Stephan
Eisenhut sur le site du D.N. Dunlop Institut (original allemand)
Vidéo
4 : La question de la liberté
Dans la dernière vidéo, j'ai expliqué comment la pensée
contrôlante, organisant, est devenue toujours plus
puissante et puissante dans la vie sociale du présent.
Et celle-ci s'affirme désormais de manière carrément
dictatoriale. Dans cette vidéo j'aimerais maintenant
aller sur les traces des causes. Il serait important de
remarquer que chacun de nous porte en lui la disposition
au contrôle des autres. Elle peut, dans certaines
situations, venir plus fortement au premier plan et
d'ailleurs lorsque nous voulons obtenir quelque chose
dans la vie extérieure. Ici quelque chose entre en jeu
que j'ai déjà souligné dans la dernière vidéo. Et
d'ailleurs en rapport avec ce graphique, qui décrit
l'interaction entre l'humain supérieur et inférieur.
L'humain supérieur, il vit dans les forces de la
connaissance. L'humain inférieur, il vit dans les forces
à partir desquelles nous agissons dehors. Cela signifie
pouvoir mettre en œuvre quelque chose dans la
vie. Si nous apprenons à mieux comprendre comment
humain supérieur et inférieur travaillent ensemble,
alors nous pouvons travailler à comment les deux peuvent
être amenés en une harmonie correcte.
J'aimerais jeter en premier un coup d'œil sur
comment nous nous plaçons dans le monde en tant
qu'humain connaissant.
Tout d'abord, nous sommes placés dans
l'environnement extérieur par notre corps. Nous
faisons l'expérience de celui-ci par la perception
sensorielle. Mais ce monde sensoriel nous pouvons
seulement l'expérimenter consciemment, parce que nous
apportons ces concepts en vis-à-vis. Cela n'est tout
d'abord pas conscient à l'humain vivant dans la
conscience ordinaire. Les perceptions sensorielles
stimulent cependant en à lui une activité, par laquelle
il se rend conscient des phénomènes particuliers et peut
les rattacher entre eux. Ses images de représentation
sont par cela toujours un résultat de la perception et
du concept.
Rudolf Steiner a éclairé ces pendants en détail dans son
œuvre épistémologique, en particulier dans la
Philosophie de la liberté parue en 1894. L'édition de
1814 porte le sous-titre : "Résultats d'observations
selon la méthode de science de la nature". En 1918, lors
de la nouvelle édition, il complète cela avec "Résultats
d'observation par l'âme selon méthode de science
de la nature". La pensée est une activité de l'âme. Il
vaut de rendre celle-ci consciente par l'observation par
l'âme. Dans notre conscience ordinaire, nous vivons dans
nos images de représentation. Celles-ci sont dans notre
conscience éveillée. D'une certaine manière, nous
veillons dans nos images de représentation. Notre sentir
- là-dessus j'ai déjà indiqué dans les dernières vidéos
- est enflammé par ces images de représentation. Nous
désirons ce que nous vivons dans la représentation ou
nous le déclinons. Ce sont donc des forces de sympathie
et d'antipathie, qui s'allument aux images de
représentation. Mais ces sentiments, nous ne les vivons
pas aussi éveillés que nos images de représentation :
elles déterminent certes notre impression d'âme, mais
nous rêvons dans nos impressions. Maintenant, il y a
encore quelque chose dans notre conscience ordinaire, au
sujet de laquelle nous dormons complètement. C'est
l'activité pensante. Pour cela nous dormons, elles ne
reçoivent pas notre activité avec. Nous avons notre
contenu de pensée dans notre conscience, mais pas notre
activité connaissante elle-même. Et cela vaut aussi pour
le scientifique de la nature, surtout s'il n'aspire pas
à se procurer une conscience critique de sa propre
activité connaissante. Il vit consciemment dans ses
contenus de pensée ; comment il pense, l'ensemble de la
façon et la manière de comment il gère cela, cette
affaire de la pensée, cela il le dort.
Maintenant, les succès de la pensée moderne de
science de la nature reposent sur ce qu'elle vérifie les
connexions qu'elle a produites par des expériences dans
le monde sensoriel. Ce que l'on croit avoir saisi comme
pendant de loi de la nature se laisse-t-il prouver dans
une expérience et une telle expérience peut-elle se
répéter à tout moment, alors un tel pendant vaut pour
vrai.
Au moins aussi longtemps que personne ne peut prouver
quelque chose d'autre. Mais finalement, par
cela, la manipulabilité du monde à l'égard du
critère de vérité donnant la mesure sera soulevée. Et
ici je suis exactement au point où je voulais en venir.
À l'époque moderne, notre pensée prend
elle-même une forme, qui conduit dans la manipulabilité.
Mais il est absolument possible, en pensant, de prendre
d'autres chemins. Mais cela repose sur ce que nous nous
rendions conscientes, les possibilités de notre
propre pensée. Pour cela, nous avons justement
besoin de la faculté d'observation psychique/d'âme, et
nous pouvons seulement y parvenir avec la pensée quand
nous augmentons notre propre activité. Cela est
justement seulement possible par un acte fait librement.
Personne ne peut me forcer à le faire. C'est la
connaissance centrale de la philosophie de la liberté
que nous trouvions un point dans la pensée, d'où peut
partir une activité, dont nous pouvons être sûrs qu'elle
n'est pas déterminée par quelque chose d'étranger. La
conscience ordinaire de science de la nature
travaille avec les représentations des sens de la
manière qu'elle tente de définir avec précision ce qui
est, et rattache les éléments ainsi saisis alors d'une
manière qui permette une prise en main technique du
monde. Mais ne sait pas, comment elle produit les
représentations techniques.
Mais l'activité pensante peut aussi procéder d'une
manière différente avec les représentations. Au lieu de
les amener dans un contexte technique, elle peut tenter
d'éprouver des contextes de la vie. Par exemple pour se
plonger dans la croissance d'une plante, pour la
refaçonner plastiquement dans une certaine mesure. Il
s'agit tout d'abord d'une activité subjective. Elle
semble contredire la pensée de science de la nature sur
une définition précise de ce qui se laisse objectivement
découvrir dans l'observation sensorielle. On pourrait
penser que seule cette manière de procéder serait
objective. Mais il y a encore une autre sorte
d'objectivité. Cette sorte d'objectivité repose aussi
bien dans l'objectivante activité de science de la
nature, qu'aussi à la tout d'abord plastique subjective
activité de pensée. Nous avons donc une objectivité sur
une autre étendue. On doit se travailler à cette
objectivité. À celle-ci je peux aussi seulement
correctement avancer que j'apprenne à observer
psychiquement/d'âme ce que je fais, pendant que je
pense. Ainsi, l'observation d'âme se tient en vis-à-vis
de l'observation par les sens. Toutefois je peux
parvenir à cette forme supérieure d'objectivité
seulement par un processus d'exercice. Rudolf Steiner a
encore et toujours de nouveau éclairé
épistémologiquement et décrit ce processus dans lequel
l'observation d'âme doit être renforcée. En dernier, en
1917, dans sa publication "Des énigmes de l'âme".
Cet écrit accompagne dans une certaine mesure l'idée de
la tri-articulation de l'organisme social, avec lequel
il alla en 1917, pour la première fois, aux principaux
dirigeants politiques, comme l'empereur Charles
d'Autriche par le chancelier, Arthur Polzer-Hoditz, ou
le Prince Max de Bade et quelques autres politiciens.
C'est justement cet écrit qui accompagne, dans une
certaine mesure, cette idée de tri-articulation du côté
épistémologique. On pourrait maintenant se placer sur la
position : ce n'est quand même pas si important, c'est
pour des humains qui veulent le savoir très exactement.
Mais c'est important. C'est très, très important. Parce
qu'il est montré ici un chemin qui peut seulement être
pris dans la liberté. Et il rend possible de secouer de
nouveau les chaînes que nous met la pensée moderne de
science de la nature. Parce que si se débarrasser de ces
entraves ne réussit pas, l'humain vient toujours plus
sous le joug d'un concept de science unilatéral, à
partir duquel tous les domaines du monde devraient être
contrôlés. Nous sommes actuellement sur la meilleure
voie vers là.
Il s'agit donc tout d'abord de placer, en vis-à-vis de
l'élaboration à mesure de raison analytique reposant sur
le monde sensoriel, une pensée qui entre dans une
fréquentation plastique interne libre avec les
représentations. Et d'ailleurs des représentations qui
ont été à l'origine formées au monde sensoriel. Par
cette activité plastique des pensées, l'âme commence
notamment à buter à quelque chose intérieurement,
c'est-à-dire elle fait dans une certaine mesure une
expérience intérieure de tâtonnement. Elle sera
interrogée sur ce chemin, sans que, ce qu'elle
appréhende là, elle puisse tout d'abord le saisir avec
acuité. Graphiquement, j'ai essayé de représenter ce
processus dans une lemniscate. Donc je me meus. d'en bas
par le saisir dans une direction inverse vers le penser
appréhensif et revient alors à la pensée à mesure de
raison analytique et développe à cela des concepts qui
se laissent aussi absolument de nouveau
appliquer au monde sensoriel, en ce que je peux
saisir celui-ci d'une manière différente. Le saisir ne
se dirige maintenant pas purement sur le monde extérieur
des sens, mais sur un intérieur qui toujours plus
intérieurement bute à un extérieur-spirituel. Par cela,
surgissent en nous - dans notre âme - des images
conceptuelles intérieures. Et ces images conceptuelles
ne sont pas rigides comme les concepts de science de la
nature, mais elles sont mobiles. Et l'âme doit être dans
cet apprendre à vivre dans ce mouvoir qu'en ce qui
concerne la tendance intérieure à façonnement, elle
apprend à toujours mieux comprendre celle-ci. Elle
plonge donc dans un processus intérieur de façonnement.
Cela nous est très inhabituel. Mais quand nous faisons
cela, quand nous vivons dans ces façonnements, et alors
de nouveau abordons au monde des sens, alors nous
commençons soudainement à vivre ce qui aussi est
efficace façonnant dans ce monde des sens. C'est l'une
des autres façons de connaître le monde que par la façon
unilatérale de science de la nature, qui absolument a sa
justification.
Rudolf Steiner appelle maintenant "Anthropologie", dans
"Des énigmes de l'âme", cette science reposant sur
l'observation par les sens et l'élaboration à mesure de
raison analytique de ces mêmes. Et la science basée sur
l'observation d'âme, il la décrit alors comme
anthroposophie. Dans l'anthroposophie, des concepts
mobiles sont développés, qui seront réceptifs pour des
impressions spirituelles. Les concepts-image apparus
ainsi peuvent aussi être décrits comme imaginations. Ces
imaginations, elles sont d'abord absolument subjectives,
on doit se rendre cela clair. Mais elles peuvent être
augmentées dans un processus de pensée plastique continu
à une objectivité toujours plus grande. C'est l'unique
mouvement qui existe entre les pôles des raisons
synthétiques et analytiques, un va-et-vient dans un
processus d'exercice. J'ai tenté ici une fois de
concevoir graphiquement comment un tel rehaussement à
une objectivité plus élevé est possible. C'est toujours
juste une tentative. Comme je l'ai dit, un tel graphique
est plus à comprendre comme une carte afin que nous
recevions une orientation vers à quel endroit nous
devons réellement regarder.
Car le domaine que nous décrivons ici est complexe.
Donc, nous pouvons dire que l'anthropologie, donc ce qui
rassemble toutes les sciences - dans le sens des
concepts donnés ici de Rudolf Steiner dans "Des énigmes
de l'âme" - donc tout ce qui repose sur une élaboration
à mesure de raison analytique de l'observation
sensorielle, elle repose sur des concepts fixes, sur des
définitions, qui sont reliées entre elles de manière
externe selon les lois de la logique. Donc, ces concepts
sont figés, ils sont paralysés. Mais c'est une
nécessité, et elle est suspendue avec notre organisation
des sens. Car exactement notre organisation sensorielle
provoque que nos concepts, tandis qu'ils se lient avec
la perception sensorielle, sont paralysés. C'est en fait
une condition de notre liberté. Nous devons de cette
manière nous détacher du monde sinon nous n'avons aucune
possibilité, de nous lier nouveau avec le monde. Mais en
ce que maintenant j'apprends de cette manière à
détacher les concepts de la perception sensorielle,
et dans un un processus libre, interne de façonnement de
nouveau les revitalise, c'est-à-dire les fluidifie de
nouveau, les ressort de la solidification, les transfère
du solide à un élément liquide, en ce que je fais cela
je prépare la réceptivité pour des impressions
spirituelles. Cela signifie donc, des concepts ainsi
transformés deviennent des organes spirituels de
perception.
Mais maintenant, il y a un domaine commun, sur lequel
l'anthropologie et l'anthroposophie peuvent trouver
ensemble. Et c'est le domaine de la logique. Car le
scientifique de la nature doit admettre qu'il ne peut
retirer les lois de la logique de la nature par
l'observation. Il doit lui-même se trouver sur un chemin
spirituel. Mais il l'applique à la nature. Et par cela,
il peut alors amener la nature en un ordre intérieur, et
d'ailleurs dans un tel ordre, par lequel il peut alors
faire quelque chose, respectivement même manipuler la
nature. J'aimerais maintenant détourner le regard de
l'humain qui connaît et le diriger vers l'humain qui
agit. Donc je passe maintenant du domaine supérieur du
graphique dans le domaine inférieur du graphique.
Et ici, j'aimerais jeter un coup d’œil sur
l'entrepreneur. Et d'ailleurs parce qu'en fait
j'aimerais éclairer l'idée de la tri-articulation
principalement de la perspective économique. On pourrait
naturellement aussi voir sur d'autres activités qui ne
sont pas entrepreneuriales et économiques. Pourtant,
pour moi, il y a une raison particulière de pousser
l'activité entrepreneuriale au premier plan. Donc
avec l'activité entrepreneuriale l'entrepreneur se place
dans la vie de l'économie. Il devient actif parce qu'il
reconnaît que quelque part dans le monde, il y a un
besoin, et ce besoin peut être satisfait par son
activité. C'est-à-dire, il produit des marchandises ou
des prestations de services, pour les besoins d'autres
humains. Et plus cela lui réussit, plus ce qu'il fait
est accepté par les autres, plus il aura de succès dans
la vie. Mais maintenant notre vie de l'économie, tout de
suite par la pensée de science de la nature
appliquée, a pris une énorme dynamique de développement
au cours des dernières années. Et cette dynamique
de développement, nous devons le remarquer, devient de
plus en plus menaçante. Car elle est basée sur une
certaine unilatéralité. Elle repose sur la pensée qui
devient active en organisant et contrôlant. Et cela
repose sur, en ce que vers l'extérieur, on tente
toujours plus de conquérir des marchés, donc comme si on
était en guerre dans la vie de l'économie. Pourtant, la
vie économique à quand même la tâche de servir d'autres
humains, ainsi que tous peuvent satisfaire leurs
besoins. Donc, sur la base de la pensée de science de la
nature, on a pu développer des méthodes dans la vie de
l'économie, par les procédures d'entreprise efficacement
organisées et contrôlées. Cela signifie que l'ensemble
de la pratique économique se base sur une pensée qui
s'oriente unilatéralement à l'observation par les
sens. Et la question est si nous pouvons encore placer
quelque chose d'autre en vis-à-vis. Je pense que oui.
Car cette pensée reposant sur l'élaboration à mesure de
raison analytique de l'observation sensorielle,
qui maintenant est transférée dans l'action, doit
maintenant pouvoir être complétée par une autre pensée.
Je ne pense pas que la pensée organisatrice et
contrôlant devrait être abolie. Cela ne va pas. C'est
justement nécessaire ainsi.
Mais elle doit être amenée dans un équilibre avec une
autre pensée. C'est celle-ci que j'aimerais montrer ici.
Et d'ailleurs par une pensée telle qu'elle ne place pas
les procédures propres à l'entreprise au centre, que
l'on peut donc bien organiser et avant tout aussi
contrôler, mais les processus macroéconomiques liés aux
marchandises. Cela est à nouveau inhabituel. Et ces
processus de marchandises, on peut seulement les saisir
par des concepts-image qui sont très similaires aux
imaginations décrites ci-dessus. Ils ne sont pas des
perceptions suprasensibles. Celles-ci ne sont pas
nécessaires pour la vie de l'économie. Mais d'après la
forme, elles sont semblables aux imaginations.
L'entrepreneur doit donc apprendre, à comprendre les
processus de marchandises à force d'images. Maintenant,
il existe ici un problème, mais en lequel repose aussi
une possibilité. Car il n'est pas possible à
l'entrepreneur de comprendre objectivement ces processus
de marchandises à partir de sa perspective d'entreprise.
Alors, ils deviennent toujours unilatéraux.
Il doit donc les compléter par d'autres perspectives. Et
ce sont les autres participants de l'économie. Tout
d'abord les autres entrepreneurs, les commerçants, mais
aussi les consommateurs. Les différentes perspectives
doivent être prises en compte lorsque je veux recevoir
une image englobante des processus économiques de
marchandises. Et pour cette raison il est nécessaire de
construire des organes communautaires, qui ont la tâche
de rassembler les observations sur les processus de
marchandises de différentes perspectives. Rudolf Steiner
appelle ces organes économiques communautaires
associations. Elles doivent être
parfaitement indépendantes d'organes
politico-démocratiques. Les questions de la régulation
ne se tiennent là aussi absolument pas au premier plan.
Car ces organes communautaires économiques sont en
première ligne des organes de perception. Naturellement,
des votes pourront aussi être nécessaires. Mais ceux-ci
doivent alors être faits d'humains qui sont
spécifiquement concernés par les régulations et non par
une institution politico-démocratique. Mais ces organes
peuvent se former en premier lorsqu'un certain nombre
d'humains se rend sur le chemin de former une telle
pensée imaginant les processus de marchandises. Et ici,
repose aussi la nécessité que dans le début d'un tel
processus se tienne un acte de liberté. Sans un tel
acte de liberté, l'organisme social ne s'articulera pas
en trois organes communautaires indépendants.
Donc nous avons besoin ici d'une pensée imaginant les
processus de marchandises. Maintenant, si un certain
nombre d'humains sont prêts, en une telle liberté, à
entamer un tel processus de développement individuel,
qui commence par la transformation de la pensée, alors
il travaille aussi sur le côté spirituel, ce qui
signifie que là, il y commence à développer une vie
de l'esprit libre. L'entrepreneur maintenant, qui a à
l'œil simplement le succès de sa propre entreprise, il
n'est pas libre. Il suit simplement les nécessités
extérieures. Et cela concerne aujourd'hui en en
particulier les petites et moyennes entreprises. Car il
se montrera dans le prochain temps que cela conduit dans
une dépendance toujours plus grande - nous sommes déjà
maintenant dans une grande dépendance - à l'égard des
grandes entreprises dominées par le capital
international. Et la façon dont la politique se
forme/structure qui se tient massivement sous
l'influence de ce capital international, ne contribuera
pas à changer cela. Ces grandes entreprises, et le
capital se tenant là derrière, a un insaisissable
pouvoir à imposer. Et ce pouvoir d'imposition peut en
premier être contré, lorsque de petites et moyennes
entreprises se réorganisent sur les bases d'une autre
pensée, respectivement s'associent. Parce qu’organiser
cela de l'extérieur avec la pensée conventionnelle,
ça ne fonctionnera pas.
Donc, le succès à une telle édification
d'organismes communautaires associatifs, il est
dépendant de ce que nous développions une autre forme de
pensée. C'est ce que je voulais montrer dans cette
vidéo. Je voulais donc montrer, comment les humains
connaissant et agissants peuvent œuvrer ensemble pour
pouvoir se développer des organes de communauté
économique. Et dans la prochaine vidéo, je veux alors
montrer que ce processus s'accompagne d'un processus
parallèle qui conduira aussi nécessairement à des
organes de la vie de l'esprit indépendants.
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