Institut pour une
triarticulation sociale
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traduction FG au 06/09/2018 V. La question de la culpabilité de la guerreA toutes ces vues étendues sur une transformation des impulsions de culture s'ajoute maintenant la préoccupation des prochaines négociations de paix, dont on savait que là, la délégation allemande devrait être forcé de confirmer par sa signature la seule faute de l'Allemagne lors du déclenchement de la guerre. Rudolf Steiner, qui
sentait en soi la vivante responsabilité de conscience pour
l'esprit de l'Europe
centrale, voulait empêcher cette signature en tous les cas.
Des processus lui
était devenu connus, à travers lesquels la présomption de
reconnaissance d'une
culpabilité unique allemande pouvait être clairement
rejetée. Puisque le traité
de paix à Versailles était prévu pour la fin de juin, il
valait d’agir
rapidement. « Ceci est à l'instant encore plus
important que l'engagement
pour la tri-articulation ! »
dit-il. Là dessus s'offrirent à lui des discussions avec le
général Helmuth von
Moltke, qu'il rencontra à Bad Homburg après sa démission en
1915 .Celui-ci lui
épancha son cœur blessé et il lui a décrit en détail le
début de la Première
Guerre mondiale et surtout les événements tragiques du
samedi 1 août 1914 , où
le mobilisation a dû être ordonnée pour mener une guerre sur
deux fronts contre
la France et la Russie. L'empereur voulait arrêter l'armée
déjà en marche et
espérait toujours pouvoir encore empêcher la guerre contre
la France. On n'avait
pas permis de l'informer auparavant de l'application du Plan
Schlieffen, à
travers la Belgique neutre, parce qu'autrement il aurait
sans aucun doute bavardé
à son habitude. Cette mesure était incontournable parce
qu'on avait le soupçon fondées
de penser que les Français de leur côté forceraient à la
marche à travers la
Belgique. L'empereur voulait respecter la neutralité de la
Belgique, si l'Angleterre
était restée à l'écart de la guerre. Il se berçait dans
l'illusion que son
cousin, le roi Edouard VII., pourrait exercer une telle
influence sur le
gouvernement britannique. Mais tout de suite cet Edward VII
avait promu depuis
deux décennies la politique d'encerclement contre
l'Allemagne et imposé à l'Allemagne
la guerre sur deux fronts. Cela s'est effondré deux fois, pour toujours tomber de nouveau dans la même erreur de pensée, qui a été jugée dans l'appel de Rudolf Steiner au peuple allemand et est décrite en détail dans les mémorandums de 1917. Rudolf Steiner racontait souvent et en détail de ces événements, en ce qu'il critiquait en même temps drastiquement l'incapacité des politiciens allemands. Le chancelier Bethmann Hollweg, il l'appelait parfois Bethmann-tête-creuse. La clique militariste exerçait un impact tragique sur la politique allemande. Pas sur le général en chef von Moltke, lequel était en partie tout de suite l'éducateur militaire de l'empereur34. Il était un homme honorable de part en part, de convictions éthiques élevées, mais qui a été amené à échouer par cette même clique alors que l'armée de l'ouest lui glissa des mains à cause l'avance rapide et inattendue lors de la bataille de la Marne, de sorte qu'il a été forcé d'ordonner une courte retraite stratégique pour être sûr devant la surprise. Par ce rassemblement, il voulait le plus tôt possible retourner à la bataille ouverte, parce qu'il était un ennemi de la guerre de tranchées ordonnée plus tard par d'autres. L'Empereur ne pouvait pas comprendre cette décision et ne parvenait pas à l'accepter. Moltke a été retiré, bien que pas lui-même mais l'un de ses officiers d'état-major, le lieutenant colonel Hentsch, avait ordonné la retraite en violation de son plein-pouvoir lors d'une visite sur le front de la bataille de la Marne. Cela signifia tout d' abord le tournant du sort de la guerre. Il n'est toutefois pas sûr si, par l'évitement de cette retraite, qui était vraiment juste une action de rassemblement, la guerre aurait été gagnée, mais elle aurait dans tous les cas été plus rapidement à sa fin. Que l'Amérique s'est seulement décidée 3 ans plus tard, à entrer en guerre, était une situation complètement inconnue à l'automne 1914. Après le renvoi de Moltke en tant que chef d'état-major, le siège d'Anvers, qui capitula déjà le 9 octobre 1914, lui a été transféré. Plus tard Moltke organisa l'industrie alimentaire de guerre dans le pays. En 1916, il est mort d'une crise cardiaque, alors qu' il venait de terminer l'éloge funèbre de son ami, le chef d'armée de l'est général feld-maréchal von der Goltz au Reichstag. Le destin tragique du colonel général von Moltke occupa fortement Rudolf Steiner parce qu'il reconnaissait en lui une haute d'individualité, qui n'a pas été en difficulté pour la première fois par son entourage. La bataille de la Marne avait échouée parce que l'aile droite allemande n’était pas assez fortement protégée, pendant que Schlieffen avait averti à plusieurs reprises dans ce cas: « Faites l'aile droite forte » Cet avertissement a-t-il été ignoré par von Moltke? Non ! Il a décrit à Rudolf Steiner les vrais arrière-plans de cette tragédie : d' abord des crédits pour de plus importantes commandes de munitions ont été traité inconsidérément par le Reichstag, lorsque ils ont été refusés quelques mois avant la guerre. Une preuve supplémentaire qu'on ne se préparait pas suffisamment à une guerre. Mais après que la puissance principale devait être utilisé contre la France, les provinces de l'Est restaient relativement faiblement occupées. Là bas, l'armée devrait retenir les Russes le plus longtemps possible, car on comptait avec une courte lutte contre la France. Il se montra bientôt, que les Russes ont gagné du terrain en Prusse orientale, ce que l'empereur voulait empêcher en ce qu'il laissa transférer comme chef suprême de la guerre 1 corps de la 1ère et 2ème armée, et une division de cavalerie de la 6e armée,. C'était un grand risque d'affaiblir l'aile de mouvement qui devrait mener à bien l'encerclement entre Bruxelles et Paris, ce ne pourrait pas être assez forte pour cela. Ces corps d'armée manquèrent à l'aile droite lors de la bataille de la Marne. D'ailleurs dans le même temps, un corps de l'armée bavaroise en Alsace a été envoyé en remplacement, mais son commandant d'armée le Prince Rupprecht refusa quelques jours son transfert avec l'exclamation: «Avec quoi devrions nous vaincre, quand on nous retire les troupes ! » Rudolf Steiner a décrit cette insubordination comme une conséquence de système d’état fédéral monarchiste. Quand donc ce corps était en chemin, un tunnel importante a été explosé à Maubeuge, de sorte que le transport a dû faire un grand détour par Bruxelles et est arrivé un jour trop tard. Certes les provinces de l'Est ont été sauvées, mais la bataille de la Marne perdue. Et la récupération de la bataille rangée a été manquée par le nouveau commandant de l'armée, le général von Falkenhayn. Au lieu de cela, a commencé le long siège meurtrier de la forteresse de Verdun. Je raconte ces choses non pas de livres , mais des descriptions de Rudolf Steiner, qui se sont enfouies, très vivantes, dans ma mémoire. Après le contrôle de l'histoire de la guerre, à tout moment peuvent être ajoutées les descriptions exactes des Corps d' Armée35. Comme on le sait, le commandant appelé à l' Est plus tard, le maréchal von Hindenburg et son officier d'état major Ludendorff avait de grands succès contre les Russes par des idées tactique vraiment géniales et par la plus exacte connaissance des zones de marais et des lacs locaux. Rudolf Steiner a aussi raconté une autre chose de Ludendorff : longtemps avant une mobilisation, une armée moderne est divisé avec le plus grand soin et chacun sait où il doit se signaler ou ce qu'il a à faire. Ainsi il était venu à Ludendorff de forcer la forteresse belge de Liège à se rendre en cas de guerre par un coup de main. En tant que civil, il a exercé ce rôle, il a marché plusieurs fois vers Liège, jusqu'à ce qu'il voit la chartreuse devant lui après une courbe de la vallée. Lorsque la guerre a éclaté, il s’est débrouillé à travers les forts extérieurs farouchement assiégés et chevaucha le même chemin à la tête d'une brigade. Étonnamment, la surprise a réussi. Il a été considéré comme parlementaire et pouvait exécuter sa mission le plus brillamment en ce qu'il fit miroiter aux commandants des fortifications que sur les hauteurs autour, de fortes troupes allemandes étaient prêtes à attaquer immédiatement, au cas où Liège ne se rendrait pas. Il y aurait des négociations en cours avec le gouvernement belge, qui visaient le libre passage des armées allemandes. Mais pour cela on devait savoir, nous a dit Rudolf Steiner, que Ludendorff au moment où tournant autour du coin dans le fond de la vallée, vit la forteresse en face de lui et devait compter avec que maintenant sera tiré sur lui, reçu une sorte de choc, de sorte qu'il ne pouvait plus être considéré comme un être humain normal à partir de ce moment. Cet homme a conduit plus tard les armées allemandes et encore risqué en 1918, la deuxième bataille de la Marne, ce qui signifiait un sacrifice de sang tout à fait inutile. Mais il est aussi intervenu fatal dans la politique allemande et a empêché de mettre fin à temps à la guerre. Et lorque le dernier chancelier, le prince Max de Bade, a pris ses fonctions, il a laissé tomber ces intentions politiques et a demandé immédiatement à rechercher une trêve peu de temps après qu’auparavant, il a encore insisté sur le fait que le front résisterait. Il a ensuite été relevé de son poste par le prince Max. Helmuth von Moltke, chef de l'état-major allemand (à gauche) avec Kaiser Wilhelm (en uniforme de général suisse) et le futur général Wille pendant les manœuvres d'automne en 1912 à Toggenburg Lorsque Rudolf Steiner a raconté ces événements historiques, est venu dans le cercle le plus proche, la pensée de savoir si les mémoires documentaires de von Moltke ne devraient pas être publiées, parce que Rudolf Steiner avait dit qu'il serait impossible, d'exiger la signature pour la reconnaissance de la seule culpabilité de guerre à la délégation allemande lors des négociations de paix à Versailles, lorsque les processus du jour de la date de début de la guerre seraient connus. Maintenant, il se mit en relation par écrit et par télégraphe avec la veuve Excellence Eliza von Moltke pour obtenir d'elle l'autorisation de publication. C’était les 2 et le 3 mai 1919. Quand, après quelques hésitations est arrivée la permission, a immédiatement été commencé avec l'impression des mémoires de Moltke dans une édition de 10 milles exemplaires. La question était si importante à Rudolf Steiner qu'il m'a accompagné lui-même à l'atelier d'impression pour choisir les lettres pour le titre. C'était un petit livret de 21 pages, qui a été fourni avec une remarque que l'original a été écrit en Novembre 1914 à Bad Homburg. Aux mémoires, Rudolf Steiner avait écrit treize pages supplémentaires de remarques préalables englobantes qui ont été signés par lui avec l'ajout: écrit en mai 1919. Plus tard en 1922, Mme v. Moltke a publié le mémoire de son mari avec une documentation complète sans remarques préalables de Rudolf Steiner, qui était entièrement orientées afin d’établir que fin Juillet 1914, dans le peuple allemand n’était présente aucune volonté de guerre et que le conflit militaire est seulement devenu nécessaire parce que la politique allemande avait atteint le point zéro 36. Mais le chef d'état-major devait faire son devoir militaire, bien que l'empereur veuille retirer l'ordre de mobilisation contre la France alors qu'il était déjà trop tard. « Ainsi le chef d'état-major se tenait tout seul ». Il a fait son devoir, mais « avec un cœur saignant » (R. Steiner). Quel était le grave contenu de ce mémoire du colonel général von Moltke ? Comme mentionné, la mobilisation des armées allemandes a roulée à plein ; constamment les trains militaires ont roulé aux frontières à l'ouest et à l' est. Toute interruption aurait causé un chaos. La déclaration de guerre contre la France n'avait pas encore été émise, par contre celle la Russie à l'Allemagne avait déjà eu lieu. D'une telle de l'Angleterre n'étais rien connu jusque-là, mais il fallait compter avec militairement. Seul l'empereur se berçait de l'espoir que l'Angleterre resterait neutre si elle avait une offre allemande de ne pas marcher à travers la Belgique. Il envoya donc un télégramme à son cousin, le roi Edouard VII., et laissa donner l'ordre téléphoniquement par son aide de camp - contre la volonté de Moltke - à la division stationnée à Trèves de ne pas envahir le Luxembourg 16. Un tel ordre devait être contresigné par le chef d'Etat-major. Mais Moltke a refusé de signer. La demande innacceptable de l'empereur signifiait un fardeau sans précédent pour Moltke. Il poussa sa plume sur la table afin qu'elle éclatta. Il devait rester inactif jusqu'à ce que de nuit, l'Empereur l'a appelé au château. Celui-ci avait maintenant reçu une réponse négative d'Angleterre. Il a reçu son chef d'état-major - seulement le manteau jeté sur le pyjama - et lui dit : « Maintenant vous pouvez faire ce que vous voulez ». Ainsi a commencé la Première Guerre mondiale ! Rudolf Steiner se promettait un fort effet de la publication de ce document, s'il était possible de le produire dans les négociations de paix de Versailles. Un membre de la délégation allemande, qui devint plus tard le ministre Schall était envisagé pour veiller à la distribution de l'écrit à Versailles. « À la connaissance du contenu, il est impossible d'exiger des Allemands la signature d'une reconnaissance de la seule culpabilité de guerre » a dit Rudolf Steiner. L'écrit, qui portait le titre général: La « culpabilité » dans la guerre - Considérations et souvenirs du chef d'Etat-major H. v.Moltke sur les événements de Juillet 1914 à Novembre 1914, publié par la « Fédération pour la tri-articulation de l'organisme social » a été terminé à temps, soit peu de jours avant le début des négociations de paix (voir annexe p.177). La brochure devait en dehors de cela trouver la plus large diffusion. Un appel a été rédigé: "Au peuple allemand et au gouvernement allemand ! ", Dans lequel la découverte sans reste des événements qui ont conduit à la guerre, étaient liée à l'exigence d'une réorganisation de l'ordre social (voir annexe p.196). La "Fédération" expliquait avoir fait sa propre affaire de la publication des souvenir de Moltke et exhortait le peuple et le gouvernement à entrer dans le débat public avec elle. Aux groupes locaux de la fédération ont été envoyés des tracts de cet appel pour la plus large diffusion le 27 mai. Il en avait été imprimé 50.000 exemplaires. Avec cela semblait avoir été créé une occasion extraordinaire de rendre populaire Rudolf Steiner et l'idée de tri-articulation de l'organisme social représentée par la fédération. Le peuple allemand avait peur des négociations de paix à venir et était profondément intéressé à ce que la reconnaissance de la culpabilité de la guerre puisse être évitée. Avec cela l'idée d'un ordre social d'un genre nouveau serait venu dans toutes les bouches, et on n'aurait pas pu passer à côté de Rudolf Steiner, si par ses efforts avait été laissé tomber l'accusation de la seule culpabilité allemande de la guerre. En dehors de cela, cela aurait tirer beaucoup après soi : l'exigence d'indemnités de guerre élevées et d' autres lourdes humiliations auraient été retirée. Peut-être même aurait pu monter la pensée d'une paix négociée. Mais déjà approchait le désastre ! Causée par excès de zèle et d'innocence dans les propres rangs. C'est comme si un incendie devait être mis pour détruire la grande chance que le conducteur d'humanité Rudolf Steiner avait toujours cherchée et préparée avec circonspection. Un membre du conseil d'administration de la Fédération, qui avait eu à faire avec les préparatifs du transfert de la brochure de présentation à Versailles, se chercha quelques spécimens à l'imprimerie avant la finition de l'édition. Mais au lieu d'apporter le premier exemplaire à Rudolf Steiner, la personne pleine d'enthousiasme alla avec cela à la légation de Prusse à Stuttgart, où tout de suite un neveu Moltke, le diplomate Hans Adolf von Moltke, était en envoyé. Celui-ci était pourtant d'avis que Mme Eliza von Moltke n'était pas justifiée pour la publication d'un tel protocole sans le consentement de son père, le chef de la famille. En dehors de cela, il se sentait aussi obligé de présenté le mémoire au ministère des affaires étrangères, qui s'est immédiatement mis en relation avec Mme von Moltke pour faire valoir ses préoccupations. Mais l'état-major aussi est intervenu. Le mémoire a tout d'abord été saisi par le chef de la famille Fritz von Moltke, après qu'il se soit exprimé par télégramme sur ses préoccupations vis-à-vis de Mme von Moltke. Maintenant, elle avait elle-même des remords parce que son mari avait écrit ses souvenirs expressément pour elle. Elle écrivit à cause de cela, le 30 mai à Rudolf Steiner, entre autres: « Vous voyez, cher, bon Docteur, comme tout s'aggrave - les résistances externes me seraient donc égales si je n'était torturée à l'intérieur par l'angoisse de commettre une injustice ». Elle a surmonter ces préoccupations plus tard, après que Rudolf Steiner lui ait expliqué que lui-même avait déjà appris les détails du mémoire de la bouche du colonel-général , sans qu’il lui ait été imposé l'obligation au secret. Mais maintenant, était prétendu par l'état-major général, que dans le mémoire étaient des erreurs substantielles, et le général von Dommes a été envoyé avec le consentement de la veuve à Rudolf Steiner à Stuttgart. Rudolf Steiner a eu un long entretien à huis clos dans le bureau de la Fédération avec le général, qui prétendait et a témoigné sur l'honneur que trois points ne seraient pas exacts dans le mémoire. Il ne resta donc à Rudolf Steiner pas d'autre choix que de céder, bien que ces points touchaient à peine l'essence du mémoire 37. La raison profonde de la saisie n'était autre que ce qu'il semblait insupportable à la famille von Moltke et aux officiers supérieurs, comme à l'empereur, qui vivait en Hollande en exil : être mis à nu dans ce mémoire. Avec cela a été contrarié le but beaucoup plus important : épargner au peuple allemand l'accusation de la seule culpabilité de guerre. Une
immense tragédie a
régné sur cette affaire, qui a été d'incalculables
conséquences. On sent que là
étaient en jeu des pouvoirs qui pourront être décrit
seulement avec les
contre-pouvoirs de l'esprit allemand. Les espoirs justifiés
n’avaient abouti à
rien. Toute l'édition de la brochure a dû être mise au
pilon. J'ai pu sauver seulement
quelques exemplaires. La famille Moltke a repris les coûts
d'impression. Elle a
reçu le certificat émis pour le règlement par la Société de
fiduciaire du
Goetheanum à Stuttgart, le jour même où le traité de paix de
Versailles a été
signé. |