Collection:
107 (ex F3) - Le sol n'est pas une
marchandise
& 108 (ex
F2) - Origine et action de la
spéculation foncière |
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Sujet :
(108) - Le
moyen de production n'appartient à personne.
(107) -
Qu'est ce qui peut remplacer l'acte d'achat ? |
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Les
références : Rudolf Steiner Oeuvres
complètes 330, page 173 - 177, 2/1983,
13.05.1919, Stuttgart |
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Original
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Traducteur: FG
v.03 - 20/02/2021 |
Editeur: SITE |
Maintenant, le credo du travailleur, au moins de ce
travailleur, qui s’est développé vers le haut sous le
capitalisme sclérosant l’âme dans le temps récent, ce
credo résonne :
Je vis de mon travail ! – C’est dans l’actuelle
ordonnance sociale tout autant une pure croyance, une
croyance injustifiée, que l’on pourrait vivre de son
travail, comme c’est une croyance injustifiée, que l’on
pourrait vivre d’un quelconque capital, bien que la
croyance, que l’on puisse vivre de son travail, a au
moins une certaine exactitude limitée. Seulement, elle
n’a pas de pleine exactitude à l’intérieur de notre
ordre social. Car à l’intérieur de notre ordre social
reposant sur la division du travail, une triple activité
de l’humain, qui part de la culture spirituelle de
l’époque au sens large, est nécessaire, afin que l’on
puisse vivre de ce travail. Premièrement est nécessaire
l’activité inventive, laquelle conduit au moyen de
production, et deuxièmement l’activité
organisationnelle, laquelle conduit à l’harmonisation
entre les moyens de production et le travail humain et
troisièmement est nécessaire l’activité spéculative,
laquelle conduit à la valorisation de ce qui sera
produit avec le travail aux moyens de production, au
transfert des productions aux membres appropriés de la
société humaine. Sans cette triple activité spirituelle,
le travail dans l’organisme social, qui repose sur la
division du travail, est quelque chose d’infructueux.
Mais avec cela on sera rendu attentif dès le départ sur
ce qui, comme je le disais déjà, diffuse d’une certaine
manière de la lumière sur ce qui nécessaire aujourd’hui.
On doit seulement regarder ce qui est là dans la juste
lumière. La société actuelle travaille sous l’influence
du capital. Celui qui travaille éprouve très justement,
quand il considère le moyen de production comme
l’essentiel du capital, cela signifie ce qui doit être
créé par le travail humain et ne conduit pas
immédiatement à la consommation, donc n’est pas un
article de besoin immédiat, un article de consommation
immédiate, mais ce qui sert à la fabrication de produits
de besoin et de luxe. Ces moyens de production, le
socialisme veut les mener dans une autre ordonnance
sociétale qu’elle n’est, dans laquelle ils sont venus
sous les influences de l’ordre économique capitaliste de
l’époque récente.
Maintenant on peut curieusement dire, il se montre déjà,
que d’une certaine manière les moyens de production sont
quelque chose en soi, qu’ils peuvent être séparés des
humains. Que l’on compare seulement comment dans les
plus anciennes formes économiques ce dont l’humain avait
besoin comme travailleur manuel pour produire, comment
cela était fondé dans sa qualité humaine. Que l’on
compare maintenant tout ce qui sera aujourd’hui mis en
mouvement en grand avec l’aide des moyens de production
modernes de grand style, comment cela pourra être séparé
dans une certaine mesure de l’individualité humaine
comme bien de chose/matériel. Nous savons donc, lorsque
l’on vend une somme de moyens de production qui
constituent une exploitation – elle peut être vendue par
un humain ou une société par actions à un autre humain,
à une autre société par actions, les deux n’ont peut
être pas du tout autre chose à faire avec ces moyens de
production que de tirer leur tantième, leur profit -,
ainsi se montre, comment existe en large étendue un
décollement/détachement du moyen de production des
possesseurs. Ici nous avons par la réalité quelque
chose, qui doit être à l’avenir seulement tourné de
manière appropriée en son contraire, alors nous arrivons
à une véritable socialisation des moyens de production.
Indiquer une telle chose, je l’ai essayé dans mon livre
« Les fondements de la question sociale dans les
nécessités de la vie du présent et de l’avenir ». |
Nun, das Glaubensbekenntnis des Arbeiters, wenigstens
desjenigen Arbeiters, welcher sich unter dem
seelenverödenden Kapitalismus heraufentwickelt hat in
die neue Zeit, dieses Glaubensbekenntnis lautet:
Ich lebe von meiner Arbeit! - Es ist in der heutigen
Gesellschaftsordnung ebenso ein bloßer Glaube, ein
unberechtigter Glaube, daß man von seiner Arbeit leben
könne, wie es ein unberechtigter Glaube ist, daß man
leben könne von irgendeinem Kapital, obwohl der Glaube,
daß man von seiner Arbeit leben kann, wenigstens eine
gewisse eingeschränkte Richtigkeit hat. Nur hat er keine
volle Richtigkeit innerhalb unserer
Gesellschaftsordnung. Denn innerhalb unserer auf
Arbeitsteilung beruhenden Gesellschaftsordnung ist,
damit man von dieser Arbeit leben kann, eine dreifache
Tätigkeit des Menschen notwendig, die ausgeht von der
geistigen Kultur der Zeit im weitesten Sinne. Erstens
ist notwendig die erfinderische Tätigkeit, welche zu den
Produktionsmitteln führt, und zweitens die
organisatorische Tätigkeit, welche zu der Harmonisierung
führt zwischen den Produktionsmitteln und menschlicher
Arbeit, und drittens ist notwendig die spekulative
Tätigkeit, welche führt zur Verwertung desjenigen, was
mit Hilfe der Arbeit an den Produktionsmitteln
produziert wird, zur Überführung der Erzeugnisse an die
entsprechenden Glieder der menschlichen Gesellschaft.
Ohne diese dreifache geistige Tätigkeit ist Arbeit in
dem sozialen Organismus, der auf Arbeitsteilung beruht,
etwas Unfruchtbares. Damit wird man aber von vornherein
auf dasjenige hingewiesen, was, wie ich schon sagte, in
einer gewissen Weise Licht verbreitet über das heute
Notwendige. Man muß, was da ist, nur in richtigem Lichte
anschauen. Die heutige Gesellschaft arbeitet unter dem
Einfluß des Kapitals. Der Arbeitende empfindet ganz
recht, wenn er als das Wesentliche des Kapitals die
Produktionsmittel ansieht, das heißt dasjenige, was
durch die Menschenarbeit geschaffen werden muß und nicht
unmittelbar zum Verbrauch führt, also kein unmittelbarer
Bedarfsartikel, kein unmittelbarer Genußartikel ist,
sondern was zur Herstellung von Bedarfs und Genußmitteln
dient. Diese Produktionsmittel will der Sozialismus in
eine andere gesellschaftliche Ordnung bringen als die
ist, in die sie unter den Einflüssen der
kapitalistischen Wirtschaftsordnung der neueren Zeit
gekommen sind.
Nun kann man merkwürdigerweise sagen, es zeigt sich
schon, daß in einer gewissen Weise die Produktionsmittel
etwas für sich sind, daß sie abgesondert werden können
von den Menschen. Man vergleiche nur, wie in den älteren
Wirtschaftsformen das, was der Mensch brauchte als
Handwerker, um zu produzieren, wie das begründet war in
seiner menschlichen Qualität. Nun, man vergleiche dann
alles, was heute im großen getrieben wird mit Hilfe der
modernen Produktionsmittel großen Stils, wie das
gewissermaßen als Sachgut abgesondert werden kann von
der menschlichen Individualität. Wir wissen ja, wenn man
eine Summe von Produktionsmitteln, die einen Betrieb
ausmachen, verkauft - es kann sie ein Mensch oder eine
Aktiengesellschaft verkaufen an einen anderen Menschen,
an eine andere Aktiengesellschaft, beide haben
vielleicht gar nichts anderes zu tun mit diesen
Produktionsmitteln, als daß sie ihre Tantiemen, ihren
Profit beziehen -, so zeigt sich, wie in weitestem
Umfange eine Loslösung der Produktionsmittel von den
Besitzern besteht. Hier haben wir durch die Wirklichkeit
etwas, das in der Zukunft nur in entsprechender Weise in
sein Gegenteil gewendet werden muß, dann kommen wir zu
einer wirklichen Sozialisierung der Produktionsmittel.
Eine solche anzugeben, habe ich versucht in meinem Buche
« Die Kernpunkte der sozialen Frage in den
Lebensnotwendigkeiten der Gegenwart und Zukunft ». |
Quelque chose de double doit être atteint.
Premièrement, dois être atteint, qu’une attache plus
étroite sera établie entre le dirigeant d’une
exploitation/entreprise avec des moyens de production et
ces moyens de production eux-mêmes. Un dirigeant ou un
consortium de dirigeants doit absolument être ce qui,
par son travail spirituel, intervient que ce soit en
disposant, que ce soit en calculant, que ce soit en
inventant, dans l’exploitation par le moyen de
production et qu’il s’y associe. À un tel consortium,
qui par tout son investissement spirituel, par ses
facultés spirituelles est lié avec les moyens de
production d’une certaine exploitation, est à établir la
confiance dans les plus larges dimensions du côté de
ceux qui doivent travailler à ce moyen de production
comme travailleurs manuels. À l’avenir ont à se tenir
face à face le travailleur manuel, l’humain travaillant
de ses mains et celui qui ne tire pas le profit, qui
grandit à partir du moyen de production, mais par ses
facultés spirituelles, par ses travaux spirituels, qu’il
a orientés en direction du type de certains moyens de
production, est seul justifié à diriger d’une certaine
manière cette exploitation, de diriger ce moyen de
production. Mais seulement aussi longtemps ce dirigeant
d’exploitation a à diriger le moyen de production qu’il
peut exécuter la direction en y étant attaché, en y
étant en train de faire croître ses facultés avec ce
moyen de production. |
Ein Zweifaches muß erreicht werden. Erstens muß
erreicht werden, daß ein engeres Band hergestellt werde
zwischen den Leitern eines Betriebes mit
Produktionsmitteln und diesen Produktionsmitteln selber.
Ein Leiter oder ein Leiterkonsortium muß unbedingt
dasjenige sein, welches durch seine geistige Arbeit, sei
es disponierend, sei es kalkulierend, sei es
erfinderisch, in den Betrieb durch die Produktionsmittel
eingreift und sich daran beteiligt. Zu einem solchen
Konsortium, das durch seine ganze geistige Anlage, durch
seine geistigen Fähigkeiten verbunden ist mit den
Produktionsmitteln eines bestimmten Betriebes, ist in
den weitesten Ausmaßen Vertrauen herzustellen von seiten
derjenigen, die als Handarbeiter an diesen
Produktionsmitteln arbeiten müssen. Gegenüberzustehen
haben sich in der Zukunft der Handwerker, der
handarbeitende Mensch und derjenige, der nicht den
Profit bezieht, der aus den Produktionsmitteln
herauswächst, sondern der durch seine geistigen
Fähigkeiten, durch seine geistigen Arbeiten, die er
hinorientiert hat nach der Art bestimmter
Produktionsmittel, einer bestimmten Betriebsart allein
berechtigt ist, diesen Betrieb, diese Produktionsmittel
zu leiten. Aber nur so lange hat dieser Betriebsleiter
Produktionsmittel zu leiten, als er die Leitung
rechtfertigen kann durch das Verbundensein, das
Zusammengewachsensein seiner Fähigkeiten mit diesen
Produktionsmitteln. |
Là commence un point, où toutefois ceux qui peuvent
seulement se représenter, qu’au moins l’essentiel de
l’ancien reste conservé, commencent à faire des visages
déconcertés. Et quand même, quand le moment apparaît, où
quelqu’un, qui a grandi ensemble avec une somme
déterminée de moyens de production, n’obtient plus ce se
tenir droit à être à grandir avec le moyen de
production, alors incombe à l’organisme social
l’obligation de transférer sans achat ce moyen de
production à une autre personne ou groupe de personnes.
Cela ne signifie rien de moins qu’à l’avenir aura lieu
un assemblage – maintenant, appelons le capital ou comme
vous voulez -, de capital et de facultés humaines sans
achat. Capital a alors seulement la signification de ce
qui est utilisé, pour engager de grandes exploitations.
Il apparaîtra à l’avenir du capital par un humain
capable pour une certaine exploitation. Ce capital
apparaîtra seulement par la confiance que d’autres
humains ont en lui, ils lui donneront alors ce qu’ils
fournissent comme surcroît de travail au-delà de leur
besoin. Il sera en situation, dans une certaine mesure
dans le mandat d’un groupe lui faisant confiance, mais
cela signifie de l’universalité de l’organisme social,
de construire une telle exploitation, qui aujourd’hui
seulement peut être bâtie sur le capital privé et la
jouissance du capital privé. Mais alors, quand
l’exploitation est construite, alors échappe/est annulé
quelque chose, ce contre quoi en fait le travailleur
combat en réalité, échappe/est annulée la possession du
moyen de production. Se tiennent face à face après que
la construction du moyen de production est accomplie, le
travailleur par contrat et celui qui est le dirigeant
technique ou autrement spirituel de l’exploitation. Le
moyen de production n’appartient à personne, la
possession au moyen de production cesse. Et au moment,
où n’est plus justifiée par les facultés particulières
du dirigeant la coopération de cette exploitation avec
le dirigeant, le dirigeant est obligé de transférer le
moyen de production à un autre consortium, à un autre
groupe de personnes. Indirectement ou directement ! Par
cela sera atteint pour l’avenir, ce que je dois nommer
circulation du capital ! Le capital sera, de saine
manière, incorporé à l’organisme sociétal socialisé. Il
circulera dans cet organisme, comme le sang circule dans
l’organisme humain ou animal, où il ne doit pas aussi
être revendiqué unilatéralement par un organe, mais doit
circuler par tous les organes. Libre circulation du
capital ! C’est cela qui en vérité sera exigé par
l’avenir. |
Hier beginnt ein Punkt, wo allerdings diejenigen, die
sich nur vorstellen können, daß wenigstens das
Wesentliche vom Alten bestehen bleibt, beginnen,
verdutzte Gesichter zu machen. Und doch, wenn der
Zeitpunkt eintritt, wo irgend jemand, der
zusammengewachsen ist durch seine Fähigkeiten mit einer
bestimmten Summe von Produktionsmitteln, dieses
Zusammengewachsensein nicht mehr aufrecht erhält, dann
erwächst dem sozialen Organismus die Verpflichtung,
diese Produktionsmittel ohne Kauf überzuleiten an eine
andere Person oder Personengruppe. Das heißt nichts
Geringeres als, es wird in der Zukunft stattfinden eine
Zusammenfügung von - nun, nennen wir es Kapital oder wie
wir wollen -, von Kapital und menschlichen Fähigkeiten
ohne Kauf. Kapital hat dann nur die Bedeutung dessen,
was gebraucht wird, um große Betriebe einzuleiten. Es
wird in der Zukunft Kapital entstehen durch einen für
einen bestimmten Betrieb fähigen Menschen. Dieses
Kapital wird nur entstehen durch das Vertrauen, das
andere Menschen zu ihm haben, die ihm dasjenige geben
werden, was sie als Mehrarbeit leisten über ihren Bedarf
hinaus. Er wird in der Lage sein, gewissermaßen im
Auftrage einer ihm vertrauenden Gruppe, das heißt aber
der Allgemeinheit des sozialen Organismus, einen solchen
Betrieb aufzubauen, der heute nur auf dem Privatkapital
und Privatkapitalgenuß aufgebaut werden kann. Dann aber,
wenn der Betrieb aufgebaut ist, dann entfällt etwas,
wogegen eigentlich heute der Arbeiter in Wirklichkeit
kämpft, es entfällt der Besitz der Produktionsmittel. Es
stehen sich gegenüber nachdem der Aufbau der
Produktionsmittel vollzogen ist, der Arbeiter durch
Vertrag und derjenige, der der technische oder sonstige
geistige Leiter des Betriebes ist. Die Produktionsmittel
gehören niemand, der Besitz an Produktionsmitteln hört
auf. Und in dem Moment, wo nicht mehr durch die
besonderen Fähigkeiten des Leiters gerechtfertigt ist
das Zusammenwirken des Betriebes mit diesem Leiter, ist
der Leiter verpflichtet, die Produktionsmittel an ein
anderes Konsortium, an eine andere Personengruppe
überzuführen. Unmittelbar oder mittelbar! Dadurch wird
für die Zukunft erreicht, was ich nennen muß Zirkulation
des Kapitals und Aufhören des Privatbesitzes an Kapital!
Das Kapital wird in gesunder Weise dem sozialisierten
gesellschaftlichen Organismus einverleibt werden. Es
wird zirkulieren in diesem gesellschaftlichen
Organismus, wie das Blut im menschlichen oder im
tierischen Organismus zirkuliert, wo es auch nicht
einseitig in Anspruch genommen werden darf durch ein
Organ, sondern durch alle Organe durchzirkulieren muß.
Freie Zirkulation des Kapitals! Das ist es, was in
Wahrheit für die Zukunft gefordert wird. |
Dans un tel organisme social, en ce que le capital
circule librement ainsi, est aussi seulement possible
une véritable liberté du travail. Car ainsi que le
capital privé est en fait vis-à-vis des fonctions
sociétales la cinquième roue de la charrette, ainsi la
force de travail humaine est venue dans une situation
de contrainte sous la domination du capitalisme comme
pendant du capital. Ce qui est nécessaire pour
l’assainissement de la société humaine, cela sera
atteint par la circulation du capital, que personne ne
possède. Ce qui aujourd’hui sera payé vers dehors,
sorti des moyens de production, ce que les gens
nomment leur capital ou leur rente en titres
hypothécaires, obligations hypothécaires ou obligation
et ainsi de suite, cela est absolument inutile dans le
développement humain de l’ordre sociétal. Cela est
retiré de cet ordre de la société et cela place les
humains, que le retirent, eux-mêmes hors de cet ordre
social, les faits plus ou moins des parasites et ceux
qui fabriquent/produisent les grandes forces de
l’insatisfaction à l’intérieur de l’ordre social.
Ce que je vous ai expliqué ici sur la circulation du
capital, maintes gens le trouveront évidemment comme
non pratique. Cela, je le crois. Mais trouver non
pratique, cela ne signifie dans ce cas rien d’autre
que ne rien vouloir laisser de ce que qui est la
cinquième roue à la charrette de l’ordre économique,
cela signifie s’être habitué, à ne trouver pratique,
ce qui s’est avéré pratique pour soi, pour l’égoïsme.
Mais l’humain devra pour l’avenir se consacrer avec
son entière entité à l’organisme sociétal. Là il ne
suffira pas que les gens soient assis dans des
chambres et fabulent sur amour du prochain, sur
fraternité et se trouvent si bien en cela, et alors
découpent les coupons, qu’ils peuvent seulement
découper, parce que des gens travaillent pour eux dans
les mines, dans les fabriques dans le besoin et la
misère, pour qu’avec ils puissent se faire du bien par
leurs prêches d’amour de l’humain, d’amour du prochain
et de fraternité.
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In einem solchen sozialen Organismus, in dem so das
Kapital frei zirkuliert, ist auch nur möglich
wirkliche Freiheit der Arbeit. Denn so wie das private
Kapitaleigentum tatsächlich gegenüber den
gesellschaftlichen Funktionen das fünfte Rad am Wagen
ist, so ist als Gegenstück des Kapitals die
menschliche Arbeitskraft in eine Zwangslage gekommen
unter der Herrschaft des Kapitalismus. Was für die
Gesundung der menschlichen Gesellschaft notwendig ist,
das wird erreicht durch die Zirkulation des Kapitals,
das niemand besitzt. Was heute herausbezahlt,
herausgeholt wird aus den Produktionsmitteln, was die
Leute in den Hypothekenscheinen, in Pfandbriefen oder
Obligationen und so weiter ihr Kapital oder ihre Rente
nennen, das ist absolut unnötig im wirklichen Prozeß
der menschlichen Entwickelung der gesellschaftlichen
Ordnung. Das ist herausgenommen aus dieser
Gesellschaftsordnung, und das stellt die Menschen, die
es herausnehmen, selber aus dieser
Gesellschaftsordnung heraus, macht sie mehr oder
weniger zu Parasiten und zu denjenigen, welche die
großen Kräfte der Unzufriedenheit innerhalb der
gesellschaftlichen Organisation erzeugen. Was ich
Ihnen hier auseinandergesetzt habe über die
Zirkulation des Kapitals, werden manche Leute
selbstverständlich alles höchst unpraktisch finden.
Das glaube ich. Aber unpraktisch finden, das heißt in
diesem Fall nichts anderes als nicht ablassen wollen
von dem, was das fünfte Rad am Wagen der
Wirtschaftsordnung ist, das heißt sich angewöhnt
haben, nur das praktisch zu finden, was sich für einen
selbst, für den Egoismus als praktisch erwiesen hat.
Der Mensch wird aber für die Zukunft sich hingeben
müssen mit seiner ganzen Wesenheit an den
gesellschaftlichen Organismus. Da wird es nicht
genügen, daß die Leute in den Zimmern sitzen und über
Nächstenliebe, über Brüderlichkeit phantasieren und
sich so recht gut finden dabei, und dann die Kupons
abschneiden, die sie nur deshalb abschneiden können,
weil die Leute in den Bergwerken, in den Fabriken in
Not und Elend für sie arbeiten, damit sie sich wohltun
können bei ihren Predigten von Menschenliebe, von
Nächstenliebe und Brüderlichkeit.
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