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Institut pour une triarticulation sociale
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Collection: F1 - Question foncière
Sujet: En vérité chacun possède la même part de sol.
 
Les références : Roman Boos, Agriculture et industrie, page 24
Original
Traducteur: FG Editeur: SITE

D’un entretien le 27 janvier 1919 à Stuttgart :

Si on pense conformément à la réalité dans ce domaine, alors on a besoin seulement de de la reconnaissance à l’extérieur, qui est là. En vérité est exact dans l’économie mondiale, que chacun est possesseur de cette partie du sol et des moyens de production, qui alors résulte de ce que l’on divise l’entier ensemble du sol et des moyens de production par le nombre de la population. Cela s’établit de cela de toute façon, que la richesse du peuple dépend du nombre de la population. Un morceau de Terre sera mieux utilisé, quand il est plus petit. Quand dans un territoire la population croit, alors chacun devient idéellement possesseur d’un plus petit morceau de sol. La propriété privée ne peut pas du tout être éliminée du monde, mais seulement masquée. Je ne veux pas que tous deviennent prolétaires, mais que chacun soit possesseur, et d’ailleurs de ce qui lui revient. La propriété privée ne doit pas être éliminée, mais placée sur une base telle, que son effet d’utilisation agisse collectivement…

Aus einer Besprechung am 27. Januar 1919 in Stuttgart:


Wenn man auf diesem Gebiete wirklichkeitsgemäß denkt, so braucht man nur dem äußere Anerkennung zu schaffen, was da ist. In Wahrheit ist in der Weltwirtschaft richtig, daß jeder Besitzer desjenigen Teiles des Bodens und der Produktionsmittel ist, der dann herauskommt, wenn man den ganzen Umfang des Bodens und der Produktionsmittel dividiert durch die Bevölkerungszahl. Es stellt sich dabei allerdings heraus, daß der Volksreichtum abhängt von der Bevölkerungszahl. Ein Stück Land wird besser ausgenützt, wenn es kleiner ist. Wenn in einem Territorium die Bevölkerung anwächst, so wird ideell jeder Besitzer eines kleineren Stücks Bodens. Das Privateigentum kann gar nicht aus der Welt geschafft werden, sondern nur maskiert. Ich will nicht, dass alle Proletarier werden, sondern dass jeder Besitzer ist, und zwar dessen, was ihm zukommt. Das Privateigentum soll nicht abgeschafft, sondern auf eine solche Basis gestellt werden, dass sein Nutzeffekt kollektivistisch wirkt ...