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Institut pour une triarticulation sociale
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Collection: F002 - Question foncière
Sujet: L'argent vieillira par "l'invendabilité" du sol.
 
Les références : Rudolf Steiner Oeuvres complètes 332, page 210 - 211, 2/1979, 30.10.1919, Zurich
Original
Traducteur: FG Editeur: SITE

Il y a même eu des humains, qui ont fait des testaments, qui ont légué ceci ou cela à quelque ville. Alors ils ont calculé, combien cela fait après quelques siècles. Ce sont de telles grosses sommes, que l’on pourrait alors payer les dettes d’État d’un État très fortement endetté. Mais la blague est seulement que ce n’est alors plus là, parce que c’est impossible, sur de si longues durées de maintenir l’argent dans l’intérêt. Mais pour cela l’intérêt véritable est à maintenir pour de plus courtes durées. Mais si dans le processus économique cela pénétrait, que de fait les moyens de production ne couteraient plus rien quand ils sont là, fond et sol deviendrai de fait des objets juridiques – pas des objets d’achat, pas un objet de circulation économique -, alors s’introduit pour le capital monétaire, je l’ai souvent exprimé, qu’après un certain temps il commence à avoir une mauvaise odeur, comme des aliments, qui sont avariés et ont une mauvaise odeur, ne sont plus utilisables. Simplement par le processus économique lui-même s’établira que l’argent perd sa valeur après un certain temps, qui n’est absolument pas quelque chose d’injustement court ; mais c’est justement ainsi.

Par cela vous voyez combien beaucoup cette impulsion pour la triarticulation de l’organisme social est pensée à partir des réalités.
Lorsque vous donnez des lois, vous donnez des abstractions, par lesquelles vous voulez maitriser la réalité. Pensez-vous sur la réalité, ainsi vous voulez former la réalité ainsi que les choses se présentent ainsi qu’elles expriment la plus profonde conscience de l’humain.
Tout aussi bien est, dans un tel organisme, comme je le pense, absolument pas contenu comme tel le revenu sans travail. On doit seulement avoir aussi des concepts clairs sur ces choses. Qu’est finalement un revenu sans travail ? Dans ce concept « revenu sans travail » est donc fourré beaucoup, vraiment beaucoup de non-clartés dedans, et avec des concepts non clairs on ne peut véritablement pas conduire de réformes. Voyez-vous, pour celui, qui nomme « travail »  purement fendre du bois, pour lui est certainement un revenu sans travail ce que quelqu’un reçoit pour un tableau, qu’il peint, et semblable. C’est juste exprimé un peu radicalement, mais ainsi est souvent jugé absolument le soi-disant « revenu sans travail ». (NDT : en 1919 est paru un livre sur le sujet „Die Beseitigung des arbeitslosen Einkommens“: die künftige Wirtschaft (Wertschafft) : deutsches Ideal. Heinrich Dolle. R. Steiner y fait peut-être référence ici.)  Il s’assemble cela, qui fonde des valeurs économiques, justement de différents facteurs dans la vie. Cela s’assemble premièrement à partir de faculté des humains, deuxièmement du travail, mais troisièmement aussi de constellation, et c’est une des plus grandes erreurs, lorsqu’on a à peine défini, qu’un quelconque bien, qui est dans la circulation économique, serait seulement du « travail cristallisé ». Cela il ne l’est absolument pas.
Je me suis donc exprimé sur le travail dans ces conférences. Il s’agit donc que l’on n’assemble pas d’une quelconque manière le concept de travail, comme il est aujourd’hui diversement assemblé, avec le concept de revenu. Son revenu, un humain le reçoit donc véritablement pas purement parce qu’il mange et boit ou satisfait sinon quelque besoin corporel ou d’âme, mais aussi parce qu’il travaille pour d’autres humains.
Le processus économique est donc un bien trop compliqué, pour qu’on veuille l’englober avec de tels concepts simples.

Es hat sogar Menschen gegeben, die haben Testamente gemacht, daß sie irgendeiner Stadt das oder jenes vermacht haben. Dann haben sie ausgerechnet, wieviel das nach ein paar Jahrhunderten ist. Das sind so große Summen, daß man dann damit die Staatsschulden eines sehr stark verschuldeten Staates zahlen könnte. Aber der Witz ist nur der, daß es dann nicht mehr da ist, weil es unmöglich ist, über so lange Zeiten das Geld in der Verzinsung zu erhalten. Dafür aber ist die regelrechte Verzinsung für kürzere Zeit aufrechtzuerhalten. Aber wenn im volkswirtschaftlichen Prozeß das einträte, daß tatsächlich Produktionsmittel nichts mehr kosten, wenn sie da sind, Grund und Boden tatsächlich Rechtsobjekte werden - nicht ein Kaufobjekt, nicht ein WirtschaftsZirkulationsobjekt -, dann tritt für das Geldvermögen ein, daß es, ich habe es öfter ausgedrückt, nach einer bestimmten Zeit anfängt einen üblen Geruch zu haben, wie Speisen, die verdorben sind und einen üblen Geruch haben, nicht mehr brauchbar sind. Einfach durch den wirtschaftlichen Prozeß selber stellt es sich heraus, daß Geld seinen Wert verliert nach einem bestimmten Zeitraume, der durchaus nicht etwa ungerecht kurz ist; aber es ist eben so.
Dadurch sehen Sie, wie sehr dieser Impuls für den dreigliederigen sozialen Organismus aus den Realitäten heraus gedacht ist. Wenn Sie Gesetze geben, so geben Sie Abstraktionen, durch die Sie die Wirklichkeit beherrschen wollen. Denken Sie über die Wirklichkeit, so wollen Sie die Wirklichkeit so gestalten, daß sich die Dinge so ergeben, wie sie dem tieferen Bewußtsein des Menschen entsprechen.
Ebenso ist in einem solchen Organismus, wie ich ihn denke, durchaus nicht das arbeitslose Einkommen als solches enthalten. Nur muß man über diese Dinge auch klare Begriffe haben. Was ist denn schließlich ein arbeitsloses Einkommen? In diesem Begriff « arbeitsloses Einkommen » steckt ja sehr, sehr viel von Unklarheiten drinnen, und mit unklaren Begriffen kann man wahrhaftig keine Reformen durchführen. Sehen Sie, für denjenigen, der « Arbeit » bloß Holzhacken nennt, für den ist ganz sicher ein arbeitsloses Einkommen dasjenige, was jemand für ein Bild erhält, das er malt, und dergleichen. Es ist nur etwas radikal ausgesprochen, aber so wird oftmals das sogenannte « arbeitslose Einkommen » durchaus beurteilt.




Es setzt sich das, was wirtschaftliche Werte begründet, eben aus verschiedenen Faktoren im Leben zusammen. Es setzt sich zusammen erstens aus den Fähigkeiten der Menschen, zweitens aus der Arbeit, drittens aber auch aus Konstellationen, und es ist einer der grôßten Irrtümer, wenn man gar definiert hat, daß irgendein Gut, das in der wirtschaftlichen Zirkulation ist, nur « kristallisierte Arbeit » sei. Das ist es durchaus nicht. Über Arbeit habe ich mich ja in diesen Vorträgen ausgesprochen.
Es kommt also darauf an, daß man überhaupt den Begriff der Arbeit nicht in irgendeiner Weise zusammenbringt, wie er heute vielfach zusammengebracht wird, mit dem Begriff des Einkommens. Sein Einkommen bekommt ja ein Mensch wahrhaftig nicht bloß dafür, daß er ißt und trinkt oder sonst irgendwelche leiblichen oder seelischen Bedürfnisse befriedigt, sondern auch dafür, daß er für andere Menschen arbeitet. Also es ist der wirtschaftliche Prozeß ein viel zu komplizierter, als daß man ihn mit so einfachen Begriffen sollte umfassen wollen.