Emil Leinhas : Le professeur von
Blume a déjà indiqué sur la force,
dont il dit qu'elle "veut constamment
le mal et crée constamment le bien".
Je crois qu'on ne peut pas
sous-estimer que cette force est
active d'une manière
extraordinairement forte. Je ne crois
pas que ça suffit de seulement aider
un petit peu, mais ainsi que les
choses reposent aujourd'hui, cela
nécessitera le travail et l'efficacité
les plus intensifs, qu'en sorte le
bien, et non le mal. Nous avons pour
cela les pensées de la
tri-articulation de l'organisme
social, et quand nous nous tenons
correctement là-dedans, nous pouvons
aussi continuer à transmettre ces
pensées. Et là je dois dire à la
remarque de M. Schmiedel, que la
substance que nous avons là, devant
nous, serait « fragile » : je suis
tout de suite de l'avis
contraire ; nous-mêmes sommes
d'abord fragiles, en ce que nous ne
nous tenons pas correctement dans la
chose.
C'est la fragilité réelle, et ce ne
sont pas les « noyaux
germinatifs » et la
tri-articulation de l'organisme social
qui sont fragiles. J'ai eu à m’occuper
de substances bien fragiles en ces
dernières semaines, avec l'histoire du
capitalisme. Je me suis assis alors
tard le soir et j'ai lu quelques pages
dans les "Noyaux germinatifs". Là,
l’air frais affluait de tous les
côtés ; on remarque qu’on est
fiché dans la vie réelle. Ne vous
inquiétez pas : la substance qui
repose devant nous dans les "Noyaux
germinatifs" n'est pas fragile, mais
la fragilité repose entièrement
ailleurs.
Seulement on n'a pas la permission
d’oublier quelque chose : Il
devrait y avoir là beaucoup plus
d'humains, alors la chose pourrait
déjà aller de l'avant. Quelques
ébauches ont déjà été données par le
Dr Unger et le Dr Koch : cette
invitation à l'adresse de ceux qui
veulent rattacher leur entreprise
parce qu'elle ne peut plus exister
seule, est certainement nécessaire
dans l'intérêt général. Nécessaire est
aussi l'invitation à ceux qui ont du
capital, de ne pas le donner aux
banques, où il sert seulement au
déclin. Il est nécessaire de ne pas
seulement rattacher de manière
économique unilatérale à cela, mais
d'agir économiquement et socialement
en expliquant d'une manière globale.
Cela a encore été très peu fait, et là
il y a beaucoup à faire pour le
prochain temps, nous devons, autant
que nous nous tenons à l'intérieur de
la vie de l'économie, commencer par
des faits concrets et se présenter en
expliquant devant l'humanité. On
devrait être en mesure de donner des
réponses sur des points tels que la
relation entre la surproduction et le
corps des entrepreneurs ou la cellule
d'origine de la vie de l'économie, ou
combien de travail sociétal serait en
fait absolument nécessaire si le
travail était distribué de manière
correcte, ou l'ensemble de la fixation
des prix - ce sont des points à côté
de beaucoup d'autres, sur lesquels
jusqu'à présent n'ont jamais été
données de réponses.
J’aimerais faire une demande concrète
aux personnes présentes. Je voudrais
demander à ceux qui croient qu'ils
sont capables de collaborer sur ce
sol, qu'ils aident par des conférences
et autres, mais surtout qu'ils
écrivent quelque chose sur les choses
concrètes de la vie de l'économie,
mais pas seulement unilatéralement
économique, mais devraient aussi
prendre en compte le besoin social.
J’aimerais vous demander de me
contacter pour des contributions
d’économie de peuple ou d'économie.
|
Emil Leinhas: Herr
Professor von Blume hat bereits auf
die Kraft hingewiesen, von der er
sagt, daß sie «stets das Böse will
und stets das Gute schafft». Ich
glaube, man kann nicht verkennen,
daß diese Kraft in außerordentlich
starker Weise tätig ist. Ich glaube
nicht, daß es genügt, nur ein klein
wenig nachzuhelfen, sondern so, wie
heute die Dinge liegen, wird es der
allerintensivsten Arbeit und
Wirksamkeit bedürfen, daß das Gute
herauskommen wird und nicht das
Böse. Wir haben dazu die Gedanken
der Dreigliederung des sozialen
Organismus, und wenn wir richtig
darinnenstehen, können wir diese
Gedanken auch weitervermitteln. Und
da muß ich zur Bemerkung von Herrn
Schmiedel, der Stoff sei «spröde»,
den wir da vor uns haben, sagen: Ich
bin gerade der gegenteiligen
Meinung; wir selbst sind zunächst
spröde, indem wir nicht richtig in
der Sache darinnenstehen.
Das ist die tatsächliche
Sprödigkeit, und nicht die
«Kernpunkte» und nicht die
Dreigliederung des sozialen
Organismus sind spröde. Ich habe
mich in den letzten Wochen mit recht
spröden Stoffen zu beschäftigen
gehabt, mit der Geschichte des
Kapitalismus. Ich habe mich dann
spat abends noch hingesetzt und ein
paar Seiten in den «Kernpunkten»
gelesen. Da strömte von allen Seiten
auf einmal frische Luft; man merkt,
daß man im wirklichen Leben
drinnensteckt. Seien Sie unbesorgt:
der Stoff, der uns vorliegt in den
«Kernpunkten», der ist nicht spröde,
sondern die Sprödigkeit liegt ganz
woanders.
Nur darf man etwas nicht vergessen:
Es müßten sehr viel mehr Menschen da
sein, dann könnte die Sache schon
vorwärtsgehen. Es sind ja schon von
Herrn Dr. Unger und Herrn Dr. Koch
einige Andeutungen gegeben worden:
Diese Aufforderung an die Adresse
derjenigen, die ihren Betrieb
anschließen wollen, weil er allein
nicht mehr existieren kann, ist
sicher im allgemeinen Interesse
notwendig. Notwendig ist auch die
Aufforderung an diejenigen, die
Kapital haben, es nicht den Banken
zu geben, wo es nur dem Untergange
dient. Es ist notwendig, nicht nur
in einseitig wirtschaftlicher Weise
an das anzuknüpfen, sondern in
umfassender Weise wirtschaftlich und
sozial aufklärend zu wirken. Da ist
noch sehr wenig getan worden, und da
außerordentlich viel für die nächste
Zeit zu tun ist, müssen wir, soweit
wir im Wirtschaftsleben
drinnenstehen, mit konkreten
Tatsachen anfangen und aufklärend
vor die Menschheit hintreten. Man
müßte Antworten geben können auf
solche Punkte wie zum Beispiel der
Zusammenhang zwischen der
Überproduktion und dem
Unternehmertum oder die Urzelle des
Wirtschaftslebens oder wieviel
gesellschaftliche Arbeit eigentlich
überhaupt notwendig wäre, wenn die
Arbeit in richtiger Weise verteilt
wäre, oder die ganze Preisgestaltung
- das sind Punkte neben vielen
anderen, auf die bisher noch keine
Antworten gegeben wurden.
Ich möchte eine konkrete
Aufforderung an die Anwesenden
richten. Ich möchte diejenigen
bitten, die glauben in der Lage zu
sein, auf diesem Boden mitarbeiten
zu können, daß sie durch Vorträge
und dergleichen helfen, vor allem
aber auch, daß sie etwas schreiben
über die konkreten Dinge des
Wirtschaftslebens, die aber nicht
nur einseitig das Wirtschaftliche,
sondern auch das Soziale
berücksichtigen müßten. Ich möchte
die Aufforderung an Sie richten,
sich bei mir zu melden für
volkswirtschaftliche oder
ökonomische Beiträge.
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