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Institut pour une tri-articulation sociale
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Collection 204  :

Banquiers, banque,... banqueroutes.




Original


Invitation à ceux qui ont du capital à ne pas le donner aux banques, où il sert seulement au déclin.

 Aufforderung an diejenigen, die über Kapital verfügen, dieses nicht an die Banken abzugeben, wo es nur zum Verfall verwendet wird.


 
Les références Rudolf Steiner Œuvres complètes ga 337b 185-186 (1999) 11/10/1920




Traducteur: FG v.01 - 12/05/2020                 Editeur : Site

Emil Leinhas : Le professeur von Blume a déjà indiqué sur la force, dont il dit qu'elle "veut constamment le mal et crée constamment le bien". Je crois qu'on ne peut pas sous-estimer que cette force est active d'une manière extraordinairement forte. Je ne crois pas que ça suffit de seulement aider un petit peu, mais ainsi que les choses reposent aujourd'hui, cela nécessitera le travail et l'efficacité les plus intensifs, qu'en sorte le bien, et non le mal. Nous avons pour cela les pensées de la tri-articulation de l'organisme social, et quand nous nous tenons correctement là-dedans, nous pouvons aussi continuer à transmettre ces pensées. Et là je dois dire à la remarque de M. Schmiedel, que la substance que nous avons là, devant nous, serait « fragile » : je suis tout de suite de l'avis contraire ; nous-mêmes sommes d'abord fragiles, en ce que nous ne nous tenons pas correctement dans la chose.
C'est la fragilité réelle, et ce ne sont pas les « noyaux germinatifs » et la tri-articulation de l'organisme social qui sont fragiles. J'ai eu à m’occuper de substances bien fragiles en ces dernières semaines, avec l'histoire du capitalisme. Je me suis assis alors tard le soir et j'ai lu quelques pages dans les "Noyaux germinatifs". Là, l’air frais affluait de tous les côtés ; on remarque qu’on est fiché dans la vie réelle. Ne vous inquiétez pas : la substance qui repose devant nous dans les "Noyaux germinatifs" n'est pas fragile, mais la fragilité repose entièrement ailleurs.
Seulement on n'a pas la permission d’oublier quelque chose : Il devrait y avoir là beaucoup plus d'humains, alors la chose pourrait déjà aller de l'avant. Quelques ébauches ont déjà été données par le Dr Unger et le Dr Koch : cette invitation à l'adresse de ceux qui veulent rattacher leur entreprise parce qu'elle ne peut plus exister seule, est certainement nécessaire dans l'intérêt général. Nécessaire est aussi l'invitation à ceux qui ont du capital, de ne pas le donner aux banques, où il sert seulement au déclin. Il est nécessaire de ne pas seulement rattacher de manière économique unilatérale à cela, mais d'agir économiquement et socialement en expliquant d'une manière globale. Cela a encore été très peu fait, et là il y a beaucoup à faire pour le prochain temps, nous devons, autant que nous nous tenons à l'intérieur de la vie de l'économie, commencer par des faits concrets et se présenter en expliquant devant l'humanité. On devrait être en mesure de donner des réponses sur des points tels que la relation entre la surproduction et le corps des entrepreneurs ou la cellule d'origine de la vie de l'économie, ou combien de travail sociétal serait en fait absolument nécessaire si le travail était distribué de manière correcte, ou l'ensemble de la fixation des prix - ce sont des points à côté de beaucoup d'autres, sur lesquels jusqu'à présent n'ont jamais été données de réponses.

J’aimerais faire une demande concrète aux personnes présentes. Je voudrais demander à ceux qui croient qu'ils sont capables de collaborer sur ce sol, qu'ils aident par des conférences et autres, mais surtout qu'ils écrivent quelque chose sur les choses concrètes de la vie de l'économie, mais pas seulement unilatéralement économique, mais devraient aussi prendre en compte le besoin social. J’aimerais vous demander de me contacter pour des contributions d’économie de peuple ou d'économie.

Emil Leinhas: Herr Professor von Blume hat bereits auf die Kraft hingewiesen, von der er sagt, daß sie «stets das Böse will und stets das Gute schafft». Ich glaube, man kann nicht verkennen, daß diese Kraft in außerordentlich starker Weise tätig ist. Ich glaube nicht, daß es genügt, nur ein klein wenig nachzuhelfen, sondern so, wie heute die Dinge liegen, wird es der allerintensivsten Arbeit und Wirksamkeit bedürfen, daß das Gute herauskommen wird und nicht das Böse. Wir haben dazu die Gedanken der Dreigliederung des sozialen Organismus, und wenn wir richtig darinnenstehen, können wir diese Gedanken auch weitervermitteln. Und da muß ich zur Bemerkung von Herrn Schmiedel, der Stoff sei «spröde», den wir da vor uns haben, sagen: Ich bin gerade der gegenteiligen Meinung; wir selbst sind zunächst spröde, indem wir nicht richtig in der Sache darinnenstehen.
Das ist die tatsächliche Sprödigkeit, und nicht die «Kernpunkte» und nicht die Dreigliederung des sozialen Organismus sind spröde. Ich habe mich in den letzten Wochen mit recht spröden Stoffen zu beschäftigen gehabt, mit der Geschichte des Kapitalismus. Ich habe mich dann spat abends noch hingesetzt und ein paar Seiten in den «Kernpunkten» gelesen. Da strömte von allen Seiten auf einmal frische Luft; man merkt, daß man im wirklichen Leben drinnensteckt. Seien Sie unbesorgt: der Stoff, der uns vorliegt in den «Kernpunkten», der ist nicht spröde, sondern die Sprödigkeit liegt ganz woanders.
Nur darf man etwas nicht vergessen: Es müßten sehr viel mehr Menschen da sein, dann könnte die Sache schon vorwärtsgehen. Es sind ja schon von Herrn Dr. Unger und Herrn Dr. Koch einige Andeutungen gegeben worden: Diese Aufforderung an die Adresse derjenigen, die ihren Betrieb anschließen wollen, weil er allein nicht mehr existieren kann, ist sicher im allgemeinen Interesse notwendig. Notwendig ist auch die Aufforderung an diejenigen, die Kapital haben, es nicht den Banken zu geben, wo es nur dem Untergange dient. Es ist notwendig, nicht nur in einseitig wirtschaftlicher Weise an das anzuknüpfen, sondern in umfassender Weise wirtschaftlich und sozial aufklärend zu wirken. Da ist noch sehr wenig getan worden, und da außerordentlich viel für die nächste Zeit zu tun ist, müssen wir, soweit wir im Wirtschaftsleben drinnenstehen, mit konkreten Tatsachen anfangen und aufklärend vor die Menschheit hintreten. Man müßte Antworten geben können auf solche Punkte wie zum Beispiel der Zusammenhang zwischen der Überproduktion und dem Unternehmertum oder die Urzelle des Wirtschaftslebens oder wieviel gesellschaftliche Arbeit eigentlich überhaupt notwendig wäre, wenn die Arbeit in richtiger Weise verteilt wäre, oder die ganze Preisgestaltung - das sind Punkte neben vielen anderen, auf die bisher noch keine Antworten gegeben wurden.

Ich möchte eine konkrete Aufforderung an die Anwesenden richten. Ich möchte diejenigen bitten, die glauben in der Lage zu sein, auf diesem Boden mitarbeiten zu können, daß sie durch Vorträge und dergleichen helfen, vor allem aber auch, daß sie etwas schreiben über die konkreten Dinge des Wirtschaftslebens, die aber nicht nur einseitig das Wirtschaftliche, sondern auch das Soziale berücksichtigen müßten. Ich möchte die Aufforderung an Sie richten, sich bei mir zu melden für volkswirtschaftliche oder ökonomische Beiträge.