diaporama en français 1 (Dans la version allemande est repésenté aussi comment capital et droit sont attirés dans la sphère des marchandise.)
Bienvenue de tout cœur dans ma série de vidéos sur
l'idée de la triarticulation de l’organisme social. Ce
que je fais ici est absolument une expérience.
J'aimerais transmettre un contenu de pensées très
exigeant par le support de la vidéo. En fait, c'est une
contradiction en soi. Parce qu'avec une vidéo, on peut
s’informer, mais en fait ce médium incite à la
passivité. Mon souhait est toutefois de stimuler
l'activité de la pensée chez l'auditeur. Et c'est
important. Parce que l’idée de la triarticulation de
l'organisme social, cela se montrera, se laisse
seulement réaliser, lorsque toujours plus d’humains sont
prêts à entrer dans une activité intérieure pensante.
C'est en premier par cela que de l'autonomie apparaît.
Et dans cette série, j’aimerais aussi montrer que par
l'unilatéralité de la pensée moderne de science de la
nature, laquelle représente justement une possibilité de
regarder le monde, que par l'unilatéralité de cette
pensée, beaucoup de problèmes contemporains sont
provoqués et il ne s'agit pas d’abolir maintenant cette
pensée, qui a absolument sa justification, mais il
s'agit plutôt de montrer qu'à côté de cette pensée
encore d'autres formes de pensée ont une justification,
mais que celles-ci doivent d'abord être découvertes. Et
il se montrera que plus il réussit aux humains dans une
liberté intérieure à disposer de ces autres formes de de
la pensée, d’autant plus l'organisme social se
différenciera en trois membres indépendants. Il s’agit
de cela dans cela dans ces conférences.
Pour cela je propose un moyen pour aider. Toujours à
nouveau, je vais afficher ici des graphiques qui ont la
tâche de clarifier les pensées et ces graphiques
devraient simplement fournir une orientation. Ils
représentent une sorte de carte. Personne ne tiendrait
la carte elle-même pour la réalité. Mais s'il peut lire
la carte alors il peut se rendre aux endroits indiqués
qui sont décrits sur la carte. Et il s'agit de cela. Je
m’efforce de construire des éléments structurels
déterminés toujours de la même façon dans ces
graphiques. Les concepts que j’aimerais développer ici
seront construits progressivement. Je ne définirai pas
tout de suite, mais je vais caractériser et l'auditeur
remarquera que, s’il m’accompagne sur le chemin que
j’aimerais décrire ici, que ces concepts deviennent,
avec le temps, de plus en plus riches par les
caractérisations toujours nouvelles. S’il m’est donné
d’inciter l'auditeur grâce à ces caractérisations à des
observations indépendantes et un travail indépendant à
ces concepts, alors l'expérience aurait été quelque peu
réussie.
Cette idée a été développée pour la première fois
pendant la Première Guerre mondiale, et d‘ailleurs par
Rudolf Steiner. Elle a alors traversé différentes
métamorphoses. 1919 fut une année où Steiner s'est
tourné avec cette idée vers un large public et en, il a
résumé ces pensées encore une fois dans un cours pour
des étudiants en économie nationale, qui est justement
appelé aujourd’hui cours d’économie nationale. En fait
on devrait appeler ce cours, cours d’économie mondiale,
mais on parlait justement autrefois dans les sciences
économiques en Allemagne d'économie nationale. C'est
pourquoi il s'appelle aujourd’hui cours d'économie
nationale. J'aimerais donner ici une introduction à
cette idée aussi si les pensées ont maintenant plus de
100 ans, elles ont un potentiel énorme pour l'avenir et
les concepts tels qu'ils ont été développés autrefois
collent dans une haute mesure pour les problèmes
actuels.
J’aimerais montrer cela dans cette vidéo. Et pour cela,
je voudrais d'abord partir de trois concepts posant des
bases. Lorsqu'on comprend ces concepts, on vient
immédiatement aux trois domaines de l'organisme social,
à savoir une fois le concept de capital. Quand on
comprend de quoi le capital naît, à partir de quels
soubassements d'âme l'humain génère du capital, qui est
lié à sa vie de l'âme, alors on comprend finalement le
domaine de ce que Rudolf Steiner a appelé la vie de
l'esprit. Vis-à-vis de cela, j'aimerais placer le
concept de la marchandise. Lorsqu'on apprend à
comprendre les processus de marchandises, alors on
comprend le domaine que Rudolf Steiner a décrit comme la
vie de l'économie. Entre les deux se tient le concept du
droit, qui est lié à ce que Rudolf Steiner appellera
alors plus tard la vie de droit. Donc, à partir de ces
trois concepts, nous pouvons apprendre à comprendre les
problèmes sociaux posant des bases et il s'offre
maintenant de distinguer à deux sphères et d'ailleurs
aussi parce que ces sphères sont pendantes avec la vie
de l'âme humaine. L'une des sphères est la sphère des
marchandises, l'autre sphère est la sphère du capital et
le grand problème est qu'aujourd'hui, à la fois le droit
ainsi que le capital sont tirés dans la sphère des
marchandises. Pourquoi est-ce ainsi ? Pourquoi des
domaines sont-ils tirés dans une sphère déterminée ?
C'est pendant avec ce que cette sphère des marchandises
est dominée par une force de l'âme que déjà les anciens
philosophes grecs ont décrite comme la capacité de
désirer de l'être humain. Et Aristote, par exemple,
voyait dans son éthique nicomachienne, que quand
l'humain tombe unilatéralement sous les forces de sa
capacité de désirer, ces désirs ne sont pas formés par
sa capacité de penser guidée par la raison synthétique,
qu'alors il devient un esclave de lui-même. Donc la
sphère du capital, elle devient déterminée par la
capacité de pensée; nous devons donc tenter de trouver
des façonnements, qui permettent que le droit puisse
justement être exercé dans le domaine, qui se tient
entre la sphère du capital et la sphère des
marchandises, puisse fournir le droit, qui est conçu
ainsi que ce qui monte volontiers des désirs de l'humain
et veut rendre le droit utilisable pour l'humain
particulier pour des intérêts particuliers, que cela
soit empêché. Et exactement ainsi nous devons justement
trouver des concepts pour pour trouver des possibilités
de façonnement qui nous aident à façonner le capital à
partir des légalités de cette sphère du capital
elle-même et non des légalités auxquelles est soumise la
sphère des marchandises et nous devons nous poser la
question de comment le droit peut de nouveau être placé
à la place correcte dans la vie sociale. Et pour cela
aussi, je voudrais tout d'abord partir très fort de la
vie de l'âme de l'humain. Car toute la question sociale
est pendante avec la vie d'âme de l'humain. C'est
inhabituel aujourd'hui. De l'autre côté, il est évident
qu'on parle de facteurs psychologiques en science de
l'économie. Mais la psyché n'est rien d'autre que le
concept grec désignant l'âme. J'utilise peut-être
quelque peu ici, passé de mode, l'ancien terme allemand
âme et d'ailleurs en partie parce qu'il est un concept
standard en anthroposophie qui repose à la base de la
triarticulation de l'organisme social. Mais il est
reconductible à l'ensemble de l'évolution de la pensée
humaine. Autrefois, c'était toujours évident de parler
de l'âme de l'être humain. Maintenant, l'âme se tient,
comme nous venons de le voir, entre deux forces. Et une
force est liée avec les désirs de l'âme et l'autre force
est lié à de ce que j'aimerais appeler ici le saisir. Je
pourrais aussi l'appeler le connaître, mais saisir et
désirer, c'est un joli jeu de mots (allemand).
Et maintenant on peut à nouveau décrire comment, par
exemple, le saisir peut se métamorphoser dans deux
directions. Car nous pouvons notamment, avec le saisir,
apprendre à comprendre les choses qui nous viennent en
vis-à-vis dans le monde. Lorsque nous saisissons les
choses du monde, nous commençons à les comprendre et du
comprendre naît la capacité d'âme de la raison
analytique. Mais le saisir peut encore aussi être
développé d'après une autre direction. Et d'ailleurs le
saisir peut devenir une sorte
d'interroger/d'appréhender. Nous devons apprendre à
interroger quelque chose qui est sous-jacent aux choses.
Que pourrait être pensé avec interroger/appréhender ?
Les choses du monde sont dans un contexte/pendant, mais
nous ne pouvons pas établir ce contexte même par
l'observation des sens. Nous pouvons séparer les choses
du monde par la raison analytique. Mais comment les
choses se tiennent ensemble, cela nous devons en fait le
chercher sur un plan plus haut de la pensée. Dans une
certaine manière, nous devons recevoir des intuitions.
Le contexte des choses, il nous est donné comme donné.
Nous devons apprendre à l'appréhender de quelque part.
Et de l'appréhension, on peut alors dériver ce que l'on
appelle depuis la nuit des temps la raison synthétique.
Par la raison synthétique, on vient alors à ce qu'est
l'esprit humain. L'âme se tient dans un rapport avec un
spirituel, parce que l'esprit représente les choses,
justement leur contexte/pendant et non la singularité.
Nous arrivons ici dans le domaine de la pensée qui se
métamorphose de deux côtés : séparer et lier. Ce sont
les deux qualités.
Mais on peut tout aussi bien métamorphoser la capacité
de désirer dans deux directions. Et le désir est
justement lié avec l'autre pôle, qui se tient en
vis-à-vis du spirituel, à savoir la corporéité humaine.
Et du corps naît le désir et le désir peut aussi se
transformer quand l'humain aspire après les choses, en
avidité et s’accroître toujours plus dans l'avidité.
Mais de l'autre côté, le corps est nécessiteux par
nature : nous avons faim, soif. Nous devons nous
habiller, nous chauffer, etc. Loger. Donc ce corps, par
la corporéité, nous sommes placés dans le monde de la
Terre et avons des besoins. Et des besoins, émerge
finalement le besoin et c'est exactement là-dessus que
s'oriente justement la science de l'économie. C'est très
sensé, de se rendre une fois plus claires ces deux
transformations. Parce qu'on remarque alors les forces à
l'œuvre dans ce qui est d'âme, mais qui œuvrent alors
pareillement dans les rapports sociaux extérieurs. Et
ces forces doivent simplement être façonnées. Avant que
j'approfondisse maintenant, dans une seconde vidéo les
pendants anthropologiques qui sont en lien avec l'idée
de la tri-articulation de l'organisme social, j'aimerais
demander aux auditeurs un peu de pensées indépendantes
sur ce qui a été exposé jusqu'à présent. Tout de suite
l'activité de pensée indépendante conduit à ce que l'on
reçoive par activité intérieure, une relation avec ces
points de vue. L'ensemble du renouvellement de la vie
sociale dépend quand même très fort d'humains qui
travaillent à partir d'une indépendance intérieure.
Cette indépendance intérieure malheureusement, toujours
de plus en plus d'humains la perdent aujourd'hui, car
également des éléments de plus en plus manipulateurs, en
particulier par les médias électroniques, peuvent
atteindre les humains. Et précisément parce qu'on
travaille avec un média électronique, on serait censé se
rendre conscient comment ces médias agissent, pour y
opposer activement quelque chose. J'espère donc que la
première vidéo fut une bonne stimulation des pensées. Je
me réjouis de pouvoir vous saluer à nouveau dans la
deuxième vidéo.