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Collection:  340 - Cours d'économie nationale.

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Sujet:  SIXIEME CONFÉRENCE, Dornach, 29 juillet 1922
SECHSTER VORTRAG, Dornach, 29. Juli 1922

 

Les références : Rudolf Steiner Œuvres complètes GA340 082-095 (2002) 29/07/1922


Original




Traducteur: FG  v. 01 27/06/2022
Editeur: SITE

Vous savez peut-être que dans mes "Points clés de la question sociale", j'ai essayé de déterminer en formule comment on peut venir à une représentation, disons, tout d'abord du prix correct dans le processus d'économie de peuple. Naturellement, avec une telle formule n'est donc donné rien de plus que d'abord une abstraction. Et dans cette abstraction, j'aimerais dire, intégrer, au moins à la manière d'une esquisse, l'ensemble de l'économie de peuple est donc justement notre tâche dans ces conférences, qui, je pense quand même, se concluront en un tout, même si le temps est court.

01

Sie wissen vielleicht, daß ich in meinen «Kernpunkten der sozialen Frage» formelhaft zu bestimmen versuchte, wie man zu einer Vorstellung des, sagen wir zunächst richtigen Preises innerhalb des volkswirtschaftlichen Prozesses kommen kann. Natürlich ist mit einer solchen Formel ja nichts weiter gegeben als zunächst eine Abstraktion. Und in diese Abstraktion, ich möchte sagen, die ganze Volkswirtschaft wenigstens skizzenweise hineinzuarbeiten, ist ja eben unsere Aufgabe in diesen Vorträgen, die sich, ich denke doch, zu einem Ganzen schließen werden, wenn auch die Zeit eine kurze ist.

J'ai donc donné comme formule dans les "points clés de la question sociale" : un prix correct est alors disponible lorsque quelqu'un reçoit pour un produit qu'il a fabriqué autant en contrevaleur qu'il peut satisfaire ses besoins, la somme de ses besoins, qui comprennent naturellement les besoins de ceux qui lui appartiennent/qui vont avec lui, jusqu'à ce qu'il ait à nouveau fabriqué un même produit. Cette formule, aussi abstraite soit-elle, est néanmoins exhaustive. Il s'agit justement lors de la mise en place de formules, de ce qu'elles contiennent vraiment tous les détails concrets. Et je pense que cette formule est vraiment aussi exhaustive pour l'économie de peuple que, disons, le théorème de Pythagore est exhaustif pour tous les triangles à angle droit. Seulement il s'agit de ce que : justement ainsi qu'on doit y apporter la différence des côtés, ainsi on doit apporter infiniment plus dans cette formule. Mais la compréhension de comment on intègre l'ensemble du processus d'économie de peuple dans cette formule, c'est justement de la science d'économie de peuple.

02

Ich habe also in den «Kernpunkten der sozialen Frage» als Formel das Folgende angegeben : Ein richtiger Preis ist dann vorhanden, wenn jemand für ein Erzeugnis, das er verfertigt hat, so viel als Gegenwert bekommt, daß er seine Bedürfnisse, die Summe seiner Bedürfnisse, worin natürlich eingeschlossen sind die Bedürfnisse derjenigen, die zu ihm gehören, befriedigen kann so lange, bis er wiederum ein gleiches Produkt verfertigt haben wird. Diese Formel ist, so abstrakt sie ist, dennoch erschöpfend. Es handelt sich ja beim Aufstellen von Formeln eben darum, daß sie wirklich alle konkreten Einzelheiten enthalten. Und ich meine, für das Volkswirtschaftliche ist diese Formel wirklich so erschöpfend wie, sagen wir, der Pythagoräische Lehrsatz erschöpfend ist für alle rechtwinkeligen Dreiecke. Nur handelt es sich darum: ebenso wie man in diesen hineinbringen muß die Verschiedenheit der Seiten, so muß man unendlich viel mehr in diese Formel hineinbringen. Aber das Verständnis, wie man in diese Formel den ganzen volkswirtschaftlichen Prozeß hineinbringt, das ist eben Volkswirtschaftswissenschaft.

Maintenant, j'aimerais tout de suite commencer aujourd'hui à partir d'un tout à fait essentiel dans cette formule. C'est que je ne fais pas référence dans cette formule à ce qui est passé, mais à ce qui en fait est à venir. Je dis explicitement : la contrevaleur doit satisfaire les besoins dans le futur jusqu'à ce que le producteur ait à nouveau fabriqué un même produit. C'est quelque chose de tout à fait essentiel dans cette formule. Si l'on exigeait une contre-valeur pour le produit qu'il a déjà fini, et que cette contre-valeur corresponds n'importe comment aux processus réels d'économie de peuple, ainsi il pourrait absolument se passer que le concerné reçoive une contre-valeur qui réponde à ses besoins, disons, satisfasse seulement cinq sixièmes du temps jusqu'à ce qu'il ait fabriqué un nouveau produit, car les processus d'économie de peuple changent du passé dans le futur. Et celui qui croit là, du passé seul, pouvoir faire une quelle constellation, il doit toujours atteindre le non correct dans ce qui est d'économie de peuple ; car l'activité/la gestion économique consiste en fait à mettre en œuvre les processus futurs avec ce qui est passé. Mais quand l'on utilise les processus passés pour mettre en œuvre les processus futurs, alors, dans certaines circonstances, les valeurs doivent glisser de manière significative, car elles glissent continuellement. C'est pourquoi il s'agit chez cette formule essentiellement que je dise : quand quelqu'un vend une paire de bottes, ainsi le temps où il les a fabriquées n'est absolument pas décisif selon l'économie de peuple, mais est décisif le temps dans lequel la prochaine paire de bottes sera fabriquée. C'est ce dont il s'agit dans cette formule, et c'est ce que nous devons maintenant comprendre dans un sens plus large à l'intérieur du processus d'économie de peuple.

03

Nun möchte ich heute gerade ausgehen von einem ganz Wesentlichen in dieser Formel. Das ist das, daß ich nicht hinweise in dieser Formel auf dasjenige, was vergangen ist, sondern auf dasjenige, was eigentlich erst kommt. Ich sage ausdrücklich: Der Gegenwert muß die Bedürfnisse in der Zukunft befriedigen, bis der Erzeuger wiederum ein gleiches Produkt verfertigt haben wird. Das ist etwas ganz Wesentliches in dieser Formel. Würde man einen Gegenwert verlangen für das Produkt, das er schon fertig hat, und dieser Gegenwert sollte entsprechen irgendwie den wirklichen volkswirtschaftlichen Vorgängen, so könnte es durchaus passieren, daß der Betreffende einen Gegenwert bekommt, der seine Bedürfnisse, sagen wir, nur zu fünf Sechsteln der Zeit befriedigt, bis er ein neues Produkt hergestellt hat; denn die volkswirtschaftlichen Vorgänge ändern sich eben von der Vergangenheit in die Zukunft hinein. Und derjenige, der da glaubt, von der Vergangenheit her allein irgendwelche Aufstellungen machen zu können, der muß immer im Volkswirtschaftlichen das Unrichtige treffen; denn Wirtschaften besteht eigentlich darinnen, daß man die künftigen Prozesse mit dem, was vorangegangen ist, ins Werk setzt. Wenn man aber die vergangenen Prozesse benützt, um die künftigen ins Werk zu setzen, dann müssen sich unter Umständen die Werte ganz bedeutend verschieben; denn fortwährend verschieben sie sich. Daher handelt es sich bei dieser Formel ganz wesentlich darum, daß ich sage: Wenn jemand ein Paar Stiefel verkauft, so ist die Zeit, in der er sie verfertigt hat, volkswirtschaftlich durchaus nicht maßgebend, sondern maßgebend ist die Zeit, in der er das nächste Paar Stiefel verfertigen wird. Das ist, worauf es in dieser Formel ankommt, und das müssen wir nun in breiterem Sinn innerhalb des volkswirtschaftlichen Prozesses verstehen.

Hier, nous avons donc mené le cours du cycle devant nos âmes (voir Figure 3) : Nature - Travail - Capital qui sera donc valorisé par l'Esprit tableau 4a. Je pourrais tout aussi bien écrire esprit ici au lieu du capital. Et nous avons d'abord suivi le processus d'économie de peuple dans cette direction - sens inverse des aiguilles d'une montre - et trouvé qu'ici, dans la nature, il ne peut y avoir de congestion/bouchon, mais qu'en fait là a seulement le droit de passer, ce qui à la possibilité de poursuivre le processus économique comme une sorte de semences, de sorte qu'une congestion d'économie de peuple n'apparaisse pas par une fixation du capital dans la rente foncière. Maintenant, je vous disais donc que pris au fond, dans le processus d'économie de peuple, le rendement/bénéfice de fond et sol lors de la vente, donc la valorisation de fond et sol, contredit les intérêts que l'on a dans la production de biens pleins de valeur. Celui qui veut produire des biens pleins de valeur avec l'aide du capital a un intérêt à ce que le taux d'intérêt soit bas, car il a alors moins à rembourser et peut par cela se mouvoir plus facilement avec ce qu'il reçoit comme capital de prêt. Mais celui qui est quelque peu possesseur - j'ai absolument la permission de discuter de ces choses parce qu'elles ont une signification dans notre économie de peuple -, celui qui a intérêt à rendre fond et sol plus cher, il le rend tout de suite plus cher parce que le taux d'intérêt en est plus bas. S'il a un faible taux d'intérêt à payer, ainsi la valeur de sa terre augmente, elle devient de toujours plus chère ; pendant que celui qui a à payer un faible taux d'intérêt lors de la production de biens pleins de valeur peut produire les biens moins chers/meilleur marché. Donc, des marchandises chez lesquelles il s'agit du processus de production deviennent bon marché lorsque le taux d'intérêt est bas : du foncier qui livre un bénéfice sans qu'on le produise au préalable devient plus cher lorsque le taux d'intérêt est plus bas. Vous pouvez simplement vous calculer cela. C'est un fait d'économie de peuple.

04

Wir haben ja gestern uns den Kreislauf vor die Seele geführt (siehe Zeichnung 3) : Natur — Arbeit — Kapital, das also vom Geiste verwertet Tafel 4a wird. Ich könnte hier statt Kapital ebensogut herschreiben Geist. Und wir haben zunächst den volkswirtschaftlichen Prozeß in dieser Richtung — gegen den Uhrzeiger — verfolgt und gefunden, daß hier, bei der Natur, keine Stauung stattfinden darf, sondern daß eigentlich da nur durchkommen darf, was als eine Art Samen die Möglichkeit hat, den volkswirtschaftlichen Prozeß fortzusetzen, so daß also nicht durch eine Fixierung des Kapitals in der Bodenrente eine volkswirtschaftliche Stauung entsteht. Nun sagte ich Ihnen ja, daß im Grunde genommen der Ertrag von Grund und Boden beim Verkauf, also die Bewertung von Grund und Boden, widerspricht im volkswirtschaftlichen Prozeß den Interessen, die man hat bei der Herstellung von wertvollen Gütern. Derjenige, der mit Hilfe von Kapital wertvolle Güter herstellen will, hat ein Interesse daran, daß der Zinsfuß niedrig ist; denn er braucht dann weniger `Zins zurückzuzahlen und kann sich dadurch leichter bewegen mit dem, was er als Leihkapital bekommt. Derjenige aber, der Besitzer etwa ist — ich darf diese Dinge, weil sie innerhalb unserer Volkswirtschaft Bedeutung haben, durchaus besprechen —, derjenige, der ein Interesse daran hat, den Grund und Boden teurer zu machen, der macht ihn gerade dadurch teurer, daß der Zinsfuß ein niedriger ist. Hat er niedrigen Zins zu bezahlen, so wächst der Wert seines Grundes und Bodens, der wird immer teurer; während derjenige, der einen niedrigen Zinsfuß zu bezahlen hat, bei der Herstellung von wertvollen Waren die Waren billiger herstellen kann. Also Waren, bei denen es ankommt auf den Prozeß der Herstellung, werden bei niedrigem Zinsfuß billig : Grund und Boden, der einen Ertrag liefert, ohne daß man ihn erst herstellt, der wird teurer bei niedrigerem Zinsfuß. Sie können sich das einfach ausrechnen. Es ist das eine volkswirtschaftliche Tatsache.

Il s'agit maintenant de concevoir le taux d'intérêt de deux façons : on devrait donc avoir un taux d'intérêt le plus bas possible pour l'installation du travail, la production de biens-marchandise pleins de valeur, et on devrait avoir le taux d'intérêt le plus élevé possible pour ce qui est foncier. Cela en découle donc immédiatement. On devrait avoir un taux d'intérêt aussi élevé que possible pour ce qui est fond et sol. C'est quelque chose qui ainsi sans plus n'est pas facile à réaliser dans la pratique. Un taux d'intérêt quelque peu plus élevé, qui serait aussi déjà réalisable pour du capital de prêt qui serait donné sur fond et sol, n'aiderait pas extraordinairement beaucoup, et un taux d'intérêt beaucoup plus élevé - je veux dire, par exemple, le taux d'intérêt, qui maintiendrait simplement fond et sol à la même valeur comme taux d'intérêt, le taux d'intérêt de cent pour cent - il serait aussi pratiquement extraordinairement difficile à appliquer sans plus. 100 p. 100 de mise en gage de fond et sol améliorerait donc immédiatement la chose, mais, c'est justement, comme dit, pratiquement pas réalisable. Mais en de telles choses, il s'agit de regarder clairement et nettement dans le processus d'économie de peuple ; et là on remarque que déjà le système d'association est ce qui seul peut rendre sain le processus d'économie de peuple, parce que notamment le processus d'économie de peuple, lorsqu'il est considéré de manière correcte, conduit néanmoins à ce qu'on puisse aussi le diriger de manière correcte.

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Nun handelt es sich darum, daß also dann eigentlich die Notwendigkeit vorliegen würde, den Zinsfuß in zweifachem Sinn zu gestalten : man müßte also einen möglichst niedrigen Zinsfuß für das Installieren der Arbeit, des Erzeugens der wertvollen Warengüter haben, und man müßte einen möglichst hohen Zinsfuß haben für dasjenige, was Grund und Boden ist. Das folgt ja unmittelbar daraus. Man müßte einen möglichst hohen Zinsfuß haben für das, was Grund und Boden ist. Das ist etwas, was so ohne weiteres praktisch nicht leicht durchführbar ist. Ein etwas höherer Zinsfuß, der auch schon praktisch durchführbar wäre für Leihkapital, das auf Grund und Boden gegeben wird, würde nicht außerordentlich viel helfen, und ein wesentlich höherer Zinsfuß — ich will zum Beispiel sagen, der Zinsfuß, der einfach als Zinsfuß Grund und Boden immer auf einem gleichen Wert hielte, der Zinsfuß von hundert Prozent —, der würde auch praktisch außerordentlich schwierig so ohne weiteres durchführbar sein. Hundert Prozent für Beleihung von Grund und Boden würde ja sofort die Sache verbessern; aber es ist eben, wie gesagt, praktisch nicht durchführbar. Aber bei solchen Dingen handelt es sich darum, daß man klar und deutlich hineinschaut in den volkswirtschaftlichen Prozeß; und da merkt man dann, daß schon das Assoziationswesen dasjenige ist, was allein den volkswirtschaftlichen Prozeß gesund machen kann, weil nämlich der volkswirtschaftliche Prozeß, in der richtigen Weise angeschaut, dennoch dahin führt, daß man ihn auch in der richtigen Weise dirigieren kann.

Nous devons donc parler de production et de consommation dans le processus d'économie de peuple, comme je l'ai déjà évoqué hier. Nous devons donc voir le produire et le consommer. Maintenant, c'est donc un contraire qui a joué un rôle majeur, en particulier dans les discussions plus récentes, plus fréquentes, sur le domaine d'économie de peuple, qui sont alors aussi entrées dans l'agitation. On a notamment beaucoup disputé sur la question de savoir si le travail spirituel - simplement le travail spirituel en tant que tel - serait absolument générateur de valeur dans la sphère d'économie de peuple.

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Wir müssen ja reden im volkswirtschaftlichen Prozeß von Produktion und Konsum, wie ich schon gestern angedeutet habe. Wir müssen also sehen das Produzieren und das Konsumieren. Nun, das ist ja ein Gegensatz, der insbesondere in den neueren, vielfach geführten Diskussionen auf volkswirtschaftlichem Gebiet, die dann auch in die Agitation hineingegangen sind, eine große Rolle gespielt hat. Man hat namentlich über die Frage viel disputiert, ob die geistige Arbeit — einfach die geistige Arbeit als solche —, ob diese überhaupt auf wirtschaftlichem Gebiet werterzeugend sei.

Le travailleur spirituel est donc sûrement un consommateur. S'il est aussi, dans le sens comme on doit déjà l'envisager sur le domaine de science d'économie de peuple, un producteur, là dessus a donc été beaucoup discuté; et les marxistes les plus extrêmes, par exemple, ont donc toujours et toujours à nouveau cité le malheureux comptable indien qui doit tenir les livres pour sa paroisse/commune, qui donc ne cultive pas les champs ou ne fait pas un autre travail productif, mais enregistre seulement ce travail productif, et ils lui refusent maintenant la faculté de produire quoi que ce soit. Ainsi qu'ils constatent qu'il est simplement entretenu par la valeur ajoutée/plus-value que les producteurs élaborent. Ainsi que nous avons ce splendide comptable, comme il est toujours cité, comme nous avons aussi le Cajus dans la logique formelle dans les lycées, qui devrait toujours prouver la mortalité des humains. Comme vous le savez, tous les hommes sont mortels, Cajus est un homme, donc Cajus est mortel ! - Ce Cajus est devenu une personnalité logique immortelle en ayant constamment à prouver la mortalité de l'humain. C'est ainsi avec le comptable indien, qui sera seulement maintenu que par la valeur ajoutée/plus-value des producteurs ; c'est ainsi avec lui dans la littérature marxiste, où on le trouve pour ainsi dire, en culture pure.

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Der geistige Arbeiter ist ja sicher ein Konsument. Ob er auch in dem Sinne, wie man es schon auf volkswirtschaftlichem Gebiet ansehen muß, ein Produzent ist, darüber ist ja viel diskutiert worden; und die extremsten Marxisten zum Beispiel haben ja immer und immer wiederum den unglückseligen indischen Buchhalter angeführt, der für seine Gemeinde die Bücher zu führen hat, der also nicht die Äcker besorgt oder eine andere produktive Arbeit verrichtet, sondern diese produktive Arbeit nur registriert, und sie sprechen diesem nun die Fähigkeit ab, irgend etwas zu produzieren. So daß sie konstatieren, daß er lediglich unterhalten wird aus dem Mehrwert, den die Produzenten erarbeiten. So daß wir diesen Prachtbuchhalter haben, wie er immer angeführt wird, wie wir ja auch den Cajus haben in der formalen Logik in den Gymnasien, der die Sterblichkeit der Menschen immer beweisen soll. Sie wissen ja : Alle Menschen sind sterblich, Cajus ist ein Mensch, also ist Cajus sterblich! — Dieser Cajus ist dadurch, daß er immerfort die Sterblichkeit des Menschen beweisen mußte, eine unsterbliche logische Persönlichkeit geworden. So ist es mit dem indischen Buchhalter, der nur vom Mehrwert der Produzenten erhalten wird; so ist es mit ihm in der marxistischen Literatur, wo man ihn sozusagen in Reinkultur findet.

Maintenant, cette question, qui est extraordinairement, j’aimerais dire, pleine de toutes sortes de collets, dans lesquelles on se fait prendre quand on veut la traiter selon l’économie de peuple, cette question : dans quelle mesure est - ou est absolument - le travailler spirituellement, le travail spirituel, productif économiquement ? - Vous voyez, là il s’agit très fortement qu’on fasse la distinction entre le passé et l'avenir. Quand vous considérez purement le passé et réfléchissez purement statistiquement le passé, alors vous pourrez prouver que le travail spirituel, en référence au passé et à tout ce qui n'est qu'une continuation immédiate du passé, est pour cela en fait improductif. Du passé à l'avenir, seul le travail purement matériel peut être pensé comme productif dans le processus d’économie de peuple avec sa continuation. C'est tout à fait différent lorsqu'on considère l'avenir - et gérer économiquement signifie travailler à partir du passé dans l'avenir. Là vous avez seulement besoin de penser à l'exemple simple : disons qu'un quelque artisan fabrique quelque chose dans un village et qu'il tombe malade. Disons que, dans certaines circonstances, lorsqu'il s'adresse à un médecin maladroit, il devra rester au lit pendant trois semaines et ne pourra pas faire ses affaires. Là il va perturber considérablement le processus d’économie de peuple, car pendant une période de trois semaines, lorsque la personne concernée a fabriqué, disons, des chaussures, les chaussures ne seront pas amenées sur le marché - le marché compris au sens le plus large. Mais supposons, cependant, qu'il vienne un médecin très habile qui le guérit en huit jours, de sorte qu'il puisse travailler à nouveau après huit jours, alors vous pouvez décider de la question dans un sens sérieux : qui a alors fabriqué les chaussures pendant ces quatorze jours ? Le cordonnier ou le médecin ? En fait, c'est le médecin qui a fabriqué les chaussures. Et c'est très clair : dès que vous considérez l'avenir d'un point quelconque, vous ne pouvez plus dire que le spirituel n'est pas productif dans l'avenir. Par rapport au passé, le spirituel est, c'est-à-dire ces humains qui travaillent dans le spirituel, seulement consommateur/consommant ; en rapport à l'avenir, ils sont absolument producteurs/produisants, oui, les produisants. Qu'ils sont les plus produisants, aussi dans le sens qu'ils transforment l'ensemble du processus de production et en font un processus éminemment différent au sens de l’économie de peuple, vous le voyez, par exemple, disons, lorsqu’aujourd'hui des tunnels sont construits : ils ne peuvent être construits sans que le calcul différentiel ait été trouvé. Avec ce genre de travail Leibniz collabore aujourd'hui encore à tous les tunnels, et comment les prix se fixent là a essentiellement été décidé par cette mobilisation de forces spirituelles. Ainsi que vous ne pouvez jamais répondre aux choses de telle sorte que, d'un point de vue d’économie de peuple, vous considériez le passé au même titre que l'avenir. Mais la vie ne va pas vers le passé, ne continue pas non plus le passé, mais la vie va dans le futur.

08

Nun, diese Frage, die ist außerordentlich, ich möchte sagen, voll von allerlei solchen Schlingen, in denen man sich verfängt, wenn man sie volkswirtschaftlich durchführen will, diese Frage : Inwiefern ist — oder ist überhaupt — das geistige Arbeiten, die geistige Arbeit wirtschaftlich produktiv? — Sehen Sie, da kommt es eben sehr stark darauf an, daß man unterscheidet zwischen der Vergangenheit und der Zukunft. Wenn Sie nämlich bloß die Vergangenheit ins Auge fassen und bloß auf die Vergangenheit statistisch reflektieren, dann werden Sie beweisen können, daß die geistige Arbeit mit Bezug auf die Vergangenheit und alles dasjenige, was nur eine unmittelbare Fortsetzung der Vergangenheit ist, daß die geistige Arbeit dafür eigentlich unproduktiv ist. Von der Vergangenheit in die Zukunft ist an Materiellem nur die rein materielle Arbeit auch im volkswirtschaftlichen Prozeß produktiv zu denken mit ihrer Fortsetzung. Ganz anders ist es, wenn Sie die Zukunft ins Auge fassen — und Wirtschaften heißt eben, aus der Vergangenheit in die Zukunft hineinarbeiten. Da brauchen Sie ja nur an das einfache Beispiel zu denken : Sagen wir, irgendein Handwerker verfertigt irgend etwas in einem Dorf und er wird krank. Er wird, sagen wir, unter gewissen Verhältnissen, wenn er an einen ungeschickten Arzt kommt, drei Wochen im Bett liegen müssen und seine Dinge nicht verfertigen können. Da wird er den volkswirtschaftlichen Prozeß sehr wesentlich stören; denn es werden durch drei Wochen hindurch, wenn der Betreffende, sagen wir, Schuhe verfertigt hat, die Schuhe nicht auf den Markt gebracht werden — Markt im weitesten Sinne verstanden. Nehmen wir aber an, er kommt an einen sehr geschickten Arzt, der ihn in acht Tagen gesund macht, so daß er nach acht Tagen wieder arbeiten kann, dann können Sie die Frage in ernsthaftem Sinn entscheiden: Wer hat denn dann durch diese vierzehn Tage hindurch die Schuhe fabriziert? Der Schuhmacher oder der Arzt? Eigentlich hat der Arzt die Schuhe fabriziert. Und es ist ganz klar: Sobald Sie von irgendeinem Punkt an die Zukunft ins Auge fassen, können Sie nicht mehr sagen, daß das Geistige in die Zukunft hinein nicht produktiv wäre. Der Vergangenheit gegenüber ist das Geistige, das heißt, sind diejenigen Menschen, die im Geistigen arbeiten, nur konsumierend; in bezug auf die Zukunft sind sie durchaus produzierend, ja die Produzierenderen. Daß sie die Produzierenderen sind, in dem Sinn auch, daß sie den ganzen Produktionsprozeß umgestalten und ihn zu einem eminent anderen machen im volkswirtschaftlichen Sinn, das sehen Sie zum Beispiel, sagen wir, wenn heute Tunnels gebaut werden: sie können nicht gebaut werden, ohne daß die Differentialrechnung gefunden worden ist. Mit dieser Art Arbeit baut heute Leibniz noch an allen Tunnels mit, und wie sich da die Preise stellen, ist im wesentlichen durch diese Anspannung der geistigen Kräfte entschieden worden. So daß Sie niemals die Dinge so beantworten können, daß Sie in der volkswirtschaftlichen Betrachtung das Vergangene im gleichen Sinn betrachten wie das Zukünftige. Aber das Leben geht nicht nach der Vergangenheit hin, setzt auch die Vergangenheit nicht fort, sondern das Leben geht in die Zukunft hinein.

C’est pourquoi, aucune considération d’économie de peuple est une réelle qui ne compte pas avec ce qui est justement réalisé par le travail spirituel - quand nous voulons l'appeler ainsi - mais cela signifie pris au fond, réalisé par la pensée. Mais ce travail spirituel, il est maintenant vraiment très difficile à saisir ; car ce travail spirituel a des particularités très déterminées, qui au début se laissent extraordinairement difficilement saisir économiquement. Le travail spirituel, il commence déjà avec ce que le travail sera organisé, articulé par la pensée organisatrice. Mais il devient toujours plus indépendant. Quand vous saisissez ce travail spirituel chez celui qui est en charge d’une quelque entreprise se tenant dans la culture matérielle, alors il dépense une grande somme de travail spirituel, mais il travaille encore avec ce que le processus économique du passé lui livre. Mais il ne peut être évité, pour des intérêts purement pratiques, qu'à l'intérieur de l'activité spirituelle – ainsi que veut la nommer au lieu de travail – l’ouvrage spirituel, aussi l’ouvrage pleinement libre apparait. Déjà quand on invente le calcul différentiel, et même en premier quand on peint un tableau survient une activité spirituelle complètement libre. On peut au moins parler relativement d'activité spirituelle libre, parce que ce qui est utilisé depuis le/du passé, les couleurs et du genre, vis-à-vis de ce qui vient en l’état n'a maintenant pas plus la signification que quelque peu l'achat de matières premières lors de fabrications matérielles.

09

Daher ist keine volkswirtschaftliche Betrachtung eine reale, die nicht mit dem rechnet, was eben durch die geistige Arbeit — wenn wir sie so nennen wollen —, das heißt aber im Grunde genommen, durch das Denken geleistet wird. Aber diese geistige Arbeit, die ist nun wirklich recht schwer zu fassen; denn diese geistige Arbeit hat ganz bestimmte Eigentümlichkeiten, die sich wirtschaftlich zunächst außerordentlich schwer fassen lassen. Die geistige Arbeit, sie beginnt ja schon damit, daß die Arbeit durch organisierendes Denken organisiert, gegliedert wird. Sie wird aber immer selbständiger und selbständiger. Wenn Sie diese geistige Arbeit fassen bei demjenigen, der irgendein in der materiellen Kultur stehendes Unternehmen leitet, so wendet er eine große Summe von geistiger Arbeit auf, aber er arbeitet noch mit dem, was ihm der volkswirtschaftliche Prozeß aus der Vergangenheit liefert. Aber es ist ja nicht zu umgehen, rein auch aus ganz praktischen Interessen, daß innerhalb der geistigen Betätigung — so will ich es statt Arbeit nennen —, des geistigen Wirkens, auch das vollständig freie Wirken auftritt. Schon wenn man die Differentialrechnung erfindet, und gar erst, wenn man ein Bild malt, tritt eine vollständig freie geistige Betätigung auf. Mindestens kann man relativ von freier geistiger Betätigung sprechen, weil dasjenige, was aus der Vergangenheit verwendet wird, die Farben und dergleichen gegenüber dem, was zustande kommt, nun nicht mehr die Bedeutung hat wie etwa der Rohprodukteeinkauf bei der materiellen Fabrikation.

En passant là (voir dessin), nous entrons dans le domaine de la vie pleinement libre de l’esprit et trouvons dans ce domaine de la vie libre de l’esprit avant tout l'enseignement et l'éducation. Ces humains qui ont à fournir l’enseignement et l’éducation, ils se tiennent en cela en fait dans la vie pleinement libre de l’esprit. Pour la poursuite purement matérielle du processus d’économie de peuple, - Tableau 5 – ces libres travailleurs de l’esprit en particulier sont, vis-à-vis du passé, absolument des consommateurs, des consommateurs absolus seulement. Maintenant, vous pouvez dire : ils produisent donc quelque chose et reçoivent pour ce qu'ils ont produit – quand ils sont peintres, par exemple. - Donc, apparemment, le même processus économique se joue comme lorsque je fabrique et vends la table. Et c'est quand même un essentiellement différent dès lors que nous ne voyons pas sur l'achat et la vente de l'humain particulier, mais commençons à penser selon l’économie de peuple et à orienter notre attention sur l'ensemble de l'organisme d’économie de peuple - et cela nous le devons aujourd'hui avec la division du travail ayant avancée si loin.

10

Wir kommen, indem wir da (siehe Zeichnung) herübergehen, in das Gebiet des vollständig freien Geisteslebens hinein und finden auf diesem Gebiet des freien Geisteslebens vor allen Dingen den Unterricht und die Erziehung. Diejenigen Menschen, die den Unterricht und die Erziehung zu leisten haben, die stehen eigentlich im völlig freien Geistesleben darin. Für den rein materiellen Fortgang des volkswirtschaftlichen ‑Tafel 5 Prozesses sind insbesondere diese freien Geistesarbeiter der Vergangenheit gegenüber durchaus Konsumenten, absolut Konsumenten nur.

Nun, Sie können sagen: Sie produzieren ja etwas und bekommen für das, was sie produziert haben — wenn sie zum Beispiel Maler sind —, sogar etwas bezahlt. — Also es spielt sich scheinbar derselbe volkswirtschaftliche Prozeß ab, wie wenn ich den Tisch fabriziere und verkaufe. Und doch ist es ein wesentlich anderer, sobald wir nicht auf den Kauf und Verkauf des einzelnen Menschen sehen, sondern beginnen, volkswirtschaftlich zu denken und auf den ganzen volkswirtschaftlichen Organismus unser Augenmerk zu lenken — und das müssen wir heute bei der so weit vorgeschrittenen Arbeitsteilung.

Mais en dehors de ça, à l’intérieur d'un organisme social, sont encore présents de purs consommateurs d'un type différent. Ce sont les jeunes gens, les enfants et les personnes âgées. Ceux-ci sont de purs consommateurs jusqu'à un certain âge. Et ceux qui se sont laissé pensionner ou sont devenus pensionnés, ils sont à nouveau de purs consommateurs.

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Außerdem aber sind innerhalb eines sozialen Organismus reine Konsumenten anderer Art noch da. Das sind die jungen Leute, die Kinder, und die alten Leute. Jene sind bis zu einer gewissen Altersstufe zunächst reine Konsumenten. Und diejenigen, die sich haben pensionieren lassen oder pensioniert worden sind, die sind wiederum reine Konsumenten.

Vous avez seulement besoin d'une petite réflexion, vous vous direz très vite : sans que de purs consommateurs soit là dans le processus économique qui ne sont pas des producteurs, cela ne va pas du tout de l’avant, car si tous produisaient, tout ce qui est produit ne pourrait aussi être consommé si le processus d’économie de peuple devait absolument se poursuivre - ainsi du moins comme c'est une fois dans la vie humaine. Et la vie humaine n'est donc pas purement une économie de peuple, mais doit être à prendre comme un tout. Ainsi le progrès du processus d’économie de peuple est donc seulement possible quand nous avons de purs consommateurs en lui.

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Sie brauchen nur eine geringe Überlegung, so werden Sie sich sehr bald sagen: Ohne daß im volkswirtschaftlichen Prozeß reine Konsumenten da sind, die keine Produzenten sind, geht es gar nicht vorwärts, denn wenn alle produzieren würden, könnte nicht alles, was produziert wird, auch konsumiert werden, wenn der volkswirtschaftliche Prozeß überhaupt weitergehen soll — so wenigstens, wie es nun einmal im Menschenleben ist. Und das Menschenleben ist ja nicht bloß Volkswirtschaft, sondern ist als Ganzes zu nehmen. So ist der Fortschritt des volkswirtschaftlichen Prozesses nur möglich, wenn wir in ihm reine Konsumenten haben.

Maintenant que nous avons de purs consommateurs dans le processus d’économie de peuple, je dois vous éclairer cela d'un tout autre côté.

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Nun, daß wir im volkswirtschaftlichen Prozeß reine Konsumenten haben, das muß ich Ihnen jetzt von einer ganz anderen Seite aus beleuchten.

Nous pouvons équiper ce cercle ici (voir Figure 4), qui peut être très instructif Tableau 5, avec toutes les caractéristiques possibles, et sera toujours la question comment nous apportons les processus particuliers d’économie de peuple, les faits d’économie de peuple dans ce cercle, qui est pour nous le cours circulaire du processus d'économie de peuple. – Là, il y a un fait qui se joue immédiatement sur le marché lors de la vente et de l'achat, lorsque je paie aussitôt ce que j'obtiens. Il ne s'agit pas une fois que je le paie immédiatement avec de l'argent, je peux aussi encore le payer, s'il s'agit d'un troc/commerce d'échange, avec les marchandises correspondantes que la personne concernée veut accepter. Il s’agit de ce que je paie d'abord aussitôt, c'est-à-dire que je paie absolument. Et maintenant, il nous avons de nouveau besoin, à cet endroit (voir dessin 4) de passer de la vision triviale habituelle à la vision d’économie de peuple. Dans l'économie de peuple notamment, les concepts individuels/particuliers jouent constamment les uns dans les autres, et le phénomène global, le fait global, résulte de l'interaction des facteurs les plus différents. Vous pouvez dire : il serait donc aussi pensable que par une certaine mesure/disposition absolument personne ne paierait aussitôt - alors il n'y aurait pas le payer-comptant aussitôt. Donc on paierait toujours en premier après, disons, un mois ou après un quelque temps. Oui, il s'agit seulement qu’on est alors dans une formation de concept complètement erroné quand on dit : aujourd'hui quelqu'un me transfère un costume et je le paie après un mois. Au bout d'un mois, je ne paie plus ce costume seul, mais je paie alors à ce moment quelque chose de tout autre : je paie ce qui, sous circonstances par une augmentation ou d'une diminution des prix est autre chose, je paie un idéel à cela/en plus (ndt ?) de cela. Donc le concept de payer-a-tempo, il doit absolument être là, et il est là, et il est là avec le simple achat. Et quelque chose devient une marchandise du marché par ce que je la paie aussitôt. C'est ainsi pour l’essentiel avec ces marchandises qui sont de la nature transformées. Là je paie, et là le payer joue le rôle essentiel. Ce paiement doit être absolument ; car payer je le fais alors quand j'ouvre ma bourse et que je donne de l'argent, et la valeur est déterminée au moment où j’abandonne l'argent ou échange ma marchandise contre un autre. Là sera payé. Cela est une chose que devra être payé dans le processus d’économie de peuple.

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 Wir können diesen Kreis hier (siehe Zeichnung 4), der sehr lehrreich Tafel 5 sein kann, mit allen möglichen Eigenschaften ausstaffieren, und es wird immer die Frage sein, wie wir die einzelnen volkswirtschaftlichen Vorgänge, volkswirtschaftlichen Tatsachen in diesen Kreis, der uns eben der Kreisgang des volkswirtschaftlichen Prozesses ist, hineinbringen. — Da gibt es eine Tatsache, die spielt sich ab unmittelbar auf dem Markt bei Verkauf und Kauf, wenn ich dasjenige, was ich bekomme, gleich bezahle. Es kommt nicht einmal darauf an, daß ich es gleich mit Geld bezahle, ich kann es auch noch, wenn es Tauschhandel ist, mit der entsprechenden Ware bezahlen, die der Betreffende annehmen will. Es kommt darauf an, daß ich zunächst gleich bezahle, das heißt überhaupt zahle. Und jetzt haben wir wieder nötig, an dieser Stelle (siehe Zeichnung 4) von der gewöhnlichen trivialen Betrachtung zur volkswirtschaftlichen Betrachtung überzugehen. Es spielen nämlich in der Volkswirtschaft die einzelnen Begriffe fortwährend ineinander, und die Gesamterscheinung, die Gesamttatsache, ergibt sich aus dem Zusammenspiel der verschiedensten Faktoren. Sie können sagen: Es wäre ja auch denkbar, daß durch irgendeine Maßregel überhaupt niemand gleich bezahlen würde — dann gäbe es das Gleichzahlen nicht. Man würde also immer erst, sagen wir, nach einem Monat zahlen oder nach irgendeiner Zeit. Ja, es handelt sich nur darum, daß man dann in einer ganz falschen Begriffsbildung drinnen ist, wenn man sagt: Heute übergibt mir jemand einen Anzug und ich bezahle ihn nach einem Monat. Ich bezahle eben nach einem Monat nicht mehr diesen Anzug allein, sondern ich bezahle dann in diesem Moment etwas anderes : ich bezahle dasjenige, was unter Umständen durch eine Steigerung oder Erniedrigung der Preise etwas anderes ist, ich bezahle ein Ideelles dazu. Also der Begriff des A-tempo-Zahlens, der muß durchaus da sein, und der ist beim einfachen Kauf da. Und etwas wird eine Ware des Marktes dadurch, daß ich es gleich bezahle. So ist es im wesentlichen mit denjenigen Waren, die bearbeitete Natur sind. Da zahle ich, da spielt das Zahlen die wesentliche Rolle. Dieses Zahlen muß durchaus sein; denn zahlen tue ich dann, wenn ich meine Börse aufmache und Geld weggebe, und der Wert wird bestimmt in dem Moment, wo ich das Geld weggebe oder meine Ware gegen eine andere austausche. Da wird bezahlt. Dieses ist das eine, daß im volkswirtschaftlichen Prozeß gezahlt werden muß.

La deuxième chose est ce sur quoi j'ai déjà rendu attentif hier, qui joue un rôle similaire à celui du payer. C'est le prêter. Comme je l'ai dit, là le payer en tant que tel, n’effleure pas ; le prêter est à nouveau un fait complètement autre, qui est quand même là. Quand j'obtiens de l'argent prêté/emprunté, je peux appliquer mon esprit sur/à ce capital prêté/emprunté. Je deviens débiteur, mais je deviens producteur. Là le prêter joue un véritable rôle d’économie de peuple. Il doit être possible, si je suis spirituellement capable/doté, de faire ceci ou cela, d'obtenir du capital de prêt, peu importe d'où; mais je dois l'obtenir, il doit simplement y avoir du capital de prêt. Au payer doit donc venir le prêter (voir dessin 4). Et avec cela nous avons deux facteurs très importants dedans le processus d’économie de peuple : le payer et le prêter.

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Das Zweite ist das, worauf ich gestern schon aufmerksam gemacht habe, was eine ähnliche Rolle spielt wie das Zahlen. Das ist das Leihen. Das tangiert, wie gesagt, das Zahlen als solches nicht; das Leihen ist wiederum eine ganz andere Tatsache, die doch da ist. Wenn ich Geld geliehen bekomme, kann ich meinen Geist anwenden auf dieses geliehene Kapital. Ich werde zum Schuldner; aber ich werde zum Produzenten. Da spielt das Leihen eine wirklich volkswirtschaftliche Rolle. Es muß möglich sein, daß ich, wenn ich geistig befähigt bin, dieses oder jenes zu tun, Leihkapital bekomme, ganz gleichgültig woher; aber ich muß es bekommen, es muß einfach Leihkapital geben. Es muß also zum Zahlen das Leihen kommen (siehe Zeichnung 4). Und damit haben wir zwei ganz wichtige Faktoren im volkswirtschaftlichen Prozeß darinnen : das Zahlen und das Leihen.

Et maintenant nous pouvons vraiment trouver le troisième par une simple déduction - nous devons seulement le vérifier là (voir dessin 4)- trouver le troisième. Tableau 5. Vous ne serez à aucun moment dans le doute quant à ce qu’est ce troisième. Payer, prêter, - et le troisième est donner. Payer, prêter, donner : c’est en fait une trinité de concepts qui appartiennent dedans une saine économie de peuple. On a une certaine réticence de compter le don au processus d’économie de peuple ; mais quand il n’y a pas le donner quelque part, le processus d’économie de peuple ne peut pas continuer. Alors, pensez une fois ce que nous devrions faire des enfants si nous ne leur donnions pas. Nous donnons continuellement aux enfants et, pensé dedans le processus d’économie de peuple, le donner est justement alors quand nous le considérons complètement, quand nous le considérons comme un processus continu. Ainsi le transfert de valeurs, que signifie une donation, sera envisagé avec une grande injustice comme une quelque chose qui n'est pas admissible/toléré/autorisé dans le processus d’économie de peuple. Vous trouvez à cause de cela - à l'horreur de très nombreuses personnes - dans mes "Points centraux de la question sociale" cette catégorie tout de suite développée où les valeurs, par exemple les moyens de production, passent, pris fondamentalement par un processus qui est identique au donner, à celui qui est capable de continuer à les administrer. Que la donation ne sera pas faite d'une manière confuse pour cela doit être justement veillé ; mais dans le sens d’économie de peuple, c'est une donation. Ces donations sont absolument nécessaires.

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Und jetzt können wir wirklich durch eine einfache Deduktion — wir müssen sie nur da (siehe Zeichnung 4) verifizieren — das Dritte finden. Tafel 5 Sie werden in keinem Moment im Zweifel sein, was dieses Dritte ist. Zahlen, Leihen — und das Dritte ist Schenken. Zahlen, Leihen, Schenken : Das ist tatsächlich eine Trinität von Begriffen, die in eine gesunde Volkswirtschaft hineingehört. Man hat eine gewisse Abneigung, das Schenken zum volkswirtschaftlichen Prozeß zu rechnen; aber, wenn es das Schenken irgendwo nicht gibt, so kann überhaupt der volkswirtschaftliche Prozeß nicht weitergehen. Denn denken Sie sich doch einmal, was wir machen sollten aus den Kindern, wenn wir ihnen nichts schenken würden. Wir schenken fortwährend an die Kinder und, im volkswirtschaftlichen Prozeß darinnen gedacht, ist eben dann das Schenken da, wenn wir ihn vollständig betrachten, wenn wir ihn als einen fortlaufenden Prozeß betrachten. So daß der Übergang von Werten, die eine Schenkung bedeuten, eigentlich sehr mit Unrecht angesehen wird als irgend etwas, was nicht zulässig ist im volkswirtschaftlichen Prozeß. Sie finden daher — zum Horror sehr vieler Leute — in meinen «Kernpunkten der sozialen Frage» gerade diese Kategorie ausgebildet, wo die Werte übergehen, zum Beispiel die Produktionsmittel übergehen, im Grunde genommen durch einen Prozeß, der mit dem Schenken identisch ist, auf den, der dazu befähigt ist, sie weiter zu verwalten. Daß die Schenkung nicht in konfuser Weise gemacht wird, dafür muß eben vorgesorgt werden; aber im volkswirtschaftlichen Sinn ist das eine Schenkung. Diese Schenkungen sind durchaus notwendig.

Mais pensez maintenant une fois ceci, que vous trouverez toujours plus comme une nécessité d’économie de peuple, que la trinité de payer, prêter et donner est dedans le processus d’économie de peuple, alors vous vous direz justement : oui, elle doit être dedans dans chaque processus d’économie de peuple - sinon il ne pourrait pas être du tout, sinon il se conduirait partout dans l'absurdité - elle doit être dedans dans chaque processus d’économie de peuple.

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Aber denken Sie sich jetzt einmal dieses, was Sie immer mehr finden werden als eine volkswirtschaftliche Notwendigkeit, daß die Trinität von Zahlen, Leihen und Schenken drinnen ist im volkswirtschaftlichen Prozeß, dann werden Sie sich eben sagen : Ja, sie muß in jedem volkswirtschaftlichen Prozeß — sonst könnte er gar keiner sein, sonst würde er sich überall ins•Absurde hineinführen —, sie muß in jedem volkswirtschaftlichen Prozeß drinnen sein.

On peut la combattre temporairement, mais les connaissances d’économie de peuple ne sont aucunement de très grandes aujourd'hui, et tout de suite ceux qui veulent enseigner la science d'économie de peuple, ils devraient être très clairs sur ce que les connaissances d’économie de peuple ne sont pas très grandes aujourd'hui, qu’avant toutes choses on n’est pas très enclins à entrer dans les véritables pendants d’économie de peuple. J’aimerais dire que c’est donc à prendre en main. À prendre en main si fort que quand vous lisez aujourd'hui les « Basler Nachrichten », on y trouve curieusement aujourd'hui une considération sur la manière dont ni les gouvernements ni les privés sont aujourd'hui enclins à développer une pensée d’économie de peuple. Je ne crois donc pas que des choses qui ne sont pas à prendre en main aujourd'hui soient juste tout de suite discutées dans les Basler Nachrichten ! C’est déjà à prendre en main. Et il c’est malgré tout intéressant, que sera discuté de cette manière ; l'article est intéressant parce qu'il commence une fois à mettre en lumière l'impuissance absolue d’économie de peuple; et aussi parce qu'il dit : " Cela doit maintenant devenir autrement, les gouvernements et le secteur privé/les privés doivent maintenant enfin commencer à penser autrement. - Mais il conclut aussi là-dessus. Naturellement, ce n'est pas dans les "Basler Nachrichten" qu’est à trouver la manière dont ils devraient penser autrement. C'est, naturellement, aussi très intéressant.

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Man kann sie zeitweilig bekämpfen; aber die volkswirtschaftlichen Kenntnisse sind heute keine sehr großen, und gerade diejenigen, die Volkswirtschaftswissenschaft lehren wollen, die müßten sich eigentlich ganz klar darüber sein, daß die volkswirtschaftlichen Kenntnisse heute keine sehr großen sind, daß man vor allen Dingen nicht sehr geneigt ist, in die wirklichen volkswirtschaftlichen Zusammenhänge hineinzugehen. Es ist ja mit Händen zu greifen, möchte ich sagen. So stark mit Händen zu greifen, daß Sie, wenn Sie heute die «Basler Nachrichten» lesen, kurioserweise heute in ihnen eine Betrachtung darüber angestellt finden, wie weder bei Regierungen noch bei Privaten heute die Neigung vorhanden ist, volkswirtschaftliches Denken zu entwickeln. Ich glaube ja nicht, daß Dinge, die nicht heute mit Händen zu greifen sind, just gerade in den «Basler Nachrichten» erörtert werden! Es ist schon mit Händen zu greifen. Und es ist immerhin interessant, daß das in dieser Weise besprochen wird; der Artikel ist interessant durch dieses, daß er einmal auf die absolute volkswirtschaftliche Impotenz ein grelles Licht zu werfen beginnt; und auch dadurch, daß er sagt : Das muß nun anders werden, die Regierungen und die Privaten müssen anfangen, nun endlich anders zu denken. — Damit schließt er aber auch. Wie sie anders denken sollen, darüber ist natürlich nichts zu finden in den «Basler Nachrichten ». Das ist natürlich auch sehr interessant.

 Maintenant, on peut intervenir en gênant dans le processus d’économie de peuple, quand on n'amène justement pas cette trinité de la manière correcte, que l'un n’amène pas avec l'autre dans un rapport. Il y a beaucoup de gens aujourd'hui qui sont particulièrement enthousiastes pour ce qu’aussi les héritages, qui sont aussi des donations, devront être fortement taxés. Oui, cela ne signifie pas quelque chose de significatif selon l’économie de peuple ; car on ne dévalorise pas l'héritage quand, disons, il a une valeur = W W, et qu’on partage cette valeur Tableau 5 = W en deux parties, W 1 et W 2, et donne cette W 2 à quelqu'un d'autre et laisse seulement le W 1 à l’un, alors les deux gèrent économiquement ensemble avec cette valeur W. Et il s’agit si celui qui a la W 2 se débrouillera aussi bien que celui qui aurait pu recevoir ensemble la W 1 et la W 2. N'est-ce pas, chacun peut décider ce qui suit selon son propre goût : si maintenant un individu intelligent, quand il reçoit l'héritage total, gèrera mieux économiquement, ou si celui qui reçoit seulement une partie de l'héritage total et l'état l'autre partie, et qui doit donc gérer économiquement avec l'état, fera mieux de l’économie.

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Nun, man kann störend eingreifen in den volkswirtschaftlichen Prozeß, wenn man diese Trinität eben nicht in der richtigen Weise, das eine mit dem anderen in ein Verhältnis bringt. Es gibt heute viele Leute, die enthusiasmieren sich ganz besonders dafür, daß zum Beispiel Erbschaften, die auch Schenkungen sind, daß diese hoch besteuert werden müssen. Ja, das bedeutet ja nicht irgend etwas volkswirtschaftlich Bedeutsames; denn man entwertet die Erbschaft eigentlich nicht, wenn, sagen wir, sie einen Wert =W W hat, und man teilt diesen Wert Tafel 5 =W in zwei Teile, W 1 und W 2, und gibt dieses W 2 an jemand anderen ab und läßt dem einen nur das W 1, dann wirtschaften halt mit diesem Wert W die beiden zusammen. Und es handelt sich darum, ob derjenige, der das W 2 hat, ebenso günstig wirtschaften wird wie derjenige, der eventuell W 1 und W 2 zusammen bekommen hätte. Nicht wahr, es kann jeder selber nach seinem Geschmack das Folgende entscheiden : Ob nun ein gescheiter Einzelner, wenn er die Gesamterbschaft bekommt, besser wirtschaftet, oder ob besser wirtschaftet derjenige, der nur einen Teil der Gesamterbschaft bekommt und den anderen Teil der Staat, und der also mit dem Staat zusammen wirtschaften muß.

Ce sont ces choses qui, de manière décisive, éloignent de la pensée purement d’économie de peuple, car c’est une pensée du ressentiment, une pensée à partir du sentiment. On envie justement les riches héritiers. Cela aimerait donc être justifié ; mais on ne peut parler de telles choses seul, quand on veut penser selon l’économie de peuple. Il s’agit de ce qui doit être pensé au sens d’économie de peuple, car d’après cela doit en premier s’orienter ce qui sinon a à intervenir/surgir. Ainsi, vous pouvez naturellement vous penser un organisme social qui tombe malade à cause de la façon inorganique dont le payer interagit avec le prêter et le donner, en ce qu’on intervient contre l'un ou l'autre ou favorise l'un et l'autre. N’importe comment, travailler ensemble, ils le font quand même. Car si vous supprimez seulement le donner d'un côté, ainsi vous ne faites que le déplacer. Et ce qui est décisif n’est pas la question si on devait déplacer, mais si le déplacement est toujours favorable ; car la succession concerne l'héritier individuel seul ou ensemble avec l'État, c'est une question qui devra d'abord être décidée selon l’économie de peuple. Si l'un ou l'autre est le plus favorable, c’est de cela qu’il s’agit.

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Das sind die Dinge, die ganz entschieden abführen von dem rein volkswirtschaftlichen Denken; denn es ist ein Denken des Ressentiments, ein Denken aus dem Gefühl heraus. Man beneidet eben die reichen Erben. Das mag ja begründet sein; aber von solchen Dingen allein kann man nicht reden, wenn man volkswirtschaftlich denken will. Darauf kommt es an, was im volkswirtschaftlichen Sinn gedacht werden muß; denn danach muß sich erst richten, was sonst einzutreten hat. So können Sie sich natürlich einen sozialen Organismus denken, der dadurch krank wird, daß in unorganischer Weise das Zahlen mit dem Leihen und dem Schenken zusammenwirkt, indem man gegen das eine oder andere auftritt oder das eine und das andere fördert. Irgendwie zusammenwirken tun sie doch. Denn schaffen Sie nur das Schenken auf der einen Seite ab, so lagern Sie es nämlich nur um. Und entscheidend ist nicht die Frage, ob man umlagern soll, sondern ob das Umlagern immer günstig ist; denn ob die Erbschaft der einzelne individuelle Erbe allein antritt oder mit dem Staat zusammen, das ist eine Frage, die erst volkswirtschaftlich entschieden werden muß. Ob das eine oder das andere günstiger ist, das ist es, worauf es ankommt.

Mais maintenant, le plus important est que nous sommes confrontés à ce que la vie libre de l’esprit apparait avec une certaine nécessité à partir de l'entrée de l'esprit absolument dans la vie de l’économie. Et cette vie libre de l’esprit - je l'ai dit auparavant – elle conduit à ce que soient de purs consommateurs pour le passé. Mais comment cela se tient-il alors avec cette vie libre de l’esprit en rapport à l'avenir ? Là c’est notamment dans un certain sens, indirectement productif, mais extraordinairement productif. Si vous vous pensez notamment cette vie libre de l’esprit comme vraiment libérée dans l'organisme social, ainsi qu'en fait toujours les facultés peuvent se développer pleinement, alors cette vie libre de l’esprit sera dans la situation de pouvoir exercer une influence extraordinairement féconde sur la vie spirituelle semi-libre, sur cette vie de l’esprit qui entre dans la création matérielle. Et là, quand nous regardons cela, la chose commence à recevoir un côté absolument d’économie de peuple.

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Nun aber, das Wichtige ist nämlich dieses, daß wir vor der Tatsache stehen, daß ja das freie Geistesleben mit einer gewissen Notwendigkeit herausentsteht aus dem Eintritt des Geistes überhaupt in das Wirtschaftsleben. Und dieses freie Geistesleben — ich habe es vorhin gesagt —, es führt dazu, daß reine Konsumenten da sind für die Vergangenheit. Aber wie steht es denn mit diesem freien Geistesleben mit Bezug auf die Zukunft? Da ist es nämlich in einem gewissen Sinn mittelbar produktiv, aber außerordentlich produktiv. Wenn Sie sich nämlich dieses freie Geistesleben auch wirklich befreit denken im sozialen Organismus, so daß tatsächlich immer die Fähigkeiten sich voll entwickeln können, dann wird gerade dieses freie Geistesleben in der Lage sein, einen außerordentlich befruchtenden Einfluß auszuüben auf das halbfreie Geistesleben, auf dasjenige Geistesleben, das in das materielle Schaffen hineingeht. Und da, wenn wir das betrachten, beginnt die Sache eine durchaus volkswirtschaftliche Seite zu bekommen.

Qui peut regarder la vie sans préjugés, il se dira : ce n'est absolument pas indifférent que, si quelque part dans un domaine, tous ceux qui sont actifs dans la vie libre de l’esprit soient maintenant exterminés - peut-être parce qu'ils ne peuvent plus rien recevoir à consommer et que l’on reconnaît seulement le droit d’être là à ceux qui interviennent dans le processus matériel - ou qu’à l’intérieur de l'organisme social, des humains de l’esprit vraiment libres puissent exister. Car ces libres humains de l’esprit ont notamment la particularité de décoller/faire décoller le "gritzi", la spiritualité, chez les autres, afin qu’ils rendent leur pensée plus agile, et que par cela les autres parviennent mieux à intervenir dans les processus matériels. Il s’agit seulement de ce que ce soient des êtres humains. Vous n’avez pas à cause de cela la permission de vouloir réfuter quelque peu ce que j’aimerais dire maintenant en ce que vous référez à l'Italie et dites : en Italie il y a vraiment beaucoup de vie libre de l’esprit, mais les processus d’économie de peuple qui sortent de l'esprit n'ont pas été particulièrement stimulés. - Oui, c'est la vie libre de l’esprit, mais la vie libre de l’esprit qui vient du passé. Ce sont des monuments, des musées, et ainsi de suite. Mais ça ne le fait pas. Ce qui le fait c’est ce qui est vivant. Et c'est ce qui sort du libre humain de l'esprit sur les autres produisant spirituellement. C'est ce qui œuvre dans l'avenir comme un producteur/produisant d’économie de peuple. On peut donc dire : la pleine possibilité est donnée d'œuvrer assainissant sur le processus d’économie de peuple, en ce que leur champ sera donné aux libres travailleurs de l’esprit, que libre champ sera donné.

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Wer das Leben unbefangen betrachten kann, der wird sich sagen: Es ist durchaus nicht gleichgültig, ob irgendwo auf einem Gebiet alle diejenigen, die sich im freien Geistesleben betätigen, nun ausgerottet sind — vielleicht dadurch, daß sie nichts mehr zum Konsumieren erhalten können und man das Recht, da zu sein, nur denjenigen zuspricht, die in den materiellen Prozeß eingreifen —, oder ob innerhalb des sozialen Organismus wirklich freie Geistesmenschen existieren können. Diese freien Geistesmenschen haben nämlich die Eigenschaft, daß sie den «Gritzi », die Geistigkeit, bei den anderen loslösen, daß sie ihr Denken beweglicher machen, und daß dadurch die anderen besser in die materiellen Prozesse einzugreifen vermögen. Nur handelt es sich darum, daß es Menschen sind. Sie dürfen daher nicht etwi dasjenige, was ich jetzt sagen möchte, widerlegen wollen dadurch, daß Sie auf Italien hinweisen und sagen : In Italien ist ja wirklich sehr viel von freiem Geistesleben, aber die volkswirtschaftlichen Prozesse, die aus dem Geist herausgehen, wurden dadurch doch nicht in besonderer Weise angeregt. — Ja, es ist freies Geistesleben, aber freies Geistesleben, das aus der Vergangenheit stammt. Es sind Denkmäler, Museen und so weiter. Die machen es aber nicht aus. Ausgemacht wird es durch das, was lebendig ist. Und das ist dasjenige, was vom freien Geistesmenschen ausgeht auf die anderen geistig Produzierenden. Das ist dasjenige, was in die Zukunft hinein als ein auch volkswirtschaftlich Produzierendes wirkt. Man kann also sagen: Es ist völlig die Möglichkeit gegeben, auf den volkswirtschaftlichen Prozeß gesundend einzuwirken, indem den freien Geistesarbeitern ihr Feld gegeben wird, das Feld freigegeben wird.

Pensez-vous maintenant que vous avez une vie associative saine dans une communauté sociale. Il s’agit donc dans cette vie associative saine qu’on ordonne le processus de production de telle sorte que si trop de personnes travaillent quelque part dans un domaine, qu’on les transfère à autre chose. Il s’agit de cette négociation animée avec les humains, de cette émergence/ce laisser provenir de l'ordre social tout entier à partir des idées des associations. Et quand un jour ces associations commencent à comprendre quelque chose sur l'influence de la vie libre de l'esprit sur le processus d'économie de peuple. Alors on peut leur remettre un bon moyen - et c'est déjà indiqué dans mes "Points clés de la question sociale" – un bon moyen de réguler le cycle économique. Elles trouveront notamment, ces associations, que lorsque le travail libre de l’esprit diminue/se retire, qu'alors trop peu sera donné, et elles reconnaîtront le pendant de ce que trop peu est donné. Elles reconnaîtront le pendant entre le pas-assez-donner et le manque de libre travail de l’esprit. Quand trop peu de libre travail de l’esprit est là, elles remarqueront que trop peu sera donné. Elles remarqueront que le libre travail de l’esprit recule quand sera trop peu donné.

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Nun denken Sie sich, Sie haben ein gesundes assoziatives Leben in einer sozialen Gemeinschaft. Es kommt ja bei diesem gesunden assoziativen Leben darauf an, daß man den Produktionsprozeß so ordnet, daß, wenn irgendwo auf einem Gebiet zu viele arbeiten, daß man sie auf etwas anderes hinüberleitet. Auf dieses lebendige Verhandeln mit den Menschen kommt es an, auf dieses Hervorgehenlassen der ganzen sozialen Ordnung aus den Einsichten der Assoziationen. Und wenn diese Assoziationen eines Tages anfangen, etwas zu verstehen von dem Einfluß des freien Geisteslebens auf den volkswirtschaftlichen Prozeß, dann kann man ihnen ein gutes Mittel übergeben — und darauf ist auch schon gedeutet in meinen «Kernpunkten der sozialen Frage» —, ein gutes Mittel, den Wirtschaftskreislauf zu regulieren. Sie werden nämlich finden, diese Assoziationen, daß wenn die freie Geistesarbeit zurückgeht, daß dann zuwenig geschenkt wird, und sie werden daraus, daß zuwenig geschenkt wird, den Zusammenhang erkennen. Sie werden den Zusammenhang zwischen dem Zuwenig- Schenken und dem Mangel an freier Geistesarbeit erkennen. Wenn zuwenig freie Geistesarbeit da ist, werden sie merken, daß zuwenig geschenkt wird. Sie werden merken, daß die freie Geistesarbeit zurückgeht, wenn zuwenig geschenkt wird.

Il existe maintenant la plus grande possibilité d'augmenter le taux d'intérêt pour la possession de la nature à près de 100 % par ce qu’on donne le plus possible de la possession de la nature en donation libre au producteur spirituel. Là, vous avez la possibilité d’amener la question du sol en pendant immédiat avec celui, qui maintenant œuvre le plus dans le futur, cela signifie : le capital qui voudra être investi, qui a donc tendance à marcher dans les hypothèques, à celui-là on doit créé l’écoulement dans des institutions spirituelles libres. C'est ainsi que cela se comporte pratiquement. Laissez les associations s'assurer/veiller à ce que l'argent qui tend à entrer dans les hypothèques trouve le chemin dans des institutions spirituelles libres ! Là vous avez le pendant de la vie associative avec la vie générale. Vous en voyez que quand l'on tente seulement de pénétrer dans les réalités de la vie d’économie de peuple, se lève en premier en réalité ce qui est à faire là, ce qui est à faire avec l'un ou l'autre. Je ne veux pas du tout dire de façon agitatrice que ceci ou cela devrait se produire, mais je veux simplement indiquer sur ce qui est. Et c’est le cas que nous obtenons ce que nous ne pouvons jamais atteindre par de simples mesures légales, à savoir garder le capital excédentaire hors de la nature, par le système associatif, en dérivant le capital dans des instituts spirituels libres. Je dis seulement : quand l'un est le cas, ainsi l'autre est le cas. - La science donne donc les conditions sous lesquelles les choses sont pendantes.

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Es gibt nun die größte Möglichkeit, den Zinsfuß für den Naturbesitz geradezu auf hundert Prozent hinaufzutreiben dadurch, daß man möglichst viel von dem Naturbesitz in freier Schenkung vermittelt den geistig Produzierenden. Da haben Sie die Möglichkeit, die Bodenfrage in unmittelbaren Zusammenhang zu bringen mit demjenigen, was nun am meisten in die Zukunft hineinwirkt, das heißt mit anderen Worten : Dem Kapital, das angelegt werden will, das also die Tendenz hat, in die Hypotheken hineinzumarschieren, dem muß man den Ablauf schaffen in freie geistige Institutionen hinein. So nimmt sich das praktisch aus. Lassen Sie die Assoziationen dafür sorgen, daß das Geld, das die Tendenz hat, in die Hypotheken hineinzugehen, den Weg in freie geistige Institutionen hinein findet! Da haben Sie den Zusammenhang des assoziativen Lebens mit dem allgemeinen Leben. Sie sehen daraus, daß einem, wenn man nur versucht, in die Realitäten des wirtschaftlichen Lebens hineinzudringen, erst in Wirklichkeit aufgeht, was da zu tun ist, was mit dem einen oder anderen zu machen ist. Ich will gar nicht agitatorisch sagen, das oder jenes soll geschehen, sondern ich will nur darauf hinweisen, was ist. Und es ist der Fall, daß wir dasjenige, was wir durch einfache Gesetzesmaßregeln nie erreichen können, nämlich das überschüssige Kapital abzuhalten von der Natur, erreichen durch das assoziative Wesen, indem wir das Kapital ableiten in freie geistige Institute. Ich sage nur : Wenn das eine der Fall ist, so ist das andere der Fall. — Die Wissenschaft gibt ja die Bedingungen an, unter denen die Dinge zusammenhängen.



Français seulement
01
Vous savez peut-être que dans mes "Points clés de la question sociale", j'ai essayé de déterminer en formule comment on peut venir à une représentation, disons, tout d'abord du prix correct dans le processus d'économie de peuple. Naturellement, avec une telle formule n'est donc donné rien de plus que d'abord une abstraction. Et dans cette abstraction, j'aimerais dire, intégrer, au moins à la manière d'une esquisse, l'ensemble de l'économie de peuple est donc justement notre tâche dans ces conférences, qui, je pense quand même, se concluront en un tout, même si le temps est court.
02
J'ai donc donné comme formule dans les "points clés de la question sociale" : un prix correct est alors disponible lorsque quelqu'un reçoit pour un produit qu'il a fabriqué autant en contrevaleur qu'il peut satisfaire ses besoins, la somme de ses besoins, qui comprennent naturellement les besoins de ceux qui lui appartiennent/qui vont avec lui, jusqu'à ce qu'il ait à nouveau fabriqué un même produit. Cette formule, aussi abstraite soit-elle, est néanmoins exhaustive. Il s'agit justement lors de la mise en place de formules, de ce qu'elles contiennent vraiment tous les détails concrets. Et je pense que cette formule est vraiment aussi exhaustive pour l'économie de peuple que, disons, le théorème de Pythagore est exhaustif pour tous les triangles à angle droit. Seulement il s'agit de ce que : justement ainsi qu'on doit y apporter la différence des côtés, ainsi on doit apporter infiniment plus dans cette formule. Mais la compréhension de comment on intègre l'ensemble du processus d'économie de peuple dans cette formule, c'est justement de la science d'économie de peuple.
03
Maintenant, j'aimerais tout de suite commencer aujourd'hui à partir d'un tout à fait essentiel dans cette formule. C'est que je ne fais pas référence dans cette formule à ce qui est passé, mais à ce qui en fait est à venir. Je dis explicitement : la contrevaleur doit satisfaire les besoins dans le futur jusqu'à ce que le producteur ait à nouveau fabriqué un même produit. C'est quelque chose de tout à fait essentiel dans cette formule. Si l'on exigeait une contre-valeur pour le produit qu'il a déjà fini, et que cette contre-valeur corresponds n'importe comment aux processus réels d'économie de peuple, ainsi il pourrait absolument se passer que le concerné reçoive une contre-valeur qui réponde à ses besoins, disons, satisfasse seulement cinq sixièmes du temps jusqu'à ce qu'il ait fabriqué un nouveau produit, car les processus d'économie de peuple changent du passé dans le futur. Et celui qui croit là, du passé seul, pouvoir faire une quelle constellation, il doit toujours atteindre le non correct dans ce qui est d'économie de peuple ; car l'activité/la gestion économique consiste en fait à mettre en œuvre les processus futurs avec ce qui est passé. Mais quand l'on utilise les processus passés pour mettre en œuvre les processus futurs, alors, dans certaines circonstances, les valeurs doivent glisser de manière significative, car elles glissent continuellement. C'est pourquoi il s'agit chez cette formule essentiellement que je dise : quand quelqu'un vend une paire de bottes, ainsi le temps où il les a fabriquées n'est absolument pas décisif selon l'économie de peuple, mais est décisif le temps dans lequel la prochaine paire de bottes sera fabriquée. C'est ce dont il s'agit dans cette formule, et c'est ce que nous devons maintenant comprendre dans un sens plus large à l'intérieur du processus d'économie de peuple.
04
Hier, nous avons donc mené le cours du cycle devant nos âmes (voir Figure 3) : Nature - Travail - Capital qui sera donc valorisé par l'Esprit tableau 4a. Je pourrais tout aussi bien écrire esprit ici au lieu du capital. Et nous avons d'abord suivi le processus d'économie de peuple dans cette direction - sens inverse des aiguilles d'une montre - et trouvé qu'ici, dans la nature, il ne peut y avoir de congestion/bouchon, mais qu'en fait là a seulement le droit de passer, ce qui à la possibilité de poursuivre le processus économique comme une sorte de semences, de sorte qu'une congestion d'économie de peuple n'apparaisse pas par une fixation du capital dans la rente foncière. Maintenant, je vous disais donc que pris au fond, dans le processus d'économie de peuple, le rendement/bénéfice de fond et sol lors de la vente, donc la valorisation de fond et sol, contredit les intérêts que l'on a dans la production de biens pleins de valeur. Celui qui veut produire des biens pleins de valeur avec l'aide du capital a un intérêt à ce que le taux d'intérêt soit bas, car il a alors moins à rembourser et peut par cela se mouvoir plus facilement avec ce qu'il reçoit comme capital de prêt. Mais celui qui est quelque peu possesseur - j'ai absolument la permission de discuter de ces choses parce qu'elles ont une signification dans notre économie de peuple -, celui qui a intérêt à rendre fond et sol plus cher, il le rend tout de suite plus cher parce que le taux d'intérêt en est plus bas. S'il a un faible taux d'intérêt à payer, ainsi la valeur de sa terre augmente, elle devient de toujours plus chère ; pendant que celui qui a à payer un faible taux d'intérêt lors de la production de biens pleins de valeur peut produire les biens moins chers/meilleur marché. Donc, des marchandises chez lesquelles il s'agit du processus de production deviennent bon marché lorsque le taux d'intérêt est bas : du foncier qui livre un bénéfice sans qu'on le produise au préalable devient plus cher lorsque le taux d'intérêt est plus bas. Vous pouvez simplement vous calculer cela. C'est un fait d'économie de peuple.
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Il s'agit maintenant de concevoir le taux d'intérêt de deux façons : on devrait donc avoir un taux d'intérêt le plus bas possible pour l'installation du travail, la production de biens-marchandise pleins de valeur, et on devrait avoir le taux d'intérêt le plus élevé possible pour ce qui est foncier. Cela en découle donc immédiatement. On devrait avoir un taux d'intérêt aussi élevé que possible pour ce qui est fond et sol. C'est quelque chose qui ainsi sans plus n'est pas facile à réaliser dans la pratique. Un taux d'intérêt quelque peu plus élevé, qui serait aussi déjà réalisable pour du capital de prêt qui serait donné sur fond et sol, n'aiderait pas extraordinairement beaucoup, et un taux d'intérêt beaucoup plus élevé - je veux dire, par exemple, le taux d'intérêt, qui maintiendrait simplement fond et sol à la même valeur comme taux d'intérêt, le taux d'intérêt de cent pour cent - il serait aussi pratiquement extraordinairement difficile à appliquer sans plus. 100 p. 100 de mise en gage de fond et sol améliorerait donc immédiatement la chose, mais, c'est justement, comme dit, pratiquement pas réalisable. Mais en de telles choses, il s'agit de regarder clairement et nettement dans le processus d'économie de peuple ; et là on remarque que déjà le système d'association est ce qui seul peut rendre sain le processus d'économie de peuple, parce que notamment le processus d'économie de peuple, lorsqu'il est considéré de manière correcte, conduit néanmoins à ce qu'on puisse aussi le diriger de manière correcte.
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Nous devons donc parler de production et de consommation dans le processus d'économie de peuple, comme je l'ai déjà évoqué hier. Nous devons donc voir le produire et le consommer. Maintenant, c'est donc un contraire qui a joué un rôle majeur, en particulier dans les discussions plus récentes, plus fréquentes, sur le domaine d'économie de peuple, qui sont alors aussi entrées dans l'agitation. On a notamment beaucoup disputé sur la question de savoir si le travail spirituel - simplement le travail spirituel en tant que tel - serait absolument générateur de valeur dans la sphère d'économie de peuple.
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Le travailleur spirituel est donc sûrement un consommateur. S'il est aussi, dans le sens comme on doit déjà l'envisager sur le domaine de science d'économie de peuple, un producteur, là dessus a donc été beaucoup discuté; et les marxistes les plus extrêmes, par exemple, ont donc toujours et toujours à nouveau cité le malheureux comptable indien qui doit tenir les livres pour sa paroisse/commune, qui donc ne cultive pas les champs ou ne fait pas un autre travail productif, mais enregistre seulement ce travail productif, et ils lui refusent maintenant la faculté de produire quoi que ce soit. Ainsi qu'ils constatent qu'il est simplement entretenu par la valeur ajoutée/plus-value que les producteurs élaborent. Ainsi que nous avons ce splendide comptable, comme il est toujours cité, comme nous avons aussi le Cajus dans la logique formelle dans les lycées, qui devrait toujours prouver la mortalité des humains. Comme vous le savez, tous les hommes sont mortels, Cajus est un homme, donc Cajus est mortel ! - Ce Cajus est devenu une personnalité logique immortelle en ayant constamment à prouver la mortalité de l'humain. C'est ainsi avec le comptable indien, qui sera seulement maintenu que par la valeur ajoutée/plus-value des producteurs ; c'est ainsi avec lui dans la littérature marxiste, où on le trouve pour ainsi dire, en culture pure.
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Maintenant, cette question, qui est extraordinairement, j’aimerais dire, pleine de toutes sortes de collets, dans lesquelles on se fait prendre quand on veut la traiter selon l’économie de peuple, cette question : dans quelle mesure est - ou est absolument - le travailler spirituellement, le travail spirituel, productif économiquement ? - Vous voyez, là il s’agit très fortement qu’on fasse la distinction entre le passé et l'avenir. Quand vous considérez purement le passé et réfléchissez purement statistiquement le passé, alors vous pourrez prouver que le travail spirituel, en référence au passé et à tout ce qui n'est qu'une continuation immédiate du passé, est pour cela en fait improductif. Du passé à l'avenir, seul le travail purement matériel peut être pensé comme productif dans le processus d’économie de peuple avec sa continuation. C'est tout à fait différent lorsqu'on considère l'avenir - et gérer économiquement signifie travailler à partir du passé dans l'avenir. Là vous avez seulement besoin de penser à l'exemple simple : disons qu'un quelque artisan fabrique quelque chose dans un village et qu'il tombe malade. Disons que, dans certaines circonstances, lorsqu'il s'adresse à un médecin maladroit, il devra rester au lit pendant trois semaines et ne pourra pas faire ses affaires. Là il va perturber considérablement le processus d’économie de peuple, car pendant une période de trois semaines, lorsque la personne concernée a fabriqué, disons, des chaussures, les chaussures ne seront pas amenées sur le marché - le marché compris au sens le plus large. Mais supposons, cependant, qu'il vienne un médecin très habile qui le guérit en huit jours, de sorte qu'il puisse travailler à nouveau après huit jours, alors vous pouvez décider de la question dans un sens sérieux : qui a alors fabriqué les chaussures pendant ces quatorze jours ? Le cordonnier ou le médecin ? En fait, c'est le médecin qui a fabriqué les chaussures. Et c'est très clair : dès que vous considérez l'avenir d'un point quelconque, vous ne pouvez plus dire que le spirituel n'est pas productif dans l'avenir. Par rapport au passé, le spirituel est, c'est-à-dire ces humains qui travaillent dans le spirituel, seulement consommateur/consommant ; en rapport à l'avenir, ils sont absolument producteurs/produisants, oui, les produisants. Qu'ils sont les plus produisants, aussi dans le sens qu'ils transforment l'ensemble du processus de production et en font un processus éminemment différent au sens de l’économie de peuple, vous le voyez, par exemple, disons, lorsqu’aujourd'hui des tunnels sont construits : ils ne peuvent être construits sans que le calcul différentiel ait été trouvé. Avec ce genre de travail Leibniz collabore aujourd'hui encore à tous les tunnels, et comment les prix se fixent là a essentiellement été décidé par cette mobilisation de forces spirituelles. Ainsi que vous ne pouvez jamais répondre aux choses de telle sorte que, d'un point de vue d’économie de peuple, vous considériez le passé au même titre que l'avenir. Mais la vie ne va pas vers le passé, ne continue pas non plus le passé, mais la vie va dans le futur.
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C’est pourquoi, aucune considération d’économie de peuple est une réelle qui ne compte pas avec ce qui est justement réalisé par le travail spirituel - quand nous voulons l'appeler ainsi - mais cela signifie pris au fond, réalisé par la pensée. Mais ce travail spirituel, il est maintenant vraiment très difficile à saisir ; car ce travail spirituel a des particularités très déterminées, qui au début se laissent extraordinairement difficilement saisir économiquement. Le travail spirituel, il commence déjà avec ce que le travail sera organisé, articulé par la pensée organisatrice. Mais il devient toujours plus indépendant. Quand vous saisissez ce travail spirituel chez celui qui est en charge d’une quelque entreprise se tenant dans la culture matérielle, alors il dépense une grande somme de travail spirituel, mais il travaille encore avec ce que le processus économique du passé lui livre. Mais il ne peut être évité, pour des intérêts purement pratiques, qu'à l'intérieur de l'activité spirituelle – ainsi que veut la nommer au lieu de travail – l’ouvrage spirituel, aussi l’ouvrage pleinement libre apparait. Déjà quand on invente le calcul différentiel, et même en premier quand on peint un tableau survient une activité spirituelle complètement libre. On peut au moins parler relativement d'activité spirituelle libre, parce que ce qui est utilisé depuis le/du passé, les couleurs et du genre, vis-à-vis de ce qui vient en l’état n'a maintenant pas plus la signification que quelque peu l'achat de matières premières lors de fabrications matérielles.
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En passant là (voir dessin), nous entrons dans le domaine de la vie pleinement libre de l’esprit et trouvons dans ce domaine de la vie libre de l’esprit avant tout l'enseignement et l'éducation. Ces humains qui ont à fournir l’enseignement et l’éducation, ils se tiennent en cela en fait dans la vie pleinement libre de l’esprit. Pour la poursuite purement matérielle du processus d’économie de peuple, - Tableau 5 – ces libres travailleurs de l’esprit en particulier sont, vis-à-vis du passé, absolument des consommateurs, des consommateurs absolus seulement. Maintenant, vous pouvez dire : ils produisent donc quelque chose et reçoivent pour ce qu'ils ont produit – quand ils sont peintres, par exemple. - Donc, apparemment, le même processus économique se joue comme lorsque je fabrique et vends la table. Et c'est quand même un essentiellement différent dès lors que nous ne voyons pas sur l'achat et la vente de l'humain particulier, mais commençons à penser selon l’économie de peuple et à orienter notre attention sur l'ensemble de l'organisme d’économie de peuple - et cela nous le devons aujourd'hui avec la division du travail ayant avancée si loin.
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Mais en dehors de ça, à l’intérieur d'un organisme social, sont encore présents de purs consommateurs d'un type différent. Ce sont les jeunes gens, les enfants et les personnes âgées. Ceux-ci sont de purs consommateurs jusqu'à un certain âge. Et ceux qui se sont laissé pensionner ou sont devenus pensionnés, ils sont à nouveau de purs consommateurs.
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Vous avez seulement besoin d'une petite réflexion, vous vous direz très vite : sans que de purs consommateurs soit là dans le processus économique qui ne sont pas des producteurs, cela ne va pas du tout de l’avant, car si tous produisaient, tout ce qui est produit ne pourrait aussi être consommé si le processus d’économie de peuple devait absolument se poursuivre - ainsi du moins comme c'est une fois dans la vie humaine. Et la vie humaine n'est donc pas purement une économie de peuple, mais doit être à prendre comme un tout. Ainsi le progrès du processus d’économie de peuple est donc seulement possible quand nous avons de purs consommateurs en lui.
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Maintenant que nous avons de purs consommateurs dans le processus d’économie de peuple, je dois vous éclairer cela d'un tout autre côté.
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Nous pouvons équiper ce cercle ici (voir Figure 4), qui peut être très instructif Tableau 5, avec toutes les caractéristiques possibles, et sera toujours la question comment nous apportons les processus particuliers d’économie de peuple, les faits d’économie de peuple dans ce cercle, qui est pour nous le cours circulaire du processus d'économie de peuple. – Là, il y a un fait qui se joue immédiatement sur le marché lors de la vente et de l'achat, lorsque je paie aussitôt ce que j'obtiens. Il ne s'agit pas une fois que je le paie immédiatement avec de l'argent, je peux aussi encore le payer, s'il s'agit d'un troc/commerce d'échange, avec les marchandises correspondantes que la personne concernée veut accepter. Il s’agit de ce que je paie d'abord aussitôt, c'est-à-dire que je paie absolument. Et maintenant, il nous avons de nouveau besoin, à cet endroit (voir dessin 4) de passer de la vision triviale habituelle à la vision d’économie de peuple. Dans l'économie de peuple notamment, les concepts individuels/particuliers jouent constamment les uns dans les autres, et le phénomène global, le fait global, résulte de l'interaction des facteurs les plus différents. Vous pouvez dire : il serait donc aussi pensable que par une certaine mesure/disposition absolument personne ne paierait aussitôt - alors il n'y aurait pas le payer-comptant aussitôt. Donc on paierait toujours en premier après, disons, un mois ou après un quelque temps. Oui, il s'agit seulement qu’on est alors dans une formation de concept complètement erroné quand on dit : aujourd'hui quelqu'un me transfère un costume et je le paie après un mois. Au bout d'un mois, je ne paie plus ce costume seul, mais je paie alors à ce moment quelque chose de tout autre : je paie ce qui, sous circonstances par une augmentation ou d'une diminution des prix est autre chose, je paie un idéel à cela/en plus (ndt ?) de cela. Donc le concept de payer-a-tempo, il doit absolument être là, et il est là, et il est là avec le simple achat. Et quelque chose devient une marchandise du marché par ce que je la paie aussitôt. C'est ainsi pour l’essentiel avec ces marchandises qui sont de la nature transformées. Là je paie, et là le payer joue le rôle essentiel. Ce paiement doit être absolument ; car payer je le fais alors quand j'ouvre ma bourse et que je donne de l'argent, et la valeur est déterminée au moment où j’abandonne l'argent ou échange ma marchandise contre un autre. Là sera payé. Cela est une chose que devra être payé dans le processus d’économie de peuple.
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La deuxième chose est ce sur quoi j'ai déjà rendu attentif hier, qui joue un rôle similaire à celui du payer. C'est le prêter. Comme je l'ai dit, là le payer en tant que tel, n’effleure pas ; le prêter est à nouveau un fait complètement autre, qui est quand même là. Quand j'obtiens de l'argent prêté/emprunté, je peux appliquer mon esprit sur/à ce capital prêté/emprunté. Je deviens débiteur, mais je deviens producteur. Là le prêter joue un véritable rôle d’économie de peuple. Il doit être possible, si je suis spirituellement capable/doté, de faire ceci ou cela, d'obtenir du capital de prêt, peu importe d'où; mais je dois l'obtenir, il doit simplement y avoir du capital de prêt. Au payer doit donc venir le prêter (voir dessin 4). Et avec cela nous avons deux facteurs très importants dedans le processus d’économie de peuple : le payer et le prêter.
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Et maintenant nous pouvons vraiment trouver le troisième par une simple déduction - nous devons seulement le vérifier là (voir dessin 4)- trouver le troisième. Tableau 5. Vous ne serez à aucun moment dans le doute quant à ce qu’est ce troisième. Payer, prêter, - et le troisième est donner. Payer, prêter, donner : c’est en fait une trinité de concepts qui appartiennent dedans une saine économie de peuple. On a une certaine réticence de compter le don au processus d’économie de peuple ; mais quand il n’y a pas le donner quelque part, le processus d’économie de peuple ne peut pas continuer. Alors, pensez une fois ce que nous devrions faire des enfants si nous ne leur donnions pas. Nous donnons continuellement aux enfants et, pensé dedans le processus d’économie de peuple, le donner est justement alors quand nous le considérons complètement, quand nous le considérons comme un processus continu. Ainsi le transfert de valeurs, que signifie une donation, sera envisagé avec une grande injustice comme une quelque chose qui n'est pas admissible/toléré/autorisé dans le processus d’économie de peuple. Vous trouvez à cause de cela - à l'horreur de très nombreuses personnes - dans mes "Points centraux de la question sociale" cette catégorie tout de suite développée où les valeurs, par exemple les moyens de production, passent, pris fondamentalement par un processus qui est identique au donner, à celui qui est capable de continuer à les administrer. Que la donation ne sera pas faite d'une manière confuse pour cela doit être justement veillé ; mais dans le sens d’économie de peuple, c'est une donation. Ces donations sont absolument nécessaires.
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Mais pensez maintenant une fois ceci, que vous trouverez toujours plus comme une nécessité d’économie de peuple, que la trinité de payer, prêter et donner est dedans le processus d’économie de peuple, alors vous vous direz justement : oui, elle doit être dedans dans chaque processus d’économie de peuple - sinon il ne pourrait pas être du tout, sinon il se conduirait partout dans l'absurdité - elle doit être dedans dans chaque processus d’économie de peuple.
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On peut la combattre temporairement, mais les connaissances d’économie de peuple ne sont aucunement de très grandes aujourd'hui, et tout de suite ceux qui veulent enseigner la science d'économie de peuple, ils devraient être très clairs sur ce que les connaissances d’économie de peuple ne sont pas très grandes aujourd'hui, qu’avant toutes choses on n’est pas très enclins à entrer dans les véritables pendants d’économie de peuple. J’aimerais dire que c’est donc à prendre en main. À prendre en main si fort que quand vous lisez aujourd'hui les « Basler Nachrichten », on y trouve curieusement aujourd'hui une considération sur la manière dont ni les gouvernements ni les privés sont aujourd'hui enclins à développer une pensée d’économie de peuple. Je ne crois donc pas que des choses qui ne sont pas à prendre en main aujourd'hui soient juste tout de suite discutées dans les Basler Nachrichten ! C’est déjà à prendre en main. Et il c’est malgré tout intéressant, que sera discuté de cette manière ; l'article est intéressant parce qu'il commence une fois à mettre en lumière l'impuissance absolue d’économie de peuple; et aussi parce qu'il dit : " Cela doit maintenant devenir autrement, les gouvernements et le secteur privé/les privés doivent maintenant enfin commencer à penser autrement. - Mais il conclut aussi là-dessus. Naturellement, ce n'est pas dans les "Basler Nachrichten" qu’est à trouver la manière dont ils devraient penser autrement. C'est, naturellement, aussi très intéressant.
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 Maintenant, on peut intervenir en gênant dans le processus d’économie de peuple, quand on n'amène justement pas cette trinité de la manière correcte, que l'un n’amène pas avec l'autre dans un rapport. Il y a beaucoup de gens aujourd'hui qui sont particulièrement enthousiastes pour ce qu’aussi les héritages, qui sont aussi des donations, devront être fortement taxés. Oui, cela ne signifie pas quelque chose de significatif selon l’économie de peuple ; car on ne dévalorise pas l'héritage quand, disons, il a une valeur = W W, et qu’on partage cette valeur Tableau 5 = W en deux parties, W 1 et W 2, et donne cette W 2 à quelqu'un d'autre et laisse seulement le W 1 à l’un, alors les deux gèrent économiquement ensemble avec cette valeur W. Et il s’agit si celui qui a la W 2 se débrouillera aussi bien que celui qui aurait pu recevoir ensemble la W 1 et la W 2. N'est-ce pas, chacun peut décider ce qui suit selon son propre goût : si maintenant un individu intelligent, quand il reçoit l'héritage total, gèrera mieux économiquement, ou si celui qui reçoit seulement une partie de l'héritage total et l'état l'autre partie, et qui doit donc gérer économiquement avec l'état, fera mieux de l’économie.
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Ce sont ces choses qui, de manière décisive, éloignent de la pensée purement d’économie de peuple, car c’est une pensée du ressentiment, une pensée à partir du sentiment. On envie justement les riches héritiers. Cela aimerait donc être justifié ; mais on ne peut parler de telles choses seul, quand on veut penser selon l’économie de peuple. Il s’agit de ce qui doit être pensé au sens d’économie de peuple, car d’après cela doit en premier s’orienter ce qui sinon a à intervenir/surgir. Ainsi, vous pouvez naturellement vous penser un organisme social qui tombe malade à cause de la façon inorganique dont le payer interagit avec le prêter et le donner, en ce qu’on intervient contre l'un ou l'autre ou favorise l'un et l'autre. N’importe comment, travailler ensemble, ils le font quand même. Car si vous supprimez seulement le donner d'un côté, ainsi vous ne faites que le déplacer. Et ce qui est décisif n’est pas la question si on devait déplacer, mais si le déplacement est toujours favorable ; car la succession concerne l'héritier individuel seul ou ensemble avec l'État, c'est une question qui devra d'abord être décidée selon l’économie de peuple. Si l'un ou l'autre est le plus favorable, c’est de cela qu’il s’agit.
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Mais maintenant, le plus important est que nous sommes confrontés à ce que la vie libre de l’esprit apparait avec une certaine nécessité à partir de l'entrée de l'esprit absolument dans la vie de l’économie. Et cette vie libre de l’esprit - je l'ai dit auparavant – elle conduit à ce que soient de purs consommateurs pour le passé. Mais comment cela se tient-il alors avec cette vie libre de l’esprit en rapport à l'avenir ? Là c’est notamment dans un certain sens, indirectement productif, mais extraordinairement productif. Si vous vous pensez notamment cette vie libre de l’esprit comme vraiment libérée dans l'organisme social, ainsi qu'en fait toujours les facultés peuvent se développer pleinement, alors cette vie libre de l’esprit sera dans la situation de pouvoir exercer une influence extraordinairement féconde sur la vie spirituelle semi-libre, sur cette vie de l’esprit qui entre dans la création matérielle. Et là, quand nous regardons cela, la chose commence à recevoir un côté absolument d’économie de peuple.
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Qui peut regarder la vie sans préjugés, il se dira : ce n'est absolument pas indifférent que, si quelque part dans un domaine, tous ceux qui sont actifs dans la vie libre de l’esprit soient maintenant exterminés - peut-être parce qu'ils ne peuvent plus rien recevoir à consommer et que l’on reconnaît seulement le droit d’être là à ceux qui interviennent dans le processus matériel - ou qu’à l’intérieur de l'organisme social, des humains de l’esprit vraiment libres puissent exister. Car ces libres humains de l’esprit ont notamment la particularité de décoller/faire décoller le "gritzi", la spiritualité, chez les autres, afin qu’ils rendent leur pensée plus agile, et que par cela les autres parviennent mieux à intervenir dans les processus matériels. Il s’agit seulement de ce que ce soient des êtres humains. Vous n’avez pas à cause de cela la permission de vouloir réfuter quelque peu ce que j’aimerais dire maintenant en ce que vous référez à l'Italie et dites : en Italie il y a vraiment beaucoup de vie libre de l’esprit, mais les processus d’économie de peuple qui sortent de l'esprit n'ont pas été particulièrement stimulés. - Oui, c'est la vie libre de l’esprit, mais la vie libre de l’esprit qui vient du passé. Ce sont des monuments, des musées, et ainsi de suite. Mais ça ne le fait pas. Ce qui le fait c’est ce qui est vivant. Et c'est ce qui sort du libre humain de l'esprit sur les autres produisant spirituellement. C'est ce qui œuvre dans l'avenir comme un producteur/produisant d’économie de peuple. On peut donc dire : la pleine possibilité est donnée d'œuvrer assainissant sur le processus d’économie de peuple, en ce que leur champ sera donné aux libres travailleurs de l’esprit, que libre champ sera donné.
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Pensez-vous maintenant que vous avez une vie associative saine dans une communauté sociale. Il s’agit donc dans cette vie associative saine qu’on ordonne le processus de production de telle sorte que si trop de personnes travaillent quelque part dans un domaine, qu’on les transfère à autre chose. Il s’agit de cette négociation animée avec les humains, de cette émergence/ce laisser provenir de l'ordre social tout entier à partir des idées des associations. Et quand un jour ces associations commencent à comprendre quelque chose sur l'influence de la vie libre de l'esprit sur le processus d'économie de peuple. Alors on peut leur remettre un bon moyen - et c'est déjà indiqué dans mes "Points clés de la question sociale" – un bon moyen de réguler le cycle économique. Elles trouveront notamment, ces associations, que lorsque le travail libre de l’esprit diminue/se retire, qu'alors trop peu sera donné, et elles reconnaîtront le pendant de ce que trop peu est donné. Elles reconnaîtront le pendant entre le pas-assez-donner et le manque de libre travail de l’esprit. Quand trop peu de libre travail de l’esprit est là, elles remarqueront que trop peu sera donné. Elles remarqueront que le libre travail de l’esprit recule quand sera trop peu donné.
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Il existe maintenant la plus grande possibilité d'augmenter le taux d'intérêt pour la possession de la nature à près de 100 % par ce qu’on donne le plus possible de la possession de la nature en donation libre au producteur spirituel. Là, vous avez la possibilité d’amener la question du sol en pendant immédiat avec celui, qui maintenant œuvre le plus dans le futur, cela signifie : le capital qui voudra être investi, qui a donc tendance à marcher dans les hypothèques, à celui-là on doit créé l’écoulement dans des institutions spirituelles libres. C'est ainsi que cela se comporte pratiquement. Laissez les associations s'assurer/veiller à ce que l'argent qui tend à entrer dans les hypothèques trouve le chemin dans des institutions spirituelles libres ! Là vous avez le pendant de la vie associative avec la vie générale. Vous en voyez que quand l'on tente seulement de pénétrer dans les réalités de la vie d’économie de peuple, se lève en premier en réalité ce qui est à faire là, ce qui est à faire avec l'un ou l'autre. Je ne veux pas du tout dire de façon agitatrice que ceci ou cela devrait se produire, mais je veux simplement indiquer sur ce qui est. Et c’est le cas que nous obtenons ce que nous ne pouvons jamais atteindre par de simples mesures légales, à savoir garder le capital excédentaire hors de la nature, par le système associatif, en dérivant le capital dans des instituts spirituels libres. Je dis seulement : quand l'un est le cas, ainsi l'autre est le cas. - La science donne donc les conditions sous lesquelles les choses sont pendantes.