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Collection 204  :

Banquiers, banque,... banqueroutes.




PRINCIPES DIRECTEURS POUR UNE
ENTREPRISE À CRÉER
 LEITGEDANKEN FÜR EINE
ZU GRÜNDENDE UNTERNEHMUNG

 


 

Les références Rudolf Steiner Œuvres complètesga 024 460-465 (1982) 30/11/1919

Original





Traducteur: FG v.02 - 30/12/2020 Éditeur: SITE

PRINCIPES DIRECTEURS POUR UNE
ENTREPRISE À CRÉER
Novembre 1919
Ce qu'il faut, c'est la création d'un institut semblable à une banque qui, par ses mesures financières, serve les entreprises économiques et spirituelles, qui sont orientées dans le sens de la vision du monde orientée selon l'anthroposophie, aussi bien d'après leurs objectifs que d'après leur attitude. Celle-ci devrait être différenciée des entreprises bancaires ordinaires en ce sens qu'elle ne sert pas seulement les points de vue financiers, mais aussi les opérations réelles, qui sont soutenues par ce qui est financier. Il sera donc particulièrement important que les prêts, etc., ne viennent pas en l'état sur les chemins comme cela se passe dans le système bancaire habituel, mais selon les points de vue factuels qui viennent en considération pour une opération qui devrait être entreprise. Le banquier devrait donc avoir moins le caractère d'un prêteur que celui d'un homme d'affaires, que celle d'un commercial se tenant dans la chose, qui peut mesurer avec un sens sain de la portée d'une opération à financer, et un sens des réalités peut atteindre les aménagements pour leur exécution.
Il s'agira principalement du financement de telles entreprises qui sont appropriées pour placer la vie économique sur un terrain associatif sain et de façonner la vie spirituelle de telle sorte que des talents légitimes soient amenés dans une position où par leur talent puisse se manifester d'une façon socialement fructueuse. Ce dont il s'agit particulièrement, est que, par exemple, des entreprises seront entrées qui dans l'instant dégagent bien, pour avec leur aide porter d'autres entreprises qui en premier dans un temps ultérieur et avant tout par la semence spirituelle qui est maintenant à y verser, qui en premier peut lever après quelque temps, ne porteront des fruits économiques qu'à l'avenir, peuvent apporter des fruits économiques. Il est nécessaire que les fonctionnaires de l'entreprise bancaire aient un aperçu de la manière dont la vision de la vie donnée par l'anthroposophie peut être transformée en une efficacité économiquement fructueuse. À cette fin, il est nécessaire d'établir un rapport strictement associatif entre les administrateurs de la banque et ceux qui, par leur efficacité idéaliste, peuvent promouvoir la compréhension pour une entreprise à placer dans la vie.
Un exemple : une personnalité a une idée qui promet une fécondité économique. Les représentants des idéaux de la vision du monde peuvent provoquer de la compréhension pour les conséquences sociales. Leur activité sera portée financièrement des contributions à rassembler, qui doivent porter la réalisation de l'idée en même temps économiquement et techniquement.
Au point central, il doit se tenir de porter les centrales du mouvement spirituel orienté selon l'anthroposophie elle-même. Le bâtiment à Dornach, par exemple, ne peut rien porter au début, néanmoins il produira un puissant rendement/bénéfice économique dans un temps ultérieur. Il devra être provoqué de la compréhension pour ce que chacun peut aussi la promouvoir par respect sa conscience financière, quand seulement il compte/calcule avec la fécondité matérielle dans un temps plus long.
  L'entreprise doit reposer sur la connaissance que les activités techniques, financières, etc. peuvent déployer des branches qui, certes livrent temporairement des résultats favorables pour l'entrepreneur individuel/isolé, mais qui ont un effet destructeur dans le contexte de l'ordre social. De nombreuses entreprises de la sorte la plus récente ont été orientées de cette façon. On les a fructifié, et tout de suite par leur fructification, on sapa l'ordre social. À cette sorte d'entreprise, il doit venir en vis-à-vis celles qui sont issues d'une pensée et d'un sentiment sains. Elles peuvent s'insérer dans l'ordre social de manière vraiment fructueuse. Mais elles peuvent seulement être portées par la manière sociale de penser stimulée par la science de l'esprit orientée selon l'anthroposophie.

Il est vrai qu'aussi une entreprise telle que celle caractérisée ici peut d'abord surmonter les possibilités sociales, techniques et financières de crise, et que les difficultés sociales lui feront face aussi longtemps que celles-ci, porteront encore à soi la véritable question du travailleur, qui provient encore la forme de l'ancien mode de production condamné aux crises. Les travailleurs associés/impliqués aux nouvelles entreprises se comporteront, par exemple, dans la différenciation de salaire comme ils se comportent envers les entreprises de l'ancien modèle. Seulement il ne faut pas sous-estimer, dans ce domaine, à quel moment une entreprise comme celle dont nous parlons ici doit avoir bientôt des conséquences sociales positives, lors d'une direction correcte. On verra cela. Et l'exemple sera convaincant. Lorsqu'une entreprise de ce type s'arrête, les travailleurs qui y sont impliqués auront déjà leurs convictions pour la remettre en marche. Car c'est seulement parce qu'on amène les travailleurs manuels et les dirigeants spirituels des entreprises par un mode de pensée qui fonctionne sur toutes les classes d'humains que peut-être travailler à l'encontre des forces de destruction sociale.
La condition de base est que les efforts spirituels doivent être intimement liés à tous les efforts matériels. Nous ne pouvons pas réaliser une telle orientation avec les forces dont dispose aujourd'hui le mouvement anthroposophique, car nous n'avons en son sein aucune entreprise pratique issue de ses propres forces, à l'exception de la maison d'édition anthroposophique de Berlin. Mais cela seul ne suffit pas pour donner l'exemple. Car son orientation économique n'est que l'expression extérieure de la puissance de la science de l'esprit en tant que telle. Seules les entreprises dont le contenu ne relève pas de la science de l'esprit en tant que telle, mais qui ont un contenu soutenu par le mode de pensée de la science de l'esprit, peuvent être véritablement exemplaires. Une école en tant que telle vient exemplairement en considération d'abord d'après cette direction pour premier alors quand elle est soutenue financièrement seulement par des entreprises telle que l'ensemble de leur institution est déjà issu de cercles spirituels-scientifiques. Et le bâtiment de Dornach pourra seulement prouver/avérer sa signification sociale lorsque, par les personnalités qui sont liées avec lui, des entreprises auront été appelées à la vie, telles qu'elles se portent elles-mêmes, qui apportent l'entretien leur revenant aux humains qui les maintiennent, et alors laissent encore tant de surplus/reste que le déficit toujours exigé d'une entreprise spirituelle puisse être couvert. En réalité, ce déficit n'en est en vérité aucun. Car justement, par ce qu'il apparaisse, sera provoquée la fructification des entreprises matérielles.
On doit seulement prendre les choses de façon vraiment pratique. Cela ne fait pas celui qui demande : comment devrait-on donc, dans le sens de la science de l'esprit orientée selon l'anthroposophie, faire une entreprise financière ou économique ? C'est tout simplement absurde/c'est simplement un non-sens. Ce dont il s'agit, c'est que les pouvoirs, organisés au sein du mouvement spirituel d'orientation anthroposophique, fassent les entreprises eux-mêmes, cela signifie que des banquiers, des fabricants, etc., se rassemblent avec ce mouvement afin que le bâtiment de Dornach devienne le véritable centre d'un nouvel esprit d'entreprise. C'est pourquoi, à Dornach aussi, des "programmes" "sociaux", "techniques", etc., ne devraient pas être dressés, mais devrait être créer avec le bâtiment le centre d'une manière de travailler qui devrait devenir la manière de travailler de l'avenir.
Qui se déciderait à accorder une aide financière aux entreprises de Dornach, il devra comprendre que nous en sommes déjà aussi loin que soutenir des entreprises au sens ancien du terme signifie ficher/foutre son argent dans de l'infructueux, et que veiller à son argent, signifie aujourd'hui porter des entreprises prometteuses d'avenir qui seules sont appropriées de résister aux forces dévastatrices. Les personnes myopes qui croient encore aujourd'hui que de telles choses n'ont jamais porté de fruits financiers ne se joindront certainement pas aux efforts de Dornach. Ceux qui se rattachent doivent être des gens clairvoyants, financièrement et économiquement très perspicaces, qui comprennent que continuer à s'embrouiller dans les vieilles habitudes signifie creuser une tombe sûre.
Ce sont ces humains qui, seuls, ne suivront pas les existences destructrices des quatre ou cinq dernières années. Travailler avec des entreprises du style de jusqu'à présent, ne signifie rien de plus qu'épuiser les réserves financières et économiques. Car aussi les réserves de la production de matières premières et agricoles, qui tiennent le plus longtemps, seront épuisées. Leur fructification financière et économique ne repose pas sur ce qu'elles sont là, mais dans ce que le travail soit possible, par lequel elles sont affectées à l'organisme social. Mais ce travail appartient absolument aux réserves. Tout pour l'avenir dépend de ce qu'aussi pour l'entreprise individuelle/particulière, un nouvel esprit reçoive la position dirigeante.

LEITGEDANKEN FÜR EINE
ZU GRÜNDENDE UNTERNEHMUNG
November 1919
Notwendig ist die Gründung eines bankähnlichen Instituts, das in seinen finanziellen Maßnahmen wirtschaftlichen und geistigen Unternehmungen dient, die im Sinne der anthroposophisch orientierten Weltanschauung sowohl nach ihren Zielen, wie nach ihrer Haltung orientiert sind. Unterschieden von den gewöhnlichen Bankunternehmungen soll dieses dadurch sein, daß es nicht nur den finanziellen Gesichtspunkten dient, sondern den realen Operationen, die durch das Finanzielle getragen werden. Es wird daher vor allem darauf ankommen, daß die Kredite etc. nicht auf dem Wege zustande kommen, wie dies im gewöhnlichen Bankwesen geschieht, sondern aus den sachlichen Gesichtspunkten, die für eine Operation in Betracht kommen, die unternommen werden soll. Der Bankier soll also weniger den Charakter des Leihers, als vielmehr den des in der Sache drinnenstehenden Kaufmanns haben, der mit gesundem Sinne die Tragweite einer zu finanzierenden Operation ermessen und mit Wirklichkeitssinn die Einrichtungen zu ihrer Ausführung treffen kann.
Es wird sich dabei hauptsächlich um die Finanzierung solcher Unternehmungen handeln, die geeignet sind, das wirtschaftliche Leben auf einen gesunden assoziativen Boden zu stellen und das geistige Leben so zu gestalten, daß berechtigte Begabungen in eine Position gebracht werden, durch die ihre Begabung in einer sozial fruchtbaren Art sich ausleben können. Worauf es besonders ankommt, ist, daß zum Beispiel Unternehmungen entriert werden, die augenblicklich gut rentieren, um mit ihrer Hilfe andere Unternehmungen zu tragen, die erst in späterer Zeit und vor allem durch die jetzt in sie zu gießende Geistessaat, die erst nach einiger Zeit aufgehen kann, wirtschaftliche Frucht bringen können.
Für die Beamten des Bankunternehmens ist es notwendig, daß sie eine Einsicht darin haben, wie die Lebensansicht, die mit der Anthroposophie gegeben ist, sich in wirtschaftlich fruchtbare Wirksamkeit umsetzt. Dazu ist notwendig, daß ein streng assoziatives Verhältnis hergestellt wird zwischen den Bankverwaltern und denen, die durch ihre ideelle Wirksamkeit das Verständnis für eine ins Leben zu setzende Unternehmung fördern können.
Ein Beispiel: eine Persönlichkeit hat eine Idee, die eine wirtschaftliche Fruchtbarkeit verspricht. Die Vertreter des Ideellen der Weltanschauung können Verständnis hervorrufen für die sozialen Folgen. Ihre Tätigkeit wird finanziell mitgetragen aus den aufzunehmenden Beträgen, die zugleich wirtschaftlich und technisch die Verwirklichung der Idee tragen sollen.
Im Mittelpunkt muß stehen, die Zentralen der anthroposophisch orientierten Geistesbewegung selbst zu tragen. Der Bau in Dornach kann zum Beispiel zunächst nichts tragen; dennoch wird er einen mächtigen auch wirtschaftlichen Ertrag in späterer Zeit bewirken. Es muß Verständnis dafür hervorgerufen werden, daß ihn jeder auch bei Achtung seines finanziellen Gewissens fördern kann, wenn er nur mit der materiellen Fruchtbarkeit in einer längeren Zeit rechnet.
Die Unternehmung muß auf der Erkenntnis ruhen, daß die technische, finanzielle etc. Tätigkeit Zweige entfalten kann, die zwar für den einzelnen Unternehmer zeitweilig zwar günstigen Resultate liefern, die aber im Zusammenhange der sozialen Ordnung zerstörend wirken. In dieser Art waren viele Unternehmungen der neuesten Art orientiert. Man fruktifizierte sie, und gerade durch. ihre Fruktifizierung untergrub man die soziale Ordnung. Dieser Art von Unternehmungen müssen solche gegenübertreten, die aus einem gesunden Denken und Empfinden heraus stammen. Sie können sich in wirklich fruchtbarer Art der sozialen Ordnung einfügen. Sie können aber nur aus der durch die anthroposophisch orientierte Geisteswissenschaft angeregten sozialen Denkweise getragen sein.

Es ist richtig, daß auch eine Unternehmung wie die hier charakterisierte zunächst nur die sozial-technischen und finanziellen Krisenmöglichkeiten überwinden kann, und daß ihr die sozialen Schwierigkeiten so lange gegenüberstehen werden, als diese als eigentliche Arbeiterfrage noch die Gestalt an sich tragen, die aus der zu Krisen verurteilten alten Produktionsweise stammen. Die an den neuen Unternehmungen beteiligten Arbeiter werden zum Beispiel in Lohndifferenzen sich gerade so verhalten, wie sie sich den Unternehmungen alten Stils gegenüber verhalten. Allein man darf bei solchen Dingen nicht unterschätzen, wie bald bei richtiger Führung ein Unternehmen der hier charakterisierten Art auch sozial günstige Folgen haben muß. Das wird man sehen. Und das Beispiel wird überzeugend wirken. Wenn eine Unternehmung dieser Art stocken wird, dann wird man die Arbeiter, die daran beteiligt sind, schon mit ihren Überzeugungen bei dem Wieder-in-Fluß-bringen haben. Denn nur dadurch, daß man durch eine auf alle Menschenklassen wirkende Denkungsart die Handarbeiter mit den geistigen Führern von Unternehmungen zu einem Interesse bringt, kann den sozialen Zerstörungskräften entgegengearbeitet werden.
Grundbedingung ist, daß die geistigen Bestrebungen mit allen materiellen innig verbunden werden. Wir können eine solche Orientierung mit den jetzt in der anthroposophischen Bewegung verfügbaren Kräften deshalb nicht erreichen, weil wir eben in ihrem Schoße keine praktische Unternehmung haben, die aus ihren eigenen Kräften hervorgewachsen ist, außer dem Berliner anthroposophischen Verlag. Doch genügt dieser allein nicht, um vorbildlich zu wirken. Denn seine ökonomische Orientierung ist nur der äußere Ausdruck der Schlagkraft der Geisteswissenschaft als solcher. Richtig vorbildlich können erst solche Unternehmungen wirken, die nicht die Geisteswissenschaft als solche zu ihrem Inhalte haben, sondern die einen von der geisteswissenschaftlichen Denkungsart getragenen Inhalt haben. Eine Schule als solche kommt vorbildlich zunächst nach dieser Richtung erst dann in Betracht, wenn sie finanziell von nur solchen Unternehmungen getragen wird, deren ganze Einrichtung schon aus geisteswissenschaftlichen Kreisen hervorgegangen ist. Und der Dornacher Bau wird seine soziale Bedeutung erst erweisen können, wenn durch die mit ihm verbundenen Persönlichkeiten solche Unternehmungen ins Leben gerufen worden sind, die sich selbst tragen, den sie haltenden Menschen gehörigen Unterhalt geben und dann noch so viel übrig lassen, daß das von einer geistigen Unternehmung immer geforderte Defizit gedeckt werden kann. Dieses Defizit ist ja in Wirklichkeit gar keines. Denn eben dadurch, daß es entsteht, wird die Fruktifizierung der materiellen Unternehmungen hervorgerufen.
Man muß nur die Dinge wirklich praktisch nehmen. Das tut derjenige nicht, der frägt: wie soll man also im Sinne der anthroposophisch orientierten Geisteswissenschaft ein finanzielles oder ökonomisches Unternehmen machen? Das ist einfach ein Unsinn. Es kommt darauf an, daß die in der anthroposophisch orientierten Geistesbewegung selbst organisierten Mächte die Unternehmungen machen, das heißt daß Bankiers, Fabrikanten etc. sich mit dieser Bewegung zusammenschließen, daß der Dornacher Bau der reale Mittelpunkt eines neuen Unternehmungsgeistes werde. Deshalb sollen auch in Dornach nicht «soziale», «technische» etc. «Programme» aufgestellt werden, sondern es soll mit dem Bau der Mittelpunkt einer Arbeitsweise geschaffen werden, welche die Arbeitsweise der Zukunft werden soll.
Wer sich dazu entschließen wird, zu den Dornacher Unternehmungen finanzielle Beihilfe zu gewähren, der wird verstehen müssen, daß wir heute schon so weit sind, daß Unternehmungen im alten Sinne unterstützen heißt, sein Geld in Unfruchtbares stecken, und daß für sein Geld sorgen, heute heißt, zukunftversprechende Unternehmungen zu tragen, die allein geeignet sind, den verwüstenden Kräften standzuhalten. Kurzsichtige Leute, die heute noch glauben: so etwas hat noch nie finanzielle Früchte getragen, werden sicher den Dornacher Bestrebungen sich nicht anschließen. Die sich anschließen, müssen weitsichtige, finanziell und ökonomisch wirklich urteilsfähige Leute sein, die einsehen, daß Fortfahren-wollen in den alten Bahnen weiterzuwursteln, heißt: sich ein sicheres Grab graben.
Diese Menschen werden es allein sein, die den zerstörenden Existenzen der letzten vier bis fünf Jahre nicht nachfolgen werden. Mit Unternehmungen des bisherigen Stils arbeiten, heißt weiter nichts, als die finanziellen und ökonomischen Reserven aufbrauchen. Denn auch die Reserven der Rohstoff- und Landwirtschaftsproduktion, die am längsten halten, werden aufgebraucht. Ihre finanzielle und ökonomische Fruktifikation liegt nämlich doch nicht darinnen, daß sie da sind, sondern daß die Arbeit möglich ist, durch die sie dem sozialen Organismus zugeführt werden. Diese Arbeit gehört aber durchaus zu den Reserven. Alles für die Zukunft hängt davon ab, daß auch für die Einzelunternehmung ein neuer Geist die führende Stellung bekomme.