Ici
ne devrait pas être résumé tout le travail. Aux
autres recherches sur le
nationalisme
sera seulement rappelé par exception. La notice
biographique
reste
complètement
épargnée.
Le
nationalisme comme distinction entre les nations
Qui
tient toute distinction nationale pour le
nationalisme, regarde en fait vers
les
frontières nationales. La nation lui est une unité
économique, politique ou
culturelle
qui
est plus petite que le monde. Chacune de ces trois
unités peut
avoir
sa cause soit en elle-même, ou être causé par l’une
des deux autres unités.
Mais
selon Steiner, l’économie, l’état et la culture se
laissent tenir l’une hors
des
autres comme des fonctions sociales. Frontières
économiques, politiques
et
culturelles
se déplacent alors indépendamment les unes des
autres. Chaque
unité
a encore son origine seulement en elle-même. Les
unités économiques,
gouvernementales
et
culturelles tendent alors par elles-mêmes à
l’économie
mondiale,
à la fédération mondiale des États et à la culture
mondiale. Mais si
on
essaie de les coupler ensemble, elles ne se trouvent
plus en elles-mêmes et
avec
cela à la source de l’universalité propre. Une
économie d’État ne peut
plus
aspirer à l’économie mondiale. Si une unité
culturelle veut devenir unité
politique,
elle
se perd pour la culture mondiale.
Le
nationalisme comme mépris pour d’autres nations.
Sous
nationalisme
on peut comprendre chaque mépris national. La
question
est
alors de savoir si ce nationalisme conduit à la
guerre. Selon Steiner, seul
se
fait la guerre ce qui est état ou veut l’être. Si
l’économie et la culture se
tiennent
en dehors de questions politiques, ainsi elles
renonceront à chaque
arme.
Le mépris économique et culturel ne peut alors plus
avoir de guerre
pour
conséquence.
La priorité repose ici dans l’autonomisation de
l’économie,
qui
sinon, au lieu d’économie mondiale, deviendra cause
décisive de guerre.
Démocratie
et fédération d’états ne peuvent créer aucune
solution contre cela.
Par
dessus cela se pose la question si seulement la
guerre, ou si même le mépris
national,
est lui-même à éviter. L’économie mondiale et la
culture mondiale présupposent
quand
même de surmonter le mépris économique et culturel.
A
Steiner,
il est à mon avis plus important d’accentuer que des
guerres peuvent
déjà
s’éviter
avant que ce soit aussi loin. L’économie mondiale et
la culture
mondiale
ne peuvent de toute façon pas obliger les États à
leur paix. Ils
peuvent
seulement
les priver de la possibilité d’un embargo économique
et
d’une
propagande.
Le
nationalisme comme identification avec la nation.
Chaque
identification
nationale pourra être comprise sous nationalisme. La
question
est
alors, si ce nationalisme est basé sur la
coercition. Selon Steiner,
une
liberté complète est à atteindre seulement avec
l’identification culturelle.
L’économie
et
l’état ont par contre une fonction sociale
différente à remplir
que
la liberté. La priorité repose donc ici à
l’autonomisation de la culture, qui
ne
peut sinon pas réaliser son idéal de liberté. Lors
de l’identification nationale
avec
un état, la contrainte de la majorité ne se laisse
pas éviter.
Par
sa liberté, l’identification culturelle peut même
surmonter son caractère
national.
Elle
trouve son chemin vers la culture mondiale par le
chemin d’une
culture
individuelle
ou d’une identification avec plusieurs cultures.
Cette culture
mondiale
se tient et tombe avec la liberté.
Sylvain
Coiplet
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Es soll hier nicht die ganze Arbeit
zusammengefaßt werden. An die sonstige Nationalismus-Forschung wird nur
ausnahmsweise erinnert. Die biographische Skizze bleibt völlig ausgespart.
Nationalismus als Unterscheidung
zwischen Nationen
Wer jede nationale Unterscheidung für
Nationalismus hält, schaut eigentlich nach den nationalen Grenzen. Die Nation
ist ihm eine wirtschaftliche, politische oder kulturelle Einheit, die
kleiner ist als die Welt. Jede dieser drei Einheiten kann entweder ihre Ursache in
sich selbst haben oder durch eine der beiden anderen Einheiten verursacht
werden. Laut Steiner lassen sich aber Wirtschaft, Staat und Kultur als
soziale Funktionen auseinanderhalten. Wirtschaftliche, politische und kulturelle
Grenzen bewegen sich dann unabhängig voneinander. Jede Einheit hat ihre
Ursache nur noch in sich selbst. Die wirtschaftlichen, staatlichen und
kulturellen Einheiten tendieren dann von sich aus zur Weltwirtschaft, Weltstaatenbund
und Weltkultur. Versucht man aber sie aneinander zu koppeln, finden sie
nicht mehr zu sich selbst und damit zur Quelle der eigenen Universalität. Eine
Staatswirtschaft kann nicht mehr der Weltwirtschaft zustreben. Will eine
kulturelle Einheit zur politischen Einheit werden, so geht sie der Weltkultur
verloren.
Nationalismus als Verachtung anderer
Nationen
Unter Nationalismus kann man jede
nationale Verachtung verstehen. Die Frage ist dann, ob dieser Nationalismus zum
Krieg führt. Laut Steiner bekriegt sich nur was Staat ist oder sein will. Halten
sich Wirtschaft und Kultur aus politischen Fragen heraus, so verzichten sie
damit auf jede Waffen. Wirtschaftliche und kulturelle Verachtung können dann
keinen Krieg mehr zur Folge haben. Die Priorität liegt hier bei der
Verselbständigung der Wirtschaft, die sonst, statt zur Weltwirtschaft, zur
entscheidenden Kriegsursache wird. Demokratie und Staatenbund können dagegen keine
Abhilfe schaffen.
Es fragt sich darüber hinaus, ob nur der
Krieg, oder ob auch die nationale Verachtung selbst zu vermeiden ist.
Weltwirtschaft und Weltkultur setzen doch die Überwindung der wirtschaftlichen
und kulturellen Verachtung voraus. Steiner ist es meiner Ansicht nach
wichtiger zu betonen, daß sich Kriege schon vermeiden lassen, bevor es soweit ist.
Ihren Frieden können die Weltwirtschaft und Weltkultur den Staaten ohnehin nicht
aufzwingen. Sie können ihnen nur die Möglichkeit des Wirtschaftsembargos
und der Propaganda entziehen.
Nationalismus als Identifikation mit der
Nation
Es kann unter Nationalismus jede nationale
Identifikation verstanden werden. Die Frage ist dann, ob dieser
Nationalismus auf Zwang beruht. Laut Steiner ist eine völlige Freiheit nur bei der
kulturellen Identifikation zu erreichen. Wirtschaft und Staat haben dagegen eine
andere soziale Funktion zu erfüllen als die Freiheit. Die Priorität liegt hier
also bei der Verselbständigung der Kultur, die ihr Ideal der Freiheit sonst
nicht verwirklichen kann. Bei der nationalen Identifikation mit einem Staat
läßt sich der Zwang der Mehrheit nicht vermeiden. Durch ihre Freiheit kann
die kulturelle Identifikation sogar ihren nationalen Charakter überwinden. Sie
findet zur Weltkultur über den Weg einer individuellen Kultur oder einer
Identifikation mit mehreren Kulturen. Diese Weltkultur steht und fällt mit der
Freiheit.
Sylvain
Coiplet
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