Les porte-parole de l’Entente
avancent sous les raisons pour
lesquelles ils doivent poursuivre la
guerre, qu’ils ont été agressés par
l’Allemagne. Ils prétendent de ce fait
qu’ils doivent amener l’Allemagne dans
une absence de pouvoir telle que
dorénavant lui soit retirée chaque
possibilité de réaliser une agression.
Dans cette forme d’une sorte
d’accusation morale contre l’Allemagne
seront nébuleusement plongées toutes
autres causes de cette guerre.
Il est incontestable que vis-à-vis de
cette accusation l’Allemagne est
placée dans la nécessité, d’établir de
manière toute nue, comment elle a été
entraînée dans la guerre. À la place
de cela on a jusqu'à présent seulement
de doctrinaires explications des
causes de la guerre, qui ainsi font
l’impression comme les conclusions
d’un professeur, qui ne raconte pas ce
qu’il a vu, mais qui expose des
documents ce qui s’est présenté à lui
sur des évènements lointains. Car
ainsi sont tenus tous les exposés du
Chancelier du Reich sur les évènements
du déclenchement des hostilités.
Mais de telles explications sont
inappropriées à faire un effet. On les
récuse simplement en ce qu’on leur
oppose de l’injustifié ou aussi autre
chose de justifié.
Raconterait-on par contre simplement
les faits, ainsi se présenterait ce
qui suit :
1. L’Allemagne n’était pas prête en
l’été 1914 à saisir l’initiative pour
une guerre.
2. L’Autriche-Hongrie était depuis
longtemps placée dans la nécessité,
d’entreprendre quelque chose, afin que
le danger menaçant agissait contre
elle d’être réduite par coalition des
Slaves du sud sous la conduite des
Serbes extra autrichiens du sud-est.
On peut tranquillement admettre que
l’assassinat de l’archiduc François
Ferdinand et toute l’histoire
d’ultimatum n’étaient qu’un prétexte.
Ce prétexte n’aurait-il pas été saisi,
ainsi à la prochaine occasion aurait
du en être saisi un autre. L’Autriche
n’aurait justement pas pu rester
l’Autriche, si une quelconque chose
n’était faite pour la sécurisation de
ses provinces du sud-est ou en amenant
la question slave à solution par un
vaste autre acte. Mais à cet autre
acte, la politique autrichienne
s’était vidée de tout son sang depuis
1879. Mieux dit : elle s’était
vidée de son sang à cela que cet acte
n’avait pu être trouvé.
On ne pouvait justement pas devenir
maître de la question slave. Aussi
loin que vient en considération
l’origine de la guerre
austro-hongroise, et avec cela aussi à
l’Allemagne, laquelle participation
avait à se faire, parce qu’elle ne
pouvait laissé l’Autriche-Hongrie en
plan sans devoir craindre qu’après
quelques années sans participation à
l’alliance autrichienne l’entente
s’affronte -, aussi loin doit être
reconnu que la question slave contient
la raison de l’origine de cette
guerre. L’« autre acte » est
donc la solution internationale de la
question slave. Elle est exigée par
l’Autriche, pas par la Russie. Car la
Russie pourra toujours lancer son
caractère fondamentalement slave dans
le plateau de balance de la solution.
L’Autriche-Hongrie peut
seulement opposer à ce poids la libération
des Slaves de l’ouest. Cette
libération peut seulement aller de soi
sous le point de vue de
l’autonomisation de toutes les
branches de vie des peuples qui
concernent l’existence nationale et
tout ce qui en dépend. On n’a pas le
droit de reculer d’effroi devant la pleine
liberté dans le sens de
l’autonomisation et fédéralisation de
la vie des peuples. Cette
fédéralisation est préfigurée dans la
vie étatique fédérale allemande, qui
dans une certaine mesure est un modèle
préformé par l’histoire pour ce qui en
Europe du centre doit être formé
jusqu'à pleine formation
fédérale-libre de tous les apports de
vie qui ont leur impulsion dans les
humains eux-mêmes, donc ne sont pas
dépendant immédiatement, comme les
rapports politiques-militaires, des
conditions géographiques, et, comme
les économiques, des
opportunistes-géographiques. Le
façonnement de ces rapports ne
surviendra alors seulement de manière
saine quand le national sera accouché
à partir de la liberté, pas la liberté
à partir du national.
Aspire-t-on plutôt au dernier qu’au
premier, ainsi on se place sur le sol
du devenir de l’histoire du monde.
Veut-on le dernier ainsi on travaille
contre de devenir et pose les raisons
de nouveaux conflits et guerres.
Exiger des hommes d’État dirigeant
d’Autriche qu’ils aient dû pour cela
se dispenser de l’ultimatum aux
Serbes, signifierait exiger d’eux
qu’ils auraient du agir contre
l’intérêt des pays conduits par eux.
Des théoriciens d’une quelconque
couleur peuvent poser une telle
exigence. Un humain qui compte avec
les faits disponibles ne devrait dans
la gravité ne pas parler du tout de
telle chose. Alors, les Slaves du sud
auraient atteint ce que les grands
Serbes dirigeants voulaient, ainsi
l’Autriche dans la forme dans laquelle
elle existe n’aurait pas été à
maintenir sous les actions des Slaves
autrichiens restants. On pourrait
encore se représenter que justement
alors l’Autriche aurait reçu une autre
forme. Mais peut-on exiger d’un homme
d’État autrichien dirigeant d’attendre
résigné une telle issue ? On le
pourrait évidemment seulement, quand
on serait d’avis, qu’il appartient aux
exigences inconditionnelles d’un homme
d’État autrichien, d’être un pacifiste
absolu et d’attendre fatal le destin
de l’Empire. Sous chaque autre
condition, on doit concernant le pas
de l’Autriche comprendre l’ultimatum.
3. L’Autriche aurait-elle maintenant
une fois posé l’ultimatum, alors la
suite des évènements aurait seulement
à retenir, si la Russie s’était
comportée passivement. Aussitôt que la
Russie fit un pas agressif, le reste
n’était à retenir par rien.
4. Aussi vrai, que tout cela est ,
aussi vrai est que chacun, qui compte
avec les faits en Allemagne avait une
sensation indéterminée : quand
une fois les réalisations évoquées
entraient dans un stade critique,
alors il y aurait la guerre. On ne
pourrait aller contre cette guerre.
Et des personnes responsables avaient
l’opinion, on devait, si la guerre
devenait nécessaire, conduire cette
guerre avec toute force. Conduire une
guerre à partir de l’initiative
propre, sûr, personne n’avait cette
intention en Allemagne qui vienne
sérieusement en considération. On peut
prouver à l’Entente qu’elle n’avait
pas la moindre raison de croire à une
agression du côté de l’Allemagne. On
peut la forcer à admettre qu’elle
avait la croyance que sans guerre
l’Allemagne deviendrait si puissante
que cette puissance deviendrait si
dangereuse pour les puissances unies
aujourd’hui dans l’Entente. Mais on
devra faire tout autrement la conduite
de preuves politique de la sorte que
cela ne s’est passé jusqu’à
présent ; car cela n’est pas un
exposé de preuve politique, mais
seulement l’élaboration d’affirmations
politiques, auquel cela peut plaire
aux autres de les trouver brutales. On
croyait du côté des puissances de
l’Entente, quand les choses se
déroulent ainsi, alors on ne peut pas
savoir ce que tout deviendra encore à
partir de l’Allemagne, pour cela
devait venir une guerre avec
l’Allemagne. L’Allemagne pouvait se
placer sur le point de vue : nous
n’avons pas besoin de guerre, mais
nous atteignons sans guerre ce que les
États de l’Entente ne nous laissent
pas devenir ; pour cela nous
devons nous tenir prêt pour cette
guerre et la prendre ainsi, si elle
menace, que nous ne puissions par elle
ne pas pouvoir venir à des dommages.
Tout cela vaut aussi concernant la
question serbe et l’Autriche. Avec la
Serbie, l’Autriche en 1914 ne pouvait
plus finir sans guerre, au moins ce
devait être la conviction de ses
hommes d’État. Mais l’Entente
aurait-elle trouvé qu’on pourrait
laisser l’Autriche-Hongrie en finir
seule avec la Serbie, alors cela
n’aurait pas dû en venir à la guerre
générale. La vraie raison de guerre
n’a pas le droit d’être cherchée chez
les puissances du centre, mais
là-dedans que l’Entente ne voulait pas
laisser les puissances du centre ainsi
comme elles étaient d’après leur
stabilité dans les rapports de force
de 1914. Se serait toutefois passé l’
« autre acte » pensé en haut
avant 1914, alors les Serbes
n’auraient pas développé d’opposition
internationale contre
l’Autriche-Hongrie et tout aussi bien
d’ultimatum que d’ingérence de la
Russie il n’y aurait pu avoir.
Et la Russie se serait-elle tournée à
un moment quelconque à partir de pures
raisons de conquête contre l’Europe
centrale alors elle n’aurait pu
trouver l’Angleterre de son côté. Que
là le sous-marin jusqu'à la guerre a
été un pur moyen de guerre, mais que
l’Amérique sans ce moyen de guerre
n’aurait absolument pas pu venir dans
la guerre avec les puissances du
centre, ainsi n’a besoin pour la
question de la paix d’être prise en
compte seulement l’Angleterre dans le
sens évoqué.
5. Ce qui maintenant devrait être
annoncé au monde est :
a) que l’Allemagne, aussi loin que les
personnalités entrent en
considération, qui sur le
déclenchement des hostilités ont à
décider, a été complètement surprise
des évènements de juillet 1914, que
personne ne les avait prévus. Cela
vaut en particulier pour l’attitude de
la Russie ;
b) qu’en l’Allemagne les pensants de
manière responsable ne pouvaient rien
d’autre que de supposer, si la Russie
attaquait, que la France ferait aussi
cela ;
c) que l’Allemagne pour ce cas avait
des années durant préparé sa guerre
sur deux fronts et ne pouvait
autrement, que par les évènements se
précipitant mettre en œuvre ceux-là
quand elle ne recevrait pas du côté
des puissances de l’ouest une garantie
sûre que la France n’attaquerait pas.
Cette garantie ne pouvait venir que
d’Angleterre ;
d) que, quand l’Angleterre aurait
donné cette garantie, l’Allemagne
aurait été seulement en guerre contre
la Russie ;
e) que la diplomatie allemande avait
cru, à la suite des rapports qu’elle
avait nouée dans les dernières années
avec l’Angleterre, que l’Angleterre
oeuvrerait à de telles
garanties ;
f) que la diplomatie allemande en
rapport à la politique imminente de
l’Angleterre s’est pleinement trompée
et que sous l’impression de cette
erreur a été mise en œuvre le passage
par la Belgique qu’on se serait
dispensé de faire si l’Angleterre
avait donné la garantie évoquée. De
manière non ambiguë devrait être
annoncé au monde que l’invasion de la
Belgique a premièrement été mise en
œuvre alors que la diplomatie
allemande a été surprise par la
communication du Roi d’Angleterre,
qu’elle se trompait quand elle
attendait une telle garantie du côté
anglais. C’est inexplicable, pourquoi
le gouvernement allemand ne fit pas
sans ambiguïté ce qu’il pouvait :
notamment, prouver qu’il n’aurait pas
entrepris l’invasion de la Belgique si
le télégramme décisif du Roi
d’Angleterre avait signifié autre
chose. De ce tournant décisif dépendit
vraiment tout le déroulement suivant
de la guerre et il ne s’est rien
passé d’Allemagne pour apporter ce
fait décisif à l’a connaissance
universelle du monde. On devrait
d’ailleurs dire, si on connaissait ce
fait correctement, la politique
anglaise a été mal jugée au moment
décisif en Allemagne, mais on ne
pouvait pas méconnaitre que
l’Angleterre a été le facteur décisif
dans la question belge.
Un tel langage offrait toutefois une
difficulté à l’Allemagne vis-à-vis de
la Russie, parce que cela était hors
de sa vue ce qu’elle devait à
l’Angleterre pour cette guerre. Cette
difficulté aurait seulement pu être
levée quand il serait arrivé à la
Russie de montrer qu’elle avait moins
à attendre de l’amitié anglaise que de
celle de l’Allemagne. Cela ne put
naturellement pas se passer, sans que
l’Allemagne n’entreprenne au moment
présent, en union avec
l’Autriche-Hongrie de développer une
politique d’envergure, par laquelle
soit baTTue du champs le programme de
Wilson placé dans le monde sans aucune
connaissance des rapports européens.
Il peut sembler pratique de dire qu’il
n’y a aujourd’hui aucune valeur de
parler des causes de la guerre. Mais
c’est vis-à-vis des rapports factuels
le moins pratique qui se laisse
seulement penser. Car en fait
l’Entente conduit la guerre depuis
longtemps avec sa
présentation des causes de la guerre.
La situation qu’elle s’est créée, elle
la doit à la circonstance que sa
présentation est crue sur la base que
d’ici en Allemagne quelque chose
d’efficace ne lui ai pas été répliqué.
Pendant que l’Allemagne pouvait
montrer qu’elle n’a pas contribué au
déclenchement de la guerre, qu’elle
n’a été entrainée dans la rupture de
neutralité de la Belgique que par le
comportement de l’Angleterre, les
explications officielles de
l’Allemagne jusqu'à aujourd’hui sont
restées tenues ainsi qu’aucun humain
vivant à l’extérieur de l’Allemagne ne
sera empêché de se former le jugement
qu’il aurait reposé en Allemagne main
à ne pas commencer la guerre. Ce n’est
pas fait avec cela qu’on rassemble les
documents ainsi comme cela s’est
passé. Car ce rassemblement montre
justement quelque chose qui peut être
mis en doute par chacun, pendant que
la présentation non maquillée des
faits devrait montrer l’innocence de
l’Allemagne. Qui a de la compréhension
pour de telles choses, celui-là peut
savoir que de tels discours comme ils
sont conduit par les hommes
responsables allemands, par les
psychés des humains dans les pays
ennemis et même absolument dans les
neutres ne sont pas compris et par là
sont seulement pris comme
dissimulation de la vérité. Dire que
cela n’aiderait rien de parler
autrement vis-à-vis de la haine des
ennemis, à cela on aurait seulement un
droit, si on avait aussi seulement
fait l’essai de parler vraiment
autrement.
On ne devrait absolument pas conduire
cette haine dans le cHamps, parce que
cela est simplement naïf ; car
cette haine n’est que draperie de la
guerre, n’est que la lèche de ceux qui
veulent ou doivent accompagner de
leurs discours les indicibles tristes
évènements ou de ceux lesquels veulent
chercher dans l’exaspération de cette
haine un moyen d’atteindre ceci ou
cela. La guerre sera conduite à partir
des causes suffisamment connues du
côté de la France et de la Russie. Et
il sera conduit du côté de
l’Angleterre juste comme guerre
économique ; mais comme guerre
économique qui est un résultat de tout
ce qui en Angleterre s’est préparé
depuis longtemps. Parler vis-à-vis des
réalités de la politique Anglaise de
l’encerclement par le roi Eduard et
petitesses semblables est ainsi comme
si on voit un garçon se sauver
d’un piquet, qui après tombe, et
dit alors : le garçon aurait
amené le piquet à tomber parce
qu’il l’aurait quelque peu secoué,
pendant qu’en fait le piquet
était déjà depuis longtemps endommagé,
que du côté de l’enfant il ne
nécessitait plus que d’une
insignifiante poussée, pour finalement
produire la chute. La vérité est que
l’Angleterre depuis de nombreuses
années l’a compris de faire une
politique orientée à partir des
rapports réels en Europe dans un sens
qui lui semble avantageux,
qui a été comme une utilisation tenue
dans le caractère des sciences de la
nature des forces d’États et de
peuples disponibles. Nulle part en
dehors d’Angleterre, la politique ne
porta un caractère entièrement
factuel, se rapportant à soi-même. On
prenait les forces agissant les
peuples des Balkans, on prenait avec
cela ce qui se jouait en Autriche, et
on regardait à partir de cela vers ce
qui en Angleterre était de formules
politiques disponibles dans des
cercles d’initiés en Angleterre. Ces
formules contenaient toujours :
dans les Balkan se passera ceci ou
cela ; l’Angleterre a à
faire à cela. Et les évènements se
sont remués dans la direction indiquée
et la politique anglaise se remuait
avec en parallèle. On pouvait en
Angleterre trouver incorporées
(placées dedans comme membre,
articulées dedans) dans de telles
formules des phases comme
celle-ci : l’empire russe
disparaitra dans sa forme actuelle,
afin que le peuple russe puisse vivre.
Et ce peuple est si caractérisé dans
ses rapports que là on pourrait
conduire des expériences socialistes
pour lesquelles il n’y a pas de
possibilité en Europe de l’Ouest. Qui
suit la politique anglaise, celui-là
peut voir qu’elle a été constamment
aménagée en grand style pour orienter
tous ces points de vues et
d’autres au compte de l’Angleterre. Et
à cela lui bénéficia qu’en Europe il
en sorti seulement de tels points de
vue et justement par là se permirent
ses avancées diplomatiques.
Sa politique travailla constamment
dans le sens de ce que dans ce qui
était le sens des réelles forces
d’États et de peuple, et son effort à
cela a été dans le sens de se
mettre ces forces au service de ce qui
était son avantage économique. Cela
travaillait à son avantage. D'autres
le firent évidemment aussi. Mais
l’Angleterre travaillait en dehors de
cela dans la direction de ce qui se
laisse réaliser par les forces
reposant en elles-mêmes, pendant que
d’autres ne se laissaient pas aller à
l’observation de telles forces, oui
ils auraient volontiers eu un
distingué sourire quand on leur aurait
parlé de telles forces. Toute la
structure d’État d’Angleterre est
instituée sur de tels travaux
pratiques réels. D’autres pourront
déployer alors en premier une culture
d’État ayant grandi à l’anglaise quand
l’évoqué ne sera plus un secret
anglais, mais quand cela deviendra un
bien commun. Qu’on pense seulement,
comment infiniment naïf ce fut quand
on croyait pénétrer à partir
d’Allemagne avec le problème du chemin
de fer de Bagdad, que de là on
entreprit ainsi à partir de ce
problème comme s’il était absolument
nécessaire d’aller à quelque chose
comme à la construction d’une route
sur la disposition de laquelle on a à
s’entendre avec son voisin. Ou, pour
parler de quelque chose reposant
encore plus loin, comment l’Autriche
se représentait ordonner son rapport
aux Balkans, sans conduire des forces
pour cela dans le cHamps, qui pensé à
partir des forces d’États et peuples
des Balkans, pourrait paralyser les
atouts de l’Angleterre ?
L’Angleterre a fait justement un
moment donné pas seulement cela et
ceci, mais elle orientait les forces
internationalement ainsi qu’elles
marchaient au bon moment dans sa
direction. Pour faire cela, on doit
premièrement connaître ces
forces et deuxièmement déployer chez
soi ce qui est déposé dans le
sens de ces forces. L’Autriche-Hongrie
aurait donc au bon moment dû accomplir
un acte qui dans le sens des forces
opportunistes-économiques aurait amené
dans sa direction les intérêts du
chemin de fer de Bagdad, plutôt que
soit détournée la première dans la
Russe et avec cela dans la ligne
anglo-russe, la deuxième dans la ligne
anglaise.
La guerre doit en Europe du centre
conduire à cela de rendre visible
le disponible en rapport à la vie
économique, d’État, des peuples. Par
cela seul on peut forcer
l’Angleterre à ne pas se comporter
plus loin aux autres états sur les
chemins d’une diplomatie écrasante,
mais se laisser traiter avec elle
comme d’égal à égal sur cela qui est à
traiter entre des communautés humaines
européennes. Sans l’accomplissement de
cette condition, toute imitation du
parlementarisme anglais en Europe du
centre n’est rien d’autre qu’un moyen
de se répandre du sable dans les yeux.
Sinon en Angleterre quelques personnes
trouveront toujours moyen et chemin de
laisser exécuter leur politique de
réalité par leur parlement pendant que
donc une action allemande ou
autrichienne ne deviendra déjà pas
seule par là une intelligente qu’à la
place de quelques hommes d’État elle
aura été décidée par quelque 500
députés. On peut à peine se penser
quelque chose de plus malheureux que
la superstition qu’un sortilège
agirait quand pour le reste qu’on a
toléré d’Angleterre ajoute maintenant
encore qu’on se laisse imposer d’elle
le modèle démocratique.
Avec cela ne veut pas être dit que
l’Europe du centre ne devrait pas
expérimenter un développement en avant
dans le sens d’une formation politique
intérieure, seule une telle n’a pas le
droit d’être l’imitation de l’ainsi
nommée démocratisme ouest européen,
mais elle doit tout de suite apporter
cela que ce démocratisme empêcherait
en Europe du centre à cause de ces
rapports particuliers. C’est ainsi
nommé démocratisme est en effet
seulement approprié à cela de faire
des humains d’Europe du centre une
partie de la domination mondiale
anglo-américaine, et si on s’engageait
à cela aussi encore à l’ainsi nommée
organisation inter étatique des
internationalistes actuels, alors on
aurait la plus belle chance d’être
constamment comme européens du centre
mis en minorité à l’intérieur de cette
organisation interétatique.
Ce dont il s’agit est, à partir de
cette vie centre européenne de montrer
les impulsions qui reposent vraiment
ici, et auxquelles les opposants
occidentaux, quand elles seront
démontrées, verront qu’ils devront se
saigner à elles par une plus longue
poursuite de la guerre. Contre des
prétentions à la puissance des
opposants peuvent placer leur
puissance et le feront aussi longtemps
que ça reste à des prétentions. Contre
de réelles forces de
puissance, ils dresseront les armes.
Aux si efficaces manifestations de
Wilson doit être présenter ce qui en
Europe du centre peut vraiment
être fait pour la libération de la vie
des peuples, pendant que ses mots ne
sont à même de leur donner que la
domination mondiale anglo-américaine.
L’accord avec la Russie n’a pas besoin
d’être cherché par un
programme de la réalité centre
européenne, car celle-ci se donne
d’elle-même. Un tel programme centre
européen n’a pas le droit de contenir,
ce qui est seulement affaire intérieure
d’état, mais juste telle qui avec les
rapports vers l’extérieur a quelque
chose à faire. Mais évidemment doit
être vu à la mesure des
choses dans cette direction ; car
si un humain peut bien penser, est
certainement une affaire de son
organisation intérieure, mais s’il
oeuvre par cette bonne pensée vers
l’extérieur dans la ou cette direction
n’est pas une affaire
intérieure.
C’est pourquoi peut seul battre le
programme de Wilson un programme
centre européen, qui est réel, cela
signifie qui ne souligne pas tel ou
tel souhait, mais est simplement une
description de ce que l’Europe
centrale peut faire parce qu’elle a en
elle la force de ce faire. A cela
appartient :
1. Qu’on considère : l’objet
d’une représentation démocratique ne
peut être que les affaires purement
politiques, les militaires et les
policières. Celles-ci sont seulement
possibles sur la base des sous
bassement formés historiquement.
Si elles sont représentées pour
elles-mêmes dans une représentation
populaire et administrée par une
administration responsable devant
cette représentation populaire ainsi
elle se développe nécessairement conservatrice.
Une preuve extérieure pour cela est
que la sociale démocratie elle-même
est devenue conservatrice en ces
choses depuis le déclenchement de la
guerre. Et elle le deviendra encore
plus, d’autant plus elle sera forcée
par la mesure du sens et des faits de
penser que dans la représentation
populaire vraiment peut être objet
seulement des affaires politiques,
militaires et policières. À
l’intérieur d’une telle institution,
l’individualisme allemand peut aussi
se déployer avec son système fédéral
qui n’est pas une chose fortuite, mais
qui est contenu dans le caractère
allemand.
2. Toutes les affaires économiques
seront ordonnées dans un parlement
économique particulier. Quand celui-ci
est débarrassé de tout le politique et
militaire, ainsi il déploiera ses
affaires ainsi comme c’est uniquement
et seulement approprié à celles-ci, à
savoir opportunément. La
fonction publique administrative de
ces affaires économiques, à
l’intérieur de laquelle repose aussi
l’ensemble de la législation
douanière, est immédiatement seulement
responsable devant le parlement
économique.
3. Toutes les affaires juridiques,
pédagogiques et spirituelles seront
données à la liberté des personnes.
Sur ce domaine l’État a seulement le
droit de police, pas l’initiative. Ce
qui est pensé ici est seulement
apparemment radical. En réalité, ne
peut se heurter à ce qui est pensé
ici, seulement celui qui ne veut pas
saisir les faits avec des yeux
impartiaux. L’État laisse passer aux
corporations de choses, de métier et
de nature des peuples, d’instituer
leurs tribunaux, leurs écoles, leurs
églises et ainsi de suite et il laisse
l’individu se déterminer son école,
son église, son juge.
Naturellement pas au cas par cas, mais
sur un certain temps. Au début cela
devra bien être limité par les
frontières territoriales, cependant
cela porte la possibilité en soi
d’aplanir les différences nationales -
d’autres aussi – sur des chemins
pacifiques. Cela porte même en soi la
possibilité de créer quelque chose de
réel à la place du vague tribunal
arbitral des États. Aux agitateurs
nationaux ou supplémentaires seront
par là prises leurs forces. Pas
d’italien à Trieste ne trouverait des
partisans dans cette ville quand
chacun pourrait déployer en elle ses
forces nationales, malgré tout à
partir de raisons évidentes être
classé par raisons opportunistes à
Vienne pour ses intérêts économiques
et que malgré tout son gendarme sera
payé à partir de Vienne.
Les
structures politiques de l’Europe
peuvent ainsi se développer sur la
base d’un sain conservatisme, qui
jamais ne peut être pensé sur une
fragmentation de l’Autriche, mais au
plus sur son extension.
Les structures économiques se
développeront opportunément sainement,
car personne ne peut vouloir avoir
Trieste dans une structure économique
dans laquelle cela doit s’effondrer
économiquement quand la structure
économique n’empêche pas de faire ce
qu’il veut ecclésialement,
nationalement et ainsi de suite.
Les affaires culturelles seront
libérées de la pression qu’exercent
les choses politiques et économiques,
et elles arrêtent d’exercer une
pression sur celles-ci. Toutes ces
affaires culturelles seront en
permanence maintenues en sain
mouvement. Une sorte de Sénat, élu par
les trois collectivités, auxquelles
reviennent les affaires
politiques-militaires, économiques et
juridiques-pédagogiques, assure les
affaires communes auxquelles
appartiennent aussi par exemple les
finances communes.
La réalisation de ce qui est introduit
dans cette présentation ne sera mise
en doute par personne qui pense à
partir des véritables rapports en
Europe centrale. Car ici ne sera
absolument pas exigé ce qui devrait
être réalisé, mais il sera seulement
démontré ce qui veut se réaliser et ce
qui au même instant réussit en ce
qu’on lui donne la voie libre.
(La partie qui
vient est aussi dans la dernière
version du deuxième memorandum)
Reconnaît-on
cela, alors devient avant tout clair,
pourquoi nous avons cette guerre et
pourquoi sous le faux drapeau de la
libération des peuples est une guerre
pour l’oppression du peuple allemand,
dans un sens large pour l’oppression
de toutes les vies des peuples
autonomes en Europe du centre.
Dévêt-on le programme wilsonien, qui
comme la plus récente description est
issu du programme de couverture de
l’Entente, ainsi on vient là-dessus,
que sa réalisation ne signifierait
rien d’autre que le déclin de cette
liberté centre européenne. Cela ne
retient pas que Wilson parle de la
liberté des peuples ; car le
monde ne s’oriente pas d’après des
mots, mais d’après des faits, qui
suivent la réalisation de ces mots.
L’Europe du centre à besoin de
véritable liberté, mais Wilson ne
parle pas du tout d’une véritable
liberté. Tout le monde occidental n’a
absolument pas de concept de cette
véritable liberté nécessaire pour
l’Europe centrale. On parle là de
liberté des peuples et pense à cela
non la véritable liberté des humains,
mais une chimérique liberté collective
de rapports humains, comme ils se sont
formés dans les états ouest -
européens et en Amérique. D’après les
conditions particulières d’Europe du
centre cette liberté collective ne
peut se présenter de rapports
internationaux, donc elle n’a jamais
et jamais plus le droit d’être objet
d’un accord international, comme elle
peut reposer à la base d’un accord de
paix. En Europe du centre la liberté
collective des peuples doit se
présenter à partir de la liberté
humaine générale/universelle, et elle
se présentera, quand on crée pour cela
voie libre par détachement de tous
cercles de vie appartenant au non
purement politique, militaire et
économique. Il est entièrement évident
que contre de tels détachements ceux
qui constamment seulement avec leurs
idées ne comptent pas avec la réalité,
érigent de telles objections comme on
les trouve dans un livre justement
paru, à savoir dans Kriecks « Die
deutsche Staatsidee » (L’idée
allemande de l’État) à la page
167 et suiv. : «
Occasionnellement a été autrefois,
entre autres par E. von Hartmann,
soulevée l’exigence d’un parlement
économique à côté de la représentation
populaire. La pensée repose
entièrement dans la direction du
développement social et économique.
Mais mis à part qu’une nouvelle grosse
roue multiplierait la de toute façon
riche maladresse et frottement de la
machine, la compétence de deux
parlements serait impossible à
délimiter vis-à-vis l’un de
l’autre. »
A cette pensée devrait maintenant être
volontiers vu là-dessus , qu’ici doit
être admis, qu’il se présente des
véritables rapports de l’évolution,
doit donc être réalisé et n’a pas le
droit d’être rejeté contre
l’évolution, parce qu’on trouve
difficilement sa réalisation.
S’arrête-t-on en effet dans la réalité
devant de telles
difficultés, ainsi on créé des
complications, qui plus tard se
déchargent puissamment. Et en dernière
fin cette guerre est dans la
particularité dans laquelle il se
déroule, la décharge de difficultés
qu’on a omis de débarrasser sur les
autres chemins corrects aussi
longtemps qu’il en était encore temps.
Le
programme wilsonien part de cela de
rendre impossible dans le monde ce
qui est la tâche justifiée et la
condition de vie des états centre
européens. Lui doit être présenter
ce qui se passera en Europe du
centre quand ce devenir ne sera pas
dérangé par la puissante destruction
de la vie centre européenne. Il doit
lui être montré ce que seulement
l’Europe du centre peut faire sur la
base du devenu ici historiquement
quand cela ne se relie pas avec
l’Entente, qui ne peut avoir aucun
intérêt à cela, de conduire l’Europe
du centre contre son évolution
conforme à la nature.
Ainsi que les choses reposent
aujourd’hui, l’Allemagne et l’Autriche
ont seulement le choix entre les trois
choses qui suivent :
1. Sous toutes les circonstances
attendre en une victoire de leurs
armes, et d’elle espérer pouvoir
accomplir leur tâche centre
européenne.
2. Parvenir sur la base du programme
actuel à une paix avec l’entente et
avec cela aller au-devant de leur sûre
destruction.
3. De dire ce qu’elle verrait comme
résultat d’une paix dans le sens des
véritables conditions et avec cela
placer le monde devant la possibilité,
après claire connaissance dans les
conditions et la volonté de l’Europe
du centre laisser choisir les peuples
entre un programme des faits, qui
apporte aux humains européens la
véritable liberté et avec cela bien
évidemment la liberté des peuples, ou
les programmes illusions de l’Ouest et
de l’Amérique, qui parlent de liberté,
mais en réalité apportent
l’impossibilité de la vie pour toute
l’Europe. Nous en Europe du centre
faisons pour l’instant l’impression
comme si nous hésitions à dire devant
l’ouest ce que nous devons vouloir,
pendant que cet ouest nous submerge
avec les manifestations de sa volonté.
Par cela cet ouest appelle
l’impression que seulement lui veut
quelque chose pour le salut de
l’humanité et que nous nous efforçons
seulement de gêner cette louable
aspiration par toute sorte de telles
choses comme le militarisme, pendant
que lui par là qu’il s’est depuis
longtemps arrangé et veut là-dessus
s’arranger encore mieux, de faire de
nous des humains ombre, est en réalité
le créateur de notre militarisme.
Certainement de telles et semblables
choses ont été souvent dites,
cependant il ne s’agit pas de cela,
qu’elles seront dites de tel ou tel,
mais de ce qu’elles deviennent
vraiment le leitmotiv de l’action
centre européenne et que le monde
apprenne à reconnaitre qu’elle n’a pas
à attendre de l’Europe du centre
qu’une telle qui doit se
saisir de l’épée quand les autres lui
forcent cette épée dans la main. Ce
que maintenant les peuples de l’ouest
nomment militarisme allemand ils l’on
durant une évolution centenaire
forgée, et seulement à eux, pas à
l’Allemagne il peut être, de prendre
son sens pour l’Europe du centre. Mais
à l’Europe du centre il est de placer
clairement sa volonté pour la liberté,
un vouloir qui ne peut être bâti de
manière wilsonienne sur des
programmes, mais sur la réalité de
l’existence humaine.
De cela il y a pour l’Europe centrale
seulement un programme de paix et cela
est : laisser entendre au monde
qu’une paix est possible immédiatement
quand l’entente à la place de son
actuel, non véritable programme de
paix en place un tel qui est vrai,
parce qu’il introduit dans sa
réalisation non la disparition, mais
la possibilité de vie de l’Europe du
centre. Toutes les autres questions,
les objets de l’aspiration à la paix
pourront trouver, se résoudront, si
elles s’attaquent à ces conditions
préalables. Sur la base, que
maintenant nous sont offertes par
l’Entente et celle qui ont été admises
par Wilson, une paix est impossible.
Ne pénètre pas autre chose à la place
ainsi le peuple allemand ne pourrait
être amené à l’adoption par la force
et le cours ultérieur de l’histoire
européenne prouverait la justesse de
ce qui est dit ici, car par la
réalisation du programme de Wilson les
peuples européens disparaissent. On
doit justement en Europe du centre
regarder dans les yeux sans illusion
ce que ces personnalités ont depuis de
nombreuses années comme leur croyance,
qu’à partir de leur point de vue elles
regardent comme la loi du
développement du monde :que la
race anglo-américaine appartient à
l’avenir de l’évolution du monde, et a
à prendre l’héritage de la race
romano-latine et l’éducation de la
russéïté. Par la mention de cette
formule de politique mondiale par un
anglais ou américain se pensant initié
sera constamment fait remarquable que
l’élément allemand n’a pas à dire sont
mot à l’ordonnance du monde à cause de
son insignifiance dans les choses de
politique mondiale, que l’élément
roman n’a pas besoin d’être considéré,
parce que sans cela il est en
extinction et que l’élément russe a
celui qui se fait son éducateur
historique à long terme.
On pourrait à peine penser d’une telle
confession de foi si elle n’avait
vécue dans les têtes de quelques
humains accessibles pour des fantasmes
ou utopies politiques, seule la
politique anglaise utilise
d’incalculables chemins pour faire
pratiquement de ces programmes des
contenus de sa véritable politique
mondiale, et du point de vue de
l’Allemagne la présente coalisation
dans laquelle elle se trouve, ne
serait pas plus favorable qu’elle
n’est s’il s’agissait de la
réalisation de ce programme. Mais il
n’y a rien que l’Europe de centre peut
présenter qu’un programme
véritablement libérateur des humains,
qui peut à chaque instant devenir un
acte quand la volonté humaine
s’investit pour sa réalisation. On
peut donc peut être penser que la paix
laissera longtemps attendre après elle
aussi quand le programme pensé ici
sera placé devant les peuples
européens qu’il ne puisse donc pas
être introduit pendant la guerre et en
outre des peuples de l’Entente serait
ainsi introduit comme s’il était
introduit par les guides des peuples
d’Europe centrale seulement pour la
tromperie des peuples, pendant
qu’après la guerre ne s’introduirait
simplement à nouveau ce que les guides
de l’Entente présentent comme le
terrible, que de raisons morales en
une « lutte pour la
liberté et le droit des peuples
doivent sortir du monde ». Mais
qui juge le monde correctement d’après
les faits, pas d’après ses opinions
préférées, celui-là peut savoir, ce
que la réalité représente, a une tout
autre valeur de conviction que ce qui
est originaire du pur arbitraire. Et
on peut tranquillement attendre ce qui
se montrera chez tous ceux qui vont
reconnaître qu'avec le programme
d’Europe centrale les peuples de
l’entente ne perdront que les
possibilités de mettre en ruine
l’Europe centrale, mais en rien ne
coule de lui une quelque chose qui
avec une quelque véritable impulsion
de vie serait insupportable aux
peuples de l’Entente. Aussi longtemps
qu’on se trouve dans le domaine des
aspirations masquées, un accord est
exclu ; aussitôt qu’on montera
derrière les masques les réalités pas
seulement militairement, mais aussi
politiquement, commencera une tout
autre forme des évènements présents.
Les armes d’Europe du centre le monde
a appris à les connaître pour le salut
de cette Europe du centre, le vouloir
politique est aussi loin que l’Europe
du centre entre en considération, est
au Monde un livre avec sept seaux.
Pour cela le monde reçoit chaque jour
la description d’une image d’horreur,
quelle chose en terrible, capable de
destruction est en fait cette Europe
du centre. Et il semble pour le monde
ainsi comme si l’Europe du centre
n’avait qu’à se taire à cette image de
peur, ce qui évidemment doit
apparaître au monde comme semblable à
un dire oui.
(retour dernière
version second mémorandum)
Il est entièrement évident qu’à
chacun d’innombrables doutes s’élèvent
quand il veut se faire des pensées
là-dessus comment ce qui est évoqué
ici devrait être conduit dans le
détail, seuls de tels doutes ne
viendraient en considération seulement
quand l’existant serait pensé comme un
programme, à la réalisation duquel
devrait aller un seul ou une société.
Mais ce n’est pas pensé comme cela,
oui cela se contredirait soi-même, si
c’était pensé ainsi.
C’est pensé comme l’expression de ce
que les peuples d’Europe centrale
feraient après qu’on se donne du côté
des gouvernements la tâche de
reconnaître et accoucher les forces
des peuples. Ce qui se passera dans le
détail, cela se montre à de telles
choses alors toujours quand elles se
rendent sur le chemin de la
réalisation. Car elles ne sont pas des
prescriptions sur quelque chose, qui a
à se passer, mais des pronostics sur
ce qui se passera quand on laisse les
choses aller sur leur propre voie
exigée par la réalité. Et cette
réalité propre prescrit, conformément
à toutes les affaires religieuses et
spirituelles-culturelles auxquelles
appartient aussi le national,
administration par corporations,
auxquelles la personne individuelle se
reconnaît par libre volonté, et qui
seront administrées en leuRs
parlements comme corporations, mais
jamais n’ayant à faire avec le rapport
de cette corporation à la personne
individuelle. Et jamais il ne sera
droit à une corporation avec d’avoir à
faire à une personne appartenant à
autre corporation sous le même point
de vue. De telles corporations seront
accueillies dans le cercle du
parlement lorsqu’elles réunissent un
certain nombre de personnes. Jusque-là
elles restent chose privée, dans
laquelle aucune administration ou
représentation n’a à se mêler. Pour
qui c’est une pomme acide, que de tels
points de vue qu’à l’avenir toutes les
affaires spirituelles culturelles
doivent être privée de leurs
privilèges, celui-là devra morde
justement dans cette pomme acide pour
le salut de l’existence du peuple. En
s’habituant à cette privilégiation se
poursuivant toujours ont reconnaîtra
donc difficilement dans beaucoup de
cercles que sur le chemin du privilège
tout de suite des métiers spirituels
on doit revenir au bon vieux, originel
vieux principe de la libre
corporisation. Et que la corporation
devrait d’ailleurs rendre un humain
capable dans son métier afin qu’on ne
privilégie pas ce métier, mais doit le
laisser à la concurrence libre
et au libre choix humain. Cela
sera difficile à reconnaître de tous
ceux qui parlent volontiers de cela
que les humains ne seraient donc pas
mûrs à ceci ou cela.
Dans la réalité cette objection ne
viendra donc pas en considération sans
cela qu’avec exception des nécessaires
professions libres sera décidé sur le
choix (NDT ou peut être
« par vote ») des
pétitionnaires de la corporation. Tout
aussi peut peuvent se présenter des
difficultés en rapport au
politique ou à l’économique, qui
ne seraient pas réellement remédiables
par réalisation des objectifs.
Comment par exemple des institutions
pédagogiques doivent se réaliser, qui
dans leurs lignes directrices,
concernent les deux représentations
s’excluant, pas la seule pédagogie,
cela est une chose du sénat
chapeautant.
Lire encore le
second mémorandum dans sa version
définitive?
|
Die Wortführer der Entente führen
unter den Gründen, warum sie den Krieg
fortsetzen müssen, den an, daß sie von
Deutschland überfallen worden sind.
Sie behaupten daher, sie müssen
Deutschland in eine solche Lage der
Machtlosigkeit bringen, daß fortan ihm
jede Möglichkeit genommen sei, einen
Überfall auszuführen. In diese Form
einer Art moralischer Anklage gegen
Deutschland werden nebulos
untergetaucht alle anderen Ursachen
dieses Krieges.
Es ist zweifellos, daß gegenüber
dieser Anklage Deutschland in die
Notwendigkeit versetzt ist, in ganz
ungeschminkter Weise darzustellen, wie
es in den Krieg hineingetrieben worden
ist. Statt dessen hat man von den
Kriegsursachen bisher nur doktrinäre
Auseinandersetzungen, die so anmuten
wie die Schlußfolgerungen eines
Professors, der nicht erzählt, was er
gesehen hat, sondern der aus
Dokumenten darlegt, was sich ihm über
ferne Ereignisse ergeben hat. Denn so
sind auch alle Ausführungen des
deutschen Reichskanzlers über die
Vorgänge bei Kriegsausbruch gehalten.
Solche Darlegungen aber sind
ungeeignet, einen Eindruck zu machen.
Man weist sie einfach zurück, indem
man ihnen Unberechtigtes oder auch
berechtigtes Anderes entgegensetzt.
Würde man dagegen einfach die
Tatsachen erzählen, so würde sich
folgendes ergeben:
1. Deutschland war im Sommer 1914
nicht bereit, die Initiative zu einem
Kriege zu ergreifen.
2. Österreich-Ungarn war seit langem
in die Notwendigkeit versetzt, irgend
etwas zu unternehmen, das der ihm
drohenden Gefahr entgegenwirkt, durch
Zusammenschluß der Südslaven unter der
Führung der außerösterreichischen
Serben von Südosten her verkleinert zu
werden. Man kann ruhig zugeben, daß
die Ermordung des Erzherzogs Franz
Ferdinand und die ganze
Ultimatumsgeschichte nur ein Anlaß
war. Wäre nicht dieser Anlaß ergriffen
worden, so hätte bei nächster
Gelegenheit eben ein anderer ergriffen
werden müssen. Österreich hätte eben
nicht Österreich bleiben können, wenn
es nicht irgend etwas zur Sicherung
seiner Südost-Provinzen tat, oder
durch eine großzügige andere Handlung
die Slavenfrage zur Lösung bringen
konnte. An dieser anderen Handlung
hatte sich aber die österreichische
Politik seit 1879 verblutet. Besser
gesagt: sie hatte sich daran
verblutet, daß diese andere Handlung
nicht aufgefunden werden konnte. Man
konnte eben der Slavenfrage nicht Herr
werden. Soweit für die Entstehung des
Krieges Österreich-Ungarn in Betracht
kommt, und damit auch Deutschland,
dessen Beteiligung erfolgte, weil es
Österreich-Ungarn nicht im Stiche
lassen konnte, ohne befürchten zu
müssen, daß es nach einigen Jahren
ohne Österreichs Bundesgenossenschaft
der Entente gegenüberstehe -, soweit
muß erkannt werden, daß die
Slavenfrage den Grund enthält für die
Entstehung dieses Krieges. Die «andere
Handlung» ist also die internationale
Lösung der Slavenfrage Sie ist
gefordert von Österreich, nicht von
Rußland. Denn Rußland wird immer
seinen slavischen Grundcharakter in
die Waagschale der Lösung werfen
können. Österreich-Ungarn kann diesem
Gewichte nur das der Befreiung der
Westslaven entgegenstellen. Diese
Befreiung kann nur unter dem
Gesichtspunkte der Autonomisierung
aller Zweige des Volkslebens vor sich
gehen, welche das nationale Dasein und
alles, was damit zusammenhängt,
betreffen. Man darf eben nicht
zurückschrecken vor der völligen
Freiheit im Sinne der
Autonomisierung und Föderalisierung
des Volkslebens. Diese Föderalisierung
ist vorgebildet im deutschen
bundesstaatlichen Leben, das
gewissermaßen das von der Geschichte
vorgebildete Modell ist für dasjenige,
was in Mitteleuropa fortgebildet
werden muß bis zur völligen
föderalistisch-freiheitlichen
Gestaltung aller derjenigen
Lebensverhältnisse, die ihren Impuls
in dem Menschen selber haben, also
nicht unmittelbar, wie die
militärisch-politischen, von den
geographischen, und, wie die
wirtschaftlichen, von den
geographisch-opportunistischen
Verhältnissen abhängig sind. Die
Gestaltung dieser Verhältnisse wird
nur dann in gesunder Weise erfolgen,
wenn das Nationale aus der Freiheit,
nicht die Freiheit aus dem Nationalen
entbunden wird. Strebt man statt des
letzteren das erstere an, so stellt
man sich auf den Boden des
weltgeschichtlichen Werdens. Will man
das letztere, so arbeitet man diesem
Werden entgegen und legt den Grund zu
neuen Konflikten und Kriegen.
Von den leitenden Staatsmännern
Österreichs verlangen, daß sie deshalb
das Ultimatum an Serbien hätten
unterlassen sollen, hieße von ihnen
verlangen, daß sie gegen das Interesse
des von ihnen geleiteten Landes hätten
handeln sollen. Ein solches Verlangen
können Theoretiker irgendeiner Färbung
stellen. Ein Mensch, der mit den
vorhandenen Tatsachen rechnet, sollte
im Ernste von dergleichen gar nicht
sprechen. Denn hätten die Südslaven
erreicht, was die führenden Großserben
wollten, so wäre unter den Aktionen
der übrigen österreichischen Slaven
Österreich in der Form, in der es
bestand, nicht zu erhalten gewesen.
Man könnte sich noch vorstellen, daß
eben dann Österreich eine andere Form
bekommen hätte. Kann man aber einem
leitenden österreichischen Staatsmanne
zumuten, resigniert auf einen solchen
Ausgang zu warten? Man könnte es
offenbar nur, wenn man der Ansicht
wäre, es gehöre zu den unbedingten
Anforderungen eines österreichischen
Staatsmannes, absoluter Pazifist zu
sein und das Schicksal des Reiches
fatalisch abzuwarten. Unter jeder
anderen Bedingung muß man den Schritt
Österreichs bezüglich des Ultimatums
verstehen.
3. Hatte nun einmal Österreich das
Ultimatum gestellt, dann war die
weitere Folge der Ereignisse nur
aufzuhalten, wenn Rußland sich passiv
verhielt. Sobald Rußland einen
aggressiven Schritt tat, war durch
nichts das Weitere aufzuhalten.
4. Ebenso wahr, wie dies alles ist,
ebenso wahr ist, daß jeder, der mit
den Tatsachen rechnete, in Deutschland
ein unbestimmtes Gefühl hatte: Wenn
einmal die angedeuteten Verwicklungen
in ein kritisches Stadium treten, dann
werde es Krieg geben. Man werde diesem
Kriege nicht entgehen können. Und
verantwortliche Personen hatten die
Meinung, man müsse, wenn er notwendig
werde, diesen Krieg mit aller Kraft
führen. Einen Krieg aus eigener
Initiative heraus zu führen, hatte in
Deutschland gewiß niemand die Absicht,
der ernstlich in Betracht kommt. Man
kann der Entente beweisen, daß sie
nicht den geringsten Grund hatte, an
einen Angriffskrieg von seiten
Deutschlands zu glauben. Man kann sie
zwingen zuzugeben, daß sie den Glauben
hatte, Deutschland werde ohne Krieg so
mächtig, daß diese Macht den heute in
der Entente vereinigten Mächten
gefährlich werde. Aber man wird die
Führung derartiger politischer Beweise
ganz anders machen müssen, als dies
bisher geschehen ist; denn dieses ist
keine politische Beweisführung,
sondern nur die Aufstellung
politischer Behauptungen, bei denen es
den anderen belieben kann, sie brutal
zu finden. Man glaubte auf seiten der
Ententemächte, wenn die Dinge so
fortgehen, dann könne man nicht
wissen, was noch alles aus Deutschland
werde; deshalb müsse ein Krieg mit
Deutschland kommen. Deutschland konnte
sich auf den Standpunkt stellen: wir
brauchen keinen Krieg; aber wir
erlangen ohne Krieg dasjenige, was uns
die Ententestaaten ohne Krieg nicht
lassen werden; deshalb müssen wir uns
für diesen Krieg bereithalten und ihn,
wenn er droht, so nehmen, daß wir
durch ihn nicht zu Schaden kommen
können. Dies alles gilt auch bezüglich
der serbischen Frage und Österreichs.
Mit Serbien konnte Österreich im Jahre
1914 nicht mehr ohne Krieg fertig
werden, wenigstens mußte das die
Überzeugung seiner Staatsmänner sein.
Hätte aber die Entente befunden, daß
man Österreich-Ungarn allein mit
Serbien fertig werden lassen könnte,
dann hätte es zu dem allgemeinen
Kriege nicht kommen müssen. Der wahre
Kriegsgrund darf also nicht bei den
Mittelmächten gesucht werden, sondern
darin, daß die Entente diese
Mittelmächte nicht so lassen wolhe,
wie sie nach dem Bestande von 1914 in
ihren Machtverhältnissen waren. Wäre
allerdings die oben gemeinte «andere
Handlung» vor 1914 geschehen, dann
hätten die Serben keine internationale
Opposition gegen Österreich-Ungarn
entwickelt, und sowohl das Ultimatum
wie die Einmischung Rußlands hätte es
nicht geben können. Und hätte sich
Rußland aus reinen Eroberungsgründen
gegen Mitteleuropa in irgendeinem
Zeitpunkte gewendet, dann hätte es
England nicht an seiner Seite finden können.
Da das Unterseeboot bis zum
Kriege ein reines Kriegsmittel war,
Amerika aber ohne dieses Kriegsmittel
absolut nicht in den Krieg mit den
europäischen Mittel-mächten hätte
kommen können, so braucht
für die Friedensfrage nur England in
dem angedeuteten Sinn in Rechnung
gezogen zu werden.
5. Was nun der Welt mitgeteilt
werden müßte, ist:
a) daß Deutschland, soweit die
Persönlichkeiten in Betracht kommen,
die über den Kriegsausbruch zu
bestimmen haben, vollständig von den
Ereignissen im Juli1914 überrascht
worden ist, daß diese niemand
vorausgesehen hat. Insbesondere gilt
dies von der Haltung Rußlands;
b) daß in Deutschland der
verantwortlich Denkende nicht anders
konnte, als annehmen, wenn Rußland
angreife, werde dies auch Frankreich
tun;
c) daß Deutschland für diesen Fall
jahrelang seinen Zweifrontenkrieg
vorbereitet hatte und nicht anders
konnte, als bei den sich
überstürzenden Ereignissen diesen ins
Werk zu setzen, wenn es nicht von
seiten der Westmächte eine sichere
Garantie erhielt, daß Frankreich nicht
angreife. Diese Garantie konnte nur
von England kommen ;
d) daß, wenn England diese Garantie
gegeben hätte, Deutschland nur gegen
Rußland zum Kriege geschritten wäre;
e) daß die deutsche Diplomatie
geglaubt habe, infolge des
Verhältnisses, das sie in den letzten
Jahren zu England angeknüpft hatte,
werde England im Sinne einer solchen
Garantie wirken;
f) daß die deutsche Diplomatie sich in
bezug auf die bevorstehende Politik
Englands vollständig getäuscht hat,
und daß unter dem Eindrucke dieser
Täuschung der Durchmarsch durch
Belgien ins Werk gesetzt worden ist,
den man unterlassen hätte, wenn
England die angedeutete Garantie
gegeben hätte. In ganz unzweideutiger
Weise müßte der Welt verkündigt
werden, daß der Einmarsch in Belgien
erst ins Werk gesetzt worden ist, als
die deutsche Diplomatie von der
Mitteilung des Königs von England
überrascht worden war, daß sie sich
täusche, wenn sie auf eine solche
Garantie von Englands Seite warte. Es
ist unerfindlich, warum die deutsche
Regierung nicht tut, was sie
unzweideutig könnte: nämlich beweisen,
daß sie den Einmarsch in Belgien nicht
unternommen hätte, wenn das
entscheidende Telegramm des Königs von
England anders gelautet hätte. Von
dieser entscheidenden Wendung hing
wirklich der ganze weitere Verfolg des
Krieges ab, und es ist von Deutschland
nichts geschehen, um diese
entscheidende Tatsache zur allgemeinen
Kenntnis der Welt zu bringen. Man
müßte, wenn man diese Tatsache richtig
kennte, zwar sagen, die englische
Politik ist an den entscheidenden
Stellen in Deutschland falsch
beurteilt worden, aber man könnte
nicht verkennen, daß England der
entscheidende Faktor in der belgischen
Frage war. Eine Schwierigkeit böte
eine solche Sprache Deutschlands
allerdings gegenüber Rußland, weil
dieses aus ihr ersehen würde, was es
für diesen Krieg England verdankt.
Diese Schwierigkeit könnte nur behoben
werden, wenn es gelänge, Rußland zu
zeigen, daß es von Englands
Freundschaft weniger zu erwarten hat
als von der Deutschlands. Dies kann
natürlich nicht geschehen, ohne daß
Deutschland es im jetzigen Augenblick
unternimmt, im Verein mit
Österreich-Ungarn eine großzügige
Politik zu entfalten, durch die das
ohne Kenntnis der europäischen
Verhältnisse in die Welt gesetzte
Programm Wilsons aus dem Feld
geschlagen wird.
Es kann praktisch aussehen, zu sagen,
es habe heute keinen Wert, über die
Ursachen des Krieges zu sprechen. Es
ist aber gegenüber den tatsächlichen
Verhältnissen das Unpraktischeste, was
sich nur denken läßt. Denn tatsächlich
führt die Entente mit ihrer Darstellung
der Kriegsursachen seit langem den
Krieg. Die Situation, die sie sich
geschaffen hat, verdankt sie dem
Umstande, daß ihr ihre Darstellung
geglaubt wird aus dem Grunde, weil ihr
von Deutschland etwas Wirksames noch
nicht erwidert worden ist. Während
Deutschland zeigen könnte, daß
es zum Kriegsausbruche nichts
beigetragen hat, daß es in den
Neutralitätsbruch gegenüber Belgien
nur durch das Verhalten Englands
getrieben worden ist, sind die
offiziellen Darlegungen Deutschlands
bis heute so gehalten, daß kein
außerhalb Deutschlands lebender Mensch
daran gehindert wird, sich das Urteil
zu bilden, es habe in Deutschlands
Hand gelegen, den Krieg nicht zu
beginnen. Damit ist es nicht getan,
daß man die Dokumente so
zusammenstellt, wie es geschehen ist.
Denn diese Zusammenstellung ergibt
eben etwas, was von jedem angezweifelt
werden kann, während die ungeschminkte
Darstellung der Tatsachen in der Tat
Deutschlands Unschuld ergeben müßte.
Wer für solche Dinge Verständnis hat,
der kann wissen, daß solche Reden, wie
sie von den verantwortlichen Männern
Deutschlands geführt werden, von den
Psychen der Menschen in den
feindlichen Ländern und auch in den
neutralen überhaupt nicht verstanden
und daher nur als Verschleierungen der
Wahrheit genommen werden. Sagen, es
hülfe nichts, anders zu sprechen
gegenüber dem Hasse der Feinde, dazu
hätte man nur ein Recht, wenn man auch
nur den Versuch gemacht hätte,
wirklich anders zu sprechen. Man
sollte diesen Haß überhaupt nicht ins
Feld führen, weil dies einfach naiv
ist; denn dieser Haß ist nur Draperie
des Krieges, ist nur die Ausschleimung
derjenigen, die die unsäglich
traurigen Ereignisse mit ihren Reden
begleiten wollen oder müssen, oder
derjenigen, welche in der
Aufstachelung dieses Hasses ein
wirksames Mittel suchen, dies oder
jenes zu erreichen. Der Krieg wird aus
den hinlänglich bekannten Ursachen von
seiten Frankreichs und Rußlands
geführt. Und er wird von der Seite
Englands lediglich als
Wirtschaftskrieg geführt; aber als
Wirtschaftskrieg, der ein Ergebnis ist
von alledem, was in England sich seit
langem vorbereitet hat. Gegenüber den
Realitäten der englischen Politik von
der Einkreisung durch König Eduard und
ähnlichen Kleinigkeiten zu sprechen
ist so, wie wenn man einen Knaben von
einem Pflocke weglaufen sieht, der
nachher umfällt, und dann sagt, der
Knabe habe den Pflock zu Fall
gebracht, weil er an ihm etwas
gerüttelt habe, während in der Tat der
Pflock längst so beschädigt war, daß
es von seiten des Knaben nur eines
geringen Anstoßes bedurfte, um den
Fall schließlich herbeizuführen. Die
Wahrheit ist, daß England seit vielen
Jahren es verstanden hat, eine aus den
realen Verhältnissen Europas heraus
orientierte Politik zu treiben in
einem Sinn, der ihm günstig
schien, der wie eine im
naturwissenschaftlichen Charakter
gehaltene Ausnützung der vorhandenen
Völker- und Staatenkräfte war.
Nirgends außer in England trug die
Politik einen ganz sachgemäßen, in
sich zusammenhängenden Charakter. Man
nehme die auf dem Balkan treibenden
Volkskräfte, man nehme hinzu, was in
Österreich spielte, und man schaue von
dem aus auf das, was in eingeweihten
Kreisen vorhandene politische Formeln
in England waren. Diese Formeln
enthielten immer: Auf dem Balkan wird
dies und jenes geschehen; England hat
dabei dies zu tun. Und die Ereignisse
bewegten sich in der angegebenen
Richtung, und die englische Politik
bewegte sich damit parallel. Man
konnte in England in solche Formeln
eingegliedert Sätze finden wie diesen:
Das russische Reich wird in seiner
gegenwärtigen Form zugrunde gehen,
damit das russische Volk leben könne.
Und diesesVolk ist so geartet in
seinenVerhältnissen, daß man dort
werde sozialistische Experimente
ausführen können, für die es in
Westeuropa keine Möglichkeit gibt. Wer
die Politik Englands verfolgt, der
kann sehen, daß sie stets im großen
Stil darauf eingerichtet war, alle
solche und viele andere Gesichtspunkte
zugunsten Englands zu wenden. Und
dabei kam ihm zugute, daß es in Europa
allein von solchen Gesichtspunkten
ausging und eben dadurch seine
diplomatischen Vorsprünge sich
ermöglichte. Seine Politik arbeitete
stets im Sinne dessen, was im Sinne
der wirklichen Volks- und Staatskräfte
war, und sein Bestreben dabei war, im
Sinne dessen sich diese Kräfte
dienstbar zu machen, was in seinem
wirtschaftlichen Vorteil war. Es
arbeitete zu seinem Vorteil. Das tun
andere selbstverständlich auch. Aber
England arbeitete außerdem in der
Richtung dessen, was sich durch die in
ihm selbst liegenden Kräfte
verwirklichen läßt, während andere auf
die Beobachtung solcher Kräfte sich
nicht einließen, ja wohl überhaupt nur
ein vornehmes Lächeln gehabt hätten,
wenn man ihnen von solchen Kräften
gesprochen hätte. Englands ganze
Staatsstruktur ist auf solches
wirklich praktisches Arbeiten
eingestellt. Andere werden erst dann
eine der englischen gewachsene
Staatskunst entfalten können, wenn das
Angedeutete kein englisches Geheimnis
mehr sein wird, sondern wenn es
Gemeingut sein wird. Man denke nur,
wie unendlich naiv es war, wenn man
glaubte, von Deutschland aus mit dem
Bagdadbahnproblem durchzudringen, da
man von da aus dieses Problem so
unternahm, als ob es überhaupt nur
nötig wäre, an etwas zu gehen, wie an
den Bau einer Straße, über deren
Anlegung man sich mit seinen Nachbarn
verständigt hat. Oder, um von etwas
noch viel weiter Liegendem zu
sprechen, wie dachte sich Österreich,
sein Verhältnis zum Balkan zu ordnen,
ohne Kräfte dabei ins Feld zu führen,
die, aus den Volks- und Staatskräften
des Balkan heraus gedacht, die Trümpfe
Englands paralysieren konnten? England
tat eben in einem gegebenen Zeitpunkte
nicht nur das und jenes, sondern es
lenkte international die Kräfte so,
daß sie im rechten Momente in seiner
Richtung liefen. Um das zu tun,
muß man diese Kräfte erstens kennen
und zweitens bei sich das
entfalten, was im Sinne dieser Kräfte
gelegen ist. Österreich-Ungarn also
hätte zur rechten Zeit eine Handlung
vollbringen müssen, die im Sinne der
Südslavenkräfte diese in die
österreichische Richtung gebracht,
Deutschland hätte im Sinne der
wirtschaftlich-opportunistischen
Kräfte die Bagdadbahninteressen in
seine Richtung bringen müssen, statt
daß das erstere in die russische und
damit in die russisch-englische Linie,
das zweite in die englische Linie
abgebogen ist.
Der Krieg muß in Mitteleuropa dazu
führen, in bezug auf das im Völker-,
Staats- und Wirtschaftsleben
Vorhandene sehend zu werden. Dadurch
allein kann man England zwingen,
nicht weiter auf dem Wege einer
überlegenen Diplomatie zu den anderen
Staaten sich zu verhalten, sondern mit
sich wie gleich zu gleich verhandeln
zu lassen über dasjenige, was zwischen
europäischen Menschengemeinschaften zu
verhandeln ist. Ohne die Erfüllung
dieser Bedingung ist alles Nachmachen
des englischen Parlamentarismus in
Mitteleuropa nichts anderes als ein
Mittel, sich selbst Sand in die Augen
zu streuen. In England werden sonst
ein paar Leute immer Mittel undwege
finden, ihre Wirklichkeitspolitik
durch ihr Parlament ausführen zu
lassen, während doch ein deutsches und
österreichisches Handeln nicht schon
allein dadurch ein gescheites werden
wird, daß es statt von ein paar
Staatsmännern von einer Versammlung
von etwa 500 Abgeordneten beschlossen
wird. Man kann sich kaum etwas
Unglücklicheres denken als den
Aberglauben, daß es einen Zauber
bewirken werde, wenn man zu dem
übrigen, was man sich hat von England
gefallen lassen, nun auch noch das
fügt, daß man sich die demokratische
Schablone von ihm aufdrängen läßt.
Damit soll nicht gesagt werden, daß
Mitteleuropa nicht im Sinne einer
inneren politischen Gestaltung eine
Fortentwickelung erfahren solle,
allein eine solche darf nicht die
Nachahmung des westeuropäischen
sogenannten Demokratismus sein,
sondern sie muß gerade dasjenige
bringen, was dieser Demokratismus in
Mitteleuropa wegen dessen besonderer
Verhältnisse verhindern würde. Dieser
sogenannte Demokratismus ist nämlich
nur dazu geeignet, die Menschen
Mitteleuropas zu einem Teile der
englisch-amerikanischen Weltherrschaft
zu machen, und würde man sich dazu
auch noch auf die sogenannte
zwischenstaatliche Organisation der
gegenwärtigen Internationalisten
einlassen, dann hätte man die schöne
Aussicht, als Mitteleuropäer innerhalb
dieser zwischenstaatlichen
Organisation stets überstimmt zu
werden.
Worauf es ankommt ist, aus dem
mitteleuropäischen Leben heraus die
Impulse zu zeigen, die hier wirklich
liegen, und an denen die westlichen
Gegner, wenn sie aufgezeigt werden,
sehen werden, daß sie sich bei einer
weiteren Fortsetzung des Krieges an
ihnen verbluten müssen. Gegen
Machtprätentionen können die Gegner ihre
Macht setzen und werden es tun,
solange es bei Prätentionen bleibt.
Gegen wirkliche Machtkräfte
werden sie die Waffen strecken.
Wilsons so wirksamen Manifestationen
muß entgegengehalten werden, was in
Mitteleuropa wirklich zur
Befreiung des Lebens der Völker getan
werden kann, während seine Worte ihnen
nichts zu geben vermögen als die
anglo-amerikanische Weltherrschaft.
Die Übereinstimmung mit Rußland
braucht von einem mitteleuropäischen
Programm der Wirklichkeit nicht gesucht
zu werden; denn diese ergibt
sich selbst. Ein solches
mitteleuropäisches Programm darf
nichts enthalten, was nur innere
Staatsangelegenheit ist, sondern
lediglich solches, was mit dem
Verhältnis nach außen etwas zu tun
hat. Aber selbstverständlich muß in
dieser Richtung sachgemäß gesehen
werden; denn ob ein Mensch gut denken
kann, ist gewiß eine Angelegenheit
seiner inneren Organisation, ob er
aber durch dieses gute Denken nach
außen in der oder jener Richtung
wirkt, ist nicht eine
innere Angelegenheit.
Deshalb kann nur ein
mitteleuropäisches Programm das
Wilsonische schlagen, das real ist,
das heißt nicht das oder jenes
Wünschenswerte betont, sondern das
einfach eine Umschreibung dessen ist,
was Mitteleuropa tun kann, weil es zu
diesem Tun die Kräfte in sich hat.
Dazu gehört:
1. Daß man einsehe: Gegenstand einer
demokratischen Volksvertretung können
nur die rein politischen, die
militärischen und die polizeilichen
Angelegenheiten sein. Diese sind nur
möglich auf Grund des historisch
gebildeten Untergrundes. Werden sie
vertreten für sich in einer
Volksvertretung und verwaltet von
einer dieser Volksvertretung
verantwortlichen Beamtenschaft, so
entwickeln sie sich notwendig konservativ.
Ein äußerer Beweis dafür ist,
daß seit dem Kriegsausbruche selbst
die Sozialdemokratie in diesen Dingen
konservativ geworden ist. Und sie wird
es noch mehr werden, je mehr sie
gezwungen wird, sinn- und sachgemäß
dadurch zu denken, daß in den
Volksvertretungen wirklich nur
politische, militärische und
polizeiliche Angelegenheiten der
Gegenstand sein können. Innerhalb
einer solchen Einrichtung kann sich
auch der deutsche Individualismus
entfalten mit seinem bundesstaatlichen
System, das nicht eine zufällige Sache
ist, sondern das im deutschen
Volkscharakter enthalten ist.
2. Alle wirtschaftlichen
Angelegenheiten werden geordnet in
einem besonderen Wirtschaftsparlamente.
Wenn dieses entlastet ist von
allem Politischen und Militärischen,
so wird es seine Angelegenheiten rein
so entfalten, wie es diesen einzig und
allein angemessen ist, nämlich opportunistisch.
Die Verwaltungsbeamtenschaft
dieser wirtschaftlichen
Angelegenheiten, innerhalb deren
Gebiet auch die gesamte
Zollgesetzgebung liegt, ist
unmittelbar
nurdemWirtschaftsparlamente
verantwortlich.
3. Alle juristischen, pädagogischen
und geistigen Angelegenheiten werden
in die Freiheit der Personen gegeben.
Auf diesem Gebiete hat der Staat nur
das Polizeirecht, nicht die
Initiative. Es ist, was hier gemeint
ist, nur scheinbar radikal. In
Wirklichkeit kann sich nur derjenige
an dem hier gemeinten stoßen, der den
Tatsachen nicht unbefangen ins Auge
sehen will. Der Staat überläßt es den
sach-, berufs- und völkermäßigen
Korporationen, ihre Gerichte, ihre
Schulen, ihre Kirchen und so weiter zu
errichten, und er überläßt es dem
einzelnen, sich seine Schule, seine
Kirche, seinen Richter zu bestimmen.
Natürlich nicht etwa von Fall zu Fall,
sondern auf eine gewisse Zeit. Im
Anfange wird dies wohl durch die
territorialen Grenzen beschränkt
werden müssen, doch trägt es die
Möglichkeit in sich, auf friedlichem
Wege die nationalen Gegensätze - auch
andere - auszugleichen. Es trägt sogar
die Möglichkeit in sich, etwas
Wirkliches zu schaffen an Stelle des
schattenhaften StaatenSchiedsgerichts.
Nationalen oder anderweitigen
Agitatoren werden dadurch ihre Kräfte
ganz genommen. Kein Italiener in
Triest fände Anhänger in dieser Stadt,
wenn jedermann seine nationalen Kräfte
in ihr entfalten könnte, trotzdem aus
selbstverständlichen opportunistischen
Gründen seine wirtschaftlichen
Interessen in Wien geordnet werden,
und trotzdem sein Gendarm von Wien aus
bezahlt wird.
Die politischen
Gebilde Europas könnten sich so auf
Grundlage eines gesunden
Konservativismus entwickeln, der nie
auf Zerstückelung Österreichs,
sondern höchstens auf seine
Ausdehnung bedacht sein kann.
Die wirtschaftlichen Gebilde würden
sich opportunistisch gesund
entwickeln; denn niemand kann Triest
in einem Wirtschaftsgebilde haben
wollen, in dem es wirtschaftlich
zugrunde gehen muß, wenn ihn das
Wirtschaftsgebilde nicht hindert,
kirchlich, national und so weiter zu
tun, was er will.
Die Kulturangelegenheiten werden von
dem Drucke befreit, den auf sie die
wirtschaftlichen und politischen Dinge
ausüben, und sie hören auf, auf diese
einen Druck auszuüben. Alle diese
Kulturangelegenheiten werden
fortdauernd in gesunder Bewegung
erhalten. Eine Art Senat, gewählt aus
den drei Körperschaften, welchen die
Ordnung der politisch-militärischen,
wirtschaftlichen und
juristisch-pädagogischen
Angelegenheiten obliegt, versieht die
gemeinsamen Angelegenheiten, wozu auch
zum Beispiel die gemeinsamen Finanzen
gehören.
Die Ausführbarkeit des in dieser
Darstellung Angeführten wird niemand
bezweifeln, der aus den wirklichen
Verhähnissen Mitteleuropas heraus
denkt. Denn hier wird überhaupt nichts
gefordert, was durchgeführt werden
soll, sondern es wird nur aufgezeigt,
was sich durchführen will, und was in
demselben Augenblicke gelingt, in dem
man ihm freie Bahn gibt.
(Der kommende Teil
ist auch in die letzte Fassung des
Zweites memorandum)
Erkennt
man dieses, dann wird vor allem klar,
warum wir diesen Krieg haben und warum
er unter der falschen Flagge der
Völkerbefreiung ein Krieg ist zur
Unterdrückung des deutschenVolkes, im
weiteren Sinne zur Unterdrückung alles
selbständigen Volkslebens in
Mitteleuropa. Entkleidet man das
Wilsonsche Programm, das als die
neueste Umschreibung aus den
Deckprogrammen der Entente
hervorgegangen ist, so kommt man
darauf, daß seine Ausführung nichts
anderes bedeuten würde als den
Untergang dieser mitteleuropäischen
Freiheit. Daran hindert nicht, daß
Wilson von der Freiheit der Völker
redet; denn die Welt richtet sich
nicht nach Worten, sondern nach
Tatsachen, die aus der Verwirklichung
dieser Worte folgen. Mitteleuropa
braucht wirkliche Freiheit, Wilson
aber redet gar nicht von einer
wirklichen Freiheit. Die ganze
westliche Welt hat von dieser
wirklichen für Mitteleuropa nötigen
Freiheit überhaupt keinen Begriff. Man
redet da von Völkerfreiheit und meint
dabei nicht die wirkliche Freiheit der
Menschen, sondern eine schimärische
Kollektivfreiheit von Menschen
zusammenhängen, wie sie sich in den
westeuropäischen Staaten und in
Amerika herausgebildet haben. Nach den
besonderen Verhältnissen Mitteleuropas
kann sich diese Kollektivfreiheit
nicht aus internationalen
Verhältnissen heraus ergeben, also
darf sie nie und nimmer Gegenstand
einer internationalen Abmachung sein,
wie sie einem Friedensschlusse
zugrunde liegen kann. In Mitteleuropa
muß die Kollektivfreiheit der Völker
aus der allgemeinen menschlichen
Freiheit sich ergeben, und sie wird
sich ergeben, wenn man durch Ablösung
aller nicht zum rein politischen,
militärischen und wirtschaftlichen
Leben gehörigen Lebenskreise dafür
freie Bahn schafft. Es ist ganz
selbstverständlich, daß gegen solche
Loslösung diejenigen, welche stets nur
mit ihren Ideen, nicht mit der
Wirklichkeit rechnen, solche Einwände
erheben, wie man sie in einem eben
erschienenen Buche findet, nämlich in
Kriecks «Die deutsche Staatsidee» auf
Seite 167 f.: «Gelegentlich wurde
früher, unter anderen von E. von
Hartmann, die Forderung nach einem
Wirtschaftsparlamente neben der
Volksvertretung erhoben. Der Gedanke
liegt ganz in der Richtung der
wirtschaftlichen und
gesellschaftlichen Entwickelung.
Abgesehen aber davon, daß ein neues
großes Rad die ohnehin reichliche
Unbeholfenheit und Reibung der
Maschine vermehren würde, wäre die
Zuständigkeit zweier Parlamente
unmöglich gegeneinander abzugrenzen.»
Bei diesem Gedanken sollte nun doch
wohl darauf gesehen werden, daß hier
zugegeben werden muß, er ergibt sich
aus den wirklichen Verhältnissen der
Entwickelung, muß also durchgeführt
werden und darf nicht gegen die
Entwickelung abgewiesen werden, weil
man seine Verwirklichung schwer
findet. Macht man nämlich in der
Wirklichkeit 346 vor solchen Schwierigkeiten
halt, so schafft man Verwickelungen,
die sich später gewaltsam entladen.
Und letzten Endes ist dieser Krieg in
der Eigentümlichkeit, in der er sich
auslebt, die Entladung von
Schwierigkeiten, die man versäumt hat,
auf dem richtigen, anderen Wege
hinwegzuräumen, solange es dazu noch
Zeit war.
Das Wilsonsche
Programm geht davon aus, das in der
Welt unmöglich zu machen, was die
berechtigte Aufgabe und die
Lebensbedingung der
mitteleuropäischen Staaten ist. Ihm
muß entgegengehalten werden, was in
Mitteleuropa geschehen wird, wenn
dieses Geschehen nicht gestört wird
durch die gewaltsame Zerstörung des
mitteleuropäischen Lebens. Es muß
ihm gezeigt werden, was nur
Mitteleuropa auf Grund des hier
historisch Gewordenen tun kann, wenn
es sich nicht mit der Entente
verbindet, die gar kein Interesse
daran haben kann, Mitteleuropa
seiner naturgemäßen Entwickelung
entgegenzuführen.
So wie die Dinge heute liegen, haben
Deutschland und Österreich nur die
Wahl zwischen den folgenden drei
Dingen:
1. Unter allen Umständen auf einen
Sieg ihrer Waffen zu warten, und von
ihm die Möglichkeit zu erhoffen, ihre
mitteleuropäische Aufgabe ausführen zu
können.
2. Mit der Entente auf Grund deren
jetzigen Programms einen Frieden
einzugehen und damit ihrer sicheren
Zerstörung entgegenzugehen.
3. Zu sagen, was sie im Sinne der
wirklichen Verhältnisse als das
Ergebnis eines Friedens betrachten
werden, und damit die Welt vor die
Möglichkeit zu stellen, nach klarer
Einsicht in die Verhältnisse und in
das Wollen Mitteleuropas die Völker
wählen zu lassen zwischen einem
Tatsachenprogramm, das den
europäischen Menschen die wirkliche
Freiheit und damit ganz
selbstverständlich die Freiheit der
Völker bringt, oder den
Scheinprogrammen des Westens und
Amerikas, die von Freiheit reden, in
Wirklichkeit aber für ganz Europa die
Unmöglichkeit des Lebens bringen. Wir
in Mitteleuropa machen vorläufig den
Eindruck, als ob wir uns vor dem
Westen scheuten zu sagen, was wir
wollen müssen, während dieser Westen
uns nur so überschüttet mit den
Kundgebungen seines Wollens. Dadurch
ruft dieser Westen den Eindruck
hervor, daß nur er etwas will für das
Heil der Menschheit, und wir nur
bestrebt seien, diese löblichen
Bestrebungen durch allerlei solche
Dinge wie Militarismus zu stören,
während er dadurch, daß er sich seit
langem darauf eingerichtet hat und
weiter darauf noch besser einrichten
will, uns zu Schattenmenschen zu
machen, in Wahrheit der Schöpfer
unseres Militarismus ist. Gewiß sind
solche und ähnliche Dinge oft gesagt
worden, doch darauf kommt es nicht an,
daß sie von dem oder jenem gesagt
werden, sondern darauf, daß sie das
Leitmotiv mitteleuropäischen Handelns
wirklich werden, und die Welt erkennen
lernt, daß sie von Mitteleuropa kein
anderes Handeln zu erwarten hat als
ein solches, das zum Schwerte greifen
muß, wenn die anderen ihm
dieses Schwert in die Hände zwingen.
Was jetzt die Westvölker deutschen
Militarismus nennen, haben sie in
jahrhundertelanger Entwickelung
geschmiedet, und nur an ihnen, nicht
an Deutschland kann es sein, ihm für
Mitteleuropa seinen Sinn zu nehmen. An
Mitteleuropa aber ist es, sein Wollen
für die Freiheit klar hinzustellen,
ein Wollen, das nicht in Wilsonscher
Art auf Programme gebaut sein kann,
sondern auf die Wirklichkeit des
Menschendaseins. Es gibt daher für
Mitteleuropa nur ein Friedensprogramm,
und das ist: Die Welt wissen zu
lassen, ein Friede ist sofort möglich,
wenn die Entente an die Stelle ihres
jetzigen, unwahren Friedensprogramms
ein solches setzt, das wahr ist, weil
es in seiner Verwirklichung nicht den
Untergang, sondern die
Lebensmöglichkeit Mitteleuropas
herbeiführt. Alle anderen Fragen, die
Gegenstand von Friedensbestrebungen
werden können, lösen sich, wenn sie
auf Grundlage dieser Voraussetzungen
in Angriff genommen werden. Auf der
Grundlage, die jetzt von der Entente
uns dargeboten wird, und die von
Wilson aufgenommen worden ist, ist ein
Friede unmöglich. Tritt kein anderes
an die Stelle, so könnte das deutsche
Volk nur durch Gewalt zur Annahme
dieses Programmes gebracht werden, und
der weitere Verlauf der europäischen
Geschichte würde die Richtigkeit des
hier Gesagten beweisen, denn bei
Verwirklichung des Wilsonschen
Programmes gehen die europäischen
Völker zugrunde. Man muß eben in
Mitteleuropa ohne Illusion dem ins
Auge schauen, was diejenigen
Persönlichkeiten seit vielen Jahren
als ihren Glauben haben, den sie von
ihrem Gesichtspunkte aus als das
Gesetz der Weltentwickelung
betrachten: daß der
anglo-amerikanischen Rasse die Zukunft
der Weltentwickelung gehört, und daß
sie das Erbe der
lateinisch-romanischen Rasse und die
Erziehung des Russentumes zu
übernehmen hat. Bei der Anführung
dieser weltpolitischen Formel durch
einen sich eingeweiht dünkenden
Engländer oder Amerikaner wird stets
bemerklich gemacht, daß das deutsche
Element bei der Ordnung der Welt nicht
mitzusprechen hat wegen seiner
Unbedeutendheit in weltpolitischen
Dingen, daß das romanische Element
nicht berücksichtigt zu werden
braucht, weil es ohnedies im
Aussterben ist, und daß das russische
Element derjenige hat, der sich zu
seinem weithistorischen Erzieher
macht. Man könnte von einem solchen
Glaubensbekenntnis gering denken, wenn
es im Kopfe einiger für politische
Phantasien oder Utopien zugänglicher
Menschen lebte, allein die englische
Politik benützt unzählige Wege, um
dieses Programm praktisch zum Inhalte
seiner wirklichen Weltpolitik zu
machen, und vom Gesichtspunkte
Englands aus könnte die gegenwärtige
Koalition, in der es sich befindet,
nicht günstiger sein, als sie ist,
wenn es sich um die Verwirklichung
dieses Programmes handelt. Es gibt
aber nichts, das Mitteleuropa dem
entgegensetzen kann, als ein wirklich
menschenbefreiendes Programm, das in
jedem Augenblick Tat werden kann, wenn
menschlicher Wille sich für seine
Verwirklichung einsetzt. Man kann ja
vielleicht denken, daß der Friede auch
lange auf sich warten lassen wird,
auch wenn das hier gemeinte Programm
vor die europäischen Völker
hingestellt wird, da es ja während des
Krieges nicht ausgeführt werden kann
und überdies von den Ententevölkern so
hingestellt werden würde, als ob es
von den Führern Mitteleuropas nur zur
Täuschung der Völker hingestellt wäre,
während nach dem Kriege einfach wieder
das eintreten würde, was die
Ententeführer als das Schreckliche
hinstellen, das sie aus moralischen
Gründen in einem «Kampfe für Freiheit
und Recht der Völker aus der Welt
schaffen müßten». Aber wer die Welt
richtig beurteilt nach den Tatsachen,
nicht nach seinen Lieblingsmeinungen,
der kann wissen, daß alles, was
Wirklichkeiten entspricht, einen ganz
anderen Überzeugungswert hat als
dasjenige, was aus der bloßen Willkür
stammt. Und man kann ruhig abwarten,
was sich bei denjenigen zeigen wird,
die einsehen werden, mit dem Programme
Mitteleuropas gehen den Völkern der
Entente nur die Möglichkeiten
verloren, Mitteleuropa zu zertrümmern,
nicht aber fließt aus ihm irgend
etwas, was mit irgendeinem wirklichen
Lebensimpuls der Ententevölker
unverträglich wäre. Solange man sich
im Gebiete der maskierten Bestrebungen
befindet, wird eine Verständigung
ausgeschlossen sein; sobald man hinter
den Masken die Wirklichkeiten nicht
nur militärisch, sondern auch
politisch zeigen wird, wird eine ganz
andere Gestalt der gegenwärtigen
Ereignisse beginnen. DieWaffen
Mitteleuropas hat die Welt zum Heile
dieses Mitteleuropa kennen gelernt,
das politische Wollen ist, soweit
Mitteleuropa in Betracht kommt, der
Welt ein Buch mit sieben Siegeln.
Dafür bekommt die Welt jeden Tag die
Schilderung eines Schreckbildes, welch
ein furchtbares, zerstörungswürdiges
Ding dieses Mitteleuropa eigentlich
ist. Und es sieht für die Welt so aus,
als ob Mitteleuropa zu diesem
Schreckbilde nur zu schweigen hätte,
was selbstverständlich der Welt wie
ein Ja-sagen zu demselben erscheinen
muß. (zurück zur
letzte Fassung des Zweiten
Memorandum)
Es ist ganz selbstverständlich, daß
jedem unzählige Bedenken aufsteigen,
wenn er sich Gedanken darüber machen
will, wie das hier Angedeutete im
einzelnen durchgeführt werden soll,
allein solche Bedenken kämen nur in
Betracht, wenn das Vorliegende als ein
Programm gedacht wäre, an dessen
Verwirklichung ein einzelner oder eine
Gesellschaft gehen sollte. So ist es
aber nicht gedacht, ja es widerlegte
sich selber, wenn es so gedacht wäre.
Es ist als der Ausdruck dessen
gedacht, was die Völker Mitteleuropas
tun werden, wenn man sich von seiten
der Regierungen die Aufgabe stellen
wird, die Volkskräfte zu erkennen und
zu entbinden. Was im einzelnen
geschehen wird, das zeigt sich bei
solchen Dingen immer dann, wenn sie
sich auf den Weg der Verwirklichung
begeben. Denn sie sind nicht
Vorschriften über etwas, was zu
geschehen hat, sondern Voraussagen
dessen, was geschehen wird, wenn man
die Dinge auf ihre durch die eigene
Wirklichkeit geforderte Bahn gehen
läßt. Und diese eigene Wirklichkeit
schreibt vor, bezüglich aller
religiösen und geistig-kulturellen
Angelegenheiten, wozu auch das
Nationale gehört, Verwaltung durch
Korporationen, zu denen sich die
einzelne Person aus freiem Willen
bekennt, und die in ihrem Parlamente
als Korporationen verwaltet werden, so
daß dieses Parlament es nur mit der
betreffenden Korporation, nie aber mit
der Beziehung dieser Korporation zu
der einzelnen Person zu tun hat. Und
nie darf es eine Korporation mit einer
unter demselben Gesichtspunkte zu
einer anderen Korporation gehörigen
Person zu tun haben. Solche
Korporationen werden aufgenommen in
den Kreis des Parlamentes, wenn sie
eine bestimmte Anzahl von Personen
vereinigen. Bis dahin bleiben sie
Privatsache, in die sich keine Behörde
oder Vertretung zu mischen hat. Für
wen es ein saurer Apfel ist, daß von
solchen Gesichtspunkten aus alle
geistigen Kulturangelegenheiten
künftig der Privilegierung entbehren
müssen, der wird eben in diesen sauren
Apfel zum Heile des Volksdaseins
beißen müssen. Bei der immer
weitergehenden Gewöhnung an diese
Privilegierung wird man ja in vielen
Kreisen schwer einsehen, daß man auf
dem Wege von der Privilegierung gerade
der geistigen Berufe zum guten alten,
uralten Prinzipe der freien
Korporierung zurückkehren muß. Und daß
die Korporation zwar einen Menschen in
seinem Berufe tüchtig machen soll, daß
man aber die Ausübung dieses Berufes
nicht privilegieren, sondern der
freien Konkurrenz und der freien
menschlichen Wahl überlassen muß. Das
wird von allen denen schwer einzusehen
sein, die gern davon sprechen, daß die
Menschen doch zu dem oder jenem nicht
reif seien. In der Wirklichkeit wird
dieser Einwand ja ohnedies nicht in
Betracht kommen, weil mit Ausnahme der
notwendig freien Berufe über die Wahl
der Petenten die Korporation
entscheiden wird. Ebensowenig können
sich Schwierigkeiten ergeben bezüglich
des Politischen und des
Wirtschaftlichen, die nicht real
behebbar wären bei Verwirklichung des
Intendierten. Wie zum Beispiel
pädagogische Institutionen zustande
kommen müssen, die in ihren
Richtlinien die beiden, nicht die
eigentliche Pädagogik in sich
schließenden Vertretungen berühren,
das ist Sache des übergeordneten
Senates.
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