Voyez-vous, on reçoit toujours en partage de
différents côtés de nouveau et à nouveau que des
écoles devraient être édifiées selon le modèle de
l’école Waldorf. Maintes gens nous disent :
aussitôt que nous avons de l'argent, nous pouvons
aussitôt ouvrir de telles écoles. Je leur demande
toujours : oui, comment voulez-vous faire cela
ensuite ? – Ils répondent : nous voulons
vous demander quels professeurs nous devrions prendre.
– Je leur dis : je ne viendrais que partiellement
en considération au choix des professeurs, car il y a
la détermination législative que seulement des
professeurs qui sont passés par l’examen étatique et
sont estampillés auront le droit d’être utilisés. Donc
il n’en sort pas du tout ce qui devrait sortir, si des
écoles Waldorf devaient être ouvertes. On devrait donc
partir de ce qu’on ait tout d’abord un choix
pleinement libre du professeur, qui donc n’exclut pas
qu’aussi puisse une fois être utilisé un professeur
estampillé par l’État. Mais la nécessité ne devrait
pas être préétablie, que seulement de tels aient le
droit d’être utilisés, car sinon nous ne nous tenons
pas dans la tri-articulation.
Car il ne peut s’agir de fonder des écoles à
l’intérieur de l’actuel système dans lesquelles on
crée des succédanés de cours, en ce qu’on croit
simplement pouvoir suivre le cours que j’ai donné,
mais il s’agit de ce qu’on suive sur ce domaine le
principe : liberté dans la vie de l'esprit. –
Alors un début de tri-articulation est fait avec une
telle école. N’appeler pas de fausses représentations
dans les gens, en ce que vous leur apportez la foi
qu’on puisse bravement rester dans les anciennes
conditions et malgré tout fonder des écoles Waldorf,
mais appelez en à la représentation que dans l’école à
Stuttgart est vraiment une vie libre de l’esprit. Car
là il n’y a pas de programme et pas de plan scolaire,
mais là il y a le professeur avec son savoir faire
réel, pas avec la prescription, combien il devrait
pouvoir. On a à faire avec le véritable professeur
réel. C'est encore toujours mieux quand on saisit des
yeux un plus mauvais professeur véritable, que quand
on en saisit un des yeux , qui simplement se tient
dans la prescription, qui n’est pas réel.
Et on a, quand on donne cours, a faire avec les
élèves et on a à faire avec ce avec quoi les six murs
de la classe sont remplis, pas avec ce qu’on nomme
matériel d’enseignement, méthodes d’enseignement et
ainsi de suite dans les prescriptions. Et c’est cela
sur quoi il faut indiquer : qu’on devrait avoir à
faire à des réalités.
|