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Sujet:
NEUVIÈME CONFÉRENCE, Dornach, 1 août1922
NEUNTER
VORTRAG, Dornach, 1. August1922
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Les
références : Rudolf Steiner Œuvres
complètes GA340 125-139 (2002)
01/08/1922 |
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Original
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Traducteur:
FG v. 01 29/06/2022
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Editeur: SITE |
Les formules que j'ai essayé de
présenter hier ne sont évidemment pas des formules
mathématiques, mais ce sont des formules, comme celles
dont j'ai parlé précédemment, qui devront justement
être vérifiées à la vie. Et pas seulement cela, mais
elles doivent être saisies de telle sorte qu'elles
vivent réellement à l'intérieur de l'économie de
peuple.
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01
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Die Formeln, die ich gestern
versuchte darzustellen, sind natürlich nicht
mathematische Formeln, sondern sie sind Formeln, so
wie diejenigen, von denen ich schon früher gesprochen
habe, die eigentlich am Leben verifiziert werden
müssen. Und nicht nur das, sondern sie müssen so
aufgefaßt werden, daß sie in der Volkswirtschaft
drinnen wirklich leben.
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Maintenant, je dois vous dire
aujourd'hui quelque chose qui peut mener de proche en
proche à saisir comment ces choses vivent selon
l’économie de peuple. Quand nous voyons simplement
vers ce que dans l'ensemble du processus d’économie de
peuple, tout ce qui circule dedans doit avoir une
certaine valeur, ainsi nous devons de l'autre côté
être clairs sur ce que mainte chose peut se produire
dans l'organisme d’économie de peuple qui n'amène pas
immédiatement sa valeur à l’expression dans les
processus de l'économie de peuple.
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02
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Nun muß ich Ihnen heute einiges
sagen, das nach und nach dazu führen kann, zu
begreifen, wie diese Dinge volkswirtschaftlich leben.
Wenn wir einfach darauf hinsehen, daß im gesamten
volkswirtschaftlichen Prozeß alles, was drinnen
zirkuliert, einen gewissen Wert haben muß, so müssen
wir auf der anderen Seite uns wiederum doch darüber
klar sein, daß im volkswirtschaftlichen Organismus
manches vorkommen kann, was seinen Wert unmittelbar in
den Vorgängen der Volkswirtschaft nicht zum Ausdruck
bringt.
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Je voudrais vous rendre cela clair à
un exemple qui nous amènera alors à nous présenter
quelques concepts supplémentaires d’économie de
peuple. De telles choses, qui dans une certaine mesure
présentent des pendants plus cachés d’économie de
peuple, Unruh les a très joliment présentés dans ses
livres d’économie de peuple. Et je fais seulement ici
référence à celui que j'ai alors moi-même parcouru, et
dont je peux dire qu'il colle du seul point de vue de
l'observation, même si Unruh est un esprit absolument
porté par/sur l'économie d’État/étatique, qui donc par
ce qu'il ne pense en fait pas économiquement, mais
politiquement, ne sait à nouveau pas amener les choses
dans un contexte/pendant correspondant.
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03
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Ich will Ihnen das an einem
Beispiele klarmachen, das uns dann dazu führen wird,
einige weitere volkswirtschaftliche Begriffe uns
vorzuführen. Solche Dinge, die gewissermaßen
verborgenere volkswirtschaftliche Zusammenhänge
darlegen, hat ja sehr schön Unruh in seinen
volkswirtschaftlichen Büchern dargestellt. Und ich
führe hier nur dasjenige an, dem ich selber dann
nachgegangen bin, und von dem ich sagen kann, daß es
rein der Beobachtung nach stimmt, obwohl Unruh ein
durchaus von Staatsökonomie getragener Geist ist, der
also dadurch, daß er eigentlich nicht wirtschaftlich,
sondern politisch denkt, die Dinge wiederum nicht in
einen entsprechenden Zusammenhang zu bringen weiß.
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Ce qui peut nous rendre attentifs de
combien les choses se jouent compliquées dans le
processus d’économie de peuple, c'est, par exemple, le
prix du seigle dans certaines régions d'Europe
centrale. Quand on entend de gros agriculteurs, ils
vous diront très souvent : au prix du seigle on ne
gagne rien ; au contraire, on perd par le prix du
seigle. - Qu'est-ce qui est en fait pensé avec ça ?
Avec ça est tout d’abord pensé que le seigle ne peut
pas être vendu ainsi pour ces gens comme doit être
vendu, ce qui, par exemple - du moins pour le
principal - consiste généralement en des prix des
matières premières, des coûts de production et un
certain bénéfice. Si l'on prenait les prix du seigle
de cette façon, on trouverait simplement qu'ils ne
correspondent pas aux coûts de production et à un
gain. Ils sont loin en dessous de cela. Et quand on
devait concevoir le bilan de n'importe quelle
agriculture de manière à utiliser simplement les prix
du seigle avec les valeurs telles qu'elles sont sur le
marché, alors on utiliserait simplement des valeurs
qui devraient absolument influencer le bilan dans un
sens négatif. Comme je l'ai dit, on peut suivre la
chose et c’est absolument juste que sera vendu en
dessous du prix - comme on pourrait dire. Mais
maintenant, cela ne peut en fait pas être dans la
réalité. Il est impossible que cela se produise dans
la réalité. Mais cela se produit absolument vers
l'extérieur. Ce qu'il y a, c'est ceci : le seigle ne
fournit pas seulement le fruit, mais aussi la paille.
La paille n'est vendue que pour la plus petite partie
par des agriculteurs qui cèdent le grain de seigle à
un prix inférieur au prix. Ils l'utilisent dans leur
propre économie agricole. Ils l'utilisent pour nourrir
le bétail. Et alors ils font leur bilan ainsi qu’ils
compensent ce qu'ils perdent sur le seigle par
l'engrais qu'ils reçoivent des animaux. Maintenant cet
engrais est le meilleur engrais que l'on puisse
recevoir pour l'économie de l’agriculture. Il est
extrêmement riche en bactéries. Et de cette façon, on
obtient à nouveau l'engrais offert - comme un cadeau
vis-à-vis du bilan. De sorte que l'on peut créer de
cette manière en fait un équilibre correct de bilan.
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04
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Was uns aufmerksam machen kann, wie
kompliziert sich die Dinge im volkswirtschaftlichen
Prozeß abspielen, das ist zum Beispiel in gewissen
Gebieten Mitteleuropas der Roggenpreis. Wenn man
Großlandwirte hört, so werden sie sehr häufig sagen :
Am Roggenpreis verdient man nichts; im Gegenteil, man
verliert durch den Roggenpreis. — Was ist damit
eigentlich gemeint? Damit ist zunächst gemeint, daß
Roggen für diese Leute nicht so verkauft werden kann,
wie verkauft werden muß dasjenige, was zum Beispiel —
wenigstens in der Hauptsache — seinen Preis heute in
der Regel zusammensetzt aus den Preisen für die
Rohprodukte, aus den Herstellungskosten und einem
gewissen Gewinn. Wenn man in dieser Weise die
Roggenpreise nehmen würde, so würde man einfach
finden, sie entsprechen nicht dem, was die
Herstellungskosten und ein Gewinn sind. Sie sind weit
darunter. Und wenn man in dieser Weise die Bilanz
gestalten würde für irgendeine Landwirtschaft, daß man
einfach die Roggenpreise mit den Werten einsetzt, wie
sie sind auf dem Markt, dann würde man eben einfach
Werte einsetzen, die durchaus die Bilanz in einem
negativen Sinne beeinflussen müssen. Wie gesagt, man
kann der Sache nachgehen, und es ist absolut richtig,
daß unter dem Preis — wie man sagen könnte — verkauft
wird. Nun, das kann aber doch eigentlich nicht sein in
Wirklichkeit. Es ist unmöglich, daß es in Wirklichkeit
geschieht. Nach außen hin geschieht es aber durchaus.
Was da vorliegt, ist dieses : Der Roggen liefert nicht
nur die Frucht, sondern auch das Stroh. Das Stroh wird
nur zum kleinsten Teile verkauft von solchen
Landwirten, welche unter dem Preis Roggenfrucht
abgeben. Sie verwenden es in ihrer eigenen
Landwirtschaft. Damit versorgen sie namentlich das
Vieh. Und dann machen sie ihre Bilanz so, daß sie
dasjenige, was sie am Roggen verlieren, ausgleichen
durch den Dünger, den sie bekommen von den Tieren. Nun
ist dieser Dünger ja der beste Dünger, den man
bekommen kann für die Landwirtschaft. Er ist
außerordentlich bakterienreich. Und man bekommt auf
diese Weise eigentlich den Dünger wiederum geschenkt —
der Bilanz gegenüber geschenkt. So daß man also auf
diese Weise tatsächlich einen richtigen
Bilanzausgleich schaffen kann.
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Vous voyez, ici repose quelque chose
qui nous oblige à établir un concept d’économie de
peuple qui est extrêmement important et que vous
trouverez peu pris en compte dans la littérature
d’économie de peuple. Le concept que j’aimerais
installer ici est celui d'économie interne à
l’intérieur de l'économie de peuple. Donc, quand
l'économie propulse sa propre économie en soi-même,
donc est le moteur de l'échange de produits à
l'intérieur d'elle-même, ainsi que les produits ne
seront pas vendus vers dehors et achetés de dehors,
mais circulent à l’intérieur de l'économie elle-même -
j'aimerais décrire cela comme l'économie interne
vis-à-vis l'économie générale de peuple. Là où sera
propulsée une économie intérieure/de livraison à
soi-même, nous avons absolument à faire avec la
possibilité que maintenant même des produits puissent
être cédés sous le prix sinon nécessaire selon
l’économie de peuple. Cela fait bien sûr de la
formation des prix à l’intérieur d'une zone d’économie
de peuple une série de faits extraordinairement
compliquée.
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05
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Sie sehen, hier liegt etwas vor, was
uns nötigt, einen volkswirtschaftlichen Begriff
aufzustellen, der außerordentlich wichtig ist und den
Sie wenig berücksichtigt finden in der
volkswirtschaftlichen Literatur. Dieser Begriff, den
ich da aufstellen möchte, ist der der Binnenwirtschaft
innerhalb der Volkswirtschaft. Also, wenn Wirtschaft
in sich selber Wirtschaft treibt, also Tausch der
Produkte in sich selber treibt, so daß also die
Produkte nicht nach außen verkauft und von außen
gekauft werden, sondern innerhalb der Wirtschaft
selber zirkulieren — das möchte ich als
Binnenwirtschaft bezeichnen gegenüber der allgemeinen
Volkswirtschaft. Wo Binnenwirtschaft getrieben wird,
haben wir es durchaus mit der Möglichkeit zu tun, daß
nun sogar unter dem sonst volkswirtschaftlich
notwendigen Preis Produkte abgegeben werden. Dadurch
wird natürlich die Preisbildung innerhalb eines
volkswirtschaftlichen Gebietes eine außerordentlich
komplizierte Tatsachenreihe.
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Mais maintenant, quand nous partons
de ces pendants, qui, comme je l'ai dit, ont déjà été
remarqués comme des faits par les économistes, nous
pouvons passer à une autre série de faits que j'ai
déjà abordés d'un certain point de vue, mais qui
doivent maintenant aussi être examinés d'un autre
point de vue. Je vous ai notamment dit il y a quelques
jours qu’on n’embrasse pas sans plus les pendants
d’économie de peuple. Quand on pense à ce qu'un
cordonnier, dis-je, tombe malade et qu'il reçoit un
médecin maladroit, il reste malade pendant trois
semaines, ne peut fabriquer aucune chaussure, alors
ses produits de chaussures, qu'il fabriquerait en
trois semaines, seront retirés du circuit/de la
circulation d’économie de peuple. Maintenant je vous
disais, s'il reçoit maintenant un médecin compétent
qui le guérira en huit jours et qu'il peut fabriquer
ses chaussures pendant quatorze jours, alors on peut
lancer la question : qui maintenant, économiquement
parlant, a fabriqué les chaussures ? – Penser selon
l’économie de peuple, c’est sans aucun doute le
médecin qui les a fabriquées à ce moment du processus
d’économie de peuple. Il n'y a aucun doute là-dessus.
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06
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Nun können wir aber, wenn wir
von diesen, wie gesagt, auch schon von
Volkswirtschaftern als Tatsachen bemerkten
Zusammenhängen ausgehen, zu einer anderen
Tatsachenreihe übergehen, die ich schon berührt habe
von einem gewissen Gesichtspunkt aus, die nun aber
auch von einem anderen Gesichtspunkt aus angeschaut
werden muß. Ich habe Ihnen nämlich vor einigen Tagen
gesagt, daß man nicht ohne weiteres die
volkswirtschaftlichen Zusammenhänge übersieht. Wenn
man daran denkt, daß ein Schuster, sagte ich, krank
wird und einen ungeschickten Arzt bekommt, so bleibt
er drei Wochen krank, kann keine Schuhe fabrizieren;
es werden also seine Schuhprodukte, die er in drei
Wochen fabrizieren würde, der volkswirtschaftlichen
Zirkulation entzogen. Nun sagte ich Ihnen, wenn er nun
einen geschickten Arzt bekommt, der ihn in acht Tagen
gesund macht und er also vierzehn Tage lang seine
Schuhe fabrizieren kann, so kann man die Frage
aufwerfen: Wer hat jetzt, volkswirtschaftlich gedacht,
die Schuhe fabriziert? — Volkswirtschaftlich gedacht,
hat sie zweifellos in diesem Augenblick des
volkswirtschaftlichen Prozesses der Arzt fabriziert.
Es ist ja gar nicht daran zu zweifeln.
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Mais maintenant, repose à nouveau
autre chose, à savoir si le médecin a aussi été payé
pour cela. Encore une fois, le médecin n'a pas été
payé. Car vous pouvez maintenant faire le calcul
suivant : vous pourriez calculer en fonction du marché
la quantité de ces chaussures que le médecin a
fabriquées, et vous pourriez compenser cela, si vous
établissez un bilan un peu plus long, sur ses dépenses
de formation, et vous verriez là que ses dépenses de
formation ne seraient probablement pas très
différentes de toutes les chaussures qu'il a
fabriquées, de tous les cerfs qu'il a tués - car, on
le sait, les médecins n’ont pas toujours la
particularité que celui qui sinon serait arrêté trois
semaines de la vie, est arrêté justement seulement
huit jours. Mais en tout cas, de même que le bilan
global serait alors dressé, nous n'établirions pas
correctement les comptes économiques si nous les
établissons de telle sorte que nous ne mettions pas en
valeur les chaussures qu'il fabrique, le cerf qu'il
abat si plus tôt il a guéri un chasseur, le grain
qu'il récolte et ainsi de suite contre/sur sa
formation. Seulement le processus d’économie de peuple
est là naturellement très compliqué et le chiffrer
s'avère aussi extrêmement compliqué.
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07
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Aber nun liegt hier wiederum etwas
anderes vor, nämlich, es fragt sich, ob nun der Arzt
sie auch bezahlt bekommen hat. Bezahlt bekommen hat
sie der Arzt nun wieder nicht. Denn Sie könnten jetzt
folgende Rechnung anstellen: Sie könnten marktmäßig
berechnen, wieviel diese Schuhe ausmachen, die der
Arzt fabriziert hat, und Sie könnten das aufrechnen,
wenn Sie eine etwas längere Bilanz aufstellen, auf
seine Ausbildungsausgaben, und da würden Sie sehen,
daß seine Ausbildungsausgaben wahrscheinlich nicht
sehr verschieden wären von all den Schuhen, die er
fabriziert hat, von all den Hirschen, die er
geschossen hat — denn bekanntlich haben Ärzte nicht
immer die Eigentümlichkeit, daß sie einen, der sonst
drei Wochen dem Leben entzogen wäre, eben nur acht
Tage entziehen. Aber jedenfalls, wie auch dann die
Gesamtbilanz sich stellen würde, würden wir die
volkswirtschaftliche Rechnung nicht richtig
aufstellen, wenn wir sie in einer solchen Weise
aufstellen würden, daß wir nun die Schuhe, die er
fabriziert, die Hirsche, die er schießt, wenn er einen
Jäger früher gesund macht, das Korn, das er erntet und
so weiter, nicht aufrechnen würden auf seine
Ausbildung. Nur ist der volkswirtschaftliche Prozeß
natürlich da ein sehr komplizierter, und das Zahlen
stellt sich auch als ein außerordentlich kompliziertes
heraus.
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Vous pouvez donc envisager qu'il
n'est pas du tout certain que l'on puisse dire à un
quelque endroit à partir de quoi quelque chose est
réellement payé dans le processus d’économie de
peuple. On doit parfois aller loin pour savoir d'où
une quelque chose sera payée. Quiconque recherche une
simplicité très lisse dans le processus d’économie de
peuple n'arrivera jamais à des façons de voir
d’économie de peuple qui recouvrent d'une manière ou
d'une autre la réalité. Il n'ira jamais à ce que j'ai
dit : c'est en fait donné derrière les formules :
prix, offre, demande et ainsi de suite. Il n'ira pas à
ça. Mais on doit y aller. Mais maintenant, par cela,
ça devient particulièrement
difficile d'évaluer correctement le processus
d’économie de peuple, parce que justement de la raison
que, disons, les recettes pour des dépenses reposent
parfois très éloignées, il n'est pas si facile de voir
dans le processus global d’économie de peuple ce qui a
été payé, acheté, ce qui est prêté et ce qui est
donné. Car supposez une fois maintenant que ce que
j'ai dit il y a quelques jours se réalise, que ces
capitaux qui apparaissent d'une quelque manière seront
retirés de l'accumulation à l’intérieur de fonds et
sols et seront poussé dans la culture spirituelle,
alors cela peut arriver sous la forme de bourses et de
fondations, par exemple. Là nous avons des donations.
Et vous pouvez donc voir maintenant, d'un côté de
votre grande comptabilité, qui couvre l'économie
réelle de peuple, que dans ce que le médecin fait
maintenant de chaussures qui durent deux semaines, il
y a peut-être un poste que vous devez rechercher de
l'autre côté sous la rubrique des dons, s'il a quelque
peu eu une bourse, par exemple, a participé à une
fondation.
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08
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Sie können also daraus ersehen, daß
es gar nicht so sicher ist, an irgendeiner Stelle zu
sagen, wo heraus eigentlich etwas gezahlt wird im
volkswirtschaftlichen Prozeß. Man muß manchmal weit
gehen, um herauszubringen, von woher irgend etwas
bezahlt wird. Wer etwa ganz glatte Einfachheit sucht
im volkswirtschaftlichen Prozeß, der wird niemals zu
volkswirtschaftlichen Anschauungen kommen, die sich
mit der Wirklichkeit irgendwie decken. Er wird niemals
zu dem gehen, was ich gesagt habe: es ist eigentlich
hinter den Formeln gegeben : Preis, Angebot, Nachfrage
und so weiter. Er wird nicht zu dem gehen. Man muß
aber zu dem gehen. Nun aber, dadurch wird es ganz
besonders schwer, den volkswirtschaftlichen Prozeß in
der richtigen Weise zu taxieren, weil man eben aus dem
Grunde, daß, sagen wir, für Ausgaben manchmal die
Einnahmen weit weg liegen, nicht so leicht in die Lage
kommt, im gesamtvolkswirtschaftlichen Prozeß
einzusehen, was bezahlt, gekauft ist, was geliehen ist
und was geschenkt ist. Denn nehmen Sie einmal an
jetzt, es realisiert sich das, was ich vor ein paar
Tagen gesagt habe, daß diejenigen Kapitalien, die auf
irgendeine Weise entstehen, entzogen werden dem Stauen
innerhalb des Grund und Bodens und hineingeschoben
werden in die geistige Kultur, dann kann das in der
Form geschehen, daß man zum Beispiel Stipendien und
Stiftungen gründet. Da haben Sie Schenkungen. Und Sie
können also jetzt auf der einen Seite Ihrer großen,
aber die wirkliche Volkswirtschaft umfassenden
Buchführung erst sehen, daß in dem, was nun der Arzt
fabriziert an Schuhen, die durch zwei Wochen gehen,
vielleicht ein Posten steht, den Sie auf der anderen
Seite unter der Rubrik der Schenkungen suchen müssen,
wenn er etwa ein Stipendium gehabt hat, an einer
Stiftung teilgenommen hat.
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Bref, vous pouvez partant de là,
poser la question de poids : quels sont les transferts
de capitaux les plus productifs dans le processus
d’économie de peuple, les plus productifs de tous ? -
Et quand vous continuez à suivre de tels pendants,
comme je les ai maintenant présentés, quand vous
suivez notamment ce qui peut entrer du capital
disponible dans des fondations, dans les bourses, dans
d'autres biens culturels spirituels, qui à nouveau ont
un effet fécondant sur tout l’entrepreneuriat, sur
toute la production spirituelle, alors vous trouverez,
que le plus fructueux à l’intérieur du processus
d’économie de peuple sont tout de suite les dons, et
qu'on peut en fait seulement arriver à un processus
d’économie de peuple vraiment sain, quand
premièrement, la possibilité est là que les gens aient
quelque chose à donner et, deuxièmement, qu’ils aient
la bonne volonté de le donner, que ce à-donner le soit
d'une manière synthétiquement raisonnable. De sorte
que nous arrivons ici à quelque chose qui est articulé
dans l'économie de peuple d'une manière particulière.
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09
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Kurz, Sie können, von da ausgehend,
die schwerwiegende Frage aufwerfen : Was sind
eigentlich die produktivsten Kapitalumlagerungen im
volkswirtschaftlichen Prozeß, die allerproduktivsten?
— Und wenn Sie solche Zusammenhänge weiter verfolgen,
wie ich sie jetzt dargestellt habe, wenn Sie
namentlich verfolgen, was von verfügbaren Kapitalien
in Stiftungen, in Stipendien, in sonstige geistige
Kulturgüter hineingehen kann, die dann wiederum
befruchtend wirken auf das ganze Unternehmertum, auf
das ganze geistige Produzieren, dann werden Sie
finden, daß das Fruchtbarste innerhalb des
volkswirtschaftlichen Prozesses gerade die Schenkungen
sind, und daß man eigentlich zu einem wirklich
gesunden volkswirtschaftlichen Prozeß nur kommen kann,
wenn erstens die Möglichkeit da ist, daß Leute zum
Schenken etwas haben, und zweitens den guten Willen
haben, dieses zu Schenkende auch in vernünftiger Weise
zu schenken. So daß wir hier kommen auf etwas, was in
die Volkswirtschaft sich auf eine eigentümliche Weise
eingliedert.
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Et le curieux à cela, c’est quelque
chose qui ne peut pas être épluché de concepts, mais
que peut seulement donner une vaste expérience ; mais
cela vous donnera une vaste expérience, plus vous
poursuivez cela, - et je vous recommande même
d'essayer d'orienter un certain nombre de sujets de
thèse vers la question : Qu'advient-il des dons dans
le processus d’économie de peuple ? - Vous constaterez
alors que les donations sont les plus productives de
toutes, de sorte que les capitaux de donation sont les
plus productifs dans les processus d’économie de
peuple. Moins productifs dans les processus d’économie
de peuple sont les capitaux de prêt, et le plus
improductif dans le processus d’économie de peuple est
ce qui se tient immédiatement sous l'achat et la
vente. Ce qui sera immédiatement payé sous l'achat et
la vente est le plus infertile dans le processus
d’économie de peuple. Ce qui repose sur prêter, ce qui
entre dans le processus économique par la fonction du
capital de prêt, est, pourrait-on dire, de
productivité moyenne. Ce qui entre par des dons, c'est
de la plus grande productivité, déjà pour la raison
que ce travail est réellement épargné, c'est-à-dire
que les prestations de ce travail seront épargnées qui
devraient sinon être apportés pour acquérir la
concerné qui sera donné ici. Sera donné ce qui
provient du processus d’économie de peuple et
endommageraient le processus d’économie de peuple s'il
cela s'accumulait sur fonds et sols.
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10
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Und das Kuriose dabei, das ist
etwas, was man nicht aus Begriffen herausschälen kann,
sondern was nur eine umfangreiche Erfahrung geben
kann; aber eine umfangreiche Erfahrung wird es Ihnen
geben, je mehr Sie dem nachgehen — und ich würde es
Ihnen sogar empfehlen, versuchen Sie recht viel
Dissertationsthemen gerade nach der Frage hin zu
orientieren: Was wird im volkswirtschaftlichen Prozeß
aus den Schenkungen? — Sie werden dann finden, daß die
Schenkungen das Allerproduktivste sind, so daß also
Schenkungskapitalien das Allerproduktivste im
volkswirtschaftlichen Prozesse sind. Weniger produktiv
im volkswirtschaftlichen Prozesse sind die
Leihkapitalien, und am unproduktivsten im
volkswirtschaftlichen Prozesse ist dasjenige, was
unmittelbar unter dem Kauf und Verkauf steht. Was
unmittelbar unter dem Kauf und Verkauf gezahlt wird,
ist das Unfruchtbarste im volkswirtschaftlichen
Prozeß. Dasjenige, was auf Leihen beruht, was also in
den volkswirtschaftlichen Prozeß durch die Funktion
des Leihkapitals hineinkommt, das ist, möchte man
sagen, von mittlerer Produktivität. Dasjenige, was
hineinkommt durch Schenkungen, das ist von der
allergrößten Produktivität, schon aus dem Grunde, weil
diejenige Arbeit wirklich erspart wird, das heißt die
Leistungen jener Arbeit erspart werden, welche sonst
aufgebracht werden muß, um das Betreffende zu
erwerben, was hier geschenkt wird. Geschenkt wird, was
verfügbar aus dem volkswirtschaftlichen Prozeß
hervorgeht und den volkswirtschaftlichen Prozeß
schädigen würde, wenn es sich auf Grund und Boden
stauen würde.
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Ainsi nous pouvons voir que dans un
instant du développement, le processus d’économie de
peuple ne donne absolument aucun éclaircissement sur
lui-même, mais il faut absolument prendre en compte
l'avant et l'après. Mais l'avant et l'après ne peuvent
certainement pas être pris en compte quand ce n’est
pas placé dans le jugement des humains qui s'unissent
de manière associative, et qui peuvent donc aussi
avoir un aperçu correspondant du passé et de l'avenir.
Vous voyez, on doit construire le processus d’économie
de peuple sur la perspicacité de ceux qui se tiennent
dans l'économie de peuple. C'est aussi ce qui ressort
de ces choses. Il est difficile d'évaluer aussi
facilement comment les facteurs individuels du
processus économique sont impliqués dans la vie
humaine dans son ensemble, aussi loin que c’est
matériel.
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11
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So können wir sehen, daß in einem
Augenblick der Entwickelung überhaupt der
volkswirtschaftliche Prozeß über sich selber keinen
Aufschluß gibt, sondern das Vorher und Nachher
unbedingt berücksichtigt werden muß. Aber das Vorher
und Nachher kann ganz gewiß nicht berücksichtigt
werden, wenn es nicht in das Urteil der Menschen
gestellt wird, die sich assoziativ vereinigen, und die
also auch über Vergangenheit und Zukunft eine
entsprechende Einsicht haben können. Sie sehen, man
muß bauen den volkswirtschaftlichen Prozeß auf die
Einsicht der in der Volkswirtschaft Drinnenstehenden.
Das geht auch aus diesen Dingen hervor. Es ist
überhaupt schwer, so ohne weiteres abzuwägen, wie
beteiligt sind an dem ganzen Menschenleben, insofern
dieses materiell ist, die einzelnen Faktoren im
volkswirtschaftlichen Prozeß.
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D'un certain point de vue, nous
pouvons parler de capital commercial, de capital de
prêt et de capital industriel dans le processus
d’économie de peuple. Le capital circulant est
approximativement épuisé par le fait qu'il est
articulé en capital commercial, capital de prêt et
capital industriel. Maintenant, de la manière la plus
diverse ces trois choses sont fichées dans le
processus d’économie de peuple : le capital
commercial, le capital de prêt et le capital
industriel. C’est maintenant vraiment – parce que là
sont partout dispersés dans le processus d’économie de
peuple de telles économies internes, comme je l’ai
expliqué aujourd’hui à un exemple - extraordinairement
difficile de dire dans un processus d’économie de
peuple qui se déroule dans un tout plus vaste, quelle
est, en termes quantitatifs, la part du capital de
prêt, du capital industriel et du capital commercial
dans la prospérité d’économie de peuple. Mais on peut
quand même progressivement arriver à des concepts
durables, quand l'on considère ces choses dans le
cadre d'un horizon plus large.
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12
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Von einem gewissen Gesichtspunkt
können wir sprechen im volkswirtschaftlichen Prozeß
von Handelskapital, von Leihkapital und von
Industriekapital. Ungefähr wird das zirkulierende
Kapital damit erschöpft, daß man es gliedert in
Handelskapital, Leihkapital und Industriekapital. Nun,
in der allerverschiedensten Weise stecken im
volkswirtschaftlichen Prozeß diese drei Dinge drinnen
: Handelskapital, Leihkapital und Industriekapital. Es
ist nun wirklich — da überall eingestreut sind in den
volkswirtschaftlichen Prozeß solche
Binnenwirtschaften, wie ich sie heute an einem
Beispiel besprochen habe — außerordentlich schwer zu
sagen in einem innerhalb eines größeren Ganzen sich
abspielenden volkswirtschaftlichen Prozesse, welches,
quantitativ ausgedrückt, an dem volkswirtschaftlichen
Gedeihen der Anteil ist von Leihkapital,
Industriekapital und Handelskapital. Man kann aber
allmählich doch zu haltbaren Begriffen kommen, wenn
man diese Dinge im Umfang eines größeren Horizontes
betrachtet.
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Regardons là une fois d'abord des
économies entières de peuple, des économies d'État,
comme nous devons le dire dans la modération de la vie
récente de l’économie. Là nous avons la France, par
exemple. C’est seulement à titre d'exemple que je m’en
saisis. Là nous avons la France. En France, dans tout
son contexte/pendant d’économie mondiale, comme
c’était notamment avant la guerre et comme cela s’est
montré dans ses effets pendant la guerre, est a
observer comment, à grande échelle dans le processus
d’économie de peuple, œuvre le capital de prêt. On
pourrait dire que la France a donc en fait toujours eu
une certaine tendance à constituer justement
réellement du capital de prêt, donc à traiter le
capital de prêt comme du capital de prêt. Vous savez
donc, que finalement tout ce qui a pénétré par en
dessus dans le domaine politique, à quoi on a si
clairement pu voir les dommages causés du couplage des
vies de l’économique et de droit, donc en fait de la
vie politique, que cela a eu lieu en rapport à la
France dans l'emprunt aussi bien de la Russie comme
aussi de la Turquie. La France a exporté un montant
extraordinaire de capitaux de prêts vers la Russie et
la Turquie. Même vers l’Allemagne, malgré que sinon il
n'ait jamais été aussi correctement bien de parler sur
l'Allemagne dans toute la France, le capital de prêt
français a déjà été exporté, par exemple au début de
la construction du chemin de fer de Bagdad, où
l'Angleterre s'est retirée ; mais la France a déjà
accordé des capitaux de prêt aux gens, par exemple
Siemens et Gwinner, qui se tenaient à la pointe de
l’entreprise. Donc la France était en fait pour
l’essentiel un pays prêteur, de sorte qu'on pouvait de
voir comment du capital de prêt sera en fait intriqué
dans l'ensemble du processus d’économie de peuple.
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13
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Sehen wir da einmal zunächst auf
ganze Volkswirtschaften, Staatswirtschaften, wie wir
in Gemäßheit des neueren Wirtschaftslebens sagen
müssen. Da haben wir, sagen wir zum Beispiel
Frankreich. Nur als Beispiel hebe ich es heraus. Da
haben wir Frankreich. An Frankreich in seinem ganzen
weltwirtschaftlichen Zusammenhang, wie es vor dem
Kriege namentlich war, und wie es dann in seinen
Wirkungen im Kriege sich gezeigt hat, ist zu
beobachten, wie im Wirtschaftsprozeß im Großen das
Leihkapital wirkt. Frankreich hat ja eigentlich immer,
man möchte sagen, eine gewisse Neigung gehabt, das
Leihkapital eben wirklich anzulegen, also das
Leihkapital als Leihkapital zu behandeln. Sie wissen
ja, daß schließlich alles dasjenige, was dann in das
politische Gebiet hinübergedrungen ist, woran man so
klar hat sehen können die Schäden der
Zusammenkoppelung von Wirtschafts- und Rechtsleben,
also eigentlich von politischem Leben, daß das sich ja
in bezug auf Frankreich abgespielt hat in der
Beleihung sowohl von Rußland als auch der Türkei.
Frankreich hat außerordentlich viel Leihkapital
exportiert nach Rußland und der Türkei. Sogar nach
Deutschland, trotzdem sonst im ganzen Frankreich
eigentlich nie so recht gut auf Deutschland zu
sprechen war, ist schon französisches Leihkapital
exportiert worden, zum Beispiel im Anfang des Baues
der Bagdadbahn, wo sich England zurückgezogen hat;
aber Frankreich hat den Leuten, zum Beispiel Siemens
und Gwinner, die ja da an der Spitze des Unternehmens
standen, schon Leihkapital gegeben. Also Frankreich
war eigentlich im wesentlichen ein leihendes Land, so
daß man sehen konnte, wie Leihkapital eigentlich
verstrickt wird in den gesamten volkswirtschaftlichen
Prozeß.
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Je ne veux pas parler du tout pour
ou contre quoi que ce soit maintenant, mais simplement
présenter objectivement. Vous pouvez en fait voir à
partir d'un phénomène historique externe quels
intérêts a réellement le capital de prêt. Quand nous
tournons le coup d’œil, disons, sur des économies
privées, ainsi nous trouverons partout par
l'intermédiaire de la banque : le gestionnaire
économique privé sera un humain pacifique/aimant la
paix ; car il sait sous toutes les circonstances que
le désordre s'installera dans ses rapports d'intérêt
s'il a attribué son capital de prêt et que la guerre
balayera les pendants économiques. Tous les
économistes de peuple comptent avec ce que les
prêteurs soient des gens pacifiques. C'est aussi la
raison pour laquelle il est toujours possible de dire,
en rapport à la France, qu'elle n'a pas de culpabilité
à la guerre. Nous pouvons le dire pour la simple
raison que, quand on veut prouver que la guerre n'a
pas été voulue en France, on a seulement besoin
d’indiquer sur les intérêts des petits rentiers, pas
sur les intérêts de ceux qui ont propulsé à la guerre.
En France, on a toujours à l'arrière-plan les gens qui
ne voulaient absolument pas la guerre. Tout de suite
ce fait historique peut nous montrer à grande échelle
ce qui existe aussi à petite échelle : le prêteur,
donc celui qui réjouit du capital prêté, qui peut
consentir du capital de prêt, est en fait un humain
qui, où c’est possible, aimerait voir éviter que
l'économie ne soit perturbée par les événements qui
n’appartiennent pas eux-mêmes à l’économie, aussi par
de tels événements qui provoquent des chocs
particulièrement forts dans la vie économique. Celui
qui a du capital de prêt à attribuer aimera d'autant
plus un cours tranquille du vécu, parce qu'il veut
essentiellement se ménager son jugement et qu'il veut
donner plus au fait que l'on lui dit justement : ici
et là quelque chose est justement bien investi. - En
notre époque, où le jugement public est certes très
prétentieux sur soi, mais en fait très peu est
disponible, dans cette époque, là nous pouvons dire
qu'en même temps, la possibilité de consentir des
capitaux de prêt est liée à une croyance
extraordinairement forte en l'autorité dans la vie
économique et dans la vie elle-même. Et cela trouble à
nouveau extraordinairement fort le jugement
économique. Les gens qui sont estampillés d'une façon
ou d'une autre se font facilement prêter de l'argent.
Le prêt personnel sera volontiers accordé à celui qui
est estampillé d'une manière ou d'une autre. D’après
cela, la chose sera décidée. Et n'est-ce pas, selon la
manière dont ce principe d'autorité sera cultivé ou
non, d’après cela nous voyons aussi, que soit les gens
personnellement plus compétents peuvent intervenir de
manière productive dans la vie de l'économie, ou ceux
qui, non par leurs capacités, mais par d'autres
pendants – ceux-là il devrait aussi y avoir -
deviennent conseillers commerciaux, par exemple. Quand
ils peuvent intervenir dans la vie économique, ainsi
cela ira justement autrement que quand on est
dépendant de ce que les choses sont
transmises/fournies seulement par le remarquer des
facultés personnelles dans un jugement purement
public. Là intervient à nouveau dans la vie économique
quelque chose que l'on ne peut pas si correctement
saisir. Il est devenu trop courant dans une certaine
communauté, ces derniers temps, d'utiliser le mot,
partout où l'on ne peut plus suivre avec les concepts,
et donc, ces derniers temps, le mot "impondérables" a
trop souvent teinté dans mes oreilles dans les
différents endroits. J’aimerais insister expressément
sur le fait que j’évite ce mot ici et aimerais
indiquer sur comment ce qui est en ligne droite se
ramifie dans ce que nous devrons poursuivre sur des
chemins un peu plus tordus ; mais il n'est pas
nécessaire que le terme "impondérables" apparaisse
bientôt partout, comme il a dû être entendu récemment
à tel ou tel endroit jusqu'à saturation/la nausée.
Maintenant, tout d'abord une fois, un petit coup d'œil
sur le capital de prêt.
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14
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Ich will jetzt gar nicht für irgend
etwas und gegen etwas sprechen, sondern lediglich
objektiv darstellen. An einer äußeren historischen
Erscheinung können Sie tatsächlich sehen, was für
Interessen das Leihkapital eigentlich hat. Wenn wir
den Blick wenden, sagen wir auf private Wirtschaften,
so werden wir überall durch die Bank finden : der
Privatwirtschaftende wird ein friedliebender Mensch
sein; denn er weiß unter allen Umständen, daß in seine
Zinsverhältnisse Unordnung hineinkommt, wenn er sein
Leihkapital vergeben hat und über die wirtschaftlichen
Zusammenhänge der Krieg hinüberfegt. Damit rechnen ja
auch alle Volkswirtschafter, daß die leihenden Leute
friedliche Leute sind. Das ist ja auch der Grund,
warum es immer möglich ist, daß man mit Bezug auf
Frankreich sagt, daß es keine Schuld am Kriege hat.
Aus dem einfachen Grunde kann man es sagen, weil, wenn
man beweisen will, daß in Frankreich nicht der Krieg
gewollt worden ist, man nur auf die Interessen der
Kleinrentner hinzuweisen braucht, nicht auf die
Interessen derjenigen, die zum Krieg getrieben haben.
Man hat immer in Frankreich im Hintergrunde die Leute,
die durchaus den Krieg nicht gewollt haben. Gerade
diese historische Tatsache kann uns im Großen zeigen
dasjenige, was aber auch im Kleinen durchaus vorhanden
ist : der Leihende, also derjenige, der sich
Leihkapitals erfreut, der Leihkapital weggeben kann,
ist eigentlich ein Mensch, der womöglich verhütet
sehen möchte, daß die Wirtschaft gestört wird durch
die Ereignisse, die nicht selber der Wirtschaft
angehören, auch durch solche Ereignisse innerhalb der
Wirtschaft selbst, die im wirtschaftlichen Leben
besonders starke Erschütterungen hervorbringen.
Derjenige, der Leihkapital zu vergeben hat, wird um so
mehr lieben einen ruhigen Gang des Erlebens, als er
sich selber sein Urteil im wesentlichen ersparen
möchte und mehr darauf geben möchte, daß man ihm eben
sagt : Da und dort ist eben etwas gut angelegt. — In
unserer Zeit, in der das öffentliche Urteil zwar sehr
eingebildet ist auf sich, aber doch im Grunde genommen
sehr wenig vorhanden ist, in dieser unserer Zeit, da
können wir sagen, ist zu gleicher Zeit die
Möglichkeit, Leihkapital weggeben zu können, an einen
außerordentlich starken Autoritätsglauben im
wirtschaftlichen Leben und im Leben überhaupt
geknüpft. Und das wiederum trübt außerordentlich stark
das wirtschaftliche Urteil. Es bekommen diejenigen
Leute leicht Geld geliehen, die in irgendeiner Weise
abgestempelt sind oder dergleichen. Der Personalkredit
wird gern demjenigen verliehen, der in irgendeiner
Weise abgestempelt ist. Danach wird die Sache
entschieden. Und nicht wahr, je nachdem überhaupt
dieses autoritative Prinzip kultiviert wird oder
nicht, je nachdem sehen wir auch, daß entweder die
persönlich fähigeren Leute produktiv eingreifen können
in das Wirtschaftsleben oder diejenigen, die nicht
durch ihre Fähigkeiten, sondern durch andere
Zusammenhänge — die soll es ja auch geben —
Kommerzienräte zum Beispiel werden. Wenn die
eingreifen können in das wirtschaftliche Leben, so
wird es eben anders gehen, als wenn man angewiesen ist
darauf, daß nur durch das Bemerken der persönlichen
Fähigkeiten im rein öffentlichen Urteil die Dinge
vermittelt werden. Da greift wiederum in das
wirtschaftliche Leben etwas ein, was man nicht so
recht fassen kann. Es ist in einer gewissen
Gemeinschaft in der letzten Zeit gar zu sehr üblich
geworden, ein Wort überall dort zu gebrauchen, wo man
mit den Begriffen so recht nicht mehr mitkommt, und
daher ist mir in der letzten Zeit .gar zu oft an den
verschiedenen Orten das Wort «Imponderabilien» in die
Ohren getönt. Ich möchte ausdrücklich betonen, daß ich
dieses Wort hier vermeiden und darauf hinweisen
möchte, wie sich dasjenige, was mehr gradlinig ist,
verzweigt in dasjenige, dem wir werden nachgehen
müssen auf etwas krummeren Wegen; aber es ist nicht
nötig, daß gleich überall der Terminus Imponderabilien
eintreten muß, wie es gehört werden mußte in der
letzten Zeit an diesem oder jenem Ort bis zum
Überdruß. Nun, das zunächst einmal ein kleiner
Ausblick auf das Leihkapital.
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Si nous passons au capital
industriel, alors, quand nous voulons étudier le
capital industriel dans son essence - même si ce
capital industriel a subi un sort peu édifiant - nous
pourrons étudier extraordinairement bien la fonction
du capital industriel particulièrement dans l’élan de
l'industrie en Allemagne dans les décennies précédant
la guerre. Nous y parviendrons particulièrement bien
pour la raison que le capital industriel, sous
l'influence de l'esprit d'entreprise, s’est transformé
immédiatement à partir du capital de prêt - plus en
Allemagne au cours des dernières décennies avant la
guerre que n’importe où dans un autre secteur du
monde. Il est justement absolument vrai, ce que j'ai
mentionné ici dans ma toute première conférence, qu'en
Angleterre, par exemple, le capital commercial s'est
transformé de proche en proche en capital industriel,
parce que l'industrialisme s'est développé en
Angleterre d’une manière plus lente qu'en Allemagne,
où il a poussé vers le haut à une vitesse
vertigineuse, de sorte qu'en fait, j’aimerais dire,
cela représente l'industrialisme en culture pure - et
il est en culture pure quand il ne transforme pas le
capital commercial en capital industriel, mais
transforme le capital de prêt en capital industriel -,
quand on veut étudier cela, ainsi on peut l'étudier en
particulier dans l'économie allemande de peuple.
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Gehen wir zum Industriekapital
über, dann werden wir ja, wenn wir das
Industriekapital in seiner Wesenheit studieren wollen
— wenn auch dieses Industriekapital ein recht wenig
erbauliches Schicksal durchgemacht hat —, die Funktion
des Industriekapitals besonders in dem Aufschwung der
Industrie in Deutschland in den Jahrzehnten vor dem
Krieg außerordentlich gut studieren können. Man wird
das aus dem Grunde schon besonders gut können, weil ja
in der Tat das Industriekapital unter dem Einfluß des
Unternehmungsgeistes unmittelbar heraus sich
verwandelte aus dem Leihkapital — mehr in Deutschland
in den letzten Jahrzehnten vor dem Krieg als irgendwo
in einem anderen Gebiete der Welt. Es ist ja eben
durchaus wahr, was ich schon im allerersten Vortrag
hier erwähnt habe, daß sich zum Beispiel in England
nach und nach das Handelskapital umgewandelt hat in
Industriekapital, weil der Industrialismus in England
in einer langsameren Weise aus dem Handel heraus sich
entwickelt hat als in Deutschland, wo mit einer
ungeheuren Schnelligkeit der Industrialismus
emporgeschossen ist, so daß in der Tat dasjenige, was,
ich möchte sagen, Industrialismus in Reinkultur
darstellt — und er ist in Reinkultur, wenn er nicht
das Handelskapital umwandelt in Industriekapital,
sondern das Leihkapital umwandelt in Industriekapital
—, wenn man das studieren will, so kann man es
insbesondere an der deutschen Volkswirtschaft
studieren.
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Maintenant, le capital industriel
c’est donc placé en fait entre, j’aimerais dire, deux
tampons. Un tampon est le produit brut, l'autre est
les marchés. Le capital industriel est dépendant de la
recherche du plus possible de sources de matières
premières et du plus possible d’arranger les marchés.
Ce n'est maintenant pas si facile à étudier à
l'industrie allemande. À l'industrialisme allemand,
vous pouvez plus étudier, purement selon l’économie de
peuple, comment, j’aimerais dire, le capital
industriel travaille en soi ; mais vous pouvez malgré
tout étudier cette position entre les deux tampons
partout, parce que l'apparition de l'industrialisme
dans tous les pays au cours du XIXe siècle et au XXe
siècle est significative dans la vie d’économie de
peuple. Vous devez justement seulement rechercher les
faits corrects de la vie économique. Là se donnera à
vous - et comme je l'ai dit, c’est bon de garder la
direction, l'orientation, dont on a besoin pour ses
concepts, de se tenir à des choses appréciables ainsi
- si vous devez chercher des chemins extrêmement
difficiles pour les définitions, les caractéristiques
des concepts, quand vous regardez des zones
économiques plus petites. Vous vous faciliterez ces
voies quand vous regardez les économies à grande
échelle, quand vous regardez les économies à grande
échelle pour voir comment, en règle générale, les
concepts de pouvoir et les concepts de pouvoir parfois
masqués en concepts de droit sont les plus fortement
réalisés, surtout lorsqu'il s'agit d’exploiter les
sources des matières premières. Nous pouvons donc
l'étudier à grande échelle, disons à la guerre des
Boers, où il s’est agi essentiellement d’exploiter les
métaux précieux. Cela a été une véritable guerre des
matières premières. Cependant, cela s'est toujours
produit dans un certain masquage, mais il s'agit d'une
véritable guerre des produits bruts. Alors, vous avez
un exemple de la façon dont la vie économique se
déroule d'une manière politique, jouant dans le
politique, sur ce qui a mesure de pouvoir, disons dans
ce que la Belgique a entrepris de guerre pour obtenir
l'ivoire et le caoutchouc de l'État du Congo. Là vous
pouvez voir comment l’exploitation des sources de
matières premières se déroule dans l'économie de
peuple. Ou prenez, comment l'Amérique du Nord s'est
approprié les possessions espagnoles aux Antilles,
parce que c'est là qu'elle cherchait les sources de
matière première pour le sucre. Donc, partout nous
pouvons voir comment la recherche du produit brut
pousse facilement le purement économique vers le
politique, vers le déploiement de pouvoir. C'est l'un
des côtés, l’un des tampons, aimerais-je dire.
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16
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Nun, das Industriekapital, das ist
ja eigentlich tatsächlich hineingestellt zwischen, ich
möchte sagen zwei Puffer. Der eine Puffer ist das
Rohprodukt, der andere sind die Märkte. Das
Industriekapital ist darauf angewiesen, möglichst die
Rohproduktequellen aufzusuchen und möglichst die
Märkte zu arrangieren. Das ist nun nicht so leicht an
der deutschen Industrie zu studieren. Am deutschen
Industrialismus können Sie mehr rein
volkswirtschaftlich studieren, wie, ich möchte sagen,
in sich das Industriekapital arbeitet; aber Sie können
immerhin, weil ja das Auftreten des Industrialismus in
allen Ländern im Verlaufe des 19. Jahrhunderts und ins
20. Jahrhundert herüber bedeutsam ist im
volkswirtschaftlichen Leben, dieses Stehen zwischen
den zwei Puffern eigentlich überall studieren. Sie
müssen nur eben die richtigen Tatsachen des
wirtschaftlichen Lebens aufsuchen. Da wird sich Ihnen
ergeben — und wie gesagt, es ist gut, gerade die
Richtung, die Orientierung, die man braucht für seine
Begriffe, an so überschaubaren Dingen sich vorzuhalten
—, wenn Sie kleinere Wirtschaftsgebiete betrachten,
daß Sie für Begriffsbestimmungen, für
Begriffscharakteristiken außerordentlich schwierige
Wege aufsuchen müssen. Sie erleichtern sich diese
Wege, wenn Sie die Wirtschaften im Großen anschauen,
wenn Sie an den Wirtschaften im Großen sich
herausbilden Anschauungen, wie in der Regel sich am
stärksten die Machtbegriffe und die manchmal in
Rechtsbegriffe maskierten Machtbegriffe ganz besonders
verwirklichen, wenn es sich darum handelt, die
Rohproduktequellen zu erschließen. Wir können ja das
im Großen studieren, sagen wir am Burenkrieg, wo es
sich im wesentlichen darum gehandelt hat, Edelmetalle
zu erschließen. Das ist ein richtiger Rohproduktekrieg
gewesen. Er ist allerdings immer in einer gewissen
Maskierung aufgetreten, aber er ist ein richtiger
Rohproduktekrieg gewesen. Dann haben Sie ein Beispiel,
wie sich entfaltet das wirtschaftliche Leben auf eine
politische Weise, ins Politische, ins Machtmäßige
hineinspielend, sagen wir in dem, was kriegerisch
unternommen hat Belgien, um das Elfenbein und den
Kautschuk vom Kongostaat zu erhalten. Da können Sie
sehen, wie in der Volkswirtschaft die Erschließung der
Rohproduktequellen vor sich geht. Oder nehmen Sie, wie
Nordamerika die spanischen Besitzungen in Westindien
sich angeeignet hat, weil es dort die
Rohproduktequellen für Zucker aufsuchte. Also überall
können wir sehen, wie das Aufsuchen des Rohproduktes
das rein Wirtschaftliche nach der einen Seite hin ins
Politische leicht hineintreibt, zur Machtentfaltung
treibt. Das ist die eine Seite, der eine Puffer,
möchte ich sagen.
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La situation est différente avec la
recherche des marchés. Et il est facile de prouver à
travers l'histoire que la recherche des marchés ne
mène pas à la vie politique de la même manière. Elle
ne développe tout simplement pas, à partir de la
nature humaine, de la même manière que le déploiement
du pouvoir. Un exemple flagrant, on doit le chercher
dès le XIXe siècle, lorsque l'Angleterre a conquis le
marché chinois de l'opium dans la guerre dite de
l'opium. Mais même là, ce n'alla pas si facilement
avec la guerre, mais là la politique pacifique avait,
j’aimerais dire, son mot à dire quand l'histoire est
devenue sinistre, en trouvant cent quarante et un
médecins qui ont délivré un jugement d'expert que
l'effet de la consommation d'opium n'était pas plus
dommageable que la consommation de tabac et de thé.
C'est donc ici que la politique, la politique
pacifique, a joué son rôle ; mais la politique est
toujours difficile à écarter. Vous connaissez la
phrase de Clausewitz que la guerre est la continuation
de la politique par d'autres moyens. Maintenant, de
telles définitions on peut toujours en établir : car
avec cette sorte de définition on peut aussi, par
exemple, justifier la phrase selon laquelle le divorce
est la continuation du mariage par d'autres moyens.
Oui, on peut même mettre maints différents contextes
de vie dans telle ou telle lumière si l'on procède
avec cette logique, et les gens l'admirent alors.
Curieusement, chacun s'en rend compte quand je dis que
le divorce est la continuation du mariage par d'autres
moyens. Chacun remarque l'histoire. Mais quand sera
déclamé partout : la guerre est la continuation de la
politique par d'autres moyens – là les gens ne
remarquent pas le curieux de la logique, mais ils
l'admirent. Quand on applique une telle logique,
notamment dans l'économie de peuple, la j’aimerais
dire méthodologiquement, alors on n'avance jamais d'un
pas quand on élabore de telles définitions. Quand nous
regardons cet autre tampon, la recherche des marchés,
alors nous devons toutefois nous dire : dans la
recherche des marchés, le bon sens humain joue un rôle
essentiellement plus important entre les pôles de
l’astuce, de la ruse et du sage leadership d’économie
de peuple. Il y a vraiment beaucoup des trois genres
dans l’arrangement des marchés tels qu'ils ont été
aménagés, notamment des grandes zones d’économie de
peuple que les États eux-mêmes sont devenus lorsque la
politique s’était liée à l'économie ; vraiment
beaucoup a été mu/propulsé par les États eux-mêmes,
aussi bien de direction/leadership sage que de ruse,
intelligence, astuce et ainsi de suite. Ainsi que pour
les concepts qu’on veut maintenant former pour les
petites zones économiques individuelles sur le pendant
entre l'entreprise industrielle particulière et sa
relation aux sources de matières premières et aux
marchés, qu'on peut quand même se former des concepts
descriptifs quand on considère ces choses sur une
grande échelle.
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17
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Anders ist es mit dem
Aufsuchen der Märkte. Und es ist schon durch die
Geschichte leicht zu erweisen, daß das Aufsuchen der
Märkte nicht in derselben Weise ins politische Leben
hineinführt. Es entwickelt sich einfach nicht, aus der
menschlichen Natur heraus, in derselben Weise die
Entfaltung der Macht. Ein krasses Beispiel, das muß
man schon im 19. Jahrhundert suchen, als sich England
im sogenannten Opiumkrieg den chinesischen Opiummarkt
eroberte. Aber selbst da ging es nicht so leicht mit
dem Krieg, sondern da hat schon auch, ich möchte
sagen, die friedliche Politik ihr Wörtchen mitgeredet,
indem sich, als die Geschichte sengerig wurde,
einhunderteinundvierzig Ärzte gefunden haben, die ein
Sachverständigenurteil dahin abgegeben haben, daß der
Opiumgenuß nicht schädlicher wirke als der Tabak- und
Teegenuß. Also da spielte die Politik hinein, die
friedliche Politik; aber Politik ist immer schwer
fernzuhalten. Sie kennen den Clausewitzschen Satz, daß
der Krieg die Fortführung der Politik mit andern
Mitteln sei. Nun, solche Definitionen kann man immer
aufstellen: denn man kann ja mit dieser Definitionsart
auch zum Beispiel den Satz rechtfertigen, daß die
Scheidung die Fortsetzung der Ehe ist mit andern
Mitteln. Ja, man kann gar mancherlei
Lebenszusammenhänge, wenn man mit dieser Logik
vorgeht, in dieses oder jenes Licht stellen, und die
Leute bewundern das dann. Komischerweise, da bemerkt
es ein jeder, wenn ich sage : Die Scheidung ist die
Fortführung der Ehe mit andern Mitteln. Da bemerkt
jeder die Geschichte. Wenn aber überall deklamiert
wird : Der Krieg ist die Fortführung der Politik mit
andern Mitteln — da bemerken die Leute nicht das
Kuriose der Logik, sondern sie bewundern das. Wenn man
solche Logik, namentlich in der Volkswirtschaft,
anwendet, das möchte ich methodologisch sagen, dann
kommt man nämlich niemals einen Schritt weiter, wenn
man solche Definitionen aufstellt. Wenn wir diesen
andern Puffer betrachten, das Aufsuchen der Märkte,
dann müssen wir uns allerdings sagen: Beim Aufsuchen
der Märkte spielt eine wesentlich größere Rolle die
menschliche Klugheit zwischen den Polen Schlauheit,
List, und weiser volkswirtschaftlicher Führung. Es ist
sehr viel von allen drei Gattungen in dem Arrangieren
der Märkte, wie sie eingerichtet wurden namentlich von
den großen volkswirtschaftlichen Gebieten, die die
Staaten selber geworden sind, als sich die Politik mit
der Wirtschaft verbunden hatte; es ist dabei von den
Staaten selbst sehr viel getrieben worden, sowohl an
weisheitsvoller Führung, wie auch an Listigkeit,
Klugheit, Schlauheit und so weiter. So daß man für die
Begriffe, die man sich nun für die einzelnen kleineren
Wirtschaftsgebiete ausbilden will über den
Zusammenhang zwischen der einzelnen
Industrieunternehmung und ihrer Beziehung zu den
Rohproduktequellen und zu dem Markte, daß man sich da
doch eigentlich erst anschauliche Begriffe bilden
kann, wenn man diese Dinge im Großen betrachtet.
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Quand on veut étudier la fonction du
capital commercial, alors il est bon d'étudier
l'Angleterre, et d’ailleurs de préférence en ce temps
où l'Angleterre a fait son grand progrès économique
par le commerce, où par quoi le capital commercial a
toujours été augmenté, de sorte que l'Angleterre est
entrée en fait tout doucement et progressivement dans
le nouvel industrialisme. Dans le temps où
l'industrialisme transformait tout, là l'Angleterre
avait déjà son capital commercial, de sorte que l'on
peut étudier le capital commercial en Angleterre pour
des temps plus anciens. Pour des temps plus récents,
tout particulièrement Marx a voulu étudier la fonction
d’économie de peuple de l'industrialisme en Angleterre
; mais pour les temps plus anciens qui ont tout de
suite précédé la création de l'industrialisme moderne,
dans les dernières décennies du 18e siècle, quand on y
revient, alors on trouve la fonction du capital
commercial tout particulièrement dans les destinées
économiques de l'Angleterre. Et là toutefois, là on
doit dire que l'essentiel est toujours malgré tout,
que ce soit plus ou moins ouvert ou caché, aussi bien
dans la grande économie de peuple, quand elle est
principalement placée sur le commerce, comme aussi
dans le commerce lui-même, la concurrence. Certes,
celle-ci peut être très juste en introduisant toutes
sortes de concepts de convenance/bienséance. Mais elle
reste de la concurrence quand même. Car ce sur quoi
repose tout de suite la productivité dans le commerce,
ce par quoi tout de suite du capital commercial pourra
être traité dans le processus d’économie de peuple
ainsi qu'il devient effectif/efficace, par exemple en
tant que capital industriel, cela repose donc sur ce
que le capital commercial conduit à l'accumulation, et
cette accumulation est inconcevable/impensable sans
concurrence. Ainsi qu’on étudiera la fonction du
capital commercial tout particulièrement bien quand on
considère/saisit de l’œil la fonction de la
concurrence dans la vie d’économie de peuple.
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Wenn man die Funktion des
Handelskapitals studieren will, dann ist es gut,
England zu studieren, und zwar vorzugsweise in
derjenigen Zeit, in welcher England seinen großen
wirtschaftlichen Fortschritt gemacht hat durch den
Handel, wodurch das Handelskapital immer erhöht wurde,
so daß eigentlich England ganz sanft und allmählich in
den neueren Industrialismus eingetreten ist. In der
Zeit, als der Industrialismus alles umgestaltete, da
hatte England schon sein Handelskapital, so daß man
für frühere Zeiten an England studieren kann das
Handelskapital. Für neuere Zeiten hat ganz besonders
Marx die volkswirtschaftliche Funktion des
Industrialismus in England studieren wollen; aber für
ältere Zeiten, die gerade der Schöpfung des modernen
Industrialismus vorangegangen sind, in den letzten
Jahrzehnten des 18. Jahrhunderts, wenn man zu diesen
zurückgeht, dann findet man die Funktion des
Handelskapitals ganz besonders in den wirtschaftlichen
Schicksalen Englands. Und da allerdings, da muß man
sagen, daß das Wesentliche dennoch immer ist, ob es
nun mehr oder weniger offen oder versteckt
hervortritt, sowohl in der großen Volkswirtschaft,
wenn sie hauptsächlich auf Handel gestellt ist, wie
auch innerhalb des Handels selber, die Konkurrenz.
Gewiß, diese kann dadurch, daß allerlei
Anstandsbegriffe eingeführt werden, eine sehr faire
sein. Aber Konkurrenz bleibt sie doch. Denn dasjenige,
worauf gerade die Produktivität im Handel beruht,
wodurch gerade Handelskapital so behandelt werden kann
im volkswirtschaftlichen Prozeß, daß es dann wirksam
wird, zum Beispiel als Industriekapital, das beruht ja
doch darauf, daß Handelskapital zur Zusammenhäufung
führt, und diese Zusammenhäufung ist ohne Konkurrenz
nicht denkbar. So daß man die Funktion des
Handelskapitals ganz besonders gut studieren wird,
wenn man die Funktion der Konkurrenz im
volkswirtschaftlichen Leben ins Auge faßt.
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Mais en même temps, les
transformations historiques sont aussi en pendant avec
ces choses. C’est donc absolument ainsi que nous
pouvons dire que jusqu'à peu près au premier tiers du
XIXe siècle, quand l'on considère l'ensemble de
l'économie mondiale qui se développait progressivement
- avant la guerre, elle l'était à un haut degré - les
processus économiques du commerce et de l'industrie
ont joué le rôle le plus important dans la vie
économique.
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19
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Zu gleicher Zeit stehen aber mit
diesen Dingen in Zusammenhang auch die historischen
Verwandlungen. Es ist ja durchaus so, daß wir sagen
können, daß bis etwa ins erste Drittel des 19.
Jahrhunderts hinein, wenn man die allmählich
entstehende Weltwirtschaft als ein Ganzes — vor dem
Kriege war sie es in hohem Grade — betrachtet, daß bis
dahinein die hervorragendste Rolle im wirtschaftlichen
Leben die wirtschaftlichen Prozesse des Handels und
der Industrie spielten.
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L'âge de floraison, j’aimerais dire,
l’époque classique du capital de prêt n'arriva en fait
qu'au XIXe siècle, et d’ailleurs en premier vers le
deuxième tiers du XIXe siècle. Et avec cela est alors
à décrire dans le cours de l'évolution historique, la
montée de ces institutions qui, servent notamment
l'hypothéquer, l'essor du système des banques. De
sorte que l'âge classique du capital de prêt et avec
cela le déploiement du système de la banque tombent
dans les deux derniers tiers du XIXe siècle et dans
les premières décennies du XXe siècle. Avec le
développement du système de la banque, l'hypothèque se
développe toujours de plus en plus comme ce qui,
j’aimerais dire, entre maintenant comme un premier
facteur dans le processus d’économie de peuple. Mais
en cela, s’est montré en même temps quelque chose de
très particulier, tout de suite dans l’hypothéquer,
notamment que maintenant, par l'hypothéquer en grand
style sous l'expansion du système bancaire, qu’à
l'humain a en fait été retiré la domination sur la
circulation de l’argent/monnaie, que de proche en
proche le processus de circulation de l’argent/la
monnaie est devenu tel - oui, je ne trouve aucune
autre expression – qu’il se joue impersonnellement ;
de sorte que ce que j'ai déjà mentionné dans la
première conférence, en fait le temps est venu où
maintenant l'argent gère/fait l’économie lui-même, et
l'humain est bientôt en haut, bientôt en bas, d’après
qu’il sera attiré dans ce flux/courant entier de
l'économie de l’argent/monétaire. Il le sera notamment
bien plus qu'il ne le pense en fait ; car la
circulation de l'argent s’est rendue objective tout de
suite au cours des dernières décennies du XIXe siècle,
est devenue impersonnelle. Avec cela je viens - et
parce qu'il s’agit de cela pour l'économie de peuple,
que l'on juge la vie entière de manière impartiale,
ainsi des aperçus sur la vie entière devront être
donnés – avec cela je viens à un phénomène particulier
du XIXe siècle, notamment de sa fin, sur un phénomène
qui se comporte d'abord psychologiquement, mais qui
alors joue un grand rôle d’économie de peuple : que
des phénomènes de vie qui s’inaugurent de forces qui
sont des forces absolument réelles dans le
contexte/pendant de la vie, que ces phénomènes de vie
continue alors de rouler comme par une sorte
d’inertie/indolence sociale, comme une boule continue
de rouler, quand je lui ai donné un élan, que le
continuer de rouler se joue alors, aussi sans que les
impulsions originelles y soient encore actives. Ainsi,
nous avons absolument déjà eu des impulsions
d’économie de peuple dans le système de prêt jusque
dans le premier tiers du XIXe siècle. Là, ces
impulsions d’économie de peuple commencent à devenir
des impulsions purement d’économie financière par le
système bancaire. Avec cela le tout ne devient pas
seulement impersonnel, mais même non naturel ; tout
sera tiré dans ce flux d'argent qui se meut de
lui-même. L'économie monétaire/de l’argent sans sujet
naturel et personnel, c'est cela où a tendu vers la
fin du XIXe ce qui était à l'origine absolument porté
par sujet personnel et naturel.
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20
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Die Blütezeit, ich möchte sagen, das
klassische Zeitalter des Leihkapitals trat eigentlich
erst im 19. Jahrhundert, und zwar erst eigentlich
gegen das zweite Drittel des 19. Jahrhunderts ein. Und
damit ist dann zu verzeichnen in der geschichtlichen
Entwickelung das Heraufkommen derjenigen
Institutionen, die namentlich dem Beleihen dienen, das
Heraufkommen des Bankwesens. So daß das klassische
Zeitalter des Leihkapitals und damit die Entfaltung
des Bankwesens in die letzten zwei Drittel des 19.
Jahrhunderts und in die ersten Jahrzehnte des 20.
Jahrhunderts fällt. Mit der Entwickelung des
Bankwesens entwickelt sich immer mehr und mehr die
Beleihung als dasjenige, was, ich möchte sagen, nun
als ein erster Faktor eintritt in den
volkswirtschaftlichen Prozeß. Aber dabei hat sich zu
gleicher Zeit etwas ganz Besonderes gezeigt, gerade
beim Beleihen, nämlich das, daß nun durch das Beleihen
im großen Stil unter der Ausbreitung des Bankwesens
dem Menschen die Herrschaft über die Geldzirkulation
eigentlich entzogen worden ist, daß nach und nach der
Zirkulationsprozeß des Geldes ein solcher geworden
ist, der sich — ja, ich finde keinen andern Ausdruck
—, der sich unpersönlich abspielt; so daß, was ich
schon erwähnt habe im ersten Vortrag, tatsächlich die
Zeit heraufgezogen ist, wo das Geld nun selber
wirtschaftet, und der Mensch bald droben, bald drunten
ist, je nachdem er in diesen ganzen Strom der
Geldwirtschaft hineingezogen wird. Er wird es nämlich
viel mehr, als er es eigentlich denkt; denn es hat
sich die Geldzirkulation gerade im Laufe der letzten
Jahrzehnte des 19. Jahrhunderts verobjektiviert, ist
unpersönlich geworden. Damit komme ich — und weil es
bei der Volkswirtschaft darauf ankommt, daß man das
ganze Leben in unbefangener Weise beurteilt, so müssen
Ausblicke auf das ganze Leben gegeben werden —, damit
komme ich auf eine eigentümliche Erscheinung des 19.
Jahrhunderts, namentlich seines Endes, auf eine
Erscheinung, die zunächst psychologisch sich ausnimmt,
die dann aber eine große volkswirtschaftliche Rolle
spielt : daß Lebenserscheinungen, die sich
inaugurieren aus Kräften, welche durchaus reale Kräfte
im Lebenszusammenhang sind, daß diese
Lebenserscheinungen dann wie durch eine Art von
sozialer Trägheit weiterrollen, wie eine Kugel
weiterrollt, wenn ich ihr einen Schwung gegeben habe,
daß das Weiterrollen sich dann abspielt, auch ohne daß
die ursprünglichen Impulse noch drinnen tätig sind. So
haben wir durchaus volkswirtschaftliche Impulse in dem
Leihsystem schon drinnen gehabt bis in das erste
Drittel. des 19. Jahrhunderts. Da fangen diese
volkswirtschaftlichen Impulse an, rein
finanzwirtschaftliche Impulse zu werden durch das
Bankwesen. Damit wird das Ganze nicht nur
unpersönlich, sondern sogar unnatürlich; es wird alles
in die sich selbst bewegende Geldströmung
hineingezogen. Geldwirtschaft ohne natürliches und
persönliches Subjekt, das ist dasjenige, wo
hintendiert hat gegen das Ende des 19. Jahrhunderts
das, was ursprünglich durchaus vom persönlichen und
vom natürlichen Subjekt getragen war.
|
Et il est singulier que cette
économie dépourvue de sujet, cette circulation
monétaire dépourvue de sujet, soit accompagnée d'un
autre phénomène. C'est celui-ci : que les États ont
toutefois commencé à gérer l’économie à partir
d’impulsions économiques, ont par exemple tenté de
coloniser à partir d’impulsions économiques. Nous
verrons demain quelle influence cette colonisation a
sur la vie de l’économie ; aussi la décolonisation
devra être considérée en cela. Par exemple, nous
pouvons très bien observer dans un processus
économique réel quelle signification a la colonisation
en Angleterre ; l'Angleterre n'a pratiquement jamais
dépassé le stade de la colonisation, donc disons de
l'impérialisme avec une substance objective. Je pense
l'inclusion de contenus économiques réels avec
l'impérialisation. Mais quand vous regardez, par
exemple, la colonisation allemande - vous n'avez qu'à
vous attaquer une fois aux bilans coloniaux – là vous
verrez que la colonisation allemande était tout
d’abord entièrement atteinte de bilans négatifs. Il
n'y avait que de très petites tâches qui tranchaient
avec un bilan positif. Mais aussi chez d'autres États,
s’est au moins progressivement infiltrée la tendance à
s’agrandir simplement à travers les colonies. Des gens
particuliers comme Hilferding, dans son livre
"Finanzkapital", publié à Vienne en 1910, ont aussi
appelé cela « impérialisme dépourvu
d’objet ».
|
21
|
Und es ist eigentümlich, daß dieses
subjektlose Wirtschaften, dieses subjektlose
Geldzirkulieren begleitet ist von einer anderen
Erscheinung. Das ist diese : daß die Staaten
allerdings angefangen haben zu wirtschaften aus
wirtschaftlichen Impulsen heraus, aus wirtschaftlichen
Impulsen heraus zum Beispiel versucht haben zu
kolonisieren.Wir werden morgen sehen, was für einen
Einfluß dieses Kolonisieren auf das Wirtschaftsleben
hat; auch das Entkolonisieren muß dabei betrachtet
werden. Wir können zum Beispiel sehr gut beobachten in
einem realwirtschaftlichen Prozeß, welche Bedeutung
das Kolonisieren bei England hat; England ist im
Grunde genommen kaum jemals hinausgegangen über das
Kolonisieren, also sagen wir über den Imperialismus
mit objektiver Substanz. Ich meine das Hereinbeziehen
von wirklichen wirtschaftlichen Inhalten mit
Imperialisieren. Wenn Sie aber betrachten zum Beispiel
das deutsche Kolonisieren — Sie brauchen sich nur die
Kolonialbilanzen einmal vorzunehmen —, da werden Sie
sehen, daß das deutsche Kolonisieren zunächst ganz mit
negativer Bilanz behaftet war. Es gab nur ganz kleine
Flecke, die mit positiver Bilanz abschnitten. Aber
auch bei anderen Staaten hat sich nach und nach
wenigstens die Tendenz eingeschlichen, sich einfach
durch Kolonien zu vergrößern. Das haben dann auch
einzelne Leute wie Hilferding in seinem Buch
«Finanzkapital», das 1910 in Wien erschienen ist,
genannt «objektlosen Imperialismus ».
|
Ainsi vous pouvez donc parler de ces
deux phénomènes comme de phénomènes extrêmement
instructifs ces derniers temps : d'un côté, de la
circulation de l'argent dépourvue de sujet, aussi bien
en relation naturelle que personnelle, et de l'autre
côté, de l'impérialisme dépourvu d’objet dans la
grande économie. Ce sont absolument deux phénomènes
qui sont là les derniers temps, comme si l'un avait
conditionné l'autre dans l'ensemble du contexte. On
peut dire : c'est purement psychologique d’où l'on
peut partir ; mais cela devient un économique dans le
déroulement supplémentaire ; car quand on a des
colonies improductives, cela devra être payé
négativement. Donc cela intervient déjà après dans la
vie de l’économie.
|
22
|
Sie können also von diesen zwei
Erscheinungen als eben außerordentlich lehrreichen
Erscheinungen in der neueren Zeit sprechen: auf der
einen Seite von dem sowohl in natürlicher wie in
persönlicher Beziehung subjektlosen Geldzirkulieren,
und auf der anderen Seite vom objektlosen
Imperialismus in der großen Wirtschaft. Das sind
durchaus zwei Erscheinungen, die in der neueren Zeit
dastehen, wie wenn das eine das andere bedingt hätte
im ganzen Zusammenhang. Man kann sagen: Rein
Psychologisches ist es, wovon man ausgehen kann; aber
es wird im weiteren Verlauf ein Wirtschaftliches; denn
wenn man unproduktive Kolonien hat, so muß das negativ
gezahlt werden. Also es greift nachher schon in das
Wirtschaftsleben ein.
|
Maintenant, ce sont les choses dont
nous avions à discuter aujourd'hui.
|
23
|
Nun, das sind die Dinge, die wir
heute zu besprechen hatten.
|
Français seulement
01
Les formules que j'ai essayé de présenter hier ne sont
évidemment pas des formules mathématiques, mais ce sont des
formules, comme celles dont j'ai parlé précédemment, qui devront
justement être vérifiées à la vie. Et pas seulement cela, mais
elles doivent être saisies de telle sorte qu'elles vivent
réellement à l'intérieur de l'économie de peuple.
02
Maintenant, je dois vous dire aujourd'hui quelque chose qui peut
mener de proche en proche à saisir comment ces choses vivent
selon l’économie de peuple. Quand nous voyons simplement vers ce
que dans l'ensemble du processus d’économie de peuple, tout ce
qui circule dedans doit avoir une certaine valeur, ainsi nous
devons de l'autre côté être clairs sur ce que mainte chose peut
se produire dans l'organisme d’économie de peuple qui n'amène
pas immédiatement sa valeur à l’expression dans les processus de
l'économie de peuple.
03
Je voudrais vous rendre cela clair à un exemple qui nous amènera
alors à nous présenter quelques concepts supplémentaires
d’économie de peuple. De telles choses, qui dans une certaine
mesure présentent des pendants plus cachés d’économie de peuple,
Unruh les a très joliment présentés dans ses livres d’économie
de peuple. Et je fais seulement ici référence à celui que j'ai
alors moi-même parcouru, et dont je peux dire qu'il colle du
seul point de vue de l'observation, même si Unruh est un esprit
absolument porté par/sur l'économie d’État/étatique, qui donc
par ce qu'il ne pense en fait pas économiquement, mais
politiquement, ne sait à nouveau pas amener les choses dans un
contexte/pendant correspondant.
04
Ce qui peut nous rendre attentifs de combien les choses se
jouent compliquées dans le processus d’économie de peuple,
c'est, par exemple, le prix du seigle dans certaines régions
d'Europe centrale. Quand on entend de gros agriculteurs, ils
vous diront très souvent : au prix du seigle on ne gagne rien ;
au contraire, on perd par le prix du seigle. - Qu'est-ce qui est
en fait pensé avec ça ? Avec ça est tout d’abord pensé que le
seigle ne peut pas être vendu ainsi pour ces gens comme doit
être vendu, ce qui, par exemple - du moins pour le principal -
consiste généralement en des prix des matières premières, des
coûts de production et un certain bénéfice. Si l'on prenait les
prix du seigle de cette façon, on trouverait simplement qu'ils
ne correspondent pas aux coûts de production et à un gain. Ils
sont loin en dessous de cela. Et quand on devait concevoir le
bilan de n'importe quelle agriculture de manière à utiliser
simplement les prix du seigle avec les valeurs telles qu'elles
sont sur le marché, alors on utiliserait simplement des valeurs
qui devraient absolument influencer le bilan dans un sens
négatif. Comme je l'ai dit, on peut suivre la chose et c’est
absolument juste que sera vendu en dessous du prix - comme on
pourrait dire. Mais maintenant, cela ne peut en fait pas être
dans la réalité. Il est impossible que cela se produise dans la
réalité. Mais cela se produit absolument vers l'extérieur. Ce
qu'il y a, c'est ceci : le seigle ne fournit pas seulement le
fruit, mais aussi la paille. La paille n'est vendue que pour la
plus petite partie par des agriculteurs qui cèdent le grain de
seigle à un prix inférieur au prix. Ils l'utilisent dans leur
propre économie agricole. Ils l'utilisent pour nourrir le
bétail. Et alors ils font leur bilan ainsi qu’ils compensent ce
qu'ils perdent sur le seigle par l'engrais qu'ils reçoivent des
animaux. Maintenant cet engrais est le meilleur engrais que l'on
puisse recevoir pour l'économie de l’agriculture. Il est
extrêmement riche en bactéries. Et de cette façon, on obtient à
nouveau l'engrais offert - comme un cadeau vis-à-vis du bilan.
De sorte que l'on peut créer de cette manière en fait un
équilibre correct de bilan.
05
Vous voyez, ici repose quelque chose qui nous oblige à établir
un concept d’économie de peuple qui est extrêmement important et
que vous trouverez peu pris en compte dans la littérature
d’économie de peuple. Le concept que j’aimerais installer ici
est celui d'économie interne à l’intérieur de l'économie de
peuple. Donc, quand l'économie propulse sa propre économie en
soi-même, donc est le moteur de l'échange de produits à
l'intérieur d'elle-même, ainsi que les produits ne seront pas
vendus vers dehors et achetés de dehors, mais circulent à
l’intérieur de l'économie elle-même - j'aimerais décrire cela
comme l'économie interne vis-à-vis l'économie générale de
peuple. Là où sera propulsée une économie intérieure/de
livraison à soi-même, nous avons absolument à faire avec la
possibilité que maintenant même des produits puissent être cédés
sous le prix sinon nécessaire selon l’économie de peuple. Cela
fait bien sûr de la formation des prix à l’intérieur d'une zone
d’économie de peuple une série de faits extraordinairement
compliquée.
06
Mais maintenant, quand nous partons de ces pendants, qui, comme
je l'ai dit, ont déjà été remarqués comme des faits par les
économistes, nous pouvons passer à une autre série de faits que
j'ai déjà abordés d'un certain point de vue, mais qui doivent
maintenant aussi être examinés d'un autre point de vue. Je vous
ai notamment dit il y a quelques jours qu’on n’embrasse pas sans
plus les pendants d’économie de peuple. Quand on pense à ce
qu'un cordonnier, dis-je, tombe malade et qu'il reçoit un
médecin maladroit, il reste malade pendant trois semaines, ne
peut fabriquer aucune chaussure, alors ses produits de
chaussures, qu'il fabriquerait en trois semaines, seront retirés
du circuit/de la circulation d’économie de peuple. Maintenant je
vous disais, s'il reçoit maintenant un médecin compétent qui le
guérira en huit jours et qu'il peut fabriquer ses chaussures
pendant quatorze jours, alors on peut lancer la question : qui
maintenant, économiquement parlant, a fabriqué les chaussures ?
– Penser selon l’économie de peuple, c’est sans aucun doute le
médecin qui les a fabriquées à ce moment du processus d’économie
de peuple. Il n'y a aucun doute là-dessus.
07
Mais maintenant, repose à nouveau autre chose, à savoir si le
médecin a aussi été payé pour cela. Encore une fois, le médecin
n'a pas été payé. Car vous pouvez maintenant faire le calcul
suivant : vous pourriez calculer en fonction du marché la
quantité de ces chaussures que le médecin a fabriquées, et vous
pourriez compenser cela, si vous établissez un bilan un peu plus
long, sur ses dépenses de formation, et vous verriez là que ses
dépenses de formation ne seraient probablement pas très
différentes de toutes les chaussures qu'il a fabriquées, de tous
les cerfs qu'il a tués - car, on le sait, les médecins n’ont pas
toujours la particularité que celui qui sinon serait arrêté
trois semaines de la vie, est arrêté justement seulement huit
jours. Mais en tout cas, de même que le bilan global serait
alors dressé, nous n'établirions pas correctement les comptes
économiques si nous les établissons de telle sorte que nous ne
mettions pas en valeur les chaussures qu'il fabrique, le cerf
qu'il abat si plus tôt il a guéri un chasseur, le grain qu'il
récolte et ainsi de suite contre/sur sa formation. Seulement le
processus d’économie de peuple est là naturellement très
compliqué et le chiffrer s'avère aussi extrêmement compliqué.
08
Vous pouvez donc envisager qu'il n'est pas du tout certain que
l'on puisse dire à un quelque endroit à partir de quoi quelque
chose est réellement payé dans le processus d’économie de
peuple. On doit parfois aller loin pour savoir d'où une quelque
chose sera payée. Quiconque recherche une simplicité très lisse
dans le processus d’économie de peuple n'arrivera jamais à des
façons de voir d’économie de peuple qui recouvrent d'une manière
ou d'une autre la réalité. Il n'ira jamais à ce que j'ai dit :
c'est en fait donné derrière les formules : prix, offre, demande
et ainsi de suite. Il n'ira pas à ça. Mais on doit y aller. Mais
maintenant, par cela,
ça devient particulièrement difficile d'évaluer
correctement le processus d’économie de peuple, parce que
justement de la raison que, disons, les recettes pour des
dépenses reposent parfois très éloignées, il n'est pas si facile
de voir dans le processus global d’économie de peuple ce qui a
été payé, acheté, ce qui est prêté et ce qui est donné. Car
supposez une fois maintenant que ce que j'ai dit il y a quelques
jours se réalise, que ces capitaux qui apparaissent d'une
quelque manière seront retirés de l'accumulation à l’intérieur
de fonds et sols et seront poussé dans la culture spirituelle,
alors cela peut arriver sous la forme de bourses et de
fondations, par exemple. Là nous avons des donations. Et vous
pouvez donc voir maintenant, d'un côté de votre grande
comptabilité, qui couvre l'économie réelle de peuple, que dans
ce que le médecin fait maintenant de chaussures qui durent deux
semaines, il y a peut-être un poste que vous devez rechercher de
l'autre côté sous la rubrique des dons, s'il a quelque peu eu
une bourse, par exemple, a participé à une fondation.
09
Bref, vous pouvez partant de là, poser la question de poids :
quels sont les transferts de capitaux les plus productifs dans
le processus d’économie de peuple, les plus productifs de tous ?
- Et quand vous continuez à suivre de tels pendants, comme je
les ai maintenant présentés, quand vous suivez notamment ce qui
peut entrer du capital disponible dans des fondations, dans les
bourses, dans d'autres biens culturels spirituels, qui à nouveau
ont un effet fécondant sur tout l’entrepreneuriat, sur toute la
production spirituelle, alors vous trouverez, que le plus
fructueux à l’intérieur du processus d’économie de peuple sont
tout de suite les dons, et qu'on peut en fait seulement arriver
à un processus d’économie de peuple vraiment sain, quand
premièrement, la possibilité est là que les gens aient quelque
chose à donner et, deuxièmement, qu’ils aient la bonne volonté
de le donner, que ce à-donner le soit d'une manière
synthétiquement raisonnable. De sorte que nous arrivons ici à
quelque chose qui est articulé dans l'économie de peuple d'une
manière particulière.
10
Et le curieux à cela, c’est quelque chose qui ne peut pas être
épluché de concepts, mais que peut seulement donner une vaste
expérience ; mais cela vous donnera une vaste expérience, plus
vous poursuivez cela, - et je vous recommande même d'essayer
d'orienter un certain nombre de sujets de thèse vers la question
: Qu'advient-il des dons dans le processus d’économie de peuple
? - Vous constaterez alors que les donations sont les plus
productives de toutes, de sorte que les capitaux de donation
sont les plus productifs dans les processus d’économie de
peuple. Moins productifs dans les processus d’économie de peuple
sont les capitaux de prêt, et le plus improductif dans le
processus d’économie de peuple est ce qui se tient immédiatement
sous l'achat et la vente. Ce qui sera immédiatement payé sous
l'achat et la vente est le plus infertile dans le processus
d’économie de peuple. Ce qui repose sur prêter, ce qui entre
dans le processus économique par la fonction du capital de prêt,
est, pourrait-on dire, de productivité moyenne. Ce qui entre par
des dons, c'est de la plus grande productivité, déjà pour la
raison que ce travail est réellement épargné, c'est-à-dire que
les prestations de ce travail seront épargnées qui devraient
sinon être apportés pour acquérir la concerné qui sera donné
ici. Sera donné ce qui provient du processus d’économie de
peuple et endommageraient le processus d’économie de peuple s'il
cela s'accumulait sur fonds et sols.
11
Ainsi nous pouvons voir que dans un instant du développement, le
processus d’économie de peuple ne donne absolument aucun
éclaircissement sur lui-même, mais il faut absolument prendre en
compte l'avant et l'après. Mais l'avant et l'après ne peuvent
certainement pas être pris en compte quand ce n’est pas placé
dans le jugement des humains qui s'unissent de manière
associative, et qui peuvent donc aussi avoir un aperçu
correspondant du passé et de l'avenir. Vous voyez, on doit
construire le processus d’économie de peuple sur la perspicacité
de ceux qui se tiennent dans l'économie de peuple. C'est aussi
ce qui ressort de ces choses. Il est difficile d'évaluer aussi
facilement comment les facteurs individuels du processus
économique sont impliqués dans la vie humaine dans son ensemble,
aussi loin que c’est matériel.
12
D'un certain point de vue, nous pouvons parler de capital
commercial, de capital de prêt et de capital industriel dans le
processus d’économie de peuple. Le capital circulant est
approximativement épuisé par le fait qu'il est articulé en
capital commercial, capital de prêt et capital industriel.
Maintenant, de la manière la plus diverse ces trois choses sont
fichées dans le processus d’économie de peuple : le capital
commercial, le capital de prêt et le capital industriel. C’est
maintenant vraiment – parce que là sont partout dispersés dans
le processus d’économie de peuple de telles économies internes,
comme je l’ai expliqué aujourd’hui à un exemple -
extraordinairement difficile de dire dans un processus
d’économie de peuple qui se déroule dans un tout plus vaste,
quelle est, en termes quantitatifs, la part du capital de prêt,
du capital industriel et du capital commercial dans la
prospérité d’économie de peuple. Mais on peut quand même
progressivement arriver à des concepts durables, quand l'on
considère ces choses dans le cadre d'un horizon plus large.
13
Regardons là une fois d'abord des économies entières de peuple,
des économies d'État, comme nous devons le dire dans la
modération de la vie récente de l’économie. Là nous avons la
France, par exemple. C’est seulement à titre d'exemple que je
m’en saisis. Là nous avons la France. En France, dans tout son
contexte/pendant d’économie mondiale, comme c’était notamment
avant la guerre et comme cela s’est montré dans ses effets
pendant la guerre, est a observer comment, à grande échelle dans
le processus d’économie de peuple, œuvre le capital de prêt. On
pourrait dire que la France a donc en fait toujours eu une
certaine tendance à constituer justement réellement du capital
de prêt, donc à traiter le capital de prêt comme du capital de
prêt. Vous savez donc, que finalement tout ce qui a pénétré par
en dessus dans le domaine politique, à quoi on a si clairement
pu voir les dommages causés du couplage des vies de l’économique
et de droit, donc en fait de la vie politique, que cela a eu
lieu en rapport à la France dans l'emprunt aussi bien de la
Russie comme aussi de la Turquie. La France a exporté un montant
extraordinaire de capitaux de prêts vers la Russie et la
Turquie. Même vers l’Allemagne, malgré que sinon il n'ait jamais
été aussi correctement bien de parler sur l'Allemagne dans toute
la France, le capital de prêt français a déjà été exporté, par
exemple au début de la construction du chemin de fer de Bagdad,
où l'Angleterre s'est retirée ; mais la France a déjà accordé
des capitaux de prêt aux gens, par exemple Siemens et Gwinner,
qui se tenaient à la pointe de l’entreprise. Donc la France
était en fait pour l’essentiel un pays prêteur, de sorte qu'on
pouvait de voir comment du capital de prêt sera en fait intriqué
dans l'ensemble du processus d’économie de peuple.
14
Je ne veux pas parler du tout pour ou contre quoi que ce soit
maintenant, mais simplement présenter objectivement. Vous pouvez
en fait voir à partir d'un phénomène historique externe quels
intérêts a réellement le capital de prêt. Quand nous tournons le
coup d’œil, disons, sur des économies privées, ainsi nous
trouverons partout par l'intermédiaire de la banque : le
gestionnaire économique privé sera un humain pacifique/aimant la
paix ; car il sait sous toutes les circonstances que le désordre
s'installera dans ses rapports d'intérêt s'il a attribué son
capital de prêt et que la guerre balayera les pendants
économiques. Tous les économistes de peuple comptent avec ce que
les prêteurs soient des gens pacifiques. C'est aussi la raison
pour laquelle il est toujours possible de dire, en rapport à la
France, qu'elle n'a pas de culpabilité à la guerre. Nous pouvons
le dire pour la simple raison que, quand on veut prouver que la
guerre n'a pas été voulue en France, on a seulement besoin
d’indiquer sur les intérêts des petits rentiers, pas sur les
intérêts de ceux qui ont propulsé à la guerre. En France, on a
toujours à l'arrière-plan les gens qui ne voulaient absolument
pas la guerre. Tout de suite ce fait historique peut nous
montrer à grande échelle ce qui existe aussi à petite échelle :
le prêteur, donc celui qui réjouit du capital prêté, qui peut
consentir du capital de prêt, est en fait un humain qui, où
c’est possible, aimerait voir éviter que l'économie ne soit
perturbée par les événements qui n’appartiennent pas eux-mêmes à
l’économie, aussi par de tels événements qui provoquent des
chocs particulièrement forts dans la vie économique. Celui qui a
du capital de prêt à attribuer aimera d'autant plus un cours
tranquille du vécu, parce qu'il veut essentiellement se ménager
son jugement et qu'il veut donner plus au fait que l'on lui dit
justement : ici et là quelque chose est justement bien investi.
- En notre époque, où le jugement public est certes très
prétentieux sur soi, mais en fait très peu est disponible, dans
cette époque, là nous pouvons dire qu'en même temps, la
possibilité de consentir des capitaux de prêt est liée à une
croyance extraordinairement forte en l'autorité dans la vie
économique et dans la vie elle-même. Et cela trouble à nouveau
extraordinairement fort le jugement économique. Les gens qui
sont estampillés d'une façon ou d'une autre se font facilement
prêter de l'argent. Le prêt personnel sera volontiers accordé à
celui qui est estampillé d'une manière ou d'une autre. D’après
cela, la chose sera décidée. Et n'est-ce pas, selon la manière
dont ce principe d'autorité sera cultivé ou non, d’après cela
nous voyons aussi, que soit les gens personnellement plus
compétents peuvent intervenir de manière productive dans la vie
de l'économie, ou ceux qui, non par leurs capacités, mais par
d'autres pendants – ceux-là il devrait aussi y avoir -
deviennent conseillers commerciaux, par exemple. Quand ils
peuvent intervenir dans la vie économique, ainsi cela ira
justement autrement que quand on est dépendant de ce que les
choses sont transmises/fournies seulement par le remarquer des
facultés personnelles dans un jugement purement public. Là
intervient à nouveau dans la vie économique quelque chose que
l'on ne peut pas si correctement saisir. Il est devenu trop
courant dans une certaine communauté, ces derniers temps,
d'utiliser le mot, partout où l'on ne peut plus suivre avec les
concepts, et donc, ces derniers temps, le mot "impondérables" a
trop souvent teinté dans mes oreilles dans les différents
endroits. J’aimerais insister expressément sur le fait que
j’évite ce mot ici et aimerais indiquer sur comment ce qui est
en ligne droite se ramifie dans ce que nous devrons poursuivre
sur des chemins un peu plus tordus ; mais il n'est pas
nécessaire que le terme "impondérables" apparaisse bientôt
partout, comme il a dû être entendu récemment à tel ou tel
endroit jusqu'à saturation/la nausée. Maintenant, tout d'abord
une fois, un petit coup d'œil sur le capital de prêt.
15
Si nous passons au capital industriel, alors, quand nous voulons
étudier le capital industriel dans son essence - même si ce
capital industriel a subi un sort peu édifiant - nous pourrons
étudier extraordinairement bien la fonction du capital
industriel particulièrement dans l’élan de l'industrie en
Allemagne dans les décennies précédant la guerre. Nous y
parviendrons particulièrement bien pour la raison que le capital
industriel, sous l'influence de l'esprit d'entreprise, s’est
transformé immédiatement à partir du capital de prêt - plus en
Allemagne au cours des dernières décennies avant la guerre que
n’importe où dans un autre secteur du monde. Il est justement
absolument vrai, ce que j'ai mentionné ici dans ma toute
première conférence, qu'en Angleterre, par exemple, le capital
commercial s'est transformé de proche en proche en capital
industriel, parce que l'industrialisme s'est développé en
Angleterre d’une manière plus lente qu'en Allemagne, où il a
poussé vers le haut à une vitesse vertigineuse, de sorte qu'en
fait, j’aimerais dire, cela représente l'industrialisme en
culture pure - et il est en culture pure quand il ne transforme
pas le capital commercial en capital industriel, mais transforme
le capital de prêt en capital industriel -, quand on veut
étudier cela, ainsi on peut l'étudier en particulier dans
l'économie allemande de peuple.
16
Maintenant, le capital industriel c’est donc placé en fait
entre, j’aimerais dire, deux tampons. Un tampon est le produit
brut, l'autre est les marchés. Le capital industriel est
dépendant de la recherche du plus possible de sources de
matières premières et du plus possible d’arranger les marchés.
Ce n'est maintenant pas si facile à étudier à l'industrie
allemande. À l'industrialisme allemand, vous pouvez plus
étudier, purement selon l’économie de peuple, comment,
j’aimerais dire, le capital industriel travaille en soi ; mais
vous pouvez malgré tout étudier cette position entre les deux
tampons partout, parce que l'apparition de l'industrialisme dans
tous les pays au cours du XIXe siècle et au XXe siècle est
significative dans la vie d’économie de peuple. Vous devez
justement seulement rechercher les faits corrects de la vie
économique. Là se donnera à vous - et comme je l'ai dit, c’est
bon de garder la direction, l'orientation, dont on a besoin pour
ses concepts, de se tenir à des choses appréciables ainsi - si
vous devez chercher des chemins extrêmement difficiles pour les
définitions, les caractéristiques des concepts, quand vous
regardez des zones économiques plus petites. Vous vous
faciliterez ces voies quand vous regardez les économies à grande
échelle, quand vous regardez les économies à grande échelle pour
voir comment, en règle générale, les concepts de pouvoir et les
concepts de pouvoir parfois masqués en concepts de droit sont
les plus fortement réalisés, surtout lorsqu'il s'agit
d’exploiter les sources des matières premières. Nous pouvons
donc l'étudier à grande échelle, disons à la guerre des Boers,
où il s’est agi essentiellement d’exploiter les métaux précieux.
Cela a été une véritable guerre des matières premières.
Cependant, cela s'est toujours produit dans un certain masquage,
mais il s'agit d'une véritable guerre des produits bruts. Alors,
vous avez un exemple de la façon dont la vie économique se
déroule d'une manière politique, jouant dans le politique, sur
ce qui a mesure de pouvoir, disons dans ce que la Belgique a
entrepris de guerre pour obtenir l'ivoire et le caoutchouc de
l'État du Congo. Là vous pouvez voir comment l’exploitation des
sources de matières premières se déroule dans l'économie de
peuple. Ou prenez, comment l'Amérique du Nord s'est approprié
les possessions espagnoles aux Antilles, parce que c'est là
qu'elle cherchait les sources de matière première pour le sucre.
Donc, partout nous pouvons voir comment la recherche du produit
brut pousse facilement le purement économique vers le politique,
vers le déploiement de pouvoir. C'est l'un des côtés, l’un des
tampons, aimerais-je dire.
17
La situation est différente avec la recherche des marchés. Et il
est facile de prouver à travers l'histoire que la recherche des
marchés ne mène pas à la vie politique de la même manière. Elle
ne développe tout simplement pas, à partir de la nature humaine,
de la même manière que le déploiement du pouvoir. Un exemple
flagrant, on doit le chercher dès le XIXe siècle, lorsque
l'Angleterre a conquis le marché chinois de l'opium dans la
guerre dite de l'opium. Mais même là, ce n'alla pas si
facilement avec la guerre, mais là la politique pacifique avait,
j’aimerais dire, son mot à dire quand l'histoire est devenue
sinistre, en trouvant cent quarante et un médecins qui ont
délivré un jugement d'expert que l'effet de la consommation
d'opium n'était pas plus dommageable que la consommation de
tabac et de thé. C'est donc ici que la politique, la politique
pacifique, a joué son rôle ; mais la politique est toujours
difficile à écarter. Vous connaissez la phrase de Clausewitz que
la guerre est la continuation de la politique par d'autres
moyens. Maintenant, de telles définitions on peut toujours en
établir : car avec cette sorte de définition on peut aussi, par
exemple, justifier la phrase selon laquelle le divorce est la
continuation du mariage par d'autres moyens. Oui, on peut même
mettre maints différents contextes de vie dans telle ou telle
lumière si l'on procède avec cette logique, et les gens
l'admirent alors. Curieusement, chacun s'en rend compte quand je
dis que le divorce est la continuation du mariage par d'autres
moyens. Chacun remarque l'histoire. Mais quand sera déclamé
partout : la guerre est la continuation de la politique par
d'autres moyens – là les gens ne remarquent pas le curieux de la
logique, mais ils l'admirent. Quand on applique une telle
logique, notamment dans l'économie de peuple, la j’aimerais dire
méthodologiquement, alors on n'avance jamais d'un pas quand on
élabore de telles définitions. Quand nous regardons cet autre
tampon, la recherche des marchés, alors nous devons toutefois
nous dire : dans la recherche des marchés, le bon sens
humain joue un rôle essentiellement plus important entre les
pôles de l’astuce, de la ruse et du sage leadership d’économie
de peuple. Il y a vraiment beaucoup des trois genres dans
l’arrangement des marchés tels qu'ils ont été aménagés,
notamment des grandes zones d’économie de peuple que les États
eux-mêmes sont devenus lorsque la politique s’était liée à
l'économie ; vraiment beaucoup a été mu/propulsé par les États
eux-mêmes, aussi bien de direction/leadership sage que de ruse,
intelligence, astuce et ainsi de suite. Ainsi que pour les
concepts qu’on veut maintenant former pour les petites zones
économiques individuelles sur le pendant entre l'entreprise
industrielle particulière et sa relation aux sources de matières
premières et aux marchés, qu'on peut quand même se former des
concepts descriptifs quand on considère ces choses sur une
grande échelle.
18
Quand on veut étudier la fonction du capital commercial, alors
il est bon d'étudier l'Angleterre, et d’ailleurs de préférence
en ce temps où l'Angleterre a fait son grand progrès économique
par le commerce, où par quoi le capital commercial a toujours
été augmenté, de sorte que l'Angleterre est entrée en fait tout
doucement et progressivement dans le nouvel industrialisme. Dans
le temps où l'industrialisme transformait tout, là l'Angleterre
avait déjà son capital commercial, de sorte que l'on peut
étudier le capital commercial en Angleterre pour des temps plus
anciens. Pour des temps plus récents, tout particulièrement Marx
a voulu étudier la fonction d’économie de peuple de
l'industrialisme en Angleterre ; mais pour les temps plus
anciens qui ont tout de suite précédé la création de
l'industrialisme moderne, dans les dernières décennies du 18e
siècle, quand on y revient, alors on trouve la fonction du
capital commercial tout particulièrement dans les destinées
économiques de l'Angleterre. Et là toutefois, là on doit dire
que l'essentiel est toujours malgré tout, que ce soit plus ou
moins ouvert ou caché, aussi bien dans la grande économie de
peuple, quand elle est principalement placée sur le commerce,
comme aussi dans le commerce lui-même, la concurrence. Certes,
celle-ci peut être très juste en introduisant toutes sortes de
concepts de convenance/bienséance. Mais elle reste de la
concurrence quand même. Car ce sur quoi repose tout de suite la
productivité dans le commerce, ce par quoi tout de suite du
capital commercial pourra être traité dans le processus
d’économie de peuple ainsi qu'il devient effectif/efficace, par
exemple en tant que capital industriel, cela repose donc sur ce
que le capital commercial conduit à l'accumulation, et cette
accumulation est inconcevable/impensable sans concurrence. Ainsi
qu’on étudiera la fonction du capital commercial tout
particulièrement bien quand on considère/saisit de l’œil la
fonction de la concurrence dans la vie d’économie de peuple.
19
Mais en même temps, les transformations historiques sont aussi
en pendant avec ces choses. C’est donc absolument ainsi que nous
pouvons dire que jusqu'à peu près au premier tiers du XIXe
siècle, quand l'on considère l'ensemble de l'économie mondiale
qui se développait progressivement - avant la guerre, elle
l'était à un haut degré - les processus économiques du commerce
et de l'industrie ont joué le rôle le plus important dans la vie
économique.
20
L'âge de floraison, j’aimerais dire, l’époque classique du
capital de prêt n'arriva en fait qu'au XIXe siècle, et
d’ailleurs en premier vers le deuxième tiers du XIXe siècle. Et
avec cela est alors à décrire dans le cours de l'évolution
historique, la montée de ces institutions qui, servent notamment
l'hypothéquer, l'essor du système des banques. De sorte que
l'âge classique du capital de prêt et avec cela le déploiement
du système de la banque tombent dans les deux derniers tiers du
XIXe siècle et dans les premières décennies du XXe siècle. Avec
le développement du système de la banque, l'hypothèque se
développe toujours de plus en plus comme ce qui, j’aimerais
dire, entre maintenant comme un premier facteur dans le
processus d’économie de peuple. Mais en cela, s’est montré en
même temps quelque chose de très particulier, tout de suite dans
l’hypothéquer, notamment que maintenant, par l'hypothéquer en
grand style sous l'expansion du système bancaire, qu’à l'humain
a en fait été retiré la domination sur la circulation de
l’argent/monnaie, que de proche en proche le processus de
circulation de l’argent/la monnaie est devenu tel - oui, je ne
trouve aucune autre expression – qu’il se joue impersonnellement
; de sorte que ce que j'ai déjà mentionné dans la première
conférence, en fait le temps est venu où maintenant l'argent
gère/fait l’économie lui-même, et l'humain est bientôt en haut,
bientôt en bas, d’après qu’il sera attiré dans ce flux/courant
entier de l'économie de l’argent/monétaire. Il le sera notamment
bien plus qu'il ne le pense en fait ; car la circulation de
l'argent s’est rendue objective tout de suite au cours des
dernières décennies du XIXe siècle, est devenue impersonnelle.
Avec cela je viens - et parce qu'il s’agit de cela pour
l'économie de peuple, que l'on juge la vie entière de manière
impartiale, ainsi des aperçus sur la vie entière devront être
donnés – avec cela je viens à un phénomène particulier du XIXe
siècle, notamment de sa fin, sur un phénomène qui se comporte
d'abord psychologiquement, mais qui alors joue un grand rôle
d’économie de peuple : que des phénomènes de vie qui
s’inaugurent de forces qui sont des forces absolument réelles
dans le contexte/pendant de la vie, que ces phénomènes de vie
continue alors de rouler comme par une sorte d’inertie/indolence
sociale, comme une boule continue de rouler, quand je lui ai
donné un élan, que le continuer de rouler se joue alors, aussi
sans que les impulsions originelles y soient encore actives.
Ainsi, nous avons absolument déjà eu des impulsions d’économie
de peuple dans le système de prêt jusque dans le premier tiers
du XIXe siècle. Là, ces impulsions d’économie de peuple
commencent à devenir des impulsions purement d’économie
financière par le système bancaire. Avec cela le tout ne devient
pas seulement impersonnel, mais même non naturel ; tout sera
tiré dans ce flux d'argent qui se meut de lui-même. L'économie
monétaire/de l’argent sans sujet naturel et personnel, c'est
cela où a tendu vers la fin du XIXe ce qui était à l'origine
absolument porté par sujet personnel et naturel.
21
Et il est singulier que cette économie dépourvue de sujet, cette
circulation monétaire dépourvue de sujet, soit accompagnée d'un
autre phénomène. C'est celui-ci : que les États ont toutefois
commencé à gérer l’économie à partir d’impulsions économiques,
ont par exemple tenté de coloniser à partir d’impulsions
économiques. Nous verrons demain quelle influence cette
colonisation a sur la vie de l’économie ; aussi la
décolonisation devra être considérée en cela. Par exemple, nous
pouvons très bien observer dans un processus économique réel
quelle signification a la colonisation en Angleterre ;
l'Angleterre n'a pratiquement jamais dépassé le stade de la
colonisation, donc disons de l'impérialisme avec une substance
objective. Je pense l'inclusion de contenus économiques réels
avec l'impérialisation. Mais quand vous regardez, par exemple,
la colonisation allemande - vous n'avez qu'à vous attaquer une
fois aux bilans coloniaux – là vous verrez que la colonisation
allemande était tout d’abord entièrement atteinte de bilans
négatifs. Il n'y avait que de très petites tâches qui
tranchaient avec un bilan positif. Mais aussi chez d'autres
États, s’est au moins progressivement infiltrée la tendance à
s’agrandir simplement à travers les colonies. Des gens
particuliers comme Hilferding, dans son livre "Finanzkapital",
publié à Vienne en 1910, ont aussi appelé cela
« impérialisme dépourvu d’objet ».
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Ainsi vous pouvez donc parler de ces deux phénomènes comme de
phénomènes extrêmement instructifs ces derniers temps : d'un
côté, de la circulation de l'argent dépourvue de sujet, aussi
bien en relation naturelle que personnelle, et de l'autre côté,
de l'impérialisme dépourvu d’objet dans la grande économie. Ce
sont absolument deux phénomènes qui sont là les derniers temps,
comme si l'un avait conditionné l'autre dans l'ensemble du
contexte. On peut dire : c'est purement psychologique d’où l'on
peut partir ; mais cela devient un économique dans le
déroulement supplémentaire ; car quand on a des colonies
improductives, cela devra être payé négativement. Donc cela
intervient déjà après dans la vie de l’économie.
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Maintenant, ce sont les choses dont nous avions à discuter
aujourd'hui.
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