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Sujet:
SEPTIÈME CONFÉRENCE, Dornach, 30 juillet
1922
SIEBENTER
VORTRAG, Dornach, 30. Juli 1922
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Les
références : Rudolf Steiner Œuvres
complètes GA340 096-109 (2002)
30/07/1922 |
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Original
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Traducteur:
FG v. 01 27/06/2022
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Editeur: SITE |
Nous nous sommes maintenant rendu clair comment
l'économie dans son ensemble évolue de telle sorte que
les facteurs propulsant, les facteurs mettant en
mouvement, sont : l'achat, respectivement la vente, le
prêt et la donation. Nous devons être conscients
qu'une économie ne peut exister sans cette interaction
du prêter, du donner et de l'acheter. Donc, ce qui
dans l'économique de peuple dont nous avons déjà parlé
d'après un côté, produit les valeurs, ce qui conduit
donc à la formation des prix, proviendra de ces trois
facteurs : achat, donation, prêt. Il s'agit seulement
de savoir comment ces trois facteurs jouent dedans la
formation des prix. Car ce n'est que lorsque nous
verrons comment ces facteurs jouent dans la formation
des prix que nous pourrons arriver une sorte de
formulation du problème de prix.
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01
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Wir haben uns nun klargemacht, wie die
Gesamtvolkswirtschaft so verläuft, daß als treibende
Faktoren, als bewegende Faktoren drinnen sind : Kauf,
beziehungsweise Verkauf, Leihung und Schenkung. Wir
müssen uns schon klar sein darüber, daß ohne dieses
Ineinanderspielen von Leihen, Schenken, Kaufen eine
Volkswirtschaft nicht bestehen kann. Was also im
Volkswirtschaftlichen die Werte, von denen wir ja von
der einen Seite her schon gesprochen haben, erzeugt,
was also zu der Preisbildung führt, das wird
hervorgehen aus diesen drei Faktoren, aus Kauf,
Schenkung, Leihung. Es handelt sich nur darum, wie
diese drei Faktoren drinnen in der Preisbildung
spielen. Denn, erst wenn wir einsehen, wie diese
Faktoren in der Preisbildung spielen, werden wir zu
einer Art Formulierung des Preisproblems kommen
können.
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Maintenant, il s'agit de bien voir en quoi
consistent les problèmes particuliers d’économie de
peuple. En cette relation, notre économie de peuple
est pleine de représentations totalement floues, de
représentations qui deviennent floues principalement
parce que, comme je l'ai souvent expliqué, on veut
saisir en repos/au calme ce qui est en mouvement.
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02
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Nun handelt es sich darum, daß man wirklich
ordentlich hinsieht, worin denn die einzelnen
volkswirtschaftlichen Probleme bestehen. In dieser
Beziehung ist ja unsere Volkswirtschaft voll von ganz
unklaren Vorstellungen, Vorstellungen, die
hauptsächlich unklar dadurch werden, daß man, wie ich
schon öfter auseinandergesetzt habe, das, was in
Bewegung ist, in Ruhe erfassen will.
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Examinons une fois, j’aimerais dire, les facteurs de
calme les plus importants de notre économie de peuple,
sous la condition préalable qu'il y ait des dons, des
achats et des prêts dans le mouvement de l’économie de
peuple. Examinons ce dont sera le plus parlé dans le
présent, et à travers quoi viennent en fait tout de
suite le plus d'erreurs dans l'économie de peuple. On
parle du salaire et nomme volontiers aussi le salaire
ainsi que le salaire ressemble au prix pour le
travail. On dit quand on doit payer plus un
travailleur salarié ainsi nommé, que le travail serait
devenu plus cher ; quand on doit payer moins cher
travailleur salarié ainsi nommé, on dit que le travail
serait devenu moins cher ; parle donc comme si une
sorte d’achat avait eu lieu entre le travailleur
salarié qui vend son travail et celui qui lui achète
ce travail. Mais ce n'est qu'un achat fictif. Ce n'est
pas du tout un achat qui a lieu dans le fait. Et c'est
donc ce qui est difficile dans nos rapports d’économie
de peuple, que nous avons en fait partout des rapports
cachés, masqués, qui se déroulent différemment de ce
qu'ils sont en réalité dans le sens plus profond. J'ai
donc aussi mentionné cela déjà auparavant.
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03
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Betrachten wir einmal unter der Voraussetzung, daß
in der volkswirtschaftlichen Bewegung Schenkung, Kauf
und Leihung drinnen sind, ich möchte sagen, die
wichtigsten Ruhefaktoren unserer Volkswirtschaft.
Sehen wir uns einmal dasjenige an, wovon gerade in der
Gegenwart am allermeisten gesprochen wird, und durch
das eigentlich am meisten Irrtümer in die
Volkswirtschaftswissenschaft. kommen. Man spricht vom
Lohn und benennt wohl den Lohn auch so, daß der Lohn
aussieht wie der Preis für die Arbeit. Man sagt, wenn
man einem sogenannten Lohnarbeiter mehr bezahlen muß,
die Arbeit sei teurer geworden; wenn man einem
sogenannten Lohnarbeiter weniger bezahlen muß, sagt
man, die Arbeit sei billiger geworden; spricht also
tatsächlich, wie wenn eine Art Kauf stattfinden würde
zwischen dem Lohnarbeiter, der seine Arbeit verkauft,
und demjenigen, der ihm diese Arbeit abkauft. Aber
dieses ist nur ein fingierter Kauf. Das ist gar kein
Kauf, der in der Tat stattfindet. Und das ist ja das
schwierige an unseren volkswirtschaftlichen
Verhältnissen, daß wir eigentlich überall kaschierte,
maskierte Verhältnisse haben, die sich anders
abspielen, als sie eigentlich sind im tieferen Sinn.
Ich habe das ja auch schon früher erwähnt.
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La valeur dans l'économie de peuple peut donc
seulement apparaître - nous avons déjà pu le voir -
dans l'échange des produits, dans l'échange des
marchandises ou absolument des fabrications d’économie
de peuple. D’une autre manière, de la valeur ne peut
pas apparaître. Mais vous pouvez facilement
envisager : si seulement de cette manière de la
valeur peut apparaître, et quand le prix de la valeur
veut venir en l’état ainsi que je l’ai expliqué hier,
que devrait être tenu compte de comment pour quelqu'un
qui a produit une fabrication, une valeur telle
devrait être disponible pour le produit qu'il peut
satisfaire les besoins qu’il a pour de nouveau
produire un produit semblable - si cela devait être
possible, ainsi les produits/fabrications doivent
s'évaluer/se valoriser mutuellement. Et finalement, ce
n'est donc pas difficile d’envisager que dans le
processus d’économie de peuple, les produits se
valorisent mutuellement. Ce sera seulement caché par
ce que l'argent pénètre entre ce qui sera échangé.
Mais ce n'est pas le significatif dans la chose. Nous
n'aurions pas le moindre intérêt à l'argent s'il ne
favorisait pas l'échange des produits, s'il ne le
rendait pas plus pratique et moins cher. Nous
n'aurions pas besoin d'argent sans le fait que ceux
qui fournissent un produit sur le marché - sous
l'influence de la division du travail - ne veulent pas
au départ se fatiguer à obtenir ce dont ils ont
besoin, là où c'est disponible, mais justement prendre
de l'argent pour cela et alors se fournir à nouveau de
manière correspondante. Nous pouvons donc dire qu'en
réalité, c'est la tension mutuelle qui pénètre entre
les produits dans le processus d’économie de peuple
qui doit avoir à faire avec à la fabrication de prix.
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04
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Wert in der Volkswirtschaft kann ja nur entstehen —
das haben wir schon ersehen können — im Austausch der
Erzeugnisse, im Austausch der Waren oder überhaupt
volkswirtschaftlicher Erzeugnisse. Auf eine andere
Weise kann Wert nicht entstehen. Aber Sie können
leicht einsehen : Wenn nur auf diese Weise Wert
entstehen kann, und wenn der Preis des Wertes so
zustande kommen will, wie ich das gestern
auseinandergesetzt habe, daß berücksichtigt werden
soll, wie für jemand, der ein Erzeugnis hervorgebracht
hat, ein solcher Gegenwert für das Erzeugnis
erhältlich sein soll, daß er die Bedürfnisse
befriedigen kann, die er hat, um ein gleiches
Erzeugnis wieder herzustellen — wenn das möglich sein
soll, so müssen ja die Erzeugnisse sich gegenseitig
bewerten. Und schließlich ist es ja nicht schwer,
einzusehen, daß im volkswirtschaftlichen Prozeß sich
die Erzeugnisse gegenseitig bewerten. Es wird nur
kaschiert dadurch, daß das Geld zwischen dasjenige
tritt, was ausgetauscht wird. Aber das ist nicht das
Bedeutsame an der Sache. An dem Geld hätten wir nicht
das geringste Interesse, wenn es nicht das Austauschen
der Erzeugnisse förderte, bequemer machte und auch
verbilligte. Wir hätten Geld nicht nötig, wenn es
nicht so wäre, daß derjenige, der ein Erzeugnis auf
den Markt liefert — unter dem Einfluß der
Arbeitsteilung —, zunächst sich nicht abmühen will, um
dasjenige, was er braucht, da zu holen, wo es
vorhanden ist, sondern eben Geld dafür nimmt, um dann
sich wiederum in der entsprechenden Weise zu
versorgen. Wir können also sagen: In Wirklichkeit ist
es die gegenseitige Spannung, welche zwischen den
Erzeugnissen eintritt im volkswirtschaftlichen Prozeß,
die mit der Preiserzeugung zu tun haben muß.
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De ce point de vue, voyons ce qu'on appelle le
rapport salarié, le rapport de travail. Nous ne
pouvons notamment pas du tout échanger du travail
contre une quelque chose, car il n'y a aucune
possibilité d'évaluation mutuelle entre le travail et
une quelque chose. Nous pouvons nous imaginer - et
réaliser l'imagination en laissant la relation
salariale entrer en vigueur - que nous payons le
travail ; en réalité, nous ne le faisons pas. Ce qui
se passe en réalité est quelque chose de tout autre.
Ce qui se passe en réalité, c'est que les valeurs sont
également échangées dans le rapport de travail ou
rapport salarial. L'ouvrier produit directement
quelque chose, l'ouvrier livre un produit ; et ce
produit lui est en fait acheté par l'entrepreneur.
L'homme d'affaires paie jusqu'au dernier centime les
produits que les travailleurs lui fournissent- nous
devons regarder les choses de la bonne façon - il
achète les produits au travailleur. Et alors, après
qu'il les a achetés, il a la tâche de donner à ces
produits une plus grande valeur par son esprit
d'entreprise à travers les relations générales dans
l'organisme social. Cela lui donne alors en vérité le
bénéfice. C'est ce qu'il a de cela, ce qui lui rend
possible, après avoir acheté les marchandises à ses
travailleurs, il les valorise par – appelons/nommons
le mot tristement célèbre – la conjoncture.
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05
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Betrachten wir von diesem Gesichtspunkt aus einmal
das sogenannte Lohnverhältnis, das Arbeitsverhältnis.
Wir können nämlich gar nicht Arbeit gegen irgend etwas
austauschen, weil es zwischen Arbeit und irgend etwas
eigentlich keine gegenseitige Bewertungsmöglichkeit
gibt. Wir können uns einbilden — und die Einbildung
realisieren, indem wir eben das Lohnverhältnis
eintreten lassen —, daß wir die Arbeit bezahlen; in
Wirklichkeit tun wir es nicht. Was in Wirklichkeit
geschieht, ist etwas ganz anderes. Was in Wirklichkeit
geschieht, ist dieses : daß auch im Arbeits- oder
Lohnverhältnis Werte ausgetauscht werden. Der Arbeiter
erzeugt unmittelbar etwas, der Arbeiter liefert ein
Erzeugnis; und dieses Erzeugnis kauft ihm in
Wirklichkeit der Unternehmer ab. Der Unternehmer
bezahlt tatsächlich bis zum letzten Heller die
Erzeugnisse, die ihm die Arbeiter liefern — wir müssen
schon die Dinge in der richtigen Weise anschauen —, er
kauft die Erzeugnisse dem Arbeiter ab. Und dann hat er
die Aufgabe, daß er diesen Erzeugnissen durch die
allgemeinen Verhältnisse im sozialen Organismus,
nachdem er sie abgekauft hat, einen höheren Wert durch
seinen Unternehmungsgeist verleiht. Das gibt ihm dann
in Wahrheit den Gewinn. Das ist dasjenige, was er
davon hat, dasjenige, was ihm möglich macht, daß er,
nachdem er die Waren von seinen Arbeitern gekauft hat,
sie durch — nennen wir das übelberüchtigte Wort — die
Konjunktur an Wert erhöht.
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Nous avons donc à faire à un véritable achat dans le
rapport de travail. Et nous n’avons pas la permission
de dire qu'immédiatement là, dans le rapport de
travail, apparaîtrait une valeur ajoutée/plus-value.
Mais, nous avons seulement la permission de dire que
le prix que l'entrepreneur paye n'est justement pas,
en raison des rapports, celui dont j’ai parlé hier.
Mais nous continuerons à trouver dans le processus
d’économie de peuple, que certes les produits
déterminent réciproquement leurs valeurs, ont leurs
valeurs réelles, mais que ces valeurs ne seront pas
payées dans l’échange. Que pas toutes les valeurs
seront payées dans l’échange. Cela vous pouvez
l’envisager incroyablement facilement. Pensez donc
seulement une fois : quand quelqu'un, disons, est
fabriquant, est petit fabricant et fait soudain un
riche héritage, et que toute l'histoire avec la
fabrique lui devient trop stupide, ainsi il peut
décider de vendre ce qu'il a encore de marchandises
incroyablement bon marché. Les marchandises ne
deviennent pas de valeur moindre à cause de cela, seul
le prix réel ne sera pas payé. Le prix dans l’échange
d’économie de peuple sera contrefait. Nous devons voir
à ce que justement partout le prix dans l’échange
d’économie de peuple pourra être falsifié. Mais c'est
pour cela qu'il est quand même là. Les marchandises
que ce fabricant vend ne sont pas de moins de valeur
que les mêmes marchandises qu'un autre fabrique.
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06
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Wir haben es also im Arbeitsverhältnisse mit einem
richtigen Kauf zu tun. Und wir dürfen nicht sagen, daß
da unmittelbar im Arbeitsverhältnis ein Mehrwert
entstünde. Sondern wir dürfen nur sagen, daß der
Preis, den der Unternehmer bezahlt, durch die
Verhältnisse eben nicht derjenige ist, von dem ich
gestern gesprochen habe. Aber das werden wir auch noch
weiterhin im volkswirtschaftlichen Prozeß finden, daß
zwar die Erzeugnisse sich gegenseitig ihre Werte
bestimmen, ihre wirklichen Werte haben, daß diese
Werte aber im Verkehr nicht bezahlt werden. Sie werden
im Verkehr nicht bezahlt. Daß nicht alle Werte im
Verkehr bezahlt werden, das können Sie ja unglaublich
leicht einsehen. Denken Sie doch nur einmal: Wenn
irgend jemand, sagen wir, Fabrikant ist, kleiner
Fabrikant ist und plötzlich eine reiche Erbschaft
macht, und ihm die ganze Geschichte mit der Fabrik zu
dumm wird, so kann er beschließen, dasjenige, was er
noch hat an Waren, unglaublich billig zu verkaufen.
Die Waren werden deshalb nicht weniger wert, nur wird
nicht der wirkliche Preis bezahlt. Es wird der Preis
im volkswirtschaftlichen Verkehr gefälscht. Darauf
müssen wir sehen, daß eben überall der Preis im
volkswirtschaftlichen Verkehr gefälscht werden kann.
Deshalb ist er aber doch da. Die Waren, die dieser
Fabrikant verkauft, sind ja nicht weniger wert als die
gleichen Waren, die ein anderer erzeugt.
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Maintenant que nous avons essayé de nous rendre
clairs que dans le rapport de salaire, nous avons en
fait à faire à un achat, nous voulons une fois nous
demander à quoi nous avons affaire avec la rente du
sol/foncière, avec le prix de fonds et sols/du
foncier. Le prix du foncier ne provient pas à
l'origine du rapport qui est là dans la fabricante
économie de peuple. Pour, j’aimerais dire, introduire
un rapport très radical, on a donc seulement besoin
d’indiquer que la terre/le foncier par exemple est
passé par la conquête, c'est-à-dire par le déploiement
de pouvoir, dans la disposition d’un quelque être
humain. Une quelque chose d’un échange reposera là
aussi à la base. Par exemple, celui qui a des aides
lors de la conquête cédera des parties du sol à ces
aides. Nous n'avons donc là rien d'économique dans le
point de départ de l'économie de peuple. Tout le
processus n'est en fait pas économique. Tout le
processus qui se joue là est tel que nous pouvons
seulement utiliser le mot pouvoir ou droit. Par le
pouvoir seront acquis des droits, des droits sur fonds
et sols/sur le foncier. De sorte que nous avons
effectivement ce qui est d’économie de peuple butant
d'un côté à des rapports de droit et de pouvoir.
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07
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Nun, nachdem wir versucht haben, uns klarzumachen,
daß wir es im Lohnverhältnis eigentlich mit einem Kauf
zu tun haben, wollen wir uns nun einmal fragen, mit
was wir es zu tun haben bei der Bodenrente, bei dem
Preis für Grund und Boden. Der Preis von Grund und
Boden entspringt ja ursprünglich nicht dem
Verhältnisse, das in der fertigen Volkswirtschaft da
ist. Um, ich möchte sagen, ein sehr radikales
Verhältnis anzuführen, braucht man ja nur hinzuweisen
darauf, daß Grund und Boden zum Beispiel durch
Eroberung, also durch Entfaltung von Macht, in die
Verfügung von irgendwelchen Menschen übergegangen ist.
Irgend etwas von einem Tausch wird auch da zugrunde
liegen. Es wird zum Beispiel derjenige, der Helfer hat
bei der Eroberung, einzelne Teile des Bodens an diese
Helfer abtreten. Wir haben also da im Ausgangspunkt
der Volkswirtschaft nichts eigentlich
Wirtschaftliches. Der ganze Prozeß ist nicht
eigentlich wirtschaftlich. Der ganze Prozeß, der sich
da abspielt, ist so, daß wir nur anwenden können das
Wort Macht oder Recht. Durch Macht werden Rechte
erworben, Rechte auf Grund und Boden. So daß wir
tatsächlich das Volkswirtschaftliche auf der einen
Seite anstoßen haben an Rechts- und Machtverhältnisse.
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Mais que se passe-t-il sous l'influence de tels
rapports de droit et de pouvoir ? Maintenant, sous
l'influence de tels rapports de droit et de pouvoir,
il arrive continuellement que le concerné, qui a le
libre droit de disposition sur le foncier, s’y
retrouve lui-même mieux que les autres s’y retrouvent,
qu'il attire au travail, qui lui fournissent les
produits par le travail. Je ne parle donc pas du
travail, mais du produit du travail. Car ce sont ces
produits du travail qui viennent en considération. Il
devra lui être livré plus - c'est donc seulement la
continuation de sa conquête, de son rapport de droit -
il doit lui être livré plus qu’il ne donne aux autres.
Qu'est-ce donc, ce qui est livré plus là qu'il ne
donne aux autres, qui donc falsifie le rapport de
prix, qu'est-ce donc que cela ? Oui, ce n'est donc
rien d'autre qu'une donation forcée. Vous avez donc
ici absolument le rapport de donation qui entre en
jeu, seulement justement, que le concerné qui a à
faire la donation ne la fait pas de volonté libre,
mais y sera contraint. Une donation forcée
s’introduit. C'est ce qui est le cas ici en ce qui
concerne le foncier. Mais par la donation obligatoire,
sera essentiellement augmenté le prix que les
produits, qui seront produits sur fonds et sols,
devraient avoir en fait comme prix d'échange.
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08
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Was geschieht aber unter dem Einfluß von solchen
Rechts- und Machtverhältnissen? Nun, unter dem Einfluß
von solchen Rechts- und Machtverhältnissen geschieht
fortwährend das, daß der Betreffende, der das freie
Verfügungsrecht über den Grund und Boden hat, sich
selber besser abfindet, als er die anderen abfindet,
welche er zur Arbeit heranzieht, welche ihm die
Erzeugnisse durch Arbeit liefern. Ich rede jetzt also
nicht von der Arbeit, sondern von dem Erzeugnis der
Arbeit. Denn diese Erzeugnisse der Arbeit sind es, die
in Betracht kommen. Es muß ihm mehr abgeliefert werden
— das ist ja nur die Fortsetzung seines Eroberungs-,
seines Rechtsverhältnisses —, es muß ihm mehr
abgeliefert werden, als er den anderen gibt. Was ist
denn dasjenige, was da mehr abgeliefert wird, als er
den anderen gibt, was also das Preisverhältnis
fälscht, was ist denn das? Ja, das ist ja nichts
anderes als eine Zwangsschenkung. Sie haben also hier
durchaus das Schenkungsverhältnis eintretend, nur
eben, daß der Betreffende, der die Schenkung zu tun
hat, sie nicht freiwillig tut, sondern dazu gezwungen
wird. Es tritt eine Zwangsschenkung ein. Das ist
dasjenige, was hier gegenüber dem Grund und Boden der
Fall ist. Durch die Zwangsschenkung wird aber der
Preis, den eigentlich die Produkte als Tauschpreis
haben sollten, die auf dem Grund und Boden erzeugt
werden, im wesentlichen erhöht.
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Par conséquent, le prix de tout ce qui est capable
de soumission à de tels rapports de droit est entaché
d'une tendance à aller au-delà de sa vérité/réalité.
Quand les humains de la forêt/des bois, les chasseurs,
vivent ensemble avec les paysans/agriculteurs, les
humains de la forêt s’en sortent mieux/sont mieux
lotis que les agriculteurs. Les agriculteurs parmi les
forestiers doivent notamment payer des prix plus
élevés aux humains de la forêt pour ce qui leur est
livré que ce que seraient les purs prix d'échange
entre les produits de l’économie de la forêt et ceux
de l'économie de la terre, pour la simple raison que
l’économie de la forêt peut le plus souvent être
seulement mise à la disposition de celui qui
conditionne les prix par le rapport de droit. Dans
l'économie de la terre un travail véritable doit déjà
être fourni, dans l'économie de la forêt, nous sommes
encore très proches de la valorisation dépourvue de
travail, qui est le résultat/provient/procède des
seuls rapports de droit et de pouvoir. Et quand des
artisans vivent parmi des agriculteurs, les prix ont à
nouveau tendance à grimper plus haut du côté de
l'agriculture que l'est la vérité/réalité, et à
baisser plus bas du côté de l'artisanat que la
vérité/réalité. Les artisans parmi les agriculteurs
vivent plus chers ; les agriculteurs parmi les
artisans, quand donc la minorité entre en
considération, relativement moins cher/meilleur
marché. Des artisans parmi des agriculteurs vivent
relativement plus chers. Ainsi que donc la séquence
des étapes de cette tendance, que les prix grimpent
par-dessus ou sombre au-dessous de la vérité/réalité,
que la séquence est la suivante : c'est le plus
souvent le cas dans l’économie de la forêt, alors
vient l'économie de la terre, alors vient l'artisanat,
et alors l'activité totalement libre. C’est ainsi que
nous devons donc rechercher la formation des prix dans
le processus d’économie de peuple.
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09
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Daher ist der Preis all desjenigen, was der
Unterwerfung unter solche Rechtsverhältnisse fähig
ist, mit der Tendenz behaftet, über seine Wahrheit
hinaus zu steigen. Wenn Forstmenschen, Jäger, mit
Landwirten zusammenleben, kommen die Forstmenschen
besser weg als die Landwirte. Landwirte unter
Forstmenschen müssen nämlich den Forstmenschen für
das, was ihnen geliefert ist, höhere Preise bezahlen
als die reinen Austauschpreise wären zwischen den
Produkten der Forstwirtschaft und denen der
Landwirtschaft, aus dem einfachen Grunde, weil die
Forstwirtschaft am meisten nur durch das
Rechtsverhältnis in die Verfügung desjenigen, der die
Preise bedingt, hineingebracht werden kann. Bei der
Landwirtschaft muß schon eine wirkliche Arbeit
aufgebracht werden; bei der Forstwirtschaft stehen wir
noch sehr nahe der arbeitslosen Bewertung, die eben
ganz allein aus Rechts- und Machtverhältnissen
hervorgeht. Und wenn unter Landwirten Handwerker
leben, so haben die Preise wiederum die Tendenz, gegen
die Landwirtschaft höher, als die Wahrheit ist, zu
steigen, und gegen das Handwerk hin niedriger sich zu
senken, als die Wahrheit ist. Handwerker unter
Landwirten leben teurer; Landwirte unter Handwerkern,
wenn also die Minorität in Betracht kommt,
verhältnismäßig billiger. Handwerker unter
Landwirten leben verhältnismäßig teurer. So daß also
die Stufenfolge dieser Tendenz, daß die Preise über
die Wahrheit hinaussteigen oder unter die Wahrheit
hinuntersinken, daß die Reihenfolge diese ist : am
meisten ist das bei der Forstwirtschaft der Fall, dann
kommt die Landwirtschaft, dann kommt das Handwerk und
dann die vollständig freie Betätigung. So müssen wir
die Preisbildung innerhalb des volkswirtschaftlichen
Prozesses aufsuchen.
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Mais subsiste maintenant, dans le processus
d’économie de peuple, une tendance, une tendance
intrinsèque, à produire de la rente foncière, dans une
certaine mesure une tendance à se soumettre à cette
contrainte, de payer l'économie de la
terre/l'agriculture plus chère que l'autre. Cette
tendance existe lorsque la division du travail est
disponible, et toutes nos explications portent donc
sur l'organisme social dans lequel la division du
travail est disponible. Cette tendance est simplement
suscitée parce que dans l’économie de la terre ne peut
entrer ce qu’il y a quelques jours – j’aimerais dire,
pour la difficulté de pensée d'un plus grand nombre
d’honorés auditeurs - j'ai dû dire deux fois :
l’autosuffisant vit dans le fait plus cher, il doit
donc prendre plus pour ses produits, en fait il doit
les calculer plus haut que celui qui obtient ses
produits des autres dans la libre circulation/le
libre-échange. En rapport à l’activité, cela a un
certain sens, quand bien même vous vous retrouverez
aussi complètement dans ce sens peut-être par une
longue réflexion. Mais cela n'a aucun sens en rapport
à l’économie de la terre et l’économie de la forêt.
C'est tout de suite ce qu’on doit savoir sur les
réalités, que les concepts valent toujours seulement
pour un domaine déterminé et se retouchent pour un
autre domaine. C'est aussi le cas sinon dans la
réalité. Ce qui est un remède pour la tête est une
altération, un remède causant des maladies pour
l'estomac, et vice versa. Et c’est absolument ainsi
pour l'organisme d’économie de peuple. Si c’était
notamment absolument le cas que l'agriculteur ne
serait pas un autosuffisant, alors les règles que l’on
doit sinon émettre pour la circulation des
marchandises vaudraient aussi pour lui. Mais il ne
peut rien d’autre que d'être autosuffisant, car dans
le processus d’économie de peuple, toute l'agriculture
d’un organisme social s’intègre de soi-même en une
unité, aussi quand des possesseurs individuels sont
là. Et sous toutes circonstances, c'est simplement
celui qui est agriculteur qui doit retenir ce dont il
s'approvisionne du volume de ses produits. Quand il le
prend de l'autre, il le retient aussi. En réalité, il
est un autosuffisant et doit donc valoriser ses biens
plus chers. Et la conséquence de ceci est que les prix
doivent augmenter d’après ce côté.
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10
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Nun besteht aber im volkswirtschaftlichen Prozeß
eine Tendenz, eine Eigentendenz, Bodenrente zu
erzeugen, gewissermaßen von selbst dazu zu neigen,
sich diesem Zwang zu unterwerfen, die Landwirtschaft
teurer zu bezahlen als das andere. Diese Tendenz
besteht, wenn Arbeitsteilung vorhanden ist; und alle
unsere Auseinandersetzungen beziehen sich ja auf den
sozialen Organismus, in dem Arbeitsteilung vorhanden
ist. Diese Tendenz wird einfach dadurch hervorgerufen,
daß bei der Landwirtschaft nicht das eintreten kann,
was ich vor einigen Tagen — ich möchte sagen, zur
gedanklichen Schwierigkeit von einer größeren Anzahl
der verehrten Zuhörer — zweimal sagen mußte: Der
Selbstversorger lebt tatsächlich teurer, also muß er
für seine Produkte mehr nehmen, eigentlich muß er sie
sich höher berechnen als derjenige, der seine Produkte
im freien Verkehr erwirbt von anderen. In bezug auf
die Gewerbe hat das einen gewissen Sinn, wenn Sie sich
auch durch eine lange Überlegung erst vielleicht
vollständig hineinfinden in diesen Sinn. In bezug auf
Landwirtschaft und Forstwirtschaft hat es aber keinen
Sinn. Das ist eben gerade das, was man wissen muß
gegenüber den Wirklichkeiten, daß die Begriffe immer
nur gelten für ein bestimmtes Gebiet und sich für ein
anderes Gebiet umändern. Das ist auch sonst in der
Wirklichkeit der Fall. Was ein Heilmittel für den Kopf
ist, ist ein Verderbnismittel, ein krankmachendes
Mittel für den Magen, und umgekehrt. Und so ist es
durchaus auch im volkswirtschaftlichen Organismus.
Wenn es nämlich überhaupt der Fall sein könnte, daß
der Landwirt nicht ein Selbstversorger wäre, dann
würden für ihn auch die Regeln gelten, die man sonst
vorbringen muß für die Zirkulation der Waren. Aber er
kann gar nicht anders, als Selbstversorger sein; denn
im volkswirtschaftlichen Prozeß fügt sich von selbst
die gesamte Landwirtschaft eines sozialen Organismus
zu einer Einheit zusammen, wenn auch einzelne Besitzer
da sind. Und unter allen Umständen muß einfach
derjenige, der Landwirt ist, das, womit er sich selbst
versorgt, aus dem Umfang seiner Produkte zurückhalten.
Wenn er es vom andern nimmt, so hält er es auch
zurück. In Wirklichkeit ist er ein Selbstversorger,
muß also seine Güter teurer bewerten. Und die Folge
davon ist, daß sich die Preise nach dieser Seite
erhöhen müssen.
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Cela signifie que dans le processus d’économie de
peuple, existe simplement la tendance à produire de la
rente foncière. Il s'agit seulement de savoir comment
rendre cette rente foncière inoffensive dans le
processus d’économie de peuple. Mais il est nécessaire
qu’on sache qu'existe la tendance à produire de la
rente foncière. Vous pouvez abolir la rente foncière,
elle sera produite toujours de nouveau sous une
quelque forme, pour la simple raison dont j’ai
justement maintenant expliquée.
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11
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Das heißt, im volkswirtschaftlichen Prozeß besteht
einfach die Tendenz, Bodenrente zu erzeugen. Es
handelt sich nur darum, wie man diese Bodenrente
unschädlich macht im volkswirtschaftlichen Prozeß.
Aber das ist notwendig, daß man weiß, daß die Tendenz
besteht, Bodenrente zu erzeugen. Sie können die
Bodenrente abschaffen, sie wird in irgendeiner Form
immer wieder erzeugt, aus dem einfachen Grunde, den
ich eben jetzt auseinandergesetzt habe.
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Pour la même raison de laquelle existe une tendance
dans le processus d’économie de peuple à produire de
la rente foncière, pour la même raison existe de
l'autre côté, la tendance de l’entrepreneur à
dévaluer/dévaloriser le capital, de le rendre toujours
meilleur marché et meilleur marché. On comprendra le
mieux cette tendance quand on deviendra clair à soi
qu’on ne peut donc pas acheter de capital. Certes, du
capital est marchandé. On achète du capital. Mais
chaque achat de capital est à nouveau seulement un
rapport caché. En réalité, nous n'achetons pas de
capital, mais en réalité du capital sera seulement
emprunté ; aussi alors qu’apparemment un autre rapport
a lieu, vous pourrez toujours trouverez le caractère
de prêt du capital entrepreneurial. Je dis
expressément le capital entrepreneurial, parce que si
vous étendez le concept sur la rente foncière, ainsi
ce n'est pas le cas, mais absolument chez le capital
entrepreneurial, et d’ailleurs c'est le cas pour la
simple raison qu'existe une tendance constante/durable
à dévaloriser ce qui dépend -tableau 6- de la volonté
humaine - vous voyez ici (voir dessin 4) l'artisanal
et l'activité libre – l’un par rapport à l'autre. Le
capital entrepreneurial est entièrement attelé dans
l’activité libre. Il est constamment
dévalué/dévalorisé, de sorte que nous pouvons dire :
D'après ce côté (voir dessin 4) nous avons la tendance
dans le processus d’économie de peuple - pendant que
nous produisons la rente foncière - à réduire le
capital entrepreneurial, le rendre de plus en plus
bas, de le valoriser toujours de plus en plus bas.
Comment cela devient donc d'après un côté, du côté de
la rente foncière, toujours plus cher, cela devient du
côté du capital toujours meilleur marché. Le capital a
la tendance à baisser continuellement dans ses valeurs
d’économie de peuple, ou prix en fait, la rente
foncière a tendance à augmenter continuellement dans
ses prix.
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12
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Aus demselben Grunde, aus dem im
volkswirtschaftlichen Prozeß eine Tendenz besteht,
Bodenrente zu erzeugen, aus demselben Grunde besteht
nach der anderen Seite die Tendenz der Unternehmer,
Kapital zu entwerten, immer billiger und billiger zu
machen. Diese Tendenz wird man am besten verstehen,
wenn man sich darüber klar wird, daß man ja Kapital
nicht kaufen kann. Gewiß, es wird Kapital gehandelt.
Man kauft Kapital. Aber jeder Kapitalkauf ist wiederum
nur ein kaschiertes Verhältnis. In Wirklichkeit kaufen
wir nicht Kapital, sondern in Wirklichkeit wird
Kapital nur geliehen; auch dann, wenn scheinbar ein
anderes Verhältnis stattfindet, werden Sie immer
herausfinden können den Leihcharakter des
Unternehmerkapitals. Ausdrücklich sage ich des
Unternehmerkapitals; denn wenn Sie den Begriff
ausdehnen auf die Bodenrente, so ist das nicht der
Fall; aber durchaus bei dem Unternehmerkapital; und
zwar aus dem einfachen Grunde ist das der Fall, weil
dauernd die Tendenz besteht, dasjenige, was von dem
Tafel 6 menschlichen Willen abhängt — Sie sehen hier
(siehe Zeichnung 4) das Handwerkliche und die freie
Betätigung —, das gegenüber dem anderen zu entwerten.
Unternehmerkapital ist ganz eingesponnen in die freie
Betätigung. Es wird fortwährend entwertet, so daß wir
sagen können : Wir haben nach dieser Seite (siehe
Zeichnung 4) die Tendenz im volkswirtschaftlichen
Prozeß — während wir die Bodenrente erzeugen —, das
Unternehmerkapital herunterzubringen, es immer
niedriger und niedriger zu machen, immer niedriger und
niedriger zu bewerten. Wie es also nach der einen
Seite hin, nach der Bodenrentenseite, immer teurer
wird, wird es nach der Kapitalseite immer billiger.
Das Kapital hat die Tendenz, fortwährend in seinem
volkswirtschaftlichen Werte, oder eigentlich Preise,
zu sinken, die Bodenrente hat die Tendenz, fortwährend
in ihrem Preise zu steigen.
|
Il y a aussi encore une autre raison pour laquelle
vous pouvez envisager que le capital entrepreneurial
doit baisser. Quand vous vous rendez clair qu'en
agriculture on peut seulement être autosuffisant et
que tout de suite par l'autosuffisance sera produit
(voir dessin 4) cette hausse de l'estimation des
produits de l’économie agricole (voir tableau 6),
ainsi vous pouvez voir : avec le capital
entrepreneurial, où le principe du prêt prévaut/règne,
là on ne peut pas être autosuffisant. On ne peut pas
se fournir soi-même avec du capital. Ce avec quoi on
peut se fournir soi-même/subvenir à ses besoins, cela
on doit aujourd'hui calculer dans les bilans
exactement ainsi que ce que l'on reçoit quand on veut
établir un bilan correct. Puisqu'on ne peut pas
s’autoapprovisionner là (voir dessin 4), ainsi est
naturellement aussi disponible la tendance opposée, la
tendance à la baisse des prix.
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13
|
Auch noch einen andern Grund gibt es, aus dem
heraus Sie einsehen können, daß das Unternehmerkapital
sinken muß. Wenn Sie sich klarmachen, daß man in der
Landwirtschaft nur Selbstversorger sein kann und
gerade durch die Selbstversorgung hervorgebracht wird
dieses (siehe Zeichnung 4) Hinaufsteigen in der
Bewertung der landwirt- Tafel 6 schaftlichen
Erzeugnisse, so können Sie sehen : Beim
Unternehmerkapital, wo das Leihprinzip herrscht, da
kann man nicht Selbstversorger sein. Man kann sich
nicht selbst versorgen mit Kapital. Womit man sich
selbst versorgen kann, das muß man heute in Bilanzen
ganz genau so berechnen wie dasjenige, was man
aufnimmt, wenn man eine richtige Bilanz aufstellen
will. Da man sich also da (siehe Zeichnung 4) nicht
selbst versorgen kann, so ist natürlich auch die
entgegengesetzte Tendenz vorhanden, die Tendenz des
Herabsteigens der Preise.
|
C'est tout de suite la pénétration de ces rapports
dans le processus d’économie de peuple dont il s’agit,
car vous en reconnaîtrez que l’instauration de prix
corrects n'est pas quelque chose de si simple.
L’instauration de prix corrects sera constamment
empêchée par ce que, d'un côté, des choses
apparaissent sur le marché qui veulent réellement être
trop élevées en prix, aimerais-je dire, et de l'autre
côté, apparaissent des choses qui veulent être trop
basses en prix. Mais parce que le prix est provoqué
par l'échange, ce qui se trouve au milieu est aussi
constamment sujet à des perturbations. Vous pouvez
aussi l'observer absolument dans le processus
d’économie de peuple : dans la même mesure dans
laquelle les produits d’économie agricoles et
d’économie de la forêt deviennent plus chers, ceux
produits par l'activité humaine libre deviennent
meilleur marché. Par cela apparaissent justement tout
de suite les rapports de tension qui provoquent les
troubles sociaux, qui produisent l'insatisfaction
sociale. Et c’est pourquoi la question la plus
importante en rapport à la formation des prix est :
comment parvenons-nous à équilibrer la tension qui
existe dans la génération des prix entre l'estimation
des biens apparaissant de libre volonté humaine
vis-à-vis de ces biens-là auxquels la nature collabore
? Comment venons-nous à bout de cette tension ?
Comment équilibrons-nous la tendance à la baisse avec
l'autre tendance à la hausse ?
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14
|
Gerade auf das Durchschauen dieser
Verhältnisse im volkswirtschaftlichen Prozeß kommt es
an; denn Sie werden daraus erkennen, daß die
Herstellung von richtigen Preisen nicht etwas so ganz
Einfaches ist. Die Herstellung von richtigen Preisen
wird ja fortwährend beeinträchtigt dadurch, daß auf
der einen Seite Dinge auf dem Markt erscheinen, die
eigentlich im Preise zu hoch sein wollen, möchte ich
sagen, und auf der anderen Seite Dinge erscheinen, die
im Preise zu niedrig sein wollen. Da aber der Preis
durch den Austausch bewirkt wird, ist auch dasjenige,
was in der Mitte drinnen ist, fortwährend Störungen
ausgesetzt. Sie können das auch im
volkswirtschaftlichen Prozeß durchaus beobachten: in
demselben Maße, in dem die landwirtschaftlichen und
forstwirtschaftlichen Produkte teurer werden, werden
die aus freier menschlicher Betätigung hergestellten
billiger. Dadurch entstehen eben gerade jene
Spannungsverhältnisse, welche die sozialen Unruhen
bewirken, welche das sozial Unbefriedigende erzeugen.
Und daher ist die allerwichtigste Frage in bezug auf
Preisbildung : Wie gelangen wir dahin, die Spannung
auszugleichen, die besteht in der Preiserzeugung
zwischen der Bewertung der aus freiem menschlichem
Willen entstehenden Güter gegenüber denjenigen Gütern,
zu denen die Natur mitwirkt? Wie kommen wir dieser
Spannung bei? Wie gleichen wir die eine Tendenz nach
abwärts mit der anderen Tendenz nach aufwärts aus?
|
À l’intérieur de la division du travail,
apparaissent donc des produits toujours plus
différenciés et différenciés. Vous avez seulement
besoin de vous rappeler comment les produits sont
simples, qui, disons, apparaissent au sein d'un peuple
de chasseurs qui vit entièrement de l’économie de la
forêt. Là ne vient en fait encore pas beaucoup en
considération de la difficulté de la formation des
prix. Lorsque l'économie de la terre/agricole s'ajoute
à l’économie de la forêt, cela commence alors déjà
avec la difficulté. La difficulté réside notamment
dans la différenciation. Et plus la division du
travail s’étend et avec cela de nouveaux besoins
seront fabriqués, dans la même mesure s’amoncellent
les difficultés de la formation des prix, car plus les
produits sont différents les uns des autres, plus il
devient difficile de parvenir à une
évaluation/estimation mutuelle - et elle peut
seulement être mutuelle. Vous pouvez le constater par
le fait qu'il existe une évaluation mutuelle des
produits peu différenciés, par exemple le blé, le
seigle et d'autres produits d’économie agricole. Si
vous allez au travers de très long temps, vous
trouverez que le rapport de valeur mutuelle entre le
blé, le seigle et les autres céréales reste
relativement stable. Si le blé monte, les autres
céréales montent aussi ; si le blé descend, les autres
aussi descendent. Cela provient de ce qu'absolument
une différence faible existe seulement entre ces
produits. Si la différenciation devient plus grande,
alors ce n'est absolument plus le cas, alors les
événements au sein de l'organisme social peuvent faire
monter en flèche le prix d'un produit que quelqu’un a
l'habitude d'échanger contre un autre produit, l'autre
peut-être baisser. Imaginez le changement des
conditions économiques que cela entraînera. Tout ce
qui est réalisé dans l'économie de peuple repose
beaucoup plus sur des hausses et des baisses
réciproques des prix que sur quoi que ce soit d'autre.
C'est sur la hausse et la baisse réciproque des prix
que repose donc ce qui porte la difficulté de la vie
dans l'économie de peuple. Si finalement les produits
dans leur ensemble grimpent ou tombent – quand ils
grimpent ou chutent tous de la même façon, cela
pourrait en fait intéresser bien peu les gens au fond.
Ce qui les intéresse, c'est que les produits grimpent
ou chutent dans des mesures différentes. C'est donc
quelque chose qui, on aimerait dire, ressort
tragiquement aujourd'hui des rapports économiques
actuels ; par ce que les produits grimpent et chutent
des manières les plus diverses - notamment, les
valeurs de l’argent/monétaires elles-mêmes grimpent et
chutent, mais dans lesquelles est simplement stockée
une ancienne valeur réelle -, un mélange complet de la
société humaine est actuellement amené en l’état.
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15
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Innerhalb der Arbeitsteilung entstehen ja immer
differenziertere und differenziertere Erzeugnisse. Sie
brauchen sich nur zu erinnern, wie einfach die
Erzeugnisse sind, die, sagen wir, innerhalb eines
Jägervolks entstehen, das ganz von der Forstwirtschaft
lebt. Da kommt eigentlich noch nicht viel in Betracht
von der Schwierigkeit der Preisbildung. Wenn sich zur
Forstwirtschaft die Landwirtschaft hinzugesellt, da
beginnt es aber schon mit der Schwierigkeit. In der
Differenzierung liegt nämlich die Schwierigkeit. Und
je weiter und weiter sich die Arbeitsteilung
ausbreitet und damit neue Bedürfnisse erzeugt werden,
in demselben Maße nimmt die Differenzierung der
Produkte zu und in demselben Maße häufen sich die
Schwierigkeiten der Preisbildung; denn je
verschiedener die Produkte, die Erzeugnisse
voneinander sind, desto schwerer wird es, die
gegenseitige Bewertung — und sie kann nur eine
gegenseitige sein — zu bewirken. Sie können das daraus
entnehmen, daß es ja eine gegenseitige Bewertung gibt
bei nicht stark differenzierten Produkten, sagen wir
bei Weizen, Roggen und anderen landwirtschaftlichen
Produkten. Gehen Sie durch sehr lange Zeit hindurch :
Sie werden finden, daß das Verhältnis in der
gegenseitigen Wertgebung zwischen Weizen, Roggen und
anderen Getreidesorten ziemlich stabil bleibt. Geht
der Weizen hinauf, gehen die anderen Getreidesorten
auch hinauf; geht der Weizen herunter, so gehen die
anderen auch herunter. Das rührt davon her, daß
durchaus eine geringe Differenzierung nur besteht
zwischen diesen Erzeugnissen. Wird die Differenzierung
größer, dann ist das durchaus nicht mehr der Fall,
dann kann durch Ereignisse innerhalb des sozialen
Organismus irgendein Produkt, das jemand gewohnt
gewesen ist auszutauschen gegen ein anderes Produkt,
hoch hinaufschnellen im Preis, das andere vielleicht
hinuntergehen. Denken Sie sich, was dadurch für eine
Umlagerung in den volkswirtschaftlichen Verhältnissen
bewirkt wird. Dasjenige überhaupt, was in der
Volkswirtschaft bewirkt wird, das beruht nämlich viel
mehr auf den gegenseitigen Preissteigerungen und dem
Preisfallen als auf irgend etwas anderem. Auf dem
gegenseitigen Steigen und Fallen der Preise beruht ja
dasjenige, was in die Volkswirtschaft hinein die
Schwierigkeit des Lebens trägt. Ob schließlich die
Produkte im Ganzen steigen oder fallen — wenn sie alle
gleichmäßig stiegen oder fielen, das könnte eigentlich
die Leute im Grunde recht wenig interessieren.
Dasjenige, was sie interessiert, das ist, daß in
verschiedenem Maße die Produkte steigen oder fallen.
Das ist ja etwas, was, man möchte sagen, auf eine
tragische Weise jetzt durch die gegenwärtigen
wirtschaftlichen Verhältnisse eben herauskommt;
dadurch, daß die Produkte in verschiedenster Weise
steigen und fallen — namentlich steigen und fallen die
Geldwerte selbst, in denen aber aufbewahrt ist einfach
früherer wirklicher Wert —, dadurch wird ja
gegenwärtig eine völlige Mischung der menschlichen
Gesellschaft zustande gebracht.
|
Mais cela nous amène à reconnaître que nous devons
encore regarder d'une autre manière les facteurs qui
sont efficaces dans l'organisme d’économie de peuple.
Nous sommes partis de ce que l'économie ordinaire de
peuple énumère quand sera parlé des facteurs qui sont
présents dans un organisme d’économie de peuple, mais
nous avons vu que rien ne peut réellement être obtenu
avec l’énumération de la nature, du capital et du
travail. Car tout de suite quand vous ajoutez à ce qui
a déjà été dit auparavant aussi encore ce qui a été
ajouté aujourd'hui, vous verrez que donc l'estimation
du prix des produits de la nature ne vient justement
pas en l’état sous des rapports purement d’économie de
peuple, mais à travers des rapports de droit ; que
dans l'estimation du capital entrepreneurial, la libre
volonté humaine joue dedans un rôle avec tout ce
qu'elle déploie quand elle se fait active dans la vie
publique. Pensez simplement quand même seulement à ce
qu'on a besoin pour vraiment recueillir/collectionner
du capital entrepreneurial pour une quelque chose. Là,
la libre volonté humaine joue un rôle dans le prêter.
Peut-être pas directement. Naturellement, celui qui
veut avoir de l’économisé/épargné veut déjà le prêter
; mais si quelqu'un épargne ou non, c'est déjà une
expression de la volonté. C’est ainsi que la libre
volonté humaine joue là-dedans un rôle tout essentiel.
Mais quand, si nous en tenons compte, nous trouverons
encore une autre articulation des facteurs d’économie
de peuple que l’est celle que nous avons
examinée/regardée jusqu'à présent.
|
16
|
Das aber führt uns dazu, zu erkennen, daß wir die im
volkswirtschaftlichen Organismus wirksamen Faktoren
noch in einer anderen Weise anschauen müssen. Wir sind
von dem ausgegangen, was die gewöhnliche
Volkswirtschaft aufzählt, wenn von den Faktoren
gesprochen wird, die in einem volkswirtschaftlichen
Organismus darinnen sind, haben aber gesehen, daß mit
der Aufzählung von Natur, Kapital und Arbeit
eigentlich nichts erreicht werden kann. Denn, gerade
wenn Sie zu dem schon früher Gesagten auch noch das
heutige hinzufügen, so werden Sie sehen, daß ja die
Preisbewertung der Naturprodukte eben nicht unter rein
volkswirtschaftlichen Verhältnissen zustande kommt,
sondern durch Rechtsverhältnisse; daß in die Bewertung
des Unternehmerkapitals hineinspielt der freie
menschliche Wille mit all demjenigen, was er
entfaltet, wenn er sich im öffentlichen Leben
betätigt. Denken Sie sich doch nur einmal, was man
braucht, um ein Unternehmerkapital wirklich zu sammeln
für irgend etwas. Da spielt der freie menschliche
Wille hinein. In das Leihen spielt der freie
menschliche Wille hinein. Vielleicht nicht direkt.
Natürlich, derjenige, der Erspartes haben will, will
es schon leihen; aber ob jemand überhaupt spart oder
nicht, das ist schon ein Ausdruck des Willens. Es ist
so, daß der freie menschliche Wille da ganz wesentlich
hineinspielt. Wenn wir aber das berücksichtigen, so
werden wir noch eine andere Gliederung der
volkswirtschaftlichen Faktoren finden, als diejenige
ist, die wir bisher betrachtet haben.
|
Je vous ai donné jusqu'à présent une articulation/un
membrement schématique en ce que je vous ai
montré : la nature est là, mais de la valeur sera
en premier par la nature élaborée, lorsque nature se
déplace/meut contre/vers travail. Et de la valeur
apparaît en premier par du travail lorsque celui-ci se
meut contre/vers du capital ou l'esprit. Et par cela
apparaît la tendance à nouveau à retourner à la
nature, qui peut donc être évitée en ce qu’on
transfère ce qui est capital excédentaire non pas dans
le sol où il sera fixé, mais dans des entreprises
spirituelles libres, où il disparait justement
jusqu’au dernier reste, qui devrait continuer à
exister comme une semence, afin que le processus
d’économie de peuple puisse être maintenu.
Tableau 6
Économie de la forêt
économie de la terre/agricole
Artisanat
activité libre
Dessin 5
|
17
|
Ich habe Ihnen bisher eine schematische Gliederung
gegeben, worin ich Ihnen gezeigt habe : Natur ist da,
aber Wert wird erst durch die bearbeitete Natur, wenn
sich Natur gegen Arbeit bewegt. Und Wert wird erst
durch Arbeit, wenn sich diese gegen Kapital oder den
Geist bewegt. Und dadurch entsteht die Tendenz,
wiederum zu der Natur zurückzukehren, was ja dadurch
verhindert werden kann, daß übergeführt wird
dasjenige, was überschüssiges Kapital ist, nicht in
den Grund und Boden, wo es fixiert wird, sondern in
freie geistige Unternehmungen, wo es eben bis zu dem
Rest verschwindet, der gewissermaßen als Samen
weiterbestehen soll, damit der volkswirtschaftliche
Prozeß aufrechterhalten werden kann.
Tafel 6 Arbeit ~ Forstwirtschaft Landwirtschaft
Handwerk freie Betätigung Zeichnung 5
|
Et en dehors de ce mouvement, qui donc ici (voir
dessin 5) va de gauche à droite et à travers lequel
surgit la nature transformée/élaborée, le travail
organisé ou articulé et le capital émancipé, qui
figure s’activant purement dans les entreprises
spirituelles, il y a aussi un autre mouvement, en
dehors de ce mouvement. C'est notamment le mouvement
qui ne conduit pas maintenant à la valorisation, qui
conduit ainsi que le précédent sera repris par le
suivant, mais qui va dans le sens contraire. L’un des
mouvements va dans le sens inverse des aiguilles d'une
montre, l'autre dans le sens des aiguilles d'une
montre. Dans un des mouvements, quelque chose apparaît
parce que le membre précédent intervient dans une
certaine mesure dans le suivant ; dans l'autre
mouvement, parce que, ce qui déborde ici (voir dessin
5) recueille, ce qui coule par-dessus et, pour ainsi
dire, l’embrasse/l'enserre. Vous viendrez bientôt à ce
que je pense avec cela. Si vous tenez compte de ce que
le capital est en fait de l'esprit réalisé dans le
processus d’économie de peuple, ainsi je peux donc
aussi écrire esprit au lieu de capital, de sorte que
nous avons : Nature, travail et esprit.
|
18
|
Und außer dieser Bewegung, die also hier (siehe
Zeichnung 5) von links nach rechts geht und wodurch
entsteht bearbeitete Natur, organisierte oder
gegliederte Arbeit und emanzipiertes, bloß innerhalb
der geistigen Unternehmungen figurierendes, sich
betätigendes Kapital, außer dieser Bewegung gibt es
noch eine andere Bewegung. Das ist nämlich diejenige
Bewegung, welche nun nicht in die Verwertung
hineinführt, so hineinführt, daß das Vorhergehende von
dem Nächsten übernommen wird, sondern die im
entgegengesetzten Sinn geht. Die eine Bewegung geht
entgegengesetzt dem Uhrzeiger, die andere geht dem
Uhrzeiger entsprechend. Bei der einen Bewegung
entsteht etwas dadurch, daß gewissermaßen das
vorhergehende Glied in das nächste eingreift; bei der
anderen Bewegung dadurch, daß das, was hier (siehe
Zeichnung 5) herüberfließt, auffängt, was
hinüberfließt und es gleichsam umspannt. Sie werden
gleich darauf kommen, was ich damit meine. Wenn Sie
berücksichtigen, daß Kapital eigentlich verwirklichter
Geist ist im volkswirtschaftlichen Prozeß, so kann ich
statt Kapital ja auch Geist schreiben, so daß wir
haben: Natur, Arbeit und Geist.
|
Alors, quand l'esprit absorbe ce qu'est de la nature
transformée/élaborée, quand il ne l'introduit pas
simplement dans le mouvement progressif, opposé aux
aiguilles d'une montre, du processus d’économie de
peuple, mais quand il l'absorbe, ainsi apparaît le
moyen de production. Car le moyen de production est
notamment quelque chose d’autre: c'est en fait un
mouvement totalement opposé à celui d'un produit
naturel transformé pour la consommation. C'est un
produit naturel qui sera reçu/pris en réception par
l'esprit, un produit naturel que l'esprit doit avoir.
De la plume que j'ai comme moyen de production aux
machines les plus compliquées dans l'usine, les moyens
de production sont, dans une certaine mesure, de la
nature saisie par l'esprit. La nature peut être
travaillée et sera envoyée dans cette direction :
alors elle deviendra du capital ; ou envoyée de
l'autre côté : alors elle deviendra un moyen de
production.
|
19
|
Dann, wenn der Geist aufnimmt, was bearbeitete Natur
ist, wenn er es nicht einfach in der fortschreitenden
Bewegung, entgegengesetzt dem Zeiger einer Uhr, in den
volkswirtschaftlichen Prozeß hineinführt, sondern wenn
er es aufnimmt, so entsteht das Produktionsmittel. Das
Produktionsmittel ist nämlich etwas anderes : es ist
eigentlich in einer ganz entgegengesetzten Bewegung
als dasjenige, was für den Konsum bearbeitetes
Naturprodukt ist. Es ist ein Naturprodukt, das in
Empfang genommen wird von dem Geist, ein Naturprodukt,
das der Geist haben muß. Von der Schreibfeder an, die
ich als mein Produktionsmittel habe, bis zu den
kompliziertesten Maschinen in der Fabrik, sind die
Produktionsmittel gewissermaßen vom Geist erfaßte
Natur. Die Natur kann bearbeitet werden und nach
dieser Richtung geschickt werden: dann wird sie
Kapital; oder nach der andern Seite geschickt werden:
dann wird sie zum Produktionsmittel.
|
Mais justement ainsi, ce qui se forme ici à l'aide
du moyen de production peut continuer à se mouvoir et
être pris à nouveau en réception par le travail. Tout
de suite ainsi qu’ici la nature sera reçue par
l'esprit, ainsi pourra être reçu par le travail que ce
qui donc, par exemple, est justement moyen de
production au sens le plus large. Quand par le travail
sera reçu ce qui est moyen de production, quand donc
apparaît un lien entre le moyen de production et le
travail, alors le capital entrepreneurial repose dans
ce lien. C'est cela, le capital entrepreneurial. Ainsi
que donc ainsi, quand vous suivez ce processus (voir
dessin 5), se donne un mouvement qui pousse les moyens
de production et le capital entrepreneurial l'un dans
l'autre.
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20
|
Ebenso aber kann dasjenige, was mit Hilfe des
Produktionsmittels sich hier bildet, sich
weiterbewegen und wiederum in Empfang genommen werden
von der Arbeit. Geradeso wie hier von dem Geist die
Natur empfangen wird, so kann von der Arbeit empfangen
werden dasjenige, was also zum Beispiel
Produktionsmittel eben ist im weitesten Sinne. Wenn
von der Arbeit dasjenige empfangen wird, was
Produktionsmittel ist, wenn also eine Verbindung
entsteht zwischen dem Produktionsmittel und der
Arbeit, dann liegt in dieser Verbindung das
Unternehmerkapital. Das ist das Unternehmerkapital. So
daß sich also, wenn Sie diesen Prozeß (siehe Zeichnung
5) verfolgen, eine Bewegung ergibt, die
ineinanderschiebt Produktionsmittel und
Unternehmerkapital.
|
Et quand maintenant ce mouvement se poursuit,
de sorte que sera continuellement prit de la nature -
toutefois maintenant par une autre partie de la nature
que lors du processus de consommation - de sorte que
ce qui est produit à l'aide de moyens de production et
de capital entrepreneurial est continuellement repris
par la nature, alors émerge en premier ce qui est en
fait la marchandise dans le processus d’économie de
peuple. La marchandise sera notamment déjà reprise par
le processus naturel. Soit elle sera mangée, alors
elle est très fortement reprise par la nature, ou elle
disparait, sera consommée - bref, elle devient quelque
peu marchandise parce qu’elle retourne à la nature.
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21
|
Und wenn diese Bewegung sich jetzt fortsetzt, so daß
fortwährend übernommen wird von der Natur — allerdings
jetzt von einem anderen Teil der Natur als beim
Konsumtionsprozeß —, so daß fortwährend übernommen
wird von der Natur dasjenige, was mit Hilfe von
Produktionsmittel und Unternehmerkapital
hervorgebracht wird, dann entsteht erst im
volkswirtschaftlichen Prozeß dasjenige, was eigentlich
die Ware ist. Die Ware wird nämlich schon vom
Naturprozeß übernommen. Entweder sie wird gegessen,
dann wird sie sehr stark von der Natur übernommen,
oder sie geht zugrunde, wird verbraucht — kurz, es
wird etwas Ware dadurch, daß es zur Natur wiederum
zurückkehrt.
|
Ainsi que vous pouvez dire : nous avons maintenant
poursuivi le mouvement qui est fiché dans l'ensemble
du processus d’économie de peuple et qui contient les
facteurs : Moyen de production, capital
entrepreneurial, marchandise. Ici (voir dessin 5), à
cet endroit, la distinction sera extraordinairement
difficile ; car ce qui va-et-vient dans l'échange
réel, donc lors de l'achat et de la vente, à cela se
laisse extraordinairement difficilement distinguer si
c’est en mouvement vers ici ou vers là, si c'est une
marchandise, ou si c'est quelque chose qui ne peut
être appelé marchandise dans le vrai sens du mot. Car
par quoi un bien devient-il en fait une marchandise ?
Je devrais en fait lors du mouvement dans cette
direction - dans la direction opposée à celle de
l’aiguille de l'horloge - si je voulais donner un nom
précis, je devrais écrire ici bien et lors du
mouvement rétrograde; écrire marchandise, car
marchandise est le bien seulement dans la main du
marchand/commerçant, le marchand, qui l'offre et ne
l'utilise pas lui-même.
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22
|
So daß Sie sagen können : Wir haben jetzt diejenige
Bewegung verfolgt, welche drinnen steckt im ganzen
volkswirtschaftlichen Vorgang und die die Faktoren
enthält: Produktionsmittel, Unternehmerkapital, Ware.
Hier (siehe Zeichnung 5), an dieser Stelle, wird die
Unterscheidung außerordentlich schwierig sein; denn
dasjenige, was beim eigentlichen Tausch, also beim
Kauf und Verkauf, hin- und hergeht, an dem läßt es
sich außerordentlich schwer unterscheiden, ob es in
der Bewegung so hin ist oder so her, ob es eine Ware
ist, oder ob es etwas ist, was nicht im wahren Sinn
des Wortes Ware genannt werden kann. Denn, wodurch
wird denn ein Gut eine Ware? Ich müßte eigentlich bei
der Bewegung in dieser Richtung — entgegengesetzt dem
Zeiger der Uhr —, wenn ich ganz genau benennen wollte,
müßte ich herschreiben Gut und bei der rückläufigen
Bewegung müßte ich schreiben Ware; denn Ware ist das
Gut nur in der Hand des Händlers, des Kaufmannes, der
es anbietet und nicht selbst benützt.
|
Il s’agissait donc principalement pour moi
aujourd'hui que nous nous appropriions des concepts
qui mettent en évidence les véritables rapports dans
le processus d’économie de peuple, qui, à travers les
processus falsifiés, entrent continuellement dans un
mode de fonctionnement tel que le processus d’économie
de peuple subit en effet continuellement des
perturbations. Compenser continuellement ces
perturbations est en fait une partie essentielle de la
tâche de l'économie de peuple. Aujourd'hui les gens
parlent beaucoup de ce qu'il faut éliminer/écarter les
dommages de l'économie de peuple, et ont ainsi un peu
l'arrière-pensée : alors tout sera bon, alors le
paradis est approximativement sur Terre. - Mais c'est
comme si on disait : maintenant, j'aimerais une fois
tellement manger que je n'ai alors plus besoin de
manger du tout. - Je ne le peux pas parce que je suis
un organisme, parce que là constamment des processus
ascendants et descendants doivent se développer. Ces
processus ascendants et descendants doivent être
présents dans l'économie de peuple ; il doit y avoir
une tendance, d'un côté, à fausser les prix par la
formation de la rente et, de l'autre côté, doit être
là la tendance à baisser les prix du côté du capital
entrepreneurial. Ces tendances sont constamment là et
devront être saisies afin d'obtenir le plus possible
les prix tels que les contrefaçons soient toujours un
minimum.
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23
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Es kam mir also heute hauptsächlich darauf an,
daß wir uns Begriffe aneigneten, welche auf die wahren
Verhältnisse im volkswirtschaftlichen Prozeß
hindeuten, die durch die verfälschten Prozesse
fortwährend in eine solche Wirkungsweise hineinkommen,
daß der volkswirtschaftliche Prozeß in der Tat
fortwährend Störungen erleidet. Diese Störungen
fortwährend auszugleichen, das ist eigentlich ein
Wesentliches in der Aufgabe der Volkswirtschaft. Die
Leute reden heute viel davon, daß man sollte die
Schäden der Volkswirtschaft beseitigen, und haben so
ein bißchen den Hintergedanken : Dann wird alles gut
sein, dann ist so ungefähr das Paradies auf Erden. —
Aber das ist so, wie wenn man sagte: Nun möchte ich
doch einmal so viel essen, daß ich dann gar nicht mehr
zu essen brauche. — Ich kann das nicht, weil ich -ein
Organismus bin, weil da fortwährend auf- und
absteigende Prozesse sich entwickeln müssen. Diese
auf- und absteigenden Prozesse müssen in der
Volkswirtschaft da sein; es muß die Tendenz da sein,
auf der einen Seite die Preise zu verfälschen durch
die Bildung der Rente, auf der andern Seite muß die
Tendenz da sein, die Preise zu erniedrigen gegen das
Unternehmerkapital hin. Diese Tendenzen sind
fortwährend da und müssen erfaßt werden, um möglichst
die Preise so zu bekommen, daß die Fälschungen immer
ein Minimum sind.
|
Pour cela, il est nécessaire de saisir le processus
d’économie de peuple à travers l'expérience humaine
immédiate dans une certaine mesure dans le statut
nascendi, de toujours se tenir à l'intérieur. Cela
l'individu ne le peut jamais, cela ne peut aussi
jamais une société par-dessus une certaine taille, par
exemple l'État ; cela ne peuvent que des associations
qui grandissent/croissent de la vie d’économie de
peuple elle-même et peuvent donc aussi avoir un effet
sur la vie économique immédiate et vivante. Tout de
suite lorsque nous regardons le processus d’économie
de peuple d'un point de vue fortement technique nous
sommes amenés à reconnaître que du processus
économique lui-même doivent se donner des institutions
qui rassemblent les humains de telle sorte qu'ils
puissent s'associer au processus de vie immédiat et
observer maintenant comment les tendances sont
disponibles et comment on peut œuvrer contre les
tendances.
|
24
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Dazu ist notwendig, den volkswirtschaftlichen
Prozeß durch unmittelbare menschliche Erfahrung
gewissermaßen im Status nascendi zu erfassen, immer
drinnen zu stehen. Das kann niemals der einzelne, das
kann auch niemals eine über eine gewisse Größe
hinausgehende Gesellschaft, zum Beispiel der Staat;
das können nur Assoziationen, die aus dem
wirtschaftlichen Leben selbst herauswachsen und
deshalb aus dem unmittelbaren lebendigen
wirtschaftlichen Leben auch wirken können. Gerade wenn
wir stark technisch betrachten den
volkswirtschaftlichen Prozeß, werden wir dazu geführt,
anzuerkennen, daß aus dem Wirtschaftsprozeß selbst
heraus sich die Institutionen bilden müssen, welche
die Menschen so zusammenfassen, daß sie assoziativ
drinnenstehen im unmittelbaren lebendigen Prozeß und
nun beobachten können, wie die Tendenzen vorhanden
sind und wie man den Tendenzen entgegenwirken kann.
|
Français seulement
01
Nous nous sommes maintenant rendu clair comment l'économie dans
son ensemble évolue de telle sorte que les facteurs propulsant,
les facteurs mettant en mouvement, sont : l'achat,
respectivement la vente, le prêt et la donation. Nous devons
être conscients qu'une économie ne peut exister sans cette
interaction du prêter, du donner et de l'acheter. Donc, ce qui
dans l'économique de peuple dont nous avons déjà parlé d'après
un côté, produit les valeurs, ce qui conduit donc à la formation
des prix, proviendra de ces trois facteurs : achat, donation,
prêt. Il s'agit seulement de savoir comment ces trois facteurs
jouent dedans la formation des prix. Car ce n'est que lorsque
nous verrons comment ces facteurs jouent dans la formation des
prix que nous pourrons arriver une sorte de formulation du
problème de prix.
02
Maintenant, il s'agit de bien voir en quoi consistent les
problèmes particuliers d’économie de peuple. En cette relation,
notre économie de peuple est pleine de représentations
totalement floues, de représentations qui deviennent floues
principalement parce que, comme je l'ai souvent expliqué, on
veut saisir en repos/au calme ce qui est en mouvement.
03
Examinons une fois, j’aimerais dire, les facteurs de calme les
plus importants de notre économie de peuple, sous la condition
préalable qu'il y ait des dons, des achats et des prêts dans le
mouvement de l’économie de peuple. Examinons ce dont sera le
plus parlé dans le présent, et à travers quoi viennent en fait
tout de suite le plus d'erreurs dans l'économie de peuple. On
parle du salaire et nomme volontiers aussi le salaire ainsi que
le salaire ressemble au prix pour le travail. On dit quand on
doit payer plus un travailleur salarié ainsi nommé, que le
travail serait devenu plus cher ; quand on doit payer moins cher
travailleur salarié ainsi nommé, on dit que le travail serait
devenu moins cher ; parle donc comme si une sorte d’achat avait
eu lieu entre le travailleur salarié qui vend son travail et
celui qui lui achète ce travail. Mais ce n'est qu'un achat
fictif. Ce n'est pas du tout un achat qui a lieu dans le fait.
Et c'est donc ce qui est difficile dans nos rapports d’économie
de peuple, que nous avons en fait partout des rapports cachés,
masqués, qui se déroulent différemment de ce qu'ils sont en
réalité dans le sens plus profond. J'ai donc aussi mentionné
cela déjà auparavant.
04
La valeur dans l'économie de peuple peut donc seulement
apparaître - nous avons déjà pu le voir - dans l'échange des
produits, dans l'échange des marchandises ou absolument des
fabrications d’économie de peuple. D’une autre manière, de la
valeur ne peut pas apparaître. Mais vous pouvez facilement
envisager : si seulement de cette manière de la valeur peut
apparaître, et quand le prix de la valeur veut venir en l’état
ainsi que je l’ai expliqué hier, que devrait être tenu compte de
comment pour quelqu'un qui a produit une fabrication, une valeur
telle devrait être disponible pour le produit qu'il peut
satisfaire les besoins qu’il a pour de nouveau produire un
produit semblable - si cela devait être possible, ainsi les
produits/fabrications doivent s'évaluer/se valoriser
mutuellement. Et finalement, ce n'est donc pas difficile
d’envisager que dans le processus d’économie de peuple, les
produits se valorisent mutuellement. Ce sera seulement caché par
ce que l'argent pénètre entre ce qui sera échangé. Mais ce n'est
pas le significatif dans la chose. Nous n'aurions pas le moindre
intérêt à l'argent s'il ne favorisait pas l'échange des
produits, s'il ne le rendait pas plus pratique et moins cher.
Nous n'aurions pas besoin d'argent sans le fait que ceux qui
fournissent un produit sur le marché - sous l'influence de la
division du travail - ne veulent pas au départ se fatiguer à
obtenir ce dont ils ont besoin, là où c'est disponible, mais
justement prendre de l'argent pour cela et alors se fournir à
nouveau de manière correspondante. Nous pouvons donc dire qu'en
réalité, c'est la tension mutuelle qui pénètre entre les
produits dans le processus d’économie de peuple qui doit avoir à
faire avec à la fabrication de prix.
05
De ce point de vue, voyons ce qu'on appelle le rapport salarié,
le rapport de travail. Nous ne pouvons notamment pas du tout
échanger du travail contre une quelque chose, car il n'y a
aucune possibilité d'évaluation mutuelle entre le travail et une
quelque chose. Nous pouvons nous imaginer - et réaliser
l'imagination en laissant la relation salariale entrer en
vigueur - que nous payons le travail ; en réalité, nous ne le
faisons pas. Ce qui se passe en réalité est quelque chose de
tout autre. Ce qui se passe en réalité, c'est que les valeurs
sont également échangées dans le rapport de travail ou rapport
salarial. L'ouvrier produit directement quelque chose, l'ouvrier
livre un produit ; et ce produit lui est en fait acheté par
l'entrepreneur. L'homme d'affaires paie jusqu'au dernier centime
les produits que les travailleurs lui fournissent- nous devons
regarder les choses de la bonne façon - il achète les produits
au travailleur. Et alors, après qu'il les a achetés, il a la
tâche de donner à ces produits une plus grande valeur par son
esprit d'entreprise à travers les relations générales dans
l'organisme social. Cela lui donne alors en vérité le bénéfice.
C'est ce qu'il a de cela, ce qui lui rend possible, après avoir
acheté les marchandises à ses travailleurs, il les valorise par
– appelons/nommons le mot tristement célèbre – la conjoncture.
06
Nous avons donc à faire à un véritable achat dans le rapport de
travail. Et nous n’avons pas la permission de dire
qu'immédiatement là, dans le rapport de travail, apparaîtrait
une valeur ajoutée/plus-value. Mais, nous avons seulement la
permission de dire que le prix que l'entrepreneur paye n'est
justement pas, en raison des rapports, celui dont j’ai parlé
hier. Mais nous continuerons à trouver dans le processus
d’économie de peuple, que certes les produits déterminent
réciproquement leurs valeurs, ont leurs valeurs réelles, mais
que ces valeurs ne seront pas payées dans l’échange. Que pas
toutes les valeurs seront payées dans l’échange. Cela vous
pouvez l’envisager incroyablement facilement. Pensez donc
seulement une fois : quand quelqu'un, disons, est fabriquant,
est petit fabricant et fait soudain un riche héritage, et que
toute l'histoire avec la fabrique lui devient trop stupide,
ainsi il peut décider de vendre ce qu'il a encore de
marchandises incroyablement bon marché. Les marchandises ne
deviennent pas de valeur moindre à cause de cela, seul le prix
réel ne sera pas payé. Le prix dans l’échange d’économie de
peuple sera contrefait. Nous devons voir à ce que justement
partout le prix dans l’échange d’économie de peuple pourra être
falsifié. Mais c'est pour cela qu'il est quand même là. Les
marchandises que ce fabricant vend ne sont pas de moins de
valeur que les mêmes marchandises qu'un autre fabrique.
07
Maintenant que nous avons essayé de nous rendre clairs que dans
le rapport de salaire, nous avons en fait à faire à un achat,
nous voulons une fois nous demander à quoi nous avons affaire
avec la rente du sol/foncière, avec le prix de fonds et sols/du
foncier. Le prix du foncier ne provient pas à l'origine du
rapport qui est là dans la fabricante économie de peuple. Pour,
j’aimerais dire, introduire un rapport très radical, on a donc
seulement besoin d’indiquer que la terre/le foncier par exemple
est passé par la conquête, c'est-à-dire par le déploiement de
pouvoir, dans la disposition d’un quelque être humain. Une
quelque chose d’un échange reposera là aussi à la base. Par
exemple, celui qui a des aides lors de la conquête cédera des
parties du sol à ces aides. Nous n'avons donc là rien
d'économique dans le point de départ de l'économie de peuple.
Tout le processus n'est en fait pas économique. Tout le
processus qui se joue là est tel que nous pouvons seulement
utiliser le mot pouvoir ou droit. Par le pouvoir seront acquis
des droits, des droits sur fonds et sols/sur le foncier. De
sorte que nous avons effectivement ce qui est d’économie de
peuple butant d'un côté à des rapports de droit et de pouvoir.
08
Mais que se passe-t-il sous l'influence de tels rapports de
droit et de pouvoir ? Maintenant, sous l'influence de tels
rapports de droit et de pouvoir, il arrive continuellement que
le concerné, qui a le libre droit de disposition sur le foncier,
s’y retrouve lui-même mieux que les autres s’y retrouvent, qu'il
attire au travail, qui lui fournissent les produits par le
travail. Je ne parle donc pas du travail, mais du produit du
travail. Car ce sont ces produits du travail qui viennent en
considération. Il devra lui être livré plus - c'est donc
seulement la continuation de sa conquête, de son rapport de
droit - il doit lui être livré plus qu’il ne donne aux autres.
Qu'est-ce donc, ce qui est livré plus là qu'il ne donne aux
autres, qui donc falsifie le rapport de prix, qu'est-ce donc que
cela ? Oui, ce n'est donc rien d'autre qu'une donation forcée.
Vous avez donc ici absolument le rapport de donation qui entre
en jeu, seulement justement, que le concerné qui a à faire la
donation ne la fait pas de volonté libre, mais y sera contraint.
Une donation forcée s’introduit. C'est ce qui est le cas ici en
ce qui concerne le foncier. Mais par la donation obligatoire,
sera essentiellement augmenté le prix que les produits, qui
seront produits sur fonds et sols, devraient avoir en fait comme
prix d'échange.
09
Par conséquent, le prix de tout ce qui est capable de soumission
à de tels rapports de droit est entaché d'une tendance à aller
au-delà de sa vérité/réalité. Quand les humains de la forêt/des
bois, les chasseurs, vivent ensemble avec les
paysans/agriculteurs, les humains de la forêt s’en sortent
mieux/sont mieux lotis que les agriculteurs. Les agriculteurs
parmi les forestiers doivent notamment payer des prix plus
élevés aux humains de la forêt pour ce qui leur est livré que ce
que seraient les purs prix d'échange entre les produits de
l’économie de la forêt et ceux de l'économie de la terre, pour
la simple raison que l’économie de la forêt peut le plus souvent
être seulement mise à la disposition de celui qui conditionne
les prix par le rapport de droit. Dans l'économie de la terre un
travail véritable doit déjà être fourni, dans l'économie de la
forêt, nous sommes encore très proches de la valorisation
dépourvue de travail, qui est le résultat/provient/procède des
seuls rapports de droit et de pouvoir. Et quand des artisans
vivent parmi des agriculteurs, les prix ont à nouveau tendance à
grimper plus haut du côté de l'agriculture que l'est la
vérité/réalité, et à baisser plus bas du côté de l'artisanat que
la vérité/réalité. Les artisans parmi les agriculteurs vivent
plus chers ; les agriculteurs parmi les artisans, quand donc la
minorité entre en considération, relativement moins
cher/meilleur marché. Des artisans parmi des agriculteurs vivent
relativement plus chers. Ainsi que donc la séquence des étapes
de cette tendance, que les prix grimpent par-dessus ou sombre
au-dessous de la vérité/réalité, que la séquence est la suivante
: c'est le plus souvent le cas dans l’économie de la forêt,
alors vient l'économie de la terre, alors vient l'artisanat, et
alors l'activité totalement libre. C’est ainsi que nous devons
donc rechercher la formation des prix dans le processus
d’économie de peuple.
10
Mais subsiste maintenant, dans le processus d’économie de
peuple, une tendance, une tendance intrinsèque, à produire de la
rente foncière, dans une certaine mesure une tendance à se
soumettre à cette contrainte, de payer l'économie de la
terre/l'agriculture plus chère que l'autre. Cette tendance
existe lorsque la division du travail est disponible, et toutes
nos explications portent donc sur l'organisme social dans lequel
la division du travail est disponible. Cette tendance est
simplement suscitée parce que dans l’économie de la terre ne
peut entrer ce qu’il y a quelques jours – j’aimerais dire, pour
la difficulté de pensée d'un plus grand nombre d’honorés
auditeurs - j'ai dû dire deux fois : l’autosuffisant vit dans le
fait plus cher, il doit donc prendre plus pour ses produits, en
fait il doit les calculer plus haut que celui qui obtient ses
produits des autres dans la libre circulation/le libre-échange.
En rapport à l’activité, cela a un certain sens, quand bien même
vous vous retrouverez aussi complètement dans ce sens peut-être
par une longue réflexion. Mais cela n'a aucun sens en rapport à
l’économie de la terre et l’économie de la forêt. C'est tout de
suite ce qu’on doit savoir sur les réalités, que les concepts
valent toujours seulement pour un domaine déterminé et se
retouchent pour un autre domaine. C'est aussi le cas sinon dans
la réalité. Ce qui est un remède pour la tête est une
altération, un remède causant des maladies pour l'estomac, et
vice versa. Et c’est absolument ainsi pour l'organisme
d’économie de peuple. Si c’était notamment absolument le cas que
l'agriculteur ne serait pas un autosuffisant, alors les règles
que l’on doit sinon émettre pour la circulation des marchandises
vaudraient aussi pour lui. Mais il ne peut rien d’autre que
d'être autosuffisant, car dans le processus d’économie de
peuple, toute l'agriculture d’un organisme social s’intègre de
soi-même en une unité, aussi quand des possesseurs individuels
sont là. Et sous toutes circonstances, c'est simplement celui
qui est agriculteur qui doit retenir ce dont il s'approvisionne
du volume de ses produits. Quand il le prend de l'autre, il le
retient aussi. En réalité, il est un autosuffisant et doit donc
valoriser ses biens plus chers. Et la conséquence de ceci est
que les prix doivent augmenter d’après ce côté.
11
Cela signifie que dans le processus d’économie de peuple, existe
simplement la tendance à produire de la rente foncière. Il
s'agit seulement de savoir comment rendre cette rente foncière
inoffensive dans le processus d’économie de peuple. Mais il est
nécessaire qu’on sache qu'existe la tendance à produire de la
rente foncière. Vous pouvez abolir la rente foncière, elle sera
produite toujours de nouveau sous une quelque forme, pour la
simple raison dont j’ai justement maintenant expliquée.
12
Pour la même raison de laquelle existe une tendance dans le
processus d’économie de peuple à produire de la rente foncière,
pour la même raison existe de l'autre côté, la tendance de
l’entrepreneur à dévaluer/dévaloriser le capital, de le rendre
toujours meilleur marché et meilleur marché. On comprendra le
mieux cette tendance quand on deviendra clair à soi qu’on ne
peut donc pas acheter de capital. Certes, du capital est
marchandé. On achète du capital. Mais chaque achat de capital
est à nouveau seulement un rapport caché. En réalité, nous
n'achetons pas de capital, mais en réalité du capital sera
seulement emprunté ; aussi alors qu’apparemment un autre rapport
a lieu, vous pourrez toujours trouverez le caractère de prêt du
capital entrepreneurial. Je dis expressément le capital
entrepreneurial, parce que si vous étendez le concept sur la
rente foncière, ainsi ce n'est pas le cas, mais absolument chez
le capital entrepreneurial, et d’ailleurs c'est le cas pour la
simple raison qu'existe une tendance constante/durable à
dévaloriser ce qui dépend -tableau 6- de la volonté humaine -
vous voyez ici (voir dessin 4) l'artisanal et l'activité libre –
l’un par rapport à l'autre. Le capital entrepreneurial est
entièrement attelé dans l’activité libre. Il est constamment
dévalué/dévalorisé, de sorte que nous pouvons dire : D'après ce
côté (voir dessin 4) nous avons la tendance dans le processus
d’économie de peuple - pendant que nous produisons la rente
foncière - à réduire le capital entrepreneurial, le rendre de
plus en plus bas, de le valoriser toujours de plus en plus bas.
Comment cela devient donc d'après un côté, du côté de la rente
foncière, toujours plus cher, cela devient du côté du capital
toujours meilleur marché. Le capital a la tendance à baisser
continuellement dans ses valeurs d’économie de peuple, ou prix
en fait, la rente foncière a tendance à augmenter
continuellement dans ses prix.
13
Il y a aussi encore une autre raison pour laquelle vous pouvez
envisager que le capital entrepreneurial doit baisser. Quand
vous vous rendez clair qu'en agriculture on peut seulement être
autosuffisant et que tout de suite par l'autosuffisance sera
produit (voir dessin 4) cette hausse de l'estimation des
produits de l’économie agricole (voir tableau 6), ainsi vous
pouvez voir : avec le capital entrepreneurial, où le
principe du prêt prévaut/règne, là on ne peut pas être
autosuffisant. On ne peut pas se fournir soi-même avec du
capital. Ce avec quoi on peut se fournir soi-même/subvenir à ses
besoins, cela on doit aujourd'hui calculer dans les bilans
exactement ainsi que ce que l'on reçoit quand on veut établir un
bilan correct. Puisqu'on ne peut pas s’autoapprovisionner là
(voir dessin 4), ainsi est naturellement aussi disponible la
tendance opposée, la tendance à la baisse des prix.
14
C'est tout de suite la pénétration de ces rapports dans le
processus d’économie de peuple dont il s’agit, car vous en
reconnaîtrez que l’instauration de prix corrects n'est pas
quelque chose de si simple. L’instauration de prix corrects sera
constamment empêchée par ce que, d'un côté, des choses
apparaissent sur le marché qui veulent réellement être trop
élevées en prix, aimerais-je dire, et de l'autre côté,
apparaissent des choses qui veulent être trop basses en prix.
Mais parce que le prix est provoqué par l'échange, ce qui se
trouve au milieu est aussi constamment sujet à des
perturbations. Vous pouvez aussi l'observer absolument dans le
processus d’économie de peuple : dans la même mesure dans
laquelle les produits d’économie agricoles et d’économie de la
forêt deviennent plus chers, ceux produits par l'activité
humaine libre deviennent meilleur marché. Par cela apparaissent
justement tout de suite les rapports de tension qui provoquent
les troubles sociaux, qui produisent l'insatisfaction sociale.
Et c’est pourquoi la question la plus importante en rapport à la
formation des prix est : comment parvenons-nous à équilibrer la
tension qui existe dans la génération des prix entre
l'estimation des biens apparaissant de libre volonté humaine
vis-à-vis de ces biens-là auxquels la nature collabore ? Comment
venons-nous à bout de cette tension ? Comment équilibrons-nous
la tendance à la baisse avec l'autre tendance à la hausse ?
15
À l’intérieur de la division du travail, apparaissent donc des
produits toujours plus différenciés et différenciés. Vous avez
seulement besoin de vous rappeler comment les produits sont
simples, qui, disons, apparaissent au sein d'un peuple de
chasseurs qui vit entièrement de l’économie de la forêt. Là ne
vient en fait encore pas beaucoup en considération de la
difficulté de la formation des prix. Lorsque l'économie de la
terre/agricole s'ajoute à l’économie de la forêt, cela commence
alors déjà avec la difficulté. La difficulté réside notamment
dans la différenciation. Et plus la division du travail s’étend
et avec cela de nouveaux besoins seront fabriqués, dans la même
mesure s’amoncellent les difficultés de la formation des prix,
car plus les produits sont différents les uns des autres, plus
il devient difficile de parvenir à une évaluation/estimation
mutuelle - et elle peut seulement être mutuelle. Vous pouvez le
constater par le fait qu'il existe une évaluation mutuelle des
produits peu différenciés, par exemple le blé, le seigle et
d'autres produits d’économie agricole. Si vous allez au travers
de très long temps, vous trouverez que le rapport de valeur
mutuelle entre le blé, le seigle et les autres céréales reste
relativement stable. Si le blé monte, les autres céréales
montent aussi ; si le blé descend, les autres aussi descendent.
Cela provient de ce qu'absolument une différence faible existe
seulement entre ces produits. Si la différenciation devient plus
grande, alors ce n'est absolument plus le cas, alors les
événements au sein de l'organisme social peuvent faire monter en
flèche le prix d'un produit que quelqu’un a l'habitude
d'échanger contre un autre produit, l'autre peut-être baisser.
Imaginez le changement des conditions économiques que cela
entraînera. Tout ce qui est réalisé dans l'économie de peuple
repose beaucoup plus sur des hausses et des baisses réciproques
des prix que sur quoi que ce soit d'autre. C'est sur la hausse
et la baisse réciproque des prix que repose donc ce qui porte la
difficulté de la vie dans l'économie de peuple. Si finalement
les produits dans leur ensemble grimpent ou tombent – quand ils
grimpent ou chutent tous de la même façon, cela pourrait en fait
intéresser bien peu les gens au fond. Ce qui les intéresse,
c'est que les produits grimpent ou chutent dans des mesures
différentes. C'est donc quelque chose qui, on aimerait dire,
ressort tragiquement aujourd'hui des rapports économiques
actuels ; par ce que les produits grimpent et chutent des
manières les plus diverses - notamment, les valeurs de
l’argent/monétaires elles-mêmes grimpent et chutent, mais dans
lesquelles est simplement stockée une ancienne valeur réelle -,
un mélange complet de la société humaine est actuellement amené
en l’état.
16
Mais cela nous amène à reconnaître que nous devons encore
regarder d'une autre manière les facteurs qui sont efficaces
dans l'organisme d’économie de peuple. Nous sommes partis de ce
que l'économie ordinaire de peuple énumère quand sera parlé des
facteurs qui sont présents dans un organisme d’économie de
peuple, mais nous avons vu que rien ne peut réellement être
obtenu avec l’énumération de la nature, du capital et du
travail. Car tout de suite quand vous ajoutez à ce qui a déjà
été dit auparavant aussi encore ce qui a été ajouté aujourd'hui,
vous verrez que donc l'estimation du prix des produits de la
nature ne vient justement pas en l’état sous des rapports
purement d’économie de peuple, mais à travers des rapports de
droit ; que dans l'estimation du capital entrepreneurial, la
libre volonté humaine joue dedans un rôle avec tout ce qu'elle
déploie quand elle se fait active dans la vie publique. Pensez
simplement quand même seulement à ce qu'on a besoin pour
vraiment recueillir/collectionner du capital entrepreneurial
pour une quelque chose. Là, la libre volonté humaine joue un
rôle dans le prêter. Peut-être pas directement. Naturellement,
celui qui veut avoir de l’économisé/épargné veut déjà le prêter
; mais si quelqu'un épargne ou non, c'est déjà une expression de
la volonté. C’est ainsi que la libre volonté humaine joue
là-dedans un rôle tout essentiel. Mais quand, si nous en tenons
compte, nous trouverons encore une autre articulation des
facteurs d’économie de peuple que l’est celle que nous avons
examinée/regardée jusqu'à présent.
17
Je vous ai donné jusqu'à présent une articulation/un membrement
schématique en ce que je vous ai montré : la nature est là,
mais de la valeur sera en premier par la nature élaborée,
lorsque nature se déplace/meut contre/vers travail. Et de la
valeur apparaît en premier par du travail lorsque celui-ci se
meut contre/vers du capital ou l'esprit. Et par cela apparaît la
tendance à nouveau à retourner à la nature, qui peut donc être
évitée en ce qu’on transfère ce qui est capital excédentaire non
pas dans le sol où il sera fixé, mais dans des entreprises
spirituelles libres, où il disparait justement jusqu’au dernier
reste, qui devrait continuer à exister comme une semence, afin
que le processus d’économie de peuple puisse être maintenu.
Tableau 6 Travail Économie de la forêt économie de la
terre/agricole Artisanat activité libre Dessin 5
18
Et en dehors de ce mouvement, qui donc ici (voir dessin 5) va de
gauche à droite et à travers lequel surgit la nature
transformée/élaborée, le travail organisé ou articulé et le
capital émancipé, qui figure s’activant purement dans les
entreprises spirituelles, il y a aussi un autre mouvement, en
dehors de ce mouvement. C'est notamment le mouvement qui ne
conduit pas maintenant à la valorisation, qui conduit ainsi que
le précédent sera repris par le suivant, mais qui va dans le
sens contraire. L’un des mouvements va dans le sens inverse des
aiguilles d'une montre, l'autre dans le sens des aiguilles d'une
montre. Dans un des mouvements, quelque chose apparaît parce que
le membre précédent intervient dans une certaine mesure dans le
suivant ; dans l'autre mouvement, parce que, ce qui déborde ici
(voir dessin 5) recueille, ce qui coule par-dessus et, pour
ainsi dire, l’embrasse/l'enserre. Vous viendrez bientôt à ce que
je pense avec cela. Si vous tenez compte de ce que le capital
est en fait de l'esprit réalisé dans le processus d’économie de
peuple, ainsi je peux donc aussi écrire esprit au lieu de
capital, de sorte que nous avons : Nature, travail et esprit.
19
Alors, quand l'esprit absorbe ce qu'est de la nature
transformée/élaborée, quand il ne l'introduit pas simplement
dans le mouvement progressif, opposé aux aiguilles d'une montre,
du processus d’économie de peuple, mais quand il l'absorbe,
ainsi apparaît le moyen de production. Car le moyen de
production est notamment quelque chose d’autre: c'est en fait un
mouvement totalement opposé à celui d'un produit naturel
transformé pour la consommation. C'est un produit naturel qui
sera reçu/pris en réception par l'esprit, un produit naturel que
l'esprit doit avoir. De la plume que j'ai comme moyen de
production aux machines les plus compliquées dans l'usine, les
moyens de production sont, dans une certaine mesure, de la
nature saisie par l'esprit. La nature peut être travaillée et
sera envoyée dans cette direction : alors elle deviendra du
capital ; ou envoyée de l'autre côté : alors elle deviendra un
moyen de production.
20
Mais justement ainsi, ce qui se forme ici à l'aide du moyen de
production peut continuer à se mouvoir et être pris à nouveau en
réception par le travail. Tout de suite ainsi qu’ici la nature
sera reçue par l'esprit, ainsi pourra être reçu par le travail
que ce qui donc, par exemple, est justement moyen de production
au sens le plus large. Quand par le travail sera reçu ce qui est
moyen de production, quand donc apparaît un lien entre le moyen
de production et le travail, alors le capital entrepreneurial
repose dans ce lien. C'est cela, le capital entrepreneurial.
Ainsi que donc ainsi, quand vous suivez ce processus (voir
dessin 5), se donne un mouvement qui pousse les moyens de
production et le capital entrepreneurial l'un dans l'autre.
21
Et quand maintenant ce mouvement se poursuit, de sorte que
sera continuellement prit de la nature - toutefois maintenant
par une autre partie de la nature que lors du processus de
consommation - de sorte que ce qui est produit à l'aide de
moyens de production et de capital entrepreneurial est
continuellement repris par la nature, alors émerge en premier ce
qui est en fait la marchandise dans le processus d’économie de
peuple. La marchandise sera notamment déjà reprise par le
processus naturel. Soit elle sera mangée, alors elle est très
fortement reprise par la nature, ou elle disparait, sera
consommée - bref, elle devient quelque peu marchandise parce
qu’elle retourne à la nature.
22
Ainsi que vous pouvez dire : nous avons maintenant poursuivi le
mouvement qui est fiché dans l'ensemble du processus d’économie
de peuple et qui contient les facteurs : Moyen de production,
capital entrepreneurial, marchandise. Ici (voir dessin 5), à cet
endroit, la distinction sera extraordinairement difficile ; car
ce qui va-et-vient dans l'échange réel, donc lors de l'achat et
de la vente, à cela se laisse extraordinairement difficilement
distinguer si c’est en mouvement vers ici ou vers là, si c'est
une marchandise, ou si c'est quelque chose qui ne peut être
appelé marchandise dans le vrai sens du mot. Car par quoi un
bien devient-il en fait une marchandise ? Je devrais en fait
lors du mouvement dans cette direction - dans la direction
opposée à celle de l’aiguille de l'horloge - si je voulais
donner un nom précis, je devrais écrire ici bien et lors du
mouvement rétrograde; écrire marchandise, car marchandise est le
bien seulement dans la main du marchand/commerçant, le marchand,
qui l'offre et ne l'utilise pas lui-même.
23
Il s’agissait donc principalement pour moi aujourd'hui que nous
nous appropriions des concepts qui mettent en évidence les
véritables rapports dans le processus d’économie de peuple, qui,
à travers les processus falsifiés, entrent continuellement dans
un mode de fonctionnement tel que le processus d’économie de
peuple subit en effet continuellement des perturbations.
Compenser continuellement ces perturbations est en fait une
partie essentielle de la tâche de l'économie de peuple.
Aujourd'hui les gens parlent beaucoup de ce qu'il faut
éliminer/écarter les dommages de l'économie de peuple, et ont
ainsi un peu l'arrière-pensée : alors tout sera bon, alors le
paradis est approximativement sur Terre. - Mais c'est comme si
on disait : maintenant, j'aimerais une fois tellement manger que
je n'ai alors plus besoin de manger du tout. - Je ne le peux pas
parce que je suis un organisme, parce que là constamment des
processus ascendants et descendants doivent se développer. Ces
processus ascendants et descendants doivent être présents dans
l'économie de peuple ; il doit y avoir une tendance, d'un côté,
à fausser les prix par la formation de la rente et, de l'autre
côté, doit être là la tendance à baisser les prix du côté du
capital entrepreneurial. Ces tendances sont constamment là et
devront être saisies afin d'obtenir le plus possible les prix
tels que les contrefaçons soient toujours un minimum.
24
Pour cela, il est nécessaire de saisir le processus d’économie
de peuple à travers l'expérience humaine immédiate dans une
certaine mesure dans le statut nascendi, de toujours se tenir à
l'intérieur. Cela l'individu ne le peut jamais, cela ne peut
aussi jamais une société par-dessus une certaine taille, par
exemple l'État ; cela ne peuvent que des associations qui
grandissent/croissent de la vie d’économie de peuple elle-même
et peuvent donc aussi avoir un effet sur la vie économique
immédiate et vivante. Tout de suite lorsque nous regardons le
processus d’économie de peuple d'un point de vue fortement
technique nous sommes amenés à reconnaître que du processus
économique lui-même doivent se donner des institutions qui
rassemblent les humains de telle sorte qu'ils puissent
s'associer au processus de vie immédiat et observer maintenant
comment les tendances sont disponibles et comment on peut œuvrer
contre les tendances. |