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Collection: GA328 OEUVRES COMPLETES DE RUDOLF STEINER – CONFÉRENCES SUR LA VIE SOCIALE ET LA TRIARTICULATION DE L'ORGANISME SOCIAL
NOTES (NDT : de Rudolf Steiner) SUR LES CONFERENCES A ZURICH SUR « LA QUESTION SOCIALE » AUFZEICHNUNGEN ZU DEN ZÜRCHER VORTRÄGEN ÜBER «DIE SOZIALE FRAGE»

 

 

Les références Rudolf Steiner Oeuvres complètes GA 328 174-190 (1977) 00/00/1919

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Original

Traducteur: FG Editeur: SITE

Pour les notes suivantes : À l'exception des matériaux pour la quatrième conférence du 12 février 1919, les carnets de notes concernant ces conférences (Nb 97 et 130) ne sont pas datés par Rudolf Steiner lui-même. Cela est probablement dû au fait qu'ils formaient le fondement conceptuel d'une série de conférences avec même positionnement des sujets dans des endroits différents dans un court intervalle de temps, desquelles sont cependant imprimées dans le présent volume seulement celles tenues à Zurich. Les données de référence insérées pour la facilité sont, comme il arrive toujours avec tous les ajouts de l'éditeur, placées entre crochets.

Dans les notes pour la deuxième conférence du 5 février est mentionnée au point 13 une citation de la sixième conférence du cycle de Vienne « Nature intérieure de l’humain et vie entre mort et nouvelle naissance », Bibl. Nº 153. Cette citation ne se trouve pas dans la transcription des conférences de Zurich, cependant, elle est contenue dans l’écrit « Les points clés de la question sociale » Chap. IV ainsi que dans une série de conférences les semaines et mois suivants. Dans les notes à la conférence du 10 février, les trois derniers paragraphes se réfèrent à l’écrit de Woodrow Wilson, « La Nouvelle Liberté », édition allemande, Munich, 1914.

Le concept de la conférence du 8 mars est dans les archives sous le numéro. 5462/63.

I. La forme réelle des questions sociales saisie à partir des nécessités de la vie de l'humanité présente (sur base des recherches en science de l’esprit).

II. Les tentatives de solution requises par la vie selon la réalité pour les questions sociales et les nécessités (sur base des conceptions de vie en science de l’esprit).

III. Fanatisme et façon de voir la vie dans la pensée et la volonté sociale.

IV. Le développement de la pensée et la volonté sociale et la question vitale de l'humanité actuelle.

Ces conférences veulent rendre compte de la pleine réalité de la vie à travers de la manière de penser et de la recherche de science de l’esprit, et débattre à travers une saisie tous azimuts aspirant à une absence de préjugés des véritables enjeux et besoins sociaux actuels.

Elles veulent faire valoir comme faits et envisager que seulement un tel débat puisse laisser se présenter une compréhension des exigences réelles de la vie dans ce domaine à la place de malentendu sur le même sujet ; un travail fructueux à la place du stérile, du non-pratique et du développement de débats et aspirations paralysant le développement, qu’aussi pourra seulement être pensé unifiés en telle manière de voir la conscience de la liberté essentiellement fondée dans l’humain avec les nécessités de la vie en commun sociale et mise en œuvre par elle.

 

[Zurich, le 3 février 1919]

La forme réelle des questions sociales saisies à partir des nécessités de la vie de l'humanité d'aujourd'hui.

1. La catastrophe a jeté à la surface les forces sociales existantes dans les profondeurs. Elles ont joué dans les causes de la guerre.
2. On parle de la « question sociale » ; on l’isole et l’universalise. Mais elle ne se tient pas là dans la vraie vie comme isolée. Elle a été isolée seulement parce que les deux autres membres dans l'organisme de la société avec lesquels elle est raccordée sont atrophiés. Nulle part n’apparaît la vraie forme des questions sociales. Les exigences apparaissent. Mais les forces créatrices pour la résolution ne sont pas là.
3. Les exigences apparaissant montent de divers domaines : de la vie économique = si la production est en accord avec la demande. Des sentiments de la dignité humaine = si la force de travail a le droit d’être marchandise ? De la compréhension pour une communauté sociale : Les ponts sont abattus. On ne se comprend pas l’un l’autre par delà les classes. On n'a confiance que dans la lutte des classes. La manière de penser scientifique a seulement compréhension pour la pure vie de l’économie. La vie spirituelle est devenue pure « idéologie » pour le prolétariat.

Domination du capital. Dépendance. Les crises. Produit, afin que sera profité avec cela. Socialisme comme une religion.
Le socialisme comme doctrine à cause des impulsions sociales de la vie manquantes. Les dernières étaient (à leur manière) mieux disponibles avant que maintenant.

Le socialisme se tient pour un « enseignement scientifique » et une conception du monde.

1. L'économie détermine le contexte historique. Tout le reste, droit, coutume, morale, superstructure idéologique.

Esclavage, féodalité, capitalisme privé.
2. Le travailleur produit le profit.
3. Toute histoire est histoire de luttes de classes.
Alors que la classe exclue autrefois de l'éducation a avancé par à-coup dans la sphère de l'éducation, la formation avait perdu sa force de propulsion : on n’accueillait plus la nuance religieuse de l'éducation. Parce qu’avant cette nuance religieuse n’avait aucun effet à exercer sur les pensées scientifiques.

1. Le désastre militaire a révélé la question sociale pressante des plus différents côtés. Elle était disponible dans la conscience de la population prolétarienne. Mais elle a conduit à renoncer à une solution. On doit être en mesure d'observer psychologiquement ce qui vit dans l'âme de la population prolet. .

2. Le caractère « scientifique » de la conscience de classe prolet. moderne. Ceci prouve qu’avec la montée du mouvement prolet. correspond la façon dont le prolétaire a appris à penser. Il a appris à penser « selon la science de la nature ». Cela l'a amené à voir sur le pur développement économique. Il apprend à connaître de l’essence de la production des marchandises.
3. Maintenant il présume, aussi sa recherche fondamentale, irait à partir d’impulsions économiques. Cependant elle consiste là-dedans que la force de travail comme une marchandise a été avalée dans le processus de production capitaliste.
La vie spirituelle dans la personnalité prolet. est devenue « idéologie ».
4. C’est pourquoi sera obscurci par les nécessités de la vie ce qui suit : L’essence du développement ultérieur de l'humanité. L'essence de l'organisme social. -
Jeu occupation d’après libre choix ; travail par nécessité, obligation, volonté d’un autre.
Réduction du temps de travail : on aspire à elle, pendant qu’on pense délivrance de dépendance prolongée.

Quand la vie spirituelle sera amalgamée avec les deux autres membres de l'organisme social, ainsi manque à celui-ci l’afflux de ce qu’il reçoit vivifiant dans le devenir.

La vie économique se tient sous des lois qui perpétuellement font stagner l'organisme social.

La forme réelle des questions sociales saisit des nécessités de la vie de l'humanité d'aujourd'hui.

1. Comment la question sociale se tenait là au point de départ et dans le déroulement comme un facteur avec lequel on comptait.
2. Maintenant, quelque chose pèse sur une partie de l'Europe comme un train tragique : on se tient devant la nécessité de gagner un jugement qui peut entrer dans le fait = on peut donc à peine admettre volontiers qu'un tel jugement se montre.
3. Une chose vient au jour dans le mouvement prolet : il nie les pensées et pourtant : il est dans le sens le plus élevé un mouvement de la pensé.

[Sur la page opposé:]
Seulement celui-là aura grandi au temps qui est capable de convertir son jugement -
Les anciens programmes sont encore là ; mais les faits se sont transformés si fondamentalement qu’on se comporte à l’intérieur de ces faits comme momifié -
La vie place partout de nouvelles exigences -
La catastrophe de la guerre est comme le dernier acte, dans lequel les impulsions humaines ont expiré ; ce qu'elles ont laissé derrière elles cela rendra nécessaires une nouvelle compréhension des choses.

[Texte continuant :]
4. Cependant, elle indique sur de toutes autres impulsions que celles exprimées dans les pensées.
Au point central se tient pour celui qui peut observer la vie et qui a vécu avec le prolétariat : l’humain prolétarien avec sa « conscience de classe ».
5. Mais cette « conscience de classe » est cependant seulement un masque. C’est en vérité la conscience humaine qui s’est éveillée à la machine et à l’intérieur de l'ordre économique capitaliste.
6. Et c'est en dernière fin donc pas l'antagonisme économique entre la bourgeoisie et le prolétariat, mais un non comprendre qui a d'autres fondations. Le bourgeois (NDT au sens de citoyen) regarde le capitaine Weber. Ce qu'il perçoit à cela, c'est son malentendu.
7. L’humain prolétarien isolé du monde à la machine et isolé attelé dans le capitalisme se démène jusqu’à la pensée moderne (par ex. Marx).
8. Cette pensée a perdu la force de propulsion pour actualiser une sensation d’humanité dans sa connaissance. Avec cette pensée, on peut seulement comprendre l'ordre économique.
9. Cette pensée n’est encore jamais survenue comme un pouvoir autonome. Elle est immergée dans la structure de l'État.
10. Par conséquent, à l’intérieur de la pensée prolet. l’« idéologie ».
11.  L'opinion de l'exigence de base - la force de travail ne devrait pas être marchandise. Cette question à la politique. Ainsi, l'inégalité sera éprouvée.
12. Le capital fausse la relation de l’humain au processus économique. C'est le processus économique qui entraîne la multiplication du capital - l'homme se tient impuissant face à lui. C'est le déni de la fraternité humaine.
Spirituellement = l'amour à la chose
1) politiquement = la volonté au droit
2). économiquement =  le désir après l'avantage (but). (L'intérêt à l’avantage, valeur d'usage)

[Sur le côté opposé au point 12]
Le capitalisme va à plus-value – profit ; c’est la racine de la foi à un autre effet. -
La misère, le mal n'est pas fondé dans l’essence de la vie humaine - il ne peut venir que des institutions -: cela le prolétaire le sait (peut-être inconsciemment) – On ne peut se réjouir sur son organisme; mais on subit de la douleur quand il est en désordre - Chacun qui prétend que la misère serait nécessaire ne sera pas pris au sérieux par le prolétaire. Sain, l'organisme social n'empêche pas le développement de bonheur et de joie. Le corps économique ne pourra être gêné que par les autres corps.



[Zurich, le 5 février 1919]
Les tentatives de solutions conformes à la réalité requises par la vie aux questions et nécessités sociales.

1 On a orienté le regard dans la pensée sociale  sur le développement économique et technique des temps modernes. Mais on n'a pas remarqué qu’à l’intérieur de ce développement se sont éveillés une forme de vie et une nécessité de vie, qui ne pourront être conduites dans les voies correctes par une pure ordonnance de la vie économique.

[Sur la page se tenant en face :]
Il ne devrait pas se faire valoir des impulsions de conditions de vie unilatérales, mais les réelles nécessités de vie. À quoi cela sert-il si une classe de l'organisme social donne le cachet et qu’elle provoque par là justement l'effet inverse, que se forme une autre classe qui agit en gênant.

[Texte en continuité:]
2. La forme économique capitaliste a chassé hors d’elle chaque impulsion qui vient d'autres bases de vie que de la vie économique elle-même.

3. La façon de penser socialiste du prolétariat a perdu toute croyance à cela qu’une édification d'un être-là décent pourrait être atteinte d’une autre façon que par une ordonnance des purs rapports économiques.

4. Seule la vie économique englobe seulement un élément de l'organisme social d'ensemble. Et l'homme sera-t-il placé au sein d'une vie purement ordonnée sur des bases économiques de la vie, ainsi son entité d’ensemble doit dépérir.
5. Il ne sera tout de suite pas vu le fait que le temps plus récent a opprimé les deux autres membres de l'organisme social dans le capitalisme d'économie privée.
6. On doit de nouveau libérer ces deux autres membres. On doit apprendre à la contemplation de l'organisme naturel de regarder aussi correctement les nécessités de vie du social. Quand simplement les lois qu’on croit avoir reconnu pour l’organisme naturel [croit] pouvoir transférer à la vie sociale, ainsi on prouve seulement qu’on n’est pas en mesure d'examiner l'organisme social à partir de ses propres nécessités de la vie.

7. Comment on devrait regarder l'organisme humain naturel.
8. Comment on devrait regarder l'organisme social : chez lui la production dépendant des bases de nature est subordonnée à des lois semblables comme a l’organisme humain les talents naturels.  On ne peut pas produire immédiatement les talents naturels par l'apprentissage ; on ne peut modifier par une institution sociale, que la production d'aliments banane par rapport au  rendement/bénéfice du travail à la production d'aliments blé [se] comporte comme 400: 3. On ne peut pas modifier par un ordre social qu’en Allemagne le semis de blé donne sept à huit fois, qu’au Chili 12 fois, 17 fois dans le nord du Mexique ; 20 fois au Pérou, 25-35 fois dans le sud du Mexique. Mais quand l'organisme social est en ordre en vertu de ses propres lois, alors la productivité d'une région suivra de cela justement ainsi que les talents de l'organisme humain naturel apparaissent correctement lorsque le système d’éducation fonctionne correctement.

9. L'organisme social est sain seulement lorsqu'il se divise dans les membres indépendants :

1) le membre économique, qui laisse l’humain ensemble avec les bases de la nature. Il doit y avoir une relation demi-personnelle de l’humain aux facteurs originels de production.

2) le membre juridique qui traite tous les humains de façon égale devant la loi, dans lequel un rapport pleinement impersonnel doit régner.
Ici est la zone où sentiment sain démocratique pourrait prouver sa fertilité. Le désormais ancien libéralisme ne l'a pas compris. Le membre ne peut justement pas livrer de telles lois qui régissent la vie spirituelle et la vie de l’économie.

3) la zone spirituelle qui laisse libre chaque humain particulier en rapport à son développement personnel. Là l’élément personnel doit pouvoir régner.
À été empoisonné le contenu par le désir de cela qui n’appartient pas au contenu : Position - ou par le vouloir imposer une tendance = Parti : conservateur, libéral, etc.

Qui a alors placé une barricade devant le monde spirituel, de sorte qu'il ne peut plus être vu ?

10 Ces membres doivent travailler ensemble dans la vie, non pas par une unité abstraite. Les représentations des membres individuels doivent être en mesure de veiller attentivement sur leur indépendance. Il ne devra pas pouvoir être confondu la régulation humaine des conditions de travail avec cela que  par la prise à l’intérieur des éléments de vie économiques dans le deuxième membre la force de travail humaine deviendra marchandise et sa valeur deviendra valeur marchande. Le membre économie aura à faire seulement avec production de marchandises, circulation de marchandises et consommation de marchandises ;  le domaine politique n'aura à voir qu’avec tout cela, en quoi toutes les personnes sont égales. Le domaine-esprit aura à faire avec tout cela, dans quoi tous les humains sont égaux. Le domaine d’esprit aura à faire avec la sphère de la liberté, avec cela qui peut prospérer seulement dans le libre déploiement d'impulsions individuelles.

11 Expériences qui ont été faites pendant la catastrophe de la guerre avec ces façons de voir. Comme a été parlé sur elles. Comment on n'a pas trouvé le pont de la compréhension théorique à la volonté pratique. On a calculé là-dessus que les amères expériences pourraient apporter ces impulsions.

12. On effraye en retour en ce que cela que la réalité exige, on le tient soit pour radical : on aimerait guérir l'organisme devant le phénomène par ex. de la maturité sexuelle. Ou on tient ces choses pour les effluents d’un l'idéalisme impraticable.

13. On a fait l'expérience que ces choses seront toujours seulement tenues pour des affaires intérieures. Mais elles sont les bases pour les conditions extérieures du domaine de l’État. Celles-ci doivent se faire face par les membres indépendants de l'organisme social. Alors, les inconvénients d'un domaine se corrigent par les particularités des autres. Pendant que le confondre doit conduire aux conflits et catastrophes, dont la plus grande a pris son début en 1914.

À Vienne : « Cette tendance sera plus grande et plus large jusqu'à ce qu'elle s'autodétruira elle-même. Là celui qui regarde la vie sociale spirituellement, contemple partout, comment éclosent de terribles installations à des formations d’abcès spirituels. C'est la grande inquiétude culturelle qui apparaît pour celui qui voit à travers l’être-là; c'est cela le terrible qui agit oppressant et qui même alors, même quand on pourrait sinon opprimer tout enthousiasme pour la science de l’esprit, quand on pourrait sinon opprimer tout ce qui sinon ouvre la bouche pour la science de l’esprit, qui pourrait même en amener un aussi à cela de prescrire pour ainsi dire le médicament du monde pour cela qui est déjà si fort dans le costume et qui sera de plus en plus fort. Si l'organisme social se développe plus loin ainsi, comme cela s'est passé jusqu'ici, ainsi apparaîtront des dommages de la culture, qui sont les mêmes pour l'organisme social, que ce qu’est la formation de cancer pour l'organisme humain naturel ».

 

[Zurich, le 10 février 1919]
III. Fanatisme et la vue réelle de la vie dans la pensée et la volonté sociale.
Matériaux.
1.La liberté peut se développer seulement sur la base d'une pleine autonomie de la vie spirituelle. Car le libre déploiement des forces repose sur la base des impulsions de pensée, qui se montrent lorsque la vie spirituelle a sa propre réglementation. -
2. Toutes les conditions particulières se donnent de l’articulation, conforme à la nature, de l'organisme social : l'organisation associative de la sphère économique. La relation de l'homme à la base de nature montre coalitions et associations qui entrent ensemble en liaison conforme aux choses. Ici est déterminante la formation de valeur. Ici le contrat sera donnant la mesure.

la relation de droit : à la base repose la relation d’humain à humain. Le droit agit déterminant. Il se montre par là que celui-là qui a un droit l’a « avec droit », qui intervient dans l'organisme social pour la prospérité de l’autre. Pas le pouvoir décide, mais plutôt la mesure dans laquelle s'engage l’activité d'une personne dans l'organisme social.

la vie spirituelle individuelle. La liberté œuvre déterminante avec laquelle le talent animique et spirituel peut se déployer.
Ainsi se montre en logique de réalité : système fiscal, signification de l'argent, relation de capital à argent, etc.

Déterminant sera :
1. Sur le domaine économique : le système des contrats provenant d'opportunités.
2. Sur le domaine politique : le système du droit public.

3. Sur le domaine spirituel, la libre concurrence des talents et forces développées et activités.
Fond et sol (NDT Foncier) : il devra se tenir dans une réelle relation avec la personne s’en occupant ; mais ce rapport n’aura pas la permission d’être un tel qu’il nuit à l'organisme social global.

Tout ce que l'augmentation du rendement du sol place plus bas que le droit sur ce  rendement (NDT ou bénéfice) sera déconnecté : droit d’hypothèque la priorité - Le capital ne peut pas reposer en valeurs (Obligations hypothécaires et hypothèques), auxquelles les prix élevés de la terre servent comme couverture.

La création de richesse sans rattachement des actifs avec le processus social doit osciller au malheur. Quand quelqu'un a fourré son ingéniosité dans une machine, ainsi sont fourré en elle pas purement la sienne, mais les impulsions de la collectivité.
Dans l'économie, la force de travail peut d’abord fluer dedans après qu'elle a trouvé ses limites à partir de la relation de droit. Une branche de production, qui exige une performance de travail impossible, a aussi peu la permission de valoir comme recevable qu’une dont les matières premières viennent à se tenir trop chères.

D'où provient le fanatisme ? Du décollement d’une des branches du penser de l’autre.

Le mercantilisme n'a aucune conscience de cela, comment dans la vie de l’économie intervient quand on fait les États centres de commerce - (Colbert 1619-1687, Cromwell, Frédéric-Guillaume Ier, Frédéric le Grand). Fermeture des pays les uns vis-à-vis des autres.
Les physiocrates : la vie économique dominée entièrement par des lois de la nature qui devraient régner librement.

Quesnay: 1.  productivité des sols
2. Improductivité du commerce et de l'industrie, impôt unique : impôt sur le rendement (NDT ou bénéfice) agricole.
3. Sans utilité est la multiplication artificielle de l'argent.
4. Laisser-faire, laisser-aller. (NDT en français dans le texte)
À ce point de vue beaucoup semble correct. – En quoi repose son insuffisance? -
1 On oriente l’impôt seulement correctement quand on part de cela : dans l’instant où j’interviens dans l'organisme social avec mon activité, je place sur le marché, ce que je dois à la collectivité : donc je dois imposer. Si je paye un produit industriel, une prestation commerciale, ainsi je dois imposer pour la possibilité de me placer dans l'organisme social. Dans chaque cas, l’amateur (NDT ou plus litt. le jouisseur) doit payer l’impôt. Cela ne pousse-t-il pas sur les prix ? Tout de même seulement si le producteur peut se laisser presser - mais pas quand ce n'est pas le cas.

III. Fanatisme et conception de vie réelle de la vie dans la pensée et la volonté sociale.
1 On doit toujours de nouveau revenir là-dessus : le mutuel ne-pas-se-comprendre des vieilles classes dirigeantes et de la nouvelle en pleine évolution est l'un des plus grands obstacles de la vie  sociale actuelle. On ne comprend pas du tout la « pensée prolétarienne » dans les premiers des cercles. On a, à partir de ses habitudes de pensée, aucun moyen de comprendre comment cette pensée est devenue une critique de ce que la bourgeoisie développe. Mais justement, seulement « critique », pas la représentation d'une impulsion qui veut se réaliser. « Ce qui viendra, devra se montrer quand le prolétariat, aura remporté le pouvoir ».
  2 doit venir à la connaissance : les habitudes de pensée du temps nouveau ne génèrent pas des pensées, qui peuvent intervenir dans le tissu des facteurs et forces économiques objectifs -
dans la plupart des cas la pensée s’enlise en fanatisme vis-à-vis de ces forces -
3. Ce fanatisme produit les utopies particulières ; mais plus grave que l’installation d’utopies est le mode de pensée utopique. Tout de suite, les ainsi nommés « praticiens » ont fait leur ces derniers temps la façon utopique de penser. – Avant toute chose l'aspiration au bonheur vient en considération.-
4. La pensée moderne a perdu la faculté de plonger dans la réalité. Il s'agit de cela de détacher dans l'âme les « forces intérieures », desquelles alors la pleine réalité se montre.
5. Pour cela la « vie spirituelle » doit être placée sur la pleine liberté aussi dans la vie. Cette liberté ne peut jamais être atteinte quand est là supervision ou administration du côté de l'élément politique de l'organisme social.

6. L'organisme de droit ne peut pas être économiste, et il n’a pas le droit non plus d’être abusé par l'organisme économique. Il devrait nécessairement se favoriser comme législateur. Dans cet organisme l’humain doit agir comme humain.
Loi fondamentale : l’humain ne peut seulement travailler « pour d’autres ».

[Sur la page faisant face:]
Cet organisme doit pouvoir limiter l'économie ; il doit pouvoir la vivifier = elle se meut de sorte qu'elle consomme l’humain, elle ne pourra jamais le rendre heureux ; il doit pouvoir lui être arraché. - La base du droit pas puissance, mais le fructueux pour la collectivité. – Un droit vient à celui qui a la volonté de placer ce qui est fondé avec le droit au service de la collectivité.

En termes de politique étrangère - La guerre mondiale a montré qu’on ne peut donc se trouver sur la base d'une internationale quand elle repose principalement sur une base économique.
Il a été parlé de cela, que pas les peuples ne peuvent pas être bazardés comme des marchandises ; avant de tout cela vient en considération pour les humains.

[Texte dans la continuité :]
7 Dans l'organisme économique doit être valable la relation de l’humain avec les conditions de la production, du commerce, de la consommation. Là joue dedans par ex. la force de travail qui peut seulement être déconnecté de la circulation des marchandises, quand elle leur repose d’un côté à la base et est codéterminante.

Comment par les événements mondiaux élémentaires les impulsions économiques sont déterminées : les Turcs apparaissent à Constantinople, l'économie de l'Europe doit abandonner la direction de l'Est.
Wilson dit : avec la découverte de l'Amérique devenait possible à l'humanité européenne: « de mettre en route une nouvelle expérience historique ».
Wilson: « La liberté de l’humain consiste dans le correct intervenir l’un dans l’autre des intérêts humains, du commerce et des forces ».
La vie économique nécessite une adaptation de l’humain à la satisfaction des intérêts du tout : la suppression de la liberté ; lorsque le navire se déplace dans la direction du vent, il se déplace librement ! Quand il se dirige contre, il est lié ! Mais ainsi il est seulement libre par cela que c’est un membre dans un contexte – aurait-il conscience, ainsi il pourrait seulement croire être libre aussi longtemps qu’il ne remarque pas qu'il a cédé sa liberté originelle, pour ne pas être inhibé dans le contexte. Le prolétaire pourrait croire être libre, quand il s’active ainsi que son activité est adaptée à l'intérêt de l'entrepreneur - mais il arrête de vivre dans cette foi quand il se rend compte que cela contredit à ses intérêts. Le navire peut seulement être appelé « libre » quand aussi un moment donné il n'a pas besoin de suivre le vent ; mais peut inverser sa direction, de sorte que le vent travaille contre lui. Le prolétaire doit être dans la situation de se placer ainsi que le capitaliste a un intérêt à utiliser son « repos » justement ainsi, comme il utilise sa « diligence », sa « force de travail ». Le capital doit produire quelque chose qui devient sans essence sans le « repos » du travailleur.
Cela le contredit lorsque le capital a la possibilité d'être quelque chose pour soi, quand il n'est pas obligé de fluer dans l'organisme social. On doit être amené à dépenser (NDT ou donner) son capital (à « acheter ») – on est seulement cela quand on est appauvri sans dépenser à la vie, quand un vous tarit l’encaissement sans la dépense ; l'entrepreneur doit au travailleur pas seulement pour son produire, il doit l’avoir nécessaire pour sa vie - il doit l’avoir nécessaire comme consommateur de ce qu'il produit - mais cela signifie l'association entre le consommateur et le producteur, la société, la fraternité, qui unit les consommateurs pour une branche de production - et que cela n'est pas possible immédiatement à l’intérieur de la situation de vie de l'humanité d'aujourd'hui : cela signifie le système des associations -

 

 

Zurich, 12 février 1919 Matériaux :
Il s’agit dans le développement de la pensée et volonté sociale pas d’une question économique, mais d’une question de l'influence de la personnalité humaine -

La foi en l'ancrage de l'humain individuel dans la société humaine apparaît aussi dans le domaine de la vie de l’âme elle-même : - chez le prolétariat cet ancrage est poussé sur les facteurs impersonnels de la vie économique – on ne veut pas être appuyé sur d'autres humains = la pensée purement économique est produite à l’intérieur des milieux intellectuels bourgeois ; les prolétariens ont repris ceci - : mais ils veulent continuer à politiser l'économie, plutôt que de la libérer de la politisation déjà introduite.

*


QUEL SENS A LE TRAVAIL
DU PROLETAIRE MODERNE ?
Concept pour la conférence publique du 8. mars 1919 à Zurich
1. Comme cette conférence a été annoncée, beaucoup ont demandé : d’où vient celui qui veut parler là ? Et de la réponse qui a été donnée de différents points de vue là-dessus, l’opinion a pu se constituer : de ce côté on a entendu assez.

2. Je ne parlerai pas de compréhension. Car je suis d’accord avec ceux qui ne retiennent rien de ce qui est parlé de beaucoup de côtés maintenant autour de la volonté de compréhension.
3. Par plus d'un demi-siècle, les classes d’humains jusqu'à présent dirigeants pouvaient voir comment se formait un mouvement qui unissait en soi des humains qui leur criaient : vous avez eu la direction au cours des temps modernes de ce qui est là comme un ordre social : vous l’avez fait. Mais nous vous disons : ainsi ça ne va pas plus loin. Bien qu’ils aient crié ainsi : ils ont trouvé peu de compréhension. Et maintenant : la guerre mondiale ainsi nommée. Elle a montré ce mouvement dans une nouvelle lumière. Elle a également montré l'incapacité de continuer à faire des affaires avec l'idée que les classes dirigeantes ont formée sur la société. Le mouvement social pendant cette catastrophe.

4. Des mouvements sont nés au sein de ces classes dirigeantes. Sous les plus différents noms. Cependant ceux qui étaient venus par leur situation sociale elle-même au développement d'un mouvement social ne pouvaient placer aucune confiance en eux tous. Ils devaient leur dire : vous pensez à partir de votre classe. Ce qui doit être pensé pour la guérison des conditions ne peut pas être trouvé par ceux, qui ont contribué à la conception de ces conditions. Seulement ceux qui peuvent avoir une idée de ce qui doit arriver qui ne sont pas infectés par vos préjugés, qui sont instruits par cela que peut leur enseigner leur situation sociale.

5. Comment se sont formés les rapports. Le prolétaire moderne s’est formé une science. Les cercles dirigeants ne se sont accommodés que lentement à maintes choses.

6. La question après la signification de la force de travail humain se tient derrière tout. Elle se fiche ainsi là derrière qu’elle est une question de dignité humaine. La force de travail comme marchandise.
7. Seule là la chose doit être considérée de la manière correcte. Il doit être vu que la force de travail ne peut jamais être une marchandise. Et parce qu’on l’a faite à cela, on est coincé dans un mensonge de vie. - Le travailleur se voit en face de l’entreprise en capital et d’une vie de l’économie qui fait sa force de travail en marchandise.
8. Pour préserver ce mensonge de vie, il est souvent parlé : trône et autel doivent maintenir l'ordre social. Mais ce qui opprime sera-t-il rectifié si à la place s’introduit : machine et comptoir ?

9. Une prospérité viendra-t-elle lorsque l'état moderne sera inséré comme cadre d’un autre système économique?
9 a. Toute la confiance sera manifestée à l’organisation de la vie économique. On demande seulement : comment cela devrait être socialisé ?
10. Il peut seulement aider : l’articulation de l'organisme social. Pas la fusion. Dois être considéré : le fait que la vie de l’esprit ne peut prospérer que si elle est libérée. La vie de droit, quand elle n'est pas déterminée par les intérêts du cycle économique. Économie seulement quand elle ne peut pas développer la violence, parce qu’elle elle est dépende d’elle-même.

1. Le capital peut seulement agir dans une vie spirituelle libre. Car il ne sera pas devenu ce qu'il est par la vie économique ou la vie de droit, mais par les facultés individuelles des humains. La force de travail ne peut être régie qu’à partir de l'État de droit, car elle devient la proie de la violence, si seulement la vie de l’économique la règle.
2. Il s’agit de comprendre : repenser (NDT umdenken) est nécessaire. -

Zu den nachstehenden Aufzeichnungen : Mit Ausnahme der Materialien für den vierten Vortrag vom 12. Februar 1919 sind die auf diese Vorträge bezüglichen Notizbucheintragungen (Nb 97 und 130) nicht von Rudolf Steiner selbst datiert. Dies ist vermutlich darauf zurückzuführen, daß sie die gedankliche Grundlage für eine Reihe von Vorträgen mit gleicher Themenstellung an verschiedenen Orten innerhalb kurzer Zeitabstände bildeten, von denen in dem vorliegenden Band jedoch nur die in Zürich gehaltenen abgedruckt sind. Die zur leichteren Orientierung eingefügten Daten sind, wie es grundsätzlich bei allen Zusätzen des Herausgebers geschieht, in eckige Klammern gesetzt.
In den Aufzeichnungen zum zweiten Vortrag vom 5. Februar ist unter Punkt 13 ein Zitat aus dem sechsten Vortrag des Wiener Zyklus «Inneres Wesen des Menschen und Leben zwischen Tod und neuer Geburt», Bibl.-Nr. 153, angeführt. Dieses Zitat findet sich nicht in der Nachschrift der Zürcher Vorträge, ist jedoch in der Schrift «Die Kernpunkte der sozialen Frage» Kap. IV sowie in einer Reihe von Vorträgen der folgenden Wochen und Monate enthalten. In den Aufzeichnungen zum Vortrag vom 10. Februar beziehen sich die drei letzten Absätze auf die Schrift von Woodrow Wilson «Die neue Freiheit», deutsch München 1914.

Das Konzept für den Vortrag vom 8. März befindet sich im Archiv unter der Nr. 5462/63.


I. Die wirkliche Gestalt der sozialen Fragen, erfaßt aus den Lebensnotwendigkeiten der gegenwärtigen Menschheit (auf Grund geisteswissenschaftlicher Untersuchung).
II. Die vom Leben geforderten wirklichkeitsgemäßen Lösungsversuche für die sozialen Fragen und Notwendigkeiten (auf Grund geisteswissenschaftlicher Lebensauffassung).
III. Schwarmgeisterei und reale Lebensanschauung im sozialen Denken und Wollen.

IV. Die Entwicklung des sozialen Denkens und Wollens und die Lebensfrage der gegenwärtigen Menschheit.

Diese Vorträge wollen von einem Gesichtspunkte, welcher der vollen Lebenswirklichkeit durch geisteswissenschaftliche Denkungsart und Forschung Rechnung trägt, und durch eine nach Vorurteilslosigkeit strebende allseitige Erfassung der wahren gegenwärtigen Menschheitsbedürfnisse die sozialen Fragen und Notwendigkeiten erörtern. Sie wollen als Tatsache geltend machen und ins Auge fassen, daß nur eine solche Erörterung Verständnis der wirklichen Lebensforderungen auf diesem Gebiete an die Stelle von Mißverständnis auf demselben; fruchtbare Arbeit an Stelle von unfruchtbaren, unpraktischen und die Entwicklung hemmenden Debatten und Bestrebungen treten lassen kann; daß auch nur in solcher Betrachtungsart das im Menschen wesenhaft begründete Freiheitsbewußtsein mit den Notwendigkeiten des sozialen Zusammenlebens vereinigt gedacht und durch sie verwirklicht werden kann.


[Zürich, 3. Februar 1919]

Die wirkliche Gestalt der sozialen Fragen, erfaßt aus den Lebensnotwendigkeiten der gegenwärtigen Menschheit.

1. Die Katastrophe hat die in den sozialen Tiefen vorhandenen Kräfte an die Oberfläche geworfen. In die Kriegsursachen haben sie hineingespielt.
2.  Man redet von der «sozialen Frage» ; man isoliert sie und universalisiert sie. Aber sie steht im wirklichen Leben nicht isoliert da. Sie wurde nur isoliert, weil die anderen beiden Glieder im gesellschaftlichen Organismus, mit denen sie verknüpft ist, verkümmert sind. Nirgends tritt die wahre Gestalt der sozialen Fragen auf. Die Forderungen treten auf. Aber die schöpferischen Kräfte zur Lösung sind nicht da.
3.  Die auftretenden Forderungen steigen aus verschiedenen Gebieten auf: aus dem Wirtschaftsleben = ob die Produktion im Einklang ist mit dem Bedarf. Aus dem Gefühle der Menschenwürde = ob die menschliche Arbeitskraft Ware sein darf? Aus dem Verständnis für soziale Gemeinschaft : Die Brücken sind abgeschlagen. Man versteht über die Klassen hinweg einander nicht. Man hat nur Vertrauen zum Klassenkampf. Die naturwissenschaftliche Denkungsart hat nur Verständnis für das bloße Wirtschaftsleben. Das geistige Leben ist für das Proletariat zur bloßen «Ideologie» geworden.

Herrschaft des Kapitals. Abhängigkeit. Die Krisen. Produziert, damit profitiert werde. Sozialismus wie eine Religion.
Der Sozialismus als Lehre wegen der mangelnden sozialen Impulse des Lebens. —Die letzteren waren (auf ihre Art) früher besser vorhanden als jetzt.

Der Sozialismus hält sich für eine «wissenschaftliche Lehre» und eine Weltanschauung.

1. Die Wirtschaft bestimmt den geschichtlichen Zustand. Alles Übrige, Recht, Sitte, Sittlichkeit, ideologischer Überbau.
Sklaverei, Feudalität, Privatkapitalismus.
2. Der Arbeiter erzeugt den Profit.
3. Alle Geschichte ist Geschichte von Klassenkämpfen.
Als die früher von der Bildung ausgeschlossene Klasse in die Bildungssphäre einrückte, hatte die Bildung ihre Stoßkraft verloren: man nahm die religiöse Nuance der Bildung nicht mehr auf. Weil vorher diese religiöse Nuance keine Wirkung auf den naturwissenschaftlichen Gedanken zu üben vermochte.

1.  Die kriegerische Katastrophe hat nach den verschiedensten Seiten hin das Drängende der sozialen Frage geoffenbart. Sie war vorhanden im Bewußtsein der proletarischen Bevölkerung. Aber sie hat dazu geführt, auf eine Lösung zu verzichten. Man muß in der Lage sein, psychologisch zu beobachten, was in der Seele der prolet. Bevölkerung lebt.
2. Der «wissenschaftliche» Charakter des modernen prolet. Klassenbewußtseins. Das bezeugt, daß mit dem Aufsteigen der prolet. Bewegung die Art zusammenhängt, wie der Proletarier denken lernte. Er lernte «naturwissenschaftlich» denken. Das brachte ihn dazu, auf die bloße wirtschaftliche Entwicklung zu sehen. Er lernt das Wesen der Warenproduktion kennen.
3. Nun vermeint er, auch seine Grundforschung gehe aus wirtschaftlichen Impulsen hervor. Doch besteht sie darin, daß die Arbeitskraft als Ware in den kapitalistischen Produktionsprozeß verschlungen worden ist.
Das geistige Leben ist der prolet. Persönlichkeit zur «Ideologie» geworden.
4. Dadurch wird verdunkelt, was aus den Lebensnotwendigkeiten folgt: Das Wesen der Weiterentwicklung der Menschheit. Das Wesen des sozialen Organismus. --
Spiel Beschäftigung nach freier Wahl; Arbeit durch Notwendigkeit, Pflicht, Willen eines Anderen.
Verkürzung der Arbeitszeit : man strebt sie an, während man die Befreiung von langandauernder Abhängigkeit meint.
Wenn das geistige Leben mit den beiden andern Gliedern des sozialen Organismus vermengt wird, so fehlt diesem die Zuströmung dessen, was ihn belebend im Werden erhält.
Das wirtschaftliche Leben steht unter Gesetzen, die fortwährend den sozialen Organismus stagnierend machen.
Die wirkliche Gestalt der sozialen Fragen, erfaßt aus den Lebensnotwendigkeiten der gegenwärtigen Menschheit.

1. Wie die soziale Frage am Ausgangspunkte und im Verlauf wie ein Faktor da stand, mit dem man rechnete.

2. Nun lastet etwas auf einem Teile Europas wie ein tragischer Zug : man steht vor der Notwendigkeit, ein Urteil zu gewinnen, das in die Tat übergehen kann = man kann wohl doch kaum zugeben, daß ein solches Urteil sich zeigt.
3. Eines tritt in der prolet. Bewegung zu Tage : sie verleugnet den Gedanken und doch : sie ist im eminentesten Sinne eine Gedankenbewegung.

[Auf der gegenüberstehenden Seite :]
Nur derjenige wird gewachsen sein der Zeit, der imstande ist, sein Urteil umzuwandeln —
Die alten Programme sind noch da ; aber die Tatsachen haben sich so gründlich geändert, daß man sich innerhalb dieser Tatsachen wie mumifiziert ausnimmt —
Das Leben stellt überall neue Forderungen —
Die Kriegskatastrophe ist wie der letzte Akt, in den die menschlichen Impulse ausgelaufen sind; was sie zurückgelassen haben, das wird ein neues Verständnis der Dinge notwendig machen.

[Fortlaufender Text :]
4. Doch sie weist auf ganz andere Impulse als die in den Gedanken ausgesprochenen.
Im Mittelpunkte steht für den, der das Leben beobachten kann und der mit dem Proletariat gelebt hat : der proletarische Mensch mit seinem «Klassenbewußtsein».
5. Aber dieses «Klassenbewußtsein» ist doch nur eine Maskierung. Es ist in Wahrheit das Menschheitsbewußtsein erwacht an der Maschine und innerhalb der kapitalistischen Wirtschaftsordnung.
6. Und es ist letzten Endes doch nicht der Wirtschaftsgegensatz zwischen dem Bürgertum und dem Proletariat, sondern ein Nichtverstehen, das andere Grundlagen hat. Der Bürger sieht Hauptmanns Weber an. Was er dabei wahrnimmt, ist sein Mißverständnis.
7. Der von der Welt an der Maschine isolierte und in den Kapitalismus isoliert eingespannte proletarische Mensch ringt sich zu dem modernen Denken (z. B. Marx) auf.
8. Dieses Denken hat die Stoßkraft verloren, um in seinem Erkennen eine Menschheitsempfindung zu zeitigen. Mit diesem Denken kann man nur die ökonomische Ordnung verstehen.
9. Dieses Denken ist noch nirgends als selbständige Macht aufgetreten. Es ist untergetaucht in die Staatsgebilde.
10. Daher innerhalb des prolet. Denkens die «Ideologie».
11. Die Meinung von der Grundforderung — Arbeitskraft soll nicht Ware sein. Diese Frage an die Politik. So wird die Ungleichheit empfunden.
12. Das Kapital verfälscht die Beziehung des Menschen zum Wirtschaftsprozeß. Es ist der Wirtschaftsprozeß, welcher die Kapitalvermehrung bewirkt — der Mensch steht ihm machtlos gegenüber. Es ist die Verleugnung der menschlichen Brüderlichkeit.
Geistig = die Liebe zur Sache
1) politisch = der Wille zum Recht
2) wirtschaftlich = das Begehren nach dem Nutzen (Zweck). (Das Interesse am Nutzen, Nutzwert)


[Auf der gegenüberstehenden Seite zu Punkt 12]
Der Kapitalismus geht auf Mehrwert-Profit; das ist die Wurzel des Glaubens an einen andern Effekt. —
Das Elend, das Übel ist nicht im Wesen des Menschenlebens begründet — es kann nur aus den Einrichtungen kommen —: das weiß der Proletarier (vielleicht unbewußt) — Man kann sich über seinen Organismus nicht freuen; aber man erleidet Schmerz, wenn er in Unordnung ist — Jeder, der behauptet: das Elend sei notwendig, wird von dem Proletarier nicht ernst genommen. Gesund hindert der soziale Organismus nicht die Entfaltung von Glück und Freude. Der Wirtschafts-Körper kann gestört nur von den andern Körpern werden.


[Zürich, 5. Februar 1919]
Die vom Leben geforderten wirklichkeitsgemässen Lösungsversuche für die sozialen Fragen und Notwendigkeiten.
1. Man hat im sozialen Denken den Blick gerichtet auf die wirtschaftliche und technische Entwicklung der neueren Zeit. Man hat aber nicht beachtet, daß innerhalb dieser Entwicklung eine Lebensform und Lebensnotwendigkeit erwacht sind, welche nicht durch eine bloße Ordnung des Wirtschaftslebens in die rechten Bahnen gelenkt werden können.


[Auf der gegenüberstehenden Seite :]
Es sollen nicht die aus einseitigen Lebensverhältnissen hervorgehenden Impulse geltend gemacht werden, sondern die wirklichen Lebensnotwendigkeiten. Was nützt es, wenn Eine Klasse dem sozialen Organismus das Gepräge gibt und sie eben dadurch die Gegenwirkung hervorruft, daß eine andere Klasse sich bildet, die störend wirkt.
[Fortlaufender Text:]
2. Die kapitalistische Wirtschaftsform hat aus sich herausgetrieben jeden Impuls, der aus anderen Lebensgrundlagen kommt als aus dem Wirtschaftsleben selbst.
3. Die sozialistische Denkart des Proletariats hat allen Glauben daran verloren, daß eine Erreichung des menschenwürdigen Daseins für es auf eine andre Art als durch eine Ordnung der rein wirtschaftlichen Verhältnisse erreicht werden könne.
4. Allein das wirtschaftliche Leben umfaßt nur ein Glied des gesamten sozialen Organismus. Und wird der Mensch in ein bloß nach wirtschaftlichen Grundlagen geordnetes Leben hineingestellt, so muß seine Gesamtwesenheit verkümmern.
5. Es wird gerade übersehen, daß die neuere Zeit in dem privatwirtschaftlichen Kapitalismus die beiden anderen Glieder des sozialen Organismus unterjocht hat.
6. Man muß diese beiden andern Glieder wieder befreien. Man muß lernen an der Betrachtung des natürlichen Organismus auch die Lebensnotwendigkeiten des sozialen richtig anzuschauen. Wenn man einfach die Gesetze, die man glaubt für den natürlichen Organismus erkannt zu haben, auf den sozialen übertragen zu können [glaubt], so beweist man nur, daß man nicht in der Lage ist, den sozialen Organismus aus seinen eigenen Lebensnotwendigkeiten heraus anzuschauen.
7. Wie man den natürlichen Menschenorganismus betrachten soll.
8. Wie man den sozialen Organismus betrachten soll: bei ihm ist die mit den Naturgrundlagen zusammenhängende Produktion ähnlichen Gesetzen unterworfen wie beim Menschenorganismus die natürlichen Begabungen. Man kann nicht die natürlichen Begabungen unmittelbar durch Lernen hervorbringen; man kann nicht durch eine soziale Einrichtung ändern, daß die Produktion des Bananenlebensmittels mit Bezug auf das Erträgnis der Arbeit zu der Produktion des Weizenlebensmittels [sich] wie 400: 3 verhält. Man kann nicht ändern durch eine soziale Ordnung, daß in Deutschland der Weizen das Sieben- bis Achtfache der Aussaat ergibt, in Chile das 12fache, in Nordmexiko das 17fache; in Peru das 20fache, in Südmexiko das 25-35fache. Aber wenn der soziale Organismus nach seinen eigenen Gesetzen in Ordnung ist, dann wird die Produktivität eines Gebietes daraus ebenso folgen, wie die Begabungen des natürlichen Menschenorganismus richtig hervortreten, wenn das Erziehungssystem richtig wirkt.
9. Gesund ist der soziale Organismus nur, wenn er in die selbständigen Glieder zerfällt :

1) das wirtschaftliche Glied, das den Menschen mit der Naturgrundlage zusammen läßt. Es muß ein halbpersönliches Verhältnis des Menschen sein zu den Urfaktoren der Produktion.

2) das rechtliche Glied, das alle Menschen gleich vor dem Gesetz behandelt, in dem ein völlig unpersönliches Verhältnis walten muß.
Hier ist das Gebiet, wo gesundes demokratisches Empfinden seine Fruchtbarkeit erweisen könnte. Der jetzt schon alte Liberalismus hat es nicht verstanden. Dieses Glied kann eben nicht solche Gesetze liefern, welche das geistige und das Wirtschaftsleben regeln.

3) das geistige Gebiet, das jeden einzelnen Menschen frei läßt mit Bezug auf seine persönliche Entwicklung. Da muß das persönlichste Element walten können.
Vergiftet worden der Inhalt durch das Begehren dessen, was nicht zum Inhalt gehört : Position — oder durch das Durchsetzenwollen einer Tendenz = Partei : konservativ, liberal etc.
Wer hat denn eine Barrikade vor die geistige Welt gestellt, so daß diese nicht mehr gesehen werden kann?

10 Diese Glieder müssen im Leben zusammenwirken, nicht durch eine abstrakte Einheit. Die Vertretungen der einzelnen Glieder müssen sorgsam wachen können über ihre Selbständigkeit. Es wird nicht können konfundiert werden die menschliche Regelung der Arbeitsverhältnisse dadurch, daß durch die Hereinnahme des wirtschaftlichen Lebenselementes in das zweite Glied die menschliche Arbeitskraft zur Ware und ihr Wert zum Warenwert wird. Es wird das Wirtschaftsglied nur mit Warenerzeugung, Warenzirkulation und Warenkonsum zu tun haben; das politische Gebiet wird nur zu tun haben mit alledem, worinnen alle Menschen gleich sind. Das Geist-gebiet wird es zu tun haben mit alledem, worinnen alle Menschen gleich sind. Das Geistgebiet wird es zu tun haben mit der Sphäre der Freiheit, mit dem, was nur unter der freien Entfaltung der individuellen Impulse gedeihen kann.

 

11 Erfahrungen, welche während der Kriegs katastrophe mit diesen Anschauungen gemacht worden sind. Wie über sie gesprochen worden ist. Wie man nicht die Brücke gefunden hat vom theoretischen Verständnis zum praktischen Wollen. Man hat darauf gerechnet, daß die bitteren Erfahrungen diese Impulse bringen könnten.

12. Man schreckt zurück, indem man dasjenige, was die Wirklichkeit fordert, entweder für radikal hält : man möchte den Organismus heilen vor den Erscheinungen z. B. der Geschlechtreife. Oder man hält diese Dinge für Ausflüsse eines unpraktischen Idealismus.

13. Man hat die Erfahrung gemacht, daß diese Dinge immer nur für innere Angelegenheiten gehalten werden. Sie sind aber die Grundlagen für die äußeren Verhältnisse der Staatsgebiete. Diese müssen einander durch die selbständigen Glieder des sozialen Organismus gegenübertreten. Dann korrigieren sich die Nachteile des einen Gebietes durch die Eigenheiten des anderen. Während das Konfundieren zu den Konflikten und Katastrophen führen muß, deren größte im Jahre 1914 ihren Anfang genommen hat.
In Wien: «Diese Tendenz wird immer größer und größer werden, bis sie sich in sich selber vernichten wird. Da schaut derjenige, der das soziale Leben geistig durchblickt, überall, wie furchtbare Anlagen zu geistigen Geschwürbildungen aufsprossen. Das ist die große Kultursorge, die auftritt für denjenigen, der das Dasein durchschaut ; das ist das Furchtbare, was bedrückend wirkt und was selbst dann, wenn man allen Enthusiasmus sonst für Geisteswissenschaft unterdrücken könnte, wenn man unterdrücken könnte, was sonst den Mund öffnet für Geisteswissenschaft, was einen auch dann dahin bringen müßte, das Heilmittel der Welt gleichsam entgegenzuschreien für das, was so stark schon im Anzug ist und was immer stärker und stärker werden wird. Wenn der soziale Organismus so sich weiter entwickelt, wie dies bisher geschehen ist, so entstehen Schäden der Kultur, die für den sozialen Organismus dasselbe sind, was die Krebsbildungen für den menschlichen natürlichen Organismus sind.»


[Zürich, 10. Februar 1919]
III. Schwarmgeisterei und reale Lebensanschauung im sozialen Denken und Wollen.
Materialien.
1. Die Freiheit kann nur sich entwickeln auf Grund eines in voller Selbständigkeit sich entwickelnden geistigen Lebens. Denn das freie Entfalten der Kräfte beruht auf den Denkimpulsen, die sich ergeben, wenn das geistige Leben seine Eigenregulierung hat. —
2.  Alle besonderen Verhältnisse ergeben sich aus der naturgemäßen Gliederung des sozialen Organismus : die assoziative Organisation der Wirtschaftssphäre. Das Verhältnis des Menschen zur Naturgrundlage ergibt Koalitionen und Assoziationen, die miteinander in sachgemäße Verbindung treten. Hier ist bestimmend die Wertbildung. Hier wird maßgebend der Vertrag.

das Rechtsverhältnis: Es liegt zu Grunde das Verhältnis von Mensch zu Mensch. Bestimmend wirkt das Recht. Es ergibt sich dadurch, daß derjenige ein Recht «mit Recht» hat, der in den sozialen Organismus zum Gedeihen der andern eingreift. Nicht die Macht entscheidet, sondern das Maß, in dem die Betätigung eines Menschen in den sozialen Organismus eingreift.
das geistig-individuelle Leben. Bestimmend wirkt die Freiheit, mit der sich die seelische und geistige Begabung entfalten kann.
so ergibt sich in Wirklichkeitslogik : Steuersystem, Geldbedeutung, Beziehung von Kapital zu Geld etc.

Bestimmend werden :
1. Auf dem Wirtschaftsgebiet : das System der aus Opportunität hervorgegangenen Verträge.
2. Auf dem politischen Gebiete : das System der öffentlichen Rechte.
3. Auf dem geistigen Gebiete die freie Konkurrenz der Begabungen und entwickelten Kräfte und Betätigungen.
Grund und Boden : er wird in einem Realverhältnis stehen müssen zu dem Bearbeiter; aber dieses Verhältnis wird nicht ein solches sein dürfen, das den allgemeinen sozialen Organismus schädigt.

Alles, was die Erhöhung des Ertrages des Bodens niedriger stellt als das Recht auf diesen Ertrag, wird ausgeschaltet : Hypothekenrecht die Priorität —
Das Kapital kann nicht liegen in Werten (Pfandbriefen und Hypotheken), denen die hohen Bodenpreise als Deckung dienen.

Vermögenbildung ohne die Zusammenbindung des Vermögens mit dem sozialen Prozeß muß zum Unheil ausschlagen. Wenn jemand seine Erfindergabe in eine Maschine gesteckt hat, so stecken in ihr doch nicht bloß seine, sondern die Impulse der Allgemeinheit.
In die Wirtschaft darf die Arbeitskraft erst einfließen, nachdem sie ihre Grenzen gefunden hat aus dem Rechtsverhältnis heraus. Ein Produktionszweig, der eine unmögliche Arbeitsleistung erfordert, darf ebensowenig als statthaft gelten wie einer, dessen Rohprodukte zu teuer zu stehen kommen.

Woher rührt die Schwarmgeisterei ? Von der Loslösung des einen Zweiges des Denkens von dem andern.

Der Merkantilismus hat kein Bewußtsein davon, wie in das Wirtschaftsleben eingreift, wenn man die Staaten zu Handelszentren macht — (Colbert 1619-1687; Cromwell, Friedrich Wilhelm I., Friedrich der Große). Abschließen der Länder gegeneinander.
Die Physiokraten : das wirtschaftliche Leben ganz von Naturgesetzen beherrscht, die frei walten sollen.

Quesnay : 1. Produktivität des Bodens
2. Unproduktivität des Handels und der Industrie. einzige Steuer : landwirtschaftliche Ertragsteuer.

3. Ohne Nutzen ist die künstliche Geldvermehrung.
4. Laisser faire, laisser aller.

Es scheint an dieser Anschauung sehr vieles richtig — Woran liegt ihr Ungenügendes ? —
1. Man wird die Steuer nur richtig orientieren, wenn man davon ausgeht: in dem Augenblicke, in dem ich in den sozialen Organismus mit meiner Tätigkeit eingreife, stelle ich auf den Markt, was ich der Allgemeinheit verdanke: also muß ich steuern. Bezahle ich ein Industrieprodukt, eine Handelsleistung, so muß ich steuern für die Möglichkeit, mich in den sozialen Organismus hineinzustellen. In jedem Falle muß der Genießer die Steuer bezahlen. Führt das nicht zum Drücken der Preise? Doch nur dann, wenn der Produzent sich drücken lassen kann — nicht aber, wenn das nicht der Fall ist.

III. Schwarmgeisterei und reale Lebensanschauung im sozialen Denken und Wollen.
1. Man muß immer wieder darauf zurückkommen: das gegenseitige Sich-nicht-Verstehen der alten führenden Klassen und der neu aufstrebenden ist eines der größten Hemmnisse des gegenwärtigen sozialen Lebens. Man versteht in den ersteren Kreisen das «proletarische Denken» gar nicht. Man hat, aus seinen Denkgewohnheiten heraus, kein Mittel, zu verstehen, wie dieses Denken zur Kritik geworden ist des vom Bürgertum Entwickelten. Aber eben nur «Kritik», nicht die Vertretung eines Impulses, der sich verwirklichen will. «Was kommen wird, muß sich zeigen, wenn das Proletariat die Herrschaft errungen haben wird.»
2 muß zu der Erkenntnis kommen: die Denkgewohnheiten der neuen Zeit erzeugen nicht Gedanken, welche eingreifen können in das Gewebe der tatsächlichen wirtschaftlichen Faktoren und Kräfte —
in den meisten Fällen versumpft das Denken gegenüber diesen Kräften in Schwarmgeisterei —
3. Diese Schwarmgeisterei erzeugt die einzelnen Utopien ; aber schlimmer als das Aufstellen von Utopien ist die utopistische Denkungsart. Gerade die sogenannten «Praktiker» haben in der neuesten Zeit die utopistische Denkungsart zu der ihrigen gemacht. — Vor allen Dingen kommt das Streben nach dem Glück in Betracht. —
4. Das moderne Denken hat die Fähigkeit verloren, unterzutauchen in die Wirklichkeit. Es handelt sich darum, in dem Seelenleben die «inneren Kräfte» zu lösen, denen sich dann die volle Wirklichkeit ergibt.
5. Dazu muß das «geistige Leben» auf die volle Freiheit auch im Leben gestellt sein. Diese Freiheit kann nie erreicht werden, wenn Aufsicht oder Verwaltung von seiten des politischen Gliedes des sozialen Organismus da ist.
6. Der Rechtsorganismus kann nicht Wirtschafter sein, und er darf auch nicht mißbraucht von dem Wirtschaftsorganismus sein. Er würde sich als Gesetzgeber notwendig begünstigen müssen. In diesem Organismus muß der Mensch als Mensch wirken.
Grundgesetz : der Mensch kann nur «für Andre» arbeiten.


[Auf der gegenüberstehenden Seite:]
Dieser Organismus muß die Wirtschaft begrenzen können; er muß sie beleben können = sie bewegt sich so, daß sie den Menschen verbraucht; sie kann ihn niemals beglücken ; er muß ihr entrissen werden können. — Die Grundlage des Rechtes nicht Macht, sondern das Ersprießliche für die Allgemeinheit. — Dem kommt ein Recht zu, der den Willen hat, das mit dem Recht Begründete in den Dienst der Gesamtheit zu stellen.
In Bezug auf die äußere Politik — Der Weltkrieg hat gezeigt, daß man sich auf Grund einer Internationale doch nicht finden kann, wenn sie vorwiegend auf wirtschaftlicher Grundlage ruht.
Es ist davon gesprochen worden, daß nicht Völker können verschachert werden wie Waren; vor allem kommt dies für den Menschen in Betracht.

[Fortlaufender Text:]
7. In dem ökonomischen Organismus muß die Verbindung des Menschen mit den Bedingungen der Produktion, des Handels, des Konsums geltend sein. Da spielt hinein z. B. die Arbeitskraft, die nur aus der Warenzirkulation ausschalten kann, wenn sie ihr von der Einen Seite her zu Grunde liegt und mitbestimmend ist.

Wie durch die elementarischen Weltereignisse die wirtschaftlichen Impulse bestimmt werden : die Türken erscheinen in Konstantinopel, Europas Wirtschaft muß die Richtung nach dem Osten aufgeben.
Wilson sagt: mit der Entdeckung Amerikas wurde der europäischen Menschheit möglich : «ein neues geschichtliches Experiment anzustellen».
Wilson: «Die Freiheit des Menschen besteht in dem richtigen Ineinandergreifen der menschlichen Interessen, des Handels und der Kräfte.»
Das ökonomische Leben erfordert Anpassung des Menschen an die Interessenbefriedigung des Ganzen: die Aufhebung der Freiheit; wenn das Schiff sich in der Windrichtung bewegt, bewegt es sich frei ! Wenn es dagegen strebt, ist es gefesselt ! Aber so ist es nur frei dadurch, daß es ein Glied in einem Zusammenhang ist — hätte es Bewußtsein, so könnte es nur glauben, frei zu sein, solange als es nicht bemerkt, daß es sich seiner ursprünglichen Freiheit entäußert hat, um im Zusammenhang nicht gehemmt zu sein. Der Proletarier könnte glauben, frei zu sein, wenn er sich so betätigt, daß seine Tätigkeit den Interessen des Unternehmers angepaßt ist — aber er hört auf, in diesem Glauben zu leben, wenn er gewahr wird, daß dies seinen Interessen widerspricht. Das Schiff kann nur «frei» genannt werden, wenn es auch im gegebenen Augenblick nicht dem Wind zu folgen braucht ; sondern seine Richtung umkehren kann, so daß der Wind ihm entgegenarbeitet. Der Proletarier muß in der Lage sein, sich so einzustellen, daß der Kapitalist ein Interesse daran hat, seine «Ruhe» ebenso zu benutzen, wie er seinen «Fleiß», seine «Arbeitskraft» benutzt. Das Kapital muß etwas produzieren, das ohne die «Ruhe» des Arbeiters wesenlos wird. Dem widerstrebt es, wenn das Kapital die Möglichkeit hat, für sich etwas zu sein, wenn es nicht gezwungen ist, in den sozialen Organismus einzufließen. Man muß veranlaßt sein, sein Kapital auszugeben (zu «kaufen») — das ist man nur, wenn man ohne das Ausgeben am Leben verarmt, wenn einem ohne die Ausgabe die Einnahme versiegt ; der Unternehmer muß den Arbeiter nicht nur für sein Produzieren, er muß ihn für sein Leben nötig haben — er muß ihn als Konsumenten dessen nötig haben, was er produziert — das aber bedeutet die Assoziation zwischen dem Konsumenten und dem Produzenten, die Gesellschaft, die Brüderschaft, die die Konsumenten für einen Produktionszweig vereinigt — und da dies unmittelbar nicht möglich ist innerhalb der Lebenslage der gegenwärtigen Menschheit : bedeutet es das System der Assoziationen —


Zürich, 12. Februar 1919 Materialien:
Es handelt sich in der Entwicklung des sozialen Denkens und Wollens nicht um eine wirtschaftliche, sondern um eine Frage des Einflusses der menschlichen Persönlichkeit —
Es tritt auf auch auf dem Gebiete des Seelenlebens selbst der Glaube an die Verankerung des Einzelmenschen in der menschlichen Gesellschaft —: beim Proletariat wird diese Verankerung auf die unpersönlichen Faktoren des Wirtschaftslebens geschoben — man will nicht auf andere Menschen gestützt sein = Hervorgebracht ist das rein ökonomische Denken innerhalb der bürgerl. intellektuellen Kreise; die proletarischen haben dies übernommen—: sie wollen aber das Wirtschaftsleben weiter politisieren, statt es von der bereits eingetretenen Politisierung zu befreien.

*

WELCHEN SINN HAT DIE ARBEIT
DES MODERNEN PROLETARIERS?
Konzept für den öffentlichen Vortrag vom 8. März 1919 in Zürich
1. Als dieser Vortrag angekündigt wurde, wird mancher gefragt haben: woher kommt dieser, der da reden will? Und aus der Antwort, die aus verschiedenen Gesichtspunkten darauf gegeben wurde, könnte die Meinung entstanden sein : von dieser Seite hat man genug gehört.
2.  Ich werde nicht von Verständigung reden. Denn ich bin mit denen einverstanden, die nichts von dem halten, was von vielen Seiten jetzt um der Verständigung willen geredet wird.
3.  Durch mehr als ein halbes Jahrhundert konnten die bisher herrschenden Menschenklassen sehen, wie sich eine Bewegung gestaltete, die in sich Menschen vereinigte, welche ihnen zuriefen : ihr habt im Laufe der neueren Zeit die Führung gehabt, was da ist als soziale Ordnung : ihr habt es gemacht. Doch wir sagen euch : so geht es nicht weiter. Doch die so gerufen haben: sie haben wenig Verständnis gefunden. Und jetzt: der sogenannte Weltkrieg. Er hat diese Bewegung in einem neuen Lichte gezeigt. Er hat aber auch das Unvermögen gezeigt, mit den Gedanken, welche sich die herrschenden Klassen über die Gesellschaft gebildet haben, weiter zu wirtschaften. Die soziale Bewegung während dieser Katastrophe.
4.  Es sind Bewegungen innerhalb dieser führenden Klassen entstanden. Unter den verschiedensten Namen. Doch ihnen allen konnten diejenigen, welche durch ihre soziale Lage selbst zur Entwickelung einer sozialen Bewegung gekommen waren, kein Vertrauen entgegenbringen. Sie mußten ihnen sagen: ihr denkt aus eurer Klasse heraus. Was gedacht werden muß zur Gesundung der Zustände, kann nicht von denen gefunden werden, welche an der Gestaltung dieser Zustände mitgewirkt haben. Nur diejenigen können eine Vorstellung von dem haben, was zu geschehen hat, die nicht von euren Vorurteilen angesteckt sind, die belehrt sind durch dasjenige, was ihnen ihre soziale Lage lehren kann.
5.  Wie sich die Verhältnisse gebildet haben. Der moderne Proletarier hat sich eine Wissenschaft ausgebildet. Die leitenden Kreise haben sich nur langsam zu manchem bequemt.
6.  Die Frage nach der Bedeutung der menschlichen Arbeitskraft steht hinter allem. Sie steckt so dahinter, daß sie eine Frage der Menschenwürde ist. Die Arbeitskraft als Ware.
7.  Allein da muß die Sache in der richtigen Weise angesehen werden. Es muß gesehen werden, daß die Arbeitskraft niemals eine Ware sein kann. Und weil man sie dazu gemacht hat, steckt man in einer Lebenslüge. — Der Arbeiter sieht sich dem Kapitalbetrieb gegenüber und einem Wirtschaftsleben, das seine Arbeitskraft zur Ware macht.
8. Es ist, um diese Lebenslüge aufrecht zu erhalten, oft davon gesprochen worden : Thron und Altar müssen die soziale Ordnung erhalten. Aber wird dem, was bedrückt, abgeholfen, wenn an die Stelle tritt: Maschine und Kontor?
9.  Wird ein Gedeihliches kommen, wenn dem modernen Staate als Rahmen ein anderes Wirtschaftssystem eingefügt wird?
9 a. Alles Vertrauen wird der Organisierung des Wirtschaftslebens entgegengebracht. Man frägt nur : wie soll dieses sozialisiert werden?
10. Es kann nur helfen: die Gliederung des sozialen Organismus. Nicht die Verschmelzung. Eingesehen muß werden : die Tatsache, daß Geistesleben nur gedeihen kann, wenn es befreit ist. Rechtsleben, wenn es nicht von den Interessen des Wirtschaftskreislaufes bestimmt wird. Wirtschaftsleben nur, wenn es nicht Gewalt entwickeln kann, weil es auf sich selbst angewiesen ist.

1. Das Kapital kann nur in einem freien Geistesleben wirken. Denn es ist nicht durch das Wirtschafts- oder das Rechtsleben zu dem geworden, was es ist, sondern durch die individuellen Fähigkeiten der Menschen. Die Arbeitskraft kann nur von dem Rechtsstaate aus geregelt werden, denn sie wird zur Beute der Gewalt, wenn nur das Wirtschaftsleben sie regelt.
2. Es kommt darauf an zu verstehen: umzudenken ist notwendig. —