Parmi les conférences que j'ai tenues ici dans les derniers temps,
un nombre était sur la question
sociale aujourd'hui pressante et
brûlante. Ce qu'on appelle question
sociale depuis longtemps, aussi dans
le présent, est quelque chose de
pressant et brûlant, chacun peut
savoir cela aujourd'hui, qui
n'observe pas les événements dans
lesquels est enserré son propre être
là/sa propre existence comme un
dormeur de l'âme. Dans quelle
mesure, dans les nécessités de
l'humanité moderne, et dans quelle
mesure dans les toutes récentes
évolutions de l'humanité, la
question sociale a pris une certaine
forme - la forme qui et aujourd'hui
décisive pour la vie - cela pourra
être vu des conférences, que j'ai
tenues ici, et que j'ai aussi tenues
publiquement, au moins dans leur
extrait, dans des endroits
particuliers de la Suisse. Ainsi,
parmi nous, qui sommes imbriqués
dans le mouvement anthroposophique ,
est venu, dans me certaine mesure,
le besoin , aussi de nos points de
vue sur le destin de l'humanité,
notamment aussi en rapport à la
question sociale, d'arriver
n'importe comment à un jugement que
nous pourrions transposer autant que
possible dans la réalité.
Depuis longtemps déjà des membres de chez nous se sont
efforcés de placer leur force au
service de notre temps si difficile.
Maint a été pensé, maint a été pris
en considération. Évidemment mes
chers amis chacun peut donc
seulement vouloir intervenir dans
les évènements de la manière dont il
lui est prescrit, par son destin,
son karma, par disons sa position
d'humanité. Maintenant, des
différentes aspirations, qui sont
venues de notre centre, se donna ce
qui suit : les trois messieurs qui
se le sont fixé pour tâche
particulière , de travailler à
Stuttgart dans un sens qui est à la
mesure de notre temps actuel , ces
trois messieurs, que vous connaissez
donc bien -
Monsieur Molt,
Monsieur le Dr Boos,
Monsieur Kühn –paraissent
chez moi début février, et il
apparait l'intention, que nous
pourrions rendre, dans une certaine
mesure pratique, aussi bien que cela
va d'abord et comme cela semble tout
d'abord approprié, ce que nous
pouvons gagner de notre conception
du monde et de notre façon de voir
la vie.
Maintenant, mes chers amis, quand il ne s'agit pas de
considérations, mais de réalité,
alors il peut toujours seulement
être parlé de ce qui est adéquat, de
ce qui correspond à un instant
entièrement déterminé; ce qui est
approprié pour faire comme un début
sous une certaine relation. Qui ne
veut pas faire un début, un début
adapté, mais aussitôt, comme on dit,
tomber dans la maison avec la
porte/enfoncer la porte, n'obtiendra
en règle générale rien de
particulier.
D'après
les
antécédents qui préexistaient là, il
s'agissait pour nous de faire tout
d'abord quelque chose qui puisse
nous sembler correct dans le moment
actuel tout de suite en rapport au
peuple allemand fortement éprouvé.
Quand on jette un coup d'œil sur les
événements actuels, alors se
présente donc comme manifestation
significative - je l'ai souvent
caractérisée ici -, tout d'abord
qu'une faille, un abîme est entre
les classes d'humains : d'un côté
tout ce qu'étaient jusqu'à présent
les habiles des plus ou moins
cercles dirigeants l'humanité - de
l'autre côté justement tout de suite
le prolétariat montant avec les
exigences réelles de la question
sociale.
Pour celui qui est avisé, le
prolétariat vient toutefois en
considération en deux formes :
le prolétariat comme tel et les
guides du prolétariat. J'ai souvent
expliqué ici comment toutes les
pensées, les ressentis, les
aspirations, les impulsions, qu'ont
dans leurs têtes les guides du
prolétariat, et desquels ils gagnent
leur influence à l'intérieur du
prolétariat, sont au fond l'héritage
de la pensée bourgeoise du siècle
dernier. Maintenant, là-dessus nous
avons donc parlé ici des différents
points de vue et tenté d'étayer les
choses.
Donc
une des manifestations les plus
significative reste quand même celle
qu’il est, disons, une profonde
faille entre ces deux groupes
d’humains. Dans les derniers jours,
à chacun qui vit avec l'histoire du
temps, cette faille pouvait donc
apparaître clairement devant les
yeux : d'un côté Paris, où d'un
certain point de vue, qui est
justement celui des cercles
dirigeants jusqu' à présent, cette
habileté de l'humanité et du présent
seront prise en mains - de l'autre
côté Berne avec un rassemblement
dans lequel vit tout ce qui est
séparé des autres par une profonde
faille. Qui a attentivement suivi ce
qui se passe à Paris, qui a
attentivement suivi ce qui a été
tenté à Berne au congrès socialiste,
celui-là ne pourra pas faire
autrement que s'avouer que
l'essentiel, ce qui significatif,
durable interviendra dans
l'évolution de l'humanité, tout
d'abord n'est volontiers pas du tout
ce qui sera pensé et voulu à Paris,
à Berne, mais l'essentiel est qu'a
ces deux endroits, deux langues
sociales entièrement différentes
seront parlées.
Et quand on est intérieurement
sincère, ainsi on ne peut rien
d'autre que s'avouer : Ce sont deux
langues totalement différentes l'une
de l'autre, dans lesquelles on ne
peut pour l'instant pas se
comprendre.
C'est
une manifestation importante si
fondamentale, une manifestation si
significative, que tout de suite
lors de considérations en faisant
partie, l'exactitude de ce que j'ai
souvent dit ici peut frapper chacun
: pour comprendre ces choses, pour
participer aux possibilités de
solutions de ces choses, est
nécessaire la recherche de
fondements beaucoup plus profonds
que ne sont les bases qui seront
cherchées d'un côté ou de l'autre
aujourd'hui. Cela vous vient
toujours à nouveau ainsi que je l'ai
dit hier à Bâle dans la conférence
publique : aujourd'hui la question
sociale, le mouvement social est là
par dessus une grande partie de
l'humanité civilisée déjà comme une
questions de fait, comme une
question d’événement d'une
signification tellement décisive
dans la vie historique de l'humanité
qu’à peine quelque chose d’autre l’a
été dans cette vie historique pour
toute l'humanité de la Terre; car
cela s'annonce ainsi à chaque
regard. Les bases doivent être plus
profondes. Et combien souvent j'ai
rendu attentif sur cela ici :
les bases plus profondes, on les
trouvera seulement dans cette
contemplation/observation de la
réalité, de laquelle sera parti,
dans le mouvement de science de
l'esprit, dans la science de
l'esprit orientée
anthroposophiquement, aussi pour
l’observation sociale de la vie et
des choses.
Lors
de notre considération de la Saint
sylvestre, j'ai tout de suite
indiqué, comme je le crois, sur
quelque chose de significatif, sur
ce qu’il est aujourd'hui possible
d'être pessimiste, entièrement et
seulement, en rapport à l'humanité,
d'être pessimiste, non sur la base
d'un quelque jugent émotionnel, mais
sur la base d'un véritable calcul
social. Je vous ai, cette fois là,
lu un essai d'un homme qui peut
ainsi réellement calculer social. Et
je vous ai dis ; c'est seulement
sobre, de penser ainsi avec
pessimisme quand on ne peut pas
avoir encore, de l'autre côté, la
pleine conscience que se-tourner
vers l'esprit peut encore aider.
Mais cette conscience devrait
toujours s'élargir de plus en plus
loin, que c’est seulement raison de
croire à des forces destructrices,
qui œuvreront terriblement dans les
prochaines décennies quand les
humains ne veulent pas se tourner à
l’observation de la réalité qui
provient de la science de l'esprit.
Évidement ne sont pas pensé les
dogmes de l'une ou l'autre direction
de science de l'esprit, mais est
absolument pensé à un appeler aux
forces de l'esprit qui peuvent
seules être les forces salutaires et
aidantes en ce point tournant de
l'évolution de l'humanité.
Ainsi
cette
science de l'esprit orientée
anthroposophiquement, parce que elle
n'est pas jaillie d'un arbitraire,
mais des forces du temps, sera d'une
certaine manière, au sens le plus
éminent, dans un de ses membres, un
médicament du temps au sens le plus
éminent. Elle n'a donc vraiment pas
jaillit de l'arbitraire. Elle n'est
donc vraiment pas un programme d'un
seul ou d'individus particuliers,
mais elle provient de l'observation
de ce que la direction spirituelle
du monde elle-même dicte comme
nécessaire pour rentrer dans
l'actuel déroulement de l'humanité.
C'est pourquoi on peut seulement
parler ainsi de la science de
l'esprit orientée
anthroposophiquement, sinon
un tel parler serait donc évidemment
une prétention. Mais ce qui provient
d'après son origine d’une modestie
sincère, a besoin, quand cela veut
se faire valoir, de ne pas
s'effrayer devant le reproche que
peut faireze » la folie qu'il
s'agit d'une prétention.
On
peut dire, de Paris rayonne de tout
ce qui fluait de l'élan d'une
conception de vie, qui montre
clairement qu'elle s'est conduite à
l'absurde dans les quatre dernières
années et demi. De Berne fluait ce
qu'un nombre d’humains tient pour un
médicament, mais qui n'est pas créé
d'une source suffisamment profonde.
De Paris s'écoule, ce devant quoi
presque toute l'humanité a peur ; de
Berne voulait s'écouler ce sur quoi
un grand nombre d'humains croit
pouvoir espérer. Et ces deux choses
parlent aujourd'hui encore une
langue entièrement différente. On ne
peut se concerter par dessus et à
travers l'abîme. On se concertera en
premier quand on voudra placer
l'appel intérieur de l'âme à la
science de l'esprit.
A
partir de telles impulsions apparaît
tout d'abord la pensée de parler au
moins à une partie des humains. Car
il s'agit de compréhension. J'ai
toujours accentué de nouveau et à
nouveau que nous n'arrivons pas plus
loin dans le chaos social, s’il ne
nous réussi pas de provoquer de la
compréhension, avant que les
instincts deviennent trop débridés,
chez un nombre suffisamment grand
d'être humains de l’humanité
civilisée. Cela est donc aussi ce
qui a reposé maintenant à la base de
mes conférences à Zurich, Berne et
Bâle. Avec les différents humains,
avec lesquels j'ai parlé en ce
temps, pouvait toujours de nouveau
et à nouveau, être débattue la
question : Commet peut-on trouver
l'accès aux compréhensions - ou :
est-il alors absolument encore
possible, avant que ne se déclenche
une complète débâcle, de trouver le
chemin à la compréhension des
humains ?
- Maintenant, la dernière question
ne pourra donc pas être soulevée
pour un humain pensant dans la
réalité. Car un humain pensant dans
la réalité ne pose pas des
hypothèses sur ce qui est possible
ou impossible, mais il saisit ce
qu’il tient pour nécessaire, afin
que ce soit fait. Quand on va un
chemin, alors il s'agit de faire le
premier pas. Et on ne devrait donc
pas croire, quand le premier pas est
regardé autrement que ce qu’on veut
envisager comme but, qu’à cause de
cela, ce premier pas pourrait être
sans but. Le premier pas d'un long
chemin peut toujours s'étendre
seulement sur une très petite partie
de ce chemin. Il s'agit seulement,
quand on va vers un certain but, de
ce qu’on ne va pas dans la direction
opposée ou vers la gauche ou vers la
droite du but, et deuxièmement il
s'agit de ce qu'on a la volonté,
quand on a une fois emprunté la
direction du chemin, de rester aussi
dans cette direction, ne pas se
laisser pousser par tout le possible
vers la gauche et la droite. En
dehors de cela, aux évènements du
temps, on doit se rattacher à ce qui
est là, ne pas construire dans
l'air, quand on veut se placer sur
un certain point de vue réel. La
pensée doit se rattacher à une
quelque chose qui a montré dans une
certaine mesure, qu’un réel courant
se déverse d’après une direction.
Parfois il peut aussi sembler que le
premier pas serait quelque chose de
hautement malheureux. Parfois il
peut aussi sembler comme si le
premier pas était quelque chose
d’extrêmement malheureux/funeste.
Qu’il ne l'est pas, peut s'établir
peut-être seulement après un temps.
Alors
que maintenant les trois messieurs
cités, monsieur Molt, monsieur le
Dr. Boss et monsieur Kühn, voulurent
traiter de la chose, ainsi il
pouvait s'agir pour moi – parce
qu’il devait donc s'agir d'un
soulèvement spirituel, d'un appel à
la compréhension des humains -, de
lancer la question : où a-t-on vu
que tout d'abord quelque chose œuvre
sur les pensées des humains ? Là,
souvenez vous une fois de cet appel
au monde de la culture, l'ainsi
nommé monde de la culture, qu’ont
édicté une fois - c'étaient en
grande partie, je crois, des
professeurs -quatre-vingt dix neuf
personnalités allemandes. On ne peut
peut-être pas du tout, quand on juge
non les émotions, mais de nouveau de
la réalité, prononcer une fois un
autre jugement : cet
appel au monde de la culture était
plutôt maladroit. C'étaient des
professeurs pour la plus grande
partie. Mais il a fait impression,
il a trouvé le chemin aux pensées
d’une manière bien funeste. Et
aujourd’hui il revient (NDT : tel un
revenant) toujours encore. Il a été
dans un certain sens, tout de suite
une réalité, qui a plus contribué au
malheur du peuple allemand que
maintes autres, car il a fait des
vagues.
Et
ainsi on pourrait penser : comment
ce serait si cette somme de pensées,
qui cette fois là a été édictée mal
à propos - qui a été lâchée sur
l'humanité à partir de
représentations qui portaient leur
antiquité aux fronts -, comment cela
serait, si maintenant, où tout
presse et brûle pour faire quelque
chose pour un accord, si on
orienterait à l'humanité actuelle un
appel sorti des véritables rapports
de vie ; tout d'abord, comme cela se
donne de la chose elle-même, tout de
suite au peuple allemand, lequel a
donc vécu le destin, de voir perdue
sa tâche supposée dans un certain
cadre d'état, que ce cadre d'état
est simplement balayé au loin, quand
tout d'abord on en appelle à ce
peuple allemand, rend attentif à ce
que donc les faits lui parlent, pas
purement n'importe quels mots, pas
purement n'importe quels jugements,
n'importe quelles pensées, mais les
faits.
Pendant que vis-à- vis d'une grande
partie de l'humanité une telle
parole est peut-être encore
vaine a cause de ce que les vieux
cadres sont encore là , le peuple
allemand entendra peut-être quand
même- ainsi on peut bien penser -,
parce que les vieux cadres lui sont
simplement retirés, parce qu'il ne
peut plus rester debout sur le sol
de l'ancien, mais doit chercher
nécessairement un nouveau sol pour
sa tâche de vie. Les humains sont
donc une fois ainsi : aussi
longtemps que le vieux tient
seulement un peu - quand ce ne sont
pas tout de suite des costumes -,
ils se tiennent fermement encore à
l'ancien et oublient carrément tout
ce qui dit que c'est impossible de
se maintenir à cet ancien. On ne
croit pas du tout, quel rôle joue en
fait la commodité dans la vie la
plus intérieure de l’humain.
A
partir de ces pensées, mes chers
amis j'ai rédigé maintenant une
sorte de manifeste, dont je pense,
qu’il pourrait être entendu des
âmes, qui sont à gagner aujourd'hui
pour un accord sur le sol sain de la
réalité en rapport à notre question
particulière; que cela pourra être
compris tout d'abord des humains
informés du peuple allemand, auquel
il est immédiatement orienté. Mais
je pense que cela devrait aussi être
lu des ennemis du peuple allemand
comme quelque chose qui sera trouvé
adapté au présent, pensé par ce
peuple allemand et transposé dans la
réalité.
Je pensais : quatre vingt
dix neuf ont signé cette fois là ;
si on trouve à nouveau des rangs des
allemands d' Allemagne, de
l'Allemagne d'autrefois, de
l'Autriche d'autrefois et peut être
peut multiplier ces quatre vingt dix
neuf par un petit nombre de
personnalités qui sont à gagner dans
des pays neutres, nommément en
Suisse), pour une compréhension des
nécessités actuelles de la vie,
ainsi quelque chose de positif
serait fait en contre partie des
entreprises jadis négatives des
quatre vingt dix neuf.
Donc
je prie de me comprendre
correctement : l'appel est tout
d'abord orienté au peuple allemand.
Mais c'est voulu que ce qui à
l'intérieur du peuple allemand sera
discuté de la forme serait entendu
dans tout le monde de la culture. Je
vais maintenant apporter cet appel
ici à la lecture, mes chers amis.
Les pensées vous seront donc connues
et familières, par ce que nous en
avons souvent parlé. Naturellement,
en toute brièveté peut seulement
aussi tout être court. Ce qui sera
voulu, n'est donc pas d'enseigner
quelqu'un, mais de dire quelque
chose, qui devrait rendre les
humains attentifs à trouver l'accès
correct à ce chemin. Certes, on peut
être choqué par la brièveté de la
présentation. Mais il ne s'agit donc
pas d'un livre d'école, mais il
s'agit de dire quelque chose comme
indication sur ce que quelque chose
est là à l'intérieur de l'humanité,
qui peut aider. Donc l'appel est :
Au peuple allemand et au monde de la culture !
Sûrement
que le peuple allemand croyait sa
construction d'empire commencée il y
a un demi siècle décidée pour des
temps non limités. En août 1914 il
pensa que la catastrophe guerrière,
au début de laquelle il se voyait
placé, établirait cette construction
comme invincible. Aujourd'hui on
peut seulement jeter un coup d'œil
sur les ruines de cette dernière. La
connaissance de soi doit pénétrer
après de tels événements. Car cet
événement a manifesté l'opinion d'un
demi-siècle, en particulier les
pensées régnantes des années de
guerre, comme une erreur agissant
tragiquement. Où reposent les
raisons de cette erreur fatale ?
Cette question doit propulser de la
connaissance de soi dans les âmes
des membres du peuple allemand. Si
maintenant la force pour une telle
connaissance de soi est disponible,
de cela dépend la possibilité de vie
du peuple allemand. Cet avenir
dépend de s'il parvient à se poser
la question de manière sérieuse :
comment suis-je tombé dans mon
erreur? -Si il se pose cette
question aujourd'hui, alors
l'éclairera la connaissance qu'il a
fondé un empire voici un demi
siècle, a cependant omit de placer
cet empire sur la tache jaillissant
du contenu de l'essence de la
peuplitude/condition de peuple
allemande. - L'empire fut fondé.
Dans les premiers temps de son
existence on s'efforçait d'amener en
ordre ses possibilités de vie
intérieures d’après les exigences
qui se montraient d’années en année
par les vieilles traditions et les
nouveaux besoins.
Plus tard on passa à
fortifier/consolider et agrandir les
positions extérieures de pouvoir qui
se fondaient dans des forces
matérielles.
Avec cela on relia des mesures en
rapport aux exigences sociales nées
des temps nouveaux, qui d'ailleurs
portaient maintes additions, de ce
que le temps indiquait comme
nécessitées, mais auxquelles
cependant manquait un grand but,
comme cela aurait dû se donner d'une
connaissance des forces d'évolution,
auxquelles l'humanité récente doit
se tourner. Ainsi l'empire était
placé dans le pendant des mondes
sans objectif essentiel justifié.
Le déroulement de la catastrophe
guerrière a manifesté cela de triste
manière. Jusque au déclenchement de
celle-ci, le monde extra allemand
n'avais rien pu voir dans l'attitude
de l'empire qui aurait pu lui
éveiller l'opinion : les
administrateurs de cet empire
remplissent une mission d'histoire
mondiale, qui n'a pas la permission
d'être balayée. Le non-trouver cette
mission pour ces
administrateurs a nécessairement
produit l'opinion dans le monde
extra allemand qui pour les vraiment
sensés est la plus profonde raison
de l'effondrement allemand.
Incommensurablement
beaucoup
est maintenant, pour le peuple
allemand, dépendant de son jugement
non prévenu de la situation. Dans le
malheur devrait émerger la raison
qui n'a pas voulu se montrer dans
les dernières cinquante années. A la
place de la petite pensée sur les
exigences toutes proches du présent
devrait maintenant entrer un grand
train de façon de voir la vie,
lequel aspire à connaître les forces
d'évolution de l'humanité récente
avec de fortes pensées, et se vouer
à elles avec un courageux vouloir.
Le mesquin besoin/la mesquine
poussée devrait cesser qui rend
inoffensif comme idéalistes non
pratiques tous ceux qui oriente leur
coup d'œil sur ces forces
d'évolution. Devrait aussi cesser la
prétention et l'arrogance de ceux
qui se croient comme praticiens, et
qui par leur sens étroit masqué
comme praxis ont quand même
introduit le malheur. Devrait être
considéré ce que ceux décriés comme
idéalistes, mais en vérité
véritables praticiens, ont à dire
sur les besoin d'évolution des temps
nouveaux.
Les
« praticiens »
de toutes les directions voyaient
d'ailleurs la montée de toutes
nouvelles exigences de l'humanité
depuis longtemps. Mais ils voulaient
satisfaire à ces exigences à
l'intérieur du cadre d'habitudes de
pensées et d’institutions délivrées
anciennement. La vie de l'économie
des temps récents a produit les
exigences. Leur satisfaction sur les
chemins de l'initiative privée
semblait impossible. Le transfert du
travailler privé dans le sociétal
s'imposait à une classe d'humains sur
des domaines particuliers
comme nécessaire ; et elle fut
réalisée là où cela semblait
fructueux à cette classe d'humains
d'après sa façon de voir la vie. Le
transfert radical de tout
travail particulier/individuel dans
le sociétal était le but d'une autre
classe, qui par l'évolution de la
nouvelle vie de l'économie n'a pas
d'intérêt au maintien des buts
privés transmis.
A
tous les efforts, qui jusqu'à
présent sont apparus en
considération des récentes exigences
de l'humanité, reposent un commun à
la base. Elles pressent à une
sociétalisation du privé et comptent
en cela sur la prise de contrôle des
dernières par les communautés (état,
communes), qui proviennent de
conditions préalables qui n'ont rien
à faire avec les nouvelles
exigences. Mais aussi, on compte
avec de récentes communautés (par
ex. des coopératives), qui ne sont
pas apparues pleinement de ces
nouvelles exigences, mais qui sont
formées d'après les vieilles formes
à partir d'habitudes de penser
transmises.
La
vérité est, qu'aucune communauté
formée au sens de ces vieilles
habitudes de penser ne peut
accueillir ce qu'on veut savoir
accueilli par elles. Les forces du
temps pressent vers la connaissance
d'une structure sociale de
l'humanité, qui saisi tout autre
chose des yeux, que ce qui sera
saisi couramment des yeux
aujourd'hui. Les communautés
sociales se sont formées, jusqu'à
présent, pour grande partie des
instincts sociaux de l'humanité.
Pénétrer avec une pleine conscience
leurs forces sera la tâche du temps.
L'organisme
social est articulé/membré comme le
naturel. Et comme l'organisme
naturel doit soigner la pensée par
la tête et non par les poumons,
ainsi est nécessaire dans
l'organisme social,
l'articulation/le membrement en
systèmes, dont aucun ne peut assumer
la tâche de l'autre, chacun doit
œuvrer avec l'autre, mais sous
préservation de son indépendance.
La
vie économique peut seulement
prospérer, quand elle se forme comme
membre autonome de l'organisme
social d'après ses propres forces et
lois, et quand cela n'apporte pas de
désarroi dans sa structure, quand
elle se laisse aspirer/sucer par un
autre membre de l'organisme social,
l'actif politiquement. Ce membre
actif politiquement doit beaucoup
plus exister à côté de l'économique
en pleine autonomie/indépendance,
comme dans l'organisme naturel le
système respiratoire près du
système-tête.
Leur collaboration salutaire ne peut
être atteinte par ce que les deux
membres seront soignés à partir d’un
seul organe législatif et
administratif, mais que chacun a sa
propre législation et
administration, qui collaborent de
manière vivante. Car le système
politique doit détruire l'économie,
quand il veut l'assumer/s’en
charger ; et le système
économique perd ses forces de vie,
quand il veut devenir politique.
A
ces deux membres de l'organisme
social doit en pleine indépendance
et à partir de ses propre
possibilités de vie se présenter un
troisième : que la production
spirituelle, à laquelle appartient
aussi la part spirituelle des deux
autres domaines, qui devra leur être
délivré avec la propre régulation et
administration à la mesure des lois
du troisième membre, mais qui ne
pourra être administré par eux et
influencé autrement que
s'influencent mutuellement des
organismes-membres existant les uns
à côté des autres.
On
peut déjà fonder et construire
aujourd'hui ici, pleinement
scientifiquement, sur les nécessités
de l'organisme social dans toutes
ses particularités. Dans ces
explications pourront seulement être
présentées les lignes directrices,
pour tous ceux qui veulent suivre
ces nécessités.
La
fondation allemande d'empire tomba
en un temps, dans lequel ces
nécessités s'approchèrent de la
récente humanité. Son administration
n'a pas compris placer une tâche à
l'Empire par le coup d'œil sur cette
nécessité. Ce coup d'œil n’aurait
pas seulement donné la structure
intérieure correcte ; il aurait
aussi prêté une direction justifiée
à sa politique extérieure. Avec une
telle politique l'empire allemand
aurait pu vivre ensemble avec les
peuples extra-allemands.
Maintenant,
du malheur, devrait murit la
raison/la conclusion. On devrait
développer la volonté pour
l'organisme social possible. Ce
n’est pas une Allemagne, qui n'est
plus là, qui devrait aller à la
rencontre du monde extérieur, mais
un système spirituel,
politique et économique en ses
représentants devrait vouloir
traiter comme délégations autonomes
avec ceux par qui l'Allemagne est
jetée à terre, qui par le désarroi
des trois systèmes s'est fait une
structure sociale impossible.
On entend en esprit les praticiens,
lesquels se répandent sur la
complexité de ce qui est dit ici,
qui trouvent malcommode de penser
aussi seulement sur la collaboration
de trois collectivités, parce qu'ils
n'aiment pas savoir des véritables
exigences de la vie, mais veulent
tout former d'après les exigences de
leur
pensée. A eux doit devenir
clair : soit on se résoudra à
se soumettre avec sa pensée aux
exigences de la réalité, ou on
n'aura rien appris des malheurs,
mais multipliera le transmis par ce
qui continuera apparaître dans
l'illimité.
Avec cet appel les trois messieurs
cités sont maintenant allés en
Allemagne, et dans le temps, où je
tenais mes conférences de Zurich, de
Bâle et de Berne, ils se sont
efforcés de transférer dans la
réalité ce que nous nous étions
prévu : trouver environ quelque
cent signatures. Monsieur Stein
a pris la tâche pour l'Autriche,
d'autres messieurs se sont efforcés
ici en Suisse.
Maintenant, c'était donc jusqu'à
présent seulement un temps court,
mais malgré tout, nous, qui voulions
donc faire un premier pas, pouvons
volontiers être content de ce qui
s'est donné jusqu'à maintenant, car
un tel appel qui est soutenu de la
même manière que l'était le funeste
appel de cette fois là, celui-là
nous l'avons. Lors de mes dernières
conférences à Zurich – qui donc ont
été tenues tout intentionnellement à
Zurich, parce que maintenant la
Suisse est, dans une certaine
mesure, la plaque tournante pour
tous les rapports du monde civilisé
-, existait pour moi l'intention de
pouvoir déjà indiquer sur ce qu'ici
ou là se trouvent des humains, chez
lesquels la compréhension saisit. Et
ainsi ce fut naturel de faire à
cause de cela d'apprendre à
connaître le résultat avant les
dernières conférences de Zurich. Et
il se donna le très réjouissant, que
déjà le 11 pouvait m'être
annoncé : jusqu'à maintenant
environ cent noms ensemble exclu
Suisse et Vienne. Cela me fut
annoncé d'Allemagne, où nos amis se
sont mis sur les chaussettes dans
toutes les directions pour
transposer la chose de manière
correspondante dans la réalité. De
Vienne je reçu un télégramme le même
jour : Avons à l'heure
actuelle, le 11 à midi, soixante
treize signatures, demain surement
plus. - Et le jour suivant :
Résultat d'ensemble quatre vingt
treize signatures. - Monsieur Stein
pouvait annoncer cela. Alors se
donnèrent encore un nombre
supplémentaire de signatures, qui
ont été annoncées par la suite. Les
résultats sont donc jusqu'à présents
à enregistrer de manière absolument
satisfaisante. Et il serait à
souhaiter, que nous en sommes
maintenant aussi loin qu'un nombre
d'humains, et il s'agit toujours de
cela dans une telle action, parmi
lesquels sont malgré tout toujours
aussi de tels qui son connus, sur
lesquels on donnera/accordera
quelque chose, qu'un nombre
d'humains rendront un tel appel
public, où il peut seulement l’être,
ainsi qu'il sera vu, lu, afin qu'il
vienne devant les yeux de ceux dont
il s'agit. En fait, il s'agit de
tous les humains dans le présent. On
peut déjà dire : dans les
soubassements des âmes humaines il y
a quelque chose qui appelle les
humains à se faire une compréhension
d'une telle chose.
Je vous ai donc raconté
au cours des conférences comment
l'idée, qui maintenant vient au jour
en cette forme, n’est absolument pas
nouvelle chez moi, mais dans le
temps où la catastrophe guerrière
était entrée dans un tournant
décisif, je me suis efforcé de
contribuer à l'efficacité de cette
impulsion nécessaire aux endroits
qui me venaient en considération. Je
vous ai décrit comment cela s'est
passé. Je disais cette fois là aux
gens, qui entraient en compte pour
la chose : ce n’est pas un
programme, pas un idéal, mais c'est
ce qui est observé comme force
d'évolution de la récente humanité,
qui absolument veut se réaliser et
sera réalisé dans les prochaines
dix, vingt, trente années. Il ne
peut s'agir de si cela se réalise ou
pas, mais simplement de comment cela
se réalise.
Et pas à maints dont ils s’agissait
cette fois là, je disais : vous
avez maintenant le choix soit
d'accueillir la raison (NDT
Vernunft- raison synthétique) et par
raison (NDT Vernunft) réaliser
quelque chose de tel – ou de vivre
des cataclysmes et révolutions
sociales. Les gens pouvaient se
convaincre seulement trop vite que
ces dernières n'étaient pas des
fausses prophéties. Mais l'actuel
humain confortable trouve
difficilement le chemin d'une
certaine compréhension au courage de
vie, qui est nécessaire pour, comme
cela lui est possible d'après sa
position, transférer ainsi la chose
dans la réalité.
Ici en Suisse ont donc
aussi déjà été fournies des
signatures individuelles. On a ici
toujours le doute que donc dans la
première partie de cet appel soit
dite une quelque chose sur la
nécessaire auto connaissance du
peuple allemand et sur l'erreur dans
laquelle était enfermé le peuple
allemand. Là on dit qu’en cela on
n’aurait donc, comme Suisse, pas la
possibilité de donner des leçons au
peuple allemand par dessus les
frontières. Je crois, mes chers
amis, on ne devrait plus parler
ainsi aujourd'hui. De telles choses
aimeraient, comme des vieilles
momies de pensées, avoir eu une
certaine signification avant
1914 ; mais dans le présent,
ces choses n'ont plus aucune
signification. Dans le présent
l'étroitesse de cœur, qui vient
d'une manière de juger nationale
devrait cesser. Le malheur des
dernières quatre années et demi,
devrait avoir appris cela aux
humains. On devrait, déjà
aujourd'hui, pouvoir penser
autrement – pardonnez – aussi en
Suisse, qu'on avait pensé avant les
quatre années et demi ; on
devrait cela. Car on devrait avoir
ici aussi appris une chose, ainsi
que cela corresponde à ce qui
s'empare là de soi/vous, quand on
l'a poursuivi avec quelque raison
les quatre dernières années et
demie. Elles vous apparaissent alors
vraiment comme des siècles, qui se
sont déversés sur l'humanité. Et
cela vous apparaît hautement
étrange, quand à partir des vieux
préjugés nationaux et du genre, qui
maintenant devraient avoir trouvé
leur conclusion avec 1914, quand à
partir de ces préjugés nationaux, ou
momie de pensées, les gens veulent
aujourd'hui façonner un nouvel ordre
du monde, veulent façonner une
nouvelle carte européenne. Cet
édifice de carte européenne, cela
sera au plus vite renversé par les
autres forces, qui sont les seules
puissantes dans le présent, qui sont
les seules déterminantes pour ce
qu'on a nommé politique : les
facteurs sociaux. Car tout le reste
est aujourd'hui un masque. Mais cela
est la réalité. Et les européens se
tromperont beaucoup s’ils jugent, et
font aussi leurs objections, à
partir des vieilles momies de
pensée.
Naturellement on peut
dire – je pourrais très facilement
donner un vadémécum de toutes les
réfutations -, naturellement
quelqu'un peut dire : oui, mais
cela est donc dans une certaine
mesure une indication de l'impulsion
pour tous les états, cela pourrait
donc être en premier quand tous les
états font le/un début avec cela.
Non, mes chers amis, un seul État,
ainsi nommé, peut faire un début
avec cela. Et quand un fait le
début, alors il a fait quelque chose
pour l'humanité entière. Cela est
donc justement tout de suite le
malheur pour le peuple allemand, que
sa fondation d'empire soit tombée,
dans le temps de l'histoire récente,
où quand un nouvel empire fut fondé,
était déjà disponible la nécessité
de remplir cet empire avec cette
tâche. Et parce que cela ne remplit
pas cet empire avec cette tâche, on
n'a pas compris, ce pour quoi il est
absolument là dans le monde.
Aurait-il été empli avec cette
tâche, ainsi tous les évènements se
seraient déroulé autrement, car on
aurait vu ses conditions
d'être-là/d’existence ad oculus, ou
considéré sa justification à
être-là/exister.
Aujourd'hui les gens
jugent donc à partir de momies de
pensée. Voyez-vous, il y a aussi une
masse de gens en Europe qui ne se
détachent pas de leurs momies
européennes de pensée et qui
regardent quand même aujourd'hui la
personnalité mondialement
connue/d’ampleur mondiale de Wilson
à partir d'une certaine peur – je ne
sais pas, comment je devrais le dire
–comme un rédempteur. Mais les gens
doivent donc se dire : voyons
maintenant entièrement
à part d’un jugement de
Wilson, mais posons-nous la question
des faits : Par quoi Wilson est
donc devenu cet humain riche
d'influence qu'il est dans son
pays? - Par ce qu'il a fait, contre
tous les autres partis, à partir
d'un sain instinct américain, cette
politique qui est exactement opposé
à ce qui veut faire voile maintenant
dans une grande partie de l'Europe.
Une grande partie de l'Europe veut
faire voile dans une communauté,
dans communauté politique sociétale,
dans laquelle les forces
individuelles, libérales des humains
particuliers sombrent.
Wilson doit son
élection, son influence, uniquement
et seulement aux circonstances, que
comme démocrate américain, il a
contribué au déchaînement de ces
forces qui, comme forces
individuelles, étaient fichées dans
la vie de l'économie. Admettons une
fois hypothétiquement :
l'Europe atteint l'idéal du
bolchevisme, atteint les idéaux de
la sociale démocratie bernoise, cela
signifie la sociale démocratie du
congrès socialiste. Admettons que
cela serait réalisé ; les gens
atteignent ce dont ils rêvent. Alors
l'Europe deviendrait une structure,
de laquelle – malgré tous les
préjugés nationaux – d'après la
libre Amérique de l’autre côté, dans
laquelle tout de suite Wilson est
devenu grand par l'opposé, toutes
les forces libres se retireraient
(NDT : comme marée descendante)
nécessairement. Une concurrence
terrible entre l'Europe et
l'Amérique devrait se tisser, par
laquelle l’autre chose impossible
peut se passer, que l'Europe
s'effondre/décline dans le
paupérisme et l'Amérique deviendrait
riche, pas à partir d'un non droit,
mais par une folie/frasque de la
politique sociale européenne.
Car les choses se formeraient ainsi,
quand non les forces sociales, qu’il
est tout de suite la tâche de
l'humanité européenne de développer,
quand non ces forces sociales
seraient pensées et réalisées ainsi
qu'elles correspondent à l'organisme
social sain.
Dans cet appel, nous n’avons pas
purement à faire quelque peu avec
quelque chose qui est inventé, mais
avec quelque chose qui indique sur
des forces qui sont disponibles
partout dans la réalité, qui doivent
être réalisées, sans que leur
réalisation doive être seulement le
destin de l'Allemagne et de
l'Autriche, mais le destin de toute
l'Europe doit être de tomber dans
l'appauvrissement, la paupérisation
et la non spiritualité.
Nous vivons justement dans un temps sérieux, dans lequel ne se
laisse arriver à rien avec de
petites pensées. Dans les gens vit
aussi quelque chose qui les tire
vers ce qui est exprimé dans cet
appel. On peut déjà observer cela.
Et parce que c'est ainsi, parce
qu'on peu espérer, de quand même
trouver l'accès aux âmes, aux cœurs
des humains, a maintenant été tenté,
que ce qui a été tenté dans les
formes nécessaires jadis pendant la
catastrophe guerrière, comme je vous
l'ai raconté, ainsi transformer,
comme c'est nécessaire pour les
conditions actuelles.
J'aimerais
seulement
espérer, que personne ne penserait,
qu'une telle chose a une
signification absolue. J'ai parlé de
cette chose en janvier 1918 dans la
forme dans laquelle c'était cette
fois là rédigé, à un monsieur à qui
cela arriva plus tard, mais ainsi
que je disais : cette chose
peut naturellement d'après les
conditions du temps prendre toujours
d'autres et d’autres formes, car il
ne s'agit pas d'une théorie, pas
d'un programme, pas d'un idéal, mais
il s'agit de quelque chose qui est
pensé à partir de la réalité. - Et
j'ai ajouté : parce que c'est
pensé à partir de la réalité, ainsi
il ne s'agit pour moi pas du tout de
ce dont il s'agit pour beaucoup
d'utopistes. Les utopistes, qui
dressent des programmes, se pensent,
que tout est mal, quand ces choses
ne seront pas réalisées comme ils
les formulent dans leurs programmes.
Il ne s'agit absolument pas de cela
pour moi. Il pourrait par exemple
être qu'une telle chose
entre/percute dans les âmes, que,
parce qu'elle est pensée pratique,
on commence à la transposer dans la
vie pratique. Il pourra aujourd'hui
déjà être dit clairement sur chaque
domaine comment on a à la commencer,
pour le transposer sur un domaine
dans la vie pratique.
Mais je pouvais me penser qu'alors
de ce qui est dit ici, qui a aussi
été dit dans mes conférences à
Zurich, Bern et Bâle, ne reste
aucune pierre, mais que tout se
forme autrement. A qui pense
conformément à la réalité, il ne
s'agit pas, que ses formules, ses
phrases se réalisent, mais que
n'importe où sera saisi/empoigné
dans la réalité. On verra donc déjà
ce qui en sort. Il s'agit de
cela ; peut-être que tout
deviendra autrement –je veux
signifier cela absolument comme une
possibilité -, mais
cela doit en sortir, qui
est adapté aux conditions, cela est
sûr. Car il n’est pas dressé un
quelque idéal abstrait, pas un
quelque programme, mais sont
simplement saisies/empoignées les
forces de réalité. Ce dont il s'agit
maintenant devrait être éloigné
autant que possible du fantasme, de
tout professorat d'école. C'est
pourquoi je fut si étonné alors
qu'une personnalité beaucoup citée,
de laquelle fut faite la condition
préalable par un des trois messieurs
que j'ai nommé, qu'elle pourrait
aussi signer cet appel, alors que
cette personnalité beaucoup citée me
laissa dire : oui, il aurait
cru, que tout de suite moi, si je
faisais un tel appel, en appellerait
plus à l'esprit de l'humanité et
dirait que maintenant peut seulement
venir un salut dans l'humanité,
quand l'humanité trouverait à
nouveau le chemin vers l'esprit.
Donc
les gens veulent qu'on répète la
phrase de l'esprit toujours de
nouveau et à nouveau : esprit,
esprit, esprit ! Mais il ne
s'agit pas de cela, mais de ce que
l'esprit s'avère en état de vraiment
façonner les faits. Ce sont les plus
grands parasites au fond, qui
perpétuellement parlent de l'esprit,
sans vouloir n'importe comment
indiquer sur la réalité de cet
esprit. Car ils parlent en fait
seulement au sens d'une idéologie -
et pas de l'esprit. Et c'est
méritoire, mes chers amis, qu'à
partir du sein de notre société se
sont trouvées des personnalités,
lesquelles ont une compréhension –
mais une compréhension de fait,
ainsi qu'elles fassent aussi
vraiment quelque chose -, ont une
compréhension de /des fait/s de ce
qui sera voulu ici. Et malgré tout
se montrent donc les échos.
Notre
ami,
Dr. Boos a alors, après que mon
dernier exposé à Zurich était clos
et que j'avais indiqué sur le
résultat et sur cet appel, édicté
son appel, qu'aussitôt à partir de
la réunion devraient s'annoncer un
nombre d'humains et donner leurs
adresses, qui serait volontaires de
collaborer pratiquement à la chose.
Et là aussi fut le résultat
extraordinairement satisfaisant pour
cette soirée. Certes, des objections
ont aussi été faites. Je peux bien
comprendre ces objections.
Mais ces objections sont ainsi,
qu'on voit justement à partir
d’elles : les gens ne se
tiennent pas aujourd'hui dans la
réalité, sont des esprits en
essaims. Vraiment, ce sont donc tout
de suite ceux que l'on a tenu
jusqu’à aujourd'hui pour les plus
grands praticiens, en fait des
esprits en attroupement/essaims.
C'est pourquoi j'ai dis à Zurich
lors d'un exposé : qu'est-ce
qui est ainsi correctement un
exemple pour un esprit en essaim du
présent, pour un rêveur (NDT :
ein Schwärmer : ici les
lexiques quittent l’image de
l’essaim contenu dans le mot pour
simplement « rêveur »)? -
le général Ludendorff .
C'est le type, le représentant d'un
esprit en essaim ; un humain,
qui ma foi bien ou mal – mais
d'après mon opinion, mal – s'y
comprend en stratégie, mais en
rapport à toutes autres choses s'est
entièrement tenu loin de toute vie,
a eu pour le malheur une grande
influence, s'est tenu entièrement
loin de toute réalité, il ne
pressentais rien des conditions de
la réalité, dans laquelle il aurait
dû être actif, était ainsi un tel
idéaliste, comme seulement un
quelque utopiste socialiste est un
idéaliste abstrait.
On devrait enfin saisir une fois de
l’œil sérieusement ce concept
infâme/vicieux du praticien, qui a
apporté ainsi du malheur infini sur
l'humanité. Cette praxis, qui a
jusqu'alors valu, qui n'est rien
d'autre, que spiritualité d'essaim,
manière de pensé non réelle
transposée dans la réalité par la
brutalité, c'est celle-là, qui doit
avant tout disparaître. Il s'agit de
cela, mes chers amis. Et à partir
d'un tel esprit est ce qui doit
venir tout de suite du mouvement de
science de l'esprit orienté
anthroposophiquement.
J'ai
voulu
aujourd'hui vous communiquer cela
comme quelque chose qui est donc
venu tout de même aussi du sein de
notre mouvement en ce soir se
classant épisodiquement dans notre
série de conférences.
|
Unter den
Vorträgen, die ich in der
letzten Zeit hier gehalten habe,
waren
eine Anzahl über die jetzt
drängende, brennende soziale
Frage. Daß
das, was man soziale Frage seit
langem auch in der Gegenwart
nennt, etwas im sozialen Leben
der ganzen Menschheit Drängendes
und
Brennendes ist, das kann ja
heute jeder wissen, der nicht
wie ein seelisch
Schlafender
die Ereignisse, in die sein
eigenes Dasein hinein versponnen
ist,
beobachtet. Inwiefern in den
Lebensnotwendigkeiten der
modernen Menschheit, und
inwiefern in der ganzen neueren
Entwickelung
der Menschheit die soziale Frage
eine bestimmte Gestaltung —
die Gestaltung, die heute so
einschneidend für das Leben ist
— angenommen hat, das
kann aus den Vorträgen ersehen
werden, die ich hier gehalten
habe, und die ich auch,
wenigstens in ihrem Extrakt, an
einzelnen
Orten
der Schweiz öffentlich gehalten
habe. So ist unter uns, die wir in die
anthroposophische Bewegung
hinein verstrickt sind,
gewissermaßen das Bedürfnis
gekommen, auch von unserem
Gesichtspunkte
aus über die Schicksale der
Menschheit, namentlich auch
mit Bezug auf die soziale Frage, irgendwie zu einem Urteil zu kommen, das
durch die uns mögliche Weise
in die Wirklichkeit umgesetzt
werden könnte.
Längere Zeit schon
haben sich Mitglieder von uns
bemüht, ihre Kraft
in den Dienst unserer so
schwierigen Zeit zu stellen.
Mancherlei ist dabei bedacht,
mancherlei in Aussicht genommen
worden. Selbstverständlich,
meine
lieben Freunde, kann ja jeder
nur in der Weise in die
Ereignisse eingreifen wollen, in
der er durch sein Schicksal,
durch sein Karma, durch seine,
sagen wir, Menschheitsposition
vorbestimmt ist,
die ihm vorgezeichnet ist. Nun,
aus den verschiedenerlei Aspirationen,
die aus unserer Mitte
herausgekommen sind, ergab sich
dann das
Folgende: die drei Herren,
welche es sich zur besonderen
Aufgabe gesetzt haben, in
Stuttgart zu arbeiten in einem
Sinne, der den Lebensnotwendigkeiten
der
gegenwärtigen Zeit angemessen
ist, diese drei Herren, die Sie ja gut kennen — Herr Molt, Herr Dr.
Boos, Herr Kühn —, erschienen
bei
mir im Beginne des Februar, und
es entstand die Absicht, dasjenige,
was wir aus unserer
Weltauffassung und Lebensanschauung
gewinnen
können, so gut es zunächst
geht und wie es zunächst
zweckmäßig erscheint,
gewissermaßen praktisch zu
machen. Nun, meine
lieben Freunde, wenn es sich
nicht um Betrachtungen, sondern
wenn es sich um Wirklichkeiten
handelt, dann kann ja immer nur
die Rede davon sein, was in
einem ganz bestimmten Zeitpunkte
das Angemessene, das
Entsprechende ist; was geeignet
ist, in einer gewissen
Beziehung einen Anfang zu
machen. Wer nicht einen
Anfang, einen angemessenen Anfang machen will, sondern gleich, wie man sagt,
mit der Tür ins Haus fallen
will, wird in der Regel nichts
Besonderes
erreichen.
Nach den
Antezedenzien, die da vorlagen,
handelte es sich uns darum, zunächst irgend
etwas zu tun, was uns im
gegenwärtigen Zeitpunkt richtig
scheinen kann gerade mit Bezug
auf das schwergeprüfte deutsche Volk. Wenn
man den Blick auf die
gegenwärtigen Ereignisse wirft, dann
stellt sich ja als zunächst
bedeutsamste Erscheinung die
heraus — ich habe sie oftmals
hier charakterisiert —, daß eine
Kluft, ein Abgrund ist zwischen
den Menschenklassen: auf der
einen Seite alles,
was
die bisher die Geschicke der
Menschheit mehr oder weniger leitenden
Kreise waren — und auf der
anderen Seite das eben gerade
mit
den realen Forderungen der
sozialen Frage heraufrückende
Proletariat.
Das Proletariat kommt
allerdings für den
Einsichtigen in zwei Gestalten
in Betracht: das Proletariat
als solches und die Führer des
Proletariats.
Ich habe oftmals hier
auseinandergesetzt, wie alle
die Gedanken,
Empfindungen,
die Aspirationen, die Impulse,
welche die Führer
des Proletariats in ihren
Köpfen haben, und von denen
aus sie ihren
Einfluß gewinnen innerhalb des
Proletariats, im Grunde die Erbschaft
des bourgeoisen Denkens der
letzten Jahrhunderte sind. Nun, darüber haben wir von den verschiedensten Gesichtspunkten aus hier
ja gesprochen und die Dinge zu
erhärten versucht.
Also eine der
bedeutsamsten Erscheinungen aber
blieb doch diese, daß eine tiefe Kluft zwischen diesen
beiden, sagen wir, Menschengruppen
ist. In den letzten Tagen
konnte ja jedem, der die
Zeitgeschichte
miterlebt,
diese Kluft deutlich vor Augen
treten: auf der einen
Seite Paris, wo von einem
gewissen Gesichtspunkte aus, der
eben
derjenige
der bisher leitenden Kreise der
Menschheit ist, diese Geschicke
der
Menschheit und der Gegenwart in
die Hand genommen werden
— auf der anderen Seite Bern mit
einer Versammlung, in der alles
dasjenige
lebt, was durch eine tiefe Kluft
geschieden ist von dem anderen.
Wer aufmerksam verfolgt hat, was
von Paris ausgeht, wer
aufmerksam verfolgt hat, was in
Bern versucht worden ist auf dem
sozialistischen
Kongreß,
der wird nicht umhin können,
sich zu gestehen,
daß das Wesentliche, das, was
bedeutsam, dauernd eingreifen wird
in die Menschheitsentwickelung,
zunächst wohl gar nicht
dasjenige ist, was in Paris, in
Bern gedacht und gewollt wird,
sondern das Wesentliche
ist,
daß an diesen zwei Orten zwei
ganz verschiedene soziale
Sprachen
gesprochen werden. Und wenn man
innerlich ehrlich
ist, so kann man nicht anders,
als sich gestehen: das sind zwei
total
voneinander
verschiedene Sprachen, in denen
man sich vorläufig nicht
verstehen kann.
Das ist eine so
fundamental wichtige
Erscheinung, eine so bedeutsame Erscheinung,
daß gerade bei gehöriger
Betrachtung jedem die
Richtigkeit dessen auffallen
kann, was ich hier oftmals
gesagt habe: daß das Aufsuchen
viel tieferer Grundlagen nötig
ist, um diese Dinge zu
verstehen, um an den
Lösungsmöglichkeiten dieser
Dinge mitzuarbeiten,
als die Grundlagen sind, die auf
der einen oder anderen Seite heute
noch gesucht werden. Es kommt
einem immer wiederum so vor, wie
ich vorgestern im öffentlichen
Vortrage in Basel gesagt habe:
da ist
heute die soziale Frage, die
soziale Bewegung über einen
großen Teil
der zivilisierten Menschheit
schon als eine Tatfrage, als
eine Ereignisfrage
von so einschneidender Bedeutung
im geschichtlichen Leben der
Menschheit da, daß wohl kaum in
diesem geschichtlichen Leben je
etwas so tief Einschneidendes
für die ganze Menschheit der
Erde da war;
denn so läßt es sich für jeden
Einsichtigen an. Die Grundlagen
müssen
tiefer
sein. Und wie oft habe ich hier
darauf aufmerksam gemacht: die tieferen
Grundlagen findet man nur in
jener Wirklichkeitsbetrachtung,
von
der hier in der
geisteswissenschaftlichen
Bewegung,
in der anthroposophisch
orientierten
Geisteswissenschaft, auch für
die
soziale
Betrachtung des Lebens und der
Dinge ausgegangen wird.
Ich habe gerade bei
unserer Silvesterbetrachtung auf
etwas Bedeutsames, wie ich glaube,
hingewiesen, darauf, daß es
heute möglich ist, ganz
und gar in bezug auf die
Menschheit pessimistisch zu
sein, pessimistisch
zu sein nicht auf Grundlage
irgendeines emotionellen Urteiles, sondern auf
Grundlage wirklicher sozialer
Rechnung. Ich habe Ihnen
dazumal
einen Aufsatz vorgelesen von
einem Manne, der wirklich
so sozial rechnen kann. Und
ich habe Ihnen gesagt: es ist
nur nüchtern,
so pessimistisch zu denken,
wenn man nicht auf der anderen
Seite
das volle Bewußtsein noch
haben kann, daß das
Sich-Wenden an den
Geist noch helfen kann. Aber
dieses Bewußtsein sollte sich
immer weiter
und weiter verbreiten, daß nur
Grund ist zum Glauben an
zerstörerische Kräfte, die
furchtbar wirken werden in den
nächsten Jahrzehnten,
wenn die Menschen sich nicht
an das, was für die Wirklichkeitsbetrachtung
aus der Geisteswissenschaft
folgt, wenden wollen. Selbstverständlich
sind
nicht die Dogmen der einen
oder anderen geisteswissenschaftlichen Richtung gemeint, sondern gemeint ist überhaupt
ein Appellieren an die
Geisteskräfte, welche in
diesem bedeutsamen
Wendepunkte der Entwickelung
der Menschheit die einzig heilsamen
und
helfenden Kräfte sein können.
So wird in einer
gewissen Weise diese
anthroposophisch orientierte Geisteswissenschaft, weil sie ja nicht aus
einer Willkür hervorgegangen
ist, sondern aus der Beobachtung
der Zeitenkräfte, zugleich in einem
ihrer Glieder im eminentesten
Sinne ein Zeitheilmittel. Sie
ist ja wirklich nicht
aus der Willkür entsprungen. Sie
ist ja wirklich nicht ein Programm eines Einzelnen oder einzelner Individuen, sondern sie ist
hervorgegangen
aus der Beobachtung dessen,
was die geistige Weltenlenkung
selber
diktiert als notwendig zum
Hereinkommen in den gegenwärtigen
Menschheitsverlauf. Deshalb
nur kann man von anthroposophisch
orientierter
Geisteswissenschaft so
sprechen, sonst wäre solches Sprechen
ja selbstverständlich eine
Anmaßung. Aber was seinem Ursprunge
nach aus ehrlicher
Bescheidenheit hervorgeht,
braucht, wenn es sich
geltend machen will, nicht vor
dem Vorwurf zurückzuschrecken,
den
die Torheit machen kann, daß
es sich um eine Anmaßung
handelt.
Man kann sagen, von
Paris strahlt aus alles
dasjenige, was auf den Schwingen einer
Lebensauffassung strömte, welche
deutlich zeigt, daß sie sich in den
letzten viereinhalb Jahren ad
absurdum geführt hat. Von Bern strömte
aus, was eine Anzahl von
Menschen für ein Heilmittel
hält, was aber aus einem nicht
genügend tiefen Quell geschöpft
ist.
Von Paris strömt aus, wovor sich
fast die ganze Menschheit fürchtet;
von Bern wollte dasjenige
ausströmen, worauf eine große
Anzahl von
Menschen glaubt hoffen zu
können. Und diese beiden Dinge sprechen
heute
noch eine ganz verschiedene
Sprache. Man kann sich hinüber
und herüber über den Abgrund
nicht verständigen. Man wird sich
erst verständigen, wenn man den
inneren Appell der Seele an die
Geisteswissenschaft
wird
stellen wollen.
Aus solchen
Impulsen heraus entstand der
Gedanke, zunächst zum
Verständnis wenigstens eines
Teiles der Menschen zu sprechen.
Denn auf Verständnis
kommt es an. Das habe ich immer
wieder und wiederum
betont: wir kommen nicht weiter
im sozialen Chaos, wenn es uns
nicht gelingt, bevor die
Instinkte allzu zügellos werden,
bei einer genügend
großen
Anzahl von Menschen der
zivilisierten Welt Verständnis
hervorzurufen.
Das ist ja auch dasjenige, was
dem Geiste meiner
Vorträge
jetzt zugrunde gelegen hat in
Zürich, Bern und Basel.
Mit den verschiedenen Menschen,
mit denen ich gesprochen habe in
dieser Zeit, konnte immer wieder
und wiederum die Frage erörtert
werden:
Wie kann man den Zugang zum
Verständnisse finden —, oder:
Ist es denn überhaupt noch
möglich, bevor ein vollständiges
Debakel hereinbricht, den Weg
zum Verständnis der Menschen zu
finden? — Nun, die
letztere Frage kann ja für einen
in der Wirklichkeit
denkenden
Menschen nicht aufgeworfen
werden. Denn ein in der Wirklichkeit
denkender
Mensch stellt nicht Hypothesen
auf über dasjenige,
was möglich oder unmöglich ist,
sondern er greift zu dem, von
dem er für notwendig hält, daß
es getan werde. Wenn man einen
Weg geht,
dann handelt es sich darum, den
ersten Schritt zu machen. Und man
soll ja nicht glauben, wenn der
erste Schritt anders ausschaut
als das, was man als Ziel
ansehen will, daß deshalb dieser
erste Schritt unzweckmäßig
sein
könnte. Der erste Schritt
eines weiten Weges kann sich
ja immer nur erstrecken über
eine sehr kleine Strecke
dieses Weges.
Es handelt sich nur darum,
daß, wenn man nach einem bestimmten
Ziele
geht, man erstens nicht nach
der entgegengesetzten Richtung
oder
nach links oder nach rechts von
dem Ziele geht, und zweitens handelt es sich
darum, daß man den Willen hat,
wenn man die Wegrichtung einmal
angetreten hat, bei dieser
Wegrichtung auch zu
verbleiben, sich nicht durch
alles mögliche nach links und
rechts stoßen zu lassen.
Außerdem muß man bei
Zeitereignissen anknüpfen an
dasjenige,
was da ist, nicht in die Luft
hinein bauen, wenn man sich
auf einen gewissen
Wirklichkeitsstandpunkt
stellen will. Der Gedanke
muß an irgend etwas anknüpfen,
was gewissermaßen gezeigt hat,
daß
sich nach einer Richtung hin
eine reale Strömung ergießt.
Manchmal kann es auch
scheinen, als ob der erste
Schritt etwas höchst Unglückseliges
wäre. Daß er es nicht ist, kann
sich vielleicht erst nach einiger
Zeit herausstellen.
Als nun die drei
genannten Herren, Herr Molt,
Herr Dr. Boos und Herr Kühn, mit mir
verhandeln wollten über die
Sache, so konnte es sich
zunächst
einmal darum handeln — da es
sich ja um einen geistigen
Anhub handeln mußte, um einen
Appell an das Verständnis der Menschen
—, die Frage aufzuwerfen: Wo hat
man gesehen, daß zunächst auf
die Gedanken der Menschen etwas
wirkte? Da erinnern Sie sich einmal
an jenen Aufruf an die
Kulturwelt, sogenannte
Kulturwelt, welchen
einmal
— es waren größtenteils, glaube
ich, Professoren — neunundneunzig
deutsche
Persönlichkeiten erlassen haben.
Man kann vielleicht gar nicht
einmal, wenn man nicht aus
Emotionen heraus, sondern
wieder
aus der Wirklichkeit heraus
urteilt, ein anderes Urteil fällen,
als daß dieser Aufruf an die Kulturwelt
reichlich ungeschickt war.
Na, es waren Professoren zum
großen Teil. Aber er hat
Eindruck gemacht,
er hat den Weg zu den Gedanken
in einer recht unglückseligen
Weise gefunden. Und er spukt
heute noch immer. Er war in einem gewissen Sinne eine Wirklichkeit, gerade eine Wirklichkeit, die zum
Unheil des deutschen Volkes
mehr beigetragen hat als
manches andere,
denn er hat Wellen geschlagen.
Und so konnte man
denken: Wie wäre es, wenn man
dieser Summe von Gedanken, die
dazumal zur Unzeit erlassen
worden ist — losgelassen worden ist
auf die Menschheit aus
Vorstellungen heraus, die ihre
Antiquiertheit
an der Stirne trugen —, wie wäre
es, wenn man jetzt, wo
alles drängt und brennt, um
etwas zu tun zur Verständigung,
wenn man
jetzt einen aus den wirklichen
Lebensverhältnissen der gegenwärtigen Menschheit
herausgeholten Appell an die
Menschheit richten würde; zunächst, wie sich aus der Sache selbst ergibt, gerade an das deutsche
Volk, welches ja das Schicksal
erlebt hat, seine vermeintliche
Aufgabe in einem gewissen
Staatsrahmen dadurch verloren
zu sehen, daß dieser Staatsrahmen einfach weggefegt ist, wenn man zunächst
an dieses deutsche Volk
appelliert, es aufmerksam
macht darauf,
daß ja die Tatsachen zu ihm
sprechen, nicht bloß irgendwelche Worte, nicht bloß irgendwelche Urteile, irgendwelche Gedanken, sondern
die Tatsachen. Während einem
großen Teile der Menschheit gegenüber
vielleicht ein solches Wort
noch deshalb vergeblich ist,
weil die
alten Rahmen noch da sind,
wird vielleicht doch das
deutsche Volk
hören — so kann man wohl
denken —, weil der alte Rahmen
ihm einfach entzogen
ist, weil es nicht mehr auf dem
Boden des Alten stehenbleiben
kann,
sondern einen neuen Boden für
seine Lebensaufgabe notwendig suchen muß. Die Menschen sind ja einmal so: solange
das Alte nur ein bißchen hält
— wenn es nicht gerade Röckesind
—, halten sie am Alten
unbedingt fest und verschlafen
alles, was sagt,
daß es unmöglich ist, an
diesem Alten noch
festzuhalten. Man glaubt
gar nicht, welche Rolle
Bequemlichkeit im innersten
Leben des Menschen
eigentlich spielt.
Aus diesem Gedanken
heraus, meine lieben Freunde,
habe ich nun eine Art Manifest
verfaßt, von dem ich mir denke,
daß es gehört werden
könnte von den Seelen, die heute
für eine Verständigung auf einem
gesunden Boden der Wirklichkeit
in bezug auf unsere eigentümliche
Kulturfrage
zu gewinnen sind; daß es
verstanden werden kann zunächst
von den verständigen Menschen
des deutschen Volkes, an das
es unmittelbar gerichtet ist.
Ich meine aber, daß es auch von
den Feinden des deutschen
Volkes gelesen werden sollte als
etwas, was angemessen
gefunden
wird in der Gegenwart, von
diesem deutschen Volke
bedacht und in die
Wirklichkeit umgesetzt zu
werden. Ich dachte:
neunundneunzig haben dazumal
unterschrieben; wenn man wiederum
neunundneunzig findet aus den
Reihen der Deutschen Deutschlands,
des
ehemaligen Deutschlands, des
ehemaligen Österreichs
und vielleicht diese
neunundneunzig vermehren kann
um eine kleine Anzahl von
Persönlichkeiten, die für ein
Verständnis der gegenwärtigen
Lebensnotwendigkeiten
in neutralen Ländern, namentlich
in der
Schweiz,
zu gewinnen sind, so wäre etwas
Positives getan im Gegensatze
zu dem damals von den
neunundneunzig unternommenen Negativen.
Also ich bitte, mich
richtig zu verstehen: Der Appell
ist zunächst an das deutsche Volk gerichtet. Es ist aber
gewollt, daß das, was innerhalb
des deutschen Volkes
dergestalt besprochen wird, in
der ganzen Kulturwelt gehört werde. Ich werde nun diesen Appell hier zur Verlesung
bringen, meine lieben Freunde.
Die Gedanken werden Ihnen ja bekannt
und vertraut sein, weil wir
sie oftmals besprochen haben.
Natürlich, in aller Kürze
kann auch nur alles ganz kurz
sein. Dasjenige, was gewollt
wird, ist ja nicht, jemanden zu
belehren, sondern etwas
zu
sagen, was die Menschen
aufmerksam darauf machen kann,
daß es einen Weg gibt,
und was sie aufmerksam darauf
machen soll, den rechten Zugang zu diesem Wege zu finden. Gewiß, man kann Anstoß
nehmen an der Kürze der
Darstellung. Aber es handelt
sich ja nicht um ein
Schulbuch, sondern es handelt
sich darum, etwas zu sagen als
Hinweis darauf, daß innerhalb
der Menschheit etwas da ist, was
helfen
kann. Also der Aufruf heißt:
An das deutsche Volk und
an die Kulturwelt!
Sicher gefügt für
unbegrenzte Zeiten glaubte das
deutsche Volk seinen vor einem halben Jahrhundert aufgeführten
Reichsbau. Im August 1914
meinte es, die kriegerische
Katastrophe, an deren Beginn
es sich gestellt sah,
werde diesen Bau als
unbesieglich erweisen. Heute
kann es nur auf dessen Trümmer blicken. Selbstbesinnung muß nach solchem
Erlebnis eintreten. Denn
dieses Erlebnis hat die
Meinung eines halben
Jahrhunderts,
hat insbesondere die
herrschenden Gedanken der
Kriegsjahre als einen tragisch
wirkenden
Irrtum erwiesen. Wo liegen die Gründe
dieses verhängnisvollen Irrtums?
Diese Frage muß Selbstbesinnung in die
Seelen der Glieder des deutschen
Volkes treiben. Ob jetzt die
Kraft zu solcher Selbstbesinnung
vorhanden ist, davon
hängt die Lebensmöglichkeit des
deutschen Volkes ab. Dessen Zukunft
hängt
davon ab, ob es sich die Frage
in ernster Weise zu stellen
vermag:
Wie bin ich in meinen Irrtum
verfallen? — Stellt es sich diese
Frage heute, dann wird ihm die
Erkenntnis aufleuchten, daß es vor
einem halben Jahrhundert ein
Reich gegründet, jedoch unterlassen
hat, diesem Reich eine aus dem
Wesensinhalt der deutschen Volkheit
entspringende
Aufgabe zu stellen. — Das Reich
war gegründet. In den ersten Zeiten
seines Bestandes war man bemüht,
seine inneren Lebensmöglichkeiten
nach
den Anforderungen, die sich
durch alte Traditionen und neue Bedürfnisse von Jahr zu Jahr zeigten, in Ordnung
zu bringen. Später ging man
dazu über, die in materiellen
Kräften begründete äußere
Machtstellung zu festigen und
zu vergrößern. Damit
verband man Maßnahmen in bezug
auf die von der neuen Zeit geborenen sozialen Anforderungen, die zwar manchem Rechnung trugen,
was der Tag als Notwendigkeit
erwies, denen aber doch ein großes
Ziel fehlte, wie es sich hätte
ergeben sollen aus einer
Erkenntnis der Entwickelungskräfte, denen die neuere Menschheit sich zuwenden
muß. So war das Reich in den
Weltenzusammenhang
hineingestellt ohne
wesenhafte, seinen Bestand
rechtfertigende Zielsetzung. Der
Verlauf
der Kriegskatastrophe hat
dieses in trauriger Weise geoffenbart.
Bis zum Ausbruche derselben
hatte die außerdeutsche Welt in
dem Verhalten des Reiches
nichts sehen können, was ihr
die Meinung hätte erwecken können: die Verwalter dieses Reiches erfüllen eine
weltgeschichtliche Sendung,
die nicht hinweggefegt werden
darf. Das
Nichtfinden
einer solchen Sendung durch diese Verwalter
hat
notwendig
die Meinung in der
außerdeutschen Welt erzeugt,
die für den wirklich Einsichtigen der tiefere Grund des deutschen Niederbruches ist.
Unermeßlich vieles
hängt nun für das deutsche Volk
an seiner unbefangenen
Beurteilung der Sachlage. Im
Unglück müßte die Einsicht auftauchen,
welche
sich in den letzten fünfzig
Jahren nicht hat zeigen wollen.
An die Stelle des kleinen
Denkens über die allernächsten
Forderungen
der Gegenwart müßte jetzt ein
großer Zug der Lebensanschauung
treten,
welcher die Entwickelungskräfte
der neueren Menschheit
mit starken Gedanken zu erkennen
strebt, und der mit mutigem
Wollen sich ihnen widmet.
Aufhören müßte der kleinliche
Drang, der alle
diejenigen
als unpraktische Idealisten
unschädlich macht, die ihren
Blick auf diese
Entwickelungskräfte richten.
Aufhören müßte die
Anmaßung
und der Hochmut derer, die sich
als Praktiker dünken, und die doch durch ihren
als Praxis maskierten engen Sinn
das Unglück
herbeigeführt
haben. Berücksichtigt müßte
werden, was die als Idealisten
verschrieenen,
aber in Wahrheit wirklichen
Praktiker über die
Entwickelungsbedürfnisse der
neuen Zeit zu sagen haben.
Die «Praktiker» aller
Richtungen sahen zwar das
Heraufkommen ganz
neuer Menschheitsforderungen
seit langer Zeit. Aber sie
wollten diesen
Forderungen
innerhalb des Rahmens
altüberlieferter
Denkgewohnheiten und
Einrichtungen gerecht werden.
Das Wirtschaftsleben der
neueren Zeit hat die
Forderungen hervorgebracht.
Ihre Befriedigung auf
dem Wege privater Initiative
schien unmöglich. Überleitung
des privaten Arbeitens in
gesellschaftliches drängte
sich der einen Menschenklasse
auf einzelnen
Gebieten als notwendig auf; und
sie wurde
verwirklicht
da, wo es dieser Menschenklasse
nach ihrer Lebensanschauung als
ersprießlich schien. Radikale
Überführung aller Einzelarbeit in
gesellschaftliche wurde das Ziel
einer anderen Klasse, die
durch
die Entwickelung des neuen
Wirtschaftslebens an der
Erhaltung der überkommenen
Privatziele kein Interesse
hat.
Allen Bestrebungen,
die bisher in Anbetracht der
neueren Menschheitsforderungen
hervorgetreten sind, liegt ein
Gemeinsames zugrunde. Sie drängen nach Vergesellschaftung des
Privaten und rechnen dabei auf
die Übernahme des letzteren
durch die Gemeinschaften
(Staat, Kommune), die aus Voraussetzungen stammen, welche nichts mit den
neuen Forderungen zu tun haben.
Oder auch, man rechnet mit neueren
Gemeinschaften (z. B.
Genossenschaften), die nicht
voll im Sinne
dieser neuen Forderungen
entstanden sind, sondern die
aus überlieferten Denkgewohnheiten heraus den alten Formen nachgebildet
sind.
Die Wahrheit ist, daß
keine im Sinne dieser alten
Denkgewohnheiten gebildete
Gemeinschaft aufnehmen kann, was
man von ihr aufgenommen wissen will. Die
Kräfte der Zeit drängen nach der
Erkenntnis einer sozialen
Struktur der Menschheit, die
ganz anderes ins Auge faßt,
als was heute gemeiniglich ins
Auge gefaßt wird. Die sozialen Gemeinschaften
haben
sich bisher zum größten Teil aus
den sozialen Instinkten
der
Menschheit gebildet. Ihre Kräfte
mit vollem Bewußtsein
zu durchdringen, wird Aufgabe
der Zeit.
Der soziale
Organismus ist gegliedert wie
der natürliche. Und wie der
natürliche Organismus das Denken
durch den Kopf und nicht durch
die Lunge besorgen muß, so ist
dem sozialen Organismus die Gliederung
in Systeme notwendig, von denen
keines die Aufgabe des anderen
übernehmen
kann, jedes aber unter Wahrung
seiner Selbständigkeit
mit
den anderen zusammenwirken muß.
Das
wirtschaftliche Leben kann nur
gedeihen, wenn es als selbständiges Glied
des sozialen Organismus nach
seinen eigenen Kräften und
Gesetzen sich ausbildet, und
wenn es nicht dadurch
Verwirrung in
sein Gefüge bringt, daß es sich
von einem anderen Gliede des sozialen
Organismus,
dem politisch wirksamen,
aufsaugen läßt. Dieses politisch wirksame Glied
muß vielmehr in voller
Selbständigkeit neben dem
wirtschaftlichen bestehen, wie
im natürlichen Organismus das Atmungssystem
neben
dem Kopfsystem. Ihr heilsames
Zusammenwirken kann nicht dadurch erreicht werden, daß beide Glieder von einem
einzigen Gesetzgebungs- und
Verwaltungsorgan aus versorgt
werden,
sondern daß jedes seine eigene
Gesetzgebung und Verwaltung hat, die lebendig zusammenwirken. Denn das politische System muß
die Wirtschaft vernichten,
wenn es sie übernehmen will;
und das wirtschaftliche
System
verliert seine Lebenskräfte,
wenn es politisch werden
will.
Zu diesen beiden
Gliedern des sozialen Organismus
muß in voller Selbständigkeit
und aus seinen eigenen
Lebensmöglichkeiten heraus gebildet ein
drittes treten: das der
geistigen Produktion, zu dem
auch der
geistige Anteil der beiden
anderen Gebiete gehört, der
ihnen von dem mit eigener
gesetzmäßiger Regelung und
Verwaltung ausgestatteten
dritten Gliede überliefert
werden muß, der aber nicht von
ihnen verwaltet
und anders beeinflußt werden
kann, als die nebeneinander bestehenden
Gliedorganismen
eines natürlichen
Gesamtorganismus sich
gegenseitig
beeinflussen.
Man kann schon heute
das hier über die
Notwendigkeiten des sozialen
Organismus
Gesagte in allen Einzelheiten
vollwissenschaftlich begründen
und ausbauen. In diesen
Ausführungen können nur die Richtlinien
hingestellt
werden, für alle diejenigen,
welche diesen Notwendigkeiten
nachgehen wollen.
Die deutsche
Reichsgründung fiel in eine
Zeit, in der diese
Notwendigkeiten an die neuere
Menschheit herantraten. Seine
Verwaltung hat nicht verstanden, dem
Reich eine Aufgabe zu stellen
durch den Blickauf
diese Notwendigkeiten. Dieser
Blick hätte ihm nicht nur das
rechteinnere Gefüge gegeben; er hätte seiner äußeren Politik auch eine berechtigte
Richtung verliehen. Mit einer
solchen Politik hätte das
deutscheVolk
mit den außerdeutschen Völkern
zusammenleben können.
Nun müßte aus dem
Unglück die Einsicht reifen. Man
müßte den Willen zum möglichen
sozialen Organismus entwickeln.
Nicht ein Deutschland, das nicht
mehr da ist, müßte der Außenwelt
gegenübertreten, sondern ein geistiges,
politisches und
wirtschaftliches System in ihren Vertretern
müßten als selbständige
Delegationen mit denen verhandeln wollen, von
denen das Deutschland
niedergeworfen worden ist, das sich
durch die Verwirrung der drei
Systeme zu einem unmöglichen sozialen
Gebilde gemacht hat.
Man hört im Geiste die
Praktiker, welche über die
Kompliziertheit des hier
Gesagten sich ergehen, die
unbequem finden, über das
Zusammenwirken dreier
Körperschaften auch nur zu
denken, weil sie nichts
von
den wirklichen Forderungen des
Lebens wissen mögen, sondern
alles nach den bequemen
Forderungen ihres Denkens gestalten wollen. Ihnen muß
klar werden: entweder man wird
sich bequemen,
mit seinem Denken den
Anforderungen der Wirklichkeit
sich zufügen,
oder
man wird vom Unglücke nichts
gelernt haben, sondern das
herbeigeführte
durch weiter entstehendes ins
Unbegrenzte vermehren.
Mit diesem Aufrufe
sind nun die drei genannten
Herren nachDeutschland
gereist,
und in der Zeit, während ich
meine Zürcher, Basler
und Berner Vorträge hielt,
haben sie sich bemüht, das in
Wirklichkeit
überzuführen, was wir uns
vorgenommen hatten: etwa gegen hundert Unterschriften
zu finden. Herr Stein hat
die Aufgabe für Österreich übernommen,
andere Herren haben sich hier in
der Schweiz bemüht.
Nun, es war ja
bisher nur kurze Zeit, aber
immerhin, wir, die wir ja einen
ersten Schritt machen wollten,
können voll damit zufrieden
sein, was
sich bis jetzt ergeben hat, denn
einen solchen Aufruf, der unterstützt
ist in der gleichen Weise, wie
es der unglückselige Aufruf von
dazumal
war, den haben wir. Bei meinen
letzten Vorträgen in Zürich
— die ja ganz absichtlich in
Zürich gehalten wurden, weil
gewissermaßen
jetzt
die Schweiz der Drehpunkt ist
für alle Verhältnisse der zivilisierten
Welt
—, bestand für mich die Absicht,
schon darauf hinweisen
zu können, daß da oder dort
Menschen sich finden, bei denen
das
Verständnis angreift. Und so war
es natürlich darum zu tun, das
Ergebnis kennenzulernen vor dem
letzten Zürcher Vortrage. Und es
ergab sich das sehr Erfreuliche,
daß mir schon am 11. gemeldet
werden
konnte: bis jetzt ungefähr
hundert Namen, exklusive Schweiz
und Wien, beisammen. Das wurde
mir von Deutschland gemeldet, wo
sich unsere
Freunde
nach allen Richtungen hin auf
die Strümpfe gemacht haben, um diese Sache in
der entsprechenden Weise in
Wirklichkeit umzusetzen. Von
Wien bekam ich das Telegramm an
demselben Tage: Haben
derzeit, 11. mittags,
dreiundsiebzig Unterschriften,
morgen sicher
mehr. — Und am folgenden Tage:
Gesamtresultat dreiundneunzig
Unterschriften.
— Das konnte Herr Stein
melden. Dann ergaben sich
noch eine weitere Anzahl von
Unterschriften, die
nachträglich gemeldet
worden sind. Es sind also die
Resultate bisher durchaus in befriedigender
Weise zu verzeichnen. Und es
wäre zu wünschen, da wir ja jetzt so weit sind, daß eine Anzahl von Menschen, und darauf kommt
es ja bei einer solchen Aktion
immer an, unter denen immerhin
auch solche sind, die bekannt
sind, auf die man etwas geben
wird, daß
eine Anzahl von Menschen einen
solchen Aufruf, wo es nur sein
kann,
veröffentlichen, so daß er
gesehen, gelesen wird, damit
er vor die Augen derer kommt, die es angeht. Eigentlich geht er alle Menschen
in der Gegenwart an. Man kann
schon sagen: in den Untergründen
der menschlichen Seelen gibt
es etwas, was die Menschen
dazu aufruft, sich an das Verständnis einer solchen Sache zu machen.
Ich habe Ihnen ja im
Laufe der Vorträge erzählt, wie
die Idee, die jetzt in dieser Form
zutage tritt, ja durchaus bei
mir nicht neu ist, sondern in
der Zeit, in der die
kriegerische Katastrophe in eine
entscheidende Wendung
eingetreten war, habe ich mich
bemüht, diesem notwendigen
Impuls an den Stellen, die für
mich in Betracht kamen, zur
Wirksamkeit zu verhelfen. Ich
habe Ihnen geschildert, wie das
geschehen ist. Ich sagte
dazumal Leuten, die für die
Sache in Betracht kamen:
Es ist nicht ein Programm, nicht
ein Ideal, sondern es ist dasjenige,
was beobachtet ist als
Entwickelungskräfte der neueren
Menschheit,
was
sich unbedingt in den nächsten
zehn, zwanzig, dreissig
Jahren verwirklichen will und
verwirklichen wird. Nicht darum
kann
es sich handeln, ob es sich
verwirklicht oder nicht, sondern
lediglich
darum, wie es sich verwirklicht.
Und gar manchem, auf den es dazumal
ankam,
sagte ich: Sie haben nun die
Wahl, entweder Vernunft anzunehmen
und
durch Vernunft so etwas zu
verwirklichen — oder soziale
Kataklysmen und Revolutionen zu
erleben. Überzeugen konnten sich
die Leute nur zu bald, daß das
letztere keine falsche Prophezeiung war. Aber
schwer findet der heutige
bequeme Mensch den Weg von
einem gewissen Verständnis zu
dem Lebensmut, der notwendig ist,
um so, wie es ihm nach seiner
Position möglich ist, die Sache
in die
Wirklichkeit überzuführen.
Hier in der Schweiz
sind ja auch schon einzelne
Unterschriften geleistet worden. Man hat
hier immer das Bedenken, daß ja
im ersten Teile
dieses
Aufrufes einiges gesagt ist über
die notwendige Selbstbesinnung
des deutschen Volkes und über
den Irrtum, in dem das deutsche Volk befangen war.
Da sagt man darin, man habe als
Schweizer doch
nicht die Möglichkeit, dem
deutschen Volke Lehren zu
geben über
die Grenzen hinüber. Ich
glaube, meine lieben Freunde,
so sollte man
heute nicht mehr sprechen.
Solche Dinge mögen als alte
Gedankenmumien
eine gewisse Bedeutung gehabt
haben vor dem Jahre 1914; aber
in der Gegenwart haben diese
Dinge keine Bedeutung mehr. In der
Gegenwart sollte auch die
Engherzigkeit, die aus einer
solchen nationalen
Beurteilungsweise
kommt, aufhören. Das sollte
nämlich das
Unglück der letzten
viereinhalb Jahre die Menschen
gelehrt haben. Man
sollte schon heute anders
denken können — verzeihen Sie
— auch in
der Schweiz, als man vor
viereinhalb Jahren gedacht hat;
man sollte das.
Denn man sollte auch hier
einiges gelernt haben, so daß es
entspricht
dem, was einen da überkommt,
wenn man mit einiger Einsicht
die letzten viereinhalb Jahre
verfolgt hat. Sie erscheinen
einem dann wirklich
wie Jahrhunderte, die sich über
die Menschheit ergossen haben. Und höchst
merkwürdig erscheint es einem,
wenn aus den alten nationalen
und
sonstigen Vorurteilen heraus,
die nun wirklich mit dem
Jahre 1914 ihren Abschluß
gefunden haben sollten, wenn
aus diesen
nationalen Vorurteilen oder
aus Gedankenmumien heraus die
Leute heute eine neue Weltordnung gestalten wollen, eine neue europäische
Karte gestalten wollen. Dieses
europäische
Kartengebäude, das
wird schnellstens umgeworfen
durch die anderen Kräfte, die
die allein mächtigen sind in
der Gegenwart, die die
einzigen bestimmenden
sind für das, was man Politik
genannt hat: die sozialen
Faktoren. Denn alles übrige
ist heute Maske. Das aber ist
die Wirklichkeit.
Und die Europäer werden sich
sehr täuschen, wenn sie aus den
alten Gedankenmumien heraus
urteilen und auch ihre
Einwände machen.
Natürlich kann man
sagen — ich könnte Ihnen nämlich
sehr leicht ein Vademecum aller
Widerlegungen geben —, natürlich
kann jemand sagen:
Ja, aber das ist ja
gewissermaßen eine Angabe der
Impulse für alle
Staaten, das könnte ja erst
werden, wenn alle Staaten den
Anfang damit
machen. Nein, meine lieben
Freunde, ein einziger
sogenannter Staat kann damit den Anfang machen; es ist dazu geeignet, daß ein einziger
den Anfang machen kann. Und
wenn einer den Anfang macht,
dann hat er etwas getan für
die ganze Menschheit. Das ist
ja eben gerade das Unglück für das deutsche Volk, daß seine Reichsgründung
in die Zeit der neueren
Geschichte hineingefallen ist,
in der, wenn ein neues
Reich gegründet wurde, schon die
Notwendigkeit vorhanden
war, dieses Reich anzufüllen
mit dieser Aufgabe. Und weil
es dieses Reich nicht anfüllte mit dieser Aufgabe, hat man nicht verstanden,
wozu es überhaupt in der Welt
da ist. Wäre es angefüllt
gewesen mit
dieser Aufgabe, so wären alle
Ereignisse anders verlaufen,
denn man hätte seine
Daseinsbedingungen ad oculus
gesehen, oder seine
Daseinsberechtigung eingesehen.
Heute urteilen ja
die Leute aus Gedankenmumien
heraus. Sehen Sie, es gibt auch
eine Menge von Leuten in Europa,
die nicht von ihren alten
europäischen
Gedankenmumien loskommen und die
aber doch die
Allerweltspersönlichkeit Wilson heute
aus einem gewissen Schreck heraus — ich weiß
nicht, wie ich es sagen soll —
wie einen Erlöser betrachten.
Aber die Leute müssen sich doch
sagen: Sehen wir jetzt ganz ab von einer
Beurteilung Wilsons, stellen wir
aber die Tatsachenfrage:
Wodurch
ist denn dieser Wilson in seinem
Lande der einflußreiche
Mensch
geworden, der er ist? — Dadurch,
daß er gegen alle anderen
Parteien
diejenige Politik getrieben hat,
aus einem gesunden amerikanischen Instinkt
heraus, die genau
entgegengesetzt ist dem,
wohinein jetzt ein großer Teil
von Europa segeln will. Ein
großer Teil von Europa
will hineinsegeln in eine
Gemeinschaft, in eine
gesellschaftliche
Gemeinschaftspolitik, in der
die freiheitlichen,
individuellen Kräfte des
einzelnen Menschen untergehen.
Wilson verdankt seine Wahl,
seinen Einfluß, einzig und
allein dem Umstande, daß er als
amerikanischer
Demokrat zur Entfesselung
derjenigen Kräfte beigetragen
hat,
die als individuelle Kräfte im
Wirtschaftsleben drinnen-steckten.
Nehmen wir einmal hypothetisch
an: Europa erreicht die Ideale
des Bolschewismus, erreicht
die Ideale der Berner
Sozialdemokratie, das heißt der Sozialdemokratie des sozialistischen Kongresses. Nehmen
wir an, das werde
verwirklicht; die Leute
erreichten das, wovon
sie träumen. Dann würde Europa
ein Gebilde, aus dem — trotz aller nationalen Vorurteile --- nach dem freien Amerika hinüber, in dem
Wilson gerade durch das
Entgegengesetzte groß geworden
ist, alle
freien Kräfte notwendigerweise
abfluten würden. Eine
furchtbare Konkurrenz zwischen
Europa und Amerika müßte sich
entspinnen, bei der
unmöglich
anderes geschehen kann, als
daß Europa in Pauperismus
verfällt und Amerika reich
würde, nicht aus einem Unrecht
heraus,
sondern aus einer Torheit der
europäischen Sozialpolitik
heraus. Denn
die Dinge würden sich so
gestalten, wenn nicht die
sozialen Kräfte,
die zu entwickeln geradezu die
Aufgabe der europäischen Menschheit
ist,
wenn nicht diese sozialen
Kräfte so gedacht und verwirklicht
würden, daß sie dem gesunden
sozialen Organismus entsprechen.
Wir haben es in
diesem Aufrufe nicht etwa bloß mit
etwas zu tun, was
ausgedacht ist, sondern mit etwas,
das auf Kräfte verweist, die überall
in der Wirklichkeit vorhanden
sind, die verwirklicht werden müssen,
ohne deren Verwirklichung
wahrhaftig nicht nur das Schicksal
Deutschlands und Österreichs,
sondern das Schicksal von ganz Europa
das sein muß, der Verarmung, der
Verelendung und der Ungeistigkeit
zu
verfallen.
Wir leben eben in
einer ernsten Zeit, in der sich
mit kleinen Gedanken
nicht auskommen läßt. In den
Leuten lebt auch etwas, was sie hinzieht
zu dem, was in diesem Aufrufe
ausgesprochen ist. Man kann das
schon beobachten. Und weil das so
ist, weil man hoffen kann, doch
den Zugang zu den Seelen, zu den
Herzen der Menschen zu finden,
ist nun versucht worden, das, was
während der kriegerischen Katastrophe
in der damals notwendigen Form
versucht worden ist, wie ich
es Ihnen erzählt habe, so
umzugestalten, wie es für die
heutigen Verhältnisse
notwendig
ist.
Ich möchte nur
hoffen, daß niemand denke, daß so
eine Sache eine absolute
Bedeutung
hat. Ich habe einem Herrn, auf den
es später ankam,
im Januar 1918 in der Form, in der
es dazumal verfaßt war, von
dieser Sache gesprochen, aber so,
daß ich sagte: Diese Sache kann natürlich
nach
den Zeitverhältnissen immer andere
und andere Formen
annehmen, denn es handelt sich
nicht um eine Theorie, nicht um
ein Programm, nicht um ein Ideal,
sondern es handelt sich um etwas,
was aus der Wirklichkeit heraus
gedacht ist. — Und ich habe weiter
gesagt: Weil es
aus der Wirklichkeit heraus
gedacht ist, so handelt es sich mir gar nicht
darum, worum es sich
vielen Utopisten handelt. Die Utopisten,
die
Programme aufstellen, denken sich,
daß alles schlecht ist,
wenn diese Dinge nicht so
verwirklicht werden, wie sie sie
in ihren Programmen
formulieren.
Mir kommt es darauf überhaupt
nicht an. Es
könnte zum Beispiel sein, daß eine
solche Sache in die Seelen einschlägt,
daß man sie, weil sie praktisch
gedacht ist, beginnt, in das praktische
Leben
umzusetzen. Es kann auf jedem
Gebiete heute schon ganz
klar gesagt werden, wie man es
anzufangen hat, um es auf einem
Gebiete ins praktische Leben
umzusetzen. Aber ich könnte mir
denken, daß
dann von dem, was hier gesagt ist,
was auch in meinen Vorträgen
in Zürich, Bern und Basel gesagt
worden ist, kein Stein bleibt, sondern
sich alles anders gestaltet. Wer
wirklichkeitsgemäß denkt, dem kommt es nicht
darauf an, daß seine Formeln,
seine Sätze sich verwirklichen,
sondern
daß irgendwo in der Wirklichkeit
angefaßt wird.
Man wird dann schon sehen, was
herauskommt. Darauf kommt es
an; vielleicht wird alles anders
— das. will
ich durchaus als eine Möglichkeit
andeuten
—, daß aber dasjenige herauskommen
muß, was den Verhältnissen
angemessen
ist, das ist sicher. Denn es ist
nicht irgendein
abstraktes
Ideal, nicht irgendein Programm
aufgestellt, sondern es sind
einfach die Wirklichkeitskräfte
angefaßt. So weit als möglich entfernt
von aller Phantasterei, von aller
Schulmeisterei soll dasjenige sein, um was es sich
jetzt handelt. Daher war ich so
erstaunt, als mir eine
vielgenannte
Persönlichkeit, von der die
Voraussetzung gemacht wurde
durch einen der drei Herren, die
ich genannt habe, daß sie auch
diesen Aufruf unterschreiben
könnte, als mir diese
vielgenannte Persönlichkeit
sagen ließ: Ja, er hätte geglaubt,
daß gerade ich, wenn ich einen solchen Aufruf machte, mehr an den Geist der Menschheit appellierte
und
sagte, daß jetzt nur ein Heil in
die Menschheit kommen kann, wenn die Menschheit den Weg wiederum zum Geist findet.
Also die Leute wollen,
daß man die Phrase vom Geist immer
wieder und wiederum wiederholt: Geist, Geist und
Geist! Aber darum handelt es sich
nicht; sondern darum, daß sich der
Geist zeigt, daß der Geist
sich imstande erweist, die
Tatsachen wirklich zu gestalten.
Das sind
die
größten Schädlinge im Grunde,
die fortwährend vom Geiste reden,
ohne irgendwie auf die
Wirklichkeit dieses Geistes
hindeuten zu
wollen. Denn sie reden
eigentlich nur im Sinne einer
Ideologie — und nicht vom Geiste. Und es ist dankenswert, meine lieben Freunde, daß
sich
aus dem Schoße unserer
Gesellschaft heraus Persönlichkeiten
gefunden haben, welche
Verständnis haben — aber
Tatverständnis, so
daß sie auch wirklich etwas tun
—, Tatverständnis haben für
dasjenige, was hier gewollt
wird. Und immerhin zeigen sich
ja die Echos.
Unser Freund Dr. Boos
hat dann, nachdem mein letzter
Vortrag in Zürich geschlossen war und ich hingewiesen
hatte auf das Ergebnis und
auf diesen Aufruf, seinerseits
seinen Appell erlassen, daß sich
gleich aus der Versammlung
heraus eine Anzahl von Menschen
melden sollten und
ihre Adressen abgeben sollten, die
gewillt waren, praktisch
an der Sache mitzuarbeiten. Und
auch da war das Ergebnis ein
für diesen Abend ja
außerordentlich befriedigendes.
Gewiß, es sind
auch Einwendungen gemacht worden.
Ich kann die Einwendungen
gut verstehen. Aber diese
Einwendungen sind so, daß man eben
daraus sieht: die Leute
stehen heute nicht in der
Wirklichkeit, sind Schwarmgeister.
Wirklich,
es sind ja gerade diejenigen,
die man bis heute für die
größten Praktiker gehalten hat,
eigentlich Schwarmgeister. Deshalb habe ich in Zürich bei einem Vortrage gesagt: Was ist so recht
ein Beispiel für einen
Schwarmgeist der Gegenwart, für
einen Schwärmer? — Der
General Ludendorff. Das
ist der Typus, der Repräsentant
eines Schwarmgeistes; ein
Mensch, der sich meinetwillen
gut oder
schlecht — aber meiner Meinung
nach schlecht — auf Strategie verstanden
hat, aber in bezug auf alles
andere ganz fern allem Leben gestanden hat, zum Unheil einen großen Einfluß gehabt hat, ganz fern
aller Wirklichkeit gestanden
hat, nichts ahnte von den
Bedingungen der Wirklichkeit,
in der er tätig sein
sollte, ein so
abstrakter Idealist
war, wie nur irgendein
sozialistischer Utopist
abstrakter Idealist ist.
Man sollte endlich diesen
verruchten Begriff des
«Praktikers», der so
unendliches Unheil über die
Menschheit gebracht hat, einmal
ganz tüchtig
ins Auge fassen. Diese Praxis,
die bisher gegolten hat, die nichts
anderes ist, als durch Brutalität
in Wirklichkeit umgesetzte Schwarmgeisterei, unwirkliche Denkungsweise, die ist es, die vor allen Dingen
verschwinden muß. Darauf kommt
es an, meine lieben Freunde.
Und aus solchem Geiste heraus
ist dasjenige, was kommen muß gerade aus anthroposophisch orientierter geisteswissenschaftlicher
Bewegung.
Das habe ich Ihnen heute
als etwas, was ja immerhin auch aus
dem Schoße unserer Bewegung
hervorgegangen ist, mitteilen wollen
in diesem episodisch sich in unsere
Vortragsreihe einreihenden Abend.
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