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Sujet:
TROISIÈME CONFÉRENCE,
Dornach, 26 juillet 1922
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DRITTER VORTRAG,
Dornach, 26. Juli 1922 |
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Les
références : Rudolf Steiner Œuvres
complètes GA340 038-050 (2002)
26/07/1922 |
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Original
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Traducteur:
FG v. 01 08/06/2022
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Editeur: SITE |
Quand vous saisissez de l'œil ce qui a été dit par
moi hier, qu'il s'agit en fait, dans l'économie de
peuple, de saisir le fluctuant qui repose dans la
circulation des valeurs et dans l'interaction des
valeurs fluctuantes dans la formation de prix, ainsi
vous vous direz : il s'agit tout d'abord de découvrir
quelle forme devrait en fait avoir la théorie de
l'économie de peuple, la science de l'économie de
peuple; car le fluctuant ne se laisse pas saisir
immédiatement. Il n'y a pas aussi en fait aucun sens
correct à vouloir saisir immédiatement observant le
fluctuant; cela a seulement un sens quand on regarde
le fluctuant en pendant avec ce qui repose en fait là
dessous.
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01
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Wenn Sie ins Auge fassen, was gestern von mir gesagt
worden ist, daß es sich eigentlich in der
Volkswirtschaft darum handelt, aufzufassen das
Fluktuierende, das in der Zirkulation der Werte liegt
und in dem Aufeinanderwirken der fluktuierenden Werte
in der Preisbildung, so werden Sie sich sagen: Es
handelt sich zunächst darum, herauszufinden, was die
Volkswirtschaftslehre, die
Volkswirtschaftswissenschaft eigentlich für eine Form
haben muß; denn das Fluktuierende läßt sich ja nicht
unmittelbar ergreifen. Es hat auch eigentlich keinen
rechten Sinn, unmittelbar das Fluktuierende
betrachtend ergreifen zu wollen; es hat nur einen
Sinn, wenn man das Fluktuierende im Zusammenhang
betrachtet mit dem, was eigentlich darunter liegt.
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Rendons-nous cela sensible une fois à une
comparaison : nous utilisons le thermomètre pour
certains buts de la vie, disons, nous l'utilisons en
lisant les degrés de température qui s'y trouvent. Ces
degrés de température, nous avons pris l'habitude de
les comparer dans un certain sens. Nous estimons,
disons, les vingt degrés de chaleur aux cinq degrés de
chaleur et ainsi de suite. Mais nous pouvons aussi
établir des courbes de température dans une certaine
mesure. Par exemple, nous pouvons enregistrer les
températures pendant l'hiver, nous pouvons enregistrer
les températures à la hausse pendant l'été, et nous
avons ensuite l'état fluctuant du thermomètre. Mais ce
qui se trouve au fond de tout cela, on en prend donc
d'abord conscience si on tient compte des différentes
conditions qui provoquent un niveau de chaleur plus
bas en hiver, un niveau de chaleur plus élevé en été,
un niveau de chaleur différent dans une zone que dans
l'autre, et ainsi de suite. Nous n'aurons quelque
chose de réel entre les mains que lorsque nous
remonterons des lectures fluctuantes du thermomètre
jusqu'au sous-jacent. C'est en fait seulement, on
aimerait dire, un procédé statistique quand on notifie
purement les états du thermomètre. Justement ainsi ce
n'est pas beaucoup plus quand on étudie les prix pour
eux-mêmes/soi, quand on étudie les valeurs et ainsi de
suite. Le tout aura en premier un sens quand on arrive
à ce qu'on regarde les prix et les valeurs dans une
certaine mesure comme des états de thermomètre qui
indiquent autre chose. Par cela on viendra absolument
en premier aux réalités de l'économie de peuple. Mais
maintenant, en ressort quelle forme la théorie de
l'économie de peuple devra avoir.
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02
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Versinnlichen wir uns das einmal an einem Vergleich:
Wir benützen für gewisse Zwecke des Lebens, sagen wir,
das Thermometer, wir benützen es, indem wir darauf
ablesen die Temperaturgrade. Diese Temperaturgrade,
wir haben uns ja gewöhnt, sie in einem gewissen Sinn
zu vergleichen. Wir schätzen ein, sagen wir, die
zwanzig Grad Wärme an den fünf Grad Wärme und so
weiter. Aber wir können ja auch gewissermaßen
Temperaturkurveri anlegen. Wir können zum Beispiel die
Temperaturen während des Winters aufzeichnen, können
die steigenden Temperaturen während des Sommers
aufzeichnen, und wir haben dann den fluktuierenden
Stand des Thermometers. Aber was da zugrunde liegt,
das wird man ja doch erst gewahr werden, wenn man auf
die verschiedenen Bedingungen eingeht, die während des
Winters einen tieferen Wärmestand bedingen, während
des Sommers einen höheren Wärmestand bedingen, die in
der einen Gegend einen anderen Wärmestand bedingen als
in der anderen Gegend und so weiter. Wir werden erst
dann etwas Reales gewissermaßen in der Hand haben,
wenn wir die fluktuierenden Thermometerstände
zurückführen auf das Zugrundeliegende. Es ist
eigentlich nur, man möchte sagen, ein statistisches
Vorgehen, wenn man die Thermometerstände bloß
notifiziert. Ebenso ist es eigentlich nicht viel mehr,
wenn man die Preise studiert für sich, wenn man die
Werte studiert und so weiter. Einen Sinn wird das
Ganze erst haben, wenn man dazu kommt, Preise und
Werte gewissermaßen so anzusehen wie
Thermometerstände, die auf etwas anderes hinweisen.
Dadurch wird man erst auf die Realien der
Volkswirtschaft überhaupt kommen. Nun geht aber daraus
hervor, welche Form eigentlich die
Volkswirtschaftslehre wird haben müssen.
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Vous savez donc peut-être que les sciences sont
divisées en sciences théoriques et pratiques selon
l'usage ancien. L'éthique, par exemple, est appelée
une science pratique, la science de la nature est
appelée une science théorique. La science de la nature
traite de ce qui est ; l'éthique de ce qui devrait
être. Et cette division on l'a donc faite depuis les
plus anciens temps : les sciences de l'être et les
sciences du devrait. Il ne nous reste plus qu'à
participer à la définition du concept. Mais nous
pouvons demander si la science de l'économie de peuple
est une science de l'être, comme le pense Lujo
Brentano, ou si la la science de l'économie de peuple
est une science du devrait, une science pratique ? -
Ce sera la question.
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03
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Sie wissen ja vielleicht, daß man einem alten
Gebrauch gemäß die Wissenschaften einteilt in
theoretische und praktische Wissenschaften. Die Ethik
zum Beispiel nennt man eine praktische Wissenschaft,
die Naturwissenschaft nennt man eine theoretische
Wissenschaft. Die Naturwissenschaft handelt davon, was
ist; die Ethik davon, was sein soll. Und diese
Einteilung hat man ja seit ältesten Zeiten gemacht :
die Wissenschaften des Seins und die Wissenschaften
des Sollens. Wir brauchen uns jetzt nur zur
Begriffsbestimmung darauf einzulassen. Aber wir können
fragen: Ist die Volkswirtschaftswissenschaft eine
Seinswissenschaft, etwa so wie es Lujo Brentano meint,
oder ist die Volkswirtschaftswissenschaft eine
Sollwissenschaft, eine praktische Wissenschaft? — Das
wird die Frage sein.
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Il est donc sans doute nécessaire que l'on observe
dans l'économie de peuple quand on veut arriver à un
savoir. On devra observer ainsi que l'on observe les
états du baromètre et du thermomètre pour le contexte
de l'air et de la chaleur. D'après cela, la science de
l'économie de peuple est une science théorique. Mais
rien n'est fait avec celle-ci ; mais en premier est
alors fait quelque chose lorsque l'on peut maintenant
agir sous l'influence de cette connaissance théorique.
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04
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Es ist ja zweifellos notwendig, daß man in der
Volkswirtschaft beobachtet, wenn man zu einem Wissen
kommen will. Man wird so beobachten müssen nämlich,
wie man Barometer- und Thermometerstände für den Luft-
und Wärmezustand beobachtet. Danach ist die
Volkswirtschaftswissenschaft eine theoretische
Wissenschaft. Aber mit diesem ist nichts getan;
sondern erst dann ist etwas getan, wenn man unter dem
Einfluß dieser theoretischen Erkenntnis nun handeln
kann.
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Je veux mentionner un cas spécial qui vous montrera
de quoi il s'agit là. Supposons que nous remarquons à
travers n'importe quelles observations, qui sont
toujours de nature théorique - toutes les observations
sont de nature théorique quand elles ne conduisent pas
à l'action - que quelque part dans un certain domaine
nous observons que le prix d'un type de marchandise
baisse de manière alarmante, si alarmante que cela
représente une misère clairement exprimable.
Maintenant il s'agit de ce que nous observons
théoriquement tout d'abord cette baisse réelle des
prix. Dans une certaine mesure, nous sommes là
seulement à la notification de l'état du thermomètre.
Il s'agit alors de que faire quand les prix chutent de
façon préoccupante pour un quelque type de
marchandises ou un produit ?. - Maintenant, nous
allons voir ces choses encore plus exactement ; tout
d'abord, j'aimerais seulement dire ce qui a à se
passer là et par qui, quand les prix d'un quelque type
de marchandises chutent de manière préoccupante. Là,
il s'agira que nous prenions une mesure appropriée
pour contrecarrer cette chute des prix. Peut-être y
aura-t-il plusieurs de telles mesures. Mais l'une
d'entre elles sera celle par laquelle nous ferons
quelque chose pour accélérer la circulation, le
trafic, le commerce des marchandises concernées. L'une
des mesures sera que - elle ne sera pas suffisante ;
mais nous ne voulons pas nous inquiéter de savoir si
c'est une mesure suffisante ou même si c'est une
mesure appropriée, mais il s'agira que, si les prix
baissent ainsi, nous fassions quelque chose ainsi qui
peut multiplier le chiffre d'affaires.
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05
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Ich will einen speziellen Fall anführen, der Ihnen
zeigen wird, um was es sich da handelt. Nehmen wir an,
wir bemerken durch irgendwelche Beobachtungen, die
immer theoretischer Natur sind — alle Beobachtungen
sind theoretischer Natur, wenn sie nicht zum Handeln
führen —, wir beobachten irgendwo auf einem bestimmten
Felde, daß für eine Warengattung der Preis bedenklich
sinkt, so bedenklich sinkt, daß das eine deutlich
ausdrückbare Misere darstellt. Nun handelt es sich
darum, daß wir zunächst dieses wirkliche Sinken der
Preise theoretisch beobachten. Da sind wir
gewissermaßen erst bei der Notifizierung des
Thermometerstandes. Dann handelt es sich darum: Was
tun, wenn die Preise bedenklich sinken für irgendeine
Warengattung oder ein Produkt? — Nun, wir werden diese
Dinge noch genauer sehen; zunächst möchte ich nur
sagen, was da zu geschehen hat und von wem, wenn die
Preise irgendeiner Warengattung bedenklich sinken. Da
wird es sich darum handeln, daß wir eine Maßregel
treffen, die geeignet ist, diesem Sinken der Preise
entgegenzuwirken. Es wird vielleicht verschiedene
solche Maßregeln geben. Aber eine von ihnen wird die
sein, daß wir etwas tun zum Beschleunigen des Umlaufs,
des Verkehrs, des Handels mit den betreffenden Waren.
Eine von den Maßregeln wird das sein — sie wird ja
noch nicht genügen; aber wir wollen uns nicht darum
kümmern, ob das eine ausreichende oder sogar ob es
eine richtige Maßregel ist, aber darum wird es sich
handeln, daß wir, wenn so die Preise sinken, so etwas
tun, was den Umsatz vermehren kann.
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Nous devons en fait accomplir quelque chose de
similaire à l'influence de l'état du thermomètre : Si
nous gelons dans la chambre, nous ne nous approcherons
pas de l'état du thermomètre d'une manière telle que
nous voulions allonger la colonne du thermomètre d'une
manière mystérieuse ; nous ne nous soucierons pas du
tout de la baisse du thermomètre, mais nous
réchaufferons. Nous attaquons la chose dans un coin
complètement différent. Dans l'économie de peuple, il
s'agit aussi de ce que nous nous attaquons à un tout
autre angle avec les actions. C'est là que la chose
devient pratique et nous devons dire que l'a science
de l'économie de peuple est les deux, à la fois une
science théorique et une science pratique. - Mais il
s'agira de comment concilier/amener ensemble le
pratique et le théorique.
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06
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Wir müssen tatsächlich etwas vollbringen, was
ähnlich ist der Beeinflussung des Thermometerstandes :
Wenn uns im Zimmer friert, so werden wir nicht so an
den Thermometerstand herangehen, daß wir auf
irgendeine geheimnisvolle Weise wollen die
Thermometersäule in die Länge ziehen; wir werden uns
gar nicht um das Thermometer- sinken kümmern, werden
aber einheizen. In einer ganz anderen Ecke greifen wir
die Sache an. So handelt es sich auch in der
Volkswirtschaft darum, daß wir mit dem Handeln an
einer ganz anderen Ecke angreifen. Da wird die Sache
praktisch und wir müssen sagen:
Volkswirtschaftswissenschaft ist beides, eine
theoretische Wissenschaft und eine praktische
Wissenschaft. — Nur wird es sich darum handeln, wie
wir das Praktische mit dem Theoretischen
zusammenbringen.
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Maintenant, cela est tout d'abord, l'un des côtés de
la forme de la science de l'économie de peuple.
L'autre côté est celui sur lequel j'ai attiré
l'attention il y a de nombreuses années, sans que la
chose ait été comprise, à savoir dans un essai que
j'avais déjà écrit au début du siècle et qui
s'intitulait à l'époque "Théosophie et question
sociale", qui aurait en fait seulement eu une
signification s'il avait été saisi par des praticiens
et si on s'était orienté d'après lui. Puisqu'il est
absolument resté entièrement inconsidéré, je ne l'ai
même pas amené à sa fin et ne l'ai pas laissé paraître
plus loin. On doit donc espérer que ces choses seront
toujours plus comprises. Nous espérons que ces
conférences contribueront à sa compréhension plus
profonde. Mais si nous voulons comprendre, nous devons
enclencher une brève observation historique.
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07
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Nun, das ist zunächst die eine Seite der Form der
Volkswirtschaftswissenschaft. Die andere Seite ist
die, auf die ich schon vor vielen Jahren aufmerksam
gemacht habe, ohne daß eigentlich die Sache verstanden
worden ist, nämlich in einem Aufsatz, den ich schon im
Anfang des Jahrhunderts geschrieben habe, der damals
den Titel trug: «Theosophie und soziale Frage », der
eigentlich nur eine Bedeutung gehabt hätte, wenn er
aufgegriffen worden wäre von Praktikern, und wenn man
sich danach gerichtet hätte. Da er überhaupt ganz
unberücksichtigt geblieben ist, habe ich ihn nicht
einmal zu Ende geführt und nicht weiter erscheinen
lassen. Man muß ja hoffen, daß diese Dinge immer mehr
verstanden werden. Hoffentlich tragen diese Vorträge
bei zu ihrem tieferen Verständnis. Da müssen wir aber,
wenn wir verstehen wollen, eine kurze historische
Betrachtung anstellen.
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Quand vous revenez un peu en arrière dans la vie
historique de l'humanité, alors vous constaterez qu'en
fait - je l'ai déjà indiqué dans la première
conférence - dans les temps anciens, jusque même dans
le 15e ou 16e siècle, des questions d'économie de
peuple telles que nous les avons aujourd'hui n'étaient
pas du tout disponibles. La vie d'économie de peuple
s'est, disons par exemple dans l'Orient antique, joué
instinctivement pour la plus grande partie, jouée
ainsi que certains rapports sociaux parmi les humains,
qui ont été formateurs de castes, formateurs de
classes et, sous l'influence de ce qui s'est donné à
partir de ces rapports de relations entre humain et
humain, aussi, j'aimerais dire, se sont avéré formant
instinctivement quant à la façon et la manière dont
l'humain particulier a à intervenir dans la vie
d'économie de peuple. Là, pour grande part les
impulsions de la vie religieuse reposaient encore à la
base qui, dans les temps anciens, étaient absolument
encore ainsi qu'elles se déclinaient en même temps sur
la réglementation, sur l'ordre de l'économie. Si vous
faites passer un examen à la vie orientale selon
l'histoire, vous verrez qu'il n'y a nulle part une
frontière stricte entre ce qui est offert
religieusement et ce qui doit alors être réalisé selon
l'économie de peuple. Les commandements religieux
s'étendent souvent dans la vie économique, de sorte
que même pour ces temps plus anciens, la question du
travail, la question du circuler social des valeurs du
travail, ne venaient pas du tout en considération.
Dans un certain sens, le travail était instinctivement
exécuté ; et si l'un faisait plus ou moins, à l'époque
précédant la vie romaine, cela ne constituait en fait
pas une question substantielle, du moins pas une
question publique substantielle. Les exceptions qui
sont disponibles en cela ne viennent pas du tout en
considération vis-à-vis du cours général de
l'évolution humaine. Chez Platon, nous trouvons encore
absolument une vision sociale telle que le travail est
fondamentalement accepté comme quelque chose qui va de
soi et il sera en fait seulement réfléchi sur le
social, ce qui a été vu en dehors du travail
d'impulsions pleines de sagesse par Platon.
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08
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Wenn Sie im geschichtlichen Leben der Menschheit
etwas zurückgehen, dann werden Sie finden, daß
eigentlich — ich habe schon im ersten Vortrag darauf
hingewiesen — in älteren Zeiten, bis sogar ins 15.,
16. Jahrhundert herein, solche volkswirtschaftlichen
Fragen, wie wir sie heute haben, gar nicht vorhanden
waren. Das volkswirtschaftliche Leben hat sich, sagen
wir zum Beispiel im alten Orient, zum größten Teil
instinktiv abgespielt, so abgespielt, daß gewisse
soziale Verhältnisse unter den Menschen waren, die
kastenbildend, klassenbildend waren und sich unter dem
Einfluß desjenigen, was sich aus diesen Verhältnissen
heraus an Beziehungen ergeben hat zwischen Mensch und
Mensch, auch, ich möchte sagen, instinktbildend
erwiesen haben für die Art und Weise, wie der einzelne
Mensch in das volkswirtschaftliche Leben einzugreifen
hat. Da lagen ja zum großen Teil die Impulse des
religiösen Lebens zugrunde, die in älteren Zeiten
durchaus auch noch so waren, daß sie zu gleicher Zeit
auf die Regelung, auf die Ordnung der Ökonomie
abziehen. Wenn Sie im orientalischen Leben
geschichtlich nachprüfen, so werden Sie sehen, daß
eigentlich nirgends eine strenge Grenze ist zwischen
demjenigen, was religiös geboten wird, und demjenigen,
was dann volkswirtschaftlich ausgeführt werden soll.
Die religiösen Gebote erstrecken sich vielfach hinein
in das wirtschaftliche Leben, so daß auch für diese
älteren Zeiten die Arbeitsfrage, die Frage des
sozialen Zirkulierens der Arbeitswerte, gar nicht in
Betracht kam. Die Arbeit wurde in gewissem Sinne
instinktiv verrichtet; und ob der eine mehr oder
weniger tat, das bildete eigentlich in der Zeit, die
dem römischen Leben voranging, keine erhebliche Frage,
wenigstens keine erhebliche öffentliche Frage. Die
Ausnahmen, die dabei vorhanden sind, kommen gegenüber
dem allgemeinen Gang der Menschheitsentwickelung gar
nicht in Betracht. Wir finden noch bei Plato durchaus
eine solche soziale Ansicht, daß im Grunde genommen
die Arbeit als etwas Selbstverständliches hingenommen
wird und eigentlich nur über das Soziale nachgesonnen
wird, was außerhalb der Arbeit an ethischen,
weisheitsvollen Impulsen von Plato erschaut wurde.
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Cela devenait toujours de plus en plus autre, moins
les impulsions directement religieuses et éthiques
cultivaient des instincts d'économie de peuple, plus
les impulsions religieuses et éthiques se limitaient
dans une certaine mesure purement à la vie morale, de
pures prescriptions furent pour la façon et la manière
dont les gens devraient ressentir les uns pour les
autres, comment ils devaient se comporter envers les
forces/puissances extrahumaines et ainsi de suite.
Toujours de plus en plus, apparut/naquit/s'est fait
jour la façon de voir, le sentiment parmi les humains,
que - si j'ai la permission de m'exprimer au sens
figuré - du haut de la chaire, il n'y a rien à dire
sur la façon et la manière dont on devrait travailler.
Et avec cela, le travail, l'intégration/l'articulation
du travail dans la vie sociale, devint en fait pour la
première fois une question.
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09
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Das wurde immer mehr und mehr anders, je weniger die
unmittelbar religiösen und ethischen Impulse auch
volkswirtschaftliche Instinkte züchteten, je mehr
gewissermaßen die religiösen und ethischen Impulse
bloß sich auf das moralische Leben beschränkten, bloße
Vorschriften wurden für die Art und Weise, wie die
Menschen füreinander fühlen sollen, wie sie sich zu
außermenschlichen Mächten verhalten sollen und so
weiter. Immer mehr und mehr entstand die Anschauung,
die Empfindung unter den Menschen, daß — wenn ich mich
bildlich ausdrücken darf — von der Kanzel herab nichts
zu sagen ist über die Art und Weise, wie man arbeiten
soll. Und damit wurde die Arbeit, die Eingliederung
der Arbeit in das soziale Leben eigentlich erst eine
Frage.
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Maintenant cette en-articulation du travail dans la
vie sociale n'est historiquement pas possible sans la
montée de ce qui est le droit. Ainsi que nous voyons
apparaitre historiquement simultanément la
valorisation du travail pour l'être humain individuel
et le droit. Pour des temps très anciens de
l'humanité, vous ne pouvez en fait pas parler de droit
dans le sens où nous saisissons le droit aujourd'hui,
mais vous pouvez parler de droit en premier lorsque le
droit se sépare/se rend particulier vis-à-vis du
commandement. Dans les temps les plus anciens, le
commandement était une chose uniforme/homogène,
unitaire. En même temps, il contient tout ce qui est
légal/légitime. Alors le commandement sera de plus en
plus retiré sur la pure vie d'âme, et le droit
s'affirme en rapport à la vie extérieure. Cela se
déroule à nouveau à l'intérieur d'une certaine période
historique. À l'intérieur de cette période historique,
des conditions sociales très spécifiques se sont
développées. Il conduirait trop loin ici de décrire
cela plus exactement ; mais c'est une étude
intéressante que d'étudier, tout de suite pour les
premiers siècles du Moyen Âge, comment, d'un côté, les
rapports de droit, de l'autre côté, les rapports de
travail, se séparent/s'extraient des organisations
religieuses dans lesquelles ils étaient plus ou moins
absolument intégrés - les organisations religieuses au
sens large, naturellement.
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10
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Nun ist diese Eingliederung der Arbeit in das
soziale Leben historisch nicht möglich ohne das
Heraufkommen desjenigen, was das Recht ist. So daß wir
historisch gleichzeitig entstehen sehen die Bewertung
der Arbeit für den einzelnen Menschen und das Recht.
Für sehr alte Zeiten der Menschheit können Sie
eigentlich gar nicht in dem Sinn, wie wir heute das
Recht auffassen, vom Recht sprechen, sondern Sie
können erst dann vom Recht sprechen, wenn sich das
Recht sondert von dem Gebot. In ältesten Zeiten ist
das Gebot ein einheitliches. Es enthält zu gleicher
Zeit alles das, was rechtens ist. Dann wird das Gebot
immer mehr und mehr zurückgezogen auf das bloß
seelische Leben, und das Recht macht sich geltend mit
Bezug auf das äußere Leben. Das verläuft wiederum
innerhalb eines gewissen geschichtlichen Zeitraums.
Innerhalb dieses geschichtlichen Zeitraums haben sich
ganz bestimmte soziale Verhältnisse herausgebildet. Es
würde hier zu weit führen, das genauer zu beschreiben;
aber es ist ein interessantes Studium, gerade für die
ersten Jahrhunderte des Mittelalters zu studieren, wie
sich auf der einen Seite die Rechtsverhältnisse, auf
der anderen Seite die Arbeitsverhältnisse
heraussondern aus den religiösen Organisationen, in
denen sie früher mehr oder weniger durchaus drinnen
waren — religiöse Organisationen natürlich im weiteren
Sinne.
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Maintenant, cela a une conséquence bien déterminée.
Tant que les impulsions religieuses sont
décisives/déterminantes pour l'ensemble de la vie
sociale de l'humanité, l'égoïsme ne nuit en rien.
C'est une chose extraordinairement importante aussi
pour la compréhension des processus sociaux et
d'économie de peuple. Aussi égoïste que soit l'humain
: quand l'organisation religieuse, comme c'était le
cas, par exemple, dans certaines régions de l'Orient
antique, quand l'organisation religieuse est telle que
l'humain, malgré son égoïsme, s'intègre/s'articule
justement de manière féconde dans la vie sociale,
alors l'égoïsme ne nuit à rien ; mais il commence à
jouer un rôle dans la vie des peuples à l'instant où
le droit et le travail s'extraient des autres
impulsions sociales, courants sociaux. C'est pourquoi
inconsciemment, j'aimerais dire, l'esprit de
l'humanité aspire/s'efforce dans le temps - où le
travail et le droit s'émancipent - d'en finir avec
l'égoïsme humain, qui bouge/se réveille/se manifeste
maintenant et qui, d'une certaine manière, doit être
articulé dans la vie sociale. Cet effort culmine alors
simplement dans la démocratie moderne, dans le sens
pour l'égalité des humains, pour ce que chacun peut
avoir son influence sur établir le droit et aussi
établir son travail.
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Nun hat das eine ganz bestimmte Folge. Solange die
religiösen Impulse für das gesamte soziale Leben der
Menschheit maßgebend sind, solange schadet der
Egoismus nichts. Das ist eine außerordentlich wichtige
Sache für das Verständnis auch der sozialen,
volkswirtschaftlichen Prozesse. Der Mensch mag noch so
egoistisch sein: wenn die religiöse Organisation, wie
sie zum Beispiel in bestimmten Gebieten des alten
Orients ganz strenge war, wenn die religiöse
Organisation so ist, daß der Mensch trotz seines
Egoismus sich eben in fruchtbarer Weise hineingliedert
in das soziale Leben, dann schadet der Egoismus
nichts; aber er fängt an, im Völkerleben eine Rolle zu
spielen in dem Augenblick, wo das Recht und die Arbeit
sich heraussondern aus den anderen sozialen Impulsen,
sozialen Strömungen. Daher strebt, ich möchte sagen,
unbewußt der Menschheitsgeist in der Zeit — während
Arbeit und Recht sich eben emanzipieren — danach,
fertigzuwerden mit dem menschlichen Egoismus, der sich
nun regt und der in einer gewissen Weise
hineingegliedert werden muß in das soziale Leben.
Dieses Streben gipfelt dann einfach in der modernen
Demokratie, in dem Sinn für Gleichheit der Menschen,
dafür, daß jeder seinen Einfluß hat darauf, das Recht
festzustellen und auch seine Arbeit festzustellen.
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Mais en même temps que cette culmination du droit
émancipé et du travail émancipé, quelque chose d'autre
monte quand même encore qui était certes aussi
disponible pendant les périodes plus anciennes de
l'évolution de l'humanité, mais avait une tout autre
signification à cause des impulsions sociales
religieuses, qui tout de suite pour notre civilisation
européenne au Moyen Âge, était seulement disponible
dans une mesure limitée qui s'est développée à la
culmination la plus haute de l'époque dans laquelle
justement le droit et le travail étaient les plus
émancipés - et cela est la division du travail.
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Aber gleichzeitig mit diesem Gipfeln des
emanzipierten Rechtes und der emanzipierten Arbeit
kommt noch etwas anderes herauf, was zwar früher
während der älteren Perioden der
Menschheitsentwickelung auch vorhanden war, was aber
wegen der religiös-sozialen Impulse eine ganz andere
Bedeutung hatte, was gerade für unsere europäische
Zivilisation während des Mittelalters nur in
eingeschränktem Maße vorhanden war, was sich zur
höchsten Kulmination entwickelte von der Zeit an, in
der eben Recht und Arbeit am meisten emanzipiert waren
— und das ist die Arbeitsteilung.
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Dans les temps plus anciens de l'évolution de
l'humanité, la division du travail n'avait aucune
signification particulière parce que justement elle
aussi était placée dans les impulsions religieuses et,
dans une certaine mesure, chacun était mis à sa place,
de sorte qu'elle n'avait aucune signification telle.
Mais là où l'inclination à la démocratie se lia à
l'aspiration vers une division du travail, là a
commencé - cela a en premier commencé au cours des
derniers siècles et monté au plus haut au 19e siècle -
là la division du travail a commencé à gagner une
signification toute particulière, car la division du
travail a une conséquence d'économie de peuple.
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In den älteren Zeiten der Menschheitsentwickelung
hatte die Arbeitsteilung deshalb keine besondere
Bedeutung, weil ja eben auch sie in die religiösen
Impulse hineingestellt war und gewissermaßen jeder an
seinen Platz gestellt wurde, so daß sie also keine
solche Bedeutung hatte. Da aber, wo sich der Hang nach
Demokratie verband mit dem Streben nach
Arbeitsteilung, da fing an — das ist erst
heraufgekommen in den letzten Jahrhunderten und aufs
höchste gestiegen im 19. Jahrhundert —, da fing an die
Arbeitsteilung eine ganz besondere Bedeutung zu
gewinnen; denn die Arbeitsteilung hat eine
volkswirtschaftliche Konsequenz.
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Cette division du travail, dont nous apprendrons
encore à connaître les causes et le cours, conduit
finalement, si nous la pensons tout d'abord simplement
abstraitement jusqu'à sa fin, à ce que personne
n'utilise finalement pour lui-même ce qu'il produit.
Parlé selon l'économie de peuple, cependant ! Donc,
que personne n'utilise pour lui-même ce qu'il produit
- parler selon l'économie de peuple - ! Qu'est-ce que
ça veut dire ? Maintenant, je veux vous l'expliquer
par un exemple.
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Diese Arbeitsteilung, deren Ursachen und Gang wir ja
noch kennenlernen werden, führt zuletzt dazu, wenn wir
sie zunächst einfach abstrakt zu Ende denken, so
müssen wir sagen, sie führt zuletzt dazu, daß niemand
dasjenige, was er erzeugt, für sich selbst verwendet.
Volkswirtschaftlich gesprochen aber! Also, daß niemand
dasjenige, was er erzeugt — volkswirtschaftlich
gesprochen —, für sich selbst verwendet ! Was heißt
das? Nun, ich will es durch ein Beispiel erläutern.
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Supposez qu'un tailleur fasse des vêtements. Il
doit, bien sûr, produire des vêtements pour d'autres
personnes lors de la division du travail. Mais il
pourrait aussi dire : je fais des vêtements pour
d'autres personnes, et je me fais mes propres
vêtements moi-même. Il utiliserait donc une certaine
partie de son travail pour fabriquer ses propres
vêtements, et l'autre partie, beaucoup plus
importante, qui resterait, il l'utiliserait pour faire
des vêtements pour d'autres humains. Maintenant,
simplement, j'aimerais dire, banalement considéré, on
pourrait dire : Oui, c'est donc la chose la plus
naturelle, aussi dans la division du travail, que le
tailleur fabrique ses propres vêtements et travaille
ensuite comme tailleur pour les autres humains. Mais
qu'en est-il, parlé selon l'économie de peuple ?
Regardé selon l'économie de peuple, la chose est ainsi
: parce que la division du travail est venue, que donc
non chaque humain est un autoproducteur pour toutes
ses choses individuelles/particulières, parce que la
division du travail est venue, que toujours l'un
travaille pour l'autre, par cela s'établit donc une
certaine valeur pour les produits et, en conséquence
de la valeur, aussi un prix. Et maintenant, apparait
la question : quand, par exemple, par la division du
travail, qui se poursuit dans la circulation, dans la
rotation des produits, quand donc par cette division
du travail entrée dans la rotation des produits, les
produits de tailleur ont une certaine valeur, les
produits qu'il produit pour lui-même ont-ils alors une
valeur d'économie de peuple égale, ou sont-ils
peut-être meilleur marché ou plus chers ? C'est la
question la plus significative. Lorsqu'il se
confectionne lui-même ses vêtements, alors reste de
côté qu'ils rentrent dans la circulation des produits.
Ce qu'il produit pour lui-même ne prend pas part à la
baisse des prix qui sera provoquée par la division du
travail, est donc plus cher. Aussi quand il ne paie
rien pour cela, c'est plus cher. C'est simplement plus
cher de la raison parce qu'il est transposé dans
l'impossibilité, à ce qu'il a besoin pour lui-même,
d'utiliser seulement autant de travail qu'il a besoin
pour ce qui passe alors dans la circulation, vis-à-vis
de la valeur.
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15
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Nehmen Sie an, ein Schneider verfertigt Kleider. Er
muß selbstverständlich bei der Arbeitsteilung für
andere Leute Kleider erzeugen. Er könnte aber auch so
sagen : Ich erzeuge für die anderen Leute Kleider, und
meine eigenen Kleider erzeuge ich mir selber. Da würde
er also einen gewissen Teil seiner Arbeit darauf
verwenden, seine eigenen Kleider zu erzeugen, und die
andere, weitaus größere Arbeit, die dann übrigbleibt,
die würde er dazu verwenden, für die anderen Menschen
Kleider zu erzeugen. Nun, einfach, ich möchte sagen,
banal angesehen, könnte man sagen: Ja, es ist ja das
Allernatürlichste auch in der Arbeitsteilung, daß der
Schneider sich seine Kleider selber erzeugt und für
die anderen Menschen dann eben als Schneider arbeitet.
Wie ist die Sache aber volkswirtschaftlich gesprochen?
Volkswirtschaftlich angeschaut, ist die Sache so :
Dadurch, daß die Arbeitsteilung gekommen ist, daß also
nicht ein jeder Mensch für alle seine einzelnen Sachen
Selbsterzeuger ist, dadurch, daß Arbeitsteilung
gekommen ist, daß immer einer für den anderen
arbeitet, dadurch stellt sich ja für die Produkte ein
gewisser Wert ein und infolge des Wertes auch ein
Preis. Und jetzt entsteht die Frage : Wenn zum
Beispiel durch die Arbeitsteilung, die sich ja
fortsetzt in der Zirkulation, im Umlauf der Produkte,
wenn also durch diese in den Umlauf der Produkte
hineingelaufene Arbeitsteilung die Schneiderprodukte
einen gewissen Wert haben, haben dann die Produkte,
die er erzeugt für sich selbst, einen gleichen
volkswirtschaftlichen Wert, oder sind sie vielleicht
billiger oder teurer? Das ist die bedeutsamste Frage.
Wenn er selbst sich seine Kleider erzeugt, dann bleibt
ja das weg, daß sie in die Zirkulation der Produkte
hineingehen. Dasjenige, was er für sich selbst
erzeugt, nimmt nicht Anteil an der Verbilligung, die
durch die Arbeitsteilung hervorgerufen wird, ist also
teurer. Wenn er auch nichts dafür bezahlt, ist es
teurer. Es ist einfach aus dem Grunde teurer, weil er
in die Unmöglichkeit versetzt ist, bei dem, was er für
sich selbst braucht, nur so viel Arbeit aufzuwenden,
wie er für das braucht, was dann in die Zirkulation
übergeht, dem Wert gegenüber.
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Maintenant, il est peut-être nécessaire d'y
réfléchir un peu plus exactement, mais la chose est
déjà ainsi. C'est ainsi que tout ce qui sert à
l'autoproduction, parce que cela n'entre pas dans la
circulation qui repose à la base de la division du
travail, est plus cher que ce qui entre dans la
division du travail. Ainsi que donc, quand la division
du travail sera pensée dans son extrême, on devrait
dire : si le tailleur devait seulement travailler pour
d'autres humains, alors il obtiendrait les prix des
produits de son travail qui devraient en fait être
obtenus. Et il devrait de son côté acheter ses
vêtements chez un autre tailleur, respectivement il
devrait se les procurer de la même façon qu'on se les
procure sinon, il devrait se les acheter là où des
vêtements sont/seront vendus.
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16
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Nun, vielleicht ist notwendig, sich das etwas
genauer zu überlegen; aber die Sache ist schon so. Es
ist so, daß alles dasjenige, was der Selbsterzeugung
dient, weil es nicht in die Zirkulation, der die
Arbeitsteilung zugrunde liegt, eingeht, teurer ist als
dasjenige, was in die Arbeitsteilung hineingeht. So
daß also, wenn die Arbeitsteilung in ihrem Extrem
gedacht wird, man sagen müßte : Müßte der Schneider
nur für andere Menschen arbeiten, dann würde er die
Preise erzielen für die Produkte seiner Arbeit, die
eigentlich erzielt werden sollen. Und er müßte sich
seinerseits seine Kleider kaufen bei einem anderen
Schneider, beziehungsweise er müßte sie sich
verschaffen in der Art, wie man sie sich sonst
verschafft, er müßte sie sich dort kaufen, wo Kleider
verkauft werden.
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Mais si vous voyez sur tout cela, vous devrez vous
dire : la division du travail tend à ce qu'absolument
plus personne ne travaille pour soi-même ; mais de ce
qu'il élabore, tout doit passer aux autres. Ce dont il
a besoin doit à nouveau lui revenir de la société.
Vous pourriez donc objecter éventuellement : oui, un
costume pour le tailleur, s'il l'achète à l'autre
tailleur, devrait en fait coûter autant que s'il le
fait lui-même, car l'autre ne le rendra pas plus cher
ou moins cher. Si tel était le cas, il n'y aurait pas
de division du travail, du moins pas de division
complète du travail, pour la simple raison que, pour
ce produit d'habillement, la plus grande concentration
des manières de travail ne pourrait pas être obtenue
par la division du travail. Il n'est donc pas possible
que, quand intervient la division du travail, la
division du travail ne déborde pas dans la
circulation, de sorte qu'il n'est pas possible pour un
tailleur d'acheter chez un autre, mais qu'il doit
acheter chez le marchand. Mais cela produit une valeur
complètement différente. S'il fait son propre costume,
il achètera le costume chez lui-même ; s'il l'achète,
il l'achètera au marchand. Cela fait la différence. Et
si la division du travail en pendant à la circulation
rend meilleur marché, ainsi son costume lui revient
meilleur marché chez le marchand qu'il ne peut le
faire chez soi-même.
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17
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Aber sehen Sie auf alles das hin, so werden Sie sich
sagen müssen : Die Arbeitsteilung tendiert dazu, daß
überhaupt niemand mehr für sich selbst arbeitet;
sondern das, was er erarbeitet, muß alles an die
anderen übergehen. Das, was er braucht, muß ihm
wiederum zurückkommen von der Gesellschaft. Sie
könnten ja eventuell einwenden : Ja, es müßte ja
eigentlich ein Anzug für den Schneider, wenn er ihn
bei dem anderen Schneider kauft, gerade so viel
kosten, als wenn er ihn selber fabriziert, weil ihn
der andere nicht teurer und nicht billiger machen
wird. Wenn das der Fall wäre, wäre keine
Arbeitsteilung da, wenigstens keine vollständige
Arbeitsteilung, aus dem einfachen Grunde, weil für
dieses Produkt des Kleidererzeugens nicht durch die
Teilung der Arbeit die größte Konzentration der
Arbeitsweise würde aufgebracht werden können. Es ist
ja nicht möglich, daß, wenn Arbeitsteilung eintritt,
eben nicht die Arbeitsteilung in die Zirkulation
überfließt, so daß es also nicht möglich ist, daß der
eine Schneider beim andern kauft, sondern er muß beim
Händler kaufen. Das aber bringt einen ganz anderen
Wert hervor. Er wird, wenn er seinen eigenen Rock
macht, den Rock bei sich kaufen; wenn er ihn kauft, so
wird er ihn beim Händler kaufen. Das macht den
Unterschied. Und wenn Arbeitsteilung im Zusammenhange
mit Zirkulation verbilligt, so kommt ihn sein Rock
beim Händler billiger, als er ihn bei sich selber
machen kann.
|
Si nous voulons d'abord voir cela comme quelque
chose qui nous mène à la forme de la théorie
d'économie de peuple, nous devons donc regarder encore
une fois tous les faits.
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Wollen wir das zunächst als etwas, was uns führt zu
der Form der Volkswirtschaftslehre, ansehen; die
Tatsachen müssen wir ja alle noch einmal betrachten.
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Mais c'est maintenant absolument ainsi que nous
envisagions immédiatement que plus la division du
travail avance, plus doit venir que l'un travaille
toujours pour l'autre, travaille pour la société
indéterminée, jamais pour soi. Mais avec d'autres
mots, cela signifie : en ce que la division moderne du
travail est montée, l'économie de peuple est, en
rapport à gérer l'activité économique, rendue
attentive à éradiquer l'égoïsme avec souche et tige.
S'il vous plaît, ne me comprenez pas éthiquement, mais
purement économiquement ! Économiquement, l'égoïsme
est impossible. On ne peut plus rien faire pour soi
d'autant plus la division du travail progresse, mais
on doit tout faire pour les autres.
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19
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Das ist nun aber durchaus so, daß wir unmittelbar
einsehen : Je weiter die Arbeitsteilung vorrückt,
desto mehr muß das kommen, daß immer einer für die
anderen arbeitet, für die unbestimmte Sozietät
arbeitet, niemals für sich. Das heißt aber mit anderen
Worten : Indem die moderne Arbeitsteilung
heraufgekommen ist, ist die Volkswirtschaft in bezug
auf das Wirtschaften darauf angewiesen, den Egoismus
mit Stumpf und Stiel auszurotten. Bitte, verstehen Sie
das nicht ethisch, sondern rein wirtschaftlich!
Wirtschaftlich ist der Egoismus unmöglich. Man kann
nichts für sich mehr tun, je mehr die Arbeitsteilung
vorschreitet, sondern man muß alles für die anderen
tun.
|
Pris au fond, par les circonstances extérieures,
l'altruisme est apparu comme une exigence plus vite
dans le domaine économique qu'il a été compris dans le
domaine religieux-éthique. Pour cela, il y a un fait
historique que l'on peut facilement saisir.
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20
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Im Grunde genommen ist durch die äußeren
Verhältnisse der Altruismus als Forderung schneller
auf wirtschaftlichem Gebiet aufgetreten, als er auf
religiös-ethischem Gebiet begriffen worden ist. Dafür
gibt es eine leicht erhaschbare historische Tatsache.
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Le mot égoïsme, vous le trouverez plutôt ancien,
quand aussi peut-être pas dans le rude sens actuel,
mais vous le trouverez plutôt ancien. Au contraire, le
mot altruisme, le penser aux autres, est en fait à
peine centenaire, a été inventé en premier très tard
comme un mot, et nous pouvons donc en dire - nous ne
voulons pas nous appuyer trop fortement sur cette
externalité, mais une considération historique le
montrerait - : la considération éthique n'avait en
aucun cas atteint une pleine reconnaissance de
l'altruisme, qu'il existait déjà une reconnaissance
économique de l'altruisme par la division du travail.
- Et si nous considérons maintenant cette exigence
d'altruisme comme une exigence d'économie de peuple,
alors nous avons, j'aimerais dire, ce qui en découle
immédiatement : Nous devons trouver le chemin dans la
gestion moderne d'économie de peuple, tel qu'aucun
être humain n'a à prendre soin de lui-même, mais
seulement des autres, et de comment prendre soin au
mieux de chaque individu de cette manière. Cela
pourrait être pris comme un idéalisme, mais je vous
rends encore une fois attentif sur sur ce que, dans
cette conférence, je ne parle ni idéalistement ou ni
éthiquement, mais selon l'économie de peuple. Et ce
que j'ai dit maintenant est simplement pensé
d'économie de peuple. Pas un dieu, pas une loi morale,
pas un instinct n'exige dans la vie économique moderne
l'altruisme dans le travail, dans la production des
biens, mais simplement la division moderne du travail.
C'est donc une catégorie entièrement d'économie de
peuple qui l'exige.
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21
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Das Wort Egoismus, das werden Sie als ein ziemlich
altes finden, wenn auch vielleicht nicht in der
heutigen schroffen Bedeutung, aber Sie werden es als
ein ziemlich altes finden. Das Gegenteil davon, das
Wort Altruismus, das Denken an den anderen, ist
eigentlich kaum hundert Jahre alt, ist erst sehr spät
als Wort erfunden worden, und wir können daher sagen —
wir wollen uns nicht auf diese Äußerlichkeit zu stark
stützen, aber eine historische Betrachtung würde das
zeigen —: Die ethische Betrachtung war noch lange
nicht zu einer vollen Würdigung des Altruismus
gekommen, da war schon die volkswirtschaftliche
Würdigung des Altruismus durch die Arbeitsteilung da.
— Und betrachten wir jetzt diese Forderung des
Altruismus als volkswirtschaftliche, dann haben wir
das, ich möchte sagen, was weiter daraus folgt,
unmittelbar: Wir müssen den Weg finden in das moderne
Volkswirtschaften, wie kein Mensch für sich selber zu
sorgen hat, sondern nur für die anderen, und wie auf
diese Weise auch am besten für jeden einzelnen gesorgt
ist. Das könnte als ein Idealismus genommen werden;
aber ich mache Sie noch einmal darauf aufmerksam : ich
spreche in diesem Vortrag weder idealistisch noch
ethisch, sondern volkswirtschaftlich. Und das, was ich
jetzt gesagt habe, ist einfach volkswirtschaftlich
gemeint. Nicht ein Gott, nicht ein sittliches Gesetz,
nicht ein Instinkt fordert im modernen
wirtschaftlichen Leben den Altruismus im Arbeiten, im
Erzeugen der Güter, sondern einfach die moderne
Arbeitsteilung. Also eine ganz volkswirtschaftliche
Kategorie fordert das.
|
C'est à peu près ce que je voulais décrire dans cet
essai à l'époque : que notre économie de peuple exige
plus de nous que ce que nous sommes capables de
fournir sur le plan éthique-religieux ces derniers
temps. Beaucoup de luttes reposent sur cela. Étudiez
une fois la sociologie du présent. Vous trouverez que
les luttes sociales sont en grande partie à reconduire
sur ce que, lorsque l'économie s'est étendue à
l'économie mondiale, la nécessité d'être altruiste, de
mettre en place/d'aménager les différentes ressources
sociales de manière altruiste est de plus en plus
survenue pendant que les humains n'avaient pas encore
du tout compris dans leur pensée comment sortir de
l'égoïsme, et ont à cause de cela toujours pataugé de
manière égoïste dans ce qui était en fait là comme une
exigence.
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22
|
Das ist ungefähr, was ich dazumal in jenem Aufsatz
habe darstellen wollen : daß unsere Volkswirtschaft
mehr fordert von uns, als wir in der neuesten Zeit
ethisch-religiös leisten können. Darauf beruhen viele
Kämpfe. Studieren Sie einmal die Soziologie der
Gegenwart. Sie werden finden, daß die sozialen Kämpfe
zum großen Teil darauf zurückzuführen sind, daß beim
Erweitern der Wirtschaft in die Weltwirtschaft die
Notwendigkeit immer mehr und mehr aufgetreten ist,
altruistisch zu sein, altruistisch die verschiedenen
sozialen Bestände einzurichten, während die Menschen
in ihrem Denken eigentlich noch gar nicht verstanden
hatten, über den Egoismus hinauszukommen, und daher
immer hineinpfuschten in egoistischer Weise in
dasjenige, was eigentlich als eine Forderung da war.
|
Nous en venons maintenant à toute la signification
de ce que je viens de dire, quand nous n'étudions pas
seulement, j'aimerais dire, le fait plat tel qu'il
repose là, mais le fait caché, masqué. Ce fait caché,
masqué est qu'à cause de la divergence de la mentalité
humaine des temps modernes entre l'exigence de
l'économie de peuple et la capacité/le pouvoir faire
religieux-éthique est pratiquement dedans une grande
partie de l'économie de peuple que les humains se
subviennent à eux-mêmes, que donc notre économie de
peuple contredit elle-même ce qui est réellement sa
propre exigence de la division du travail. Il ne
s'agit pas des quelques personnes autosuffisantes qui
suivent l'exemple de ce tailleur que j'ai mentionné.
Nous reconnaîtrons un tailleur qui fait ses propres
costumes comme quelqu'un qui mêle dans la division du
travail, ce qui n'a rien à y faire. Mais c'est
visible. Et est masqué à l'intérieur de l'économie
moderne de peuple donc que, où l'humain ne fabrique
certes absolument pas pour soi ses produits, mais n'a,
pris au fond rien à faire de particulier avec la
valeur ou le prix de ces produits, mais, vu du
processus d'économie de peuple dans lequel les
produits se tiennent, purement ce qu'il peut fournir
par son travail manuel, comme valeur à apporter dans
l'économie de peuple. Pris au fond, chaque salarié au
sens ordinaire du terme est encore aujourd'hui une
personne autosuffisante/un produisant pour soi. Il est
celui qui donne autant qu'il veut acquérir, qui ne
peut pas donner autant à l'organisme social qu'il est
en situation de donner, parce qu'il veut seulement
donner autant qu'il veut acquérir. Car
l'autosuffisance/s'autosuffire signifie travailler
pour l'acquisition ; travailler pour les autres
signifie travailler à partir de la nécessité sociale.
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23
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Wir kommen nun erst zu der ganzen Bedeutung
desjenigen, was ich jetzt gesagt habe, wenn wir nicht
bloß studieren die, ich möchte sagen, platt daliegende
Tatsache, sondern die kaschierte, die maskierte
Tatsache. Diese kaschierte, maskierte Tatsache ist
diese, daß wegen der Diskrepanz der
Menschheitsgesinnung der modernen Zeit zwischen der
Forderung der Volkswirtschaft und dem
religiös-ethischen Können in einem großen Teil der
Volkswirtschaft praktisch darinnen ist dieses, daß die
Menschen sich selber versorgen, daß also unsere
Volkswirtschaft selber widerspricht demjenigen, was
eigentlich ihre eigene Forderung ist durch die
Arbeitsteilung. Auf die paar Selbstversorger nach dem
Muster dieses Schneiders, den ich angeführt habe,
kommt es nicht an. Einen Schneider, der sich selber
seine Anzüge fabriziert, den werden wir erkennen als
einen, der hineinmischt in die Arbeitsteilung, was
nicht hineingehört. Aber dieses ist offenbar. Und
maskiert ist innerhalb der modernen Volkswirtschaft
also das, wo der Mensch zwar durchaus nicht für sich
seine Produkte erzeugt, aber im Grunde genommen mit
dem Wert oder Preis dieser Produkte nichts Besonderes
zu tun hat, sondern, abgesehen von dem
volkswirtschaftlichen Prozeß, in dem die Produkte
drinnenstehen, bloß dasjenige, was er durch seine
Handarbeit leisten kann, als Wert in die
Volkswirtschaft hineinzubringen hat. Im Grunde
genommen ist jeder Lohnempfänger im gewöhnlichen Sinn
heute noch ein Selbstversorger. Er ist derjenige, der
so viel hingibt, als er erwerben will, der gar nicht
kann so viel an den sozialen Organismus hingeben, als
er hinzugeben in der Lage ist, weil er nur so viel
hingeben will, als er erwerben will. Denn
Selbstversorgen heißt, für den Erwerb arbeiten; für
die anderen arbeiten heißt, aus der sozialen
Notwendigkeit heraus arbeiten.
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Pour autant que la division du travail a déjà vu ses
exigences remplies dans les temps récents, l'altruisme
est disponible dans le fait: travailler pour les
autres ; mais dans la mesure où cette exigence n'est
pas remplie, le vieil égoïsme sera disponible, qui
repose simplement sur ce que l'humain doit se fournir
lui-même. Égoïsme d'économie de peuple ! On ne s'en
rend généralement pas compte dans le cas du salarié
ordinaire parce qu'on ne réfléchit même pas sur
pourquoi des valeurs seront échangées ici en fait. Ce
que produit le salarié ordinaire n'a donc rien à voir
avec la rémunération/le paiement de son travail, rien
à voir avec cela. Le paiement, la
valorisation/l'évaluation/l'estimation du travail part
de facteurs complètement différents, de sorte qu'il
travaille pour l'acquisition, pour l'autosuffisance.
C'est caché, masqué, mais c'est le cas.
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Insoweit die Arbeitsteilung ihre Forderung schon
erfüllt bekommen hat in der neueren Zeit, ist in der
Tat Altruismus vorhanden: Arbeiten für die anderen;
insofern aber diese Forderung nicht erfüllt ist, ist
der alte Egoismus vorhanden, der eben einfach darauf
beruht, daß der Mensch sich selbst versorgen muß.
Volkswirtschaftlicher Egoismus ! Man merkt das bei dem
gewöhnlichen Lohnempfänger aus dem Grunde gewöhnlich
nicht, weil man gar nicht nachdenkt darüber, wofür
hier eigentlich Werte ausgetauscht werden. Dasjenige,
was der gewöhnliche Lohnempfänger fabriziert, das hat
ja gar nichts zu tun mit der Bezahlung seiner Arbeit,
hat gar nichts damit zu tun. Die Bezahlung, die
Bewertung der Arbeit geht aus ganz anderen Faktoren
hervor, so daß er für den Erwerb, für die
Selbstversorgung arbeitet. Das ist kaschiert,
maskiert, aber es ist der Fall.
|
Ainsi nous apparait une des premières, des plus
importantes questions d'économie de peuple : comment
amenons-nous le travail sur acquisition hors du
processus d'économie de peuple ? Comment plaçons-nous
ceux qui, aujourd'hui encore, sont de purs acquéreurs
dans le processus d'économie de peuple de telle sorte
qu'ils ne soient pas des acquéreurs/acquérant, mais
des travailleurs/travaillant à partir de la nécessité
sociale ? Devons-nous cela ? Surement ! Parce que si
nous ne le faisons pas, nous n'obtiendrons jamais de
prix vrais, mais des prix faux. Nous devons réussir à
extraire des prix et des valeurs qui ne sont pas
dépendant des humains, mais du processus d'économie de
peuple qui résultent/se donnent de la fluctuation des
valeurs. La question cardinale est la question du
prix.
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25
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So entsteht uns eine der ersten, wichtigsten
volkswirtschaftlichen Fragen: Wie bringen wir aus dem
volkswirtschaftlichen Prozeß heraus die Arbeit auf
Erwerb? Wie stellen wir diejenigen, die heute noch
bloß Erwerbende sind, so in den volkswirtschaftlichen
Prozeß hinein, daß sie nicht Erwerbende, sondern aus
der sozialen Notwendigkeit heraus Arbeitende sind?
Müssen wir das? Sicherlich! Denn wenn wir das nicht
tun, bekommen wir niemals wahre Preise heraus, sondern
falsche Preise. Wir müssen Preise und Werte
herausbekommen, die nicht abhängig sind von den
Menschen, sondern von dem volkswirtschaftlichen
Prozeß, die sich ergeben im Fluktuieren der Werte. Die
Kardinalfrage ist die Preisfrage.
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Maintenant, nous devons observer le prix comme le
degré du thermomètre, alors nous pouvons en venir aux
autres conditions sous-jacentes. On ne peut observer
les thermomètres que si on a une sorte de degré zéro.
Là, on monte et on descend. Pour les prix, une sorte
de point zéro se donne d'une manière toute conforme à
la nature, il se donne une sorte de point zéro de la
manière suivante.
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26
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Nun müssen wir den Preis so beobachten wie die
Thermometergrade, dann können wir auf die anderen,
zugrunde liegenden Bedingungen kommen. Nun,
Thermometer beobachten kann man nur, wenn man eine Art
Nullgrad hat. Da geht man herauf und herunter. Für die
Preise ergibt sich nämlich auf ganz naturgemäße Weise
eine Art Nullpunkt, es ergibt sich auf folgende Weise
eine Art Nullpunkt.
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D'un côté, nous avons la nature (voir figure 2) ;
elle sera modifiée par le travail humain, alors les
produits naturels modifiés viennent en l'état. C'est
une chose où de la valeur sera crée, valeur 1. De
l'autre côté, nous avons le travail. il sera
transformé Tableau 3* par l'esprit, et l'autre valeur
apparaît, valeur 2. Et je vous ai alors dit : dans
l'interaction de la valeur 1 et de la valeur 2, les
prix apparaissent. Nous progresserons toujours dans la
compréhension/saisie de ces façons de voir d'économie
de peuple. Mais maintenant, ces valeurs - la valeur 1
et la valeur 2 - se comportent en fait comme des
pôles/polairement. On peut déjà dire : celui qui, par
exemple, gagne dans ce domaine (voir dessin 2, à
droite) gagne principalement à l'intérieur de ce
domaine - on ne le peut pas entièrement, mais
principalement -, celui qui gagne principalement en ce
qu'il est travailleur d'une façon, qui est organisée
par l'esprit, il a intérêt à ce que les produits de la
nature soient dévalués. Mais celui qui travaille à la
nature, il a intérêt à ce que les autres produits
soient dévalués. Et quand cet intérêt devient un
processus réel, comme il l'est dans le fait - si ce
n'était pas ainsi, les agriculteurs auraient des prix
complètement différents, et inversement, nous avons
des deux côtés absolument des prix cachés - ainsi nous
pouvons peut-être observer au milieu dedans, où sont
deux, deux appartiennent toujours à faire
économie/gérer, où sont deux, qui ont le moins intérêt
possible aussi bien à la nature qu'à la spiritualité
ou au capital, une sorte de prix moyen. [* Le dessin
du tableau 3 correspondant à celui du tableau 2, [49]
n'a pas été redonné.] Où cela est-il pratiquement le
cas ? C'est pratiquement le cas lorsqu'on observe
comment un pur commerçant intermédiaire achète d'un
pur commerçant intermédiaire, comment les deux
achètent réciproquement l'un de l'autre. Ici, les prix
ont la tendance à prendre leur valeur moyenne. Quand
un intermédiaire achète avec des chaussures sous des
conditions/rapports qui justement s'en forment,
forment justement aussi de la manière normales - nous
aurons à expliquer ce mot -, quand un intermédiaire
avec des chaussures achète à un intermédiaire avec des
vêtements et inversement, alors ce qui se révèle là
comme un prix a la tendance à adopter un prix moyen.
Nous ne devons pas chercher la situation de prix
moyenne chez les intérêts des producteurs qui se
tiennent du côté de la nature et non chez les intérêts
de ceux qui sont du côté spirituel, mais nous devons
chercher dans ce qui révèle le prix moyen chez
l'intermédiaire. Cela n'a rien à faire avec le fait
que l'on a ou non un intermédiaire de plus. Le prix
moyen a la tendance à apparaitre là où intermédiaires
échangent avec intermédiaire en achetant et vendant.
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27
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Wir haben auf der einen Seite die Natur (siehe
Zeichnung 2); sie wird durch menschliche Arbeit
verändert; dann kommen die veränderten Naturprodukte
zustande. Das ist das eine, wo Wert erzeugt wird, Wert
1. Auf der anderen Seite haben wir die Arbeit. Sie
wird Tafel 3* durch den Geist verändert, und es
entsteht der andere Wert, Wert 2. Und ich habe Ihnen
dann gesagt: In Wechselwirkung von Wert 1 und Wert 2
entstehen die Preise. Wir werden immer weiterkommen im
Erfassen dieser volkswirtschaftlichen Anschauungen.
Nun aber verhalten sich diese Werte hier — Wert 1 und
Wert 2 — in der Tat polarisch. Man kann schon sagen:
Derjenige, der zum Beispiel innerhalb dieses (siehe
Zeichnung 2, rechts) Gebietes verdient, hauptsächlich
innerhalb dieses Gebietes verdient — ganz kann man es
nicht, aber hauptsächlich —, wer hauptsächlich dadurch
verdient, daß er Arbeiter ist in einer Art, die vom
Geist organisiert ist, der hat Interesse daran, daß
die Naturprodukte entwertet werden. Derjenige aber,
der an der Natur arbeitet, der hat Interesse daran,
daß die anderen Produkte entwertet werden. Und wenn
dieses Interesse realer Prozeß wird, wie es in der Tat
ist — wenn das nicht so wäre, so hätten die Landwirte
ganz andere Preise, und umgekehrt, wir haben auf
beiden Seiten durchaus kaschierte Preise —, so können
wir in der Mitte drinnen, wo zwei sind, zum
Wirtschaften gehören immer zwei, wo zwei sind, welche
möglichst wenig Interesse haben sowohl an der Natur
wie an der Geistigkeit oder dem Kapital, eine Art
mittleren Preis möglicherweise beobachten. [* Die
Zeichnung der Tafel 3, die derjenigen der Tafel 2
entspricht, 49 wurde nicht wiedergegeben.] Wo ist das
praktisch der Fall? Das ist praktisch der Fall, wenn
man beobachtet, wie ein reiner Zwischenhändler von
einem reinen Zwischenhändler kauft, wie beide
gegenseitig voneinander kaufen. Hier haben die Preise
die Tendenz, ihren mittleren Wert anzunehmen. Wenn ein
Zwischenhändler mit Schuhen kauft unter Verhältnissen,
die eben sich herausbilden, herausbilden eben auch in
der normalen — wir werden dieses Wort zu erklären habe
— Weise, wenn ein Zwischenhändler mit Schuhen von
einem Zwischenhändler mit Kleidern kauft und
umgekehrt, dann hat das, was sich da als Preis
herausstellt, die Tendenz, eine mittlere Preislage
anzunehmen. Die mittlere Preislage müssen wir nicht
suchen bei den Interessen der Produzenten, die auf der
Naturseite stehen, und nicht bei den Interessen
derjenigen, die auf der geistigen Seite stehen,
sondern wir müssen dasjenige, was die mittleren Preise
herausstellt, suchen beim Zwischenhändler. Das hat
nichts zu tun damit, ob man einen Zwischenhändler mehr
hat oder nicht. Der mittlere Preis hat die Tendenz, zu
entstehen da, wo Zwischenhändler mit Zwischenhändler
kaufend und verkaufend verkehrt.
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Cela ne contredit pas l'autre, car fondamentalement,
regardez-vous les capitalistes modernes : ce sont donc
des commerçants. L'entrepreneur est en fait un
commerçant. Il est le producteur de ses marchandises
en passant/accessoirement, mais selon l'économie de
peuple il est commerçant. Le commerce s'est développé
d'après le côté de la production. Dans la chose
principale, tableau 3, l'entrepreneur est
essentiellement un commerçant. C'est ce qui est
important, de sorte qu'en fait, tout de suite les
conditions modernes vont à ce que ce qui se développe
ici (voir dessin 2) au milieu se forme comme une
tendance déterminée, que ça rayonne vers l'un et vers
l'autre côté. Vers l'un des côtés, vous l'envisagerez
facilement lorsque vous étudierez l'entrepreneuriat ;
comment cela se comporte vers l'autre côté, nous le
verrons dans les prochains jours.
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28
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Das widerspricht dem andern nicht, denn im Grunde
genommen, sehen Sie sich die modernen Kapitalisten an:
sie sind ja Händler. Der Unternehmer ist eigentlich
Händler. Er ist nebenbei seine Waren Erzeugender; aber
volkswirtschaftlich ist er Händler. Der Handel hat
sich ausgebildet nach der Seite der Produktion. In der
Hauptsache, Tafel 3 wesentlich, ist der Unternehmer
Händler. Das ist das Wichtige, so daß in der Tat
gerade die modernen Verhältnisse darauf hinauslaufen,
daß das, was hier (siehe Zeichnung 2) in der Mitte
sich als eine bestimmte Tendenz ausbildet, daß das
ausstrahlt nach der einen und nach der anderen Seite.
Nach der einen Seite werden Sie es leicht einsehen,
wenn Sie das Unternehmertum studieren; wie es sich
nach der anderen Seite ausnimmt, werden wir in den
nächsten Tagen sehen.
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Français seulement
01
Quand vous saisissez de l'œil ce qui a été dit par moi hier,
qu'il s'agit en fait, dans l'économie de peuple, de saisir le
fluctuant qui repose dans la circulation des valeurs et dans
l'interaction des valeurs fluctuantes dans la formation de prix,
ainsi vous vous direz : il s'agit tout d'abord de découvrir
quelle forme devrait en fait avoir la théorie de l'économie de
peuple, la science de l'économie de peuple; car le fluctuant ne
se laisse pas saisir immédiatement. Il n'y a pas aussi en fait
aucun sens correct à vouloir saisir immédiatement observant le
fluctuant; cela a seulement un sens quand on regarde le
fluctuant en pendant avec ce qui repose en fait là dessous.
02
Rendons-nous cela sensible une fois à une comparaison : nous
utilisons le thermomètre pour certains buts de la vie, disons,
nous l'utilisons en lisant les degrés de température qui s'y
trouvent. Ces degrés de température, nous avons pris l'habitude
de les comparer dans un certain sens. Nous estimons, disons, les
vingt degrés de chaleur aux cinq degrés de chaleur et ainsi de
suite. Mais nous pouvons aussi établir des courbes de
température dans une certaine mesure. Par exemple, nous pouvons
enregistrer les températures pendant l'hiver, nous pouvons
enregistrer les températures à la hausse pendant l'été, et nous
avons ensuite l'état fluctuant du thermomètre. Mais ce qui se
trouve au fond de tout cela, on en prend donc d'abord conscience
si on tient compte des différentes conditions qui provoquent un
niveau de chaleur plus bas en hiver, un niveau de chaleur plus
élevé en été, un niveau de chaleur différent dans une zone que
dans l'autre, et ainsi de suite. Nous n'aurons quelque chose de
réel entre les mains que lorsque nous remonterons des lectures
fluctuantes du thermomètre jusqu'au sous-jacent. C'est en fait
seulement, on aimerait dire, un procédé statistique quand on
notifie purement les états du thermomètre. Justement ainsi ce
n'est pas beaucoup plus quand on étudie les prix pour
eux-mêmes/soi, quand on étudie les valeurs et ainsi de suite. Le
tout aura en premier un sens quand on arrive à ce qu'on regarde
les prix et les valeurs dans une certaine mesure comme des états
de thermomètre qui indiquent autre chose. Par cela on viendra
absolument en premier aux réalités de l'économie de peuple. Mais
maintenant, en ressort quelle forme la théorie de l'économie de
peuple devra avoir.
03
Vous savez donc peut-être que les sciences sont divisées en
sciences théoriques et pratiques selon l'usage ancien.
L'éthique, par exemple, est appelée une science pratique, la
science de la nature est appelée une science théorique. La
science de la nature traite de ce qui est ; l'éthique de ce qui
devrait être. Et cette division on l'a donc faite depuis les
plus anciens temps : les sciences de l'être et les sciences du
devrait. Il ne nous reste plus qu'à participer à la définition
du concept. Mais nous pouvons demander si la science de
l'économie de peuple est une science de l'être, comme le pense
Lujo Brentano, ou si la la science de l'économie de peuple est
une science du devrait, une science pratique ? - Ce sera la
question.
04
Il est donc sans doute nécessaire que l'on observe dans
l'économie de peuple quand on veut arriver à un savoir. On devra
observer ainsi que l'on observe les états du baromètre et du
thermomètre pour le contexte de l'air et de la chaleur. D'après
cela, la science de l'économie de peuple est une science
théorique. Mais rien n'est fait avec celle-ci ; mais en premier
est alors fait quelque chose lorsque l'on peut maintenant agir
sous l'influence de cette connaissance théorique.
05
Je veux mentionner un cas spécial qui vous montrera de quoi il
s'agit là. Supposons que nous remarquons à travers n'importe
quelles observations, qui sont toujours de nature théorique -
toutes les observations sont de nature théorique quand elles ne
conduisent pas à l'action - que quelque part dans un certain
domaine nous observons que le prix d'un type de marchandise
baisse de manière alarmante, si alarmante que cela représente
une misère clairement exprimable. Maintenant il s'agit de ce que
nous observons théoriquement tout d'abord cette baisse réelle
des prix. Dans une certaine mesure, nous sommes là seulement à
la notification de l'état du thermomètre. Il s'agit alors de que
faire quand les prix chutent de façon préoccupante pour un
quelque type de marchandises ou un produit ?. - Maintenant, nous
allons voir ces choses encore plus exactement ; tout d'abord,
j'aimerais seulement dire ce qui a à se passer là et par qui,
quand les prix d'un quelque type de marchandises chutent de
manière préoccupante. Là, il s'agira que nous prenions une
mesure appropriée pour contrecarrer cette chute des prix.
Peut-être y aura-t-il plusieurs de telles mesures. Mais l'une
d'entre elles sera celle par laquelle nous ferons quelque chose
pour accélérer la circulation, le trafic, le commerce des
marchandises concernées. L'une des mesures sera que - elle ne
sera pas suffisante ; mais nous ne voulons pas nous inquiéter de
savoir si c'est une mesure suffisante ou même si c'est une
mesure appropriée, mais il s'agira que, si les prix baissent
ainsi, nous fassions quelque chose ainsi qui peut multiplier le
chiffre d'affaires.
06
Nous devons en fait accomplir quelque chose de similaire à
l'influence de l'état du thermomètre : Si nous gelons dans la
chambre, nous ne nous approcherons pas de l'état du thermomètre
d'une manière telle que nous voulions allonger la colonne du
thermomètre d'une manière mystérieuse ; nous ne nous soucierons
pas du tout de la baisse du thermomètre, mais nous
réchaufferons. Nous attaquons la chose dans un coin complètement
différent. Dans l'économie de peuple, il s'agit aussi de ce que
nous nous attaquons à un tout autre angle avec les actions.
C'est là que la chose devient pratique et nous devons dire que
l'a science de l'économie de peuple est les deux, à la fois une
science théorique et une science pratique. - Mais il s'agira de
comment concilier/amener ensemble le pratique et le théorique.
07
Maintenant, cela est tout d'abord, l'un des côtés de la forme de
la science de l'économie de peuple. L'autre côté est celui sur
lequel j'ai attiré l'attention il y a de nombreuses années, sans
que la chose ait été comprise, à savoir dans un essai que
j'avais déjà écrit au début du siècle et qui s'intitulait à
l'époque "Théosophie et question sociale", qui aurait en fait
seulement eu une signification s'il avait été saisi par des
praticiens et si on s'était orienté d'après lui. Puisqu'il est
absolument resté entièrement inconsidéré, je ne l'ai même pas
amené à sa fin et ne l'ai pas laissé paraître plus loin. On doit
donc espérer que ces choses seront toujours plus comprises. Nous
espérons que ces conférences contribueront à sa compréhension
plus profonde. Mais si nous voulons comprendre, nous devons
enclencher une brève observation historique.
08
Quand vous revenez un peu en arrière dans la vie historique de
l'humanité, alors vous constaterez qu'en fait - je l'ai déjà
indiqué dans la première conférence - dans les temps anciens,
jusque même dans le 15e ou 16e siècle, des questions d'économie
de peuple telles que nous les avons aujourd'hui n'étaient pas du
tout disponibles. La vie d'économie de peuple s'est, disons par
exemple dans l'Orient antique, joué instinctivement pour la plus
grande partie, jouée ainsi que certains rapports sociaux parmi
les humains, qui ont été formateurs de castes, formateurs de
classes et, sous l'influence de ce qui s'est donné à partir de
ces rapports de relations entre humain et humain, aussi,
j'aimerais dire, se sont avéré formant instinctivement quant à
la façon et la manière dont l'humain particulier a à intervenir
dans la vie d'économie de peuple. Là, pour grande part les
impulsions de la vie religieuse reposaient encore à la base qui,
dans les temps anciens, étaient absolument encore ainsi qu'elles
se déclinaient en même temps sur la réglementation, sur l'ordre
de l'économie. Si vous faites passer un examen à la vie
orientale selon l'histoire, vous verrez qu'il n'y a nulle part
une frontière stricte entre ce qui est offert religieusement et
ce qui doit alors être réalisé selon l'économie de peuple. Les
commandements religieux s'étendent souvent dans la vie
économique, de sorte que même pour ces temps plus anciens, la
question du travail, la question du circuler social des valeurs
du travail, ne venaient pas du tout en considération. Dans un
certain sens, le travail était instinctivement exécuté ; et si
l'un faisait plus ou moins, à l'époque précédant la vie romaine,
cela ne constituait en fait pas une question substantielle, du
moins pas une question publique substantielle. Les exceptions
qui sont disponibles en cela ne viennent pas du tout en
considération vis-à-vis du cours général de l'évolution humaine.
Chez Platon, nous trouvons encore absolument une vision sociale
telle que le travail est fondamentalement accepté comme quelque
chose qui va de soi et il sera en fait seulement réfléchi sur le
social, ce qui a été vu en dehors du travail d'impulsions
pleines de sagesse par Platon.
09
Cela devenait toujours de plus en plus autre, moins les
impulsions directement religieuses et éthiques cultivaient des
instincts d'économie de peuple, plus les impulsions religieuses
et éthiques se limitaient dans une certaine mesure purement à la
vie morale, de pures prescriptions furent pour la façon et la
manière dont les gens devraient ressentir les uns pour les
autres, comment ils devaient se comporter envers les
forces/puissances extrahumaines et ainsi de suite. Toujours de
plus en plus, apparut/naquit/s'est fait jour la façon de voir,
le sentiment parmi les humains, que - si j'ai la permission de
m'exprimer au sens figuré - du haut de la chaire, il n'y a rien
à dire sur la façon et la manière dont on devrait travailler. Et
avec cela, le travail, l'intégration/l'articulation du travail
dans la vie sociale, devint en fait pour la première fois une
question.
10
Maintenant cette en-articulation du travail dans la vie sociale
n'est historiquement pas possible sans la montée de ce qui est
le droit. Ainsi que nous voyons apparaitre historiquement
simultanément la valorisation du travail pour l'être humain
individuel et le droit. Pour des temps très anciens de
l'humanité, vous ne pouvez en fait pas parler de droit dans le
sens où nous saisissons le droit aujourd'hui, mais vous pouvez
parler de droit en premier lorsque le droit se sépare/se rend
particulier vis-à-vis du commandement. Dans les temps les plus
anciens, le commandement était une chose uniforme/homogène,
unitaire. En même temps, il contient tout ce qui est
légal/légitime. Alors le commandement sera de plus en plus
retiré sur la pure vie d'âme, et le droit s'affirme en rapport à
la vie extérieure. Cela se déroule à nouveau à l'intérieur d'une
certaine période historique. À l'intérieur de cette période
historique, des conditions sociales très spécifiques se sont
développées. Il conduirait trop loin ici de décrire cela plus
exactement ; mais c'est une étude intéressante que d'étudier,
tout de suite pour les premiers siècles du Moyen Âge, comment,
d'un côté, les rapports de droit, de l'autre côté, les rapports
de travail, se séparent/s'extraient des organisations
religieuses dans lesquelles ils étaient plus ou moins absolument
intégrés - les organisations religieuses au sens large,
naturellement.
11
Maintenant, cela a une conséquence bien déterminée. Tant que les
impulsions religieuses sont décisives/déterminantes pour
l'ensemble de la vie sociale de l'humanité, l'égoïsme ne nuit en
rien. C'est une chose extraordinairement importante aussi pour
la compréhension des processus sociaux et d'économie de peuple.
Aussi égoïste que soit l'humain : quand l'organisation
religieuse, comme c'était le cas, par exemple, dans certaines
régions de l'Orient antique, quand l'organisation religieuse est
telle que l'humain, malgré son égoïsme, s'intègre/s'articule
justement de manière féconde dans la vie sociale, alors
l'égoïsme ne nuit à rien ; mais il commence à jouer un rôle dans
la vie des peuples à l'instant où le droit et le travail
s'extraient des autres impulsions sociales, courants sociaux.
C'est pourquoi inconsciemment, j'aimerais dire, l'esprit de
l'humanité aspire/s'efforce dans le temps - où le travail et le
droit s'émancipent - d'en finir avec l'égoïsme humain, qui
bouge/se réveille/se manifeste maintenant et qui, d'une certaine
manière, doit être articulé dans la vie sociale. Cet effort
culmine alors simplement dans la démocratie moderne, dans le
sens pour l'égalité des humains, pour ce que chacun peut avoir
son influence sur établir le droit et aussi établir son travail.
12
Mais en même temps que cette culmination du droit émancipé et du
travail émancipé, quelque chose d'autre monte quand même encore
qui était certes aussi disponible pendant les périodes plus
anciennes de l'évolution de l'humanité, mais avait une tout
autre signification à cause des impulsions sociales religieuses,
qui tout de suite pour notre civilisation européenne au Moyen
Âge, était seulement disponible dans une mesure limitée qui
s'est développée à la culmination la plus haute de l'époque dans
laquelle justement le droit et le travail étaient les plus
émancipés - et cela est la division du travail.
13
Dans les temps plus anciens de l'évolution de l'humanité, la
division du travail n'avait aucune signification particulière
parce que justement elle aussi était placée dans les impulsions
religieuses et, dans une certaine mesure, chacun était mis à sa
place, de sorte qu'elle n'avait aucune signification telle. Mais
là où l'inclination à la démocratie se lia à l'aspiration vers
une division du travail, là a commencé - cela a en premier
commencé au cours des derniers siècles et monté au plus haut au
19e siècle - là la division du travail a commencé à gagner une
signification toute particulière, car la division du travail a
une conséquence d'économie de peuple.
14
Cette division du travail, dont nous apprendrons encore à
connaître les causes et le cours, conduit finalement, si nous la
pensons tout d'abord simplement abstraitement jusqu'à sa fin, à
ce que personne n'utilise finalement pour lui-même ce qu'il
produit. Parlé selon l'économie de peuple, cependant ! Donc, que
personne n'utilise pour lui-même ce qu'il produit - parler selon
l'économie de peuple - ! Qu'est-ce que ça veut dire ?
Maintenant, je veux vous l'expliquer par un exemple.
15
Supposez qu'un tailleur fasse des vêtements. Il doit, bien sûr,
produire des vêtements pour d'autres personnes lors de la
division du travail. Mais il pourrait aussi dire : je fais des
vêtements pour d'autres personnes, et je me fais mes propres
vêtements moi-même. Il utiliserait donc une certaine partie de
son travail pour fabriquer ses propres vêtements, et l'autre
partie, beaucoup plus importante, qui resterait, il
l'utiliserait pour faire des vêtements pour d'autres humains.
Maintenant, simplement, j'aimerais dire, banalement considéré,
on pourrait dire : Oui, c'est donc la chose la plus naturelle,
aussi dans la division du travail, que le tailleur fabrique ses
propres vêtements et travaille ensuite comme tailleur pour les
autres humains. Mais qu'en est-il, parlé selon l'économie de
peuple ? Regardé selon l'économie de peuple, la chose est ainsi
: parce que la division du travail est venue, que donc non
chaque humain est un autoproducteur pour toutes ses choses
individuelles/particulières, parce que la division du travail
est venue, que toujours l'un travaille pour l'autre, par cela
s'établit donc une certaine valeur pour les produits et, en
conséquence de la valeur, aussi un prix. Et maintenant, apparait
la question : quand, par exemple, par la division du travail,
qui se poursuit dans la circulation, dans la rotation des
produits, quand donc par cette division du travail entrée dans
la rotation des produits, les produits de tailleur ont une
certaine valeur, les produits qu'il produit pour lui-même
ont-ils alors une valeur d'économie de peuple égale, ou sont-ils
peut-être meilleur marché ou plus chers ? C'est la question la
plus significative. Lorsqu'il se confectionne lui-même ses
vêtements, alors reste de côté qu'ils rentrent dans la
circulation des produits. Ce qu'il produit pour lui-même ne
prend pas part à la baisse des prix qui sera provoquée par la
division du travail, est donc plus cher. Aussi quand il ne paie
rien pour cela, c'est plus cher. C'est simplement plus cher de
la raison parce qu'il est transposé dans l'impossibilité, à ce
qu'il a besoin pour lui-même, d'utiliser seulement autant de
travail qu'il a besoin pour ce qui passe alors dans la
circulation, vis-à-vis de la valeur.
16
Maintenant, il est peut-être nécessaire d'y réfléchir un peu
plus exactement, mais la chose est déjà ainsi. C'est ainsi que
tout ce qui sert à l'autoproduction, parce que cela n'entre pas
dans la circulation qui repose à la base de la division du
travail, est plus cher que ce qui entre dans la division du
travail. Ainsi que donc, quand la division du travail sera
pensée dans son extrême, on devrait dire : si le tailleur devait
seulement travailler pour d'autres humains, alors il obtiendrait
les prix des produits de son travail qui devraient en fait être
obtenus. Et il devrait de son côté acheter ses vêtements chez un
autre tailleur, respectivement il devrait se les procurer de la
même façon qu'on se les procure sinon, il devrait se les acheter
là où des vêtements sont/seront vendus.
17
Mais si vous voyez sur tout cela, vous devrez vous dire : la
division du travail tend à ce qu'absolument plus personne ne
travaille pour soi-même ; mais de ce qu'il élabore, tout doit
passer aux autres. Ce dont il a besoin doit à nouveau lui
revenir de la société. Vous pourriez donc objecter
éventuellement : oui, un costume pour le tailleur, s'il l'achète
à l'autre tailleur, devrait en fait coûter autant que s'il le
fait lui-même, car l'autre ne le rendra pas plus cher ou moins
cher. Si tel était le cas, il n'y aurait pas de division du
travail, du moins pas de division complète du travail, pour la
simple raison que, pour ce produit d'habillement, la plus grande
concentration des manières de travail ne pourrait pas être
obtenue par la division du travail. Il n'est donc pas possible
que, quand intervient la division du travail, la division du
travail ne déborde pas dans la circulation, de sorte qu'il n'est
pas possible pour un tailleur d'acheter chez un autre, mais
qu'il doit acheter chez le marchand. Mais cela produit une
valeur complètement différente. S'il fait son propre costume, il
achètera le costume chez lui-même ; s'il l'achète, il l'achètera
au marchand. Cela fait la différence. Et si la division du
travail en pendant à la circulation rend meilleur marché, ainsi
son costume lui revient meilleur marché chez le marchand qu'il
ne peut le faire chez soi-même.
18
Si nous voulons d'abord voir cela comme quelque chose qui nous
mène à la forme de la théorie d'économie de peuple, nous devons
donc regarder encore une fois tous les faits.
19
Mais c'est maintenant absolument ainsi que nous envisagions
immédiatement que plus la division du travail avance, plus doit
venir que l'un travaille toujours pour l'autre, travaille pour
la société indéterminée, jamais pour soi. Mais avec d'autres
mots, cela signifie : en ce que la division moderne du travail
est montée, l'économie de peuple est, en rapport à gérer
l'activité économique, rendue attentive à éradiquer l'égoïsme
avec souche et tige. S'il vous plaît, ne me comprenez pas
éthiquement, mais purement économiquement ! Économiquement,
l'égoïsme est impossible. On ne peut plus rien faire pour soi
d'autant plus la division du travail progresse, mais on doit
tout faire pour les autres.
20
Pris au fond, par les circonstances extérieures, l'altruisme est
apparu comme une exigence plus vite dans le domaine économique
qu'il a été compris dans le domaine religieux-éthique. Pour
cela, il y a un fait historique que l'on peut facilement saisir.
21
Le mot égoïsme, vous le trouverez plutôt ancien, quand aussi
peut-être pas dans le rude sens actuel, mais vous le trouverez
plutôt ancien. Au contraire, le mot altruisme, le penser aux
autres, est en fait à peine centenaire, a été inventé en premier
très tard comme un mot, et nous pouvons donc en dire - nous ne
voulons pas nous appuyer trop fortement sur cette externalité,
mais une considération historique le montrerait - : la
considération éthique n'avait en aucun cas atteint une pleine
reconnaissance de l'altruisme, qu'il existait déjà une
reconnaissance économique de l'altruisme par la division du
travail. - Et si nous considérons maintenant cette exigence
d'altruisme comme une exigence d'économie de peuple, alors nous
avons, j'aimerais dire, ce qui en découle immédiatement : Nous
devons trouver le chemin dans la gestion moderne d'économie de
peuple, tel qu'aucun être humain n'a à prendre soin de lui-même,
mais seulement des autres, et de comment prendre soin au mieux
de chaque individu de cette manière. Cela pourrait être pris
comme un idéalisme, mais je vous rends encore une fois attentif
sur sur ce que, dans cette conférence, je ne parle ni
idéalistement ou ni éthiquement, mais selon l'économie de
peuple. Et ce que j'ai dit maintenant est simplement pensé
d'économie de peuple. Pas un dieu, pas une loi morale, pas un
instinct n'exige dans la vie économique moderne l'altruisme dans
le travail, dans la production des biens, mais simplement la
division moderne du travail. C'est donc une catégorie
entièrement d'économie de peuple qui l'exige.
22
C'est à peu près ce que je voulais décrire dans cet essai à
l'époque : que notre économie de peuple exige plus de nous que
ce que nous sommes capables de fournir sur le plan
éthique-religieux ces derniers temps. Beaucoup de luttes
reposent sur cela. Étudiez une fois la sociologie du présent.
Vous trouverez que les luttes sociales sont en grande partie à
reconduire sur ce que, lorsque l'économie s'est étendue à
l'économie mondiale, la nécessité d'être altruiste, de mettre en
place/d'aménager les différentes ressources sociales de manière
altruiste est de plus en plus survenue pendant que les humains
n'avaient pas encore du tout compris dans leur pensée comment
sortir de l'égoïsme, et ont à cause de cela toujours pataugé de
manière égoïste dans ce qui était en fait là comme une exigence.
23
Nous en venons maintenant à toute la signification de ce que je
viens de dire, quand nous n'étudions pas seulement, j'aimerais
dire, le fait plat tel qu'il repose là, mais le fait caché,
masqué. Ce fait caché, masqué est qu'à cause de la divergence de
la mentalité humaine des temps modernes entre l'exigence de
l'économie de peuple et la capacité/le pouvoir faire
religieux-éthique est pratiquement dedans une grande partie de
l'économie de peuple que les humains se subviennent à eux-mêmes,
que donc notre économie de peuple contredit elle-même ce qui est
réellement sa propre exigence de la division du travail. Il ne
s'agit pas des quelques personnes autosuffisantes qui suivent
l'exemple de ce tailleur que j'ai mentionné. Nous reconnaîtrons
un tailleur qui fait ses propres costumes comme quelqu'un qui
mêle dans la division du travail, ce qui n'a rien à y faire.
Mais c'est visible. Et est masqué à l'intérieur de l'économie
moderne de peuple donc que, où l'humain ne fabrique certes
absolument pas pour soi ses produits, mais n'a, pris au fond
rien à faire de particulier avec la valeur ou le prix de ces
produits, mais, vu du processus d'économie de peuple dans lequel
les produits se tiennent, purement ce qu'il peut fournir par son
travail manuel, comme valeur à apporter dans l'économie de
peuple. Pris au fond, chaque salarié au sens ordinaire du terme
est encore aujourd'hui une personne autosuffisante/un produisant
pour soi. Il est celui qui donne autant qu'il veut acquérir, qui
ne peut pas donner autant à l'organisme social qu'il est en
situation de donner, parce qu'il veut seulement donner autant
qu'il veut acquérir. Car l'autosuffisance/s'autosuffire signifie
travailler pour l'acquisition ; travailler pour les autres
signifie travailler à partir de la nécessité sociale.
24
Pour autant que la division du travail a déjà vu ses exigences
remplies dans les temps récents, l'altruisme est disponible dans
le fait: travailler pour les autres ; mais dans la mesure où
cette exigence n'est pas remplie, le vieil égoïsme sera
disponible, qui repose simplement sur ce que l'humain doit se
fournir lui-même. Égoïsme d'économie de peuple ! On ne s'en rend
généralement pas compte dans le cas du salarié ordinaire parce
qu'on ne réfléchit même pas sur pourquoi des valeurs seront
échangées ici en fait. Ce que produit le salarié ordinaire n'a
donc rien à voir avec la rémunération/le paiement de son
travail, rien à voir avec cela. Le paiement, la
valorisation/l'évaluation/l'estimation du travail part de
facteurs complètement différents, de sorte qu'il travaille pour
l'acquisition, pour l'autosuffisance. C'est caché, masqué, mais
c'est le cas.
25
Ainsi nous apparait une des premières, des plus importantes
questions d'économie de peuple : comment amenons-nous le travail
sur acquisition hors du processus d'économie de peuple ? Comment
plaçons-nous ceux qui, aujourd'hui encore, sont de purs
acquéreurs dans le processus d'économie de peuple de telle sorte
qu'ils ne soient pas des acquéreurs/acquérant, mais des
travailleurs/travaillant à partir de la nécessité sociale ?
Devons-nous cela ? Surement ! Parce que si nous ne le faisons
pas, nous n'obtiendrons jamais de prix vrais, mais des prix
faux. Nous devons réussir à extraire des prix et des valeurs qui
ne sont pas dépendant des humains, mais du processus d'économie
de peuple qui résultent/se donnent de la fluctuation des
valeurs. La question cardinale est la question du prix.
26
Maintenant, nous devons observer le prix comme le degré du
thermomètre, alors nous pouvons en venir aux autres conditions
sous-jacentes. On ne peut observer les thermomètres que si on a
une sorte de degré zéro. Là, on monte et on descend. Pour les
prix, une sorte de point zéro se donne d'une manière toute
conforme à la nature, il se donne une sorte de point zéro de la
manière suivante.
27
D'un côté, nous avons la nature (voir figure 2) ; elle sera
modifiée par le travail humain, alors les produits naturels
modifiés viennent en l'état. C'est une chose où de la valeur
sera crée, valeur 1. De l'autre côté, nous avons le travail. il
sera transformé Tableau 3* par l'esprit, et l'autre valeur
apparaît, valeur 2. Et je vous ai alors dit : dans l'interaction
de la valeur 1 et de la valeur 2, les prix apparaissent. Nous
progresserons toujours dans la compréhension/saisie de ces
façons de voir d'économie de peuple. Mais maintenant, ces
valeurs - la valeur 1 et la valeur 2 - se comportent en fait
comme des pôles/polairement. On peut déjà dire : celui qui, par
exemple, gagne dans ce domaine (voir dessin 2, à droite) gagne
principalement à l'intérieur de ce domaine - on ne le peut pas
entièrement, mais principalement -, celui qui gagne
principalement en ce qu'il est travailleur d'une façon, qui est
organisée par l'esprit, il a intérêt à ce que les produits de la
nature soient dévalués. Mais celui qui travaille à la nature, il
a intérêt à ce que les autres produits soient dévalués. Et quand
cet intérêt devient un processus réel, comme il l'est dans le
fait - si ce n'était pas ainsi, les agriculteurs auraient des
prix complètement différents, et inversement, nous avons des
deux côtés absolument des prix cachés - ainsi nous pouvons
peut-être observer au milieu dedans, où sont deux, deux
appartiennent toujours à faire économie/gérer, où sont deux, qui
ont le moins intérêt possible aussi bien à la nature qu'à la
spiritualité ou au capital, une sorte de prix moyen. [* Le
dessin du tableau 3 correspondant à celui du tableau 2, [49] n'a
pas été redonné.] Où cela est-il pratiquement le cas ? C'est
pratiquement le cas lorsqu'on observe comment un pur commerçant
intermédiaire achète d'un pur commerçant intermédiaire, comment
les deux achètent réciproquement l'un de l'autre. Ici, les prix
ont la tendance à prendre leur valeur moyenne. Quand un
intermédiaire achète avec des chaussures sous des
conditions/rapports qui justement s'en forment, forment
justement aussi de la manière normales - nous aurons à expliquer
ce mot -, quand un intermédiaire avec des chaussures achète à un
intermédiaire avec des vêtements et inversement, alors ce qui se
révèle là comme un prix a la tendance à adopter un prix moyen.
Nous ne devons pas chercher la situation de prix moyenne chez
les intérêts des producteurs qui se tiennent du côté de la
nature et non chez les intérêts de ceux qui sont du côté
spirituel, mais nous devons chercher dans ce qui révèle le prix
moyen chez l'intermédiaire. Cela n'a rien à faire avec le fait
que l'on a ou non un intermédiaire de plus. Le prix moyen a la
tendance à apparaitre là où intermédiaires échangent avec
intermédiaire en achetant et vendant.
28
Cela ne contredit pas l'autre, car fondamentalement,
regardez-vous les capitalistes modernes : ce sont donc des
commerçants. L'entrepreneur est en fait un commerçant. Il est le
producteur de ses marchandises en passant/accessoirement, mais
selon l'économie de peuple il est commerçant. Le commerce s'est
développé d'après le côté de la production. Dans la chose
principale, tableau 3, l'entrepreneur est essentiellement un
commerçant. C'est ce qui est important, de sorte qu'en fait,
tout de suite les conditions modernes vont à ce que ce qui se
développe ici (voir dessin 2) au milieu se forme comme une
tendance déterminée, que ça rayonne vers l'un et vers l'autre
côté. Vers l'un des côtés, vous l'envisagerez facilement lorsque
vous étudierez l'entrepreneuriat ; comment cela se comporte vers
l'autre côté, nous le verrons dans les prochains jours.
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