- pages html, trad. F. Germani, v.01,
2019 - 2021
Table des matières
À propos de cette
édition
13
I. L'âme humaine dans le
royaume du suprasensible et
son rapport au corps
- Bâle, le 18 octobre 1917
.....................................................15
L'effet de l'incertitude
des connaissances sur la vie de l'âme humaine. La
relation entre mort et conscience. Une déclaration de
Karl Fortlage et lacritique de Eduard von Hartmann sur
cela. Les limites de la connaissance de la nature,
montrées par Du Bois-Reymond. Deux textes de Th.
Vischer sur les lieux frontières de la connaissance.
Gideon Spicker sur la «nécessité de la pensée". La
relation entre l'animique-spirituel et le corporel. La
lutte de Franz Brentano
pour la
reconnaissance de cette relation. L'enseignement de
Goethe sur la métamorphose appliquée à la vie de l'âme
humaine. La nécessité de la science de l'esprit pour
une connaissance réelle de la vie sociale.
II. L' anthroposophie ne
gène en rien les croyances religieuses
- Bâle, le 19 Octobre 1917
...............................................
64
Le complément de la science
de la nature par une science de l'esprit xigé par les
conditions d'époque. Les raisons pour l'ancienne
conservation secrète de la connaissance occulte et
l'actuelle aspiration à la sphère publique. Discipline
spirituelle intérieure et pensée conforme à la
réalité. Une façon de voir riche en esprit, mais
étrangère à la réalité de James Dewar sur l'avenir de
la terre. L'anthroposophie n'est pas en soi une
religion, mais éveille de la compréhension pour les
religions. Déclarations de la psychologue Ebbinghaus
sur la peur en tant que producteur de la religion. Un
texte de Mgr John Ireland sur le religieux dans notre
temps. Anthroposophie ne dérange la confession
religieuse de personne.
III. Résultats de recherche
en science de l'esprit
(anthroposophique) sur
l'éternel dans l'âme humaine et
sur l'essence de la liberté - Bâle,
23 Novembre 1917
.......................................
107
La science de la nature
éloigne de la question de l'immortalité et de la
question de la liberté de l'humain.
Les recherches de Max Rubner et W. O. Atwater sur
relation entre l'énergie des aliments et consommation
d'énergie par le travail. La loi de conservation de
l'énergie. Pour la connaissances de science de
l'esprit le réveil de nouvelles facultés est
nécessaire. La volatilité de la vision spirituelle et
la nécessité de conversion des résultats en concepts.
Certaines propriétés de la vision spirituelle.
L'omission de la vie des sensations dans la
psychologie de Theodor Ziehens. Le rapport entre la
vie de l'âme tri-articulée et la vie du corps
tri-articulé. Le pendant entre les trois forces de
l'âme et les trois sortes de connaissance supérieures.
Le concept de liberté de la sciences de l'esprit. La
réplique de Goethe sur Albrecht sur l'attitude
agnostique de von Haller .
IV La science du
suprasensible et les idées morales-sociales
- Bâle, 24 Novembre 1917
..............................................................150
L'impossibilité de saisir
la vie avec des concepts de science de la nature
présentée par Oscar Hertwig. L'irruption de la
conscience de rêve et de sommeil dans la vie de jour
éveillée. La signification d'une vraie connaissance de
l'essence du rêve et de sommeil pour la science
sociale. La tentative de Spencer Herbert de
comprendre le système politique par
la comparaison avec le développement embryonnaire de
l'humain. Une erreur de Friedrich Schiller en ce qui
concerne l'avenir. Deux texte Herman Grimm
l'observation de l'histoire. La validité des théories
de Marx pour les contextes du passé, et la nécessité
de l'éveil à de nouvelles idées sociales . Le besoin
d'une pédagogie vivante, coulant d'une connaissances
de science de l'esprit. Un livre de Roman Boos comme
exemple d'une saisie conforme enregistrement au
problèmes de la vie de droit. Sur un livre de Brooks
Adams. Une déclaration de Goethe sur l'histoire.
V. L'action des forces de l'âme dans
l'humain et leur rapport à son essence
éternelle - Berne,
28 novembre
1917
...............................
187
L'éloignement nécessaire de
la science de la nature des question de base de
la vie humaine. Le retour à elles par la science de
l'esprit. L'exploration de l'âme par médiumisme et
somnambulisme et le chemin opposé de la science de
l'esprit. Exercice des forces de connaissance par des
exercices de rétrospective. L'impossibilité de la
vérification de connaissances spirituelles par des
expériences extérieures. Particularités de la
recherche de l'esprit. Action destructrice des âmes de
décédés à la suite de leurs foi matérialistes pendant
la vie terrestre. Différentes objections à la science
de l'esprit. Richard Wahle sur l'inutilité de la
philosophie. Conception du monde de Goethe comme point
de départ pour recherche en recherche de l'esprit
actuelle. Sa réplique à un poème agnostique de
Albrecht von Haller.
VI - Résultats de la recherche de
science de l'esprit sur les idées de
liberté et de vie sociale et morale -
Berne 30 novembre 1917
...................231
Le mouvement de science de
l'esprit comme le contraire d'une formation de sectes.
Une tentative d'Herbert Spencer de transférer des
idées de science de la nature sur la vie sociale. La
signification du sommeil pour notre conscience de soi.
Vie du sentiment et de la volonté comme une
continuation de la conscience de rêve et de sommeil.
Connaissance de ces relations chez Frederich Theodor
Vischer et Theodor Ziehen. Une théorie de Dewar comme
un exemple de correct selon la science de la nature,
mais pas vraiment penser conforme à la réalité. La
parenté des impulsions socio-morales avec la vie de
rêve. Un pressentiment de ce rapport chez Herman
Grimm. La validité de la théorie de l'histoire de Karl
Marx pour le passé, pas pour l'avenir. Le livre de
Roman Boos "Le contrat de travail global » comme début
d'une contemplation des problèmes sociaux conforme à
la réalité. Exclusion théorique de la liberté humaine
par fausse comparaisons de l'organisme naturel avec
l'État chez Rudolf Kjellen et la justification d'une
telle liberté par observation de science de l'esprit.
Un texte de Goethe sur l'histoire.
VII L'essence de
l'âme humaine et la nature du
corps humain - Bâle, 30 Octobre 1918
274
Incapacité de la
psychologie moderne, de répondre à des questions de
vie plus profondes. Efforts infructueux de Franz
Brentano. La psychologie moderne travaille avec de
vieux concepts. Nouvelles méthodes de recherche sont
nécessaires: une formation systématique de la
pensée.Connaissance de l'irréalité de la
représentation.Surmonter la phrase de Descartes: «Je
pense, donc je suis." Le sentiment seulement à saisir
de l'interaction de futur et passé dans la vie. La vie
inconsciente en pensées pendant le sommeil et le
réveil en rapport avec l'être-là prénatal. L'essence
de l'impulsion de volonté apparentée avec
l'endormissement et comme germe pour la vie après la
mort.
VIII - Justification
de la connaissance suprasensible par
la science de la nature- Bâle, le 31
Octobre 1918
.
..........................307
L'inadéquation des concepts
de science de la nature pour résoudre l'énigme de la
vie.Discours de Du Bois-Reymond sur des limites de la
connaissance. .La capacité d'aimer comme un obstacle
pour la connaissance des questions de
frontière.Auto-duperie dans l'exploration de sa propre
vie de l'âme.Un exemple de Louis Waldstein. La force
de la mémoire comme un obstacle pour voir à travers
l'essence propre. Un expérience de jeunesse de Rudolf
Steiner se rapportant à cela. La relation du rêve à la
veille et de la veille avec la conscience
suprasensible. La formation supérieure de la capacité
d'aimer.Son rapport avec le style personnel
d'écriture.L a force évocatrice des résultats de la
science moderne de la nature.Un texte de Richard Wahl
là-dessus.
IX.
Justification de la science
de l'âme au sens de l'anthroposophie - Berne,
le 9 Décembre 1918
.......................................................
339
L'incapacité de la façon de
penser de science de la nature, à reconnaître la vie
de l'âme humaine.L'inutilité de la philosophie
actuelle pour la vie, présentée par le philosophe
professionnel Richard Wahle. Les deux limites à la
connaissance de la pensée habituelle. La capacité
d'aimer et la capacité de se rappeler comme causes de
ces limites. Un texte de Louis Waldstein là-dessus.
L'impossibilité à se souvenir du comtemplé selon la
science de l'esprit. Une expérience d'enfance de
Rudolf Steiner. Les sentiments comme résultat d'
expériences passées et futures. La parenté de la
représentation avec le se réveiller, la volonté, de la
vie de volonté avec l'endormissement.
X - Vie morale, sociale et religieuse
du point de vue de l'anthroposophie - Berne,
11 Décembre 1918
376
Un texte d'Alfred Wallace
sur la divergence entre le progrès scientifique et
moral. L'incapacité des grands, des scientifiques de
la nature, de comprendre les lois de la vie sociale
présenté à l'exemple par Oscar Hertwig. L'inutilité de
l'impératif catégorique d'Emmanuel Kant pour la
réalité de la vie. L'apparition d'insuffisances
humaines chez des partisans de la science de l'esprit.
Vaincre de telles insuffisances et percer à des
réponses proches de la réalité aux questions concrètes
de la vie. Un exemple du domaine du social . Sur un
texte du cardinal Newman. Le retrouver de la vraie
religiosité par la science de l'esprit.
Notes
À propos de cette édition
419
Notes sur le texte
420
Index des Noms
434
|
1990 - RUDOLF STEINER VERLAG - DORNACH/SCHWEIZ
Nach vom Vortragenden nicht durchgesehenen
Mitschriften,
herausgegeben von der Rudolf
Steiner-Nachlaßverwaltung
Die Herausgabe besorgte Helmut von Wartburg
1. Auflage, Gesamtausgabe Dornach 1990
Teilausgaben und Veröffentlichungen in Zeitschriften
siehe Seite 419
Bibliographie-Nr. 72
Alle Rechte bei der Rudolf
Steiner-Nachlaßverwaltung, Dornach/Schweiz
© 1990 by Rudolf Steiner-Nachlaßverwaltung,
Dornach/Schweiz
Satz: Utesch, Hamburg/Druck: Konkordia, Bühl/Baden -
Printed in Germany
ISBN 3-7274-0720-4
INHALT
Zu dieser Ausgabe 13
I. Die
Menschenseele im Reiche des Übersinnlichen und ihr
Verhältnis zum Leib - Basel, 18.
Oktober 1917
...............................................15
Die Wirkung der
Erkenntnisunsicherheit auf das menschliche
Seelenleben. Der Zusammenhang zwischen Tod und
Bewußtsein. Eine Äußerung dazu von Karl Fortlage und
Eduard von Hartmanns Kritik daran. Die Grenzen des
Naturerkennens, dargestellt durch Du Bois-Reymond.
Zwei Wortlaute von E Th. Vischer über Grenzorte des
Erkennens. Gideon Spicker über die «Notwendigkeit
des Denkens». Die Beziehung zwischen dem
Seelisch-Geistigen und dem Leiblichen. Franz
Brentanos Ringen um das Erkennen dieser Beziehung.
Goethes Metamorphosenlehre, angewandt auf das
menschliche Seelenleben. Die Notwendigkeit der
Geisteswissenschaft für eine wirkliche Erkenntnis
des sozialen Lebens.
I1.
Anthroposophie stört niemandes religiöses
Bekenntnis - Basel,
19. Oktober 1917 64
Die von den Zeitverhältnissen geforderte
Ergänzung der Naturwissenschaft durch eine
Wissenschaft vom Geiste. Gründe für die frühere
Geheimhaltung okkulter Erkenntnisse und das heutige
Streben nach Öffentlichkeit. Innere Seelendisziplin
und wirklichkeitsgemäßes Denken. Eine geistreiche,
aber wirklichkeitsferne Anschauung von James Dewar
über die Erdenzukunft. Anthroposophie ist selbst keine
Religion, weckt aber Verständnis für die Religionen.
Äußerungen des Psychologen Ebbinghaus über die Furcht
als Erzeuger der Religion. Ein Wortlaut
des Bischofs John Ireland über das Religiöse in
unserer Zeit. Anthroposophie stört niemandes
religiöses Bekenntnis.
III.
Geisteswissenschaftliche (anthroposophische)
Forschungsergebnisse über das Ewige in der
Menschenseele und über das Wesen der Freiheit
- Basel, 23. November
1917.................................. 107
Die
Naturwissenschaft führt weg von der
Unsterblichkeitsfrage und von der Frage nach der
Freiheit des Menschen. Die Forschungen
von Max Rubner und W. O. Atwater über den
Zusammenhang zwischen Nahrungs-Energie und
Energieverbrauch durch Arbeit. Das Gesetz von der
Erhaltung der Kraft. Zur geisteswissenschaftlichen
Erkenntnis bedarf es der Erwekkung neuer
Fähigkeiten. Die Flüchtigkeit der Geistesschau und
die Notwendigkeit, ihre Ergebnisse in Begriffe
umzuwandeln. Einige Eigenschaften der Geistesschau.
Die Vernachlässigung des Gefühlslebens in der
Psychologie Theodor Ziehens. Der Zusammenhang
zwischen dem dreigliedrigen Seelenleben und dem
dreigegliederten Leibesleben. Die Entsprechung
zwischen den drei Seelenkräften und den drei höheren
Erkenntnisarten. Der Freiheitsbegriff der
Geisteswissenschaft. Goethes Entgegnung auf Albrecht
von Hallers agnostizistische Haltung.
IV. Die
Wissenschaft des Übersinnlichen und die
sittlich-sozialen Ideen - Basel,
24. November 1917
.................................................................150
Die Unmöglichkeit,
mit naturwissenschaftlichen Begriffen das Leben zu erfassen,
dargestellt durch Oscar Hertwig. Das
Hereinragen des Traum- und Schlafbewußtseins in das
wache Tagesleben. Die Bedeutung eines wahren
Erkennens vom Wesen des Traumes und des Schlafes für
die Sozialwissenschaft. Herbert Spencers Versuch,
das Staatswesen zu verstehen durch
Vergleich mit der Embryonalentwicklung des Menschen.
Ein Irrtum Friedrich Schillers in bezug auf die
Zukunft. Zwei Wortlaute Herman Grimms über
Geschichtsbetrachtung. Die Gültigkeit der Theorien
von Marx für die Zustände der Vergangenheit, und die
Notwendigkeit des Erwachens zu neuen sozialen
Ideen. Das Bedürfnis nach einer
lebendigen, aus geisteswissenschaftlicher Erkenntnis
fließenden Pädagogik. Ein Buch von Roman
Boos als Beispiel einer wesensgemäßen Erfassung von
Problemen des Rechtslebens. Zu
einem Buche von Brooks Adams.
Ein Ausspruch Goethes über die Geschichte.
V. Das
Wirken der Seelenkräfte im Menschen und ihr
Zusammenhang mit dessen
ewiger Wesenheit
- Bern, 28. November
1917................................. 187
Die notwendige
Abkehr der Naturwissenschaft von den Grundfragen des
Menschenlebens. Die Rückkehr zu ihnen durch die
Geisteswissenschaft. Die
Erforschung des Seelischen durch Mediumismus und
Somnambulismus und der entgegengesetzte Weg der Geisteswissenschaft. Schulung
der Erkenntniskräfte durch
Rückschau-Übungen. Die Unmöglichkeit der Nachprüfung
geistiger Erkenntnisse durch äußere Experimente.
Eigenheiten der Geistesforschung. Zerstörerisches
Wirken der Seelen Verstorbener
als Folge ihres materialistischen Glaubens während
des Erdenlebens. Verschiedene Einwände gegen die
Geisteswissenschaft. Richard Wahle über die
Nutzlosigkeit der Philosophie. Goethes
Weltanschauung als Ausgangspunkt für heutige
Geistesforschung. Seine Entgegnung auf ein
agnostisches Gedicht von
Albrecht von Haller.
VI -.
Geisteswissenschaftliche Ergebnisse über die Ideen
der Freiheit und des
sozial-sittlichen Lebens -
Bern, 30. November
1917.............................. 231
Die
geisteswissenschaftliche Bewegung als das Gegenteil
einer Sektenbildung. Ein
Versuch Herbert Spencers, naturwissenschaftliche
Ideen auf das soziale Leben zu übertragen. Die
Bedeutung des Schlafes für unser Ich-Bewußtsein.
Gefühls- und Willensleben
als Fortsetzung des Traum- und Schlafbewußtseins.
Erkenntnisse über diese Zusammenhänge bei Friedrich
Theodor Vischer und Theodor Ziehen.
Eine Theorie von Dewar als
Beispiel naturwissenschaftlich richtigen, aber nicht
wirklichkeitsgemäßen Denkens. Die Verwandtschaft der
sozial-sittlichen Impulse mit dem Traumesleben. Eine
Ahnung von diesem Zusammenhang
bei Herman Grimm. Die Gültigkeit der
Geschichtstheorie von Karl Marx für die
Vergangenheit, nicht für die Zukunft. Das Buch von
Roman Boos «Der Gesamtarbeitsvertrag» als Anfang
einer wirklichkeitsgemäßen Betrachtung sozialer
Probleme. Theoretisches Ausschließen der
menschlichen Freiheit durch falsches Vergleichen des
natürlichen Organismus mit dem Staate bei Rudolf
Kjellen und die Begründung solcher Freiheit durch
geisteswissenschaftliches Betrachten. Ein Wortlaut
Goethes zur Geschichte.
-
Das
Wesen der Menschenseele und die Natur des
Menschenleibes - Basel,
30. Oktober 1918 ............................274
Unfähigkeit der
modernen Psychologie, die tieferen Lebensfragen zu
beantworten. Vergebliche Bemühungen des Franz
Brentano. Die moderne Psychologie arbeitet mit alten
Begriffen. Neue Forschungsmethoden notwendig:
systematische Ausbildung des Denkens. Erkenntnis von
der Unwirklichkeit des Vorstellens. Überwindung des
Satzes von Cartesius: «Ich denke, also bin ich.» Das
Fühlen nur zu erfassen aus dem Zusammenwirken von
Zukunft und Vergangenheit im Leben. Das unbewußte
Leben in Gedanken während des Schlafes und das
Aufwachen im Zusammenhang mit dem vorgeburtlichen
Dasein. Das Wesen des Willensimpulses verwandt mit
dem Einschlafen und als Keim für das nachtodliche
Leben.
VIII - Rechtfertigung der
übersinnlichen Erkenntnis durch die
Naturwissenschaft -
Basel, 31. Oktober 1918
........................................307
Die Untauglichkeit
naturwissenschaftlicher Begriffe für das Lösen der
Lebensrätsel. Du Bois-Reymonds Rede von den
Erkenntnisgrenzen. Die Liebefähigkeit als Hinderung
für die Erkenntnis der Grenzfragen.
Selbsttäuschungen beim Erforschen des eigenen
Seelenlebens. Ein Beispiel von Louis Waldstein. Die
Gedächtniskraft als Hinderung für das Durchschauen
der eigenen Wesenheit. Ein diesbezügliches
Jugenderlebnis Rudolf Steiners. Das Verhältnis des
Träumens zum Wachen und des Wachens zum
übersinnlichen Bewußtsein. Die höhere Ausbildung der
Liebefähigkeit. Ihr Zusammenhang mit der
persönlichen Art des Schreibens. Die Bildhaftigkeit
der Ergebnisse moderner Naturwissenschaft. Ein
Wortlaut dazu von Richard Wahle.
IX -
Rechtfertigung der Seelenwissenschaft im Sinne der
Anthroposophie - Bern, 9. Dezember 1918
.......................................339
Die Unfähigkeit der
naturwissenschaftlichen Denkart, das menschliche
Seelenleben zu erkennen. Die Unbrauchbarkeit der
heutigen Philosophien für das Leben, dargestellt
durch den Fachphilosophen Richard Wahle. Die beiden
Erkenntnisgrenzen des gewöhnlichen Denkens. Die
Fähigkeit zur Liebe und die Fähigkeit zur Erinnerung
als Ursachen dieser Grenzen. Ein Wortlaut dazu von
Louis Waldstein. Die Unmöglichkeit,
geisteswissenschaftlich Geschautes zu erinnern. Ein
Jugenderlebnis Rudolf Steiners. Die Gefühle als
Ergebnis vergangener und zukünftiger Erlebnisse. Die
Verwandtschaft des Vorstellens mit dem Aufwachen,
des Willenslebens mit dem Einschlafen.
X -
Sittliches, soziales und religiöses Leben vom
Gesichtspunkte der Anthroposophie
- Bern, 11. Dezember 1918
...................................376
Ein Wortlaut von
Alfred Wallace über das Auseinanderklaffen von
naturwissenschaftlichem und moralischem Fortschritt.
Die Unfähigkeit großer Naturwissenschafter, die
Gesetze des sozialen Lebens zu verstehen, dargelegt
am Beispiel von Oscar Hertwig. Die Unbrauchbarkeit
des kategorischen Imperativs von Immanuel Kant für
die Lebenswirklichkeit. Das Auftreten menschlicher
Unzulänglichkeiten bei Anhängern der
Geisteswissenschaft. Die Überwindung solcher
Unzulänglichkeiten und das Durchstoßen zu
wirklichkeitsnahen Antworten auf konkrete
Lebensfragen. Ein Beispiel aus dem Bereich des
Sozialen. Zu einem Wortlaut von Kardinal Newman. Das
Zurückfinden zu wahrer Religiosität durch
Geisteswissenschaft.
Hinweise
Zu dieser Ausgabe
419
Hinweise zum Text
420
Namenregister 434
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