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Collection: F1 - Question foncière
Sujet: Que provoquent les "crédits réels", et que sont des valeurs fictives?
 
Les références : Rudolf Steiner Oeuvres complètes 340 , Page 71 - 76, 5/1979, 28.07.1922, Dornach
Original
Traducteur: Editeur: EAR

05010 - Prenons, afin de véritablement clarifier notre pensée, le problème du crédit. Si, dans le sens de l'exposé d'hier, nous voulons placer le capital au service de l'esprit, le producteur en esprit devient un débiteur. Il ne devient et ne peut devenir débiteur que parce qu'il a du crédit. Le crédit intervient à cet endroit (dessin 3), et en vérité sous la forme du crédit personnel. Une personne qui a du crédit. Le crédit s'exprime par un chiffre. Ce que d'autres ou beaucoup d'autres lui avancent en capital constitue son crédit personnel. Or, comme vous le savez, ce crédit personnel a une certaine conséquence, du moins lorsque nous le considérons dans le cadre des conditions actuellement admises par l'économie. Dans ses effets en économie, le crédit a affaire au taux d'intérêt.


05011 - Admettons que le taux d'intérêt soit bas. J'ai alors moins à payer à ceux qui m'ont avancé le capital, lorsque, en tant que créateur spirituel dans le processus économique, je deviens leur débiteur. Payant moins d'intérêts, mes produits seront donc moins cher ; ainsi je peux contribuer à une baisse des prix dans le processus économique. Nous pouvons donc dire : le crédit personnel abaisse le prix de la production quand le taux d'intérêt diminue. Il en sera toujours ainsi, aussi longtemps que le capital sera mis en valeur par l'esprit dans le processus économique. Un taux d'intérêt en baisse permet à celui qui recourt au crédit d'oeuvrer plus librement, d'agir plus intensément dans le processus économique, d'agir même plus activement au profit d'autrui. En abaissant le prix des produits il intervient de façon productive d'abord pour les consommateurs.

 

05012 - Prenons maintenant un autre cas. On octroie des crédits gagés ou couverts par des valeurs réelles, des immeubles par exemple ; ce sont des crédits hypothécaires. Dans le cas où le crédit serait obtenu par une hypothèque foncière, les choses prendraient un tout autre aspect. Supposez que le taux d'intérêt soit de cinq pour cent. Celui qui emprunte de l'argent en hypothéquant un bien foncier doit payer cinq pour cent. Si vous capitalisez cet intérêt, vous obtenez le capital correspondant à la valeur d'achat de ce bien foncier. Supposez maintenant que le taux de l'intérêt baisse à quatre pour cent. Vous pourriez obtenir un crédit supérieur au capital pour le même sol. Nous voyons ainsi que la propriété foncière devient plus chère et non pas meilleur marché, chaque fois que le taux d'intérêt est abaissé. Le crédit hypothécaire fait augmenter les valeurs alors que le crédit du mérite personnel les fait diminuer. Le crédit hypothécaire augmente la valeur des immeubles, alors que le crédit au mérite diminue les valeurs des marchandises produites. Cela a une grande signification en matière d'économie. Elle signifie que le retour du capital à la nature, lorsqu'il se lie simplement à la nature sous la forme du crédit hypothécaire, établissant un lien entre le capital et le foncier, donc la nature, entraîne au sein du processus économique une hausse constante des prix.
05013 - L'économie ne petit donc suivre un cours raisonnable que si le capital, à cet endroit du circuit (dessin 3), au lieu d'être conservé dans la nature, y disparaît. De quelle manière peut-il donc disparaître ? Tant que le capital pourra être lié à la nature de manière à la faire enchérir dans son état non élaboré, aussi longtemps qu'il y aura capitalisation sur les biens de la nature, le capital ne pourra pas y disparaître ; au contraire il s'y conservera. Et dans tous les pays dont la législation permet au capital de se lier à la nature, il se produit une accumulation de capital dans les biens fonciers. Au lieu d'être consommé là (dessin 3), c'est-à-dire au lieu d'y disparaître, au lieu de créer une tension génératrice de valeurs, il se crée un nouveau mouvement formateur de valeurs nuisibles au processus économique. Ce qui peut nous préserver de cela, si nous voulons maintenir un processus économique en bonne santé, c'est de nous garder de consentir des crédits fonciers à celui qui utilise le fonds, mais de lui accorder au contraire des crédits personnels, des crédits pour la mise en valeur du capital par les fonds. Si nous lions le capital à la propriété foncière en tant que telle, nous l'accumulons par le seul fait que nous l'incorporons à la nature. Si au contraire nous le lions à un esprit capable et productif qui gère le sol et qui stimule le processus économique, le capital, arrivé à ce stade, disparaîtra, il n'y stagnera pas, il ne s'y conservera pas, mais il traversera la nature de part en part pour entrer dans le travail et recommencer le cycle de l'économie. L'accumulation la plus préjudiciable au processus économique est celle où le capital s'amalgame purement et simplement à la nature, autrement dit — pour reprendre le processus économique à son début, ce n'est qu'une hypothèse où, après s'être unis à la nature, le travail et le capital se sont développés — lorsque le capital parvient à s'emparer de la nature au lieu de se fondre en elle.

 

 

 

 


050014 - Vous ne manquerez pas d'élever ici une objection sérieuse en disant : oui, mais le capital s'est formé au cours de ce mouvement. Que faire quand il arrive devant la nature et qu'il y en a tant qu'il est impossible de le diriger en totalité dans le travail ? Que faire, s'il n'est pas possible, disons, de trouver de nouvelles méthodes pour améliorer l'élaboration des matières premières ? Nulle part nature et capital ne se lient, mais partout le travail se lie à la nature : arrivés à ce point avec le capital nous pouvons rationaliser l'élaboration des matières premières, découvrir de nouvelles sources de matières premières, etc., nous pouvons orienter le capital directement dans le travail. Mais s'il y a trop de capital, les propriétaires du capital s'aperçoivent qu'ils ne peuvent plus rien en faire. Si vous suivez le cours de l'histoire vous trouverez que le capital est devenu si abondant, qu'il n'a plus d'autre issue que de se conserver dans la nature. C'est pourquoi nous avons vu se former la prétendue plus-value foncière au sein du processus économique.


05015 - Considérez maintenant, sous cet angle plus vaste, ce qui a toujours été insuffisamment exposé lors des réformes foncières, où la chose n'a jamais été comprise. Vous vous direz alors : si je lie un capital à la nature, la valeur de celle-ci va de toute évidence augmenter. Plus un terrain est grevé d'hypothèques, plus cher il devra être payé. Sa valeur croît sans arrêt. Oui, mais s'agit-il bien d'une augmentation de la valeur de la propriété foncière, cette augmentation est-elle bien réelle ? Non, ce n'est absolument pas une réalité. De nature, la propriété foncière ne peut pas augmenter de valeur, à moins qu'on y travaille de façon plus rationnelle. L'augmentation proviendra alors de ces travaux. Mais penser à une augmentation du terrain comme tel, à moins qu'elle ne résulte de travaux, est un non-sens, une véritable absurdité. Le sol, dans la mesure où il reste dans son état naturel, ne peut absolument pas revêtir de valeur. Vous croyez lui donner une valeur en lui associant un capital, mais ce que l'on considère comme une valeur foncière dans le système économique actuel, n'est en réalité rien d'autre que du capital fixé dans le sol ; or, un capital ainsi fixé n'est pas une valeur réelle, mais une valeur fictive. Il importe de savoir enfin distinguer, au sein du processus économique, ce qui est valeurs réelles et ce qui est valeurs fictives.

 



05016 - Lorsqu'une erreur est présente dans votre système de pensée, vous ne vous apercevez tout d'abord pas de ses répercussions, car la science actuelle grossière ne peut établir le lien entre l'erreur et les processus néfastes qu'elle génère dans l'organisme. Seule la science spirituelle permet cela. On ignore, par exemple, que des erreurs au niveau de la digestion entraînent des troubles dans les organes périphériques, etc. Or, dans le .processus économique aussi, les erreurs et les illusions deviennent une réalité et portent à conséquence. Ainsi, économiquement, il n'y a aucune différence entre le fait de dépenser l'argent sans but réel, ce qui n'est qu'une augmentation de la masse monétaire, et le fait d'attribuer aux biens fonciers une valeur de capital. Dans un cas comme dans l'autre je ne crée que des valeurs illusoires. Cet apport de monnaie amplifie le chiffre des prix sans que rien ne se passe en réalité dans le processus économique. C'est un pur transfert. Mais je peux causer un tort considérable à tel ou tel particulier. Car cette capitalisation foncière lèse toutes les personnes participant au processus économique.

 


05017 - Vous pouvez étudier avec intérêt les législations hypothécaires des différents pays. En Europe centrale, avant la guerre, cette législation permettait de faire monter les prix de la propriété foncière à volonté. En Angleterre, au contraire, les biens fonciers ne pouvaient pas augmenter significativement de valeur et voyez maintenant les effets de cela sur les processus économiques. Ce thème se prêterait à d'intéressantes dissertations. Il vaudrait la peine de comparer, chiffres en main, l'influence des législations hypothécaires en Angleterre et en Allemagne. Ce serait là une matière très intéressante.

Nehmen Sie einmal, um sich das wirklich klarzumachen, die Kreditfrage, das Kreditproblem. Wenn wir in dem Sinne, wie ich das gestern auseinandergesetzt habe, das Kapital in den Dienst des Geistes stellen wollen, so wird ja der geistige Produzent zum Schuldner. Er wird zum Schuldner oder kann zum Schuldner werden nur dadurch, daß er Kredit hat. Hier tritt der Kredit ein (siehe Zeichnung), und zwar dasjenige, was man nennen kann den persönlichen Kredit. Er hat Kredit. Der Kredit ist zahlenmäßig auszudrücken. Was ihm viele andere oder mehrere andere eben an Kapital vorschießen, das ist gewissermaßen sein Personalkredit. Nun, dieser Personalkredit hat ja, wie Sie wissen, eine bestimmte Folge, wenigstens wenn wir ihn innerhalb unserer jetzigen nationalökonomischen Verhältnisse betrachten. Er hat etwas zu tun in seiner volkswirtschaftlichen Wirksamkeit mit dem Zinsfuß.
Nehmen Sie an, der Zinsfuß ist niedrig. Ich habe wenig zu bezahlen an die Menschen, die mir das Kapital vorschießen, wenn ich als geistiger Schöpfer im volkswirtschaftlichen Prozeß zum Schuldner werde, also zu demjenigen, der Kredit in Anspruch nimmt. Ich kann dadurch, daß ich weniger an Zins zu bezahlen habe, meine Waren billiger herstellen; dadurch werde ich in den volkswirtschaftlichen Prozeß verbilligend einwirken können. Wir können also sagen: der Personalkredit verbilligt die Produktion, wenn der Zinsfuß abnimmt. Wenn wir dieses Verhältnis so lange betrachten, solange das Kapital noch vom Geiste einfach verwertet wird im ökonomischen Prozeß, ist das immer so. Bei sinkendem Zinsfuß kann sich derjenige, der Kredit braucht, leichter rühren, er kann in einer intensiveren Weise eingreifen in den volkswirtschaftlichen Prozeß, in intensiverer Weise nämlich für die anderen. Wenn er zunächst Waren verbilligt, so greift er in fruchtbarer Weise zunächst für die Konsumenten ein.
Nun aber stellen wir uns das andere vor. Es wird Kredit gegeben, sogenannter Realkredit, auf Grund und Boden. Wenn Realkredit auf Grund und Boden gegeben wird, so steht die Sache wesentlich anders. Nehmen Sie an, der Zinsfuß ist fünf Prozent. Und derjenige, der Kapital auf den Grund und Boden aufnimmt, muß fünf Prozent bezahlen. Kapitalisieren Sie das, so bekommen Sie das Kapital, das diesem Grund und Boden entspricht, das heißt dasjenige, um das der Grund und Boden gekauft werden muß. Nehmen Sie an jetzt, der Zinsfuß fällt auf vier Prozent, dann kann mehr Kapital in diesen Grund und Boden hineinkreditiert werden, wird wenigstens mehr hineinkreditiert. Und wir sehen überall, daß infolge des sinkenden Zinsfußes Grund und Boden nicht billiger, sondern teurer werden. Grund und Boden werden infolge sinkenden Zinsfußes nicht billiger, sondern teurer. Realkredit verteuert, während Personalkredit verbilligt. Realkredit verteuert den Grund und Boden, während Personalkredit die Waren verbilligt. Das heißt aber eigentlich sehr viel im volkswirtschaftlichen Prozeß; das heißt, daß, wenn das Kapital nun wiederum zurückkommt zur Natur und sich einfach mit der Natur in Form des Realkredites verbindet, so daß man dann eine Verbindung von Kapital mit Grund und Boden, das heißt mit der Natur hat, man den volkswirtschaftlichen Prozeß immer mehr und mehr in die Verteuerung hineinführt.
Vernünftig kann es also nur sein innerhalb des volkswirtschaftlichen Prozesses, wenn sich das Kapital hier (siehe Zeichnung 3) nicht erhält in der Natur, sondern wenn es in die Natur hinein verschwindet. Auf welche Weise kann es verschwinden in die Natur hinein? Ja, solange Sie überhaupt das Kapital verbinden können mit der Natur, also fortwährend durch die Kapitalbildung die Natur verteuern können in ihrem noch unbearbeiteten Zustande, so lange kann das Kapital in die Natur hinein nicht verschwinden; im Gegenteil, es erhält sich in die Natur hinein. Und in allen Ländern, in denen die Hypothekgesetzgebung dahin geht, daß sich das Kapital mit der Natur verbinden kann, bekommen wir ein Stauen des Kapitals in der Natur im Grund und Boden. Statt daß das Kapital hier (siehe Zeichnung 3) verbraucht werde, das heißt hier verschwinde, statt daß hier eine wertbildende Spannung entsteht, entsteht eine weitere wertbildende Bewegung, die dem volkswirtschaftlichen Prozeß schädlich ist. Was davon abhalten kann, ist nur, daß wir demjenigen, der Grund und Boden zu bearbeiten hat, überhaupt nicht einen Realkredit auf den Grund und Boden zusprechen können, wenn der volkswirtschaftliche Prozeß gesund ist, sondern auch nur einen Personalkredit, das heißt einen Kredit für die Verwertung des Kapitals durch Grund und Boden. Wenn wir lediglich Grund und Boden verbinden mit dem Kapital, dann staut sich das Kapital, indem es bei der Natur hier ankommt. Wenn es sich aber verbindet mit der geistigen Leistungsfähigkeit desjenigen, der auf Grund und Boden eben die Verwaltung übt, der durch Grund und Boden den volkswirtschaftlichen Prozeß zu fördern hat, dann verschwindet das Kapital, indem es bei der Natur hier ankommt, dann staut es sich nicht, dann wird es nicht erhalten, sondern dann geht es durch die Natur durch, eben wieder in die Arbeit hinein, und es macht den Kreislauf wiederum.
Eine der schlimmsten Stauungen im volkswirtschaftlichen Prozeß ist diejenige, wo Kapital sich einfach mit der Natur verbindet, wo also, nehmen wir den volkswirtschaftlichen Prozeß an seinem Anfange - das ist ja nur eine Hypothese -, wo, nachdem sich an die Natur anschließend, Arbeit und Kapital entwickelt haben, dann das Kapital in die Lage kommt, sich der Natur zu bemächtigen, statt sich in die Natur hineinzuverlieren.
Ja, nun werden Sie natürlich einen sehr gewichtigen Einwand haben können, der dahin geht, daß Sie sagen: Ja, nun aber, innerhalb dieser Bewegung ist eben das Kapital entstanden. Wenn es nun da ankommt vor der Natur, und es ist so viel, daß man nicht die Möglichkeit hat, es in die Arbeit zu leiten? Wenn man nicht die Möglichkeit hat, sagen wir, neue Methoden zu finden, um die Rohproduktion zu fördern? - Da ist überall nicht die Natur mit dem Kapital verbunden, sondern die Arbeit: wenn wir also hier ankommen mit dem Kapital, und wir machen die Rohproduktion rationeller oder erschließen neue Rohproduktequellen und so weiter, dann können wir hier das Kapital unmittelbar in die Arbeit überleiten. Aber wenn nun zuviel Kapital da ist, empfinden das natürlich die einzelnen Kapitalbesitzer, die nun nichts anfangen können mit ihrem Kapital. Ja, wenn Sie geschichtlich die Sache verfolgen, so ist das auch so, daß in der Tat zuviel Kapital eben entstanden ist, und dadurch das Kapital nur den Ausweg gefunden hat, sich in der Natur zu konservieren. Dadurch haben wir eben gerade den sogenannten Wert, die sogenannte Werterhöhung von Grund und Boden innerhalb des volkswirtschaftlichen Prozesses sich herausbilden sehen.
Betrachten Sie aber jetzt in diesem größeren Zusammenhang dasjenige, was durchaus immer ungenügend von den Bodenreformern dargestellt wird, wo die Sache nie verstanden werden kann, so werden Sie sich sagen: Ja, wenn ich das Kapital mit der Natur verbinde, dann wird der Wert der Natur selbstverständlich erhöht. Je mehr Hypotheken auf etwas lasten, desto teurer muß es dann bezahlt werden. Es wird fortwährend erhöht der Wert. Ja, ist denn das aber - die Höherwertung von Grund und Boden -, ist das eine Wirklichkeit? Es ist ja gar keine Wirklichkeit. Naturgemäß kann der Grund und Boden nicht mehr Wert bekommen, er kann mehr Wert höchstens bekommen, wenn eine rationellere Arbeit darauf verwendet wird. Dann ist die Arbeit das Werterhöhende; aber der Grund und Boden als solcher selbst - wenn Sie ihn verbessern, so muß die Arbeit vorangehen -, der Grund und Boden als solcher, werterhöht gedacht, ist ein Unding, ein völliges Unding. Der Grund und Boden, insofern er bloß Natur ist, kann ja noch überhaupt keinen Wert haben. Sie geben ihm ja einen Wert, indem Sie das Kapital mit ihm vereinigen, so daß man sagen kann: Dasjenige, was im heutigen volkswirtschaftlichen Zusammenhange Wert von Grund und Boden genannt wird, ist in Wahrheit nichts anderes als auf den Grund und Boden fixiertes Kapital; das aber auf dem Grund und Boden fixierte Kapital ist nicht ein wirklicher Wert, sondern ein Scheinwert. Und darauf kommt es an, daß man auch innerhalb des volkswirtschaftlichen Prozesses endlich begreifen lernt, was wirkliche Werte sind und was Scheinwerte sind.
Wenn Sie in Ihrem Gedankensystem einen Irrtum haben, dann bemerken Sie ja zunächst nicht die Wirksamkeit dieses Irrtums, weil sich der Zusammenhang zwischen dem Irrtum und allen diesen verschiedenen störenden Prozessen im Organismus, die damit zusammenhängen und die man nur durch Geisteswissenschaft erkennt, weil sich dieser Zusammenhang der heutigen groben Wissenschaft entzieht. Man weiß nicht, wie zum Beispiel in den peripherischen Organen durch Irrtümer Verdauungsstörungen entstehen und so weiter. Aber im volkswirtschaftlichen Prozeß, da wirken eben die Irrtümer, die Scheingebilde, da werden sie real, da haben sie eine Folge. Und es ist eigentlich volkswirtschaftlich kein wesentlicher Unterschied, ob ich, sagen wir, irgendwo Geld ausgebe, das zunächst nicht in irgendeiner Realität begründet ist, sondern das einfach Notenvermehrung ist, oder, ob ich dem Grund und Boden Kapitalwert verleihe. Ich schaffe in beiden Fällen Scheinwerte. Durch solche Notenvermehrung erhöhe ich der Zahl nach die Preise, aber in Wirklichkeit tue ich gar nichts im volkswirtschaftlichen Prozeß. Ich schichte nur um. Den einzelnen aber kann ich ungeheuer schädigen. So schädigt diejenigen Menschen, die im Zusammenhang im volkswirtschaftlichen Prozeß drinnenstehen, dieses Kapitalisieren von Grund und Boden.
Sie können ja da ganz interessante Studien anstellen, wenn Sie zum Beispiel vergleichen die Hypothekargesetzgebung, wie sie vor dem Kriege war in mitteleuropäischen Ländern, wo man den Grund und Boden in beliebiger Weise hinaufschrauben konnte, durch die Gesetzgebung selbst bedingt - und wenn Sie in England nehmen die Gesetzgebung, wo der Grund und Boden nicht wesentlich steigen kann in gewisser Weise, wenn Sie sich da die Wirkungen auf den volkswirtschaftlichen Prozeß anschauen. Doch diese Dinge können ganz interessante Dissertationsthemen abgeben. Einmal die Wirkung der englischen Hypothekargesetzgebung mit der deutschen Hypothekargesetzgebung zahlenmäßig zu vergleichen, würde ein ganz gutes Thema abgeben.