financements de start-up, notamment dans les phases précoces ("business angels"), n'est pas effectuée par le biais d'instruments relevant du droit des sociétés, mais du droit des obligations, remplaçant les fonds propres et bien entendu orientés vers le profit. Cela est aussi possible dans le cadre d'une propriété de responsabilité. Les fondateurs qui optent pour la propriété de responsabilité n'ont de toute façon aucun intérêt pour les structures de participation classiques des investisseurs financiers. En ce qui concerne le financement par des tiers, les auteurs ne tiennent pas compte du fait que les parts d'une Sàrl en PR servent bel et bien de garantie, même si c'est de manière plus indirecte. En effet, les créanciers peuvent être sûrs, en raison de l'obligation de participation aux bénéfices et aux actifs, que les revenus profiteront à la stabilité financière de l'entreprise. Les prêts liés à une obligation de thésaurisation, qui est en effet donnée dès le départ par la qualité de droit des sociétés des parts d'une société en propriété de responsabilité , ne sont pas une inconnue. Et cela ne vaut pas seulement pour les entreprises établies, mais aussi pour les start-up.

Wer, wie die Autoren, so argumentiert, der verkennt erstens, dass schon heute ein nicht unerheblicher Teil der Start-Up-Finanzierungen, gerade auch in Frühphasen ("Business Angels"), nicht über gesellschaftsrechtliche, sondern schuldrechtliche, eigenkapitalersetzende und selbstverständlich gewinnorientierte Instrumente vorgenommen wird. Das ist auch in Verantwortungseigentum möglich. An den klassischen Beteiligungsstrukturen von Finanzinvestoren haben Gründer, die sich für Verantwortungseigentum entscheiden, ohnehin kein Interesse. Hinsichtlich der Fremdfinanzierung wird von den Autoren verkannt, dass Anteile einer VE-GmbH sehr wohl, wenn auch indirekter, als Sicherheit dienen. Denn die Gläubiger können sich aufgrund der Gewinn- und Vermögensbindung sicher sein, dass Erträge der Finanzierungsstabilität des Unternehmens zugutekommen. Darlehen, die an einen Thesaurierungs-Zwang gebunden sind, der ja durch die gesellschaftsrechtliche Qualität der Anteile einer VE-GmbH von vornherein gegeben ist, sind keine Unbekanntheit. Und das gilt nicht nur für etablierte Unternehmen, sondern auch für Start-Ups.

En outre, même dans le cas d'une propriété de responsabilité, il reste possible d'offrir aux créanciers une sécurité suffisante par le biais d'une éventuelle vente d'actifs ou d'une liquidation.

Außerdem bleibt auch in Verantwortungseigentum die Möglichkeit, Gläubigern über etwaigen Asset- oder Auf lösungs-Verkauf genügend Sicherheit zu geben.

2.6 Pas de besoin d'une nouvelle forme juridique

2.6 Kein Bedarf nach einer neuen Rechtsform

Critique

Kritik

Les auteurs écrivent que le besoin d'une nouvelle forme juridique est une simple affirmation. D'autant plus "qu'avec la fondation de droit civil dotée de la capacité juridique, il existe déjà aujourd'hui un instrument permettant de créer une 'propriété de responsabilité'".

Die Autoren schreiben, dass das Bedürfnis nach einer neuen Rechtsform eine schlichte Behauptung sei. Dieses umso mehr, da "mit der rechtsfähigen Stiftung des bürgerlichen Rechts schon heute ein Instrument für die Schaffung von 'Verantwortungseigentum' besteht".

Réfutation

Widerlegung

L'affirmation selon laquelle le besoin d'une nouvelle forme juridique est une simple affirmation n'est pas une critique juridique de l'Sàrl en PR, ni même une véritable critique. Il s'agit plutôt d'une simple affirmation qui ignore et veut nier le besoin réel des entrepreneurs. Ce besoin n'est pas non plus relativisé par le fait qu'il existe déjà aujourd'hui des possibilités légales de mise en œuvre de la propriété de responsabilité, mais qu'elles sont complexes, coûteuses et prohibitives, du moins pour les petites et moyennes entreprises. En se référant à cette possibilité, qui non seulement existe mais est aussi utilisée par les grandes entreprises, le besoin est plutôt mis en évidence que relativisé. En effet, les entreprises qui utilisent les possibilités existantes, parfois depuis des générations, et qui opèrent toutes avec succès sur le marché, montrent sans équivoque que la propriété de responsabilité est tout sauf une "conception étrange de l'entrepreneuriat privé" ou une "utopie", et qu'elle serait donc éloignée de la réalité de l'économie de marché libérale et peu attrayante pour les entreprises. Au contraire. La longue expérience des possibilités juridiques existantes prouve empiriquement non seulement l'attrait entrepreneurial et le besoin de la propriété de responsabilité, qui est mise en œuvre malgré l'énorme effort, mais aussi le besoin empiriquement fondé d'une nouvelle forme juridique qui permette de mettre en œuvre plus facilement la propriété de responsabilité à l'avenir. Une évaluation quantitative de ce besoin et de ce potentiel est présentée de manière compréhensible dans le document politique "Situation des besoins en matière de propriété de responsabilité" de la fondation "Propriété de responsabilité".

Die Aussage, dass das Bedürfnis nach einer neuen Rechtsform eine schlichte Behauptung sei, ist weder eine juristische Kritik an der VE-GmbH noch überhaupt eine wirkliche Kritik. Sie ist viel eher selbst eine schlichte Behauptung, die bewusst das tatsächlich bestehende Bedürfnis von Unternehmer*innen übergeht und negieren will. Das Bedürfnis wird auch dadurch nicht relativiert, dass es auch heute schon rechtliche, aber eben komplexe, aufwändige und zumindest für kleinere und mittlere Unternehmensgrößen prohibitiv teure Möglichkeiten zur Umsetzung von Verantwortungseigentum gibt. Das Bedürfnis wird durch Bezugnahme auf diese Möglichkeit, die nicht nur besteht, sondern von großen Unternehmen auch genutzt wird, denn auch eher verdeutlicht als relativiert. Denn die Unternehmen, welche die bestehenden Möglichkeit teilweise schon über Generationen hinweg nutzen und allesamt erfolgreich am Markt agieren, zeigen unmissverständlich, dass Verantwortungseigentum alles andere als ein "merkwürdiges Verständnis von privatem Unternehmertum" oder eine "Utopie" und damit der Wirklichkeit der freiheitlichen Marktwirtschaft fern und unternehmerisch unattraktiv wäre. Im Gegenteil. Die lange Erfahrung mit den bestehenden rechtlichen Möglichkeiten beweist empirisch ja nicht nur die unternehmerische Attraktivität und das Bedürfnis nach Verantwortungseigentum - es wird trotz des enormen Aufwandes umgesetzt -, sondern auch das im Umgang mit diesen Möglichkeiten entstandene, empirisch fundierte Bedürfnis nach einer neuen Rechtsform, die Verantwortungseigentum in Zukunft einfacher umsetzen lässt. Eine quantitative Einschätzung dieses Bedarfs und Potenzials wird in dem "Policy Paper - Bedarfssituation Verantwortungseigentum" der Stiftung-Verantwortungseigentum nachvollziehbar gegeben.

2.7 Faux espoir dans les possibilités du droit

2.7 Falsche Hoffnung auf die Möglichkeiten des Rechts

Critique

Kritik

Les auteurs sont d'avis que l'exigence d'une nouvelle forme juridique pour la propriété de responsabilité surestime "les possibilités du système juridique d'assurer durablement la survie économique par le choix de la forme juridique".

Die Autoren sind der Meinung, dass die Forderung nach einer neuen Rechtsform für Verantwortungseigentum "die Möglichkeiten der Rechtsordnung, wirtschaftliches Überleben über die Rechtsformwahl dauerhaft zu sichern" überschätzt.

Réfutation

Widerlegung

Là encore, la critique passe à côté de l'essentiel. La demande et le projet d'une nouvelle forme juridique pour la propriété de responsabilité ne proviennent pas d'une surestimation des "possibilités de l'ordre juridique". Au contraire, elle découle d'une part de la prise de conscience des limites des possibilités actuelles et d'autre part de la reconnaissance du fait que de nouvelles options peuvent être créées dans l'ordre juridique, qui permettent de faciliter la survie économique des entreprises indépendantes en propriété de responsabilité, voire de rendre possible la survie de nombreuses entreprises.

Auch hier geht die Kritik an der Sache vorbei. Die Forderung nach und der Entwurf für eine neue Rechtsform für Verantwortungseigentum entspringt nicht einer Überschätzung der "Möglichkeiten der Rechtsordnung". Vielmehr entspringt sie zum einen der Einsicht in die Begrenzung der aktuellen Möglichkeiten und der Einsicht darin, dass in der Rechtsordnung neue Optionen geschaffen werden können, die es erlauben, wirtschaftliches Überleben selbständiger Unternehmen in Verantwortungseigentum einfacher zu machen, vielen Unternehmen dadurch erst zu ermöglichen.

La propriété de responsabilité n'a jamais été, n'est pas et ne sera jamais une "solution" aux incertitudes de l'activité entrepreneuriale, mais elle veut plutôt permettre aux entrepreneurs qui sont prêts et motivés pour faire face à cette incertitude de succéder aux entreprises indépendantes. Et ce, indépendamment de la lignée et de la fortune et sans que les entreprises ne soient contraintes de refinancer leur propre valeur dans le cadre d'une vente (d'un achat). Dans l'intérêt de la pérennité des entreprises et d'une économie sociale de marché durable. La demande et le projet d'une nouvelle forme juridique ne surestiment pas les "possibilités de l'ordre juridique". Il ne sera jamais possible de conditionner de manière fiable un comportement dans un sens déterminé par le droit. Les auteurs semblent plutôt surestimer complètement la force explicative d'une vision de l'homme unilatéralement focalisée sur les intérêts matériels et égoïstes. En revanche, ils sous-estiment massivement, voire ignorent, la réalité de la motivation non financière des personnes qui agissent de manière entrepreneuriale. La propriété de responsabilité est un renforcement de la pérennité de l'entreprise, pas un pacte contre les générations futures.

Verantwortungseigentum war, ist und wird nie eine "Erlösung" von den Unwägbarkeiten unternehmerischen Agierens sein, vielmehr will es Unternehmer*innen, die bereit und motiviert sind, dieser Unbestimmtheit zu begegnen, die Nachfolge in selbstständigen Unternehmen ermöglichen. Und zwar unabhängig von Abstammung und Vermögen und ohne die Unternehmen mit der Refinanzierung ihres eigenen Wertes im Rahmen eines Ver(Kaufes) zu belasten. Im Sinne der Zukunftsfähigkeit von Unternehmen und einer nachhaltigen Sozialen Marktwirtschaft. Die Forderung nach und der Entwurf für eine neue Rechtsform überschätzen nicht die "Möglichkeiten der Rechtsordnung" - niemals wird es möglich sein, Verhalten in einem bestimmten Sinne durch das Recht zuverlässig zu konditionieren. Vielmehr scheinen die Autoren die Erklärungskraft eines einseitig auf materielle, selbstbezügliche Interessen fokussierten Menschenbildes völlig zu überschätzen. Die Wirklichkeit nicht-finanzieller Motivation unternehmerisch agierender Menschen hingegen massiv zu unterschätzen, oder zu ignorieren. Verantwortungseigentum ist eine Stärkung der unternehmerischen Zukunftsfähigkeit, kein Pakt gegen zukünftige Generationen.