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Institut pour une tri-articulation sociale
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Collection 204  :

Banquiers, banque,... banqueroutes.




Original


Et ainsi entra du grand capital, en particulier de gros intérêts durent être rassemblés pour le capital de banque.

 Und so kam das große Kapital, insbesondere mussten große Zinsen für das Bankkapital eingetrieben werden.


 
Les références Rudolf Steiner Œuvres complètes ga 337b 175-175 (1999) 11/10/1920




Traducteur: FG v.01 - 12/05/2020                 Editeur : Site

Carl Unger : J'aimerais suggérer que les détenteurs d'expériences, de capacités et de connaissances économiques, fassent la tentative de tendre des antennes des différents points centraux, afin que les expériences puissent aller là où une possibilité existe d'arriver à des relations économique réelles. Une liste a donc déjà été établie au « Futurum », où les hommes d'affaires doivent s'inscrire pour qu’avec cela de l'économique puisse se donner réellement.
J’aimerais parler moi-même de certains phénomènes typiques de la vie de l'économie, et pour cela prendre une petite entreprise de la branche des machines, comme exemple. La société a été fondée par moi en 1906 pour fabriquer certaines pièces de machines, après lesquelles était tout de suite un grand besoin à ce moment-là. Après l'ouverture, cela en vint, en 1907, à une crise majeure, où les ventes ont été défaillantes. Alors de gros capitaux durent y être fourrés, pour créer les bases techniques afin que le besoin pût être satisfait. En 1914, était tout d'abord un point haut ; au déclenchement de la guerre tout s'est arrêté complètement ; puis alors apparu, par la guerre elle-même, une sorte de demande tempétueuse ; il se présenta des difficultés de matières premières, des locaux devaient être créés. Et ainsi du grand capital entra, en particulier de gros intérêts durent être rassemblés pour le capital de banque. Avec la fin de la guerre s’installa une circulation de l'économie apparemment valable, il régna un niveau anormalement élevé de conjoncture. Il était nécessaire de chercher de nouvelles voies avec la compagnie des travailleurs, y jeter de nouveaux points de vue ; la tri-articulation s'est avérée pratique en cela. Je peux seulement évoquer cela. Il existait un grand besoin de capital. La hausse des prix/l'inflation a commencé sans qu'un contre-pilotage soit possible de l'autre côté. Dans cette situation, il s'est avéré que l'entreprise industrielle était un mangeur de capital, et il fallait se demander : une telle entreprise est-elle viable dans le sens d'une future vie de l’économie se façonnant elle-même ou non ? On se tenait devant différentes alternatives : soit on devait, devant la demande de capitaux débordante, avoir quelque chose à placer pour l'économie, qui donnait des espoirs pour l'avenir, chercher du contact/du rattachement avec quelque entreprise voisine. Ou vendre à des communautés d'entreprises pour ne pas être écrasé par le capitalisme. Ou, troisièmement, il y avait la possibilité d'envisager d'arracher l’exploitation de toute l'économie et de la démolir et de laisser la charrue aller sur fond et sol. Mais cela n'était pas abordable à cause des humains travaillant là-dedans.

Carl Unger: Ich möchte anregen, daß Träger wirtschaftlicher Erfahrungen, Fähigkeiten und Kenntnisse den Versuch machen, von den verschiedenen Mittelpunkten Fühlhörner auszustrecken, damit die Erfahrungen hinausdringen können, dahin, wo eine Möglichkeit besteht, zu realen Beziehungen wirtschaftlicher Art zu gelangen. Es wurde bereits ja auch eine Liste aufgelegt beim «Futurum», wo die Wirtschafter sich eintragen sollten, damit Wirtschaftliches sich real ergeben könne.


Ich möchte gewisse typische Erscheinungen aus dem Wirtschaftsleben selbst anführen und dabei einen kleinen Betrieb der Maschinenbranche als Beispiel nehmen. Das Unternehmen wurde 1906 von mir gegründet, um gewisse Teile von Maschinen herzustellen, nach denen damals gerade großer Bedarf war. Nach der Eröffnung kam es 1907 zur großen Krise, wo der Absatz stockend war. Dann mußten große Kapitalien hineingesteckt werden, um die technischen Grundlagen zu schaffen, damit der Bedarf gedeckt werden konnte. 1914 war zunächst ein Höhepunkt; bei Ausbruch des Krieges stockte alles völlig; durch den Krieg selbst trat dann eine Art stürmischer Nachfrage ein; es stellten sich Rohstoffschwierigkeiten ein, Räumlichkeiten mußten geschaffen werden. Und so trat Großkapital ein, insbesondere große Bankkapital-Verzinsungen mußten geschafft werden. Mit Ende des Krieges setzte ein scheinbar günstiger Wirtschaftsverkehr ein* es herrschte eine unnormal hohe Konjunktur. Es war notwendig, neue Wege mit der Arbeiterschaft zu suchen, neue Gesichtspunkte hereinzuwerfen; die Dreigliederung hat sich dabei praktisch bewährt. Ich kann das alles nur andeuten. Es bestand ein großer Kapitalbedarf. Die Teuerung setzte ein, ohne daß eine Gegensteuerung auf der anderen Seite möglich war. In dieser Situation zeigte sich, daß der Industriebetrieb ein Kapitalfresser war, und man mußte sich fragen: Ist ein solcher Betrieb lebensfähig im Sinne eines sich künftig selbst gestaltenden Wirtschaftslebens oder nicht? Man stand vor verschiedenen Alternativen: Entweder mußte man, um anstelle des überflutenden Kapitalbedarfs, der von anderer Seite gedeckt werden mußte, etwas zu stellen haben für die Wirtschaft, was für die Zukunft Hoffnungen ergibt, Anschluß suchen an irgendwelche benachbarten Betriebe. Oder man mußte, um nicht vom Kapitalismus erdrückt zu werden, an Betriebsgemeinschaften verkaufen. Oder drittens war die Möglichkeit zu erwägen, den Betrieb aus der ganzen Wirtschaft herauszureißen und niederzureißen und den Pflug über den Grund und Boden gehen zu lassen. Dies war aber wegen der darin arbeitenden Menschen nicht angängig.