R. STEINER LES MÉMORANDUMS DE 1917

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LES MÉMORANDUMS DE JUILLET 1917

DIE MEMORANDEN VOM JULI 1917

 




Premier mémorandum

Erstes Memorandum

 


 

Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes GA024 339-362 (1982) 13/07/1917

Original





Traducteur: FG Editeur: SITE

Les porte-parole de l’Entente avancent sous les raisons pour lesquelles ils doivent poursuivre la guerre, qu’ils ont été agressés par l’Allemagne. Ils prétendent de ce fait qu’ils doivent amener l’Allemagne dans une absence de pouvoir telle que dorénavant lui soit retirée chaque possibilité de réaliser une agression. Dans cette forme d’une sorte d’accusation morale contre l’Allemagne seront nébuleusement plongées toutes autres causes de cette guerre.

Il est incontestable que vis-à-vis de cette accusation l’Allemagne est placée dans la nécessité, d’établir de manière toute nue, comment elle a été entraînée dans la guerre. À la place de cela on a jusqu'à présent seulement de doctrinaires explications des causes de la guerre, qui ainsi font l’impression comme les conclusions d’un professeur, qui ne raconte pas ce qu’il a vu, mais qui expose des documents ce qui s’est présenté à lui sur des évènements lointains. Car ainsi sont tenus tous les exposés du Chancelier du Reich sur les évènements du déclenchement des hostilités. Mais de telles explications sont inappropriées à faire un effet. On les récuse simplement en ce qu’on leur oppose de l’injustifié ou aussi autre chose de justifié.


Raconterait-on par contre simplement les faits, ainsi se présenterait ce qui suit :

1. L’Allemagne n’était pas prête en l’été 1914 à saisir l’initiative pour une guerre.

2. L’Autriche-Hongrie était depuis longtemps placée dans la nécessité, d’entreprendre quelque chose, afin que le danger menaçant agissait contre elle d’être réduite par coalition des Slaves du sud sous la conduite des Serbes extra autrichiens du sud-est.
On peut tranquillement admettre que l’assassinat de l’archiduc François Ferdinand et toute l’histoire d’ultimatum n’étaient qu’un prétexte. Ce prétexte n’aurait-il pas été saisi, ainsi à la prochaine occasion aurait du en être saisi un autre. L’Autriche n’aurait justement pas pu rester l’Autriche, si une quelconque chose n’était faite pour la sécurisation de ses provinces du sud-est ou en amenant la question slave à solution par un vaste autre acte. Mais à cet autre acte, la politique autrichienne s’était vidée de tout son sang depuis 1879. Mieux dit : elle s’était vidée de son sang à cela que cet acte n’avait pu être trouvé.
On ne pouvait justement pas devenir maître de la question slave. Aussi loin que vient en considération l’origine de la guerre austro-hongroise, et avec cela aussi à l’Allemagne, laquelle participation avait à se faire, parce qu’elle ne pouvait laissé l’Autriche-Hongrie en plan sans devoir craindre qu’après quelques années sans participation à l’alliance autrichienne l’entente s’affronte -, aussi loin doit être reconnu que la question slave contient la raison de l’origine de cette guerre. L’« autre acte » est donc la solution internationale de la question slave. Elle est exigée par l’Autriche, pas par la Russie. Car la Russie pourra toujours lancer son caractère fondamentalement slave dans le plateau de balance de la solution. L’Autriche-Hongrie peut  seulement opposer à ce poids la libération des Slaves de l’ouest. Cette libération peut seulement aller de soi sous le point de vue de l’autonomisation de toutes les branches de vie des peuples qui concernent l’existence nationale et tout ce qui en dépend. On n’a pas le droit de reculer d’effroi devant la pleine liberté dans le sens de l’autonomisation et fédéralisation de la vie des peuples. Cette fédéralisation est préfigurée dans la vie étatique fédérale allemande, qui dans une certaine mesure est un modèle préformé par l’histoire pour ce qui en Europe du centre doit être formé jusqu'à pleine formation fédérale-libre de tous les apports de vie qui ont leur impulsion dans les humains eux-mêmes, donc ne sont pas dépendant immédiatement, comme les rapports politiques-militaires, des conditions géographiques, et, comme les économiques, des opportunistes-géographiques. Le façonnement de ces rapports ne surviendra alors seulement de manière saine quand le national sera accouché à partir de la liberté, pas la liberté à partir du national.

Aspire-t-on plutôt au dernier qu’au premier, ainsi on se place sur le sol du devenir de l’histoire du monde. Veut-on le dernier ainsi on travaille contre de devenir et pose les raisons de nouveaux conflits et guerres.


Exiger des hommes d’État dirigeant d’Autriche qu’ils aient dû pour cela se dispenser de l’ultimatum aux Serbes, signifierait exiger d’eux qu’ils auraient du agir contre l’intérêt des pays conduits par eux. Des théoriciens d’une quelconque couleur peuvent poser une telle exigence. Un humain qui compte avec les faits disponibles ne devrait dans la gravité ne pas parler du tout de telle chose. Alors, les Slaves du sud auraient atteint ce que les grands Serbes dirigeants voulaient, ainsi l’Autriche dans la forme dans laquelle elle existe n’aurait pas été à maintenir sous les actions des Slaves autrichiens restants. On pourrait encore se représenter que justement alors l’Autriche aurait reçu une autre forme. Mais peut-on exiger d’un homme d’État autrichien dirigeant d’attendre résigné une telle issue ? On le pourrait évidemment seulement, quand on serait d’avis, qu’il appartient aux exigences inconditionnelles d’un homme d’État autrichien, d’être un pacifiste absolu et d’attendre fatal le destin de l’Empire. Sous chaque autre condition, on doit concernant le pas de l’Autriche comprendre l’ultimatum.

 

3. L’Autriche aurait-elle maintenant une fois posé l’ultimatum, alors la suite des évènements aurait seulement à retenir, si la Russie s’était comportée passivement. Aussitôt que la Russie fit un pas agressif, le reste n’était à retenir par rien.

4. Aussi vrai, que tout cela est , aussi vrai est que chacun, qui compte avec les faits en Allemagne avait une sensation indéterminée : quand une fois les réalisations évoquées entraient dans un stade critique, alors il y aurait la guerre. On ne pourrait aller contre cette guerre.
Et des personnes responsables avaient l’opinion, on devait, si la guerre devenait nécessaire, conduire cette guerre avec toute force. Conduire une guerre à partir de l’initiative propre, sûr, personne n’avait cette intention en Allemagne qui vienne sérieusement en considération. On peut prouver à l’Entente qu’elle n’avait pas la moindre raison de croire à une agression du côté de l’Allemagne. On peut la forcer à admettre qu’elle avait la croyance que sans guerre l’Allemagne deviendrait si puissante que cette puissance deviendrait si dangereuse pour les puissances unies aujourd’hui dans l’Entente. Mais on devra faire tout autrement la conduite de preuves politique de la sorte que cela ne s’est passé jusqu’à présent ; car cela n’est pas un exposé de preuve politique, mais seulement l’élaboration d’affirmations politiques, auquel cela peut plaire aux autres de les trouver brutales. On croyait du côté des puissances de l’Entente, quand les choses se déroulent ainsi, alors on ne peut pas savoir ce que tout deviendra encore à partir de l’Allemagne, pour cela devait venir une guerre avec l’Allemagne. L’Allemagne pouvait se placer sur le point de vue : nous n’avons pas besoin de guerre, mais nous atteignons sans guerre ce que les États de l’Entente ne nous laissent pas devenir ; pour cela nous devons nous tenir prêt pour cette guerre et la prendre ainsi, si elle menace, que nous ne puissions par elle ne pas pouvoir venir à des dommages. Tout cela vaut aussi concernant la question serbe et l’Autriche. Avec la Serbie, l’Autriche en 1914 ne pouvait plus finir sans guerre, au moins ce devait être la conviction de ses hommes d’État. Mais l’Entente aurait-elle trouvé qu’on pourrait laisser l’Autriche-Hongrie en finir seule avec la Serbie, alors cela n’aurait pas dû en venir à la guerre générale. La vraie raison de guerre n’a pas le droit d’être cherchée chez les puissances du centre, mais là-dedans que l’Entente ne voulait pas laisser les puissances du centre ainsi comme elles étaient d’après leur stabilité dans les rapports de force de 1914. Se serait toutefois passé l’ « autre acte » pensé en haut avant 1914, alors les Serbes n’auraient pas développé d’opposition internationale contre l’Autriche-Hongrie et tout aussi bien d’ultimatum que d’ingérence de la Russie il n’y aurait pu avoir.
Et la Russie se serait-elle tournée à un moment quelconque à partir de pures raisons de conquête contre l’Europe centrale alors elle n’aurait pu trouver l’Angleterre de son côté. Que là le sous-marin jusqu'à la guerre a été un pur moyen de guerre, mais que l’Amérique sans ce moyen de guerre n’aurait absolument pas pu venir dans la guerre avec les puissances du centre, ainsi n’a besoin pour la question de la paix d’être prise en compte seulement l’Angleterre dans le sens évoqué.


5. Ce qui maintenant devrait être annoncé au monde est :
a) que l’Allemagne, aussi loin que les personnalités entrent en considération, qui sur le déclenchement des hostilités ont à décider, a été complètement surprise des évènements de juillet 1914, que personne ne les avait prévus. Cela vaut en particulier pour l’attitude de la Russie ;
b) qu’en l’Allemagne les pensants de manière responsable ne pouvaient rien d’autre que de supposer, si la Russie attaquait, que la France ferait aussi cela ;
c) que l’Allemagne pour ce cas avait des années durant préparé sa guerre sur deux fronts et ne pouvait autrement, que par les évènements se précipitant mettre en œuvre ceux-là quand elle ne recevrait pas du côté des puissances de l’ouest une garantie sûre que la France n’attaquerait pas. Cette garantie ne pouvait venir que d’Angleterre ;

d) que, quand l’Angleterre aurait donné cette garantie, l’Allemagne aurait été seulement en guerre contre la Russie ;
e) que la diplomatie allemande avait cru, à la suite des rapports qu’elle avait nouée dans les dernières années avec l’Angleterre, que l’Angleterre oeuvrerait à de telles garanties ;
f) que la diplomatie allemande en rapport à la politique imminente de l’Angleterre s’est pleinement trompée et que sous l’impression de cette erreur a été mise en œuvre le passage par la Belgique qu’on se serait dispensé de faire si l’Angleterre avait donné la garantie évoquée. De manière non ambiguë devrait être annoncé au monde que l’invasion de la Belgique a premièrement été mise en œuvre alors que la diplomatie allemande a été surprise par la communication du Roi d’Angleterre, qu’elle se trompait quand elle attendait une telle garantie du côté anglais. C’est inexplicable, pourquoi le gouvernement allemand ne fit pas sans ambiguïté ce qu’il pouvait : notamment, prouver qu’il n’aurait pas entrepris l’invasion de la Belgique si le télégramme décisif du Roi d’Angleterre avait signifié autre chose. De ce tournant décisif dépendit vraiment tout le déroulement suivant de la guerre et il ne s’est rien passé d’Allemagne pour apporter ce fait décisif à l’a connaissance universelle du monde. On devrait d’ailleurs dire, si on connaissait ce fait correctement, la politique anglaise a été mal jugée au moment décisif en Allemagne, mais on ne pouvait pas méconnaitre que l’Angleterre a été le facteur décisif dans la question belge.


Un tel langage offrait toutefois une difficulté à l’Allemagne vis-à-vis de la Russie, parce que cela était hors de sa vue ce qu’elle devait à l’Angleterre pour cette guerre. Cette difficulté aurait seulement pu être levée quand il serait arrivé à la Russie de montrer qu’elle avait moins à attendre de l’amitié anglaise que de celle de l’Allemagne. Cela ne put naturellement pas se passer, sans que l’Allemagne n’entreprenne au moment présent, en union avec l’Autriche-Hongrie de développer une politique d’envergure, par laquelle soit baTTue du champs le programme de Wilson placé dans le monde sans aucune connaissance des rapports européens.


Il peut sembler pratique de dire qu’il n’y a aujourd’hui aucune valeur de parler des causes de la guerre. Mais c’est vis-à-vis des rapports factuels le moins pratique qui se laisse seulement penser. Car en fait l’Entente conduit la guerre depuis longtemps avec sa présentation des causes de la guerre. La situation qu’elle s’est créée, elle la doit à la circonstance que sa présentation est crue sur la base que d’ici en Allemagne quelque chose d’efficace ne lui ai pas été répliqué. Pendant que l’Allemagne pouvait montrer qu’elle n’a pas contribué au déclenchement de la guerre, qu’elle n’a été entrainée dans la rupture de neutralité de la Belgique que par le comportement de l’Angleterre, les explications officielles de l’Allemagne jusqu'à aujourd’hui sont restées tenues ainsi qu’aucun humain vivant à l’extérieur de l’Allemagne ne sera empêché de se former le jugement qu’il aurait reposé en Allemagne main à ne pas commencer la guerre. Ce n’est pas fait avec cela qu’on rassemble les documents ainsi comme cela s’est passé. Car ce rassemblement montre justement quelque chose qui peut être mis en doute par chacun, pendant que la présentation non maquillée des faits devrait montrer l’innocence de l’Allemagne. Qui a de la compréhension pour de telles choses, celui-là peut savoir que de tels discours comme ils sont conduit par les hommes responsables allemands, par les psychés des humains dans les pays ennemis et même absolument dans les neutres ne sont pas compris et par là sont seulement pris comme dissimulation de la vérité. Dire que cela n’aiderait rien de parler autrement vis-à-vis de la haine des ennemis, à cela on aurait seulement un droit, si on avait aussi seulement fait l’essai de parler vraiment autrement.
On ne devrait absolument pas conduire cette haine dans le cHamps, parce que cela est simplement naïf ; car cette haine n’est que draperie de la guerre, n’est que la lèche de ceux qui veulent ou doivent accompagner de leurs discours les indicibles tristes évènements ou de ceux lesquels veulent chercher dans l’exaspération de cette haine un moyen d’atteindre ceci ou cela. La guerre sera conduite à partir des causes suffisamment connues du côté de la France et de la Russie. Et il sera conduit du côté de l’Angleterre juste comme guerre économique ; mais comme guerre économique qui est un résultat de tout ce qui en Angleterre s’est préparé depuis longtemps. Parler vis-à-vis des réalités de la politique Anglaise de l’encerclement par le roi Eduard et petitesses semblables est ainsi comme si on voit un garçon se sauver d’un piquet, qui après tombe, et dit alors : le garçon aurait amené le piquet à tomber parce qu’il l’aurait quelque peu secoué, pendant qu’en fait le piquet était déjà depuis longtemps endommagé, que du côté de l’enfant il ne nécessitait plus que d’une insignifiante poussée, pour finalement produire la chute. La vérité est que l’Angleterre depuis de nombreuses années l’a compris de faire une politique orientée à partir des rapports réels en Europe dans un sens qui lui semble avantageux, qui a été comme une utilisation tenue dans le caractère des sciences de la nature des forces d’États et de peuples disponibles. Nulle part en dehors d’Angleterre, la politique ne porta un caractère entièrement factuel, se rapportant à soi-même. On prenait les forces agissant les peuples des Balkans, on prenait avec cela ce qui se jouait en Autriche, et on regardait à partir de cela vers ce qui en Angleterre était de formules politiques disponibles dans des cercles d’initiés en Angleterre. Ces formules contenaient toujours : dans les Balkan se passera ceci ou cela ; l’Angleterre a à faire à cela. Et les évènements se sont remués dans la direction indiquée et la politique anglaise se remuait avec en parallèle. On pouvait en Angleterre trouver incorporées (placées dedans comme membre, articulées dedans) dans de telles formules des phases comme celle-ci : l’empire russe disparaitra dans sa forme actuelle, afin que le peuple russe puisse vivre. Et ce peuple est si caractérisé dans ses rapports que là on pourrait conduire des expériences socialistes pour lesquelles il n’y a pas de possibilité en Europe de l’Ouest. Qui suit la politique anglaise, celui-là peut voir qu’elle a été constamment aménagée en grand style pour orienter tous ces points de vues et d’autres au compte de l’Angleterre. Et à cela lui bénéficia qu’en Europe il en sorti seulement de tels points de vue et justement par là se permirent ses avancées diplomatiques.
Sa politique travailla constamment dans le sens de ce que dans ce qui était le sens des réelles forces d’États et de peuple, et son effort à cela a été dans le sens de se mettre ces forces au service de ce qui était son avantage économique. Cela travaillait à son avantage. D'autres le firent évidemment aussi. Mais l’Angleterre travaillait en dehors de cela dans la direction de ce qui se laisse réaliser par les forces reposant en elles-mêmes, pendant que d’autres ne se laissaient pas aller à l’observation de telles forces, oui ils auraient volontiers eu un distingué sourire quand on leur aurait parlé de telles forces. Toute la structure d’État d’Angleterre est instituée sur de tels travaux pratiques réels. D’autres pourront déployer alors en premier une culture d’État ayant grandi à l’anglaise quand l’évoqué ne sera plus un secret anglais, mais quand cela deviendra un bien commun. Qu’on pense seulement, comment infiniment naïf ce fut quand on croyait pénétrer à partir d’Allemagne avec le problème du chemin de fer de Bagdad, que de là on entreprit ainsi à partir de ce problème comme s’il était absolument nécessaire d’aller à quelque chose comme à la construction d’une route sur la disposition de laquelle on a à s’entendre avec son voisin. Ou, pour parler de quelque chose reposant encore plus loin, comment l’Autriche se représentait ordonner son rapport aux Balkans, sans conduire des forces pour cela dans le cHamps, qui pensé à partir des forces d’États et peuples des Balkans, pourrait paralyser les atouts de l’Angleterre ? L’Angleterre a fait justement un moment donné pas seulement cela et ceci, mais elle orientait les forces internationalement ainsi qu’elles marchaient au bon moment dans sa direction. Pour faire cela, on doit premièrement connaître ces forces et deuxièmement déployer chez soi ce qui est déposé dans le sens de ces forces. L’Autriche-Hongrie aurait donc au bon moment dû accomplir un acte qui dans le sens des forces opportunistes-économiques aurait amené dans sa direction les intérêts du chemin de fer de Bagdad, plutôt que soit détournée la première dans la Russe et avec cela dans la ligne anglo-russe, la deuxième dans la ligne anglaise.

La guerre doit en Europe du centre conduire à cela de rendre visible le disponible en rapport à la vie économique, d’État, des peuples. Par cela seul on peut forcer l’Angleterre à ne pas se comporter plus loin aux autres états sur les chemins d’une diplomatie écrasante, mais se laisser traiter avec elle comme d’égal à égal sur cela qui est à traiter entre des communautés humaines européennes. Sans l’accomplissement de cette condition, toute imitation du parlementarisme anglais en Europe du centre n’est rien d’autre qu’un moyen de se répandre du sable dans les yeux.
Sinon en Angleterre quelques personnes trouveront toujours moyen et chemin de laisser exécuter leur politique de réalité par leur parlement pendant que donc une action allemande ou autrichienne ne deviendra déjà pas seule par là une intelligente qu’à la place de quelques hommes d’État elle aura été décidée par quelque 500 députés. On peut à peine se penser quelque chose de plus malheureux que la superstition qu’un sortilège agirait quand pour le reste qu’on a toléré d’Angleterre ajoute maintenant encore qu’on se laisse imposer d’elle le modèle démocratique.
Avec cela ne veut pas être dit que l’Europe du centre ne devrait pas expérimenter un développement en avant dans le sens d’une formation politique intérieure, seule une telle n’a pas le droit d’être l’imitation de l’ainsi nommée démocratisme ouest européen, mais elle doit tout de suite apporter cela que ce démocratisme empêcherait en Europe du centre à cause de ces rapports particuliers. C’est ainsi nommé démocratisme est en effet seulement approprié à cela de faire des humains d’Europe du centre une partie de la domination mondiale anglo-américaine, et si on s’engageait à cela aussi encore à l’ainsi nommée organisation inter étatique des internationalistes actuels, alors on aurait la plus belle chance d’être constamment comme européens du centre mis en minorité à l’intérieur de cette organisation interétatique.

 

Ce dont il s’agit est, à partir de cette vie centre européenne de montrer les impulsions qui reposent vraiment ici, et auxquelles les opposants occidentaux, quand elles seront démontrées, verront qu’ils devront se saigner à elles par une plus longue poursuite de la guerre. Contre des prétentions à la puissance des opposants peuvent placer leur puissance et le feront aussi longtemps que ça reste à des prétentions. Contre de réelles forces de puissance, ils dresseront les armes. Aux si efficaces manifestations de Wilson doit être présenter ce qui en Europe du centre peut vraiment être fait pour la libération de la vie des peuples, pendant que ses mots ne sont à même de leur donner que la domination mondiale anglo-américaine. L’accord avec la Russie n’a pas besoin d’être cherché par un programme de la réalité centre européenne, car celle-ci se donne d’elle-même. Un tel programme centre européen n’a pas le droit de contenir, ce qui est seulement affaire intérieure d’état, mais juste telle qui avec les rapports vers l’extérieur a quelque chose à faire. Mais évidemment doit être vu à la mesure des choses dans cette direction ; car si un humain peut bien penser, est certainement une affaire de son organisation intérieure, mais s’il oeuvre par cette bonne pensée vers l’extérieur dans la ou cette direction n’est pas une affaire intérieure.

C’est pourquoi peut seul battre le programme de Wilson un programme centre européen, qui est réel, cela signifie qui ne souligne pas tel ou tel souhait, mais est simplement une description de ce que l’Europe centrale peut faire parce qu’elle a en elle la force de ce faire. A cela appartient :

1. Qu’on considère : l’objet d’une représentation démocratique ne peut être que les affaires purement politiques, les militaires et les policières. Celles-ci sont seulement possibles sur la base des sous bassement formés historiquement.
Si elles sont représentées pour elles-mêmes dans une représentation populaire et administrée par une administration responsable devant cette représentation populaire ainsi elle se développe nécessairement conservatrice. Une preuve extérieure pour cela est que la sociale démocratie elle-même est devenue conservatrice en ces choses depuis le déclenchement de la guerre. Et elle le deviendra encore plus, d’autant plus elle sera forcée par la mesure du sens et des faits de penser que dans la représentation populaire vraiment peut être objet seulement des affaires politiques, militaires et policières. À l’intérieur d’une telle institution, l’individualisme allemand peut aussi se déployer avec son système fédéral qui n’est pas une chose fortuite, mais qui est contenu dans le caractère allemand.

2. Toutes les affaires économiques seront ordonnées dans un parlement économique particulier. Quand celui-ci est débarrassé de tout le politique et militaire, ainsi il déploiera ses affaires ainsi comme c’est uniquement et seulement approprié à celles-ci, à savoir opportunément. La fonction publique administrative de ces affaires économiques, à l’intérieur de laquelle repose aussi l’ensemble de la législation douanière, est immédiatement seulement responsable devant le parlement économique.

3. Toutes les affaires juridiques, pédagogiques et spirituelles seront données à la liberté des personnes. Sur ce domaine l’État a seulement le droit de police, pas l’initiative. Ce qui est pensé ici est seulement apparemment radical. En réalité, ne peut se heurter à ce qui est pensé ici, seulement celui qui ne veut pas saisir les faits avec des yeux impartiaux. L’État laisse passer aux corporations de choses, de métier et de nature des peuples, d’instituer leurs tribunaux, leurs écoles, leurs églises et ainsi de suite et il laisse l’individu se déterminer son école, son église, son juge.
Naturellement pas au cas par cas, mais sur un certain temps. Au début cela devra bien être limité par les frontières territoriales, cependant cela porte la possibilité en soi d’aplanir les différences nationales - d’autres aussi – sur des chemins pacifiques. Cela porte même en soi la possibilité de créer quelque chose de réel à la place du vague tribunal arbitral des États. Aux agitateurs nationaux ou supplémentaires seront par là prises leurs forces. Pas d’italien à Trieste ne trouverait des partisans dans cette ville quand chacun pourrait déployer en elle ses forces nationales, malgré tout à partir de raisons évidentes être classé par raisons opportunistes à Vienne pour ses intérêts économiques et que malgré tout son gendarme sera payé à partir de Vienne.

Les structures politiques de l’Europe peuvent ainsi se développer sur la base d’un sain conservatisme, qui jamais ne peut être pensé sur une fragmentation de l’Autriche, mais au plus sur son extension.

Les structures économiques se développeront opportunément sainement, car personne ne peut vouloir avoir Trieste dans une structure économique dans laquelle cela doit s’effondrer économiquement quand la structure économique n’empêche pas de faire ce qu’il veut ecclésialement, nationalement et ainsi de suite.

Les affaires culturelles seront libérées de la pression qu’exercent les choses politiques et économiques, et elles arrêtent d’exercer une pression sur celles-ci. Toutes ces affaires culturelles seront en permanence maintenues en sain mouvement. Une sorte de Sénat, élu par les trois collectivités, auxquelles reviennent les affaires politiques-militaires, économiques et juridiques-pédagogiques, assure les affaires communes auxquelles appartiennent aussi par exemple les finances communes.


La réalisation de ce qui est introduit dans cette présentation ne sera mise en doute par personne qui pense à partir des véritables rapports en Europe centrale. Car ici ne sera absolument pas exigé ce qui devrait être réalisé, mais il sera seulement démontré ce qui veut se réaliser et ce qui au même instant réussit en ce qu’on lui donne la voie libre.

(La partie qui vient est aussi dans la dernière version du deuxième memorandum)

Reconnaît-on cela, alors devient avant tout clair, pourquoi nous avons cette guerre et pourquoi sous le faux drapeau de la libération des peuples est une guerre pour l’oppression du peuple allemand, dans un sens large pour l’oppression de toutes les vies des peuples autonomes en Europe du centre. Dévêt-on le programme wilsonien, qui comme la plus récente description est issu du programme de couverture de l’Entente, ainsi on vient là-dessus, que sa réalisation ne signifierait rien d’autre que le déclin de cette liberté centre européenne. Cela ne retient pas que Wilson parle de la liberté des peuples ; car le monde ne s’oriente pas d’après des mots, mais d’après des faits, qui suivent la réalisation de ces mots. L’Europe du centre à besoin de véritable liberté, mais Wilson ne parle pas du tout d’une véritable liberté. Tout le monde occidental n’a absolument pas de concept de cette véritable liberté nécessaire pour l’Europe centrale. On parle là de liberté des peuples et pense à cela non la véritable liberté des humains, mais une chimérique liberté collective de rapports humains, comme ils se sont formés dans les états ouest - européens et en Amérique. D’après les conditions particulières d’Europe du centre cette liberté collective ne peut se présenter de rapports internationaux, donc elle n’a jamais et jamais plus le droit d’être objet d’un accord international, comme elle peut reposer à la base d’un accord de paix. En Europe du centre la liberté collective des peuples doit se présenter à partir de la liberté humaine générale/universelle, et elle se présentera, quand on crée pour cela voie libre par détachement de tous cercles de vie appartenant au non purement politique, militaire et économique. Il est entièrement évident que contre de tels détachements ceux qui constamment seulement avec leurs idées ne comptent pas avec la réalité, érigent de telles objections comme on les trouve dans un livre justement paru, à savoir dans Kriecks « Die deutsche Staatsidee » (L’idée allemande de l’État) à la page 167 et suiv. : « Occasionnellement a été autrefois, entre autres par E. von Hartmann, soulevée l’exigence d’un parlement économique à côté de la représentation populaire. La pensée repose entièrement dans la direction du développement social et économique. Mais mis à part qu’une nouvelle grosse roue multiplierait la de toute façon riche maladresse et frottement de la machine, la compétence de deux parlements serait impossible à délimiter vis-à-vis l’un de l’autre. »

 


A cette pensée devrait maintenant être volontiers vu là-dessus , qu’ici doit être admis, qu’il se présente des véritables rapports de l’évolution, doit donc être réalisé et n’a pas le droit d’être rejeté contre l’évolution, parce qu’on trouve difficilement sa réalisation. S’arrête-t-on en effet dans la réalité devant de telles difficultés, ainsi on créé des complications, qui plus tard se déchargent puissamment. Et en dernière fin cette guerre est dans la particularité dans laquelle il se déroule, la décharge de difficultés qu’on a omis de débarrasser sur les autres chemins corrects aussi longtemps qu’il en était encore temps.


Le programme wilsonien part de cela de rendre impossible dans le monde ce qui est la tâche justifiée et la condition de vie des états centre européens. Lui doit être présenter ce qui se passera en Europe du centre quand ce devenir ne sera pas dérangé par la puissante destruction de la vie centre européenne. Il doit lui être montré ce que seulement l’Europe du centre peut faire sur la base du devenu ici historiquement quand cela ne se relie pas avec l’Entente, qui ne peut avoir aucun intérêt à cela, de conduire l’Europe du centre contre son évolution conforme à la nature.

 

Ainsi que les choses reposent aujourd’hui, l’Allemagne et l’Autriche ont seulement le choix entre les trois choses qui suivent :

1. Sous toutes les circonstances attendre en une victoire de leurs armes, et d’elle espérer pouvoir accomplir leur tâche centre européenne.
2. Parvenir sur la base du programme actuel à une paix avec l’entente et avec cela aller au-devant de leur sûre destruction.
3. De dire ce qu’elle verrait comme résultat d’une paix dans le sens des véritables conditions et avec cela placer le monde devant la possibilité, après claire connaissance dans les conditions et la volonté de l’Europe du centre laisser choisir les peuples entre un programme des faits, qui apporte aux humains européens la véritable liberté et avec cela bien évidemment la liberté des peuples, ou les programmes illusions de l’Ouest et de l’Amérique, qui parlent de liberté, mais en réalité apportent l’impossibilité de la vie pour toute l’Europe. Nous en Europe du centre faisons pour l’instant l’impression comme si nous hésitions à dire devant l’ouest ce que nous devons vouloir, pendant que cet ouest nous submerge avec les manifestations de sa volonté.
Par cela cet ouest appelle l’impression que seulement lui veut quelque chose pour le salut de l’humanité et que nous nous efforçons seulement de gêner cette louable aspiration par toute sorte de telles choses comme le militarisme, pendant que lui par là qu’il s’est depuis longtemps arrangé et veut là-dessus s’arranger encore mieux, de faire de nous des humains ombre, est en réalité le créateur de notre militarisme. Certainement de telles et semblables choses ont été souvent dites, cependant il ne s’agit pas de cela, qu’elles seront dites de tel ou tel, mais de ce qu’elles deviennent vraiment le leitmotiv de l’action centre européenne et que le monde apprenne à reconnaitre qu’elle n’a pas à attendre de l’Europe du centre qu’une telle qui doit se saisir de l’épée quand les autres lui forcent cette épée dans la main. Ce que maintenant les peuples de l’ouest nomment militarisme allemand ils l’on durant une évolution centenaire forgée, et seulement à eux, pas à l’Allemagne il peut être, de prendre son sens pour l’Europe du centre. Mais à l’Europe du centre il est de placer clairement sa volonté pour la liberté, un vouloir qui ne peut être bâti de manière wilsonienne sur des programmes, mais sur la réalité de l’existence humaine.
De cela il y a pour l’Europe centrale seulement un programme de paix et cela est : laisser entendre au monde qu’une paix est possible immédiatement quand l’entente à la place de son actuel, non véritable programme de paix en place un tel qui est vrai, parce qu’il introduit dans sa réalisation non la disparition, mais la possibilité de vie de l’Europe du centre. Toutes les autres questions, les objets de l’aspiration à la paix pourront trouver, se résoudront, si elles s’attaquent à ces conditions préalables. Sur la base, que maintenant nous sont offertes par l’Entente et celle qui ont été admises par Wilson, une paix est impossible. Ne pénètre pas autre chose à la place ainsi le peuple allemand ne pourrait être amené à l’adoption par la force et le cours ultérieur de l’histoire européenne prouverait la justesse de ce qui est dit ici, car par la réalisation du programme de Wilson les peuples européens disparaissent. On doit justement en Europe du centre regarder dans les yeux sans illusion ce que ces personnalités ont depuis de nombreuses années comme leur croyance, qu’à partir de leur point de vue elles regardent comme la loi du développement du monde :que la race anglo-américaine appartient à l’avenir de l’évolution du monde, et a à prendre l’héritage de la race romano-latine et l’éducation de la russéïté. Par la mention de cette formule de politique mondiale par un anglais ou américain se pensant initié sera constamment fait remarquable que l’élément allemand n’a pas à dire sont mot à l’ordonnance du monde à cause de son insignifiance dans les choses de politique mondiale, que l’élément roman n’a pas besoin d’être considéré, parce que sans cela il est en extinction et que l’élément russe a celui qui se fait son éducateur historique à long terme.





On pourrait à peine penser d’une telle confession de foi si elle n’avait vécue dans les têtes de quelques humains accessibles pour des fantasmes ou utopies politiques, seule la politique anglaise utilise d’incalculables chemins pour faire pratiquement de ces programmes des contenus de sa véritable politique mondiale, et du point de vue de l’Allemagne la présente coalisation dans laquelle elle se trouve, ne serait pas plus favorable qu’elle n’est s’il s’agissait de la réalisation de ce programme. Mais il n’y a rien que l’Europe de centre peut présenter qu’un programme véritablement libérateur des humains, qui peut à chaque instant devenir un acte quand la volonté humaine s’investit pour sa réalisation. On peut donc peut être penser que la paix laissera longtemps attendre après elle aussi quand le programme pensé ici sera placé devant les peuples européens qu’il ne puisse donc pas être introduit pendant la guerre et en outre des peuples de l’Entente serait ainsi introduit comme s’il était introduit par les guides des peuples d’Europe centrale seulement pour la tromperie des peuples, pendant qu’après la guerre ne s’introduirait simplement à nouveau ce que les guides de l’Entente présentent comme le terrible, que de raisons morales en une « lutte pour la liberté et le droit des peuples doivent sortir du monde ». Mais qui juge le monde correctement d’après les faits, pas d’après ses opinions préférées, celui-là peut savoir, ce que la réalité représente, a une tout autre valeur de conviction que ce qui est originaire du pur arbitraire. Et on peut tranquillement attendre ce qui se montrera chez tous ceux qui vont reconnaître qu'avec le programme d’Europe centrale les peuples de l’entente ne perdront que les possibilités de mettre en ruine l’Europe centrale, mais en rien ne coule de lui une quelque chose qui avec une quelque véritable impulsion de vie  serait insupportable aux peuples de l’Entente. Aussi longtemps qu’on se trouve dans le domaine des aspirations masquées, un accord est exclu ; aussitôt qu’on montera derrière les masques les réalités pas seulement militairement, mais aussi politiquement, commencera une tout autre forme des évènements présents. Les armes d’Europe du centre le monde a appris à les connaître pour le salut de cette Europe du centre, le vouloir politique est aussi loin que l’Europe du centre entre en considération, est au Monde un livre avec sept seaux. Pour cela le monde reçoit chaque jour la description d’une image d’horreur, quelle chose en terrible, capable de destruction est en fait cette Europe du centre. Et il semble pour le monde ainsi comme si l’Europe du centre n’avait qu’à se taire à cette image de peur, ce qui évidemment doit apparaître au monde comme semblable à un dire oui. (retour dernière version second mémorandum)

Il est entièrement évident qu’à chacun d’innombrables doutes s’élèvent quand il veut se faire des pensées là-dessus comment ce qui est évoqué ici devrait être conduit dans le détail, seuls de tels doutes ne viendraient en considération seulement quand l’existant serait pensé comme un programme, à la réalisation duquel devrait aller un seul ou une société. Mais ce n’est pas pensé comme cela, oui cela se contredirait soi-même, si c’était pensé ainsi.

C’est pensé comme l’expression de ce que les peuples d’Europe centrale feraient après qu’on se donne du côté des gouvernements la tâche de reconnaître et accoucher les forces des peuples. Ce qui se passera dans le détail, cela se montre à de telles choses alors toujours quand elles se rendent sur le chemin de la réalisation. Car elles ne sont pas des prescriptions sur quelque chose, qui a à se passer, mais des pronostics sur ce qui se passera quand on laisse les choses aller sur leur propre voie exigée par la réalité. Et cette réalité propre prescrit, conformément à toutes les affaires religieuses et spirituelles-culturelles auxquelles appartient aussi le national, administration par corporations, auxquelles la personne individuelle se reconnaît par libre volonté, et qui seront administrées en leuRs parlements comme corporations, mais jamais n’ayant à faire avec le rapport de cette corporation à la personne individuelle. Et jamais il ne sera droit à une corporation avec d’avoir à faire à une personne appartenant à autre corporation sous le même point de vue. De telles corporations seront accueillies dans le cercle du parlement lorsqu’elles réunissent un certain nombre de personnes. Jusque-là elles restent chose privée, dans laquelle aucune administration ou représentation n’a à se mêler. Pour qui c’est une pomme acide, que de tels points de vue qu’à l’avenir toutes les affaires spirituelles culturelles doivent être privée de leurs privilèges, celui-là devra morde justement dans cette pomme acide pour le salut de l’existence du peuple. En s’habituant à cette privilégiation se poursuivant toujours ont reconnaîtra donc difficilement dans beaucoup de cercles que sur le chemin du privilège tout de suite des métiers spirituels on doit revenir au bon vieux, originel vieux principe de la libre corporisation. Et que la corporation devrait d’ailleurs rendre un humain capable dans son métier afin qu’on ne privilégie pas ce métier, mais doit le laisser à la concurrence libre et au libre choix humain. Cela sera difficile à reconnaître de tous ceux qui parlent volontiers de cela que les humains ne seraient donc pas mûrs à ceci ou cela.

Dans la réalité cette objection ne viendra donc pas en considération sans cela qu’avec exception des nécessaires professions libres sera décidé sur le choix (NDT ou peut être « par vote ») des pétitionnaires de la corporation. Tout aussi peut peuvent se présenter des difficultés en rapport au politique ou à l’économique, qui ne seraient pas réellement remédiables par réalisation des objectifs.
Comment par exemple des institutions pédagogiques doivent se réaliser, qui dans leurs lignes directrices, concernent les deux représentations s’excluant, pas la seule pédagogie, cela est une chose du sénat chapeautant.

Lire encore le second mémorandum dans sa version définitive?

Die Wortführer der Entente führen unter den Gründen, warum sie den Krieg fortsetzen müssen, den an, daß sie von Deutschland überfallen worden sind. Sie behaupten daher, sie müssen Deutschland in eine solche Lage der Machtlosigkeit bringen, daß fortan ihm jede Möglichkeit genommen sei, einen Überfall auszuführen. In diese Form einer Art moralischer Anklage gegen Deutschland werden nebulos untergetaucht alle anderen Ursachen dieses Krieges.

Es ist zweifellos, daß gegenüber dieser Anklage Deutschland in die Notwendigkeit versetzt ist, in ganz ungeschminkter Weise darzustellen, wie es in den Krieg hineingetrieben worden ist. Statt dessen hat man von den Kriegsursachen bisher nur doktrinäre Auseinandersetzungen, die so anmuten wie die Schlußfolgerungen eines Professors, der nicht erzählt, was er gesehen hat, sondern der aus Dokumenten darlegt, was sich ihm über ferne Ereignisse ergeben hat. Denn so sind auch alle Ausführungen des deutschen Reichskanzlers über die Vorgänge bei Kriegsausbruch gehalten. Solche Darlegungen aber sind ungeeignet, einen Eindruck zu machen. Man weist sie einfach zurück, indem man ihnen Unberechtigtes oder auch berechtigtes Anderes entgegensetzt.

Würde man dagegen einfach die Tatsachen erzählen, so würde sich folgendes ergeben:

1. Deutschland war im Sommer 1914 nicht bereit, die Initiative zu einem Kriege zu ergreifen.

2. Österreich-Ungarn war seit langem in die Notwendigkeit versetzt, irgend etwas zu unternehmen, das der ihm drohenden Gefahr entgegenwirkt, durch Zusammenschluß der Südslaven unter der Führung der außerösterreichischen Serben von Südosten her verkleinert zu werden. Man kann ruhig zugeben, daß die Ermordung des Erzherzogs Franz Ferdinand und die ganze Ultimatumsgeschichte nur ein Anlaß war. Wäre nicht dieser Anlaß ergriffen worden, so hätte bei nächster Gelegenheit eben ein anderer ergriffen werden müssen. Österreich hätte eben nicht Österreich bleiben können, wenn es nicht irgend etwas zur Sicherung seiner Südost-Provinzen tat, oder durch eine großzügige andere Handlung die Slavenfrage zur Lösung bringen konnte. An dieser anderen Handlung hatte sich aber die österreichische Politik seit 1879 verblutet. Besser gesagt: sie hatte sich daran verblutet, daß diese andere Handlung nicht aufgefunden werden konnte. Man konnte eben der Slavenfrage nicht Herr werden. Soweit für die Entstehung des Krieges Österreich-Ungarn in Betracht kommt, und damit auch Deutschland, dessen Beteiligung erfolgte, weil es Österreich-Ungarn nicht im Stiche lassen konnte, ohne befürchten zu müssen, daß es nach einigen Jahren ohne Österreichs Bundesgenossenschaft der Entente gegenüberstehe -, soweit muß erkannt werden, daß die Slavenfrage den Grund enthält für die Entstehung dieses Krieges. Die «andere Handlung» ist also die internationale Lösung der Slavenfrage Sie ist gefordert von Österreich, nicht von Rußland. Denn Rußland wird immer seinen slavischen Grundcharakter in die Waagschale der Lösung werfen können. Österreich-Ungarn kann diesem Gewichte nur das der Befreiung der Westslaven entgegenstellen. Diese Befreiung kann nur unter dem Gesichtspunkte der Autonomisierung aller Zweige des Volkslebens vor sich gehen, welche das nationale Dasein und alles, was damit zusammenhängt, betreffen. Man darf eben nicht zurückschrecken vor der völligen Freiheit im Sinne der Autonomisierung und Föderalisierung des Volkslebens. Diese Föderalisierung ist vorgebildet im deutschen bundesstaatlichen Leben, das gewissermaßen das von der Geschichte vorgebildete Modell ist für dasjenige, was in Mitteleuropa fortgebildet werden muß bis zur völligen föderalistisch-freiheitlichen Gestaltung aller derjenigen Lebensverhältnisse, die ihren Impuls in dem Menschen selber haben, also nicht unmittelbar, wie die militärisch-politischen, von den geographischen, und, wie die wirtschaftlichen, von den geographisch-opportunistischen Verhältnissen abhängig sind. Die Gestaltung dieser Verhältnisse wird nur dann in gesunder Weise erfolgen, wenn das Nationale aus der Freiheit, nicht die Freiheit aus dem Nationalen entbunden wird. Strebt man statt des letzteren das erstere an, so stellt man sich auf den Boden des weltgeschichtlichen Werdens. Will man das letztere, so arbeitet man diesem Werden entgegen und legt den Grund zu neuen Konflikten und Kriegen.

Von den leitenden Staatsmännern Österreichs verlangen, daß sie deshalb das Ultimatum an Serbien hätten unterlassen sollen, hieße von ihnen verlangen, daß sie gegen das Interesse des von ihnen geleiteten Landes hätten handeln sollen. Ein solches Verlangen können Theoretiker irgendeiner Färbung stellen. Ein Mensch, der mit den vorhandenen Tatsachen rechnet, sollte im Ernste von dergleichen gar nicht sprechen. Denn hätten die Südslaven erreicht, was die führenden Großserben wollten, so wäre unter den Aktionen der übrigen österreichischen Slaven Österreich in der Form, in der es bestand, nicht zu erhalten gewesen. Man könnte sich noch vorstellen, daß eben dann Österreich eine andere Form bekommen hätte. Kann man aber einem leitenden österreichischen Staatsmanne zumuten, resigniert auf einen solchen Ausgang zu warten? Man könnte es offenbar nur, wenn man der Ansicht wäre, es gehöre zu den unbedingten Anforderungen eines österreichischen Staatsmannes, absoluter Pazifist zu sein und das Schicksal des Reiches fatalisch abzuwarten. Unter jeder anderen Bedingung muß man den Schritt Österreichs bezüglich des Ultimatums verstehen.

3. Hatte nun einmal Österreich das Ultimatum gestellt, dann war die weitere Folge der Ereignisse nur aufzuhalten, wenn Rußland sich passiv verhielt. Sobald Rußland einen aggressiven Schritt tat, war durch nichts das Weitere aufzuhalten.

4. Ebenso wahr, wie dies alles ist, ebenso wahr ist, daß jeder, der mit den Tatsachen rechnete, in Deutschland ein unbestimmtes Gefühl hatte: Wenn einmal die angedeuteten Verwicklungen in ein kritisches Stadium treten, dann werde es Krieg geben. Man werde diesem Kriege nicht entgehen können. Und verantwortliche Personen hatten die Meinung, man müsse, wenn er notwendig werde, diesen Krieg mit aller Kraft führen. Einen Krieg aus eigener Initiative heraus zu führen, hatte in Deutschland gewiß niemand die Absicht, der ernstlich in Betracht kommt. Man kann der Entente beweisen, daß sie nicht den geringsten Grund hatte, an einen Angriffskrieg von seiten Deutschlands zu glauben. Man kann sie zwingen zuzugeben, daß sie den Glauben hatte, Deutschland werde ohne Krieg so mächtig, daß diese Macht den heute in der Entente vereinigten Mächten gefährlich werde. Aber man wird die Führung derartiger politischer Beweise ganz anders machen müssen, als dies bisher geschehen ist; denn dieses ist keine politische Beweisführung, sondern nur die Aufstellung politischer Behauptungen, bei denen es den anderen belieben kann, sie brutal zu finden. Man glaubte auf seiten der Ententemächte, wenn die Dinge so fortgehen, dann könne man nicht wissen, was noch alles aus Deutschland werde; deshalb müsse ein Krieg mit Deutschland kommen. Deutschland konnte sich auf den Standpunkt stellen: wir brauchen keinen Krieg; aber wir erlangen ohne Krieg dasjenige, was uns die Ententestaaten ohne Krieg nicht lassen werden; deshalb müssen wir uns für diesen Krieg bereithalten und ihn, wenn er droht, so nehmen, daß wir durch ihn nicht zu Schaden kommen können. Dies alles gilt auch bezüglich der serbischen Frage und Österreichs. Mit Serbien konnte Österreich im Jahre 1914 nicht mehr ohne Krieg fertig werden, wenigstens mußte das die Überzeugung seiner Staatsmänner sein. Hätte aber die Entente befunden, daß man Österreich-Ungarn allein mit Serbien fertig werden lassen könnte, dann hätte es zu dem allgemeinen Kriege nicht kommen müssen. Der wahre Kriegsgrund darf also nicht bei den Mittelmächten gesucht werden, sondern darin, daß die Entente diese Mittelmächte nicht so lassen wolhe, wie sie nach dem Bestande von 1914 in ihren Machtverhältnissen waren. Wäre allerdings die oben gemeinte «andere Handlung» vor 1914 geschehen, dann hätten die Serben keine internationale Opposition gegen Österreich-Ungarn entwickelt, und sowohl das Ultimatum wie die Einmischung Rußlands hätte es nicht geben können. Und hätte sich Rußland aus reinen Eroberungsgründen gegen Mitteleuropa in irgendeinem Zeitpunkte gewendet, dann hätte es England nicht an seiner Seite finden können. Da das Unterseeboot bis zum Kriege ein reines Kriegsmittel war, Amerika aber ohne dieses Kriegsmittel absolut nicht in den Krieg mit den europäischen Mittel-mächten hätte kommen können, so braucht für die Friedensfrage nur England in dem angedeuteten Sinn in Rechnung gezogen zu werden.

5. Was nun der Welt mitgeteilt werden müßte, ist:
a) daß Deutschland, soweit die Persönlichkeiten in Betracht kommen, die über den Kriegsausbruch zu bestimmen haben, vollständig von den Ereignissen im Juli1914 überrascht worden ist, daß diese niemand vorausgesehen hat. Insbesondere gilt dies von der Haltung Rußlands;
b) daß in Deutschland der verantwortlich Denkende nicht anders konnte, als annehmen, wenn Rußland angreife, werde dies auch Frankreich tun;
c) daß Deutschland für diesen Fall jahrelang seinen Zweifrontenkrieg vorbereitet hatte und nicht anders konnte, als bei den sich überstürzenden Ereignissen diesen ins Werk zu setzen, wenn es nicht von seiten der Westmächte eine sichere Garantie erhielt, daß Frankreich nicht angreife. Diese Garantie konnte nur von England kommen ;
d) daß, wenn England diese Garantie gegeben hätte, Deutschland nur gegen Rußland zum Kriege geschritten wäre;
e) daß die deutsche Diplomatie geglaubt habe, infolge des Verhältnisses, das sie in den letzten Jahren zu England angeknüpft hatte, werde England im Sinne einer solchen Garantie wirken;
f) daß die deutsche Diplomatie sich in bezug auf die bevorstehende Politik Englands vollständig getäuscht hat, und daß unter dem Eindrucke dieser Täuschung der Durchmarsch durch Belgien ins Werk gesetzt worden ist, den man unterlassen hätte, wenn England die angedeutete Garantie gegeben hätte. In ganz unzweideutiger Weise müßte der Welt verkündigt werden, daß der Einmarsch in Belgien erst ins Werk gesetzt worden ist, als die deutsche Diplomatie von der Mitteilung des Königs von England überrascht worden war, daß sie sich täusche, wenn sie auf eine solche Garantie von Englands Seite warte. Es ist unerfindlich, warum die deutsche Regierung nicht tut, was sie unzweideutig könnte: nämlich beweisen, daß sie den Einmarsch in Belgien nicht unternommen hätte, wenn das entscheidende Telegramm des Königs von England anders gelautet hätte. Von dieser entscheidenden Wendung hing wirklich der ganze weitere Verfolg des Krieges ab, und es ist von Deutschland nichts geschehen, um diese entscheidende Tatsache zur allgemeinen Kenntnis der Welt zu bringen. Man müßte, wenn man diese Tatsache richtig kennte, zwar sagen, die englische Politik ist an den entscheidenden Stellen in Deutschland falsch beurteilt worden, aber man könnte nicht verkennen, daß England der entscheidende Faktor in der belgischen Frage war. Eine Schwierigkeit böte eine solche Sprache Deutschlands allerdings gegenüber Rußland, weil dieses aus ihr ersehen würde, was es für diesen Krieg England verdankt. Diese Schwierigkeit könnte nur behoben werden, wenn es gelänge, Rußland zu zeigen, daß es von Englands Freundschaft weniger zu erwarten hat als von der Deutschlands. Dies kann natürlich nicht geschehen, ohne daß Deutschland es im jetzigen Augenblick unternimmt, im Verein mit Österreich-Ungarn eine großzügige Politik zu entfalten, durch die das ohne Kenntnis der europäischen Verhältnisse in die Welt gesetzte Programm Wilsons aus dem Feld geschlagen wird.

Es kann praktisch aussehen, zu sagen, es habe heute keinen Wert, über die Ursachen des Krieges zu sprechen. Es ist aber gegenüber den tatsächlichen Verhältnissen das Unpraktischeste, was sich nur denken läßt. Denn tatsächlich führt die Entente mit ihrer Darstellung der Kriegsursachen seit langem den Krieg. Die Situation, die sie sich geschaffen hat, verdankt sie dem Umstande, daß ihr ihre Darstellung geglaubt wird aus dem Grunde, weil ihr von Deutschland etwas Wirksames noch nicht erwidert worden ist. Während Deutschland zeigen könnte, daß es zum Kriegsausbruche nichts beigetragen hat, daß es in den Neutralitätsbruch gegenüber Belgien nur durch das Verhalten Englands getrieben worden ist, sind die offiziellen Darlegungen Deutschlands bis heute so gehalten, daß kein außerhalb Deutschlands lebender Mensch daran gehindert wird, sich das Urteil zu bilden, es habe in Deutschlands Hand gelegen, den Krieg nicht zu beginnen. Damit ist es nicht getan, daß man die Dokumente so zusammenstellt, wie es geschehen ist. Denn diese Zusammenstellung ergibt eben etwas, was von jedem angezweifelt werden kann, während die ungeschminkte Darstellung der Tatsachen in der Tat Deutschlands Unschuld ergeben müßte. Wer für solche Dinge Verständnis hat, der kann wissen, daß solche Reden, wie sie von den verantwortlichen Männern Deutschlands geführt werden, von den Psychen der Menschen in den feindlichen Ländern und auch in den neutralen überhaupt nicht verstanden und daher nur als Verschleierungen der Wahrheit genommen werden. Sagen, es hülfe nichts, anders zu sprechen gegenüber dem Hasse der Feinde, dazu hätte man nur ein Recht, wenn man auch nur den Versuch gemacht hätte, wirklich anders zu sprechen. Man sollte diesen Haß überhaupt nicht ins Feld führen, weil dies einfach naiv ist; denn dieser Haß ist nur Draperie des Krieges, ist nur die Ausschleimung derjenigen, die die unsäglich traurigen Ereignisse mit ihren Reden begleiten wollen oder müssen, oder derjenigen, welche in der Aufstachelung dieses Hasses ein wirksames Mittel suchen, dies oder jenes zu erreichen. Der Krieg wird aus den hinlänglich bekannten Ursachen von seiten Frankreichs und Rußlands geführt. Und er wird von der Seite Englands lediglich als Wirtschaftskrieg geführt; aber als Wirtschaftskrieg, der ein Ergebnis ist von alledem, was in England sich seit langem vorbereitet hat. Gegenüber den Realitäten der englischen Politik von der Einkreisung durch König Eduard und ähnlichen Kleinigkeiten zu sprechen ist so, wie wenn man einen Knaben von einem Pflocke weglaufen sieht, der nachher umfällt, und dann sagt, der Knabe habe den Pflock zu Fall gebracht, weil er an ihm etwas gerüttelt habe, während in der Tat der Pflock längst so beschädigt war, daß es von seiten des Knaben nur eines geringen Anstoßes bedurfte, um den Fall schließlich herbeizuführen. Die Wahrheit ist, daß England seit vielen Jahren es verstanden hat, eine aus den realen Verhältnissen Europas heraus orientierte Politik zu treiben in einem Sinn, der ihm günstig schien, der wie eine im naturwissenschaftlichen Charakter gehaltene Ausnützung der vorhandenen Völker- und Staatenkräfte war. Nirgends außer in England trug die Politik einen ganz sachgemäßen, in sich zusammenhängenden Charakter. Man nehme die auf dem Balkan treibenden Volkskräfte, man nehme hinzu, was in Österreich spielte, und man schaue von dem aus auf das, was in eingeweihten Kreisen vorhandene politische Formeln in England waren. Diese Formeln enthielten immer: Auf dem Balkan wird dies und jenes geschehen; England hat dabei dies zu tun. Und die Ereignisse bewegten sich in der angegebenen Richtung, und die englische Politik bewegte sich damit parallel. Man konnte in England in solche Formeln eingegliedert Sätze finden wie diesen: Das russische Reich wird in seiner gegenwärtigen Form zugrunde gehen, damit das russische Volk leben könne. Und diesesVolk ist so geartet in seinenVerhältnissen, daß man dort werde sozialistische Experimente ausführen können, für die es in Westeuropa keine Möglichkeit gibt. Wer die Politik Englands verfolgt, der kann sehen, daß sie stets im großen Stil darauf eingerichtet war, alle solche und viele andere Gesichtspunkte zugunsten Englands zu wenden. Und dabei kam ihm zugute, daß es in Europa allein von solchen Gesichtspunkten ausging und eben dadurch seine diplomatischen Vorsprünge sich ermöglichte. Seine Politik arbeitete stets im Sinne dessen, was im Sinne der wirklichen Volks- und Staatskräfte war, und sein Bestreben dabei war, im Sinne dessen sich diese Kräfte dienstbar zu machen, was in seinem wirtschaftlichen Vorteil war. Es arbeitete zu seinem Vorteil. Das tun andere selbstverständlich auch. Aber England arbeitete außerdem in der Richtung dessen, was sich durch die in ihm selbst liegenden Kräfte verwirklichen läßt, während andere auf die Beobachtung solcher Kräfte sich nicht einließen, ja wohl überhaupt nur ein vornehmes Lächeln gehabt hätten, wenn man ihnen von solchen Kräften gesprochen hätte. Englands ganze Staatsstruktur ist auf solches wirklich praktisches Arbeiten eingestellt. Andere werden erst dann eine der englischen gewachsene Staatskunst entfalten können, wenn das Angedeutete kein englisches Geheimnis mehr sein wird, sondern wenn es Gemeingut sein wird. Man denke nur, wie unendlich naiv es war, wenn man glaubte, von Deutschland aus mit dem Bagdadbahnproblem durchzudringen, da man von da aus dieses Problem so unternahm, als ob es überhaupt nur nötig wäre, an etwas zu gehen, wie an den Bau einer Straße, über deren Anlegung man sich mit seinen Nachbarn verständigt hat. Oder, um von etwas noch viel weiter Liegendem zu sprechen, wie dachte sich Österreich, sein Verhältnis zum Balkan zu ordnen, ohne Kräfte dabei ins Feld zu führen, die, aus den Volks- und Staatskräften des Balkan heraus gedacht, die Trümpfe Englands paralysieren konnten? England tat eben in einem gegebenen Zeitpunkte nicht nur das und jenes, sondern es lenkte international die Kräfte so, daß sie im rechten Momente in seiner Richtung liefen. Um das zu tun, muß man diese Kräfte erstens kennen und zweitens bei sich das entfalten, was im Sinne dieser Kräfte gelegen ist. Österreich-Ungarn also hätte zur rechten Zeit eine Handlung vollbringen müssen, die im Sinne der Südslavenkräfte diese in die österreichische Richtung gebracht, Deutschland hätte im Sinne der wirtschaftlich-opportunistischen Kräfte die Bagdadbahninteressen in seine Richtung bringen müssen, statt daß das erstere in die russische und damit in die russisch-englische Linie, das zweite in die englische Linie abgebogen ist.
Der Krieg muß in Mitteleuropa dazu führen, in bezug auf das im Völker-, Staats- und Wirtschaftsleben Vorhandene sehend zu werden. Dadurch allein kann man England zwingen, nicht weiter auf dem Wege einer überlegenen Diplomatie zu den anderen Staaten sich zu verhalten, sondern mit sich wie gleich zu gleich verhandeln zu lassen über dasjenige, was zwischen europäischen Menschengemeinschaften zu verhandeln ist. Ohne die Erfüllung dieser Bedingung ist alles Nachmachen des englischen Parlamentarismus in Mitteleuropa nichts anderes als ein Mittel, sich selbst Sand in die Augen zu streuen. In England werden sonst ein paar Leute immer Mittel undwege finden, ihre Wirklichkeitspolitik durch ihr Parlament ausführen zu lassen, während doch ein deutsches und österreichisches Handeln nicht schon allein dadurch ein gescheites werden wird, daß es statt von ein paar Staatsmännern von einer Versammlung von etwa 500 Abgeordneten beschlossen wird. Man kann sich kaum etwas Unglücklicheres denken als den Aberglauben, daß es einen Zauber bewirken werde, wenn man zu dem übrigen, was man sich hat von England gefallen lassen, nun auch noch das fügt, daß man sich die demokratische Schablone von ihm aufdrängen läßt. Damit soll nicht gesagt werden, daß Mitteleuropa nicht im Sinne einer inneren politischen Gestaltung eine Fortentwickelung erfahren solle, allein eine solche darf nicht die Nachahmung des westeuropäischen sogenannten Demokratismus sein, sondern sie muß gerade dasjenige bringen, was dieser Demokratismus in Mitteleuropa wegen dessen besonderer Verhältnisse verhindern würde. Dieser sogenannte Demokratismus ist nämlich nur dazu geeignet, die Menschen Mitteleuropas zu einem Teile der englisch-amerikanischen Weltherrschaft zu machen, und würde man sich dazu auch noch auf die sogenannte zwischenstaatliche Organisation der gegenwärtigen Internationalisten einlassen, dann hätte man die schöne Aussicht, als Mitteleuropäer innerhalb dieser zwischenstaatlichen Organisation stets überstimmt zu werden.

Worauf es ankommt ist, aus dem mitteleuropäischen Leben heraus die Impulse zu zeigen, die hier wirklich liegen, und an denen die westlichen Gegner, wenn sie aufgezeigt werden, sehen werden, daß sie sich bei einer weiteren Fortsetzung des Krieges an ihnen verbluten müssen. Gegen Machtprätentionen können die Gegner ihre Macht setzen und werden es tun, solange es bei Prätentionen bleibt. Gegen wirkliche Machtkräfte werden sie die Waffen strecken. Wilsons so wirksamen Manifestationen muß entgegengehalten werden, was in Mitteleuropa wirklich zur Befreiung des Lebens der Völker getan werden kann, während seine Worte ihnen nichts zu geben vermögen als die anglo-amerikanische Weltherrschaft. Die Übereinstimmung mit Rußland braucht von einem mitteleuropäischen Programm der Wirklichkeit nicht gesucht zu werden; denn diese ergibt sich selbst. Ein solches mitteleuropäisches Programm darf nichts enthalten, was nur innere Staatsangelegenheit ist, sondern lediglich solches, was mit dem Verhältnis nach außen etwas zu tun hat. Aber selbstverständlich muß in dieser Richtung sachgemäß gesehen werden; denn ob ein Mensch gut denken kann, ist gewiß eine Angelegenheit seiner inneren Organisation, ob er aber durch dieses gute Denken nach außen in der oder jener Richtung wirkt, ist nicht eine innere Angelegenheit.

Deshalb kann nur ein mitteleuropäisches Programm das Wilsonische schlagen, das real ist, das heißt nicht das oder jenes Wünschenswerte betont, sondern das einfach eine Umschreibung dessen ist, was Mitteleuropa tun kann, weil es zu diesem Tun die Kräfte in sich hat. Dazu gehört:


1. Daß man einsehe: Gegenstand einer demokratischen Volksvertretung können nur die rein politischen, die militärischen und die polizeilichen Angelegenheiten sein. Diese sind nur möglich auf Grund des historisch gebildeten Untergrundes. Werden sie vertreten für sich in einer Volksvertretung und verwaltet von einer dieser Volksvertretung verantwortlichen Beamtenschaft, so entwickeln sie sich notwendig konservativ. Ein äußerer Beweis dafür ist, daß seit dem Kriegsausbruche selbst die Sozialdemokratie in diesen Dingen konservativ geworden ist. Und sie wird es noch mehr werden, je mehr sie gezwungen wird, sinn- und sachgemäß dadurch zu denken, daß in den Volksvertretungen wirklich nur politische, militärische und polizeiliche Angelegenheiten der Gegenstand sein können. Innerhalb einer solchen Einrichtung kann sich auch der deutsche Individualismus entfalten mit seinem bundesstaatlichen System, das nicht eine zufällige Sache ist, sondern das im deutschen Volkscharakter enthalten ist.


2. Alle wirtschaftlichen Angelegenheiten werden geordnet in einem besonderen Wirtschaftsparlamente. Wenn dieses entlastet ist von allem Politischen und Militärischen, so wird es seine Angelegenheiten rein so entfalten, wie es diesen einzig und allein angemessen ist, nämlich opportunistisch. Die Verwaltungsbeamtenschaft dieser wirtschaftlichen Angelegenheiten, innerhalb deren Gebiet auch die gesamte Zollgesetzgebung liegt, ist unmittelbar nurdemWirtschaftsparlamente verantwortlich.

3. Alle juristischen, pädagogischen und geistigen Angelegenheiten werden in die Freiheit der Personen gegeben. Auf diesem Gebiete hat der Staat nur das Polizeirecht, nicht die Initiative. Es ist, was hier gemeint ist, nur scheinbar radikal. In Wirklichkeit kann sich nur derjenige an dem hier gemeinten stoßen, der den Tatsachen nicht unbefangen ins Auge sehen will. Der Staat überläßt es den sach-, berufs- und völkermäßigen Korporationen, ihre Gerichte, ihre Schulen, ihre Kirchen und so weiter zu errichten, und er überläßt es dem einzelnen, sich seine Schule, seine Kirche, seinen Richter zu bestimmen. Natürlich nicht etwa von Fall zu Fall, sondern auf eine gewisse Zeit. Im Anfange wird dies wohl durch die territorialen Grenzen beschränkt werden müssen, doch trägt es die Möglichkeit in sich, auf friedlichem Wege die nationalen Gegensätze - auch andere - auszugleichen. Es trägt sogar die Möglichkeit in sich, etwas Wirkliches zu schaffen an Stelle des schattenhaften StaatenSchiedsgerichts. Nationalen oder anderweitigen Agitatoren werden dadurch ihre Kräfte ganz genommen. Kein Italiener in Triest fände Anhänger in dieser Stadt, wenn jedermann seine nationalen Kräfte in ihr entfalten könnte, trotzdem aus selbstverständlichen opportunistischen Gründen seine wirtschaftlichen Interessen in Wien geordnet werden, und trotzdem sein Gendarm von Wien aus bezahlt wird.
Die politischen Gebilde Europas könnten sich so auf Grundlage eines gesunden Konservativismus entwickeln, der nie auf Zerstückelung Österreichs, sondern höchstens auf seine Ausdehnung bedacht sein kann.

Die wirtschaftlichen Gebilde würden sich opportunistisch gesund entwickeln; denn niemand kann Triest in einem Wirtschaftsgebilde haben wollen, in dem es wirtschaftlich zugrunde gehen muß, wenn ihn das Wirtschaftsgebilde nicht hindert, kirchlich, national und so weiter zu tun, was er will.

Die Kulturangelegenheiten werden von dem Drucke befreit, den auf sie die wirtschaftlichen und politischen Dinge ausüben, und sie hören auf, auf diese einen Druck auszuüben. Alle diese Kulturangelegenheiten werden fortdauernd in gesunder Bewegung erhalten. Eine Art Senat, gewählt aus den drei Körperschaften, welchen die Ordnung der politisch-militärischen, wirtschaftlichen und juristisch-pädagogischen Angelegenheiten obliegt, versieht die gemeinsamen Angelegenheiten, wozu auch zum Beispiel die gemeinsamen Finanzen gehören.

Die Ausführbarkeit des in dieser Darstellung Angeführten wird niemand bezweifeln, der aus den wirklichen Verhähnissen Mitteleuropas heraus denkt. Denn hier wird überhaupt nichts gefordert, was durchgeführt werden soll, sondern es wird nur aufgezeigt, was sich durchführen will, und was in demselben Augenblicke gelingt, in dem man ihm freie Bahn gibt.

(Der kommende Teil ist auch in die letzte Fassung des Zweites memorandum)

Erkennt man dieses, dann wird vor allem klar, warum wir diesen Krieg haben und warum er unter der falschen Flagge der Völkerbefreiung ein Krieg ist zur Unterdrückung des deutschenVolkes, im weiteren Sinne zur Unterdrückung alles selbständigen Volkslebens in Mitteleuropa. Entkleidet man das Wilsonsche Programm, das als die neueste Umschreibung aus den Deckprogrammen der Entente hervorgegangen ist, so kommt man darauf, daß seine Ausführung nichts anderes bedeuten würde als den Untergang dieser mitteleuropäischen Freiheit. Daran hindert nicht, daß Wilson von der Freiheit der Völker redet; denn die Welt richtet sich nicht nach Worten, sondern nach Tatsachen, die aus der Verwirklichung dieser Worte folgen. Mitteleuropa braucht wirkliche Freiheit, Wilson aber redet gar nicht von einer wirklichen Freiheit. Die ganze westliche Welt hat von dieser wirklichen für Mitteleuropa nötigen Freiheit überhaupt keinen Begriff. Man redet da von Völkerfreiheit und meint dabei nicht die wirkliche Freiheit der Menschen, sondern eine schimärische Kollektivfreiheit von Menschen zusammenhängen, wie sie sich in den westeuropäischen Staaten und in Amerika herausgebildet haben. Nach den besonderen Verhältnissen Mitteleuropas kann sich diese Kollektivfreiheit nicht aus internationalen Verhältnissen heraus ergeben, also darf sie nie und nimmer Gegenstand einer internationalen Abmachung sein, wie sie einem Friedensschlusse zugrunde liegen kann. In Mitteleuropa muß die Kollektivfreiheit der Völker aus der allgemeinen menschlichen Freiheit sich ergeben, und sie wird sich ergeben, wenn man durch Ablösung aller nicht zum rein politischen, militärischen und wirtschaftlichen Leben gehörigen Lebenskreise dafür freie Bahn schafft. Es ist ganz selbstverständlich, daß gegen solche Loslösung diejenigen, welche stets nur mit ihren Ideen, nicht mit der Wirklichkeit rechnen, solche Einwände erheben, wie man sie in einem eben erschienenen Buche findet, nämlich in Kriecks «Die deutsche Staatsidee» auf Seite 167 f.: «Gelegentlich wurde früher, unter anderen von E. von Hartmann, die Forderung nach einem Wirtschaftsparlamente neben der Volksvertretung erhoben. Der Gedanke liegt ganz in der Richtung der wirtschaftlichen und gesellschaftlichen Entwickelung. Abgesehen aber davon, daß ein neues großes Rad die ohnehin reichliche Unbeholfenheit und Reibung der Maschine vermehren würde, wäre die Zuständigkeit zweier Parlamente unmöglich gegeneinander abzugrenzen.»

Bei diesem Gedanken sollte nun doch wohl darauf gesehen werden, daß hier zugegeben werden muß, er ergibt sich aus den wirklichen Verhältnissen der Entwickelung, muß also durchgeführt werden und darf nicht gegen die Entwickelung abgewiesen werden, weil man seine Verwirklichung schwer findet. Macht man nämlich in der Wirklichkeit 346 vor solchen Schwierigkeiten halt, so schafft man Verwickelungen, die sich später gewaltsam entladen. Und letzten Endes ist dieser Krieg in der Eigentümlichkeit, in der er sich auslebt, die Entladung von Schwierigkeiten, die man versäumt hat, auf dem richtigen, anderen Wege hinwegzuräumen, solange es dazu noch Zeit war.

Das Wilsonsche Programm geht davon aus, das in der Welt unmöglich zu machen, was die berechtigte Aufgabe und die Lebensbedingung der mitteleuropäischen Staaten ist. Ihm muß entgegengehalten werden, was in Mitteleuropa geschehen wird, wenn dieses Geschehen nicht gestört wird durch die gewaltsame Zerstörung des mitteleuropäischen Lebens. Es muß ihm gezeigt werden, was nur Mitteleuropa auf Grund des hier historisch Gewordenen tun kann, wenn es sich nicht mit der Entente verbindet, die gar kein Interesse daran haben kann, Mitteleuropa seiner naturgemäßen Entwickelung entgegenzuführen.


So wie die Dinge heute liegen, haben Deutschland und Österreich nur die Wahl zwischen den folgenden drei Dingen:

1. Unter allen Umständen auf einen Sieg ihrer Waffen zu warten, und von ihm die Möglichkeit zu erhoffen, ihre mitteleuropäische Aufgabe ausführen zu können.
2. Mit der Entente auf Grund deren jetzigen Programms einen Frieden einzugehen und damit ihrer sicheren Zerstörung entgegenzugehen.
3. Zu sagen, was sie im Sinne der wirklichen Verhältnisse als das Ergebnis eines Friedens betrachten werden, und damit die Welt vor die Möglichkeit zu stellen, nach klarer Einsicht in die Verhältnisse und in das Wollen Mitteleuropas die Völker wählen zu lassen zwischen einem Tatsachenprogramm, das den europäischen Menschen die wirkliche Freiheit und damit ganz selbstverständlich die Freiheit der Völker bringt, oder den Scheinprogrammen des Westens und Amerikas, die von Freiheit reden, in Wirklichkeit aber für ganz Europa die Unmöglichkeit des Lebens bringen. Wir in Mitteleuropa machen vorläufig den Eindruck, als ob wir uns vor dem Westen scheuten zu sagen, was wir wollen müssen, während dieser Westen uns nur so überschüttet mit den Kundgebungen seines Wollens. Dadurch ruft dieser Westen den Eindruck hervor, daß nur er etwas will für das Heil der Menschheit, und wir nur bestrebt seien, diese löblichen Bestrebungen durch allerlei solche Dinge wie Militarismus zu stören, während er dadurch, daß er sich seit langem darauf eingerichtet hat und weiter darauf noch besser einrichten will, uns zu Schattenmenschen zu machen, in Wahrheit der Schöpfer unseres Militarismus ist. Gewiß sind solche und ähnliche Dinge oft gesagt worden, doch darauf kommt es nicht an, daß sie von dem oder jenem gesagt werden, sondern darauf, daß sie das Leitmotiv mitteleuropäischen Handelns wirklich werden, und die Welt erkennen lernt, daß sie von Mitteleuropa kein anderes Handeln zu erwarten hat als ein solches, das zum Schwerte greifen muß, wenn die anderen ihm dieses Schwert in die Hände zwingen. Was jetzt die Westvölker deutschen Militarismus nennen, haben sie in jahrhundertelanger Entwickelung geschmiedet, und nur an ihnen, nicht an Deutschland kann es sein, ihm für Mitteleuropa seinen Sinn zu nehmen. An Mitteleuropa aber ist es, sein Wollen für die Freiheit klar hinzustellen, ein Wollen, das nicht in Wilsonscher Art auf Programme gebaut sein kann, sondern auf die Wirklichkeit des Menschendaseins. Es gibt daher für Mitteleuropa nur ein Friedensprogramm, und das ist: Die Welt wissen zu lassen, ein Friede ist sofort möglich, wenn die Entente an die Stelle ihres jetzigen, unwahren Friedensprogramms ein solches setzt, das wahr ist, weil es in seiner Verwirklichung nicht den Untergang, sondern die Lebensmöglichkeit Mitteleuropas herbeiführt. Alle anderen Fragen, die Gegenstand von Friedensbestrebungen werden können, lösen sich, wenn sie auf Grundlage dieser Voraussetzungen in Angriff genommen werden. Auf der Grundlage, die jetzt von der Entente uns dargeboten wird, und die von Wilson aufgenommen worden ist, ist ein Friede unmöglich. Tritt kein anderes an die Stelle, so könnte das deutsche Volk nur durch Gewalt zur Annahme dieses Programmes gebracht werden, und der weitere Verlauf der europäischen Geschichte würde die Richtigkeit des hier Gesagten beweisen, denn bei Verwirklichung des Wilsonschen Programmes gehen die europäischen Völker zugrunde. Man muß eben in Mitteleuropa ohne Illusion dem ins Auge schauen, was diejenigen Persönlichkeiten seit vielen Jahren als ihren Glauben haben, den sie von ihrem Gesichtspunkte aus als das Gesetz der Weltentwickelung betrachten: daß der anglo-amerikanischen Rasse die Zukunft der Weltentwickelung gehört, und daß sie das Erbe der lateinisch-romanischen Rasse und die Erziehung des Russentumes zu übernehmen hat. Bei der Anführung dieser weltpolitischen Formel durch einen sich eingeweiht dünkenden Engländer oder Amerikaner wird stets bemerklich gemacht, daß das deutsche Element bei der Ordnung der Welt nicht mitzusprechen hat wegen seiner Unbedeutendheit in weltpolitischen Dingen, daß das romanische Element nicht berücksichtigt zu werden braucht, weil es ohnedies im Aussterben ist, und daß das russische Element derjenige hat, der sich zu seinem weithistorischen Erzieher macht. Man könnte von einem solchen Glaubensbekenntnis gering denken, wenn es im Kopfe einiger für politische Phantasien oder Utopien zugänglicher Menschen lebte, allein die englische Politik benützt unzählige Wege, um dieses Programm praktisch zum Inhalte seiner wirklichen Weltpolitik zu machen, und vom Gesichtspunkte Englands aus könnte die gegenwärtige Koalition, in der es sich befindet, nicht günstiger sein, als sie ist, wenn es sich um die Verwirklichung dieses Programmes handelt. Es gibt aber nichts, das Mitteleuropa dem entgegensetzen kann, als ein wirklich menschenbefreiendes Programm, das in jedem Augenblick Tat werden kann, wenn menschlicher Wille sich für seine Verwirklichung einsetzt. Man kann ja vielleicht denken, daß der Friede auch lange auf sich warten lassen wird, auch wenn das hier gemeinte Programm vor die europäischen Völker hingestellt wird, da es ja während des Krieges nicht ausgeführt werden kann und überdies von den Ententevölkern so hingestellt werden würde, als ob es von den Führern Mitteleuropas nur zur Täuschung der Völker hingestellt wäre, während nach dem Kriege einfach wieder das eintreten würde, was die Ententeführer als das Schreckliche hinstellen, das sie aus moralischen Gründen in einem «Kampfe für Freiheit und Recht der Völker aus der Welt schaffen müßten». Aber wer die Welt richtig beurteilt nach den Tatsachen, nicht nach seinen Lieblingsmeinungen, der kann wissen, daß alles, was Wirklichkeiten entspricht, einen ganz anderen Überzeugungswert hat als dasjenige, was aus der bloßen Willkür stammt. Und man kann ruhig abwarten, was sich bei denjenigen zeigen wird, die einsehen werden, mit dem Programme Mitteleuropas gehen den Völkern der Entente nur die Möglichkeiten verloren, Mitteleuropa zu zertrümmern, nicht aber fließt aus ihm irgend etwas, was mit irgendeinem wirklichen Lebensimpuls der Ententevölker unverträglich wäre. Solange man sich im Gebiete der maskierten Bestrebungen befindet, wird eine Verständigung ausgeschlossen sein; sobald man hinter den Masken die Wirklichkeiten nicht nur militärisch, sondern auch politisch zeigen wird, wird eine ganz andere Gestalt der gegenwärtigen Ereignisse beginnen. DieWaffen Mitteleuropas hat die Welt zum Heile dieses Mitteleuropa kennen gelernt, das politische Wollen ist, soweit Mitteleuropa in Betracht kommt, der Welt ein Buch mit sieben Siegeln. Dafür bekommt die Welt jeden Tag die Schilderung eines Schreckbildes, welch ein furchtbares, zerstörungswürdiges Ding dieses Mitteleuropa eigentlich ist. Und es sieht für die Welt so aus, als ob Mitteleuropa zu diesem Schreckbilde nur zu schweigen hätte, was selbstverständlich der Welt wie ein Ja-sagen zu demselben erscheinen muß. (zurück zur letzte Fassung des Zweiten Memorandum)

Es ist ganz selbstverständlich, daß jedem unzählige Bedenken aufsteigen, wenn er sich Gedanken darüber machen will, wie das hier Angedeutete im einzelnen durchgeführt werden soll, allein solche Bedenken kämen nur in Betracht, wenn das Vorliegende als ein Programm gedacht wäre, an dessen Verwirklichung ein einzelner oder eine Gesellschaft gehen sollte. So ist es aber nicht gedacht, ja es widerlegte sich selber, wenn es so gedacht wäre.

Es ist als der Ausdruck dessen gedacht, was die Völker Mitteleuropas tun werden, wenn man sich von seiten der Regierungen die Aufgabe stellen wird, die Volkskräfte zu erkennen und zu entbinden. Was im einzelnen geschehen wird, das zeigt sich bei solchen Dingen immer dann, wenn sie sich auf den Weg der Verwirklichung begeben. Denn sie sind nicht Vorschriften über etwas, was zu geschehen hat, sondern Voraussagen dessen, was geschehen wird, wenn man die Dinge auf ihre durch die eigene Wirklichkeit geforderte Bahn gehen läßt. Und diese eigene Wirklichkeit schreibt vor, bezüglich aller religiösen und geistig-kulturellen Angelegenheiten, wozu auch das Nationale gehört, Verwaltung durch Korporationen, zu denen sich die einzelne Person aus freiem Willen bekennt, und die in ihrem Parlamente als Korporationen verwaltet werden, so daß dieses Parlament es nur mit der betreffenden Korporation, nie aber mit der Beziehung dieser Korporation zu der einzelnen Person zu tun hat. Und nie darf es eine Korporation mit einer unter demselben Gesichtspunkte zu einer anderen Korporation gehörigen Person zu tun haben. Solche Korporationen werden aufgenommen in den Kreis des Parlamentes, wenn sie eine bestimmte Anzahl von Personen vereinigen. Bis dahin bleiben sie Privatsache, in die sich keine Behörde oder Vertretung zu mischen hat. Für wen es ein saurer Apfel ist, daß von solchen Gesichtspunkten aus alle geistigen Kulturangelegenheiten künftig der Privilegierung entbehren müssen, der wird eben in diesen sauren Apfel zum Heile des Volksdaseins beißen müssen. Bei der immer weitergehenden Gewöhnung an diese Privilegierung wird man ja in vielen Kreisen schwer einsehen, daß man auf dem Wege von der Privilegierung gerade der geistigen Berufe zum guten alten, uralten Prinzipe der freien Korporierung zurückkehren muß. Und daß die Korporation zwar einen Menschen in seinem Berufe tüchtig machen soll, daß man aber die Ausübung dieses Berufes nicht privilegieren, sondern der freien Konkurrenz und der freien menschlichen Wahl überlassen muß. Das wird von allen denen schwer einzusehen sein, die gern davon sprechen, daß die Menschen doch zu dem oder jenem nicht reif seien. In der Wirklichkeit wird dieser Einwand ja ohnedies nicht in Betracht kommen, weil mit Ausnahme der notwendig freien Berufe über die Wahl der Petenten die Korporation entscheiden wird. Ebensowenig können sich Schwierigkeiten ergeben bezüglich des Politischen und des Wirtschaftlichen, die nicht real behebbar wären bei Verwirklichung des Intendierten. Wie zum Beispiel pädagogische Institutionen zustande kommen müssen, die in ihren Richtlinien die beiden, nicht die eigentliche Pädagogik in sich schließenden Vertretungen berühren, das ist Sache des übergeordneten Senates.