Institut pour une
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Rudolf Steiner sur le chômagepar Matthias Schmelzer et Sylvain Coiplet IntroductionAujourd'hui, le chômage n'est plus un problème en Allemagne. Malheureusement, ma crainte de 2004, à savoir que si cela devait en venir à ce que "de nombreux humains regretteraient l'époque où leur emploi était certes menacé mais où ils pouvaient vivre de leur salaire dans une certaine mesure", s'est réalisée. En outre, la baisse du chômage en Allemagne s'est faite au coûts d'autres pays. Au lieu de se réjouir des excédents d'exportation, on devrait sérieusement se demander si on n'exporte pas aussi son chômage avec. La monnaie commune en Europe a encore exacerbé ce problème. Dans le passé, la monnaie allemande devenait plus chère lorsque qu'était trop exporté. Ce frein n'est plus. Aucun substitut contemporain n'a été trouvé, de sorte qu'entre-temps, l'industrie nationale/de pays a été balayée dans de larges parties de l'étranger européen. En 2013, le discernement de ce réel problème a conduit à la fondation d'un nouveau parti en Allemagne qui voulait revenir aux monnaies nationales dépassées/vieillies. En peu d'années, ce parti a dégénéré en un danger sérieux pour la démocratie. La façon dont le problème du chômage a été "résolu" en Allemagne s'est donc avéré être un boomerang. Celui qui cherchent malgré cela une solution partenariale au chômage, une solution qui compte avec l'économie mondiale, devraient revoir ce que Rudolf Steiner entend par vie économique associative. Sylvain Coiplet, 2020 Hartz IV et ses alternativesComme moyen contre le chômage, l'aide étatique aux chômeurs en Allemagne doit être ramenée au niveau de l'aide sociale et faite dépendante de conditions plus strictes. Avec les économies planifiées devraient être financée l'amélioration de l'aide sociale. Ce sont - de manière très simplifiée - des caractéristiques de base de Hartz IV. Cette réforme est-elle vraiment sans alternative ? Cette question ne se pose pas seulement depuis les protestations de masse. Ainsi que la politique est pensée jusqu'à aujourd'hui, il n'y a pas de lutte contre le chômage sans effets secondaires/latéraux massifs. On le voit à comment les communistes et les nationaux-socialistes avaient "résolu" le problème du chômage. Il y a encore des humains aujourd'hui qui se laissent aveuglés par cela. Par le maintient ou la création de travail inutile, cependant, seul le manque a été redistribué. C'est aussi similaire avec Hartz IV. Si la réforme devait réellement prendre effet et entraîner une réduction du chômage, de nombreuses personnes regretteront l'époque où leur emploi était menacé mais où elles pouvaient vivre de leur salaire dans une certaine mesure. Mais pourquoi tous les partis - hormis les ex-communistes et les extrémistes de droite - promettent-ils de réduire le taux de chômage avec Hartz IV ? Il n'y a pratiquement pas de postes vacants. La perspective de s'appauvrir encore plus vite que jusqu'à présent en tant que chômeur ne changera probablement rien au fait qu'il y a tout simplement trop peu de places de travail. On devrait le penser. Mais Viktor Steiner, expert du marché du travail à l'Institut allemand de recherche économique, c'est-à-dire quelqu'un qui est à la pointe de la science, pense qu'il s'agit d'une croyance erronée et défend Hartz IV : "des jobs il y a, ils ne peuvent seulement pas être occupés en raison de conditions de rémunération et de travail défavorables. De plus, il pourrait y avoir encore plus de ces emplois au cas où les salaires baissent." Sa prévision : 200 000 nouvelles places de travail avec des salaires de l'ordre de 5 euros de l'heure. Viktor Steiner n'est pas en mesure de dire dans quelle mesure les salaires des emplois existants seront affectés et parle d'un "certain effet d'éviction". Mais une chose est sûre : plus l'effet d'éviction est grand, plus il y a de places de travail, car les employeurs/donneurs de travail peuvent se fournir de davantage de preneurs de travail. Viktor Steiner n'est pas un expert du marché du travail pour rien. Même sur le marché bio, les courgettes sont bradées lorsqu'il y en a soudainement trop vers l'automne. Les preneurs de travail doivent baisser leur salaire horaire s'ils veulent être achetés en nos temps difficiles. Sinon, ils pourrissent/glandent dans les vitrines de l'économie de marché. Il y a tant de mépris pour les humains dans ce genre de science qu'on se demande pourquoi les protestations contre Hartz IV ne sont pas encore plus fortes. Cela est probablement dû à une résignation générale qui se fait sentir jusque dans les manifestations/démonstrations du lundi. Bien que des initiateurs comme attac et les forums sociaux locaux aient clairement indiqué qu'ils ne voulaient pas revenir à l'ancien État-providence, il leur manque -- tout comme aux experts du marché du travail -- une stratégie globale contre le chômage. Ils ne savent tout simplement pas aller plus loin. Les auteurs anthroposophes font-ils mieux à cet égard ? Le fait que la plupart d'entre eux recourent aujourd'hui à l'utopie d'un revenu de base inconditionnel montre qu'ils se sont accommodés au chômage et le réinterprètent même comme un bienfait qui devrait être accessible à tous. Avec son approche d'une tri-articulation sociale, par contre, Rudolf Steiner a développé une véritable alternative au marché du travail. Il part du principe que seuls les prestations ont leur place sur le marché. En conséquence, pas seulement le capital et le sol/foncier, mais aussi le travail lui-même doivent être retirés du cycle de la vie économique. Autrement que le capital, sur lequel doit être décidé par la vie de l'esprit -- expression des facultés --, la régulation/réglementation du travail revient à la vie de droit. Cela signifie, tout d'abord, qu'il ne peut plus y avoir aucun marché du travail. Le droit du travail sera beaucoup plus construit ainsi que le salaire horaire visé sur le marché décide du nombre d'heures à travailler, mais exactement le contraire. Il devrait être déterminé démocratiquement de quel nombre d'heures est acceptable pour les différentes professions. Le salaire horaire doit alors être mesuré en conséquence, afin que tous, même les moins qualifiés, puissent en vivre. On peut parler d'une séparation du travail et du revenu dans le sens où la vie de droit est responsable de la limitation du travail et la vie économique d'un revenu suffisant. Ce n'est que lorsque cela est garanti qu'il est possible de ne plus travailler pour soi mais pour les autres. Le fait que chacun profite d'une telle division du travail est ce que Rudolf Steiner appelle la loi sociale principale après la révolution russe de 1905 et l'altruisme objectif ou la fraternité comme principe de vie économique après la révolution allemande de novembre 1918. À l'État démocratique, il revient vis-à-vis de cela d'assurer alors un revenu respectivement un revenu partiel aux enfants, aux parents, aux personnes âgées/devenus vielles et aux malades, s'ils ne peuvent pas travailler du tout - ou seulement dans une mesure limitée - pour les autres. Ici, ce n'est pas le principe de fraternité qui s'applique, mais celui de la justice. Ce n'est encore pas tout ce que Rudolf Steiner peut apporter au thème du marché du travail. Mais cela suffit déjà à faire comprendre que lors d'une triarticulation sociale, il ne peut s'agir de verser à chacun un revenu de base inconditionnel par l'État. Ce serait une erreur d'appréciation de l'État et de ses tâches. Ce que chaque État peut, c'est décider une réduction du temps de travail et -- à la grande horreur de nos idéologues du marché du travail -- laisser les représentants de l'économie négocier sur des salaires minimums. Cela conduirait à une répartition équitable du travail nécessaire. Mais l'État ne contribuerait à vaincre le chômage que si, parallèlement, il veillait, par des modifications de la loi, à ce que l'économie ne puisse plus verser/payer aucun revenu inconditionnel. Le fait qu'aujourd'hui, comme l'a bien vu Peter Hartz, il ne peut y avoir de nouveaux emplois que si le niveau des salaires baisse, est en fait dû au fait que, d'autre part, les revenus de la propriété d'entreprises respectivement d'actions et les intérêts composés continuent d'augmenter de manière incontrôlée. Ces revenus sont découplés de la prestation de chacun. Afin de répondre aux exigences des financiers, les employés sont licenciés en masse, même lorsque les entreprises font déjà des bénéfices/gains. Au lieu de 5 pour cent, ce devrait être 10 ou mieux 15 pour cent, et cela naturellement sans limite. Qui n'est pas aussi pressé préfère se fier à la croissance exponentielle sûre des intérêts composés. Aussi ceux qui ont à financer avec cela seulement leur retraite/rente, c'est-à-dire leur futur revenu de base, maintiennent en vie un système qui permet seulement de choisir entre un chômage élevé et des salaires bas, parce qu'il n'y a plus assez à distribuer. Le fait que cela soit encore en plus subventionné étatiquement par le biais de la pension/rente Riester est particulièrement perfide si l'on considère que ce sont précisément les personnes devenues âgées qui auraient droit à un revenu de base versé par l'État. Au lieu de cela, ils creusent leur propre charnier. Mais la triarticulation sociale ne serait pas possible si toutes les réformes, aussi profondes soient-elles, devaient partir de l'État seul. Les mesures que j'ai énumérées jusqu'à présent peuvent être abordées par l'État à tout moment, si une majorité ose entreprendre de telles réformes. Contrairement au temps de travail et aux salaires minimums qui en découlent, le problème des actions et des intérêts composés peut même être résolu sur une base volontaire en rendant les entreprises invendables et en utilisant des monnaies alternatives. Mais a une alternative complète à Hartz IV appartient plus. Du côté de la vie de l'économie, la question se pose de comment les salaires minimums peuvent non seulement être promis mais aussi tenus. Il fait partie de la grande sagesse des experts du marché du travail de prétendre que les lois du marché conduiront d'elles-mêmes les entreprises à investir là où les salaires sont bas et les demandeurs/chercheurs d'emploi à émigrer là où ils peuvent obtenir de meilleurs salaires. Mais les lois du marché n'ont pas pu entrer en vigueur avant Hartz IV, car les allocations de chômage étaient trop élevées et les gens préféraient migrer vers l'État-providence plutôt que vers la Bavière. Mais l'économie de marché est comme le conducteur d'une ambulance qui s'abstient d'utiliser la sirène parce qu'il va déjà dans la bonne direction et qu'il ne veut pas déranger les autres conducteurs. La seule différence est que la personne qui a été renversée est déjà morte lorsque l'ambulance arrive enfin. Le changement structurel économique n'est pas pour des politiciens, mais non plus pour les idéologues du marché. Il est alors seulement assez rapide si tous les acteurs économiques qui le peuvent encore se mobilisent pour aider les personnes touchées. Le fait que le chômage soit si élevé aujourd'hui, en particulier dans les nouveaux États fédéraux, est également dû au fait qu'Helmut Kohl était si naïf après la réunification qu'il a cru que ses capitalistes existant réels feraient passer sa patrie unie avant leurs propres intérêts et investiraient en Allemagne de l'Est. Au changement structurel se montre exemplairement l'échec du principe de l'économie de marché. Mais l'État ne devrait pas faire les frais et fournir aux gens un travail plus ou moins dénué de sens, alors l'économie elle-même doit se repenser. Si elle perd toujours de nouveau l'avenir des yeux, elle doit enlever ses œillères et se procurer une vue d'ensemble. Elle doit - selon les mots de Rudolf Steiner - échanger le principe du marché contre le principe d'association. Et la vie de l'esprit ? Le Rudolf Steiner plus tardif, fait une distinction non seulement entre le travail et le revenu, comme en 1905, mais entre la volonté de travailler, la capacité de travailler et le revenu. Il se promet la volonté de travailler à partir de la détermination démocratique du temps de travail mentionnée ci-dessus et du savoir que lors d'une triarticulation sociale, aucun ne peut tirer un revenu sans avoir fourni son possible en retour. Mais il ne voit là dedans aucun remplacement/ersatz pleinement adéquat des incitations financières jusqu'à présen. Il est besoin par dessus cela, d'une vie de l'esprit qui ne vous rende pas seulement capable de travailler mais aussi désireux d'apprendre jusqu'à un âge avancé. Sinon, l'humain sera accablés par le changement structurel parce qu'il devrait apprendre une nouvelle profession mais ne déteste/hait rien plus que d'aller sur le banc d'école. Les facultés devraient être développées à tel point qu'elles deviennent le moteur/la motivation de l'action. Donc, au lieu d'un marché du travail, un changement structurel coordonné par les acteurs économiques, un droit du travail démocratique et une fougue au travail comme on n'en connaît jusqu'ici que chez les artistes libres. Ce n'est que lorsqu'on rassemble tous ces éléments qu'une alternative viable émerge, ou mieux, que des alternatives complémentaires et soutenable à Hartz IV se donnent. Sylvain Coiplet, 2004-2020
Rudolf Steiner sur le chômage
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Il
y a toujours besoin de forces de travail
Source : GA 36 , page 33, 1/1961, 09.10.1921. Chômage ! Les humains ne peuvent trouver de travail ! Mais il doit quand même être là. Car les humains sont là. Et dans un organisme social sain, le travail qui ne peut être fait ne peut être fait, ne pas être un superflu, mais il doit manquer quelque part. Tant de chômage, tant de manque. Mais cela parle clairement pour ce que le chômage peut seulement trouver son contrepoids dans l'assainissement général des institutions économiques. |
Bedarf
an Arbeitskräften gibt es immer Quelle: GA 36, Seite 33, 1/1961, 09.10.1921 Arbeitslosigkeit! Menschen können nicht Arbeit finden! Sie muß aber doch da sein. Denn die Menschen sind da. Und es kann im gesunden sozialen Organismus die Arbeit, die nicht getan werden kann, nicht eine überflüssige sein, sondern sie \emph{muß} irgendwo \emph{fehlen}. Soviel Arbeitslosigkeit, soviel Mangel. Das spricht aber deutlich dafür, daß Arbeitslosigkeit nur in der allgemeinen Gesundung der wirtschaftlichen Institutionen ihr Gegengewicht finden kann. |
L'égoïsme
comme
cause plus profonde du chômage
(retour) Sujet :
L'égoïsme en tant que phénomène fondamental de
la misère sociale sur létendue
spirituelle-émotionnelle/d'esprit et d'âme agit
comme une loi de la nature ; l'égoïsme est
prédominant aujourd'hui dans la vie de
l'économie, par exemple dans notre ordre de
revenus, en fait quand même ce qui soutient
réellement la vie n'est pas le travail en soi,
mais le travail sagement dirigé. Pensée
antisociale aujourd'hui : chômage, exploitation.
Solution : séparation volontaire/voulue
librement du travail et du revenu.
Les circonstances/rapports -- nous en sommes partis -- sont souvent considérées comme ce qui pourrait rendre l'humain différent, et l'on y pense abstraitement comment les circonstances/rapports peuvent être changés. La science de l'esprit a uniquement et seulement à faire avec l'âme humaine réelle, avec les rapports d'être humain à être humain. Maintenant, il serait tout à fait impossible aujourd'hui d'entrer dans les détails concrets en rapport à la question sociale. Il est cependant permis quand même d'indiquer sur ceci ou cela si nous voulons trouver les blocs/pierres de construction qui nous indiquent la voie pour intervenir de la façon correcte là où nous nous trouvons dans la vie. Car c'est à chacun d'entre nous d'intervenir. Si nous voulons trouver les pierres de construction, nous nous demandons alors : quel est en fait le fait fondamental, également le phénomène fondamental, dont peut dépendre toute la misère, toute la souffrance sociale absolument dans le monde ? -- La connaissance- esprit peut nous montrer ce fait fondamental en ce qu'elle nous place devant un fait qui n'est pas compris et pas reconnu par le plus grand nombre des humains aujourd'hui. Ce fait est pendant avec un phénomène fondamental de tout développement. On aimerait dire, exprime séchement, elle nous montre, par une contemplation plus profonde de la vie, que besoin, souffrance et misère ne dépendent pas seuls - et encore moins, si l'on va au fond des choses - des conditions extérieures, mais d'une certaine constitution de l'âme et en pendant avec cela avec ses effets extérieurs. Le praticien, qui se croit beaucoup plus intelligent, trouvera cela risible. Mais c'est la chose la plus pratique de la vie qui peut seulement être soulignée. C'est la proposition dont vous vous convaincrez de plus en plus que besoin, misère et souffrance ne sont rien d'autre qu'une conséquence de l'égoïsme. Nous avons à saisir cette proposition comme une loi de la nature, non pas ainsi que toujours le besoin et la souffrance doivent toujours se produire chez un être humain individuel s'il est égoïste, mais que la souffrance - peut-être dans un endroit tout à fait différent - est néanmoins pendante à cet égoïsme. Comme la cause et l'effet, l'égoïsme est pendant à la misère et à la souffrance. Dans la vie humaine, dans l'ordre social humain, l'égoïsme conduit à la lutte pour l'existence/l'être-là. La lutte pour l'existence est le point de départ réel pour la misère et la souffrance, aussi loin qu'elles sont sociales. Or, sur la base de notre manière de penser actuelle, il existe une conviction contre laquelle ce qui est affirmé maintenant semble carrément absurde. Pourquoi ? Parce qu'aujourd'hui, on est convaincu qu'une grande partie, la plus grande partie de la vie humaine, de loin, doit être construite sur l'égoïsme. Si, en paroles et en théories, on ne veut pas l'admettre, en pratique, on ne tarde pas à l'admettre. On l'admet de la manière suivante. On dit : il est tout à fait naturel que l'humain soit rémunéré pour son travail, que l'homme obtienne personnellement le produit/bénéfice de son travail - et pourtant ce n'est rien d'autre que la transposition de l'égoïsme dans la vie économique nationale. Nous vivons sous l'égoïsme dès lors que nous vivons le principe : Nous devons être rémunérés personnellement, ce que je travaille doit m'être payé. - La vérité repose si éloignée de cette pensée qu'elle semble tout à fait insensée. Celui qui veut se convaincre de la vérité sur l'égoïsme devrait une fois examiner plus intimement toutes sortes de lois du monde. Il devrait une fois s'adonner réfléchissant à la question si le travail qui est récompensé/rémunérer personnellement en tant que tel est vraiment ce qui maintient la vie, s'il s'agit de ce travail ? - C'est étrange de soulever cette question. Mais dès que l'on y réfléchi, on peut éclairer/expliquer sur la question sociale. Pensez-vous - c'est une comparaison paradoxale - un humain transférée sur une île. Il devrait s'y fournir seul. Vous direz : il doit travailler ! - Mais il ne doit pas purement travailler, ce n'est pas ce dont il s'agit, mais il doit s'ajouter quelque chose à son travail. Et si le travail est purement travail, alors dans certaines circonstances, il peut être absolument inutile pour sa vie. Pensez-y une fois, l'humain sur l'île ne ferait que jeter des pierres pendant quinze jours. Ce serait un travail astreignant, et en termes humains ordinaires, il pourrait gagner un salaire assez élevé avec. Pourtant, ce travail ne se tient pas dans le moindre rapport avec la vie. Le travail est seulement promoteur de la vie et a valeur s'y ajoute quelque chose d'autre. Si ce travail va au travail de la terre et que la terre donne le produit, alors le travail a quelque chose à voir avec la vie. Nous voyons, même chez des êtres inférieurs, que le travail est séparé de la production. Nous voyons ainsi une possibilité d'arriver à la proposition extrêmement importante que le travail en tant que tel n'a aucune signification pour la vie, mais seulement celle qui est sagement dirigée. Ce qui sert l'humain doit être amené et créé par de la sagesse déposée dedans par l'humain. La pensée sociale d'aujourd'hui pèche contre ce principe/cette proposition si elle n'est pas comprise dans les moindres détails. Et il ne s'agit pas pour quiconque d'imaginer de belles théories abstraites, mais le véritable progrès dépend de ce que chaque humain particulier apprenne à penser dans le sens social. La pensée actuelle est souvent antisociale. Par exemple, il n'est pas social que quelqu'un soit dehors un dimanche après-midi et dise, poussé par l'occasion : je vais écrire vingt cartes postales. - Il est correct et pensé socialement de savoir et d'éprouver que ces vingt cartes amèneront tant et tant de postiers à monter tant et tant d'escaliers. Il est socialement pensé que chaque action que l'on fait a un effet dans la vie. Mais voilà que quelqu'un arrive et dit qu'il a une pensée sociale dans la mesure où il se rend compte qu'en écrivant des cartes, plus de postiers doivent être employés et recevoir du pain. - C'est comme réfléchir, lors de chômage, à ce qu'on veut construire pour créer du travail. Mais il ne s'agit pas de créer du travail, mais de ce que le travail des humains soit uniquement et seulement utilisé pour créer des biens de valeur.
Si l'on va jusqu'aux dernières conséquences de cette démarche, alors cela ne semble plus si farfelu, quand est prononcée la phrase séculaire de la science de l'esprit, qui aujourd'hui sonne aussi incompréhensible que possible : Dans une coexistence sociale, l'impulsion au travail ne doit jamais résider dans la personnalité propre de l'humain, mais uniquement et seulement dans le dévouement à l'ensemble/au tout. - Cet aspect est souvent souligné, mais jamais compris de manière à ce qu'il soit clair que la misère et les difficultés proviennent du fait que l'individu veut être récompensé pour ce pour quoi il a travaillé. Mais il est vrai que le véritable progrès social est seulement possible lorsque je fais ce pour quoi je travaille au service de la totalité, et lorsque la totalité me donne ce dont j'ai besoin, lorsque, en d'autres termes, ce pour quoi je travaille ne me sert pas moi-même. Le progrès social dépend uniquement de la reconnaissance de cette proposition selon laquelle on ne veut pas du produit/de la recette de son travail sous forme de rémunération personnelle. Celui qui sait qu'il ne doit rien avoir pour lui de ce qu'il élabore, mais qu'il doit au travail de la communauté sociale, et que, inversement, il ne devrait rien réclamer pour lui, mais limiter son existence uniquement à ce que la communauté sociale lui donne, mène une entreprise à des fins bien différentes. Aussi absurde que cela puisse être pour beaucoup aujourd'hui, c'est vrai. Notre vie se tient aujourd'hui sous le signe inverse : le signe que l'humain veut réclamer de plus en plus, comme on dit, le plein rendement de son travail. Aussi longtemps que la pensée se mouvra dans cette direction, aussi longtemps nous entrerons dans des situations toujours plus graves. Cette pensée antisociale nous incite à déplacer tous les concepts. Pensez une fois comment à l'intérieur du socialisme largement étendu, est parlé d'exploiteurs et d'exploités. Qui est devant l'exploiteur clair et réfléchi et qui est l'exploité ? Voyons l'humain qui confectionne une pièce de vêtement pour un salaire de famine. Qui est son exploiteur ? Il pourrait être parlé de la personne qui achète le vêtement et le paie à un prix très bas. Est-ce que seuls les riches achètent ce vêtement ? Le même travailleur qui se plaint d'être exploité n'achète-t-il pas ce même vêtement bon marché ? Et n'exige-t-il pas aujourd'hui, dans le cadre de l'ordre social, qu'il soit le moins cher possible ? Voyez comment le travailleur manuel qui travaille avec des doigts ensanglantés toute la semaine peut porter la robe à bas prix le dimanche parce que le travail d'un autre est exploité ! Devant la lucidité/PE sée claird, cela n'a rien à voir avec la richesse ou la pauvreté, mais uniquement et seulement avec ce qu'est la représentation d'humain à humain dans notre monde. Maintenant quelqu'un pourrait facilement dire : si tu exiges que l'existence de l'humain devrait être indépendante de sa prestation, alors cet idéal est le plus bellement réalisé chez le fonctionnaire. Le fonctionnaire actuel est indépendant. La mesure de son existence ne dépend pas du produit qu'il fabrique, mais de ce qui est considéré comme nécessaire à son existence. - Certes, seulement une telle objection a vraiment son très grand défaut. Ce qui importe, c'est que chaque individu soit en état, en pleine liberté, de respecter ce principe et le transposer dans sa vie. Il ne s'agit pas que ce principe soit exécuté par la force/le pouvoir général. Ce principe de rendre ce qui est personnellement acquis et à acquérir indépendant de ce que l'on travaille pour la totalité doit être transposé dans la vie humaine individuelle. Et comment s'affirme-t-il ?
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Egoismus
als tiefere Ursache der Arbeitslosigkeit Thema: Der Egoismus als Grundphänomen des sozialen Elends auf der geistig-seelische Ebene wirkt wie ein Naturgesetz; Egoismus ist heute im Wirtschaftsleben vorherrschend, z. B. in unserer Einkommensordnung, doch eigentlich Lebenserhaltend ist nicht die Arbeit an sich, sondern die weise geleitete Arbeit. Unsoziales Denken heute: Arbeitslosigkeit, Ausbeutung. Lösung: Freiwillige Trennung von Arbeit und Einkommen. Quelle: GA 54 \cite{ga054}, Seite 95-101, 2/1983, 02.03.1908 Verhältnisse -- davon sind wir ausgegangen -- werden vielfach als dasjenige angesehen, was den Menschen anders machen könnte, und man denkt abstrakt nach, wie Verhältnisse geändert werden können. Die Geisteswissenschaft hat es einzig und allein zu tun mit der realen Menschenseele, mit Verhältnissen von Mensch zu Mensch. Nun würde es heute ganz unmöglich sein, auf einzelne konkrete Dinge in bezug auf die soziale Frage einzugehen. Es darf aber doch auf dies oder jenes hingewiesen werden, wollen wir die Bausteine finden, die uns den Weg weisen, da wo wir im Leben stehen, in richtiger Art einzugreifen. Denn an jedem von uns liegt es, einzugreifen. Wollen wir die Bausteine finden, dann fragen wir uns: Was ist denn eigentlich die Grundtatsache, gleichsam das Grundphänomen, von dem alles Elend, alles soziale Leid überhaupt in der Welt abhängen kann? -- Diese Grundtatsache kann uns die Geist-Erkenntnis zeigen, indem sie uns vor eine, heute von der größten Zahl der Menschen gar nicht verstandene und gar nicht anerkannte Tatsache stellt. Diese Tatsache hängt zusammen mit einer Grunderscheinung aller Entwickelung. Man möchte sagen, trocken ausgesprochen, sie zeigt uns durch eine tiefere Lebensbetrachtung, daß Not, Leid und Elend nicht allein -- und am allerwenigsten, wenn man auf den Grund geht -- abhängt von äußeren Verhältnissen, sondern von einer gewissen Seelenverfassung und im Zusammenhang damit mit deren äußeren Wirkungen. Der Praktiker, der sich viel gescheiter dünkt, wird das lächerlich finden. Aber es ist das Praktischste im Leben, was man nur betonen kann. Es ist der Satz, von dem Sie sich mehr und mehr überzeugen werden, daß Not, Elend und Leid nichts anderes sind als eine Folge des Egoismus. Wie ein Naturgesetz haben wir diesen Satz aufzufassen, nicht so, daß etwa bei einem einzelnen Menschen, wenn er egoistisch ist, immer Not und Leid eintreten müssen, sondern daß das Leid - vielleicht an einem ganz andern Orte -- doch mit diesem Egoismus zusammenhängt. Wie Ursache und Wirkung, hängt der Egoismus mit Not und Leid zusammen. Der Egoismus führt im Menschenleben, in der sozialen Menschenordnung, zum Kampf ums Dasein. Der Kampf ums Dasein ist der eigentliche Ausgangspunkt für Not und Leid, sofern sie sozial sind. Nun gibt es auf Grund unserer heutigen Denkweise eine Überzeugung, gegenüber welcher das, was jetzt behauptet ist, geradezu absurd erscheint. Warum? Weil man heute überzeugt ist, daß ein großer Teil, der weitaus größte Teil des menschlichen Lebens, auf Egoismus gebaut sein muß. Zwar mit Worten und Theorien will man es nicht zugeben, aber in der Praxis wird man es bald zugeben. Man gibt es in folgender Weise zu. Man sagt: Es ist ganz natürlich, daß der Mensch für seine Arbeit entlohnt wird, daß der Mensch den Ertrag seiner Arbeit persönlich erhält - und doch ist das nichts anderes als die Umsetzung des Egoismus in das nationalökonomische Leben. Wir leben unter Egoismus sobald wir dem Prinzip leben: Wir müßten persönlich entlohnt werden, was ich arbeite, muß mir bezahlt werden. - Die Wahrheit liegt von diesem Gedanken so weit ab, daß sie ganz unsinnig erscheint. Wer sich überzeugen will von der Wahrheit über den Egoismus, der müßte einmal intimer eingehen auf allerlei Weltengesetze. Er müßte sich einmal nachdenklich der Frage hingeben, ob denn die Arbeit, die als solche persönlich entlohnt wird, wirklich das Lebenerhaltende ist, ob es auf diese Arbeit ankommt? - Es ist sonderbar, diese Frage aufzuwerfen. Aber nicht eher, als man darüber nachdenken wird, wird man über die soziale Frage aufklären können. Denken Sie sich - es ist dies ein paradoxer Vergleich - einen Menschen auf eine Insel versetzt. Der sollte dort allein sich versorgen. Sie werden sagen: Er muß arbeiten! - Er muß aber nicht bloß arbeiten, das ist nicht das, worauf es ankommt, sondern es muß zu seiner Arbeit etwas hinzutreten. Und wenn die Arbeit bloß Arbeit ist, dann kann sie unter Umständen für sein Leben absolut nutzlos sein. Denken Sie einmal, der Mensch auf der Insel täte gar nichts, als vierzehn Tage lang Steine werfen. Das wäre eine anstrengende Arbeit, und nach gewöhnlichen menschlichen Begriffen könnte er damit recht viel Lohn verdienen. Dennoch steht diese Arbeit mit dem Leben nicht im geringsten Zusammenhang. Arbeit ist nur dann lebenfördernd und hat Wert, wenn etwas anderes hinzukommt. Wenn diese Arbeit auf das Bearbeiten der Erde geht und die Erde das Produkt gibt, dann hat Arbeit mit dem Leben etwas zu tun. Wir sehen sogar bei niedrigen Wesen, daß Arbeit getrennt ist von der Produktion. So sehen wir eine Möglichkeit, zu dem ungeheuer wichtigen Satze zu kommen, daß Arbeit als solche gar keine Bedeutung hat für das Leben, sondern nur diejenige, die weise geleitet ist. Durch von Menschen hineingelegte Weisheit ist dasjenige hervorzubringen und zu schaffen, was dem Menschen dient. Im Kleinsten nicht verstanden, sündigt das heutige soziale Denken gegen diesen Satz. Und es kommt nicht darauf an, daß irgend jemand schöne abstrakte Theorien ausdenkt, sondern der wirkliche Fortschritt hängt davon ab, daß jeder einzelne Mensch im sozialen Sinne denken lernt. Das heutige Denken ist vielfach unsozial. Unsozial ist es zum Beispiel, wenn jemand am Sonntagnachmittag draußen ist und sagt, angeregt durch Gelegenheit: Ich werde zwanzig Ansichtskarten schreiben. - Richtig ist es und sozial gedacht, zu wissen und zu empfinden, daß diese zwanzig Karten so und so viele Briefträger veranlassen, so und so viele Treppen zu steigen. Sozial gedacht ist es, zu wissen, daß jede Handlung, die man tut, im Leben eine Wirkung hat. Nun kommt aber jemand und sagt, er denke sozial insofern, als ihm klar sei, daß durch das Kartenschreiben mehr Briefträger angestellt werden müssen und Brot bekommen. - Das ist ebenso, wie wenn man bei einer Arbeitslosigkeit aussinnt, was man bauen will, um Arbeit zu schaffen. Aber es kommt nicht darauf an, Arbeit zu schaffen, sondern darauf, daß die Arbeit der Menschen einzig und allein verwendet wird, wertvolles Gut zu schaffen. Wenn man dies bis in die letzten Konsequenzen durchgeht, dann kommt es einem nicht mehr so absonderlich vor, wenn der uralte Satz der Geisteswissenschaft ausgesprochen wird, der heute so unverständlich wie möglich klingt: In einem sozialen Zusammenleben muß der Antrieb zur Arbeit niemals in der eigenen Persönlichkeit des Menschen liegen, sondern einzig und allein in der Hingabe für das Ganze. - Das wird auch öfter betont, aber niemals so verstanden, daß man sich klar ist, daß Elend und Not davon kommen, daß der einzelne das, was er erarbeitet, für sich entlohnt haben will. Wahr ist es aber, daß wirklicher sozialer Fortschritt nur möglich ist, wenn ich dasjenige, was ich erarbeite, im Dienste der Gesamtheit tue, und wenn die Gesamtheit mir selbst dasjenige gibt, was ich nötig habe, wenn, mit andern Worten, das, was ich arbeite, nicht für mich selber dient. Von der Anerkennung dieses Satzes, daß einer das Erträgnis seiner Arbeit nicht in Form einer persönlichen Entlohnung haben will, hängt allein der soziale Fortschritt ab. Zu ganz andern Zielen führt jemand eine Unternehmung, der da weiß, daß er nichts für sich haben soll von dem, was er erarbeitet, sondern daß er der sozialen Gemeinschaft Arbeit schuldet, und daß, umgekehrt, er nichts für sich beanspruchen soll, sondern seine Existenz einzig auf das beschränkt, was ihm die soziale Gemeinschaft schenkt. So absurd dies heute für viele ist, so wahr ist es. Unser Leben steht heute unter dem entgegengesetzten Zeichen: in dem Zeichen, daß der Mensch immer mehr beanspruchen will, wie man sagt, den vollen Ertrag seiner Arbeit. Solange das Denken sich in dieser Richtung bewegen wird, so lange wird man in immer üblere Lagen hineinkommen. Dieses unsoziale Denken verleitet dazu, alle Begriffe zu verschieben. Denken Sie einmal, wie innerhalb des weitverbreiteten Sozialismus von Ausbeutern und Ausgebeuteten die Rede ist. Wer ist vor dem klaren, Denken Ausbeuter und wer ist der Ausgebeutete? Sehen wir den Menschen an, der für einen Hungerlohn ein Kleidungsstück arbeitet. Wer ist sein Ausbeuter? Es könnte von jenem die Rede sein, der das Kleidungsstück kauft und dafür einen ganz geringen Preis bezahlt. Kauft etwa nur der Reiche dieses Kleidungsstück? Kauft nicht derselbe Arbeiter, der über Ausbeutung klagt, dieses selbe billige Kleidungsstück? Und verlangt er nicht heute, innerhalb der sozialen Ordnung, daß es so billig wie möglich sein soll? Sehen Sie, wie die Handarbeiterin, die mit blutigen Fingern die Woche arbeitet, am Sonntag das Kleid für einen billigen Preis deshalb tragen kann, weil die Arbeitskraft eines andern Menschen ausgebeutet wird! Nichts hat das vor dem klaren Denken mit Reichtum oder Armut zu tun, sondern einzig und allein mit dem, was in unserer Welt unsere Vorstellung von Mensch zum Menschen ist. Nun könnte leicht jemand sagen: Wenn du forderst, daß des Menschen Existenz unabhängig sein soll von seiner Leistung, dann ist das Ideal am schönsten erfüllt beim Beamten. Der heutige Beamte ist unabhängig. Das Maß seiner Existenz ist nicht abhängig von dem Produkte, das er hervorbringt, sondern von dem, was man für seine Existenz für notwendig hält. - Gewiß, nur hat ein solcher Einwand wirklich seinen sehr großen Fehler. Es kommt darauf an, daß jeder einzelne in voller Freiheit imstande ist, dieses Prinzip zu respektieren und in das Leben umzusetzen. Nicht kommt es darauf an, daß dieses Prinzip durch allgemeine Gewalt durchgeführt wird. Es muß sich dieses Prinzip, das persönlich Erworbene und zu Erwerbende unabhängig zu machen von dem, was man für die Gesamtheit arbeitet, bis ins einzelne Menschenleben durchsetzen. Und wie setzt es sich durch? Es gibt nur eines, wie es sich durchsetzen kann, eines, was dem sogenannten Praktiker recht unpraktisch erscheinen wird. Es muß Gründe geben, warum der Mensch doch arbeitet, und zwar recht fleißig arbeitet und hingebungsvoll, wenn nicht mehr der Eigennutz der Antrieb zu seiner Arbeit ist. Derjenige schafft in Wahrheit nichts Wirkliches in bezug auf das soziale Leben, der sich irgendeine Leistung patentieren läßt und damit zeigt, daß er den Eigennutz für das Bedeutsame im Leben hält. Jener aber schafft wirklich für das Leben, der durch seine Kräfte zu richtigen Leistungen lediglich durch Liebe geführt wird, durch Liebe zur ganzen Menschheit, der er gern und willig seine Arbeit gibt. So muß der Impuls zur Arbeit in etwas ganz anderem liegen als in der Entlohnung. Und das ist die Lösung der sozialen Frage: Trennung der Entlohnung von der Arbeit. Denn das ist eine Weltanschauung, die auf den Geist geht, um im Menschen solche Impulse zu erwecken, daß er nicht mehr sagt: Wenn nur meine Existenz gesichert ist, dann kann ich auch faul sein. -- Daß er das nicht sagt, das kann nur durch eine auf den Geist gehende Weltanschauung erzielt werden. Aller Materialismus wird auf die Dauer einzig und allein zu dem Entgegengesetzten führen. |
Altruisme objectif et égoïsme subjectif (retour) Sujet
: Cause de la misère sociale : la
contradiction entre l'économie
mondialement interconnectée par la
division du travail et la motivation
égoïste à travailler par l'ordre des
revenus, entre le travail objectif
pour tous les autres êtres humains et
le travail subjectif pour soi-même. Source : GA 23, page 106-107, 6/1976, 28.04.1919 On parle beaucoup de la division moderne du travail, de ses effets en temps épargné, perfectionnement des marchandises, échange de marchandises, et ainsi de suite ; mais on s'intéresse peu à la façon dont elle influence le rapport de l'humain individuel avec sa prestation de/du travail. Celui qui travaille dans un organisme social organisé pour la division du travail n'acquiert en fait jamais lui-même son revenu, mais l'acquiert par le travail de tous ceux qui participent à l'organisme social. Un tailleur qui fabrique un costume pour son propre usage ne place pas ce costume dans le même rapport qu'un humain qui, dans des conditions primitives, doit encore se procurer lui-même tout ce qui est nécessaire à sa subsistance. Il fabrique le costume pour lui-même afin de pouvoir fabriquer des vêtements pour d'autres ; et la valeur du costume pour lui dépend entièrement des prestations aux/des autres. Le costume est en fait un moyen de production. Maints diront qu'il s'agit d'une division des concepts/d'un pinaillage. Aussitôt qu'il se penchera sur la formation de la valeur des marchandises dans le cycle économique, il ne pourra plus avoir cette opinion. Il verra alors que dans un organisme économique basé sur la division du travail, on ne peut pas du tout travailler pour soi-même. On peut seulement travailler pour d'autres et laisser d'autres travailler pour soi. On peut justement tout aussi peu travailler pour soi que se nourrir de soi. Mais on peut établir des institutions qui contredisent l'essence de la division du travail. Cela se passe lorsque la production de biens est mise en place uniquement pour livrer à l'individu/l'humain particulier comme propriété ce qu'il peut quand même seulement produire comme prestation par sa position dans l'organisme social. La division du travail presse l'organisme social de telle sorte que l'individu y vit selon les conditions/rapports de l'organisme d'ensemble ; elle exclut économiquement l'égoïsme. Si cet égoïsme est alors quand même disponible sous la forme de privilèges de classe et semblables, ainsi apparaît un contexte socialement intenable qui conduit à des ébranlements dans l'organisme social. Nous vivons actuellement dans de tels contextes. Il y en a peut-être qui ne voient pas d'un bon œil que l'on exige que les rapports de droit et d'autres doivent s'orienter selon la création libre d'égoïsme de la division du travail. Un tel aimerait alors seulement tirer la conséquence de ses présupposés. Celle-ci serait : on ne pourrait absolument rien faire ; le mouvement social ne pourrait mener à rien. On peut en rapport à ce mouvement, toutefois ne peut rien faire de fructueux si l'on ne veut pas donner à la réalité son droit. |
Objektiver
Altruismus und subjektiver Egoismus Thema: Ursache von sozialem Elend: Der Widerspruch zwischen der weltweit verflochtenen Wirtschaft durch Arbeitsteilung und der egoistischen Arbeitsmotivation durch die Einkommensordnung, zwischen objektiver Arbeit für alle Mitmenschen und subjektiver Arbeit für sich Quelle: GA 23, Seite 106-107, 6/1976, 28. Man spricht viel von der modernen Arbeitsteilung, von deren Wirkung als Zeitersparnis, Warenvollkommenheit, Warenaustausch und so weiter; aber man berücksichtigt wenig, wie sie das Verhältnis des einzelnen Menschen zu seiner Arbeitsleistung beeinflußt. Wer in einem auf Arbeitsteilung eingestellten sozialen Organismus arbeitet, der erwirbt eigentlich niemals sein Einkommen selbst, sondern er erwirbt es durch die Arbeit aller am sozialen Organismus Beteiligten. Ein Schneider, der sich zum Eigengebrauch einen Rock macht, setzt diesen Rock zu sich nicht in dasselbe Verhältnis wie ein Mensch, der in primitiven Zuständen noch alles zu seinem Lebensunterhalte Notwendige selbst zu besorgen hat. Er macht sich den Rock, um für andere Kleider machen zu können; und der Wert des Rockes für ihn hängt ganz von den Leistungen der andern ab. Der Rock ist eigentlich Produktionsmittel. Mancher wird sagen, das sei eine Begriffsspalterei. Sobald er auf die Wertbildung der Waren im Wirtschaftskreislauf sieht, wird er diese Meinung nicht mehr haben können. Dann wird er sehen, daß man in einem Wirtschaftsorganismus, der auf Arbeitsteilung beruht, gar nicht für sich arbeiten kann. Man kann nur für andere arbeiten, und andere für sich arbeiten lassen. Man kann ebensowenig für sich arbeiten, wie man sich selbst aufessen kann. Aber man kann Einrichtungen herstellen, welche dem Wesen der Arbeitsteilung widersprechen. Das geschieht, wenn die Gütererzeugung nur darauf eingestellt wird, dem einzelnen Menschen als Eigentum zu überliefern, was er doch nur durch seine Stellung im sozialen Organismus als Leistung erzeugen kann. Die Arbeitsteilung drängt den sozialen Organismus dazu, daß der einzelne Mensch in ihm lebt nach den Verhältnissen des Gesamtorganismus; sie schließt wirtschaftlich den Egoismus aus. Ist dann dieser Egoismus doch vorhanden in Form von Klassenvorrechten und dergleichen, so entsteht ein sozial unhaltbarer Zustand, der zu Erschütterungen des sozialen Organismus führt. In solchen Zuständen leben wir gegenwärtig. Es mag manchen geben, der nichts davon hält, wenn man fordert, die Rechtsverhältnisse und anderes müssen sich nach dem egoismusfreien Schaffen der Arbeitsteilung richten. Ein solcher möge dann nur aus seinen Voraussetzungen die Konsequenz ziehen. Diese wäre: man könne überhaupt nichts tun; die soziale Bewegung könne zu nichts führen. Man kann in bezug auf diese Bewegung allerdings Ersprießliches nicht tun, wenn man der Wirklichkeit nicht ihr Recht geben will.
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Associations et triarticulation (retour) Sujet :
Cause du chômage : le manque de
gestion économique saine et
l'interconnexion des trois sous-systèmes. Avant la guerre mondiale, il y a eu des gens qui disaient qu'une catastrophe de cette sorte ne pouvait être de longue durée. Les conditions/rapports économiques mondiaux qui se sont développées pour le présent, avec les relations compliquées des peuples, devraient bientôt créer des conditions par lesquelles une telle guerre ne pourrait être poursuivie.
C'était la "perspicacité d'économie de peuple" qui parlait ainsi. La réalité a parlé autrement. Elle a pénétré plus profondément avec son langage. Elle a dépassé les pendants économique mondiaux. Et aujourd'hui, de ce dépassement est venu en chaos économique mondial. Un symptôme amer - parmi d'autres - agit à partir de ce chaos : le chômage. Ses origines sont volontiers tout aussi obscures pour la "perspicacité d'économie de peuple" que celles de la longue durée de la guerre. Cependant, tant la longue durée de la guerre que le chômage, et bien d'autres choses, montrent quand même clairement que la "perspicacité d'économie de peuple" qui a jugé là n'est justement pas une véritable perspicacité. Dans l'émergence de l'économie mondiale, les nécessités historiques de l'évolution de l'humanité ont ouvrées. Les institutions qui ont été mises en place dans cette évolution ont cependant été influencées dans une haute mesure par des intentions politiques qui allaient à l'encontre des nécessités économiques. Une économie mondiale qui n'aurait pas été contrariée par la sorte de pensée politique n'aurait jamais pu former les rapports de valeurs/devises qui paralysent et corrompent aujourd'hui toute activité économique. L'émergence de l'économie mondiale poussait à créer des corps administratifs pour la vie économique qui travaillent seulement à partir des conditions de l'économie elle-même. De tels corps administratifs peuvent seulement être des associations qui résultent des conditions de production, de consommation, de circulation des marchandises. Seules à de telles associations il est possible de façonner l'interaction des trois facteurs mentionnés de telle sorte que, par exemple, d'une production malsaine d'un côté, de l'autre d'innombrables humains soit retiré la possibilité de production. Le chômage ne peut être que le résultat d'une gestion économique malsaine. Il n'est pas prétend ici que le chômage peut être combattu par telle ou telle recette théoriquement conçue. Ce serait pensé utopique. Il est pensé, c'est que dans l'ouvrage vivant d'associations, qui proviennent des besoins de l'économie elle-même, une façon de penser peut se développer qui a des conditions saines pour conséquences. Ce n'est que dans une vie de l'économie qui se développe ainsi qu'une politique saine peut se déployer. Aussi longtemps qu'il n'y avait pas d'économie mondiale, les intentions politiques pouvaient se développer de l'ancienne façon. Car les économies particulières de peuple pouvaient se façonner dans leur sens. L'économie mondiale peut seulement se développer en une forme saine à partir de ses propres conditions. Et de même manière que le développement de l'économie mondiale tend vers une administration économique associative indépendante, ainsi par des nécessités historiques, la nouvelle/récente vie de l'esprit tend vers une formation à partir de ses propres conditions. Lord Cecil rêve de l'avenir de la Société des Nations. Car ce qu'il a dit à la conférence de la Société des Nations est donc un rêve, celui que"plus tard une fois" cette Société des Nations apportera le salut au monde par la participation des hommes d'État de tous les pays à des débats impressionnants. Ce "rêve" provient de la même racine que la "perspicacité" selon laquelle une guerre mondiale ne pouvait être de longue durée à cause de l'économie mondiale. De la même racine pourrait aussi jaillir la "perspicacité" qu' l'intérieur de l'économie mondiale, un chômage de l'ampleur de celui qui règne aujourd'hui ne pourrait se donner. Si l'économie mondiale avait été efficace à partir de ses conditions, ainsi nous n'aurions eu aucune guerre mondiale. Sa longueur avait son origine dans l'inefficacité des soubassements de l'économie mondiale. Les débats dont rêve Lord Cecil peuvent seulement devenir une réalité fructueuse s'ils ne créent pas dans la vie des peuples des causes qui, en fait, ne "peuvent être" là du tout, comme donc, selon la "perspicacité d'économie de peuple", les causes pour une longue durée de la guerre n'étaient pas du tout là. Mais grâce à la "perspicacité" politique, l'impossible économique mondial fut quand même possible. Les "perspicaces politiques" ont volontiers aussi eu des rêves qui, de l'avis des "perspicaces économiques", n'avaient aucune possibilité de réalisation. La confiance dans la réalisation de rêves à la façon de Lord Cecil ne peut être grande après les expériences de ces dernières années. Une Société des Nations a besoin de politiciens mondiaux. Ils doivent remplacer les "rêves" dans le style de la politique jusqu'à présent par la doctrine qui dit si fort à quel point cette politique jusqu'à présent a gâché à l'économie mondiale. Elle n'a justement même pas pensé aux conditions indépendantes de l'économie mondiale. Dans les débats qui se donnent sur la base d'une vie associative de l'économie, les forces économiques se déverseront d'elles-mêmes. Elles pourront être plus courtes que les politico-économiques. Car une grande partie de l'essentiel se vivra non en discours mais dans le faire des personnalités se tenant dans les associations. Ce qui sera dit, sera seulement ce qui donne direction au faire. Les hommes politiques qui pensent réellement en termes d'économie mondiale pourront se tenir à leurs côtés et travailler fructueusement avec eux. [...] L'interaction chaotique de la politique, de vie de l'esprit et d'économie enterre cet assainissement. Elle produit des rêves d'homme d'État, tout comme une interaction chaotique des fonctions organiques chez l'humain produit des rêves douteux. Il serait temps d'apprendre à distinguer les rêves des vraies réalités dans la vie publique des peuples. Car les rêves ne sont pas non plus inefficaces. S'ils ne sont pas perçus dans leur caractère de rêve, alors ils produisent de fausses réalités. La guerre mondiale est donc quand même la conséquence de ce que beaucoup de gens se sont trouvé trop volontiers dans les rêves pour ne pas dormir face à la vraie réalité. |
Assoziationen und Dreigliederung
Thema: Ursache von Arbeitslosigkeit: Das Fehlen einer gesunden Wirtschaftsverwaltung und die Verflechtung der drei Subsysteme.
Quelle: GA 36 \cite{ga036}, Aufsatz «Arbeitslosigkeit», Seite 30-33, 1/1961, 09.10.1921
Es hat vor dem Weltkriege Leute
gegeben, die sagten, eine Katastrophe dieser Art könne
nicht von langer Dauer sein. Die weltwirtschaftlichen
Verhältnisse, die sich für die Gegenwart
herausgebildet haben, mit den komplizierten
Beziehungen der Völker, müßten bald Zustände
herbeiführen, durch die ein solcher Krieg nicht
fortgesetzt werden könnte.
Niemals hätten aus einer Weltwirtschaft,
die von politischer Denkart nicht durchkreuzt worden
wäre, die Valutaverhältnisse sich bilden können, die
jetzt alles Wirtschaften lahmlegen und korrumpieren.
Und in einer ähnlichen Weise, wie die
Entwickelung der Weltwirtschaft zu einer selbständigen
assoziativen Wirtschaftsverwaltung hinstrebt, so durch
die geschichtlichen Notwendigkeiten das neuere
Geistesleben zu einer Gestaltung aus seinen eigenen
Bedingungen heraus.
Das Vertrauen in die Verwirklichung von
Träumen in der Art des Lord Cecil kann nach den
Erfahrungen der letzten Jahre kein großes sein.
Das chaotische Zusammenwirken von Politik, Geistesleben und Wirtschaft untergräbt diese Gesundung. Es erzeugt staatsmännische Träume, wie ein chaotisches Zusammenwirken der organischen Funktionen im Menschen bedenkliche Träume erzeugt. Es wäre an der Zeit, einmal im öffentlichen Leben der Völker Träume von wahren Wirklichkeiten unterscheiden zu lernen. Denn unwirksam sind auch Träume nicht. Wenn sie nämlich in ihrem Traumcharakter nicht durchschaut werden, dann erzeugen sie falsche Wirklichkeiten. Der Weltkrieg ist ja doch die Folge davon gewesen, daß viele Leute in dem Träumen sich zu wohl befunden haben, um die wahre Wirklichkeit nicht zu verschlafen. |
(retour) La vie de l'économie s'efforce de se façonner à partir de ses propres forces, indépendamment des institutions étatiques, mais aussi de la manière de penser étatique. Elle pourra cela seulement si, de points de vue purement économique, des associations se forment, qui se rassemblent de cercles de consommateurs, de propulsant le commerce et de producteurs. L'ampleur de telles associations se régulera d'elle-même en fonction des conditions/rapports de la vie. Des associations trop petites seraient trop coûteuses, de trop grandes seraient trop embrouillées économiquement. Chaque association trouvera son chemin vers l'autre pour des échanges régulés, à partir des besoins de la vie. On n'a pas besoin d'être préoccupé que celui qui doit passer sa vie dans un changement de lieu fréquent soit entravé par de telles associations. Il trouvera facilement le passage de l'une dans l'autre si ce n'est pas l'organisation étatique mais les intérêts économiques qui provoquent le transfert. Des institutions sont concevables au sein d'un tel système associatif qui fonctionnent/œuvrent avec la facilité des transactions monétaires/de la circulation de l'argent. À l'intérieur d'une association, une harmonie étendue des intérêts peut régner par l'expertise et l'aspect pratique. Ce ne sont pas des lois qui règlent la production, la circulation et la consommation des biens, mais les humains, en fonction de leur perspicacité et de leur intérêt immédiats. Par le se tenir dans la vie associative, les humains peuvent avoir cette nécessaire perspicacité ; par ce que l'intérêt doit s'équilibrer/se compenser contractuellement avec l'intérêt, les biens circuleront dans leurs valeurs correspondantes. Un tel rassemblement selon des points de vue économiques est quelque chose d'autre que, par exemple, dans les syndicats modernes. Ceux-ci ont un effet sur la vie économique, mais ils ne se constituent pas selon des points de vue économiques. Ils sont formés d'après les principes qui se sont formés dans les temps récents à partir du maniement de points de vue étatiques, politiques. En eux on parlemente ; on ne s'accorde pas selon les points de vue économiques sur ce que l'un à à fournir à l'autre. Dans les associations, ne siégeront pas de "travailleurs salariés" qui, par leur pouvoir, exigent d'un entrepreneur de travail un salaire aussi élevé que possible, mais des travailleurs manuels collaborent avec les dirigeants spirituels de la production et avec les intéressées à la consommation de ce qui est produit, afin de façonner les prestations en fonction des contre-prestations par à la régulation des prix. Cela ne peut se passer par parlementer dans des assemblées. On devrait être préoccupé par de telles. Car qui devrait travailler si d'innombrables humains devaient passer leur temps à des négociations sur le travail ? Dans les accords d'humain à humain, d'association à association, tout se déroule à côté du travail. Pour cela, il est nécessaire que le rassemblement corresponde aux vues/perspicacités des travailleurs et aux intérêts des consommant. Avec cela n'est pas dessinée une utopie. Car il n'est pas du tout dit : ceci ou cela doit être institué. Il sera seulement indiqué comment les humains s'institueront eux-mêmes les choses s'ils veulent travailler dans des communautés qui correspondent à leurs perspicacités/vues et à leurs intérêts. D'un côte, la nature humaine veille à ce qu'ils s'unissent dans de telles communautés, si ils ne sont pas entravées par intervention/immixtion étatique ; car la nature produit les besoins. De l'autre côté, une vie de l'esprit libre peut veiller à cela, car elle amène en état les vues qui devraient œuvrer dans la communauté. Qui pense à partir de l'expérience doit admettre que de telles communautés associatives peuvent apparaître à chaque instant, qu'elles ne contiennent rien d'utopique. Rien d'autre se tient dans le chemin que l'humain contemporain qui veut "organiser" la vie économique de l'extérieur, en ce sens que la pensée de l'"organisation" est devenue pour lui une suggestion. Cet organiser, qui veut rassembler les humains du dehors pour la production, se tient vis-à-vis de cette organisation économique qui repose sur la libre association comme son antithèse/sa contre-image. Par l'associer, l'humain se lie avec un autre, et ce qui a mesure de plan de l'ensemble naît de la raison synthétique de l'individu. -- On pourrait donc dire : à quoi sert que les dépourvus de possession s'associent avec les possédants ? On peut trouver mieux quand toute la production et la consommation sera "justement/correctement" réglé de l'extérieur. Mais cette régulation organisationnelle subordonne le libre pouvoir créatif de l'individu, et elle prive la vie de l'économie de l'apport de ce qui ne peut jaillir que de ce libre pouvoir créatif. Et qu'on l'essaye seulement même une fois, malgré tous les préjugés, avec l'association des dépourvus de possession avec les possédants. Si des forces autres qu'économiques n'interviennent pas, alors le possédant devra nécessairement compenser le dépourvu de possession par une contre-prestation. Aujourd'hui, on parle sur de telles choses non pas à partir des instincts de vie qui font souche de l'expérience, mais des humeurs qui se sont développées non d'intérêts économiques, mais de classe et d'autres. Elles ont pu se développer parce qu'à l'époque moderne, où la vie économique est tout de suite devenue toujours plus compliquée, on ne pouvait pas y répondre/la suivre avec des idées purement économiques. La vie de l'esprit non libre a empêché cela. Les humains qui font l'économie se tiennent dans la routine de la vie ; les forces créatrices à l'œuvre dans l'économie ne leur sont pas transparentes. Ils travaillent sans avoir une vision dans le tout de la vie humaine. Dans les associations, l'un apprendra par l'autre ce qu'il doit nécessairement savoir. Une expérience économique de ce qui est possible se formera, parce que des humains, dont chacun a la perspicacité et l'expérience dans son propre domaine, jugeront ensemble. De même que, dans la vie de l'esprit libre, seules les forces qui se trouvent en son sein sont efficaces, de même, dans le système économique façonné associativement, seules les valeurs économiques qui se forment par les associations sont efficaces. Ce que l'individu doit faire dans la vie économique résulte de sa vie commune avec ceux avec qui il est associé économiquement. Il aura donc sur l'économie générale autant d'influence que celle qui correspond à sa prestation. Comment les non-capables de prestation s'intègrent/s'articulent à la vie économique, c'est ce qui est traité dans cet écrit. Protéger les faibles contre les forts peut une vie économique qui est seulement façonnée à partir de ses propres forces. |
Was sind Assoziationen ?
GA 23, Seite 14-17, 6/1976, 1920
Innerhalb einer Assoziation kann aus
Fachkenntnis und Sachlichkeit eine weitgehende
Harmonie der Interessen herrschen. Nicht Gesetze
regeln die Erzeugung, die Zirkulation und den
Verbrauch der Güter, sondern die Menschen aus ihrer
unmittelbaren Einsicht und ihrem Interesse heraus.
Durch ihr Drinnenstehen im assoziativen Leben können
die Menschen diese notwendige Einsicht haben; dadurch,
daß Interesse mit Interesse sich vertragsmäßig
ausgleichen muß, werden die Güter in ihren
entsprechenden Werten zirkulieren. Ein solches
Zusammenschließen nach wirtschaftlichen
Gesichtspunkten ist etwas anderes als zum Beispiele
das in den modernen Gewerkschaften. Diese wirken sich
im wirtschaftlichen Leben aus; aber sie kommen nicht
nach wirtschaftlichen Gesichtspunkten zustande. Sie
sind den Grundsätzen nachgebildet, die sich in der
neueren Zeit aus der Handhabung der staatlichen, der
politischen Gesichtspunkte heraus gestaltet haben. Man
parlamentarisiert in ihnen; man kommt nicht nach
wirtschaftlichen Gesichtspunkten überein, was der eine
dem andern zu leisten hat. In den Assoziationen werden
nicht «Lohnarbeiter» sitzen, die durch ihre Macht von
einem Arbeit-Unternehmer möglichst hohen Lohn fordern,
sondern es werden Handarbeiter mit den geistigen
Leitern der Produktion und mit den konsumierenden
Interessenten des Produzierten zusammenwirken, um
durch Preisregulierungen Leistungen entsprechend den
Gegenleistungen zu gestalten. Das kann nicht durch
Parlamentieren in Versammlungen geschehen. Vor solchen
müßte man besorgt sein. Denn, wer sollte arbeiten,
wenn unzählige Menschen ihre Zeit mit Verhandlungen
über die Arbeit verbringen müßten? In Abmachungen von
Mensch zu Mensch, von Assoziation zu Assoziation
vollzieht sich alles neben der Arbeit. Dazu ist nur
notwendig, daß der Zusammenschluß den Einsichten der
Arbeitenden und den Interessen der Konsumierenden
entspricht. Damit wird nicht eine Utopie gezeichnet. Denn es wird gar nicht gesagt: Dies soll so oder so eingerichtet werden. Es wird nur darauf hingedeutet, wie die Menschen sich selbst die Dinge einrichten werden, wenn sie in Gemeinschaften wirken wollen, die ihren Einsichten und ihren Interessen entsprechen. Daß sie sich zu solchen Gemeinschaften zusammenschließen, dafür sorgt einerseits die menschliche Natur, wenn sie durch staatliche Dazwischenkunft nicht gehindert wird; denn die Natur erzeugt die Bedürfnisse. Andrerseits kann dafür das freie Geistesleben sorgen, denn dieses bringt die Einsichten zustande, die in der Gemeinschaft wirken sollen. Wer aus der Erfahrung heraus denkt, muß zugeben, daß solche assoziative Gemeinschaften in jedem Augenblick entstehen können, daß sie nichts von Utopie in sich schließen. Ihrer Entstehung steht nichts anderes im Wege, als daß der Mensch der Gegenwart das wirtschaftliche Leben von außen «organisieren» will in dem Sinne, wie für ihn der Gedanke der «Organisation» zu einer Suggestion geworden ist. Diesem Organisieren, das die Menschen zur Produktion von außen zusammenschließen will, steht diejenige wirtschaftliche Organisation, die auf dem freien Assoziieren beruht, als sein Gegenbild gegenüber. Durch das Assoziieren verbindet sich der Mensch mit einem andern; und das Planmäßige des Ganzen entsteht durch die Vernunft des einzelnen. -- Man kann ja sagen: Was nützt es, wenn der Besitzlose mit dem Besitzenden sich assoziiert? Man kann es besser finden, wenn alle Produktion und Konsumtion von außen her «gerecht» geregelt wird. Aber diese organisatorische Regelung unterbindet die freie Schaffenskraft des einzelnen, und sie bringt das Wirtschaftsleben um die Zufuhr dessen, was nur aus dieser freien Schaffenskraft entspringen kann. Und man versuche es nur einmal, trotz aller Vorurteile, sogar mit der Assoziation des heute Besitzlosen mit dem Besitzenden. Greifen nicht andere als wirtschaftliche Kräfte ein, dann wird der Besitzende dem Besitzlosen die Leistung notwendig mit der Gegenleistung ausgleichen müssen. Heute spricht man über solche Dinge nicht aus den Lebensinstinkten heraus, die aus der Erfahrung stammen; sondern aus den Stimmungen, die sich nicht aus wirtschaftlichen, sondern aus Klassen- und anderen Interessen heraus entwickelt haben. Sie konnten sich entwickeln, weil man in der neueren Zeit, in welcher gerade das wirtschaftliche Leben immer komplizierter geworden ist, diesem nicht mit rein wirtschaftlichen Ideen nachkommen konnte. Das unfreie Geistesleben hat dies verhindert. Die wirtschaftenden Menschen stehen in der Lebensroutine drinnen; die in der Wirtschaft wirkenden Gestaltungskräfte sind ihnen nicht durchsichtig. Sie arbeiten ohne Einsicht in das Ganze des Menschenlebens. In den Assoziationen wird der eine durch den andern erfahren, was er notwendig wissen muß. Es wird eine wirtschaftliche Erfahrung über das Mögliche sich bilden, weil die Menschen, von denen jeder auf seinem Teilgebiete Einsicht und Erfahrung hat, zusammen-urteilen werden.
Wie in dem freien Geistesleben nur die Kräfte wirksam sind, die in ihm selbst liegen, so im assoziativ gestalteten Wirtschaftssystem nur die wirtschaftlichen Werte, die sich durch die Assoziationen herausbilden. Was in dem Wirtschaftsleben der einzelne zu tun hat, das ergibt sich ihm aus dem Zusammenleben mit denen, mit denen er wirtschaftlich assoziiert ist. Dadurch wird er genau so viel Einfluß auf die allgemeine Wirtschaft haben, als seiner Leistung entspricht. Wie Nicht-Leistungsfähige sich dem Wirtschaftsleben eingliedern, das wird in dieser Schrift auseinandergesetzt. Den Schwachen gegenüber dem Starken schützen, kann ein Wirtschaftsleben, das nur aus seinen eigenen Kräften heraus gestaltet ist. |
Solution au problème du chômage : associations (retour) Thème : Régulation du marché du travail par l'observation de l'évolution des prix et la répartition solidaire des travailleurs dans les différentes branches. Source : GA 340, pp. 79-81, 5/1979, 28.07.1922 Ce qui régle de manière correcte le processus d'économie de peuple s'exprime dans ce que j'ai appelé dans mes "Points clés de la question sociale" les véritables associations. Si vous placez la vie économique sur elle-même et ces humains qui sont impliquées dans la vie économique, que ce soit en tant que producteurs, en tant que commerçants, en tant que consommateurs, si vous regroupez ces personnes en conséquence dans des associations, alors ces humains auront la possibilité, à travers tout le processus économique, d'arrêter une formation de capital trop forte, de stimuler une formation de capital trop faible.
À cela appartient naturellement l'observation correcte du processus économique. Elle appartient à cela. Ainsi, si, quelque part, un type de marchandise, disons, devient trop bon marché ou trop cher, ainsi on doit pouvoir l'observer de la manière appropriée. Devenir moins cher ou plus cher a donc naturellement encore aucune signification ; ce n'est que lorsque l'on sera en situation de dire à partir des expériences qui peuvent seulement apparaître dans la consultation commune/mutuelle des associations : cinq unités monétaires sont trop peu ou trop cher pour une quantité de sel -- ce n'est qu'alors, lorsque l'on peut vraiment dire que le prix est trop élevé ou trop bas, que l'on pourra prendre les mesures nécessaires. Si le prix d'une marchandise, d'un bien quelconque, devient trop bon marché, de sorte que les humains qui produisent ce bien ne peuvent plus trouver de rémunération adéquate pour leurs prestations trop bon marché, pour leurs résultats/fruits trop bon marché, alors moins de travailleurs doivent être employés pour ce bien, c'est-à-dire que les travailleurs doivent être détournés vers d'autres emplois. Si un bien devient trop cher, les travailleurs doivent y être détournés. Avec les associations, on a à faire avec l'emploi correspondant des humains à l'intérieur les branches particulières de l'économie de peuple. Il faut être clair avec soi-même qu'une hausse réelle du prix d'un article d'économie de peuple doit signifier une augmentation du nombre de personnes qui travaillent sur cet article d'économie de peuple, et qu'une baisse du prix, une baisse trop importante du prix, rend nécessaire de détourner les travailleurs de cet article et de les diriger vers un autre champ de travail. Nous pouvons seulement parler de prix en pendant avec la répartition des humains à l'intérieur de certaines branches de travail de l'organisme social concerné. Ce qui comme avis règne parfois aujourd'hui, où l'on a partout la tendance à travailler de préference avec des concepts plutôt qu'avec des réalités, vous est montré par maintes personnes de l'argent libre. Ils trouvent cela très simple : si les prix, disons, sont trop élevés n'importe où, donc que l'on doit dépenser trop d'argent pour un quelque article, alors qu'on veille que l'argent devienne plus petit/rare, alors les marchandises deviennent moins chères, et vice versa. Mais si vous réfléchissez plus à fond, vous trouverez qu'en réalité cela ne signifie rien d'autre pour le processus d'économie de peuple que lorsque vous faites monter le thermomètre au moyen d'un dispositif astucieux lorsqu'il fait trop froid. Vous ne traitez là qu'autour des symptômes. En donnant à l'argent une autre valeur, vous ne créez rien de réel. Mais vous créez du réel lorsque vous régulez le travail, c'est-à-dire la masse/quantité des gens qui travaillent ; car le prix dépend du nombre de travailleurs qui travaillent dans un certain champs. Vouloir ordonner une telle chose par l'État, ce serait la pire des tyrannies. Ordonner quelque choses de tel par les associations libres qui naissent à l'intérieur des domaines sociaux, où chacun a un aperçu - il siège donc dans l'association, ou son représentant y siège, ou on lui dit ce qui s'y passe, ou il voit lui-même ce qui doit se passer - voilà ce à quoi il faut s'efforcer.
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Lösung
des Problems der Arbeislosigkeit: Assoziationen Thema: Regulierung des Arbeitsmarktes durch Beobachtung der Preisentwicklung und solidarische Verteilung der Arbeitenden in den verschiedenen Branchen. Quelle: GA 340, Seite 79-81, 5/1979, 28.07.1922 Dasjenige, was den volkswirtschaftlichen Prozeß in der richtigen Weise regelt, das spricht sich aus in dem, was ich in meinen «Kernpunkten der sozialen Frage» die wirklichen Assoziationen genannt habe. Wenn Sie nämlich das wirtschaftliche Leben auf sich selber stellen und diejenigen Menschen, die am wirtschaftlichen Leben beteiligt sind, sei es als Produzenten, sei es als Händler, sei es als Konsumenten, wenn Sie diese Menschen zusammenfassen entsprechend in Assoziationen, dann werden diese Menschen durch den ganzen volkswirtschaftlichen Prozeß hindurch die Möglichkeit haben, eine zu starke Kapitalbildung aufzuhalten, eine zu schwache Kapitalbildung anzufachen. Dazu gehört natürlich die richtige Beobachtung des volkswirtschaftlichen Prozesses. Sie gehört dazu. Wenn also irgendwo eine Warengattung, sagen wir, zu billig wird oder zu teuer wird, so muß man das in der entsprechenden Weise beobachten können. Billiger werden und teurer werden hat ja natürlich noch keine Bedeutung; erst dann, wenn man in der Lage ist, aus den Erfahrungen heraus, die nur im Zusammenberaten der Assoziationen entstehen können, zu sagen: Fünf Geldeinheiten sind für eine Menge Salz zu wenig oder zu viel -- erst dann, wenn man wirklich sagen kann, der Preis ist zu hoch oder zu niedrig, dann wird man die nötigen Maßregeln ergreifen können. Wird der Preis irgendeiner Ware, irgendeines Gutes zu billig, so daß diejenigen Menschen, welche das Gut herstellen, nicht mehr in der entsprechenden Weise für ihre zu billigen Leistungen, für ihre zu billigen Ergebnisse Entlohnung finden können, dann muß man für dieses Gut weniger Arbeiter einstellen, das heißt die Arbeiter nach einer anderen Beschäftigung ableiten. Wird ein Gut zu teuer, dann muß man die Arbeiter herüberleiten. Man hat es zu tun bei den Assoziationen mit einem entsprechenden Beschäftigen von Menschen innerhalb der einzelnen Zweige der Volkswirtschaft. Man muß sich klar darüber sein, daß ein wirkliches Steigen des Preises für einen volkswirtschaftlichen Artikel ein Zunehmen der Menschen, die diesen volkswirtschaftlichen Artikel bearbeiten, bedeuten muß, und daß ein Sinken des Preises, ein zu starkes Sinken des Preises, die Maßregel notwendig macht, die Arbeiter ab- und auf ein anderes Arbeitsfeld herüberzulenken. Wir können von den Preisen nur sprechen im Zusammenhang mit der Verteilung der Menschen innerhalb gewisser Arbeitszweige des betreffenden sozialen Organismus. Was für Ansichten herrschen zuweilen heute, wo man überall die Tendenz hat, lieber mit Begriffen zu arbeiten als mit Realitäten, das zeigen Ihnen manche Freigeldleute. Die finden es ganz einfach: Wenn Preise, sagen wir, zu hoch sind irgendwo, also man zuviel Geld ausgeben muß für irgendeinen Artikel, so sorge man dafür, daß das Geld geringer wird, dann werden die Waren billiger, und umgekehrt. Wenn Sie aber gründlich nachdenken, so werden Sie finden, daß das ja gar nichts anderes in Wirklichkeit bedeutet für den volkswirtschaftlichen Prozeß, als wenn Sie beim Thermometer so durch eine hinterlistige Vorrichtung, wenn es zu kalt wird, die Thermometersäule zum Steigen bringen. Sie kurieren da nur an den Symptomen herum. Dadurch, daß Sie dem Gelde einen anderen Wert geben, dadurch schaffen Sie nichts Reales. Reales schaffen Sie aber, wenn Sie die Arbeit, das heißt die Menge der arbeitenden Leute, regulieren; denn es hängt eben der Preis von der Menge der Arbeiter ab, die auf einem bestimmten Felde arbeiten. So etwas durch den Staat ordnen wollen, das würde die schlimmste Tyrannei bedeuten. So etwas durch die freien Assoziationen, die innerhalb der sozialen Gebiete entstehen, zu ordnen, wo jeder den Einblick hat -- er sitzt ja in der Assoziation, oder sein Vertreter sitzt darin, oder es wird ihm mitgeteilt, was darin geschieht, oder er sieht es selber ein, was zu geschehen hat -, das ist dasjenige, was zu erstreben ist. Natürlich ist das andere damit verbunden, daß man nun sorgen muß, daß der Arbeiter nun nicht bloß sein ganzes Leben lang nur irgendeinen Handgriff kann, daß er sich auch anders betätigen kann. Denken Sie, das wird notwendig werden, namentlich notwendig aus dem Grunde, weil sonst zuviel Kapital hier (siehe Zeichnung 3) ankommt. Da können Sie das Kapital, das hier zuviel wäre, dazu verwenden, um den Arbeitern etwas beizubringen, um sie in andere Berufszweige überzuführen. Also, Sie sehen, in dem Augenblick, wo man rationell denkt, da korrigiert sich der nationalökonomische Prozeß -- das ist das Wichtige, das Wesentliche --, er korrigiert sich. Aber er wird sich nie korrigieren, wenn man bloß sagen würde, durch das und jenes, durch Inflation oder durch Ausgabe von den oder jenen Verfügungen wird es besser werden. Dadurch wird es nicht besser, sondern lediglich dadurch, daß Sie den Prozeß an jeder Stelle beobachten lassen, und die beobachtenden Leute unmittelbar die Konsequenz ziehen können. |
(retour) Source : GA 101, page 120-122, 1/1987 Vous ne le croirez pas si vous ne réfléchissez pas fondamentalement à comment les humains d'aujourd'hui se laissent envelopper dans un tourbillon d'illusions, comment nos contemporains se laissent envelopper notamment par des théories, dans un tourbillon d'illusions. Là des théories sociales sont imprimées et prêchées par des professeurs et des non-professeurs. Mais tout de suite une grande partie des théories sur les remèdes pour le corps de la société ne sont rien de plus qu'un épanchement de la "psychopathia professoralis". Vous pouvez le voir dans la pratique, comment les gens pensent à l'envers et agissent à l'envers. Où ne pouvez-vous pas vivre dans une société ou une commune que les gens réfléchissent à tel ou tel remède, par exemple contre le chômage. Quand il y a du chômage, il y a la faim. Mais que faisons qu'il y soit remédié ? Là est alors prise la décision : on doit donner du travail aux gens. -- Et maintenant, on invente une quelque chose pour donner aux gens du travail, un emploi, afin qu'ils reçoivent de l'argent et puissent acheter ce qu'ils veulent. Cela semble être un moyen très probant d'éviter les dégâts sociétaux : donner de l'emploi aux gens. Mais c'est un moyen très dangereux de donner aux gens un emploi à n'importe quel prix, tant qu'on ne distingue pas le type d'emploi en emploi productif et improductif. Aussi longtemps qu'on ne fait pas cette distinction entre emploi productif et improductif, c'est même un outil terrible dans son effet sur la société. Pensez au cas radical : quelqu'un, parce que dans une certaine région où un certain nombre de personnes sont devenues sans pain par l'invention d'une nouvelle machine, a voulu procurer rapidement du travail et du pain à ces gens. Il invente un article où il utilise des déchets sans valeur pour les objets de toilette. Les gens peuvent alors gagner quelque chose et acheter du pain. -- Mais c'est seulement un moyen de transférer la pauvreté d'un côté à l'autre, car rien n'est produit de cette manière, rien n'est produit du tout. Chacun peut considérer le cas suivant pour lui-même : quelqu'un s'assied dans un restaurant à la campagne et dit : "Garçon, donnez-moi dix cartes postales ! -- ... et les expédie, sans tenir compte du nombre de facteurs qui doivent monter quatre ou cinq étages, et sans considérer que cela ne met aucune force réelle en mouvement dans le monde. Ils ne considèrent même pas que rien de réel n'est atteint qui favorise l'esprit et le corps. Si vous dites cela à la personne concernée, elle aura naturellement une excuse. Elle pourrait dire, par exemple, que de nouveaux facteurs pourraient être engagés et que cela donnerait du travail à plus de gens. Mais on ne considère même pas que si l'on engage de nouvelles personnes, rien de nouveau n'est créé par leur travail, mais que la pauvreté a seulement été distribuée différemment. Cela montre que les gens doivent d'abord savoir quelque chose sur la répartition du travail sur Terre avant de pouvoir commencer la plus petite pensée de réforme. L'ignorance qui veut réformer est quelque chose de terrible dans le contexte mondial. Il est terrible que les gens n'aient souvent pas la patience d'attendre d'avoir appris pour avoir une vue d'ensemble de la manière dont on peut aider, mais qu'ils se laissent plutôt mouvoir à l'associationnisme (NDT : Vereinsmeierei, lit. métairie d'association - au sens ordinaire, pas celle économique développée par l'auteur) afin que ceci ou cela se passe. Ce sont toutes des illusions dont les gens se drapent/s'enveloppent. |
Unproduktive
Beschäftigung Thema: Gefährliche Lösung des Problems der Arbeitslosigkeit durch unproduktive Arbeitsbeschaffungsmaßnahmen; Umverteilung durch wertlose Produkte; Gefahr unwissender Reformen. Quelle: GA 101, Seite 120-122, 1/1987 Sie glauben gar nicht, wenn Sie nicht gründlich darüber nachdenken, wie die Menschen sich heute einhüllen in einen Wirbel von Illusionen, wie sich namentlich durch Theorien unsere Zeitgenossen einhüllen lassen in einen Wirbel von Illusionen. Da werden soziale Theorien geprägt und gepredigt von Professoren und Nichtprofessoren. Aber gerade ein großer Teil der Theorien über die sozialen Heilmittel des Gesellschaftskörpers sind nichts weiter als ein Ausfluß von «Psychopathia professoralis». Sie können es in der Praxis verfolgen, wie die Leute verkehrt denken und verkehrt handeln. Wo können Sie nicht in irgendeiner Gesellschaft oder Kommune erleben, daß die Menschen nachsinnen über dieses und jenes Heilmittel, zum Beispiel gegen die Arbeitslosigkeit. Wenn Arbeitslosigkeit da ist, ist Hunger da. Wie machen wir es aber, daß diesem abgeholfen wird? Da wird dann der Entschluß gefaßt: Man muß den Leuten Arbeit geben. -- Und nun erfindet man irgend etwas, um den Leuten Arbeit, Beschäftigung zu geben, damit sie Geld bekommen und sich kaufen können, was sie wollen. Das scheint ein sehr probates Mittel zu sein, um gesellschaftliche Schäden abzuwenden: den Leuten Beschäftigung zu geben. Aber es ist ein sehr gefährliches Mittel, den Leuten Beschäftigung um jeden Preis zu geben, solange man nicht die Art der Beschäftigung in produktive und unproduktive Beschäftigung unterscheidet. Solange man diese Unterscheidung zwischen produktiver und unproduktiver Beschäftigung nicht macht, ist dies sogar ein furchtbares Mittel in seiner Wirkung auf die Gesellschaft. Denken Sie sich den radikalen Fall: Jemand wollte, weil in einer bestimmten Gegend, wo durch Erfindung einer neuen Maschine eine Anzahl Personen brotlos geworden sind, diesen Leuten schnell Arbeit und Brot verschaffen. Er erfindet einen Artikel, wo er wertlose Abfallprodukte für Toilettengegenstände verwendet. Die Leute können dann etwas verdienen und sich Brot kaufen. -- Das ist aber nur ein Mittel, um die Armut von einer Seite auf die andere umzulegen, denn es wird gar nichts produziert auf diese Weise, gar nichts hervorgebracht. Jeder kann das an folgendem Falle selbst einmal bedenken: Es setzt sich jemand draußen auf dem Lande in ein Restaurant und sagt: Kellner, geben Sie mir zehn Ansichtskarten! -- und schickt sie ab, ohne dabei zu bedenken, wieviele Briefträger dadurch vier oder fünf Stockwerke hinaufgehen müssen, und ohne zu bedenken, daß dadurch nichts an realer Kraft in der Welt in Bewegung gesetzt wird. Gar nicht bedenkt man, daß damit nichts Wirkliches, den Geist und Körper Förderndes erzielt wird. Wenn Sie das dem Betreffenden sagen, so wird er natürlich eine Ausrede haben. Er könnte zum Beispiel sagen, es könnten ja neue Briefträger eingestellt werden, dadurch bekämen mehr Leute Arbeit. Man bedenkt dabei aber gar nicht, daß, wenn man da neue Menschen einstellt, durch deren Arbeit nichts Neues geschaffen wird, sondern daß man nur die Armut anders verteilt hat. Das zeigt, daß die Menschen erst etwas wissen müssen über die Verteilung der Arbeit auf der Erde, bevor sie anfangen können mit dem kleinsten Reformgedanken. Unwissenheit, die reformieren will, ist im Weltzusammenhang etwas Furchtbares. Es ist furchtbar, daß die Menschen oftmals nicht die Geduld haben, abzuwarten, bis sie gelernt haben, etwas Überschau darüber zu haben, wie man helfen kann, sondern Vereinsmeierei treiben, damit dies oder jenes geschehe. Das sind alle Illusionen, mit denen sich die Menschen umhüllen. |
Limites des associations aujourd'hui : revenus improductifs Source : GA 24, page 215 s., 2/1982, juillet 1919. Il devrai être clair que le capital ne peut être "aboli" aussi loin qu'il ne consiste rien d'autre que les moyens de production travaillant pour la communauté sociale. Ce n'est pas le capital qui a un effet néfaste, mais son administration à partir des relations de propriété privée, si ces rapports de possession privée peuvent rendre la structure sociale du corps économique dépendante de soi. Si cette structure émerge du système économique d'association de la manière décrite, alors est retiré au capital toute possibilité d'avoir un effet antisocial. Une telle structure sociale empêchera toujours que la posession du capital se détache de la gestion des moyens de production et devienne impulsion d'effort/aspirations de ceux qui ne veulent pas façonner leur vie en participant au processus économique, mais hors de celui-ci, sans y prendre part. On peut toutefois objecter que rien ne se passerait pour ceux qui participent au processus économique si on "répartissait" les acquisitions des non-travailleurs. C'est impressionnant parce que c'est correct, et pourtant cela cache la vérité, parce que sa justesse n'a aucune signification pour la formation de l'organisme social. En effet, la nocivité des possessurs de rentes, ne travaillant pas, ne repose pas dans ce qu'ils soutirent à ceux qui travaillent un montant proportionnellement faible, mais sur le fait que, par la possibilité d'obtenir un revenu de chômage, ils donnent à l'ensemble du corps de l'économie une empreinte qui agit antisociale. Cet ensemble du corps économique dans lequel un revenu dépourvu de travail est impossible est quelque chose d'autre que l'autre dans lequel un tel revenu peut être produit, tout comme un organisme humain dans lequel aucun ulcère peut se former en aucun endroit, est quelque chose d'autre qu'un organisme dans lequel le malsain est déchargé dans une formation d'ulcères en un endroit. Un organisme social sain rend toutefois nécessaire, à partir des formations d'associations sociales caractérisées, des institutions devant lesquelles les préjugés économiques actuels reculent encore d'effroi. Dans un organisme social sain, une somme de moyens de production aura épuisé ce qu'elle à la permission de coûter lorsqu'elle sera prête à fonctionner. Elle pourra alors être administré par le producteur seulement aussi longtemps où il peut y être présent avec ses capacités individuelles. Elle devra alors être transmise, non pas par achat ou héritage à un autre, mais par transfert sans achat à celui qui possède à nouveau les capacités individuelles pour la gestion. Il n'aura aucune valeur d'achat, et par conséquent aucune valeur entre les mains d'un héritier non travaillant. Le capital ayant une force économique indépendante travaillera à la production/l'établissement des moyens de production ; il se dissoudra à l'instant où la production des moyens de production sera achevée. Mais le capital actuel consiste pour l'essentiel tout de suite en "moyens de production produisants".
Source : GA 340, pp. 74-76, 5/1979, 28.07.1922 Mais si vous considérez maintenant dans ce contexte plus grand ce qui est absolument toujours insuffisamment présenté par les réformateurs agraires, où cette chose ne peut jamais être comprise, ainsi vous vous direz : oui, si je relie le capital avec la nature, alors évidemment la valeur de la nature est augmentée. Plus d'hypothèques pèsent sur quelque chose, plus cela doit alors être payé cher. La valeur est continuellement augmentée. Mais est-ce que cela - l'augmentation de la valeur du foncier - est une réalité ? Ce n'est donc pas du tout une réalité. Naturellement, la terre ne peut acquérir plus de valeur ; tout au plus peut-elle acquérir plus de valeur si on lui applique un travail plus rationnel. Alors le travail est ce qui augmente la valeur ; mais le foncier en tant que tel - si vous l'améliorez, le travail doit la précéder -, le foncier en tant que tel, considérée comme augmenté en valeur, est un non-sens, un non-sens complet. Le foncier, aussi loin qu'il est purement nature, ne peut donc avoir aucune valeur. Vous lui donnez donc une valeur en ce que vous unissez le capital avec lui, de sorte que l'on puisse dire : Ce que l'on appelle dans le contexte économique actuel la valeur du foncier n'est en réalité rien d'autre que du capital fixé au foncier ; mais le capital fixé au foncier n'est pas une valeur réelle, mais une valeur apparente/d'apparence. Et il s'agit qu'à l'intérieur du processus d'économie de peuple aussi, on apprenne enfin à comprendre ce que sont des valeurs réelles et ce que sont les valeurs d'apparence.
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Grenzen
der Assoziationen heute: unproduktives Einkommen Thema: Unproduktives Einkommen und Umverteilung durch Privateigentum an Grund und Boden, Produktionsmitteln und Kapital. Quelle: GA 24, Seite 215f., 2/1982, Juli 1919 Es sollte doch klar sein, daß man das Kapital nicht «abschaffen» kann, insofern es in nichts anderem besteht als in den für die soziale Gemeinschaft arbeitenden Produktionsmitteln. Schädlich wirkt nicht das Kapital, sondern seine Verwaltung aus den Privatbesitzverhältnissen heraus, wenn diese Privatbesitzverhältnisse die soziale Struktur des Wirtschaftskörpers von sich abhängig machen können. Geht diese Struktur auf die gekennzeichnete Art aus dem wirtschaftlichen Assoziationswesen hervor, dann wird dem Kapital jede Möglichkeit entzogen, antisozial zu wirken. Eine solche soziale Struktur wird stets verhindern, daß der Kapitalbesitz sich loslöst von dem Verwalten der Produktionsmittel und zum Strebensimpuls derer wird, die nicht durch Anteilnahme an dem Wirtschaftsprozeß ihr Leben gestalten wollen, sondern ohne Anteilnahme aus diesem heraus. Man kann allerdings einwenden, daß für diejenigen, die am Wirtschaftsprozeß mitarbeiten, nichts herauskommen würde, wenn man die Erwerbungen der Nichtarbeitenden «aufteilen» würde. Das besticht, weil es richtig ist, und es verhüllt doch die Wahrheit, weil seine Richtigkeit für die Gestaltung des sozialen Organismus keine Bedeutung hat. Denn nicht darauf beruht die Schädlichkeit der nichtarbeitenden Rentenbesitzer, daß sie ein verhältnismäßigweniges den Arbeitenden entziehen, sondern darauf, daß sie durch die Möglichkeit, arbeitsloses Einkommen zu erzielen, dem ganzen Wirtschaftskörper ein Gepräge geben, das antisozial wirkt. Derjenige ganze Wirtschaftskörper ist etwas anderes, in dem arbeitsloses Einkommen unmöglich ist, als der andere, in dem ein solches erzeugt werden kann, wie ein menschlicher Organismus etwas anderes ist, bei dem sich an keiner Stelle ein Geschwür bilden kann, als ein solcher, in dem sich das Ungesunde in einer Geschwürbildung an einer Stelle entlädt. Ein gesunder sozialer Organismus macht aus den gekennzeichneten sozialen Assoziationsbildungen heraus allerdings Einrichtungen notwendig, vor denen die gegenwärtigen wirtschaftlichen Vorurteile noch zurückschrecken. In einem gesunden sozialen Organismus wird eine Summe von Produktionsmitteln dasjenige erschöpft haben, was sie kosten darf, wenn sie für den Betrieb fertiggestellt ist. Sie wird dann verwaltet werden können von dem Hersteller nur so lange, als er mit seinen individuellen Fähigkeiten wird dabei sein können. Dann wird sie überzugehen haben nicht durch Kauf oder Vererbung auf einen anderen, sondern durch kaufloses Übertragen an den, welcher wieder die individuellen Fähigkeiten für die Verwaltung hat. Einen Kaufwert wird sie nicht haben, folglich auch keinen Wert in den Händen eines nichtarbeitenden Erben. Kapital mit selbständiger wirtschaftlicher Kraft wird in der Herstellung von Produktionsmitteln arbeiten; es wird sich auflösen in dem Augenblick, in dem die Produktion der Produktionsmittel abgeschlossen ist. Das gegenwärtige Kapital besteht aber im wesentlichen gerade in «produzierten Produktionsmitteln». Quelle: GA 340, Seite 74-76, 5/1979, 28.07.1922 Betrachten Sie aber jetzt in diesem größeren Zusammenhang dasjenige, was durchaus immer ungenügend von den Bodenreformern dargestellt wird, wo die Sache nie verstanden werden kann, so werden Sie sich sagen: Ja, wenn ich das Kapital mit der Natur verbinde, dann wird der Wert der Natur selbstverständlich erhöht. Je mehr Hypotheken auf etwas lasten, desto teurer muß es dann bezahlt werden. Es wird fortwährend erhöht der Wert. Ja, ist denn das aber -- die Höherwertung von Grund und Boden -, ist das eine Wirklichkeit? Es ist ja gar keine Wirklichkeit. Naturgemäß kann der Grund und Boden nicht mehr Wert bekommen, er kann mehr Wert höchstens bekommen, wenn eine rationellere Arbeit darauf verwendet wird. Dann ist die Arbeit das Werterhöhende; aber der Grund und Boden als solcher selbst -- wenn Sie ihn verbessern, so muß die Arbeit vorangehen -, der Grund und Boden als solcher, werterhöht gedacht, ist ein Unding, ein völliges Unding. Der Grund und Boden, insofern er bloß Natur ist, kann ja noch überhaupt keinen Wert haben. Sie geben ihm ja einen Wert, indem Sie das Kapital mit ihm vereinigen, so daß man sagen kann: Dasjenige, was im heutigen volkswirtschaftlichen Zusammenhange Wert von Grund und Boden genannt wird, ist in Wahrheit nichts anderes als auf den Grund und Boden fixiertes Kapital; das aber auf dem Grund und Boden fixierte Kapital ist nicht ein wirklicher Wert, sondern ein Scheinwert. Und darauf kommt es an, daß man auch innerhalb des volkswirtschaftlichen Prozesses endlich begreifen lernt, was wirkliche Werte sind und was Scheinwerte sind. Wenn Sie in Ihrem Gedankensystem einen Irrtum haben, dann bemerken Sie ja zunächst nicht die Wirksamkeit dieses Irrtums, weil sich der Zusammenhang zwischen dem Irrtum und allen diesen verschiedenen störenden Prozessen im Organismus, die damit zusammenhängen und die man nur durch Geisteswissenschaft erkennt, weil sich dieser Zusammenhang der heutigen groben Wissenschaft entzieht. Man weiß nicht, wie zum Beispiel in den peripherischen Organen durch Irrtümer Verdauungsstörungen entstehen und so weiter. Aber im volkswirtschaftlichen Prozeß, da wirken eben die Irrtümer, die Scheingebilde, da werden sie real, da haben sie eine Folge. Und es ist eigentlich volkswirtschaftlich kein wesentlicher Unterschied, ob ich, sagen wir, irgendwo Geld ausgebe, das zunächst nicht in irgendeiner Realität begründet ist, sondern das einfach Notenvermehrung ist, oder, ob ich dem Grund und Boden Kapitalwert verleihe. Ich schaffe in beiden Fällen Scheinwerte. Durch solche Notenvermehrung erhöhe ich der Zahl nach die Preise, aber in Wirklichkeit tue ich gar nichts im volkswirtschaftlichen Prozeß. Ich schichte nur um. Den einzelnen aber kann ich ungeheuer schädigen. So schädigt diejenigen Menschen, die im Zusammenhang im volkswirtschaftlichen Prozeß drinnenstehen, dieses Kapitalisieren von Grund und Boden. |
Revenu
sans prestation
Sujet : La vie de droit sécurise le financement de l'éducation et de l'entretien des enfants, des personnes âgées, des invalides, des malades, etc. Source : GA 23, p.101-103, 6/1980, Avril 1919
Mais c'est seulement dans l'organisme social pensé ici que l'administration du droit trouvera la nécessaire compréhension à une correcte répartition des biens. Un organisme économique qui des besoins des branches particulières de production, ne prend pas en compte le travail des humains, mais qui a à gérer avec ce que la loi lui rend possible, déterminera la valeur des biens d'après ce que le humains lui fournissent. Il ne laissera pas les humains fournir ce qui est déterminé par la valeur des biens obtenue indépendamment du bien-être et de la dignité humaine. Un tel organisme considérera des droits qui se donnent de conditions/rapports purement humains. Les enfants auront le droit à l'éducation ; le père de famille, en tant que travailleur, aura un revenu plus élevé que la personne seule. Le "plus" lui parviendra par le biais d'institutions qui seront fondées par accord entre les trois organisations sociales. De telles institutions peuvent correspondre au droit à l'éducation en ce sens que, selon les conditions économiques générales, l'administration de l'organisation économique mesure le montant possible du revenu de l'éducation ; et l'État de droit établit les droits de l'individu selon l'expertise de l'organisation spirituelle. […]
Comme se tient aux enfants le droit à l'éducation, ainsi aux personnes devenues âgées, aux invalides, aux veuves et aux malades le droit à un entretien de la vie, pour lesquels la base de capital doit affluer dans la circulation de l'organisme social de façon analogue à la contribution de capital caractérisée pour l'éducation de ceux qui ne sont pas encore eux-mêmes capables de prestation. L'essentiel dans tout cela est que la détermination/fixation/l'établissement de ce qu'est une personne qui ne gagne pas son propre revenu ne doit pas résulter/se donner de la vie de l'économie, mais à l'inverse, doit être ce qui, en cette relation, se donne de la conscience du droit. Ceux qui travaillent dans un organisme économique auront d'autant moins de ce que fourni leur travail qu'autant plus doit sortir/s'écouler pour ceux qui ne gagnent pas. Mais le "moins" sera supporté également par tous les participants à l'organisme social, si les impulsions sociales pensées ici trouvent leur réalisation. Par l'intermédiaire de l'État de droit, qui est séparé de la vie de l'économie, ce qui est une affaire générale de l'humanité, l'éducation et l'entretien de ceux qui ne sont pas capables de travailler, sera aussi fait vraiment une telle affaire, car dans le domaine de l'organisation de droit œuvre ce dans quoi tous les humain devenus majeur ont leur mot à dire.
Un organisme social qui correspond aux sortes de représentation caractérisées ici transférera à la collectivité la prestation supplémentaire qu'un humain accomplit en fonction de ses facultés individuelles, comme il prendra de cette collectivité l'entretien justifié pour les prestations inférieur des moins capables. La "plus-value" ne sera pas créée pour la jouissance injustifiée de l'individu, mais pour l'accroissement de ce qui peut fournir/conduire des biens psychiques/d'âme ou matériels à l'organisme social ; et pour le soin de ce qui apparaît à l'intérieur de cet organisme à partir de son sein sans que cela puisse lui servir immédiatement. |
Einkommen
ohne Leistung Thema: Das Rechtsleben sichert die Finanzierung der Erziehung und des Erhalts von Kindern, Alten, Invaliden, Kranken etc. Quelle: GA 23, S.101-103, 6/1980, April 1919 Aber nur in dem hier gemeinten sozialen Organismus wird die Verwaltung des Rechtes das notwendige Verständnis finden für eine gerechte Güterverteilung. Ein Wirtschaftsorganismus, der nicht aus den Bedürfnissen der einzelnen Produktionszweige die Arbeit der Menschen in Anspruch nimmt, sondern der mit dem zu wirtschaften hat, was ihm das Recht möglich macht, wird den Wert der Güter nach dem bestimmen, was ihm die Menschen leisten. Er wird nicht die Menschen leisten lassen, was durch den unabhängig von Menschenwohlfahrt und Menschenwürde zustande gekommenen Güterwert bestimmt ist. Ein solcher Organismus wird Rechte sehen, die aus rein menschlichen Verhältnissen sich ergeben. Kinder werden das Recht auf Erziehung haben; der Familienvater wird als Arbeiter ein höheres Einkommen haben können als der Einzelnstehende. Das «Mehr» wird ihm zufließen durch Einrichtungen, die durch Übereinkommen aller drei sozialen Organisationen begründet werden. Solche Einrichtungen können dem Rechte auf Erziehung dadurch entsprechen, daß nach den allgemeinen Wirtschaftsverhältnissen die Verwaltung der wirtschaftlichen Organisation die mögliche Höhe des Erziehungseinkommens bemißt und der Rechtsstaat die Rechte des einzelnen festsetzt nach den Gutachten der geistigen Organisation. [...] Wie Kindern das Recht auf Erziehung, so steht Altgewordenen, Invaliden, Witwen, Kranken das Recht auf einen Lebensunterhalt zu, zu dem die Kapitalgrundlage in einer ähnlichen Art dem Kreislauf des sozialen Organismus zufließen muß wie der gekennzeichnete Kapitalbeitrag für die Erziehung der noch nicht selbst Leistungsfähigen. Das Wesentliche bei all diesem ist, daß die Feststellung desjenigen, was ein nicht selbst Verdienender als Einkommen bezieht, nicht aus dem Wirtschaftsleben sich ergeben soll, sondern daß umgekehrt das Wirtschaftsleben abhängig wird von dem, was in dieser Beziehung aus dem Rechtsbewußtsein sich ergibt. Die in einem Wirtschaftsorganismus Arbeitenden werden von dem durch ihre Arbeit Geleisteten um so weniger haben, je mehr für die nicht Verdienenden abfließen muß. Aber das «Weniger» wird von allen am sozialen Organismus Beteiligten gleichmäßig getragen, wenn die hier gemeinten sozialen Impulse ihre Verwirklichung finden werden. Durch den vom Wirtschaftsleben abgesonderten Rechtsstaat wird, was eine allgemeine Angelegenheit der Menschheit ist, Erziehung und Unterhalt nicht Arbeitsfähiger, auch wirklich zu einer solchen Angelegenheit gemacht, denn im Gebiete der Rechtsorganisation wirkt dasjenige, worinnen alle mündig gewordenen Menschen mitzusprechen haben. Ein sozialer Organismus, welcher der hier gekennzeichneten Vorstellungsart entspricht, wird die Mehrleistung, die ein Mensch auf Grund seiner individuellen Fähigkeiten vollbringt, ebenso in die Allgemeinheit überführen, wie er für die Minderleistung der weniger Befähigten den berechtigten Unterhalt aus dieser Allgemeinheit entnehmen wird. «Mehrwert» wird nicht geschaffen werden für den unberechtigten Genuß des einzelnen, sondern zur Erhöhung dessen, was dem sozialen Organismus seelische oder materielle Güter zuführen kann; und zur Pflege desjenigen, was innerhalb dieses Organismus aus dessen Schoß heraus entsteht, ohne daß es ihm unmittelbar dienen kann. |