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Institut pour une triarticulation sociale
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Stephan Eisenhut sur le site du D.N. Dunlop Institut  (original allemand)

Vidéo 4 : La question de la liberté

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traduction F. Germani v.01 - 31/10/2020
vidéo 4 (https://youtu.be/WdJGMWplV4c) diaporama en français 4



Dans la dernière vidéo, j'ai expliqué comment la pensée contrôlante, organisant, est devenue toujours plus puissante et puissante dans la vie sociale du présent. Et celle-ci s'affirme désormais de manière carrément dictatoriale. Dans cette vidéo j'aimerais maintenant aller sur les traces des causes. Il serait important de remarquer que chacun de nous porte en lui la disposition au contrôle des autres. Elle peut, dans certaines situations, venir plus fortement au premier plan et d'ailleurs lorsque nous voulons obtenir quelque chose dans la vie extérieure. Ici quelque chose entre en jeu que j'ai déjà souligné dans la dernière vidéo. Et d'ailleurs en rapport avec ce graphique, qui décrit l'interaction entre l'humain supérieur et inférieur. L'humain supérieur, il vit dans les forces de la connaissance. L'humain inférieur, il vit dans les forces à partir desquelles nous agissons dehors. Cela signifie pouvoir mettre en œuvre quelque chose dans la vie. Si nous apprenons à mieux comprendre comment humain supérieur et inférieur travaillent ensemble, alors nous pouvons travailler à comment les deux peuvent être amenés en une harmonie correcte.

 J'aimerais jeter en premier un coup d'œil sur comment nous nous plaçons dans le monde en tant qu'humain connaissant.
Tout d'abord, nous sommes placés dans l'environnement extérieur par notre corps. Nous faisons l'expérience de celui-ci par la perception sensorielle. Mais ce monde sensoriel nous pouvons seulement l'expérimenter consciemment, parce que nous apportons ces concepts en vis-à-vis. Cela n'est tout d'abord pas conscient à l'humain vivant dans la conscience ordinaire. Les perceptions sensorielles stimulent cependant en à lui une activité, par laquelle il se rend conscient des phénomènes particuliers et peut les rattacher entre eux. Ses images de représentation sont par cela toujours un résultat de la perception et du concept.
Rudolf Steiner a éclairé ces pendants en détail dans son œuvre épistémologique, en particulier dans la Philosophie de la liberté parue en 1894. L'édition de 1814 porte le sous-titre : "Résultats d'observations selon la méthode de science de la nature". En 1918, lors de la nouvelle édition, il complète cela avec "Résultats d'observation par l'âme selon méthode de science de la nature". La pensée est une activité de l'âme. Il vaut de rendre celle-ci consciente par l'observation par l'âme. Dans notre conscience ordinaire, nous vivons dans nos images de représentation. Celles-ci sont dans notre conscience éveillée. D'une certaine manière, nous veillons dans nos images de représentation. Notre sentir - là-dessus j'ai déjà indiqué dans les dernières vidéos - est enflammé par ces images de représentation. Nous désirons ce que nous vivons dans la représentation ou nous le déclinons. Ce sont donc des forces de sympathie et d'antipathie, qui s'allument aux images de représentation. Mais ces sentiments, nous ne les vivons pas aussi éveillés que nos images de représentation : elles déterminent certes notre impression d'âme, mais nous rêvons dans nos impressions. Maintenant, il y a encore quelque chose dans notre conscience ordinaire, au sujet de laquelle nous dormons complètement. C'est l'activité pensante. Pour cela nous dormons, elles ne reçoivent pas notre activité avec. Nous avons notre contenu de pensée dans notre conscience, mais pas notre activité connaissante elle-même. Et cela vaut aussi pour le scientifique de la nature, surtout s'il n'aspire pas à se procurer une conscience critique de sa propre activité connaissante. Il vit consciemment dans ses contenus de pensée ; comment il pense, l'ensemble de la façon et la manière de comment il gère cela, cette affaire de la pensée, cela il le dort. Maintenant, les succès de la pensée moderne de science de la nature reposent sur ce qu'elle vérifie les connexions qu'elle a produites par des expériences dans le monde sensoriel. Ce que l'on croit avoir saisi comme pendant de loi de la nature se laisse-t-il prouver dans une expérience et une telle expérience peut-elle se répéter à tout moment, alors un tel pendant vaut pour vrai.
Au moins aussi longtemps que personne ne peut prouver quelque chose d'autre. Mais finalement, par cela, la manipulabilité du monde à l'égard du critère de vérité donnant la mesure sera soulevée. Et ici je suis exactement au point où je voulais en venir.

 À l'époque moderne, notre pensée prend elle-même une forme, qui conduit dans la manipulabilité. Mais il est absolument possible, en pensant, de prendre d'autres chemins. Mais cela repose sur ce que nous nous rendions conscientes, les possibilités de notre propre pensée. Pour cela, nous avons justement besoin de la faculté d'observation psychique/d'âme, et nous pouvons seulement y parvenir avec la pensée quand nous augmentons notre propre activité. Cela est justement seulement possible par un acte fait librement. Personne ne peut me forcer à le faire. C'est la connaissance centrale de la philosophie de la liberté que nous trouvions un point dans la pensée, d'où peut partir une activité, dont nous pouvons être sûrs qu'elle n'est pas déterminée par quelque chose d'étranger. La conscience ordinaire de science de la nature travaille avec les représentations des sens de la manière qu'elle tente de définir avec précision ce qui est, et rattache les éléments ainsi saisis alors d'une manière qui permette une prise en main technique du monde. Mais ne sait pas, comment elle produit les représentations techniques.
Mais l'activité pensante peut aussi procéder d'une manière différente avec les représentations. Au lieu de les amener dans un contexte technique, elle peut tenter d'éprouver des contextes de la vie. Par exemple pour se plonger dans la croissance d'une plante, pour la refaçonner plastiquement dans une certaine mesure. Il s'agit tout d'abord d'une activité subjective. Elle semble contredire la pensée de science de la nature sur une définition précise de ce qui se laisse objectivement découvrir dans l'observation sensorielle. On pourrait penser que seule cette manière de procéder serait objective. Mais il y a encore une autre sorte d'objectivité. Cette sorte d'objectivité repose aussi bien dans l'objectivante activité de science de la nature, qu'aussi à la tout d'abord plastique subjective activité de pensée. Nous avons donc une objectivité sur une autre étendue. On doit se travailler à cette objectivité. À celle-ci je peux aussi seulement correctement avancer que j'apprenne à observer psychiquement/d'âme ce que je fais, pendant que je pense. Ainsi, l'observation d'âme se tient en vis-à-vis de l'observation par les sens. Toutefois je peux parvenir à cette forme supérieure d'objectivité seulement par un processus d'exercice. Rudolf Steiner a encore et toujours de nouveau éclairé épistémologiquement et décrit ce processus dans lequel l'observation d'âme doit être renforcée. En dernier, en 1917, dans sa publication "Des énigmes de l'âme". Cet écrit accompagne dans une certaine mesure l'idée de la tri-articulation de l'organisme social, avec lequel il alla en 1917, pour la première fois, aux principaux dirigeants politiques, comme l'empereur Charles d'Autriche par le chancelier, Arthur Polzer-Hoditz, ou le Prince Max de Bade et quelques autres politiciens. C'est justement cet écrit qui accompagne, dans une certaine mesure, cette idée de tri-articulation du côté épistémologique. On pourrait maintenant se placer sur la position : ce n'est quand même pas si important, c'est pour des humains qui veulent le savoir très exactement. Mais c'est important. C'est très, très important. Parce qu'il est montré ici un chemin qui peut seulement être pris dans la liberté. Et il rend possible de secouer de nouveau les chaînes que nous met la pensée moderne de science de la nature. Parce que si se débarrasser de ces entraves ne réussit pas, l'humain vient toujours plus sous le joug d'un concept de science unilatéral, à partir duquel tous les domaines du monde devraient être contrôlés. Nous sommes actuellement sur la meilleure voie vers là.
Il s'agit donc tout d'abord de placer, en vis-à-vis de l'élaboration à mesure de raison analytique reposant sur le monde sensoriel, une pensée qui entre dans une fréquentation plastique interne libre avec les représentations. Et d'ailleurs des représentations qui ont été à l'origine formées au monde sensoriel. Par cette activité plastique des pensées, l'âme commence notamment à buter à quelque chose intérieurement, c'est-à-dire elle fait dans une certaine mesure une expérience intérieure de tâtonnement. Elle sera interrogée sur ce chemin, sans que, ce qu'elle appréhende là, elle puisse tout d'abord le saisir avec acuité. Graphiquement, j'ai essayé de représenter ce processus dans une lemniscate. Donc je me meus. d'en bas par le saisir dans une direction inverse vers le penser appréhensif et revient alors à la pensée à mesure de raison analytique et développe à cela des concepts qui se laissent aussi absolument de nouveau appliquer au monde sensoriel, en ce que je peux saisir celui-ci d'une manière différente. Le saisir ne se dirige maintenant pas purement sur le monde extérieur des sens, mais sur un intérieur qui toujours plus intérieurement bute à un extérieur-spirituel. Par cela, surgissent en nous - dans notre âme - des images conceptuelles intérieures. Et ces images conceptuelles ne sont pas rigides comme les concepts de science de la nature, mais elles sont mobiles. Et l'âme doit être dans cet apprendre à vivre dans ce mouvoir qu'en ce qui concerne la tendance intérieure à façonnement, elle apprend à toujours mieux comprendre celle-ci. Elle plonge donc dans un processus intérieur de façonnement. Cela nous est très inhabituel. Mais quand nous faisons cela, quand nous vivons dans ces façonnements, et alors de nouveau abordons au monde des sens, alors nous commençons soudainement à vivre ce qui aussi est efficace façonnant dans ce monde des sens. C'est l'une des autres façons de connaître le monde que par la façon unilatérale de science de la nature, qui absolument a sa justification.

Rudolf Steiner appelle maintenant "Anthropologie", dans "Des énigmes de l'âme", cette science reposant sur l'observation par les sens et l'élaboration à mesure de raison analytique de ces mêmes. Et la science basée sur l'observation d'âme, il la décrit alors comme anthroposophie. Dans l'anthroposophie, des concepts mobiles sont développés, qui seront réceptifs pour des impressions spirituelles. Les concepts-image apparus ainsi peuvent aussi être décrits comme imaginations. Ces imaginations, elles sont d'abord absolument subjectives, on doit se rendre cela clair. Mais elles peuvent être augmentées dans un processus de pensée plastique continu à une objectivité toujours plus grande. C'est l'unique mouvement qui existe entre les pôles des raisons synthétiques et analytiques, un va-et-vient dans un processus d'exercice. J'ai tenté ici une fois de concevoir graphiquement comment un tel rehaussement à une objectivité plus élevé est possible. C'est toujours juste une tentative. Comme je l'ai dit, un tel graphique est plus à comprendre comme une carte afin que nous recevions une orientation vers à quel endroit nous devons réellement regarder.
Car le domaine que nous décrivons ici est complexe. Donc, nous pouvons dire que l'anthropologie, donc ce qui rassemble toutes les sciences - dans le sens des concepts donnés ici de Rudolf Steiner dans "Des énigmes de l'âme" - donc tout ce qui repose sur une élaboration à mesure de raison analytique de l'observation sensorielle, elle repose sur des concepts fixes, sur des définitions, qui sont reliées entre elles de manière externe selon les lois de la logique. Donc, ces concepts sont figés, ils sont paralysés. Mais c'est une nécessité, et elle est suspendue avec notre organisation des sens. Car exactement notre organisation sensorielle provoque que nos concepts, tandis qu'ils se lient avec la perception sensorielle, sont paralysés. C'est en fait une condition de notre liberté. Nous devons de cette manière nous détacher du monde sinon nous n'avons aucune possibilité, de nous lier nouveau avec le monde. Mais en ce que maintenant j'apprends de cette manière à détacher les concepts de la perception sensorielle, et dans un un processus libre, interne de façonnement de nouveau les revitalise, c'est-à-dire les fluidifie de nouveau, les ressort de la solidification, les transfère du solide à un élément liquide, en ce que je fais cela je prépare la réceptivité pour des impressions spirituelles. Cela signifie donc, des concepts ainsi transformés deviennent des organes spirituels de perception.
Mais maintenant, il y a un domaine commun, sur lequel l'anthropologie et l'anthroposophie peuvent trouver ensemble. Et c'est le domaine de la logique. Car le scientifique de la nature doit admettre qu'il ne peut retirer les lois de la logique de la nature par l'observation. Il doit lui-même se trouver sur un chemin spirituel. Mais il l'applique à la nature. Et par cela, il peut alors amener la nature en un ordre intérieur, et d'ailleurs dans un tel ordre, par lequel il peut alors faire quelque chose, respectivement même manipuler la nature. J'aimerais maintenant détourner le regard de l'humain qui connaît et le diriger vers l'humain qui agit. Donc je passe maintenant du domaine supérieur du graphique dans le domaine inférieur du graphique.

Et ici, j'aimerais jeter un coup d’œil sur l'entrepreneur. Et d'ailleurs parce qu'en fait j'aimerais éclairer l'idée de la tri-articulation principalement de la perspective économique. On pourrait naturellement aussi voir sur d'autres activités qui ne sont pas entrepreneuriales et économiques. Pourtant, pour moi, il y a une raison particulière de pousser l'activité entrepreneuriale au premier plan. Donc avec l'activité entrepreneuriale l'entrepreneur se place dans la vie de l'économie. Il devient actif parce qu'il reconnaît que quelque part dans le monde, il y a un besoin, et ce besoin peut être satisfait par son activité. C'est-à-dire, il produit des marchandises ou des prestations de services, pour les besoins d'autres humains. Et plus cela lui réussit, plus ce qu'il fait est accepté par les autres, plus il aura de succès dans la vie. Mais maintenant notre vie de l'économie, tout de suite par la pensée de science de la nature appliquée, a pris une énorme dynamique de développement au cours des dernières années. Et cette dynamique de développement, nous devons le remarquer, devient de plus en plus menaçante. Car elle est basée sur une certaine unilatéralité. Elle repose sur la pensée qui devient active en organisant et contrôlant. Et cela repose sur, en ce que vers l'extérieur, on tente toujours plus de conquérir des marchés, donc comme si on était en guerre dans la vie de l'économie. Pourtant, la vie économique à quand même la tâche de servir d'autres humains, ainsi que tous peuvent satisfaire leurs besoins. Donc, sur la base de la pensée de science de la nature, on a pu développer des méthodes dans la vie de l'économie, par les procédures d'entreprise efficacement organisées et contrôlées. Cela signifie que l'ensemble de la pratique économique se base sur une pensée qui s'oriente unilatéralement à l'observation par les sens. Et la question est si nous pouvons encore placer quelque chose d'autre en vis-à-vis. Je pense que oui. Car cette pensée reposant sur l'élaboration à mesure de raison analytique de l'observation sensorielle, qui maintenant est transférée dans l'action, doit maintenant pouvoir être complétée par une autre pensée. Je ne pense pas que la pensée organisatrice et contrôlant devrait être abolie. Cela ne va pas. C'est justement nécessaire ainsi.
Mais elle doit être amenée dans un équilibre avec une autre pensée. C'est celle-ci que j'aimerais montrer ici. Et d'ailleurs par une pensée telle qu'elle ne place pas les procédures propres à l'entreprise au centre, que l'on peut donc bien organiser et avant tout aussi contrôler, mais les processus macroéconomiques liés aux marchandises. Cela est à nouveau inhabituel. Et ces processus de marchandises, on peut seulement les saisir par des concepts-image qui sont très similaires aux imaginations décrites ci-dessus. Ils ne sont pas des perceptions suprasensibles. Celles-ci ne sont pas nécessaires pour la vie de l'économie. Mais d'après la forme, elles sont semblables aux imaginations. L'entrepreneur doit donc apprendre, à comprendre les processus de marchandises à force d'images. Maintenant, il existe ici un problème, mais en lequel repose aussi une possibilité. Car il n'est pas possible à l'entrepreneur de comprendre objectivement ces processus de marchandises à partir de sa perspective d'entreprise. Alors, ils deviennent toujours unilatéraux.
Il doit donc les compléter par d'autres perspectives. Et ce sont les autres participants de l'économie. Tout d'abord les autres entrepreneurs, les commerçants, mais aussi les consommateurs. Les différentes perspectives doivent être prises en compte lorsque je veux recevoir une image englobante des processus économiques de marchandises. Et pour cette raison il est nécessaire de construire des organes communautaires, qui ont la tâche de rassembler les observations sur les processus de marchandises de différentes perspectives. Rudolf Steiner appelle ces organes économiques communautaires associations. Elles doivent être parfaitement indépendantes d'organes politico-démocratiques. Les questions de la régulation ne se tiennent là aussi absolument pas au premier plan. Car ces organes communautaires économiques sont en première ligne des organes de perception. Naturellement, des votes pourront aussi être nécessaires. Mais ceux-ci doivent alors être faits d'humains qui sont spécifiquement concernés par les régulations et non par une institution politico-démocratique. Mais ces organes peuvent se former en premier lorsqu'un certain nombre d'humains se rend sur le chemin de former une telle pensée imaginant les processus de marchandises. Et ici, repose aussi la nécessité que dans le début d'un tel processus se tienne un acte de liberté. Sans un tel acte de liberté, l'organisme social ne s'articulera pas en trois organes communautaires indépendants.
Donc nous avons besoin ici d'une pensée imaginant les processus de marchandises. Maintenant, si un certain nombre d'humains sont prêts, en une telle liberté, à entamer un tel processus de développement individuel, qui commence par la transformation de la pensée, alors il travaille aussi sur le côté spirituel, ce qui signifie que là, il y commence à développer une vie de l'esprit libre. L'entrepreneur maintenant, qui a à l'œil simplement le succès de sa propre entreprise, il n'est pas libre. Il suit simplement les nécessités extérieures. Et cela concerne aujourd'hui en en particulier les petites et moyennes entreprises. Car il se montrera dans le prochain temps que cela conduit dans une dépendance toujours plus grande - nous sommes déjà maintenant dans une grande dépendance - à l'égard des grandes entreprises dominées par le capital international. Et la façon dont la politique se forme/structure qui se tient massivement sous l'influence de ce capital international, ne contribuera pas à changer cela. Ces grandes entreprises, et le capital se tenant là derrière, a un insaisissable pouvoir à imposer. Et ce pouvoir d'imposition peut en premier être contré, lorsque de petites et moyennes entreprises se réorganisent sur les bases d'une autre pensée, respectivement s'associent. Parce qu’organiser cela de l'extérieur avec la pensée conventionnelle, ça ne fonctionnera pas.

Donc, le succès à une telle édification d'organismes communautaires associatifs, il est dépendant de ce que nous développions une autre forme de pensée. C'est ce que je voulais montrer dans cette vidéo. Je voulais donc montrer, comment les humains connaissant et agissants peuvent œuvrer ensemble pour pouvoir se développer des organes de communauté économique. Et dans la prochaine vidéo, je veux alors montrer que ce processus s'accompagne d'un processus parallèle qui conduira aussi nécessairement à des organes de la vie de l'esprit indépendants.