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Collection:  340 - Cours d'économie nationale.

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Sujet:  DIXIÈME CONFÉRENCE, Dornach, 2 août1922
ZEHNTER VORTRAG, Dornach, 2. August1922

 

Les références : Rudolf Steiner Œuvres complètes GA340 140-154 (2002) 02/08/1922


Original




Traducteur: FG  v. 01 29/06/2022
Editeur: SITE

Maintenant, il est nécessaire que nous discutions aujourd'hui d'un sujet qui a déjà été évoqué hier par certains. C'est le rapport entre le travail selon l’économie de peuple et ce qui le sous-tend lorsque la nature est transformée en objet de valeur d’économie de peuple par l'élaboration. Alors, il arrive donc que le travail organisé ou articulé soit attrapé dans un certain sens par le capital, qui s'émancipe alors et passe complètement dans, on aimerait dire, la libre spiritualité. Ainsi que vous pouvez en déduire que dans le travail on n'a rien d’une valeur immédiate d’économie de peuple - nous en avons donc déjà expliqué cela - bien que cependant on a ce qui meut la valeur d’économie de peuple dans le travail. Le produit naturel en tant que tel entre dans la circulation d’économie de peuple parce qu’il sera transformé. Et la transformation qui lui donne la valeur, elle est en fait la cause pour laquelle l'objet de valeur d’économie de peuple se déplace au moins à l'intérieur d'une certaine zone/un certain domaine. Plus tard, c'est alors l'esprit humain œuvrant dans le capital qui poursuit le mouvement. Tout d’abord, nous avons à faire avec le mouvement/mouvoir ; car aussitôt que nous entrons dans la sphère du capital, nous avons à faire avec le mouvement par le capital commercial, alors par le capital de prêt et alors par le capital de production réel : par le capital industriel.

01

Nun, es ist nötig, daß heute etwas hier besprochen wird, was gestern schon einigen angedeutet worden ist. Das ist das Verhältnis zwischen der volkswirtschaftlichen Arbeit und demjenigen, was zugrunde liegt, wenn Natur durch Bearbeitung umgewandelt wird in ein volkswirtschaftliches Wertobjekt. Dann geschieht ja im weiteren Verlauf dieses, daß die organisierte oder gegliederte Arbeit aufgefangen wird in gewissem Sinn von dem Kapital, das sich dann emanzipiert und vollständig in die, man möchte sagen, freie Geistigkeit übergeht. So daß Sie daraus entnehmen können, daß man in der Arbeit nicht etwas von einem unmittelbaren volkswirtschaftlichen Wert hat — das haben wir ja schon auseinandergesetzt —, wohl aber, daß man in der Arbeit dasjenige hat, was den volkswirtschaftlichen Wert bewegt. Das Naturprodukt als solches kommt in die volkswirtschaftliche Zirkulation dadurch hinein, daß es bearbeitet wird. Und die Bearbeitung, die ihm den Wert gibt, die ist eigentlich die Ursache, warum sich zunächst wenigstens innerhalb eines gewissen Gebietes das volkswirtschaftliche Wertobjekt bewegt. Später ist es dann der in dem Kapital wirkende Menschengeist, der die Bewegung fortsetzt. Zunächst haben wir es zu tun mit dem Bewegen; denn sobald wir in die Kapitalsphäre hineinkommen, haben wir es zu tun mit der Bewegung durch das Handelskapital, dann durch das Leihkapital und dann durch das eigentliche Produktionskapital: durch das Industriekapital.

Quand nous parlons maintenant de ce mouvement, nous devons avant tout être clairs sur ce qu'il doit y avoir quelque chose qui apporte des valeurs dans la circulation d’économie de peuple. Et pour nous en sortir, nous devons aujourd'hui déjà une fois nous occuper avec une, j'aimerais dire, question d’économie de peuple quelque peu coton, qui n'est pas à envisager sans plus, quand on n’essaye pas de continuer à chercher ce qui pourra être dit là-dessus, continuer à rechercher et à vérifier les choses dans l'expérience d’économie de peuple.

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Wenn wir nun von dieser Bewegung sprechen, so müssen wir uns vor allen Dingen darüber klar sein, daß etwas da sein muß, das die Werte in die volkswirtschaftliche Zirkulation hineinbringt. Und um da zurechtzukommen, müssen wir uns heute schon einmal beschäftigen mit einer, ich möchte sagen, etwas kniffligen volkswirtschaftlichen Frage, die nicht ohne weiteres einzusehen ist, wenn man nicht versucht, das, was darüber gesagt werden kann, in der volkswirtschaftlichen Erfahrung immer weiter aufzusuchen und gewissermaßen die Dinge zu verifizieren.

Tout d'abord vient en considération ce qu'on peut appeler le gain d’économie de peuple. Mais la question du gain/profit, elle est une question extraordinairement difficile. Car, supposons qu'un achat se joue. A achète à B. Maintenant, on applique généralement le concept de profit au vendeur seul dans la pensée profane. Le vendeur devrait gagner. Alors nous avons en fait seulement l'échange entre ce que l'acheteur donne et ce que le vendeur donne. Mais maintenant, vous ne pourrez par aucun chemin admettre, quand vous y réfléchissez bien, que seul le vendeur gagne dans un achat ou aussi dans un échange ; car si seulement le vendeur gagnait dans le contexte/pendant d’économie de peuple, alors l'acheteur devrait toujours être le désavantage, quand sans plus un échange avait lieu. L'acheteur devrait toujours être la partie lésée. Mais vous admettrez d'emblée que cela ne peut être. Sinon, nous aurions à faire à un sur avantage de l'acheteur à chaque achat, mais c'est quand même entièrement évidemment pas le cas. Car nous savons donc que ceux qui achètent veulent acheter de façon avantageuse et non défavorable. Absolument. Donc aussi l'acheteur peut acheter de telle sorte qu'il a aussi un gain. Nous avons donc l'étrange phénomène que deux échanges et tout le monde doit - au moins dans l'achat et la vente normale - effectivement gagner. C'est beaucoup plus important à suivre dans l'économie pratique de peuple qu'on le pense habituellement.

03

Es kommt zunächst das in Betracht, was man nennen kann den volkswirtschaftlichen Gewinn. Die Gewinnfrage aber, sie ist eine außerordentlich schwierige Frage. Denn, nehmen wir an, daß sich abspielt ein Kauf. Der A kauft beim B. Nun, man wendet gewöhnlich im laienhaften Denken den Begriff des Gewinnes auf den Verkäufer allein an. Der Verkäufer soll gewinnen. Dann haben wir ja eigentlich nur den Austausch zwischen dem, was der Käufer gibt, und dem, was der Verkäufer gibt. Nun werden Sie aber keineswegs, wenn Sie die Sache genau durchdenken, zugeben können, daß bei einem Kauf oder auch bei einem Tausch lediglich der Verkäufer gewinnt; denn wenn lediglich der Verkäufer gewinnen würde im volkswirtschaftlichen Zusammenhang, so würde ja der Käufer immer der Benachteiligte sein müssen, wenn ohne weiteres ein Austausch stattfinden würde. Der Käufer müßte immer der Benachteiligte sein. Das werden Sie aber von vornherein zugeben, daß das nicht sein kann. Sonst würden wir es bei jedem Kauf zu tun haben mit einer Übervorteilung des Käufers; das ist aber doch ganz offenbar nicht der Fall. Denn wir wissen ja, daß derjenige, der kauft, durchaus vorteilhaft kaufen will, nicht unvorteilhaft. Unbedingt. Also auch der Käufer kann so kaufen, daß auch er einen Gewinn hat. Wir haben also die merkwürdige Erscheinung, daß zwei austauschen und jeder muß --- wenigstens im normalen Kaufen und Verkaufen - eigentlich gewinnen. Das ist viel wichtiger zu beachten in der praktischen Volkswirtschaft, als man gewöhnlich denkt.

Supposons donc que je vende quelque chose, que j'obtienne de l'argent pour cela ; ainsi je dois gagner par ce que je cède ma marchandise et reçois de l'argent pour cela. Je dois désirer l'argent plus que la marchandise. L'acheteur doit désirer la marchandise plus que l'argent. Ainsi que, dans l'échange mutuel, a lieu que l’échangé, aussi bien ce qui va plus loin comme ce qui revient, devient de plus de valeur. Ainsi, par le pur échange, ce qui sera échangé prend plus de valeur, aussi bien d'un côté que de l'autre. Maintenant, comment cela peut-il être en fait ?

04

Nehmen wir also an, ich verkaufe irgend etwas, bekomme dafür Geld; so muß ich dadurch gewinnen, daß ich meine Ware weggebe und Geld dafür bekomme. Ich muß das Geld mehr begehren als die Ware. Der Käufer, der muß die Ware mehr begehren als das Geld. So daß beim gegenseitigen Austausch das stattfindet, daß das Ausgetauschte, sowohl das, was hinübergeht, wie das, was zurückgeht, mehr wert wird. Also durch den bloßen Austausch wird dasjenige, was ausgetauscht wird, mehr wert, sowohl auf der einen wie auf der anderen Seite. Nun, wie kann das eigentlich sein?

Cela peut donc seulement être que parce que lorsque je vends quelque chose et que j'obtiens de l'argent pour cela, l'argent me donne la possibilité d'obtenir plus avec cela que celui qui me donne l'argent ; et l'autre qui obtient la marchandise doit obtenir plus avec la marchandise que je peux obtenir avec la marchandise. Il est donc vrai que nous - chacun, l'acheteur et le vendeur - devons nous tenir dans un autre contexte/pendant d’économie de peuple. Cette valorisation plus élevée peut en premier venir en l’état par ce qui se cache derrière la vente et l'achat. Donc je dois, quand je vends, me tenir dans un contexte d’économie de peuple tel que par ce contexte d’économie de peuple l'argent a plus de valeur chez moi que chez l'autre et que chez lui la marchandise a plus de valeur que chez moi par le contexte d’économie de peuple.

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Das kann ja nur dadurch sein, daß, wenn ich etwas verkaufe und Geld dafür bekomme, das Geld mir die Möglichkeit bietet, mehr damit zu erreichen als derjenige, der mir das Geld gibt; und der andere, der die Ware bekommt, muß mit der Ware mehr erreichen, als ich mit der Ware erreichen kann. Es liegt also das vor, daß wir — jeder, der Käufer und der Verkäufer — in einem anderen volkswirtschaftlichen Zusammenhang drinnenstehen müssen. Diese Höherbewertung kann erst durch das zustande kommen, was hinter dem Verkauf und Kauf liegt. Also ich muß, wenn ich verkaufe, in einem solchen volkswirtschaftlichen Zusammenhang drinnenstehen, daß durch diesen volkswirtschaftlichen Zusammenhang bei mir das Geld einen größeren Wert hat als bei dem anderen, und bei ihm die Ware einen größeren Wert hat als bei mir durch den volkswirtschaftlichen Zusammenhang.

De cela ressortira pour vous que, dans l'économie de peuple, il ne peut s’agir seulement, si absolument on achète ou vend, mais il s’agit du contexte d’économie de peuple dans lequel se tiennent l'acheteur et le vendeur. Donc, si nous examinons exactement les choses, nous serons conduits de ce qui se joue immédiatement en un endroit, à nouveau, comme nous avons déjà été conduits, à l'ensemble du contexte d’économie de peuple. Mais, ce contexte d'économie de peuple se dévoile à nous encore en une autre occasion.

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Daraus wird Ihnen aber schon hervorgehen, daß es in der Volkswirtschaft nicht allein darauf ankommen kann, ob man überhaupt kauft oder verkauft, sondern es kommt darauf an, in welchem volkswirtschaftlichen Zusammenhang Käufer und Verkäufer stehen. Wir werden also geführt, wenn wir genau uns die Sachen anschauen, von demjenigen, was sich unmittelbar an einem Orte abspielt, wiederum, wie wir schon öfter geführt worden sind, zum ganzen volkswirtschaftlichen Zusammenhang. Dieser volkswirtschaftliche Zusammenhang enthüllt sich uns aber noch bei einer anderen Gelegenheit.

On peut constater cela quand on part du commerce de troc/d'échange. Fondamentalement, tout de suite une telle considération, comme je l'ai enclenchée maintenant peut donc vous dire : en fait parce que l'argent sera introduit dans une quelque économie de peuple, le commerce de troc ne sera pas complètement surmonté, car on échange simplement des marchandises contre de l'argent. Et tout de suite parce que chacun gagne, nous verrons, que quelque chose de tout autre est l’important que l'un a la marchandise, l'autre l'argent. Ce qui est le plus important, c’est que chacun peut faire avec ce qu'il reçoit, par son contexte d’économie de peuple.

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Das kann man bemerken, wenn man ausgeht zunächst von dem Tauschhandel. Im Grunde genommen gerade eine solche Betrachtung, wie ich sie jetzt angestellt habe, kann Ihnen ja sagen : Eigentlich ist auch dadurch, daß Geld eingeführt wird in irgendeine Volkswirtschaft, der Tauschhandel nicht vollständig überwunden; denn man tauscht halt einfach Waren gegen Geld. Und gerade dadurch, daß jeder gewinnt, werden wir sehen, daß etwas ganz anderes das Wichtige ist, als daß der eine die Ware, der andere das Geld hat. Dasjenige ist das Wichtigste, was jeder mit dem machen kann, was er bekommt, durch seinen volkswirtschaftlichen Zusammenhang.

Mais tournons-nous au commerce de troc le plus primitif pour comprendre plus exactement cette chose. Il nous éclairera d'abord sur ce qui se passe dans un contexte plus complexe d’économie de peuple. Supposez que j'achète des petits pois. Maintenant quand j'achète des petits pois, alors je peux commencer le plus divers avec ces petits pois. Je peux les manger. Supposons donc, quand je soigne du commerce de troc, j'échange des pois contre quelque chose d'autre que j'ai fabriqué, qui est donc marchandise. Alors j'échange des petits pois. Je peux les manger, mais je peux aussi échanger pas mal de petits pois, pas vrai, pas mal de petits pois, et tellement que je ne peux pas finir de les manger alors, même avec une grande famille. Maintenant, je me tourne vers quelqu'un qui peut utiliser ces petits pois et échanger quelque chose que je peux utiliser à nouveau. Je lui donne des petits pois pour ce dont j'ai à nouveau besoin. Les pois sont restés essentiellement les mêmes ; selon l’économie de peuple, ils ne sont absolument pas restés les mêmes du tout. Selon l’économie de peuple, ils ont changé parce que je n'ai pas consommé ces pois moi-même, mais que je les ai amenés plus loin dans la circulation et chez moi créer seulement la transition dans le processus d’économie de peuple. Qu'est-ce que ces pois sont donc devenus chez moi selon l’économie de peuple par un tel processus ? Voyez-vous, il suffisait, disons, de certaines conditions préalables et, en outre, de la disposition légale selon laquelle tout devrait être échangé contre des pois - il faudrait alors produire suffisamment de pois et la disposition légale devrait être là pour que l’on puisse tout échangé contre des pois, alors les pois seraient l'argent. Ainsi, dans le processus d’économie de peuple, les pois sont devenus de l'argent, à juste titre dans le vrai sens du terme, les pois sont devenus de l'argent. Donc, quelque chose ne devient pas de l'argent, parce qu'il est, disons, quelque chose d’autre que ce qu'il est sinon là dans le processus d’économie de peuple, mais parce qu'il subit justement une transformation de marchandises en argent à un endroit déterminé du processus d’économie de peuple. Et tout argent a subi/traversé cela. Tout argent s’est une fois transformé de marchandise en argent.

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Aber wenden wir uns, um diese Sache genauer zu verstehen, zurück zum primitivsten Tauschhandel. Er wird uns dann zunächst beleuchten, was in einem komplizierteren volkswirtschaftlichen Zusammenhang ist. Nehmen Sie an, ich kaufe Erbsen. Nun, wenn ich Erbsen kaufe, dann kann ich mit diesen Erbsen das Verschiedenste anfangen. Ich kann sie essen. Nehmen wir also an, wenn ich Tauschhandel pflege, ich tausche mir Erbsen ein für irgend etwas anderes, das ich fabriziert habe, was also Ware ist. Also ich tausche Erbsen ein. Ich kann sie essen; aber ich kann auch recht viele Erbsen eintauschen, recht, recht viele Erbsen eintauschen, und so viele, daß ich sie dann nicht aufessen kann, selbst mit einer großen Familie nicht aufessen kann. Nun wende ich mich an jemanden, der diese Erbsen brauchen kann und tausche mir bei dem etwas ein, was ich jetzt wiederum brauchen kann. Ich gebe ihm Erbsen für das, was ich nun wiederum brauchen kann. Die Erbsen sind substantiell dasselbe geblieben; volkswirtschaftlich sind sie durchaus nicht dasselbe geblieben. Volkswirtschaftlich haben sie sich dadurch geändert, daß ich diese Erbsen nicht selber konsumiert habe, sondern sie weiter in die Zirkulation gebracht habe und bei mir nur den Übergang im volkswirtschaftlichen Prozeß geschaffen habe. Was sind denn diese Erbsen volkswirtschaftlich jetzt bei mir geworden durch einen solchen Vorgang? Sehen Sie, es brauchte nur, sagen wir, gewisser Voraussetzungen und außerdem noch der gesetzmäßigen Festsetzung, daß man alles für Erbsen eintauschen soll — es müßten genügend Erbsen dann hervorgebracht werden und die gesetzliche Bestimmung müßte da sein, daß man alles für Erbsen eintauschen kann, dann wären die Erbsen das Geld. Es sind also im volkswirtschaftlichen Prozeß die Erbsen Geld geworden, ganz richtig im wahren Sinn des Wortes sind die Erbsen Geld geworden. Also, etwas wird nicht dadurch Geld, daß es, sagen wir, etwas anderes ist, als was sonst im volkswirtschaftlichen Prozeß da ist, sondern dadurch, daß es an einer bestimmten Stelle im volkswirtschaftlichen Prozeß eben eine Umwandlung von Ware in Geld durchmacht. Und das hat alles Geld durchgemacht. Alles Geld hat sich einmal aus Ware in Geld verwandelt.

D'après cela aussi, nous pouvons à nouveau voir que nous pouvons approcher les humains avec le processus d’économie de peuple, que nous ne pouvons rien d'autre que placer les humains dans le processus d’économie de peuple. Maintenant, l'humain sera donc de toute façon déjà placé dans le processus d’économie de peuple en tant que consommateur. Par cela il se tient déjà dedans du début. Et tout de suite lorsqu'il est actif selon l’économie de peuple dans quelque chose qui ne repose pas dans le domaine de la consommation, alors il se place dans un rapport tout autre par son contexte/pendant d’économie de peuple qu’il se place dedans en tant que pur consommateur. Ces choses doivent toutes être prises en compte quand l'on veut travailler à la formation d'un jugement d’économie de peuple. Et les jugements d’économie de peuple doivent être formés dans ce que j'appelle les associations. Il doit donc y avoir dans les associations des gens qui, à partir de la pratique, forment leurs jugements d’après ces points de vue.

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Auch daraus können wir wiederum sehen, daß wir mit dem volkswirtschaftlichen Prozeß an den Menschen herankommen, daß wir also gar nicht anders können, als den Menschen hineinstellen in den volkswirtschaftlichen Prozeß. Nun wird ja ohnedies schon der Mensch in den volkswirtschaftlichen Prozeß hineingestellt als Konsument. Dadurch steht er ja schon von vornherein drinnen. Und gerade, wenn er volkswirtschaftlich in etwas tätig ist, was nicht innerhalb des Gebietes des Konsumierens liegt, dann stellt er sich in ein ganz anderes Verhältnis durch seinen volkswirtschaftlichen Zusammenhang, als er sich hineinstellt als ein bloßer Konsument. Diese Dinge müssen alle berücksichtigt werden, wenn man darauf hinarbeiten will, ein volkswirtschaftliches Urteil zu bilden. Und volkswirtschaftliche Urteile müssen ja in demjenigen gebildet werden, was ich die Assoziationen nenne. Es müssen also in den Assoziationen durchaus Leute sein, die aus der Praxis heraus ihr Urteil nach solchen Gesichtspunkten bilden.

Maintenant, il s’agit ici, que, quand nous avons de la nature transformée ou un travail articulé dans le processus d’économie de peuple, que nous devons alors examiner ce qui dans une certaine mesure amène ces éléments d’économie de peuple en mouvement, en circulation. Hier, il a été rendu attentif à un autre endroit que l'on devrait donc introduire, dans la pensée d’économie de peuple, le travail qui est actif dans le processus d’économie de peuple, justement, par exemple ainsi que le physicien introduit le travail dans sa pensée physique. Là devra alors être dit : Oui, le physicien introduit le travail dans sa pensée physique en formant une formule dans laquelle sont la masse et la vitesse. - N'est-ce pas, mais la masse est quelque chose que nous déterminons par la balance. Nous avons donc une possibilité de déterminer la masse par la balance. Sans pouvoir déterminer la masse par la balance, nous n'aurions rien qui progresse là dans le processus physique de travail. La question doit apparaitre pour nous : est-ce que quelque chose de semblable est maintenant aussi disponible dans le processus d’économie de peuple, de sorte que le travail décerne de la valeur aux choses et que l'intervention spirituelle ultérieure décerne de nouveau de la valeur aux choses ? Y a-t-il quelque chose dans le processus d’économie de peuple qui se laisse comparer, dans une certaine mesure, au poids qu'a un quelque objet, quand l'on veut parler de travail physique chez lui ? Maintenant, quand j'enregistre simplement schématiquement la poursuite des processus particuliers d’économie de peuple, ainsi cela me montre que quelque doit être là, qui amène toute la chose en mouvement, tableau 8 qui dans une certaine mesure presse les éléments économiques d'ici (voir dessin 6) vers ici. Et la chose serait encore plus déterminée Dessin 6/certaine, quand serait pressé non seulement d'ici à ici, mais quand aussi extra de l'autre côté un effet d'aspiration aurait lieu, quand donc l'ensemble/le tout serait propulsé plus loin par une force se trouvant dans le processus d’économie de peuple. Alors quelque chose devrait être là dans ce processus d’économie de peuple qui propulse plus loin.

10

Nun handelt es sich darum, daß wir, wenn wir irgend bearbeitete Natur oder gegliederte Arbeit im volkswirtschaftlichen Prozeß drinnen haben, daß wir dann untersuchen müssen, was gewissermaßen diese volkswirtschaftlichen Elemente in Bewegung, in Zirkulation bringt. Es ist gestern an einer andern Stelle darauf aufmerksam gemacht worden, daß man ja in das volkswirtschaftliche Denken hineinbringen sollte die Arbeit, die im Wirtschaftsprozeß tätig ist, ebenso wie zum Beispiel der Physiker die Arbeit in sein physikalisches Denken hineinbringt. Da muß dann gesagt werden: Ja, der Physiker bringt in sein physikalisches Denken die Arbeit dadurch hinein, daß er eine Formel sich ausbildet, in der Masse und Geschwindigkeit ist. — Nicht wahr, Masse aber ist etwas, was wir durch die Waage bestimmen. Wir haben also eine Möglichkeit, die Masse durch die Waage zu bestimmen. Ohne daß wir die Masse durch die Waage bestimmen könnten, hätten wir nichts, was da fortschreitet im physikalischen Arbeitsprozeß. Die Frage muß für uns entstehen: Ist nun etwas Ähnliches auch vorhanden im volkswirtschaftlichen Prozeß, so daß die Arbeit den Dingen Wert erteilt und auch später das geistige Eingreifen wieder den Dingen Wert erteilt? Ist im volkswirtschaftlichen Prozeß etwas drinnen, das sich vergleichen läßt gewissermaßen mit dem Gewichte, das irgendein Gegenstand hat, wenn man bei ihm reden will von physikalischer Arbeit? Nun, wenn ich einfach schematisch aufzeichne den Fortgang der volkswirtschaftlichen Einzelprozesse, so zeigt mir das, daß etwas da sein muß, das die ganze Sache in Bewegung Tafel 8 bringt, das gewissermaßen die volkswirtschaftlichen Elemente von hier (siehe Zeichnung 6) nach hier drückt. Und die Sache würde  Zeichnung 6 noch bestimmter sein, wenn nicht nur von hier nach hier gedrückt würde, sondern wenn auch extra von der anderen Seite eine Saugwirkung stattfinden würde, wenn also das Ganze durch eine im volkswirtschaftlichen Prozeß befindliche Kraft weitergetrieben würde. Dann müßte in diesem volkswirtschaftlichen Prozeß etwas da sein, was weitertreibt.

Maintenant, qu'est-ce que c’est qui là propulse plus loin ? Je vous l’ai montré à l’instant que certaines forces émergent constamment, aussi bien chez l'acheteur que chez le vendeur ; chez chacun qui a quelque chose à faire avec l'autre dans le processus d’économie de peuple, pas du tout dans le sens moral, mais dans le sens purement d’économie de peuple, apparait avantage et gain. Ainsi qu'il n'y a aucun endroit dans le processus d’économie de peuple où il ne doit être parlé d'avantage et de gain/bénéfice. Et ce gain, il n'est pas quelque chose de purement abstrait ; à ce gain, pends le désir économique immédiat de l'humain et il doit y pendre. Si le concerné est acheteur ou vendeur, son désir économique pend à ce gain, à cet avantage. Et cet attachement à cet avantage est ce qui produit en fait l'ensemble du processus d’économie de peuple, qui est la force en lui. C'est ce qui représente la masse dans le processus de travail physique.

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Nun, was ist das, was da weitertreibt? Ich habe es Ihnen gerade vorhin gezeigt, daß fortwährend gewisse Kräfte entstehen, sowohl beim Käufer wie beim Verkäufer; bei jedem, der mit dem anderen etwas zu tun hat im volkswirtschaftlichen Prozeß, gar nicht im moralischen Sinn, sondern im rein volkswirtschaftlichen Sinn, entsteht Vorteil und Gewinn. So daß es keine Stelle im volkswirtschaftlichen Prozeß gibt, wo nicht von Vorteil und Gewinn gesprochen werden muß. Und dieser Gewinn, der ist nicht etwas bloß Abstraktes ; dieser Gewinn, an dem hängt das unmittelbare wirtschaftliche Begehren des Menschen und muß daran hängen. Ob der Betreffende Käufer oder Verkäufer ist, es hängt sein wirtschaftliches Begehren an diesem Gewinn, an diesem Vorteil. Und dieses Hängen an diesem Vorteil ist dasjenige, was eigentlich den ganzen volkswirtschaftlichen Prozeß hervorbringt, was die Kraft in ihm ist. Es ist dasjenige, was beim physikalischen Arbeitsprozeß die Masse darstellt.

Réfléchissez qu’on a en fait montré quelque chose d'extraordinairement de poids dans le processus d’économie de peuple, on aimerait dire quelque chose de vraiment de poids. N’est-ce pas, le poids intervient le plus souvent dans les produits purement matériels, dans les produits que l'estomac désire. C’est pourquoi l'estomac explique que toutefois pour l'acheteur, disons, le fruit est plus avantageux que l'argent au moment où il soigne l'échange. Là nous avons donc absolument en l'humain lui-même ce moteur qui là, propulse. Mais nous avons aussi ce moteur de propulsion pour d'autres choses que ce qui représente seulement des biens matériels. Réfléchissez seulement une fois que donc cette humeur/ambiance, à se vivre dans l'avantage, dans le gain, est aussi disponible lorsque je vends, reçoit de l'argent : je sais que maintenant par mes facultés je peux faire plus avec cet argent qu’avec les marchandises que j’ai. Là, j'interviens déjà avec mes capacités spirituelles.

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Bedenken Sie, daß man damit eigentlich etwas außerordentlich Gewichtiges im volkswirtschaftlichen Prozeß aufgezeigt hat, man möchte sagen, etwas wirklich Gewichtiges. Nicht wahr, das Gewicht tritt ja am meisten hervor bei den rein materiellen Erzeugnissen, bei den Erzeugnissen, die der Magen begehrt. Daher erklärt der Magen, daß allerdings für den Käufer, sagen wir, das Obst vorteilhafter ist als das Geld in dem Moment, wo er den Tausch besorgt. Da haben wir also durchaus in dem Menschen selber diesen Motor, der da treibt. Aber auch bei anderem als bei dem, das nur materielle Güter darstellt, haben wir diesen treibenden Motor. Bedenken Sie nur einmal, daß ja diese Stimmung, in Vorteil, in Gewinn sich hineinzuleben, auch vorhanden ist, wenn ich verkaufe, Geld bekomme : ich weiß, daß ich nun durch meine Fähigkeiten mit diesem Gelde mehr machen kann als mit den Waren, die ich habe. Da schon greife ich mit meinen geistigen Fähigkeiten ein.

Et transférez-vous cela une fois maintenant à la somme d'ensemble du capital de prêt dans un organisme d’économie de peuple, là vous verrez très vite que ceux qui veulent entreprendre ou exécuter quelque chose et ont besoin de capital de prêt pour cela, ont justement exactement le même moteur dans le besoin de capital de prêt, qui repose dans l’aspiration au gain. Mais le capital de prêt œuvre en fait, quand je considère le gain comme une poussée, comme aspirant ; il œuvre comme suçant, mais dans la même direction où poussent les gains. Ainsi, que dans les bénéfices/gains et dans le capital de prêt, nous avons absolument ce qui presse et aspire dans le processus d’économie de peuple.

13

Und übertragen Sie sich das jetzt einmal auf die gesamte Summe des Leihkapitals in einem volkswirtschaftlichen Körper, da werden Sie sehr bald sehen können, daß diejenigen, die irgend etwas unternehmen oder ausführen wollen und dazu Leihkapital brauchen, eben in dem Bedürfnis nach Leihkapital ganz genau denselben Motor haben, welcher liegt im Gewinnstreben. Nur wirkt das Leihkapital eigentlich, wenn ich den Gewinn als ein Schieben betrachte, wie aufsaugend; es wirkt saugend, aber nach derselben Richtung hin, wohin auch die Gewinne drücken. So daß wir in den Gewinnen und im Leihkapital durchaus dasjenige haben, was im volkswirtschaftlichen Prozeß drückt und saugt.

Nous recevons par cela une façon claire de voir que, aussi loin que le processus d’économie de peuple consiste en fait seulement dans le mouvement et par le mouvement dans le processus d’économie de peuple, tout en fait devrait être effectué qui peut être effectué par lui, que partout dans ce processus économique nous devons insérer les humains, devons placer les humains dedans. Cela peut donc être quelque chose d’inconfortable pour l'économie objective de peuple, parce que l'humain est une sorte de grandeur incommensurable, parce qu'il est changeant, parce qu'on doit compter sur lui de différentes manières ; mais cela est maintenant une fois là et il devra être compté avec lui de différentes manières.

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 Wir bekommen dadurch eine deutliche Anschauung davon, daß, insofern der volkswirtschaftliche Prozeß eigentlich nur in der Bewegung besteht und durch die Bewegung im volkswirtschaftlichen Prozeß alles eigentlich bewirkt werden soll, was durch ihn bewirkt werden kann, daß wir überall in diesen volkswirtschaftlichen Prozeß den Menschen einfügen müssen, den Menschen hineinstellen müssen. Das kann ja für die objektive Volkswirtschaft etwas unbequem sein, weil der Mensch eine Art von inkommensurabler Größe ist, weil er wandelbar ist, weil man in verschiedener Weise auf ihn rechnen muß; aber das ist nun einmal da und es muß mit ihm in verschiedener Weise gerechnet werden.

Mais maintenant nous voyons déjà que dans le prêter à lieu une sorte d'effet de succion dans le processus d’économie de peuple. Vous savez donc qu’il y a eu des temps dans lesquels prendre de l’intérêt pour du prêté était considéré comme immoral. Et c'était seulement moral de prêter sans intérêt. Là il n'y aurait eu aucun avantage au prêter. Dans le fait, à l'origine, le prêter ne partait pas de l'avantage que l’on a par le prêter, de l'intérêt ; mais le prêter partait sous des conditions plus primitives qu’elles ne sont aujourd'hui, de la condition préalable que quand je prête quelque chose à quelqu'un et qu'il peut en faire quelque chose que je ne peux faire - disons seulement : il est dans le besoin et il peut répondre à ses besoins, quand je suis en état de lui prêter quelque chose -, qu'il ne me paie pas maintenant des intérêts élevés, mais si à nouveau j'ai besoin de quelque chose, il m'aide aussi à nouveau. Partout où vous remonterez dans l'histoire, vous verrez que la condition préalable au prêt est que l'autre prête à nouveau quand c'est nécessaire.

15

 Nun sehen wir aber schon, daß beim Leihen eine Art von Saugwirkung stattfindet innerhalb des volkswirtschaftlichen Prozesses. Sie wissen ja, daß es Zeiten gegeben hat, in denen das Zinsnehmen für Geliehenes als unmoralisch galt. Und es galt nur als moralisch, zinslos zu leihen. Da wäre kein Vorteil gewesen bei dem Leihen. In der Tat : das Leihen ging eigentlich ursprünglich nicht aus von dem Vorteil, den man durch das Leihen hat, von dem Zins; sondern das Leihen ging unter primitiveren Verhältnissen, als die heutigen sind, aus von der Voraussetzung, daß, wenn ich jemand etwas leihe und der kann etwas damit machen, was ich nicht machen kann — sagen wir nur : er ist in Not und er kann seiner Not abhelfen, wenn ich ihm etwas zu leihen imstande bin —, daß er mir jetzt nicht hohen Zins bezahlt, sondern daß, wenn ich wiederum etwas brauche, er mir auch wiederum aushilft. Überall in der Geschichte, wo Sie zurückgehen, werden Sie sehen, daß die Voraussetzung des Leihens die ist, daß der andere wiederum zurückleiht, wenn es nötig ist.

Cela sera même transféré sur les rapports sociaux les plus compliqués. Par exemple, vous avez cela quand, disons, quelqu'un emprunte quelque chose à un établissement de prêt/crédit, et il a besoin pour cela de deux propriétaires (NDT : lit : deux se tenant sur des biens) pour cela, qui viennent là et doivent le cautionner, que les établissements de crédit ont alors toujours fait l'expérience particulière que même pour ce service, la réciprocité joue un rôle extraordinairement important. Car lorsque A vient dans un établissement de crédit et amène B et C avec lui, qui sont cautions, qui donc enregistrent leur nom comme caution, alors les établissements de crédit comptent toujours sur ce que B vienne et amène A et C avec lui, et lorsque B a payé la chose, alors C vient et amène A et B avec lui comme caution. Et cela vaut parmi certains humains, comme quelque chose d’entièrement évident. De sorte que des économistes prétendent qu’une telle légalité serait à affirmer avec les mêmes droits comme une quelque chose qui est fixée par des formules mathématiques. Maintenant, ces choses sont naturellement à comprendre avec le fameux grain de sel, on doit toujours compter là avec l'ingrédient nécessaire. Mais cela appartient aussi en fait à la flexibilité du processus d’économie de peuple, que l'on peut y compter.

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 Das wird sogar auf die komplizierteren sozialen Verhältnisse übertragen. Sie haben das zum Beispiel, wenn, sagen wir, jemand bei einer Leihanstalt etwas ausleiht, und er braucht dazu zwei Gutsteher, die da kommen und für ihn gutstehen müssen, daß die Leihanstalten dann immer die eigentümliche Erfahrung gemacht haben, daß selbst für diesen Dienst die Gegenseitigkeit eine außerordentlich große Rolle spielt. Denn, wenn der A kommt zu einer Leihanstalt und bringt den B ûnd C mit, die Gutsteher sind, die also ihre Namen eintragen als Gutstehende, so rechnen die Leihanstalten immer darauf, daß dann der B kommt und bringt den A und C mit, und wenn der B die Sache bezahlt hat, dann kommt der C und bringt den A und B mit als Gutsteher. Und es gilt das unter gewissen Menschen als etwas ganz Selbstverständliches. So daß Volkswirtschafter behaupten, eine solche Gesetzmäßigkeit sei mit demselben Rechte zu behaupten, wie irgend etwas, was durch mathematische Formeln festgesetzt ist. Nun sind natürlich diese Dinge mit dem bekannten Gran Salz zu verstehen; man muß da immer mit der nötigen Zutat rechnen. Aber das gehört eigentlich auch in die Beweglichkeit des volkswirtschaftlichen Prozesses hinein, daß man damit rechnen kann.

Ainsi qu'on peut dire : à l'origine, la rétribution/la contrepartie du prêt est purement la condition préalable que l'emprunteur prête de nouveau, respectivement quand il ne prête pas de nouveau à l’un, l'aide au moins à son propre prêt, quand on l'a aidé lors du prêter. Il vient tout de suite lorsqu'il s'agit du prêter que la réciprocité humaine entre de manière flagrante dans le processus d’économie de peuple.

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 So daß man sagen kann : Ursprünglich ist das Entgelt des Leihens bloß die Voraussetzung, daß einem der Beliehene wieder leiht, beziehungsweise wenn er einem nicht wieder leiht, wenigstens beim eigenen Leihen hilft, wenn man ihm beim Leihen geholfen hat. Es kommt gerade, wenn es sich um das Leihen handelt, die menschliche Gegenseitigkeit in einer ganz eklatanten Weise in den volkswirtschaftlichen Prozeß hinein.

Qu'est donc alors l'intérêt quand les choses sont ainsi ? L'intérêt – cela a déjà été remarqué par certains économistes de peuple – l’intérêt est ce que je reçois lorsque je renonce à la réciprocité, quand donc je prête quelque chose à quelqu'un et que je conviens avec lui qu'il n'a jamais besoin de me prêter ; alors, lorsque je renonce à la réciprocité, alors il me paie l’intérêt pour cela. L'intérêt est pour ainsi dire le remplacement/la purge pour quelque chose qui joue entre humain et humain, c'est la vengeance/la représaille pour ce qui joue comme réciprocité humaine dans le processus d’économie de peuple.

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Was ist denn dann, wenn die Dinge so sind, der Zins? Der Zins -das ist übrigens schon von einzelnen Volkswirtschaftern bemerkt worden —, der Zins ist dasjenige, das ich bekomme, wenn ich auf die Gegenseitigkeit verzichte, wenn ich also jemand etwas leihe und ausmache mit ihm, daß er mir niemals etwas zu leihen braucht; dann, wenn ich also auf diese Gegenseitigkeit verzichte, dann bezahlt er mir dafür den Zins. Der Zins ist die Ablösung geradezu für etwas, was zwischen Mensch und Mensch spielt, ist die Vergeltung für dasjenige, was im volkswirtschaftlichen Prozeß als menschliche Gegenseitigkeit spielt.

Aujourd'hui, nous voyons là monter quelque chose que nous devons seulement placer de la manière correcte dans l'ensemble du processus d’économie de peuple. Nous devons naturellement toujours garder à l’œil en cela qu'il y a aujourd'hui seulement un sens à considérer de tels processus d’économie de peuple qui se tiennent entièrement sous le signe de la division du travail. Quand le travail sera divisé, alors se passe que les humains sont avisés dans un degré beaucoup plus élevé sur la réciprocité que quand chacun non seulement se cultive son propre chou, mais fabrique aussi ses propres bottes et chapeaux. Avec la division du travail vient l'être dépendant de la réciprocité. Et ainsi nous voyons dans la division du travail un processus qui se déroule en fait ainsi que les courants particuliers divergent/sortent les uns des autres. Tableau 8

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Nun sehen wir da etwas auftreten, was wir nur in der richtigen Weise hineinstellen müssen in den ganzen volkswirtschaftlichen Prozeß. Wir müssen dabei natürlich immer ins Auge fassen, daß es ja heute nur einen Sinn hat, solche volkswirtschaftliche Prozesse zu betrachten, die ganz im Zeichen der Arbeitsteilung stehen; denn mit solchen haben wir es ja im wesentlichen zu tun. Wenn die Arbeit auseinandergeteilt wird, dann geschieht das, daß die Menschen in einem viel höheren Grade auf die Gegenseitigkeit angewiesen sind, als wenn jeder sich nicht nur seinen eigenen Kohl baut, sondern auch seine eigenen Stiefel und Hüte fabriziert. Mit der Arbeitsteilung kommt das Angewiesenwerden auf die Gegenseitigkeit. Und so sehen wir in der Arbeitsteilung einen Prozeß, der eigentlich so verläuft, daß die einzelnen Strömungen auseinandergehen. Tafel 8

Mais dans l'ensemble du processus d’économie de peuple, nous voyons à nouveau apparaître que tous ces courants veulent s'unir, seulement d'une autre manière, à travers l'échange correspondant, qui se déroule/s’accomplit dans le processus complexe d’économie de peuple à l'aide de l'argent. La division du travail rend donc la réciprocité nécessaire à un certain niveau, c'est-à-dire la même chose dans le rapport humain que nous trouvons, par exemple, dans le gager. Là où beaucoup sera prêté, là nous avons ce principe de réciprocité dedans, mais qui pourra maintenant être remplacé par l’intérêt. Alors, nous avons la réciprocité réalisée dans l'intérêt. Nous l'avons seulement transformé en la forme abstraite de l'argent. Mais les forces de la réciprocité sont justement simplement l'intérêt, sont métamorphosées, sont devenues autre chose. Ce que nous voyons là très clairement lors du payer l'intérêt, cela se produit cependant partout dans le processus d’économie de peuple. Dessin 7

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Aber wir sehen im ganzen volkswirtschaftlichen Prozeß wiederum das auftreten, daß alle diese Strömungen sich vereinigen wollen, nur in einer anderen Weise, durch den entsprechenden Austausch, der sich also im komplizierten volkswirtschaftlichen Prozeß mit Hilfe des Geldes vollzieht. Die Arbeitsteilung macht also notwendig auf einer gewissen Stufe die Gegenseitigkeit, das heißt dasselbe im menschlichen Verkehr, was wir finden zum Beispiel beim Beleihen. Wo viel geliehen wird, da haben wir drinnen dieses Prinzip der Gegenseitigkeit, das aber nun abgelöst werden kann durch den Zins. Dann haben wir im Zins die realisierte Gegenseitigkeit. Wir haben sie nur in die abstrakte Form des Geldes verwandelt. Aber die Kräfte der Gegenseitigkeit sind eben einfach der Zins, sind metamorphosiert, sind etwas anderes geworden. Was wir da ganz deutlich sehen beim Zinszahlen, das findet aber überall im volkswirtschaftlichen Prozeß statt. Zeichnung 7

Là-dessus repose la grande difficulté, elle consiste dans former des représentations d’économie de peuple ; car vous ne pouvez pas du tout former des représentations d’économie de peuple autrement que juste en ce que vous saisissiez par la force de l'image. Les concepts ne vous permettent pas du tout de saisir le processus d’économie de peuple, vous devez le saisir en images. C'est ce qui sera aujourd’hui maintenant éprouvé extraordinairement incommode/inconfortable de toute érudition, quand n’importe où sera exigé que quelque chose devrait passer de la pure abstraction des concepts à ce qui a force d'image. Mais nous ne pourrons jamais fonder une véritable science de l’économie de peuple sans passer à des représentations picturales, sans que nous arrivions donc dans la situation de nous représenter à force d’images les processus particuliers de détails d’économie de peuple de manière picturale et les représenter de telle sorte que nous ayons quelque chose de dynamique dans l'image elle-même et sachions comment œuvre un tel processus de détails d’économie de peuple quand il est conçu d'une manière ou d'une autre.

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 Darauf beruht die große Schwierigkeit, die besteht beim Bilden von volkswirtschaftlichen Vorstellungen; denn Sie können gar nicht anders volkswirtschaftliche Vorstellungen bilden, als lediglich indem Sie etwas bildhaft auffassen. Begriffe gestatten Ihnen gar nicht, den volkswirtschaftlichen Prozeß zu erfassen, Sie müssen ihn in Bildern erfassen. Das ist dasjenige, was heute nun von aller Gelehrtheit außerordentlich unbequem empfunden wird, wenn irgendwo gefordert wird, daß etwas übergehen soll aus der bloßen Abstraktheit der Begriffe in die Bildhaftigkeit. Wir werden aber niemals eine wirkliche Volkswirtschaftswissenschaft begründen können, ohne daß wir zu bildhaften Vorstellungen übergehen, ohne daß wir also in die Lage kommen, uns die einzelnen volkswirtschaftlichen Detailprozesse bildhaft vorzustellen und sie so vorzustellen, daß wir im Bilde selber etwas Dynamisches drinnen haben und wissen, wie solch ein volkswirtschaftlicher Detailprozeß wirkt, wenn er so oder so gestaltet ist.

Vous comprendrez correctement ce qui est en fait pris en considération lorsque vous vous dites qu'en fin de compte, il se tient aussi des humains dans le processus d'économie de peuple, bien qu'à des niveaux plus primitifs, qui en fait dans le sens où vous l’avez appris ou du moins auriez dû l’apprendre au cours de vos études, qui ne peuvent penser dans le/ce sens. Ces gens peuvent parfois être d'excellents économistes, ils peuvent parfois ressentir tout à fait excellemment, si une quelque chose pourra être ou non achetée, s'il y a ou non un avantage quand j’achète une quelque chose. Ainsi, sous circonstances, un agriculteur qui n'a aucune brume bleue de concepts d’économie de peuple, a encore beaucoup moins que cela, et qui, lorsqu'il a atteint un certain âge, n'a fait que regarder les rapports de marché ici ou là dans son voisinage - peut savoir très correctement - il peut naturellement se tromper, mais on peut donc cela aussi quand vous on a propulsé de la logique d’économie de peuple, il s’agit seulement que les erreurs ne prévalent pas - il saura absolument, sans avoir pied sur des concepts, ce que signifie l'image quand il donne une certaine somme d'argent pour un cheval ou pour une charrue. Ce tableau qui s’assemble à lui - une certaine somme d'argent et une charrue -, provoque en lui immédiatement le sentiment qu'il peut encore donner autant d'argent ou qu'il ne peut plus le donner. Il l'a immédiatement de l'expérience éprouvée. Maintenant, cette expérience éprouvée n’est pas à déconnecter, aussi dans le processus d’économie de peuple le plus compliqué. C’est du représenter à force d’image.

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Was da eigentlich in Betracht kommt, das werden Sie dann richtig verstehen, wenn Sie sich sagen, daß ja schließlich auch im volkswirtschaftlichen Prozeß, wenn auch auf primitiveren Stufen, Menschen drinnen stehen, die eigentlich in dem Sinn, wie Sie es im Verlaufe Ihrer Studien gelernt haben oder wenigstens hätten lernen sollen, die in dem Sinn nicht denken können. Diese Leute können manchmal ganz ausgezeichnete Wirtschafter sein, können manchmal ganz ausgezeichnet empfinden, ob irgend etwas gerade noch gekauft werden kann oder nicht gekauft werden kann, ob es Vorteil gibt oder nicht Vorteil gibt, wenn ich irgend etwas kaufe. So wird unter Umständen ein Bauer, der von volkswirtschaftlichen Begriffen keinen blauen Dunst hat, noch viel weniger als das hat, und der, wenn er ein gewisses Alter erreicht hat, sich eben -nur angeschaut hat da oder dort in seiner Nähe die Marktverhältnisse, ganz richtig wissen — er kann sich natürlich irren, aber das kann man ja auch, wenn man volkswirtschaftliche Logik getrieben hat, es handelt sich ja nur darum, daß die Irrtümer nicht überwiegen —, der wird durchaus wissen, ohne auf Begriffen zu fußen, was das Bild bedeutet, wenn er eine gewisse Summe Geldes für ein Pferd gibt oder für einen Pflug gibt. Dieses Bild, das sich ihm zusammenstellt --r eine gewisse Summe Geldes und ein Pflug —, das ruft in ihm unmittelbar die Empfindung hervor : er kann noch so viel Geld geben oder er kann es nicht mehr geben. Er hat es unmittelbar aus der empfundenen Erfahrung. Nun, auch im allerkompliziertesten volkswirtschaftlichen Prozeß ist diese empfundene Erfahrung nicht auszuschalten. Das ist aber bildhaftes Vorstellen.

Le représenter abstrait serait fructueux si nous pouvions dire : quelque chose est une marchandise, quelque chose est de l'argent, et nous marchandons marchandise contre argent et argent contre marchandise. - Si nous pouvions dire cela, là la chose serait simple ; mais je vous ai donc tout de suite montré avant que même les pois pourraient devenir de l'argent. Ce n'est pas du tout vrai que nous avons quelque chose de cela dans le processus d’économie de peuple en y intégrant des concepts. Nous avons en premier quelque chose quand nous y travaillons des façons de voir en lui. Quand donc nous avons la façon de voir : là les petits pois passent de la table du marché seulement dans les bouches des gens, alors nous avons une certaine image. Quand nous avons l'autre façon de voir : là, les pois seront utilisés comme de l'argent, alors nous avons une autre image.

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Abstraktes Vorstellen würde fruchtbar sein, wenn wir sagen könnten: Etwas ist Ware, etwas ist Geld, und wir handeln Ware für Geld und Geld für Ware. — Wenn wir das sagen könnten, da wäre die Sache einfach; aber ich habe Ihnen ja doch gerade vorhin gezeigt: selbst Erbsen könnten Geld werden. Es ist gar nicht wahr, daß wir im volkswirtschaftlichen Prozeß etwas davon haben, wenn wir Begriffe in ihn hineinarbeiten. Wir haben erst etwas, wenn wir Anschauungen in ihn hineinarbeiten. Wenn wir also die Anschauung haben: da wandern die Erbsen von dem Markttisch nur in die Münder der Leute, dann haben wir ein bestimmtes Bild. Wenn wir die andere Anschauung haben : da werden die Erbsen als Geld verwendet, dann haben wir ein anderes Bild.

Et sur de telles images - des images de ce qui est immédiatement illustratif - devra être travaillé, aussi dans l'économie de peuple. Mais cela signifie en d'autres termes : quand nous voulons gérer/propulser correctement une économie de peuple, nous devons absolument être à l'aise pour nous embarquer à la production, au commerce et à la consommation d'une manière ayant force d’image. Nous devons absolument nous impliquer dans le processus réel, alors nous recevons des représentations approximatives - aussi seulement des représentations approximatives, mais quand même des représentations approximatives telles que celles-ci nous servent à quelque chose quand ce que nous ne savons pas éprouver nous-mêmes, dont nous n’avons pas nous même fait des images en éprouvant, quand cela nous est corrigé par les autres qui sont liés avec nous en associations. Il n'y a pas d'autre possibilité que de ne pas construire le jugement économique sur la théorie, mais de le construire sur l'association vivante, où les jugements sensibles des humains sont maintenant vraiment/réellement efficaces, où à partir de l'association, il pourra être fixé comment peut être la valeur d’une quelque chose des expériences immédiates.

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Und auf solche Bilder — Bilder aus dem unmittelbar Anschaulichen — muß hingearbeitet werden, auch in der Volkswirtschaft. Das heißt aber mit anderen Worten: Wenn wir Volkswirtschaft richtig treiben wollen, müssen wir uns bequemen, in bildhafter Weise uns einzulassen auf Produktions-, Handels- und Konsumtionsereignisse. Wir müssen uns auf den realen Prozeß durchaus einlassen, dann bekommen wir annähernde Vorstellungen — auch nur annähernde Vorstellungen, aber doch solche annähernde Vorstellungen, daß uns diese etwas nutzen, wenn wir im Wirtschaftsleben selbst drinnen handeln sollen, und daß sie uns vor allen Dingen etwas nutzen, wenn das, was wir nicht selber empfindend wissen, woraus wir nicht selber uns empfindend Bilder gemacht haben, wenn das uns korrigiert wird durch die anderen, die mit uns in Assoziationen verbunden sind. Es gibt keine andere Möglichkeit, als das wirtschaftliche Urteil nicht zu bauen auf Theorie, sondern es zu bauen auf die lebendige Assoziation, wo die empfindenden Urteile der Menschen nun real wirksam sind, wo aus der Assoziation heraus fixiert werden kann aus den unmittelbaren Erfahrungen, wie der Wert von irgend etwas sein kann.

Aussi étrange que cela sonne, qu’on ne dise pas : on peut théoriquement déterminer en quoi peut consister la valeur d'un produit - mais qu’on dise : Un produit entre dans les processus d’économie de peuple par le processus d’économie de peuple et ce qu'il vaut à un endroit déterminé, l'association a à en juger.

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So sonderbar das klingt, man sage nicht: Man kann theoretisch bestimmen, worinnen der Wert eines Produktes bestehen kann — sondern man sage : Ein Produkt kommt durch die volkswirtschaftlichen Vorgänge in den volkswirtschaftlichen Prozeß hinein und was es wert ist an einer bestimmten Stelle, das hat zu beurteilen die Assoziation.

Sur quoi cela se base-t-il donc, que de tels jugements puissent se former qui maintenant vraiment, quand ils apparaissent de la manière correcte dans le processus d’économie de peuple, atteigne aussi le correct, sur quoi cela repose-t-il donc ? Sur quoi cela repose, cela vous pouvez le mieux envisager par analogie avec un quelque organisme humain ou animal. Cet organisme humain ou animal il élabore les aliments qui y pénètrent. Si, par exemple, je dois attirer votre attention sur quelque chose de scientifique dans ce domaine, j’aimerais dire que l'humain absorbe la nourriture, l'entrelace avec de la ptyaline, de la pepsine, la propulse par son estomac, la propulse par ses intestins. Ce qui est nécessaire là, peu importe, si de la viande ou des plantes sont la nourriture, ce qui sera propulsé dedans, devra tout d'abord être tué, paralysé. La vie doit être hors de ce que nous avons dans les intestins. Là, ce que nous avons dans les intestins sera absorbé/aspiré par les glandes lymphatiques et ressuscité en nous-mêmes, de sorte que ce qui passe donc alors des glandes lymphatiques aux vaisseaux lymphatiques dans le sang, que ce sont des produits naturels rendus morts ressuscités, de sorte animale ou végétale. Si vous vouliez seulement déterminer théoriquement combien là une glande lymphatique devrait absorber pour la réanimation/revivification, alors vous ne le pourriez pas ; car chez un des humains une glande lymphatique doit absorber plus, chez un autre une glande lymphatique doit absorber moins. Mais pas seulement cela, mais chez le même humain, une glande lymphatique située à un endroit doit absorber plus, une glande lymphatique située à un autre endroit moins. C'est un processus extraordinairement compliqué, la digestion. Aucune science humaine ne pourrait être à la hauteur de cette sagesse des glandes lymphatiques, qui se partagent toutes si admirablement le travail. Ici nous n’avons justement pas à faire avec les jugements rendus, mais avec des jugements œuvrant réellement. En fait, entre nos intestins et nos vaisseaux sanguins, se joue une telle somme de raison synthétique que vous ne trouverez rien en science humaine qui se laisse comparer avec cela.

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Worauf beruht es denn, daß sich solche Urteile bilden können, die nun wirklich, wenn sie in der richtigen Weise entstehen im volkswirtschaftlichen Prozeß, auch das Richtige treffen, worauf beruht denn das? Worauf das beruht, das können Sie am besten einsehen durch Analogie mit irgendeinem menschlichen oder tierischen Organismus. Dieser menschliche oder tierische Organismus, der verarbeitet die Nahrungsmittel, die in ihn hineinkommen. Wenn ich Sie zum Beispiel dabei aufmerksam machen soll auf etwas, was auf diesem Gebiete wissenschaftlich ist, so möchte ich sagen : Der Mensch nimmt die Nahrung auf, durchsetzt sie mit Ptyalin, Pepsin, treibt sie durch seinen Magen, treibt sie durch seine Gedärme. Dasjenige, was da notwendig ist, gleichgültig, ob Fleisch oder Pflanzen die Nahrung sind, was da hineingetrieben wird, muß zunächst abgetötet, abgelähmt werden. Das Leben muß heraus sein aus dem, was wir in den Gedärmen haben. Da wird dasjenige, was wir in den Gedärmen haben, aufgesogen durch die Lymphdrüsen und in uns selber wieder neu belebt, so daß also dasjenige, was dann von den Lymphdrüsen aus durch die Lymphgefäße geht in das Blut hinein, daß das wiederbelebte abgestorbene Naturprodukte sind, tierischer oder pflanzlicher Art. Wenn Sie nur bestimmen wollten theoretisch, wieviel da eine Lymphdrüse aufnehmen soll zur Wiederbelebung, dann würden Sie das nicht können; denn bei dem einen Menschen muß eine Lymphdrüse mehr, beim andern muß eine Lymphdrüse weniger aufnehmen. Aber nicht nur das, sondern beim selben Menschen muß eine an einem Orte gelegene Lymphdrüse mehr, eine am andern Orte gelegene Lymphdrüse weniger aufnehmen. Das ist ein außerordentlich komplizierter Prozeß, das Verdauen. Keine menschliche Wissenschaft könnte nachkommen dieser Weisheit der Lymphdrüsen, die sich alle so hübsch in die Arbeit teilen. Wir haben es da eben nicht zu tun mit den gefällten Urteilen, sondern mit real wirkenden Urteilen. Tatsächlich, zwischen unseren Gedärmen und unseren Blutadern spielt sich eine solche Summe von Vernunft ab, daß Sie in menschlicher Wissenschaft noch lange nicht irgend etwas finden, was sich mit dem vergleichen läßt.

Ainsi seulement aussi est-il possible, lorsque la raison synthétique autoactive se fait valoir dans les processus d’économie de peuple que celui-ci est dans une constitution saine. Mais cela ne peut être d’une autre manière que par ce que les humains sont unis, qui maintenant vraiment en images occupent le processus d’économie de peuple morceau pour morceau et par ce qu’ils sont unis dans les associations, se complètent mutuellement, se corrigent mutuellement justement, de sorte que la circulation correcte puisse avoir lieu dans le processus d’économie de peuple.

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So nur auch ist es möglich, wenn in dieser Weise selbsttätige Vernunft sich geltend macht im volkswirtschaftlichen Prozesse, daß dieser in gesunder Konstitution ist. Das kann aber nicht auf andere Weise sein, als daß die Menschen vereinigt sind, die nun wirklich in Bildern den volkswirtschaftlichen Prozeß Stück für Stück innehaben und dadurch, daß sie vereinigt sind in den Assoziationen, eben sich gegenseitig ergänzen, gegenseitig korrigieren, so daß die richtige Zirkulation im volkswirtschaftlichen Prozeß vor sich gehen kann.

Maintenant, il s’agit naturellement de ce que l'on a besoin d'une telle opinion face à une telle chose, mais que l’opinion seule n'est pas suffisante. Vous pouvez, ma foi, créer des associations qui ont de fortes vues économiques ; si quelque chose n’est pas dans ces associations, ainsi ces vues n'aideront pas beaucoup non plus. À l'intérieur de ces associations doit se trouver ce que l'on aura justement à l'intérieur, quand de telles associations seront seulement reconnues comme nécessaires ; à l'intérieur de ces associations devra se trouver le bon sens, le vrai sens pour tout le cours du processus entier d’économie de peuple. Car l'individu qui consomme immédiatement ce qu'il achète, il peut seulement satisfaire son sens égoïste. Il marcherait aussi très mal s'il ne satisfaisait pas son sens égoïste. Il lui est impossible de dire, quand il se tient comme individu dans l'économie de peuple, si quelqu'un lui offre un costume, disons, pour quarante francs : ça ne me va pas, je te donne soixante francs. – Cela ne va pas. C'est quelque chose à quoi l'individu ne peut rien faire dans le processus d’économie de peuple. Par contre, à l’instant où l'être associatif se place dans le processus d’économie de peuple, à cet instant l'intérêt personnel immédiat ne sera pas là, mais l'aperçu global sur le processus d’économie de peuple sera actif; l'intérêt de l'autre sera inclus dans le jugement d’économie de peuple. Et sans cela, un jugement d’économie de peuple ne peut venir en l’état, de sorte que nous sommes poussés des processus d’économie de peuple dans la réciprocité d’humain à humain et dans ce qui se développe alors plus loin de la réciprocité d’humain à humain, c'est l'esprit commun objectif œuvrant en associations - esprit commun, qui ne provient pas d'un quelque acide moralinique, mais de la connaissance des nécessités du processus d’économie de peuple.

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 Nun handelt es sich natürlich darum, daß man zu einer solchen Sache Gesinnung braucht, aber daß die Gesinnung allein nicht ausreicht. Sie können meinetwillen Assoziationen begründen, die starke wirtschaftliche Einsichten haben; wenn in diesen Assoziationen etwas nicht drinnen ist, so werden auch die Einsichten nicht viel helfen. Darinnen sein muß in solchen Assoziationen dasjenige, was man eben darinnen haben wird, wenn solche Assoziationen überhaupt nur als notwendig anerkannt werden; darinnen wird in diesen Assoziationen Gemeinsinn sein müssen, wirklicher Sinn für den ganzen Verlauf des ganzen volkswirtschaftlichen Prozesses. Denn der einzelne, der unmittelbar verbraucht, was er einkauft, der kann nur seinen egoistischen Sinn befriedigen. Er würde eigentlich auch sehr schlecht laufen, wenn er seinen egoistischen Sinn nicht befriedigen würde. Er kann ja unmöglich, wenn er als einzelner Mensch in der Volkswirtschaft drinnensteht, sagen, wenn ihm einer einen Rock anbietet, sagen wir, für vierzig Franken : Es paßt mir nicht, ich gebe dir sechzig Franken. — Das geht nicht. Es ist etwas, wobei der einzelne im volkswirtschaftlichen Prozeß gar nichts machen kann. Dagegen in dem Augenblick, wo sich in den volkswirtschaftlichen Prozeß das assoziative Wesen hineinstellt, in diesem Augenblick wird ja das unmittelbar persönliche Interesse nicht da sein, sondern die Überschau wird tätig sein über den volkswirtschaftlichen Prozeß; es wird das Interesse des anderen mit in dem volkswirtschaftlichen Urteil darinnen sein. Und ohne das kann nämlich ein volkswirtschaftliches Urteil nicht zustande kommen, so daß wir heraufgetrieben werden aus den volkswirtschaftlichen Vorgängen in die Gegenseitigkeit von Mensch zu Mensch und in das hinein, was sich dann aus der Gegenseitigkeit von Mensch zu Mensch des weiteren entwickelt : das ist in Assoziationen wirkender objektiver Gemeinsinn — Gemeinsinn, der nicht hervorgeht aus irgendwelcher Moralinsäure, sondern aus der Erkenntnis der Notwendigkeiten des volkswirtschaftlichen Prozesses.

C'est ce que j’aimerais que ce soit remarqué lors de telles explications, par exemple comme celles qui sont entamées dans les « Points essentiels de la question sociale ». Aujourd'hui, les humains ne manquent pas qui vont alentour et disent : Notre économie sera bonne, terriblement bonne si vous, humains, deveniez bons. Vous, humains, devriez devenir bons ! – Représentez-vous de tels Foersters et d'autres semblables, qui vont partout alentour et prêchent, si seulement les humains deviennent désintéressés, s'ils remplissent l'impératif catégorique de l'altruisme, alors l'économie deviendra déjà bonne ! Mais de tels jugements ne sont en fait de pas plus de valeur que cela aussi : Si ma belle-mère avait quatre roues et une barre d'attelage à l'avant, elle serait un omnibus, - car il n'y a pas de meilleur lien entre la condition préalable et la conséquence qu'il n'y en a là, exprimé de façon un peu plus radicale.

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Das ist dasjenige, was ich möchte, daß es bemerkt würde bei solchen Auseinandersetzungen, wie sie zum Beispiel in den «Kernpunkten der sozialen Frage» angeschlagen sind. Es fehlt heute nicht an Menschen, die herumgehen und sagen: Unsere Volkswirtschaft wird gut, furchtbar gut, wenn ihr Menschen gut werdet. Ihr Menschen müßt gut werden! — Stellen Sie sich einmal vor solche Foersters und dergleichen, die überall herumgehen und predigen, wenn die Menschen nur selbstlos werden, wenn sie den kategorischen Imperativ der Selbstlosigkeit erfüllen, dann wird schon die Wirtschaft gut werden! Aber solche Urteile sind eigentlich nicht viel mehr wert als auch das : Wenn meine Schwiegermutter vier Räder hätte und vorne eine Deichsel, wäre sie ein Omnibus, -- denn es steht tatsächlich die Voraussetzung mit der Konsequenz in keinem besseren Zusammenhang als da, nur etwas radikaler ausgedrückt.

Ce qui repose à la base des « Points centraux de la question sociale » n'est pas cet acide moralinique, qui peut déjà jouer son rôle majeur dans d'autres domaines ; mais c'est ce qui de la chose d’économie de peuple elle-même devrait être montré, comment l'altruisme doit être purement fiché dans la circulation des éléments d’économie de peuple. C'est même le cas avec les exemples. Quand donc, l'un est dans la situation d'obtenir des capitaux de prêt sur crédit, peut établir une entreprise par cela, établir une institution, produire avec cette institution, ainsi il produit tant que ses propres facultés sont liées à cette institution concernée. Ensuite, par un don qui n'est pas effectué d'un humain à un humain, mais par un cours d'économie de peuple, de la manière la plus synthétiquement raisonnable, ce qui a œuvré là, passe à celui qui a les facultés nécessaires pour cela. Et il est seulement à réfléchir comment, par une triarticulation de l’organisme social, de la raison synthétique peut entrer dans cette donation. Là ce qui est d’économie de peuple fait frontière à ce qui maintenant est absolument le social dans le sens le plus complet en l'humain, ce qui est à penser pour l'ensemble de l'organisme social.

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Dasjenige, was den «Kernpunkten der sozialen Frage» zugrunde liegt, ist nicht diese Moralinsäure, was auf anderem Felde schon seine große Rolle spielen kann; sondern es ist das, daß aus der volkswirtschaftlichen Sache selbst heraus gezeigt werden soll, wie die Selbstlosigkeit rein in der Zirkulation der volkswirtschaftlichen Elemente drinnenstecken muß. Das ist sogar bei den Beispielen der Fall. Wenn also einer in der Lage ist, Leihkapital auf Kredit zu bekommen, dadurch eine Unternehmung herstellen kann, eine Institution herstellen kann, mit dieser Institution produzieren kann, so produziert er so lange, als seine eigenen Fähigkeiten mit dieser betreffenden Institution verbunden sind. Nachher geht durch eine nicht von Mensch zu Mensch bewirkte, sondern durch eine im volkswirtschaftlichen Gang sich vollziehende Schenkung in der vernünftigsten Weise das, was da gewirkt hat, auf den über, der die nötigen Fähigkeiten dazu hat. Und es ist nur nachzudenken, wie durch eine Dreigliederung des sozialen Organismus eben Vernunft in diese Schenkung hineinkommen kann. Da grenzt das Volkswirtschaftliche an das, was nun im umfassendsten Sinn überhaupt das Soziale im Menschen ist, was zu denken ist für den gesamten sozialen Organismus.

Et cela vous pouvez donc vous suffire/retenir de l'autre côté. Je vous ai montré, comment dans le cas du simple échange, dans lequel il s’agit toujours de plus en plus d'argent, ou en ce que l'échange sera absolument reconnu, que là l'économie de peuple entre immédiatement dans le domaine du système de droit. À l’instant où de la raison synthétique devrait entrer dans l'économie de peuple, il s'agit donc qu’on puisse à nouveau laisse affluer dans l'économie de peuple ce qui figure dans la vie libre de l’esprit. Pour cela, les trois membres de l'organisme social doivent se tenir dans les rapports corrects afin qu'ils agissent de la manière correcte les uns sur les autres. C'est ce que pensait en fait la triarticulation ; pas l’éclatement l’un hors de l’autre dans les trois membres ! L’éclatement est en fait toujours là ; il s’agit seulement que l’on trouve comment les trois membres pourront être ramenés ensemble ainsi qu'ils travaillent maintenant en fait dans l'organisme social avec une raison intérieure synthétique telle que, disons, le système nerveux-sensoriel, le système cœur-poumon et le système métabolique œuvrent dans l'organisme naturel humain. C'est de cela qu'il s'agit. C'est de cela dong nous voulons alors continuer à parler demain.

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Und das können Sie sich ja auch von der anderen Seite vorhalten. Ich habe Ihnen gezeigt, wie beim einfachen Tausch, indem es sich immer mehr und mehr um Geld handelt, oder indem der Tausch überhaupt anerkannt wird, daß da die Volkswirtschaft unmittelbar hineinkommt in das Gebiet des Rechtswesens. In dem Augenblick, wo Vernunft in die Volkswirtschaft hineinkommen soll, handelt es sich ja darum, daß man wiederum dasjenige, was im freien Geistesleben figuriert, in die Volkswirtschaft hineinströmen lassen kann. Dazu müssen eben die drei Glieder des sozialen Organismus in dem richtigen Verhältnis stehen, daß sie in der richtigen Weise aufeinander wirken. Das meinte eigentlich die Dreigliederung; nicht die Auseinanderspaltung in die drei Glieder! Die Auseinanderspaltung ist eigentlich immer da; es handelt sich nur darum, daß man findet, wie die drei Glieder zusammengebracht werden können, so daß sie nun tatsächlich im sozialen Organismus mit einer solchen inneren Vernunft wirken, wie, sagen wir, das Nerven-Sinnessystem, das Herz-Lungensystem und das Stoffwechselsystem im menschlichen natürlichen Organismus wirken. Darum handelt es sich. Davon wollen wir dann morgen weiter reden.



Français seulement

01
Maintenant, il est nécessaire que nous discutions aujourd'hui d'un sujet qui a déjà été évoqué hier par certains. C'est le rapport entre le travail selon l’économie de peuple et ce qui le sous-tend lorsque la nature est transformée en objet de valeur d’économie de peuple par l'élaboration. Alors, il arrive donc que le travail organisé ou articulé soit attrapé dans un certain sens par le capital, qui s'émancipe alors et passe complètement dans, on aimerait dire, la libre spiritualité. Ainsi que vous pouvez en déduire que dans le travail on n'a rien d’une valeur immédiate d’économie de peuple - nous en avons donc déjà expliqué cela - bien que cependant on a ce qui meut la valeur d’économie de peuple dans le travail. Le produit naturel en tant que tel entre dans la circulation d’économie de peuple parce qu’il sera transformé. Et la transformation qui lui donne la valeur, elle est en fait la cause pour laquelle l'objet de valeur d’économie de peuple se déplace au moins à l'intérieur d'une certaine zone/un certain domaine. Plus tard, c'est alors l'esprit humain œuvrant dans le capital qui poursuit le mouvement. Tout d’abord, nous avons à faire avec le mouvement/mouvoir ; car aussitôt que nous entrons dans la sphère du capital, nous avons à faire avec le mouvement par le capital commercial, alors par le capital de prêt et alors par le capital de production réel : par le capital industriel.
02
Quand nous parlons maintenant de ce mouvement, nous devons avant tout être clairs sur ce qu'il doit y avoir quelque chose qui apporte des valeurs dans la circulation d’économie de peuple. Et pour nous en sortir, nous devons aujourd'hui déjà une fois nous occuper avec une, j'aimerais dire, question d’économie de peuple quelque peu coton, qui n'est pas à envisager sans plus, quand on n’essaye pas de continuer à chercher ce qui pourra être dit là-dessus, continuer à rechercher et à vérifier les choses dans l'expérience d’économie de peuple.
03
Tout d'abord vient en considération ce qu'on peut appeler le gain d’économie de peuple. Mais la question du gain/profit, elle est une question extraordinairement difficile. Car, supposons qu'un achat se joue. A achète à B. Maintenant, on applique généralement le concept de profit au vendeur seul dans la pensée profane. Le vendeur devrait gagner. Alors nous avons en fait seulement l'échange entre ce que l'acheteur donne et ce que le vendeur donne. Mais maintenant, vous ne pourrez par aucun chemin admettre, quand vous y réfléchissez bien, que seul le vendeur gagne dans un achat ou aussi dans un échange ; car si seulement le vendeur gagnait dans le contexte/pendant d’économie de peuple, alors l'acheteur devrait toujours être le désavantage, quand sans plus un échange avait lieu. L'acheteur devrait toujours être la partie lésée. Mais vous admettrez d'emblée que cela ne peut être. Sinon, nous aurions à faire à un sur avantage de l'acheteur à chaque achat, mais c'est quand même entièrement évidemment pas le cas. Car nous savons donc que ceux qui achètent veulent acheter de façon avantageuse et non défavorable. Absolument. Donc aussi l'acheteur peut acheter de telle sorte qu'il a aussi un gain. Nous avons donc l'étrange phénomène que deux échanges et tout le monde doit - au moins dans l'achat et la vente normale - effectivement gagner. C'est beaucoup plus important à suivre dans l'économie pratique de peuple qu'on le pense habituellement.
04
Supposons donc que je vende quelque chose, que j'obtienne de l'argent pour cela ; ainsi je dois gagner par ce que je cède ma marchandise et reçois de l'argent pour cela. Je dois désirer l'argent plus que la marchandise. L'acheteur doit désirer la marchandise plus que l'argent. Ainsi que, dans l'échange mutuel, a lieu que l’échangé, aussi bien ce qui va plus loin comme ce qui revient, devient de plus de valeur. Ainsi, par le pur échange, ce qui sera échangé prend plus de valeur, aussi bien d'un côté que de l'autre. Maintenant, comment cela peut-il être en fait ?
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Cela peut donc seulement être que parce que lorsque je vends quelque chose et que j'obtiens de l'argent pour cela, l'argent me donne la possibilité d'obtenir plus avec cela que celui qui me donne l'argent ; et l'autre qui obtient la marchandise doit obtenir plus avec la marchandise que je peux obtenir avec la marchandise. Il est donc vrai que nous - chacun, l'acheteur et le vendeur - devons nous tenir dans un autre contexte/pendant d’économie de peuple. Cette valorisation plus élevée peut en premier venir en l’état par ce qui se cache derrière la vente et l'achat. Donc je dois, quand je vends, me tenir dans un contexte d’économie de peuple tel que par ce contexte d’économie de peuple l'argent a plus de valeur chez moi que chez l'autre et que chez lui la marchandise a plus de valeur que chez moi par le contexte d’économie de peuple.
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De cela ressortira pour vous que, dans l'économie de peuple, il ne peut s’agir seulement, si absolument on achète ou vend, mais il s’agit du contexte d’économie de peuple dans lequel se tiennent l'acheteur et le vendeur. Donc, si nous examinons exactement les choses, nous serons conduits de ce qui se joue immédiatement en un endroit, à nouveau, comme nous avons déjà été conduits, à l'ensemble du contexte d’économie de peuple. Mais, ce contexte d'économie de peuple se dévoile à nous encore en une autre occasion.
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On peut constater cela quand on part du commerce de troc/d'échange. Fondamentalement, tout de suite une telle considération, comme je l'ai enclenchée maintenant peut donc vous dire : en fait parce que l'argent sera introduit dans une quelque économie de peuple, le commerce de troc ne sera pas complètement surmonté, car on échange simplement des marchandises contre de l'argent. Et tout de suite parce que chacun gagne, nous verrons, que quelque chose de tout autre est l’important que l'un a la marchandise, l'autre l'argent. Ce qui est le plus important, c’est que chacun peut faire avec ce qu'il reçoit, par son contexte d’économie de peuple.
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Mais tournons-nous au commerce de troc le plus primitif pour comprendre plus exactement cette chose. Il nous éclairera d'abord sur ce qui se passe dans un contexte plus complexe d’économie de peuple. Supposez que j'achète des petits pois. Maintenant quand j'achète des petits pois, alors je peux commencer le plus divers avec ces petits pois. Je peux les manger. Supposons donc, quand je soigne du commerce de troc, j'échange des pois contre quelque chose d'autre que j'ai fabriqué, qui est donc marchandise. Alors j'échange des petits pois. Je peux les manger, mais je peux aussi échanger pas mal de petits pois, pas vrai, pas mal de petits pois, et tellement que je ne peux pas finir de les manger alors, même avec une grande famille. Maintenant, je me tourne vers quelqu'un qui peut utiliser ces petits pois et échanger quelque chose que je peux utiliser à nouveau. Je lui donne des petits pois pour ce dont j'ai à nouveau besoin. Les pois sont restés essentiellement les mêmes ; selon l’économie de peuple, ils ne sont absolument pas restés les mêmes du tout. Selon l’économie de peuple, ils ont changé parce que je n'ai pas consommé ces pois moi-même, mais que je les ai amenés plus loin dans la circulation et chez moi créer seulement la transition dans le processus d’économie de peuple. Qu'est-ce que ces pois sont donc devenus chez moi selon l’économie de peuple par un tel processus ? Voyez-vous, il suffisait, disons, de certaines conditions préalables et, en outre, de la disposition légale selon laquelle tout devrait être échangé contre des pois - il faudrait alors produire suffisamment de pois et la disposition légale devrait être là pour que l’on puisse tout échangé contre des pois, alors les pois seraient l'argent. Ainsi, dans le processus d’économie de peuple, les pois sont devenus de l'argent, à juste titre dans le vrai sens du terme, les pois sont devenus de l'argent. Donc, quelque chose ne devient pas de l'argent, parce qu'il est, disons, quelque chose d’autre que ce qu'il est sinon là dans le processus d’économie de peuple, mais parce qu'il subit justement une transformation de marchandises en argent à un endroit déterminé du processus d’économie de peuple. Et tout argent a subi/traversé cela. Tout argent s’est une fois transformé de marchandise en argent.
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D'après cela aussi, nous pouvons à nouveau voir que nous pouvons approcher les humains avec le processus d’économie de peuple, que nous ne pouvons rien d'autre que placer les humains dans le processus d’économie de peuple. Maintenant, l'humain sera donc de toute façon déjà placé dans le processus d’économie de peuple en tant que consommateur. Par cela il se tient déjà dedans du début. Et tout de suite lorsqu'il est actif selon l’économie de peuple dans quelque chose qui ne repose pas dans le domaine de la consommation, alors il se place dans un rapport tout autre par son contexte/pendant d’économie de peuple qu’il se place dedans en tant que pur consommateur. Ces choses doivent toutes être prises en compte quand l'on veut travailler à la formation d'un jugement d’économie de peuple. Et les jugements d’économie de peuple doivent être formés dans ce que j'appelle les associations. Il doit donc y avoir dans les associations des gens qui, à partir de la pratique, forment leurs jugements d’après ces points de vue.
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Maintenant, il s’agit ici, que, quand nous avons de la nature transformée ou un travail articulé dans le processus d’économie de peuple, que nous devons alors examiner ce qui dans une certaine mesure amène ces éléments d’économie de peuple en mouvement, en circulation. Hier, il a été rendu attentif à un autre endroit que l'on devrait donc introduire, dans la pensée d’économie de peuple, le travail qui est actif dans le processus d’économie de peuple, justement, par exemple ainsi que le physicien introduit le travail dans sa pensée physique. Là devra alors être dit : Oui, le physicien introduit le travail dans sa pensée physique en formant une formule dans laquelle sont la masse et la vitesse. - N'est-ce pas, mais la masse est quelque chose que nous déterminons par la balance. Nous avons donc une possibilité de déterminer la masse par la balance. Sans pouvoir déterminer la masse par la balance, nous n'aurions rien qui progresse là dans le processus physique de travail. La question doit apparaitre pour nous : est-ce que quelque chose de semblable est maintenant aussi disponible dans le processus d’économie de peuple, de sorte que le travail décerne de la valeur aux choses et que l'intervention spirituelle ultérieure décerne de nouveau de la valeur aux choses ? Y a-t-il quelque chose dans le processus d’économie de peuple qui se laisse comparer, dans une certaine mesure, au poids qu'a un quelque objet, quand l'on veut parler de travail physique chez lui ? Maintenant, quand j'enregistre simplement schématiquement la poursuite des processus particuliers d’économie de peuple, ainsi cela me montre que quelque doit être là, qui amène toute la chose en mouvement, tableau 8 qui dans une certaine mesure presse les éléments économiques d'ici (voir dessin 6) vers ici. Et la chose serait encore plus déterminée Dessin 6/certaine, quand serait pressé non seulement d'ici à ici, mais quand aussi extra de l'autre côté un effet d'aspiration aurait lieu, quand donc l'ensemble/le tout serait propulsé plus loin par une force se trouvant dans le processus d’économie de peuple. Alors quelque chose devrait être là dans ce processus d’économie de peuple qui propulse plus loin.
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Maintenant, qu'est-ce que c’est qui là propulse plus loin ? Je vous l’ai montré à l’instant que certaines forces émergent constamment, aussi bien chez l'acheteur que chez le vendeur ; chez chacun qui a quelque chose à faire avec l'autre dans le processus d’économie de peuple, pas du tout dans le sens moral, mais dans le sens purement d’économie de peuple, apparait avantage et gain. Ainsi qu'il n'y a aucun endroit dans le processus d’économie de peuple où il ne doit être parlé d'avantage et de gain/bénéfice. Et ce gain, il n'est pas quelque chose de purement abstrait ; à ce gain, pends le désir économique immédiat de l'humain et il doit y pendre. Si le concerné est acheteur ou vendeur, son désir économique pend à ce gain, à cet avantage. Et cet attachement à cet avantage est ce qui produit en fait l'ensemble du processus d’économie de peuple, qui est la force en lui. C'est ce qui représente la masse dans le processus de travail physique.
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Réfléchissez qu’on a en fait montré quelque chose d'extraordinairement de poids dans le processus d’économie de peuple, on aimerait dire quelque chose de vraiment de poids. N’est-ce pas, le poids intervient le plus souvent dans les produits purement matériels, dans les produits que l'estomac désire. C’est pourquoi l'estomac explique que toutefois pour l'acheteur, disons, le fruit est plus avantageux que l'argent au moment où il soigne l'échange. Là nous avons donc absolument en l'humain lui-même ce moteur qui là, propulse. Mais nous avons aussi ce moteur de propulsion pour d'autres choses que ce qui représente seulement des biens matériels. Réfléchissez seulement une fois que donc cette humeur/ambiance, à se vivre dans l'avantage, dans le gain, est aussi disponible lorsque je vends, reçoit de l'argent : je sais que maintenant par mes facultés je peux faire plus avec cet argent qu’avec les marchandises que j’ai. Là, j'interviens déjà avec mes capacités spirituelles.
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Et transférez-vous cela une fois maintenant à la somme d'ensemble du capital de prêt dans un organisme d’économie de peuple, là vous verrez très vite que ceux qui veulent entreprendre ou exécuter quelque chose et ont besoin de capital de prêt pour cela, ont justement exactement le même moteur dans le besoin de capital de prêt, qui repose dans l’aspiration au gain. Mais le capital de prêt œuvre en fait, quand je considère le gain comme une poussée, comme aspirant ; il œuvre comme suçant, mais dans la même direction où poussent les gains. Ainsi, que dans les bénéfices/gains et dans le capital de prêt, nous avons absolument ce qui presse et aspire dans le processus d’économie de peuple.
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Nous recevons par cela une façon claire de voir que, aussi loin que le processus d’économie de peuple consiste en fait seulement dans le mouvement et par le mouvement dans le processus d’économie de peuple, tout en fait devrait être effectué qui peut être effectué par lui, que partout dans ce processus économique nous devons insérer les humains, devons placer les humains dedans. Cela peut donc être quelque chose d’inconfortable pour l'économie objective de peuple, parce que l'humain est une sorte de grandeur incommensurable, parce qu'il est changeant, parce qu'on doit compter sur lui de différentes manières ; mais cela est maintenant une fois là et il devra être compté avec lui de différentes manières.
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Mais maintenant nous voyons déjà que dans le prêter à lieu une sorte d'effet de succion dans le processus d’économie de peuple. Vous savez donc qu’il y a eu des temps dans lesquels prendre de l’intérêt pour du prêté était considéré comme immoral. Et c'était seulement moral de prêter sans intérêt. Là il n'y aurait eu aucun avantage au prêter. Dans le fait, à l'origine, le prêter ne partait pas de l'avantage que l’on a par le prêter, de l'intérêt ; mais le prêter partait sous des conditions plus primitives qu’elles ne sont aujourd'hui, de la condition préalable que quand je prête quelque chose à quelqu'un et qu'il peut en faire quelque chose que je ne peux faire - disons seulement : il est dans le besoin et il peut répondre à ses besoins, quand je suis en état de lui prêter quelque chose -, qu'il ne me paie pas maintenant des intérêts élevés, mais si à nouveau j'ai besoin de quelque chose, il m'aide aussi à nouveau. Partout où vous remonterez dans l'histoire, vous verrez que la condition préalable au prêt est que l'autre prête à nouveau quand c'est nécessaire.
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Cela sera même transféré sur les rapports sociaux les plus compliqués. Par exemple, vous avez cela quand, disons, quelqu'un emprunte quelque chose à un établissement de prêt/crédit, et il a besoin pour cela de deux propriétaires (NDT : lit : deux se tenant sur des biens) pour cela, qui viennent là et doivent le cautionner, que les établissements de crédit ont alors toujours fait l'expérience particulière que même pour ce service, la réciprocité joue un rôle extraordinairement important. Car lorsque A vient dans un établissement de crédit et amène B et C avec lui, qui sont cautions, qui donc enregistrent leur nom comme caution, alors les établissements de crédit comptent toujours sur ce que B vienne et amène A et C avec lui, et lorsque B a payé la chose, alors C vient et amène A et B avec lui comme caution. Et cela vaut parmi certains humains, comme quelque chose d’entièrement évident. De sorte que des économistes prétendent qu’une telle légalité serait à affirmer avec les mêmes droits comme une quelque chose qui est fixée par des formules mathématiques. Maintenant, ces choses sont naturellement à comprendre avec le fameux grain de sel, on doit toujours compter là avec l'ingrédient nécessaire. Mais cela appartient aussi en fait à la flexibilité du processus d’économie de peuple, que l'on peut y compter.
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Ainsi qu'on peut dire : à l'origine, la rétribution/la contrepartie du prêt est purement la condition préalable que l'emprunteur prête de nouveau, respectivement quand il ne prête pas de nouveau à l’un, l'aide au moins à son propre prêt, quand on l'a aidé lors du prêter. Il vient tout de suite lorsqu'il s'agit du prêter que la réciprocité humaine entre de manière flagrante dans le processus d’économie de peuple.
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Qu'est donc alors l'intérêt quand les choses sont ainsi ? L'intérêt – cela a déjà été remarqué par certains économistes de peuple – l’intérêt est ce que je reçois lorsque je renonce à la réciprocité, quand donc je prête quelque chose à quelqu'un et que je conviens avec lui qu'il n'a jamais besoin de me prêter ; alors, lorsque je renonce à la réciprocité, alors il me paie l’intérêt pour cela. L'intérêt est pour ainsi dire le remplacement/la purge pour quelque chose qui joue entre humain et humain, c'est la vengeance/la représaille pour ce qui joue comme réciprocité humaine dans le processus d’économie de peuple.
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Aujourd'hui, nous voyons là monter quelque chose que nous devons seulement placer de la manière correcte dans l'ensemble du processus d’économie de peuple. Nous devons naturellement toujours garder à l’œil en cela qu'il y a aujourd'hui seulement un sens à considérer de tels processus d’économie de peuple qui se tiennent entièrement sous le signe de la division du travail. Quand le travail sera divisé, alors se passe que les humains sont avisés dans un degré beaucoup plus élevé sur la réciprocité que quand chacun non seulement se cultive son propre chou, mais fabrique aussi ses propres bottes et chapeaux. Avec la division du travail vient l'être dépendant de la réciprocité. Et ainsi nous voyons dans la division du travail un processus qui se déroule en fait ainsi que les courants particuliers divergent/sortent les uns des autres. Tableau 8
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Mais dans l'ensemble du processus d’économie de peuple, nous voyons à nouveau apparaître que tous ces courants veulent s'unir, seulement d'une autre manière, à travers l'échange correspondant, qui se déroule/s’accomplit dans le processus complexe d’économie de peuple à l'aide de l'argent. La division du travail rend donc la réciprocité nécessaire à un certain niveau, c'est-à-dire la même chose dans le rapport humain que nous trouvons, par exemple, dans le gager. Là où beaucoup sera prêté, là nous avons ce principe de réciprocité dedans, mais qui pourra maintenant être remplacé par l’intérêt. Alors, nous avons la réciprocité réalisée dans l'intérêt. Nous l'avons seulement transformé en la forme abstraite de l'argent. Mais les forces de la réciprocité sont justement simplement l'intérêt, sont métamorphosées, sont devenues autre chose. Ce que nous voyons là très clairement lors du payer l'intérêt, cela se produit cependant partout dans le processus d’économie de peuple. Dessin 7
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Là-dessus repose la grande difficulté, elle consiste dans former des représentations d’économie de peuple ; car vous ne pouvez pas du tout former des représentations d’économie de peuple autrement que juste en ce que vous saisissiez par la force de l'image. Les concepts ne vous permettent pas du tout de saisir le processus d’économie de peuple, vous devez le saisir en images. C'est ce qui sera aujourd’hui maintenant éprouvé extraordinairement incommode/inconfortable de toute érudition, quand n’importe où sera exigé que quelque chose devrait passer de la pure abstraction des concepts à ce qui a force d'image. Mais nous ne pourrons jamais fonder une véritable science de l’économie de peuple sans passer à des représentations picturales, sans que nous arrivions donc dans la situation de nous représenter à force d’images les processus particuliers de détails d’économie de peuple de manière picturale et les représenter de telle sorte que nous ayons quelque chose de dynamique dans l'image elle-même et sachions comment œuvre un tel processus de détails d’économie de peuple quand il est conçu d'une manière ou d'une autre.
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Vous comprendrez correctement ce qui est en fait pris en considération lorsque vous vous dites qu'en fin de compte, il se tient aussi des humains dans le processus d'économie de peuple, bien qu'à des niveaux plus primitifs, qui en fait dans le sens où vous l’avez appris ou du moins auriez dû l’apprendre au cours de vos études, qui ne peuvent penser dans le/ce sens. Ces gens peuvent parfois être d'excellents économistes, ils peuvent parfois ressentir tout à fait excellemment, si une quelque chose pourra être ou non achetée, s'il y a ou non un avantage quand j’achète une quelque chose. Ainsi, sous circonstances, un agriculteur qui n'a aucune brume bleue de concepts d’économie de peuple, a encore beaucoup moins que cela, et qui, lorsqu'il a atteint un certain âge, n'a fait que regarder les rapports de marché ici ou là dans son voisinage - peut savoir très correctement - il peut naturellement se tromper, mais on peut donc cela aussi quand vous on a propulsé de la logique d’économie de peuple, il s’agit seulement que les erreurs ne prévalent pas - il saura absolument, sans avoir pied sur des concepts, ce que signifie l'image quand il donne une certaine somme d'argent pour un cheval ou pour une charrue. Ce tableau qui s’assemble à lui - une certaine somme d'argent et une charrue -, provoque en lui immédiatement le sentiment qu'il peut encore donner autant d'argent ou qu'il ne peut plus le donner. Il l'a immédiatement de l'expérience éprouvée. Maintenant, cette expérience éprouvée n’est pas à déconnecter, aussi dans le processus d’économie de peuple le plus compliqué. C’est du représenter à force d’image.
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Le représenter abstrait serait fructueux si nous pouvions dire : quelque chose est une marchandise, quelque chose est de l'argent, et nous marchandons marchandise contre argent et argent contre marchandise. - Si nous pouvions dire cela, là la chose serait simple ; mais je vous ai donc tout de suite montré avant que même les pois pourraient devenir de l'argent. Ce n'est pas du tout vrai que nous avons quelque chose de cela dans le processus d’économie de peuple en y intégrant des concepts. Nous avons en premier quelque chose quand nous y travaillons des façons de voir en lui. Quand donc nous avons la façon de voir : là les petits pois passent de la table du marché seulement dans les bouches des gens, alors nous avons une certaine image. Quand nous avons l'autre façon de voir : là, les pois seront utilisés comme de l'argent, alors nous avons une autre image.
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Et sur de telles images - des images de ce qui est immédiatement illustratif - devra être travaillé, aussi dans l'économie de peuple. Mais cela signifie en d'autres termes : quand nous voulons gérer/propulser correctement une économie de peuple, nous devons absolument être à l'aise pour nous embarquer à la production, au commerce et à la consommation d'une manière ayant force d’image. Nous devons absolument nous impliquer dans le processus réel, alors nous recevons des représentations approximatives - aussi seulement des représentations approximatives, mais quand même des représentations approximatives telles que celles-ci nous servent à quelque chose quand ce que nous ne savons pas éprouver nous-mêmes, dont nous n’avons pas nous même fait des images en éprouvant, quand cela nous est corrigé par les autres qui sont liés avec nous en associations. Il n'y a pas d'autre possibilité que de ne pas construire le jugement économique sur la théorie, mais de le construire sur l'association vivante, où les jugements sensibles des humains sont maintenant vraiment/réellement efficaces, où à partir de l'association, il pourra être fixé comment peut être la valeur d’une quelque chose des expériences immédiates.
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Aussi étrange que cela sonne, qu’on ne dise pas : on peut théoriquement déterminer en quoi peut consister la valeur d'un produit - mais qu’on dise : Un produit entre dans les processus d’économie de peuple par le processus d’économie de peuple et ce qu'il vaut à un endroit déterminé, l'association a à en juger.
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Sur quoi cela se base-t-il donc, que de tels jugements puissent se former qui maintenant vraiment, quand ils apparaissent de la manière correcte dans le processus d’économie de peuple, atteigne aussi le correct, sur quoi cela repose-t-il donc ? Sur quoi cela repose, cela vous pouvez le mieux envisager par analogie avec un quelque organisme humain ou animal. Cet organisme humain ou animal il élabore les aliments qui y pénètrent. Si, par exemple, je dois attirer votre attention sur quelque chose de scientifique dans ce domaine, j’aimerais dire que l'humain absorbe la nourriture, l'entrelace avec de la ptyaline, de la pepsine, la propulse par son estomac, la propulse par ses intestins. Ce qui est nécessaire là, peu importe, si de la viande ou des plantes sont la nourriture, ce qui sera propulsé dedans, devra tout d'abord être tué, paralysé. La vie doit être hors de ce que nous avons dans les intestins. Là, ce que nous avons dans les intestins sera absorbé/aspiré par les glandes lymphatiques et ressuscité en nous-mêmes, de sorte que ce qui passe donc alors des glandes lymphatiques aux vaisseaux lymphatiques dans le sang, que ce sont des produits naturels rendus morts ressuscités, de sorte animale ou végétale. Si vous vouliez seulement déterminer théoriquement combien là une glande lymphatique devrait absorber pour la réanimation/revivification, alors vous ne le pourriez pas ; car chez un des humains une glande lymphatique doit absorber plus, chez un autre une glande lymphatique doit absorber moins. Mais pas seulement cela, mais chez le même humain, une glande lymphatique située à un endroit doit absorber plus, une glande lymphatique située à un autre endroit moins. C'est un processus extraordinairement compliqué, la digestion. Aucune science humaine ne pourrait être à la hauteur de cette sagesse des glandes lymphatiques, qui se partagent toutes si admirablement le travail. Ici nous n’avons justement pas à faire avec les jugements rendus, mais avec des jugements œuvrant réellement. En fait, entre nos intestins et nos vaisseaux sanguins, se joue une telle somme de raison synthétique que vous ne trouverez rien en science humaine qui se laisse comparer avec cela.
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Ainsi seulement aussi est-il possible, lorsque la raison synthétique autoactive se fait valoir dans les processus d’économie de peuple que celui-ci est dans une constitution saine. Mais cela ne peut être d’une autre manière que par ce que les humains sont unis, qui maintenant vraiment en images occupent le processus d’économie de peuple morceau pour morceau et par ce qu’ils sont unis dans les associations, se complètent mutuellement, se corrigent mutuellement justement, de sorte que la circulation correcte puisse avoir lieu dans le processus d’économie de peuple.
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Maintenant, il s’agit naturellement de ce que l'on a besoin d'une telle opinion face à une telle chose, mais que l’opinion seule n'est pas suffisante. Vous pouvez, ma foi, créer des associations qui ont de fortes vues économiques ; si quelque chose n’est pas dans ces associations, ainsi ces vues n'aideront pas beaucoup non plus. À l'intérieur de ces associations doit se trouver ce que l'on aura justement à l'intérieur, quand de telles associations seront seulement reconnues comme nécessaires ; à l'intérieur de ces associations devra se trouver le bon sens, le vrai sens pour tout le cours du processus entier d’économie de peuple. Car l'individu qui consomme immédiatement ce qu'il achète, il peut seulement satisfaire son sens égoïste. Il marcherait aussi très mal s'il ne satisfaisait pas son sens égoïste. Il lui est impossible de dire, quand il se tient comme individu dans l'économie de peuple, si quelqu'un lui offre un costume, disons, pour quarante francs : ça ne me va pas, je te donne soixante francs. – Cela ne va pas. C'est quelque chose à quoi l'individu ne peut rien faire dans le processus d’économie de peuple. Par contre, à l’instant où l'être associatif se place dans le processus d’économie de peuple, à cet instant l'intérêt personnel immédiat ne sera pas là, mais l'aperçu global sur le processus d’économie de peuple sera actif; l'intérêt de l'autre sera inclus dans le jugement d’économie de peuple. Et sans cela, un jugement d’économie de peuple ne peut venir en l’état, de sorte que nous sommes poussés des processus d’économie de peuple dans la réciprocité d’humain à humain et dans ce qui se développe alors plus loin de la réciprocité d’humain à humain, c'est l'esprit commun objectif œuvrant en associations - esprit commun, qui ne provient pas d'un quelque acide moralinique, mais de la connaissance des nécessités du processus d’économie de peuple.
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C'est ce que j’aimerais que ce soit remarqué lors de telles explications, par exemple comme celles qui sont entamées dans les « Points essentiels de la question sociale ». Aujourd'hui, les humains ne manquent pas qui vont alentour et disent : Notre économie sera bonne, terriblement bonne si vous, humains, deveniez bons. Vous, humains, devriez devenir bons ! – Représentez-vous de tels Foersters et d'autres semblables, qui vont partout alentour et prêchent, si seulement les humains deviennent désintéressés, s'ils remplissent l'impératif catégorique de l'altruisme, alors l'économie deviendra déjà bonne ! Mais de tels jugements ne sont en fait de pas plus de valeur que cela aussi : Si ma belle-mère avait quatre roues et une barre d'attelage à l'avant, elle serait un omnibus, - car il n'y a pas de meilleur lien entre la condition préalable et la conséquence qu'il n'y en a là, exprimé de façon un peu plus radicale.
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Ce qui repose à la base des « Points centraux de la question sociale » n'est pas cet acide moralinique, qui peut déjà jouer son rôle majeur dans d'autres domaines ; mais c'est ce qui de la chose d’économie de peuple elle-même devrait être montré, comment l'altruisme doit être purement fiché dans la circulation des éléments d’économie de peuple. C'est même le cas avec les exemples. Quand donc, l'un est dans la situation d'obtenir des capitaux de prêt sur crédit, peut établir une entreprise par cela, établir une institution, produire avec cette institution, ainsi il produit tant que ses propres facultés sont liées à cette institution concernée. Ensuite, par un don qui n'est pas effectué d'un humain à un humain, mais par un cours d'économie de peuple, de la manière la plus synthétiquement raisonnable, ce qui a œuvré là, passe à celui qui a les facultés nécessaires pour cela. Et il est seulement à réfléchir comment, par une triarticulation de l’organisme social, de la raison synthétique peut entrer dans cette donation. Là ce qui est d’économie de peuple fait frontière à ce qui maintenant est absolument le social dans le sens le plus complet en l'humain, ce qui est à penser pour l'ensemble de l'organisme social.
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Et cela vous pouvez donc vous suffire/retenir de l'autre côté. Je vous ai montré, comment dans le cas du simple échange, dans lequel il s’agit toujours de plus en plus d'argent, ou en ce que l'échange sera absolument reconnu, que là l'économie de peuple entre immédiatement dans le domaine du système de droit. À l’instant où de la raison synthétique devrait entrer dans l'économie de peuple, il s'agit donc qu’on puisse à nouveau laisse affluer dans l'économie de peuple ce qui figure dans la vie libre de l’esprit. Pour cela, les trois membres de l'organisme social doivent se tenir dans les rapports corrects afin qu'ils agissent de la manière correcte les uns sur les autres. C'est ce que pensait en fait la triarticulation ; pas l’éclatement l’un hors de l’autre dans les trois membres ! L’éclatement est en fait toujours là ; il s’agit seulement que l’on trouve comment les trois membres pourront être ramenés ensemble ainsi qu'ils travaillent maintenant en fait dans l'organisme social avec une raison intérieure synthétique telle que, disons, le système nerveux-sensoriel, le système cœur-poumon et le système métabolique œuvrent dans l'organisme naturel humain. C'est de cela qu'il s'agit. C'est de cela dong nous voulons alors continuer à parler demain.