Le début
correspond avec la précédente
deuxième version imprimée,
seulement les parties paragraphe 2 à la
page 353 et paragraphe 2 page
356 interviennent d’abord dans
la deuxième version. La fin de la
première version est :
L’Europe du centre peut quand elle
veut, oeuvrer dans le sens de ces
trois fondements, et son action
deviendra un programme des faits. Elle
agira ainsi quand elle opposera un
programme factuel à la libération de
l’humanité du programme
d’éblouissement wilsonien-Entente. Un
tel programme n’est pas radical dans
le sens où on s’effraye dans certains
cercles devant chaque radicalisme. Il
est bien plus seulement une expression
pour les faits, lesquels veulent se
réaliser par leur propre force en
Europe du centre. Ils devraient être
réalisés en pleine conscience, pas
tenus cachés, et dans le brouillard
des buts Entente-Wilson quand même
aspiré vers leur réalisation par leur
nature propre et par là être
corrompus.
La réalisation ne se passera jamais
quand cela que l’Europe du centre doit
vouloir reste recouvert par le
non-naturel mélange du politique,
économique et des universels intérêts
humains.
Car les rapports politiques exigent
quand ils doivent prospéré, le conservatisme
dans le sens du maintien et de
l’aménagement de la structure d’État
devenue par l’histoire. Contre ce
conservatisme regimbent les intérêts
économiques et universels de
l’humanité seulement aussi longtemps
qu’ils ont à souffrir de lui. S’arrête
cette souffrance, alors ils se
réconcilient avec lui, parce qu’ils
apprennent à reconnaître sa nécessité.
Les rapports économiques exigent pour
leur prospérité l’opportunisme,
qui met sur pied son ordonnance
d’après son essence propre. Cela doit
conduire à des conflits quand les
mesures économiques se tiennent en
rapport avec des exigences politiques
ou universelles-humaines et que ce
rapport est un tel qui contrarie le
développement économique.
Les rapports universels humains et
des peuples exigent dans le sens du
présent et de l’avenir la liberté
individuelle de l’humain.
L’humain doit pouvoir se reconnaître à
un peuple, à une communauté
religieuse, à un autre
contexte/rapport, qui dépend de ses
aspirations universellement humaines,
sans qu’il ne soit retenu dans cette
reconnaissance par ses contextes
politiques ou économiques par la
culture d’État.
Là-dessus il s’agit de reconnaître que
toutes formes de structure d’État
comme devenu historiquement sont
capables de réaliser la libération de
l’humanité quand elles sont rendues
attentives à cela par leur propre
intérêt de ne pas purement servir
l’égoïsme de race. La représentation
parlementaire d’un peuple aimerait
être souhaitable à partir des bases de
l’évolution du temps, elle ne change
pas aux rapports, qui ont conduit dans
le présent chaos quand dans ce
parlement les intérêts politiques, les
économiques et les universels humains
se gênent perpétuellement. Et l’Europe
du centre aspire d’après son essence,
vers là, d’exclure de telles gênes.
Aucune Entente, aucun but wilsonien ne
peuvent s’affirmer vis-à-vis de la
force, qui repose dans la réalisation
des instincts de liberté centre
européens par l’Europe du centre.
Car ces instincts de liberté sont le
germe des libertés des peuples
européens, pas les idées wilsoniennes.
Reconnaître et accueillir le
législatif, l’administration et la
structure sociale, la séparation du
politique, économique, universel
humain comme but de l’aspiration
centre européenne, cela paralyse les
forces des puissances occidentales,
cela les contraint à côté
des forces centrales européennes, dans
cette association avec l’Europe de
l’Est à se reconnaître à une paix, qui
laisse ces forces occidentales se
limiter là-dessus à se chercher la
structure sociale qui leur est
appropriée dans le domaine de leurs
instincts nationaux, et de laisser les
Européens de l’est et du centre vivre
leurs particularités nationales dans
le sens d’une véritable libération de
l’humanité aussi à l’intérieur de
l’espace étant devenu historiquement
le leur.
Le parlementarisme qui est nécessaire
pour l’Europe centrale, se présentera
quand on ne le regardera plus comme le
premier, mais comme la suite, comme
elle doit en sortir, quand on
reconnaît comme premier la séparation
dans le politique-militaire,
que son apport aux autres états
s’ordonne justement ainsi comme les
exigences de la culture nationale
intérieure d’après son essence – dans
l’économique, ce qui sera
ordonné d’après sa nature propre
opportunément, cela signifie sera
représenté et administrer donnant des
lois dans se sens -, et dans l’universel-humain,
qui est construit sur les
corporations, auxquelles l’humain se
reconnaît dans le sens de sa propre
libre sensation.
L’abstraite union des peuples avec
ses tribunaux arbitraux utopiques ne
pourrait conduire à rien d’autre comme
à la majoration perpétuelle de
l’Europe centrale par les autres
États. L’ordonnance des rapports en
Europe du centre dans le sens de la
séparation des forces conduit au
perpétuel équilibrage des intérêts
d’humanités ancrés dans les peuples.
Avec l’union des nations wilsoniennes
on crée des institutions lesquelles
doivent souffrir sous le malheur, sous
lequel constamment sera souffert quand
d’humains souhaits abstraits
seront imposés aux faits, avec
ceux-là, après lesquels presse
l’entière essence des peuples centre
et est européens, on ne crée pas de
telles institutions, mais on libère
avec cela ce qui libéré doit conduire
dans le sens du développement
paisible, non libéré à des conflits
guerriers.
Une situation future de l’humanité on
ne peut la créer par des institutions,
comme Wilson et l’Entente veulent,
mais elle apparaîtra, quand on donne
la liberté aux faits par lesquels elle
peut apparaître.
Apparaîtrait à la place la formule de
paix wilsonnienne-Entente, ce qui est
sans masque l’essence de cette
formule, ainsi en sortirait ce qui
suit :
« Nous anglo-Américains voulons
que le monde devienne ce que nous
lui souhaitons ; dans ce vœu
l’Europe du centre a à
s’insérer » - Cette formule de
paix non masquée montre que l’Europe
du centre devait être entrainée dans
la guerre. L’entente vaincrait elle,
ainsi l’évolution de l’Europe centrale
serait éteinte.
L’Europe centrale ajoute t’elle à
l’invulnérabilité de ses armes comme
offre de paix vis-à-vis du monde la
plus absolue intention de réalisé ce
que seule l’Europe du centre peut
réaliser en Europe, la libération
nationale par la libération des
humains, alors cette Europe centrale
peut opposer aux racontars de
« droits et liberté des
peuples » la vraie parole
factuelle : « Nous luttons
pour notre droit et notre liberté. Et
la réalisation de ces biens de
l’humanité, que nous ne pouvons et
voulons nous laisser prendre, ne nuit
par sa propre essence à aucun doit
réel et aucune liberté des
autres ; car, ce que nous voulons
devenir, portera la garantie pour cela
en soi même.
Puissiez-vous peuples de l’ouest vous
accorder avec nous sur cette base et
reconnaissez-vous peuples de l’ouest,
que nous ne voulons rien d’autre que
vous-même, si vous vous comprenez
d’abord correctement vous-même -, alors
la paix est possible demain. »
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Der Anfang stimmt
mit der
vorstehend abgedruckten zweiten
Fassung überein, nur treten
die Abschnitte Absatz 2 auf Seite
353 und Absatz 2 auf Seite
356 erst in der zweiten
Fassung auf. Der Schluß der ersten
Fassung lautet:
Mitteleuropa kann, wenn es will, im
Sinne dieser drei Grundlagen handeln,
und sein Handeln wird ein
Tatsachenprogramm sein. Es wird so
handeln, wenn es ein sachliches
Programm der Menschheitsbefreiung dem
Entente-Wilsonschen Blendprogramme
entgegenstellt. Ein solches Programm
ist nicht radikal in dem Sinne, in dem
man in gewissen Kreisen vor jedem
Radikalismus erschrickt. Es ist
vielmehr nur ein Ausdruck für die
Tatsachen, welche sich durch ihre
eigene Kraft in Mitteleuropa
verwirklichen wollen. Sie sollten mit
vollem Bewußtsein verwirklicht werden,
nicht verborgen gehalten werden, um im
Nebel der Entente-Wilson-Ziele doch
ihrer Verwirklichung durch ihre eigene
Natur entgegenzustreben und dadurch
korrumpiert zu werden.
Die Verwirklichung wird nie
geschehen, wenn das, was Mitteleuropa
wollen muß, verdeckt bleibt, durch die
unnatürliche Vermischung von
politischen, wirtschaftlichen und
allgemeinen Menschheitsinteressen.
Denn die politischen Verhältnisse
fordern, wenn sie gedeihen sollen, den
Konservatismus im Sinne der
Erhaltung und des Aufbaues der
historisch gewordenen Staatsgebilde.
Gegen diesen Konservatismus sträuben
sich die wirtschaftlichen und die
allgemeinen Menschheitsinteressen nur
so lange, als sie von ihm zu leiden
haben. Hört dieses Leiden auf, dann
versöhnen sie sich mit ihm, weil sie
seine Notwendigkeit einsehen lernen.
Die wirtschaftlichen Verhältnisse
fordern zu ihrem Gedeihen den Opportunismus,
der ihre Ordnung nur nach ihrem
eigenen Wesen zustande bringt. Es muß
zu Konflikten führen, wenn die
wirtschaftlichen Maßnahmen im
Zusammenhang stehen mit politischen
oder allgemein-menschlichen
Anforderungen und dieser Zusammenhang
ein solcher ist, der die
wirtschaftliche Entwickelung
durchkreuzt.
Die allgemein-menschlichen und die
Verhältnisse der Völker fordern im
Sinne der Gegenwart und der Zukunft
die individuelle Freiheit des
Menschen. Der Mensch muß sich zu einem
Volke, zu einer Religionsgemeinschaft,
zu einem anderen Zusammenhange, der
mit seinen allgemein-menschlichen
Aspirationen zusammenhängt, bekennen
können, ohne daß er in diesem
Bekenntnis von seinem politischen oder
wirtschaftlichen Zusammenhange durch
die Staatsstruktur abgehalten wird.
Darauf kommt es an, einzusehen, daß alle
Formen der Staatsstruktur als
historisch Gewordenes fähig sind, die
Menschheitsbefreiung durchzuführen,
wenn sie durch ihr eigenes Interesse
darauf angewiesen sind, nicht bloß dem
Rassenegoismus zu dienen. Eine
parlamentarische Vertretung eines
Volkes mag aus Gründen der
Zeitentwickelung wünschenswert sein,
sie ändert an den Verhältnissen, die
in das gegenwärtige Chaos geführt
haben, nichts, wenn in diesem
Parlamente die politischen, die
wirtschaftlichen und die
allgemein-menschlichen Verhältnisse
sich fortwährend stören. Und
Mineleuropa strebt seinem Wesen nach
dahin, solche Störung auszuschließen.
Keine Entente, keine Wilsonschen Ziele
können aufkommen gegenüber der Kraft,
die in der Verwirklichung der
europäischen Freiheitsinstinkte durch
Mitteleuropa liegt. Denn diese
Freiheitsinstinkte sind der Keim der
europäischen Völkerfreiheiten, nicht
die Wilsonschen Ideen.
Die Gesetzgebung, Verwaltung und
soziale Struktur, die Trennung des
Politischen, Wirtschaftlichen,
Allgemein-Menschlichen als Ziel des
mitteleuropäischen Strebens anerkennen
und annehmen, das paralysiert die
Westmächtekräfte, das zwingt sie,
neben den europäischen Mittelmächten,
in deren Verein mit Osteuropa zu einem
Frieden sich zu bekennen, der diese
Westmächte sich darauf beschränken
läßt, im Gebiete ihrer Volksinstinkte
sich die soziale Struktur zu suchen,
die ihnen angemessen ist, und die
Mittel- und Osteuropäer, ihre
Völkergemeinsamkeiten sich im Sinne
wirklicher Menschheitsbefreiung auch
innerhalb des ihnen historisch
gewordenen Raumes ausleben zu lassen.
Der Parlamentarismus, der für
Mitteleuropa nötig ist, wird sich
ergeben, wenn man nicht mehr ihn als
das erste ansieht, sondern als die
Folge, wie sie herauskommen muß, wenn
man als erstes anerkennt die Trennung
in das Politisch-Militärische, das
sich sein Verhältnis zu anderen
Staaten nach seinem Wesen ebenso
ordnet, wie die Anforderungen der
inneren Volksstruktur - in das Wirtschaftliche,
das nach seiner eigenen Natur
opportunistisch geordnet wird, das
heißt in diesem Sinne gesetzgeberisch
vertreten und verwaltet wird -, und in
das Allgemein-Menschliche, das
auf die Korporationen aufgebaut ist,
zu denen sich der Mensch im Sinne
seiner eigenen freien Empfindung
bekennt.
Der abstrakte Völkerbund mit seinen
utopistischen Schiedsgerichten könnte
zu nichts anderem führen, als zu der
fortdauernden Majorisierung
Mitteleuropas durch die anderen
Staaten. Die Ordnung der Verhältnisse
in Mitteleuropa im Sinne der
Kräftetrennung führt zu dem
fortdauernden Ausgleich der in den
Völkern verankerten
Menschheitsinteressen. Mit dem
Wilsonschen Völkerbunde schafft man
Einrichtungen, welche unter dem
Unheile leiden müssen, unter dem stets
gelitten wird, wenn menschliche Wunschabstraktionen
den Tatsachen aufgedrängt werden; mit
demjenigen, wonach die ganze Wesenheit
der mittel- und osteuropäischen Völker
drängt, schafft man nicht solche
Institutionen, sondern man befreit
damit dasjenige, was befreit im Sinne
der friedlichen Entwickelung,
unbefreit zu kriegerischen Konflikten
führen muß. Einen künftigen Zustand
der Menschheit kann man nicht durch
Einrichtungen schaffen, wie Wilson und
die Entente wollen, sondern er wird
entstehen, wenn man den Tatsachen ihre
Freiheit gibt, durch die er entstehen
kann.
Träte an die Stelle der
Entente-Wilsonschen-Friedensformel,
was ohne Maske das Wesen dieser Formel
ist, so käme das folgende heraus:
«Wir Anglo-Amerikaner wollen, daß die
Welt werde, wie wir sie
wünschen; in diesen Wunsch hat sich
Mitteleuropa zu fügen.» - Diese
unmaskierte Friedensformel zeigt, daß
Mitteleuropa in den Krieg getrieben
werden mußte. Siegte die Entente, so
wäre Mitteleuropas Entwickelung
ausgelöscht.
Fügt Mitteleuropa zur Unbesiegbarkeit
seiner Waffen als Friedensangebot
gegenüber der Welt die
unbedingteste Absicht, zu
verwirklichen, was nur Mitteleuropa in
Europa verwirklichen kann, die
Völkerbefreiung durch die
Menschenbefreiung, dann kann dieses
Mitteleuropa dem Gerede von «dem
Rechte und der Freiheit der Völker»
das tatsächliche wahre Wort
entgegensetzen: «Wir kämpfen für unser
Recht und unsere Freiheit.
Und die Verwirklichung dieser
Menschheitsgüter, die wir uns nicht
nehmen lassen können und wollen,
beeinträchtigt durch ihr eigenes Wesen
kein wirkliches Recht und keine
Freiheit des anderen; denn, was wir
wollen werden, wird die Bürgschaft
dafür in sich selbst tragen.
Könnt ihr Westvölker euch auf dieser
Grundlage mit uns verständigen und
seht ihr Ostvölker ein, daß wir nichts
anderes wollen als ihr selbst, wenn
ihr euch erst recht selbst versteht -,
dann ist morgen der Friede
möglich.»
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