PRINCIPES DIRECTEURS POUR UNE
ENTREPRISE À CRÉER
Novembre 1919
Ce qu'il faut, c'est la création d'un
institut semblable à une banque qui,
par ses mesures financières, serve les
entreprises économiques et
spirituelles, qui sont orientées dans
le sens de la vision du monde orientée
selon l'anthroposophie, aussi bien
d'après leurs objectifs que d'après
leur attitude. Celle-ci devrait être
différenciée des entreprises bancaires
ordinaires en ce sens qu'elle ne sert
pas seulement les points de vue
financiers, mais aussi les opérations
réelles, qui sont soutenues par ce qui
est financier. Il sera donc
particulièrement important que les
prêts, etc., ne viennent pas en l'état
sur les chemins comme cela se passe
dans le système bancaire habituel,
mais selon les points de vue factuels
qui viennent en considération pour une
opération qui devrait être entreprise.
Le banquier devrait donc avoir moins
le caractère d'un prêteur que celui
d'un homme d'affaires, que celle d'un
commercial se tenant dans la chose,
qui peut mesurer avec un sens sain de
la portée d'une opération à financer,
et un sens des réalités peut atteindre
les aménagements pour leur exécution.
Il s'agira principalement du
financement de telles entreprises qui
sont appropriées pour placer la vie
économique sur un terrain associatif
sain et de façonner la vie spirituelle
de telle sorte que des talents
légitimes soient amenés dans une
position où par leur talent puisse se
manifester d'une façon socialement
fructueuse. Ce dont il s'agit
particulièrement, est que, par
exemple, des entreprises seront
entrées qui dans l'instant dégagent
bien, pour avec leur aide porter
d'autres entreprises qui en premier
dans un temps ultérieur et avant tout
par la semence spirituelle qui est
maintenant à y verser, qui en premier
peut lever après quelque temps, ne
porteront des fruits économiques qu'à
l'avenir, peuvent apporter des fruits
économiques. Il est nécessaire que les
fonctionnaires de l'entreprise
bancaire aient un aperçu de la manière
dont la vision de la vie donnée par
l'anthroposophie peut être transformée
en une efficacité économiquement
fructueuse. À cette fin, il est
nécessaire d'établir un rapport
strictement associatif entre les
administrateurs de la banque et ceux
qui, par leur efficacité idéaliste,
peuvent promouvoir la compréhension
pour une entreprise à placer dans la
vie.
Un exemple : une personnalité a
une idée qui promet une fécondité
économique. Les représentants des
idéaux de la vision du monde peuvent
provoquer de la compréhension pour les
conséquences sociales. Leur activité
sera portée financièrement des
contributions à rassembler, qui
doivent porter la réalisation de
l'idée en même temps économiquement et
techniquement.
Au point central, il doit se
tenir de porter les centrales du
mouvement spirituel orienté selon
l'anthroposophie elle-même. Le
bâtiment à Dornach, par exemple, ne
peut rien porter au début, néanmoins
il produira un puissant
rendement/bénéfice économique dans un
temps ultérieur. Il devra être
provoqué de la compréhension pour ce
que chacun peut aussi la promouvoir
par respect sa conscience financière,
quand seulement il compte/calcule avec
la fécondité matérielle dans un temps
plus long.
L'entreprise doit reposer sur
la connaissance que les activités
techniques, financières, etc. peuvent
déployer des branches qui, certes
livrent temporairement des résultats
favorables pour l'entrepreneur
individuel/isolé, mais qui ont un
effet destructeur dans le contexte de
l'ordre social. De nombreuses
entreprises de la sorte la plus
récente ont été orientées de cette
façon. On les a fructifié, et tout de
suite par leur fructification, on sapa
l'ordre social. À cette sorte
d'entreprise, il doit venir en
vis-à-vis celles qui sont issues d'une
pensée et d'un sentiment sains. Elles
peuvent s'insérer dans l'ordre social
de manière vraiment fructueuse. Mais
elles peuvent seulement être portées
par la manière sociale de penser
stimulée par la science de l'esprit
orientée selon l'anthroposophie.
Il est vrai qu'aussi une entreprise
telle que celle caractérisée ici peut
d'abord surmonter les possibilités
sociales, techniques et financières de
crise, et que les difficultés sociales
lui feront face aussi longtemps que
celles-ci, porteront encore à soi la
véritable question du travailleur, qui
provient encore la forme de l'ancien
mode de production condamné aux
crises. Les travailleurs
associés/impliqués aux nouvelles
entreprises se comporteront, par
exemple, dans la différenciation de
salaire comme ils se comportent envers
les entreprises de l'ancien modèle.
Seulement il ne faut pas sous-estimer,
dans ce domaine, à quel moment une
entreprise comme celle dont nous
parlons ici doit avoir bientôt des
conséquences sociales positives, lors
d'une direction correcte. On verra
cela. Et l'exemple sera convaincant.
Lorsqu'une entreprise de ce type
s'arrête, les travailleurs qui y sont
impliqués auront déjà leurs
convictions pour la remettre en
marche. Car c'est seulement parce
qu'on amène les travailleurs manuels
et les dirigeants spirituels des
entreprises par un mode de pensée qui
fonctionne sur toutes les classes
d'humains que peut-être travailler à
l'encontre des forces de destruction
sociale.
La condition de base est que les
efforts spirituels doivent être
intimement liés à tous les efforts
matériels. Nous ne pouvons pas
réaliser une telle orientation avec
les forces dont dispose aujourd'hui le
mouvement anthroposophique, car nous
n'avons en son sein aucune entreprise
pratique issue de ses propres forces,
à l'exception de la maison d'édition
anthroposophique de Berlin. Mais cela
seul ne suffit pas pour donner
l'exemple. Car son orientation
économique n'est que l'expression
extérieure de la puissance de la
science de l'esprit en tant que telle.
Seules les entreprises dont le contenu
ne relève pas de la science de
l'esprit en tant que telle, mais qui
ont un contenu soutenu par le mode de
pensée de la science de l'esprit,
peuvent être véritablement
exemplaires. Une école en tant que
telle vient exemplairement en
considération d'abord d'après cette
direction pour premier alors quand
elle est soutenue financièrement
seulement par des entreprises telle
que l'ensemble de leur institution est
déjà issu de cercles
spirituels-scientifiques. Et le
bâtiment de Dornach pourra seulement
prouver/avérer sa signification
sociale lorsque, par les personnalités
qui sont liées avec lui, des
entreprises auront été appelées à la
vie, telles qu'elles se portent
elles-mêmes, qui apportent l'entretien
leur revenant aux humains qui les
maintiennent, et alors laissent encore
tant de surplus/reste que le déficit
toujours exigé d'une entreprise
spirituelle puisse être couvert. En
réalité, ce déficit n'en est en vérité
aucun. Car justement, par ce qu'il
apparaisse, sera provoquée la
fructification des entreprises
matérielles.
On doit seulement prendre les choses
de façon vraiment pratique. Cela ne
fait pas celui qui demande :
comment devrait-on donc, dans le sens
de la science de l'esprit orientée
selon l'anthroposophie, faire une
entreprise financière ou
économique ? C'est tout
simplement absurde/c'est simplement un
non-sens. Ce dont il s'agit, c'est que
les pouvoirs, organisés au sein du
mouvement spirituel d'orientation
anthroposophique, fassent les
entreprises eux-mêmes, cela signifie
que des banquiers, des fabricants,
etc., se rassemblent avec ce mouvement
afin que le bâtiment de Dornach
devienne le véritable centre d'un
nouvel esprit d'entreprise. C'est
pourquoi, à Dornach aussi, des
"programmes" "sociaux", "techniques",
etc., ne devraient pas être dressés,
mais devrait être créer avec le
bâtiment le centre d'une manière de
travailler qui devrait devenir la
manière de travailler de l'avenir.
Qui se déciderait à accorder une aide
financière aux entreprises de Dornach,
il devra comprendre que nous en sommes
déjà aussi loin que soutenir des
entreprises au sens ancien du terme
signifie ficher/foutre son argent dans
de l'infructueux, et que veiller à son
argent, signifie aujourd'hui porter
des entreprises prometteuses d'avenir
qui seules sont appropriées de
résister aux forces dévastatrices. Les
personnes myopes qui croient encore
aujourd'hui que de telles choses n'ont
jamais porté de fruits financiers ne
se joindront certainement pas aux
efforts de Dornach. Ceux qui se
rattachent doivent être des gens
clairvoyants, financièrement et
économiquement très perspicaces, qui
comprennent que continuer à
s'embrouiller dans les vieilles
habitudes signifie creuser une tombe
sûre.
Ce sont ces humains qui, seuls, ne
suivront pas les existences
destructrices des quatre ou cinq
dernières années. Travailler avec des
entreprises du style de jusqu'à
présent, ne signifie rien de plus
qu'épuiser les réserves financières et
économiques. Car aussi les réserves de
la production de matières premières et
agricoles, qui tiennent le plus
longtemps, seront épuisées. Leur
fructification financière et
économique ne repose pas sur ce
qu'elles sont là, mais dans ce que le
travail soit possible, par lequel
elles sont affectées à l'organisme
social. Mais ce travail appartient
absolument aux réserves. Tout pour
l'avenir dépend de ce qu'aussi pour
l'entreprise
individuelle/particulière, un nouvel
esprit reçoive la position dirigeante.
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LEITGEDANKEN
FÜR EINE
ZU GRÜNDENDE UNTERNEHMUNG
November 1919
Notwendig ist die Gründung eines
bankähnlichen Instituts, das in seinen
finanziellen Maßnahmen wirtschaftlichen
und geistigen Unternehmungen dient, die
im Sinne der anthroposophisch
orientierten Weltanschauung sowohl nach
ihren Zielen, wie nach ihrer Haltung
orientiert sind. Unterschieden von den
gewöhnlichen Bankunternehmungen soll
dieses dadurch sein, daß es nicht nur
den finanziellen Gesichtspunkten dient,
sondern den realen Operationen, die
durch das Finanzielle getragen werden.
Es wird daher vor allem darauf ankommen,
daß die Kredite etc. nicht auf dem Wege
zustande kommen, wie dies im
gewöhnlichen Bankwesen geschieht,
sondern aus den sachlichen
Gesichtspunkten, die für eine Operation
in Betracht kommen, die unternommen
werden soll. Der Bankier soll also
weniger den Charakter des Leihers, als
vielmehr den des in der Sache
drinnenstehenden Kaufmanns haben, der
mit gesundem Sinne die Tragweite einer
zu finanzierenden Operation ermessen und
mit Wirklichkeitssinn die Einrichtungen
zu ihrer Ausführung treffen kann.
Es wird sich dabei hauptsächlich um die
Finanzierung solcher Unternehmungen
handeln, die geeignet sind, das
wirtschaftliche Leben auf einen gesunden
assoziativen Boden zu stellen und das
geistige Leben so zu gestalten, daß
berechtigte Begabungen in eine Position
gebracht werden, durch die ihre Begabung
in einer sozial fruchtbaren Art sich
ausleben können. Worauf es besonders
ankommt, ist, daß zum Beispiel
Unternehmungen entriert werden, die
augenblicklich gut rentieren, um mit
ihrer Hilfe andere Unternehmungen zu
tragen, die erst in späterer Zeit und
vor allem durch die jetzt in sie zu
gießende Geistessaat, die erst nach
einiger Zeit aufgehen kann,
wirtschaftliche Frucht bringen können.
Für die Beamten des Bankunternehmens ist
es notwendig, daß sie eine Einsicht
darin haben, wie die Lebensansicht, die
mit der Anthroposophie gegeben ist, sich
in wirtschaftlich fruchtbare Wirksamkeit
umsetzt. Dazu ist notwendig, daß ein
streng assoziatives Verhältnis
hergestellt wird zwischen den
Bankverwaltern und denen, die durch ihre
ideelle Wirksamkeit das Verständnis für
eine ins Leben zu setzende Unternehmung
fördern können.
Ein Beispiel: eine Persönlichkeit hat
eine Idee, die eine wirtschaftliche
Fruchtbarkeit verspricht. Die Vertreter
des Ideellen der Weltanschauung können
Verständnis hervorrufen für die sozialen
Folgen. Ihre Tätigkeit wird finanziell
mitgetragen aus den aufzunehmenden
Beträgen, die zugleich wirtschaftlich
und technisch die Verwirklichung der
Idee tragen sollen.
Im Mittelpunkt muß stehen, die Zentralen
der anthroposophisch orientierten
Geistesbewegung selbst zu tragen. Der
Bau in Dornach kann zum Beispiel
zunächst nichts tragen; dennoch wird er
einen mächtigen auch wirtschaftlichen
Ertrag in späterer Zeit bewirken. Es muß
Verständnis dafür hervorgerufen werden,
daß ihn jeder auch bei Achtung seines
finanziellen Gewissens fördern kann,
wenn er nur mit der materiellen
Fruchtbarkeit in einer längeren Zeit
rechnet.
Die Unternehmung muß auf der Erkenntnis
ruhen, daß die technische, finanzielle
etc. Tätigkeit Zweige entfalten kann,
die zwar für den einzelnen Unternehmer
zeitweilig zwar günstigen Resultate
liefern, die aber im Zusammenhange der
sozialen Ordnung zerstörend wirken. In
dieser Art waren viele Unternehmungen
der neuesten Art orientiert. Man
fruktifizierte sie, und gerade durch.
ihre Fruktifizierung untergrub man die
soziale Ordnung. Dieser Art von
Unternehmungen müssen solche
gegenübertreten, die aus einem gesunden
Denken und Empfinden heraus stammen. Sie
können sich in wirklich fruchtbarer Art
der sozialen Ordnung einfügen. Sie
können aber nur aus der durch die
anthroposophisch orientierte
Geisteswissenschaft angeregten sozialen
Denkweise getragen sein.
Es ist richtig, daß auch eine
Unternehmung wie die hier
charakterisierte zunächst nur die
sozial-technischen und finanziellen
Krisenmöglichkeiten überwinden kann, und
daß ihr die sozialen Schwierigkeiten so
lange gegenüberstehen werden, als diese
als eigentliche Arbeiterfrage noch die
Gestalt an sich tragen, die aus der zu
Krisen verurteilten alten
Produktionsweise stammen. Die an den
neuen Unternehmungen beteiligten
Arbeiter werden zum Beispiel in
Lohndifferenzen sich gerade so
verhalten, wie sie sich den
Unternehmungen alten Stils gegenüber
verhalten. Allein man darf bei solchen
Dingen nicht unterschätzen, wie bald bei
richtiger Führung ein Unternehmen der
hier charakterisierten Art auch sozial
günstige Folgen haben muß. Das wird man
sehen. Und das Beispiel wird überzeugend
wirken. Wenn eine Unternehmung dieser
Art stocken wird, dann wird man die
Arbeiter, die daran beteiligt sind,
schon mit ihren Überzeugungen bei dem
Wieder-in-Fluß-bringen haben. Denn nur
dadurch, daß man durch eine auf alle
Menschenklassen wirkende Denkungsart die
Handarbeiter mit den geistigen Führern
von Unternehmungen zu einem Interesse
bringt, kann den sozialen
Zerstörungskräften entgegengearbeitet
werden.
Grundbedingung ist, daß die geistigen
Bestrebungen mit allen materiellen innig
verbunden werden. Wir können eine solche
Orientierung mit den jetzt in der
anthroposophischen Bewegung verfügbaren
Kräften deshalb nicht erreichen, weil
wir eben in ihrem Schoße keine
praktische Unternehmung haben, die aus
ihren eigenen Kräften hervorgewachsen
ist, außer dem Berliner
anthroposophischen Verlag. Doch genügt
dieser allein nicht, um vorbildlich zu
wirken. Denn seine ökonomische
Orientierung ist nur der äußere Ausdruck
der Schlagkraft der Geisteswissenschaft
als solcher. Richtig vorbildlich können
erst solche Unternehmungen wirken, die
nicht die Geisteswissenschaft als solche
zu ihrem Inhalte haben, sondern die
einen von der geisteswissenschaftlichen
Denkungsart getragenen Inhalt haben.
Eine Schule als solche kommt vorbildlich
zunächst nach dieser Richtung erst dann
in Betracht, wenn sie finanziell von nur
solchen Unternehmungen getragen wird,
deren ganze Einrichtung schon aus
geisteswissenschaftlichen Kreisen
hervorgegangen ist. Und der Dornacher
Bau wird seine soziale Bedeutung erst
erweisen können, wenn durch die mit ihm
verbundenen Persönlichkeiten solche
Unternehmungen ins Leben gerufen worden
sind, die sich selbst tragen, den sie
haltenden Menschen gehörigen Unterhalt
geben und dann noch so viel übrig
lassen, daß das von einer geistigen
Unternehmung immer geforderte Defizit
gedeckt werden kann. Dieses Defizit ist
ja in Wirklichkeit gar keines. Denn eben
dadurch, daß es entsteht, wird die
Fruktifizierung der materiellen
Unternehmungen hervorgerufen.
Man muß nur die Dinge wirklich praktisch
nehmen. Das tut derjenige nicht, der
frägt: wie soll man also im Sinne der
anthroposophisch orientierten
Geisteswissenschaft ein finanzielles
oder ökonomisches Unternehmen machen?
Das ist einfach ein Unsinn. Es kommt
darauf an, daß die in der
anthroposophisch orientierten
Geistesbewegung selbst organisierten
Mächte die Unternehmungen machen, das
heißt daß Bankiers, Fabrikanten etc.
sich mit dieser Bewegung
zusammenschließen, daß der Dornacher Bau
der reale Mittelpunkt eines neuen
Unternehmungsgeistes werde. Deshalb
sollen auch in Dornach nicht «soziale»,
«technische» etc. «Programme»
aufgestellt werden, sondern es soll mit
dem Bau der Mittelpunkt einer
Arbeitsweise geschaffen werden, welche
die Arbeitsweise der Zukunft werden
soll.
Wer sich dazu entschließen wird, zu den
Dornacher Unternehmungen finanzielle
Beihilfe zu gewähren, der wird verstehen
müssen, daß wir heute schon so weit
sind, daß Unternehmungen im alten Sinne
unterstützen heißt, sein Geld in
Unfruchtbares stecken, und daß für sein
Geld sorgen, heute heißt,
zukunftversprechende Unternehmungen zu
tragen, die allein geeignet sind, den
verwüstenden Kräften standzuhalten.
Kurzsichtige Leute, die heute noch
glauben: so etwas hat noch nie
finanzielle Früchte getragen, werden
sicher den Dornacher Bestrebungen sich
nicht anschließen. Die sich anschließen,
müssen weitsichtige, finanziell und
ökonomisch wirklich urteilsfähige Leute
sein, die einsehen, daß
Fortfahren-wollen in den alten Bahnen
weiterzuwursteln, heißt: sich ein
sicheres Grab graben.
Diese Menschen werden es allein sein,
die den zerstörenden Existenzen der
letzten vier bis fünf Jahre nicht
nachfolgen werden. Mit Unternehmungen
des bisherigen Stils arbeiten, heißt
weiter nichts, als die finanziellen und
ökonomischen Reserven aufbrauchen. Denn
auch die Reserven der Rohstoff- und
Landwirtschaftsproduktion, die am
längsten halten, werden aufgebraucht.
Ihre finanzielle und ökonomische
Fruktifikation liegt nämlich doch nicht
darinnen, daß sie da sind, sondern daß
die Arbeit möglich ist, durch die sie
dem sozialen Organismus zugeführt
werden. Diese Arbeit gehört aber
durchaus zu den Reserven. Alles für die
Zukunft hängt davon ab, daß auch für die
Einzelunternehmung ein neuer Geist die
führende Stellung bekomme.
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