Tout à fait comme les sciences de la nature ne veulent pas savoir de cette triarticulation de l’humain et tout, ce qui est dans l’humain, provient d’une prestation, ainsi la pensée sociale moderne ne veut rien savoir de cette triarticulation du corps social (…).
Je veux comme exemple vous lire une définition, laquelle a été donnée par un professeur d’économie politique prestigieux dans certains cercles, en fait Jaffé, sur ce qu’il se représente comme le contexte idéal souhaitable d’un organisme social (…). C’était que « ce contexte de l’organisation économique, dans lequel tous les membres du peuple se sont soudés en une unité, chacun à sa place comme membre servant une communauté, qui finalement le sert lui-même, qui ne lui assure pas seulement un être-là digne de l’humain, mais aussi son travail, lui concède sa dignité finale, car il ne poursuit pas des buts individuels, mais est service pour le corps social » (…). -  et cependant : La misère vient de la « pauvreté » ! (NDT : en français dans le texte) – celle-ci est aussi une définition du travail, et ces définitions ne se différencient absolument pas de la définition, que la misère vient de la pauvreté.
Car cette définition est ainsi, qu’elle convient justement tout aussi bien à l’organisation sociale actuelle, que nous avons, ou au moins que nous avons eu jusqu'à la guerre, ou celle que des états particuliers ont eu pendant la guerre comme l’Allemagne par exemple. Mais on peut dire : Pas un seul État du présent ne convient à cette définition. Une telle définition est le modèle d’abstraits non-dire (…).
Si l’humain a propagé la lèpre sur tous ses membres, tous les membres sont aussi sujets à une « lèprosité », se sont soudés en une unité organique !

Vous pouvez en fait atteindre un corps lépreux et un corps sain avec exactement la même définition, lorsque seulement vous tenez cette définition universelle de manière conforme.