Alors a été objecté – cela sera donc toujours
demandé, quand sera parlé de cette question -, que les
intérêts de formation et le besoin de formation ne
seraient pas trop grands dans le temps actuel, que la
plupart des parents seraient contents s’ils n’avaient
pas besoin d’envoyer les enfants à l’école. Il a même
été dit : plus aucun être humain n’enverrait les
enfants à l’école. – Mais ce que j’ai dis ne
concernait donc pas du tout cette question extérieure
de l’envoyer-à-l’école des enfants ou pas. Dans mon
livre « Les points germinatifs de la question
sociale », je parle d’un droit à l’éducation, que
l’enfant a et pour lequel, même dans le futur système
d’État, une contribution correspondante sera a donner
par la future vie de l’économie. Donc, je ne parle pas
de ce que la « contrainte à l’école » sera
éprouvée comme pénible de parents tels qu’ils ne
veulent pas envoyer les enfants à l’école, mais de
préférence aux champs, mais je parle de ce que
l’enfant a un droit sur l’éducation dans l’organisme
social sain.
Maintenant on pourrait dire : quand il y a ce
droit, l’État – pourquoi devrait être aujourd’hui tapé
sur l’État, comme le dit un orateur, cela je ne sais
pas – devrait encore toujours être là comme
l’institution de droit -, mais j’avais aujourd’hui
seulement à parler sur l’institution de l’esprit. Et
là pourrait être objecté quand ce droit sur
l’éducation des enfants pourrait être mis en vigueur,
alors les parents devraient envoyer leurs enfants à
l’école, alors on pourrait ma foi aussi laisser la
contrainte à l’école. Mais cela n’a rien à voir avec
le placer-sur-soi-même de la vie de l’esprit, n’a rien
à faire avec ce qui sera fait dans les écoles, avec
l'administration du système scolaire. Récemment, j’ai
une fois répondu de la manière suivante à la
question : quand on n’a pas de contrainte à
l’école, quand existe le droit à l’éducation, on peut
même menacer que chez ces parents-là qui ne veulent
pas envoyer leurs enfants à l’école, on institue un
tuteur d’éducation pour l'enfant qui représente le
droit à l’éducation de l’enfant auprès des
parents ; alors ils enverront bien les enfants à
l’école. A toutes ces questions annexes se laisse
notamment répondre quand seulement on a la bonne
volonté de vraiment comprendre la question
principale : tout ce qui dépend de ce que la vie
de l’esprit sera placée sur elle-même de manière
libre.
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