J’ai à dire, à ce que je me suis autorisé en
conclusion au dernier cours que j’ai eu la permission
de tenir devant des professeurs suisses, d'ajouter
peut-être seulement encore une chose sur les
difficultés du mouvement suisse des écoles. Il me
semble que quelque chose dépend quand même de comment
sera justement propulsé le mouvement pédagogique, qui
est pendant de l’anthroposophie, ici en Suisse.
À l’intérieur de l'Allemagne, l’école Waldorf est donc
pour l’essentiel resté isolée. Certes, il existe
d’autres fondations d’écoles particulières, à
Hambourg, Cologne, et ainsi de suite, mais l’école
Waldorf est, à l'intérieur de l'Allemagne, donc à
l'intérieur d’un domaine assez grand, resté pour
l'instant comme une école quand même isolée. Il
s’agira de voir si aussi ce qui comme une sorte
d’école Waldorf devrait être érigé en Angleterre, ce
qui est déjà ouvert avec trois classes en Angleterre,
reste aussi planté comme isolé pour l’instant.
Maintenant, entièrement à part de tout le reste, on
doit vraiment dire : à la situation de la chose,
que ces écoles ont soit déjà montré, qu’elles restent
plantées là isolées ou bien qu’on doit supposer
d’après les faits donnés, que ce serait encore
longtemps ainsi, la faute de tout cela est donc
principalement, qu’à partir des conditions sociales
actuelles, c’est vraiment impossible de gagner cette
façon de voir qui financerait un grand nombre de
telles écoles.
Les expériences des années ont donc montré cela très
clairement. Et cela exige de nous de réfléchir au
moins sur tout le cours qui est à suivre avec notre
mouvement pédagogique. Cela est donc en particulier
nécessaire pour la Suisse. Car en Suisse règne
vraiment le plus fort ce qu’on peut nommer : la
conscience de l’État. Et je crois quand même que,
depuis qu’existe maintenant l’association suisse des
écoles pour un système d’éducation et d’enseignement
libre, les principales difficultés se donneront quand
même à partir de la conscience d’État suisse. Au moins
il me semble possible, ici en Suisse, de créer
l’entrée à la croyance qu’une école vraiment libre
peut une fois présenter une sorte de pédagogie modèle,
ou que ne seraient pas fondées de telles écoles dans
une grande mesure. On n’a la permission de s’adonner à
aucunes illusions en de telles choses.
L’aversion contre un système d’école libre est ici
très grande. Mais en cela reste naturellement correct
ce que Monsieur Gnädinger a justement dit : qu’on
regardera vers comment cela va dans une école modèle.
Vous pouvez le moins réclamer ici en Suisse que le
président de l’association des écoles suisse duquel
vous avez donc parlé, n’est-ce pas, ait un intérêt
pour cela en un autre sens, alors comme école modèle.
Il a alors quand même l'intérêt allant vers influencer
peut-être les écoles d’État suisse par ce qui peut
être gagné à une telle école modèle. Mais cela me
semble aussi la seule chose sur laquelle on peut
compter ici en Suisse comme intérêt.
Et c’est pourquoi il me semble important qu’on
accueille de manière tout à fait claire ces deux
choses, là où on fonde de telles associations, comme
vous l’avez évoqué ; et que celles-ci devraient
être beaucoup fondées, toujours de plus en plus !
Une deuxième condition est que la pédagogie
anthroposophique équivaut à la méthodisation de
l’enseignement. Il s’agit d’une école-méthodes, il ne
s’agit pas d’une quelque orientation politique, mais
il s’agit d’une pure, factuelle, école-méthode. Il ne
s’agit pas non plus d’une confession religieuse, pas
d’anthroposophie quelque peu comme confession
religieuse, mais il s’agit d’une école-méthodes. J’ai
donc déjà jadis, alors que la discussion a été
rattachée à mon cycle de conférence, répondu d’après
cette direction, allant par là aux questions qui ont
été soulevées, que je disais : la méthode
pédagogique, qui sera représenté ici, peut être
introduite en fait partout où on a la bonne volonté
pour cela. Quand on fait cela d’un côté et de l’autre
côté accentue fortement à nouveau, pour procurer
l’avis dans de plus larges cercles, que cela est la
méthode correcte et une école modèle, quand on place
ces deux points programmes à l'avant-plan, donc
l’accentuation que chaque école peut avoir la
méthodologie, mais qu’on doit regarder la fertilité de
la méthode à une école modèle et alors vraiment en
travailler purement les choses, alors je crois, qu’on
pourrait donc aussi obtenir quelque chose en Suisse.
Et alors devraient sur la base de ces deux points de
vue être fondé partout des associations pédagogiques.
Mais chacun doit savoir, que là n’existe pas
l’intention – ce qu’on considérerait ici en Suisse
comme une lubie -, de fonder le plus possible d’écoles
privées, pour faire concurrence aux écoles
d’État ; on ne comprendrait jamais cela en
Suisse ; Par contre on comprendra l’instauration
d’une école modèle qui pour chaque école pour ainsi
dire peut délivrer le point source pour une école
méthodique. D’une autre manière on ne parvient pas
plus en avant. Et il est important qu’on place
toujours à nouveau une telle chose de principe devant
les êtres humains, et la place partout où on a la
possibilité.
Je crois, ce serait bon, si vous placez toujours ces
deux point de vue à l'avant-plan. Ils expriment donc
absolument la vérité, et cela nous a beaucoup nuit,
que toujours de nouveau et de nouveau a été
accentué : la pédagogie de l’école Waldorf peut
seulement être atteinte dans des écoles isolées -,
pendant que j’ai toujours de nouveau dit, le
méthodique peut être amené dans chaque école.
C’est cela que j’ai a dire, car tout le reste est en
rattachement avec. Je crois qu’on gagnera seulement
une base financière en premier quand justement pourra
être disponible une compréhension pour ces choses.
Pour des écoles libres ne sera plus beaucoup de
compréhension, quand on ne les représente pas en
liaison avec ce que j’ai dit. Mais alors je crois
aussi que les efforts peuvent avoir un plus grand
résultat que maintenant. Jusque maintenant, sur base
de la situation des finances, la possibilité de créer
une école à Bâle n’est pas disponible.
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