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Sujet: Choses combattues tant par le science spirituelle que matérialiste
 
Les références : 24 mars 1916, Berlin (Rudolf Steiner Oeuvres complètes 065)
Traducteur: FG Editeur: SITE

 

 

Et il est revenu sur cette chose avec une plus grande signification encore, dans l’almanach pour 1914, qui est paru déjà en 1913. Il peut y avoir des humains crédules, qui ne croient pas moins et pas plus, que s’est accompli là une grande prophétie, auxquels n’apparaît pas du tout en leur croyance aveugle, qu’ici des courants vivants dans le monde européen on agit déloyalement, on utilisé la superstition et toute sorte d’occultismes sombres pour introduire quelque chose dans le monde.
Comment cela est en rapport avec toute sorte de courants souterrains, celui qui considère qu’une feuille Parisienne « Paris à midi », longtemps, longtemps avant l’actuelle confusion et a peu prêt simultanément à la publication justement de la note mentionnée dans l’almanach mentionné, une prétendue voyante – une feuille parisienne, qui alors ne prétend absolument pas être occultiste d’une manière ou d’une autre, mais qui se laisse comparer à d’autres feuilles qui paraissent à midi, - que cette feuille justement aussi de long mois avant à exprimé comme son souhait, que l’archiduc autrichien François Ferdinand puisse être assassiné.
Là on va bien arriver sur certains rapports souterrains.
Et cette même feuille a écrit sur les deux entretiens des temps de service de trois années : parmi les tout premiers qui devaient être assassinés, si l’on devait aller à une mobilisation, devait être Jaurès. Cette même personnalité qui laisse paraître cet almanach, a voyagé à Rome dans les premiers jours d’Août 1914, pour influencer là certaines gens, qui justement sont accessibles à de telles influences, d’après une direction, de laquelle je ne veux pas dire, qu’elle est attachée aux causes principales de la position de l’Italie, mais qui à déjà agit dans cette affaire. Ces choses ne sont discutées par moi que parce qu’elles seront discutées par d’autres, du côté matérialiste. Mais elles doivent être discutées, afin que l’on voie avec cela, que la vraie science de l’esprit n’a rien à faire avec de telles choses, en particulier avec toutes les superstitions comptant sur la crédulité de la foule et avec ce qui est fait en grand ou petit sous le manteau de la superstition.
La science de l’esprit comme science véritable qui peut se placer près des autres sciences, peut apparaître tout d’abord, si on la tient libre de tout ce avec quoi on peut encore la confondre facilement et ce qui n’est pas seulement confondu avec elle souvent sous l’influence d’un jugement limité, qui ne peut simplement différencier, mais est aussi confondu à partir d’une volonté mauvaise.
Et dans la littérature, qui sera jetée en face de la science de l’esprit, sera beaucoup exploité justement que ce que l’on doit justement démentir, si l’on veut caractériser la science de l’esprit, soit démenti, que la science de l’esprit sera poussée sur le même terrain, que ces choses-là se tiennent, qui doivent bien évidemment être fortement combattues, comme elles sont combattues par la science matérialiste

 

 

583 Almanach: «Almanach de Mme. de Thēbes. Conseils pour être heureux», Paris, 1912.

584 dans l’almanach pour 1914 : «L’évènement tragique dans la maison impériale autrichienne que j’ai prévu, ne s’est bien sûr pas encore produit, mais il se produira très certainement, et d’ailleurs avant que se soit écoulé la première moitié de l’année » (s. o.), Paris 1913, «Mes prédictions de Pan passe».que l’archiduc d’Autriche François Ferdinand pouvait être assassiné : cf. Karl Heise, «Die Entente-Freimaurerei und der Weltkrieg», 3. Auflage, Basel 1920, S. 76.
Parmi les premiers qui seront assassinés : dans une allocution devant la chambre du 4 juillet 1913 Jean Jaurès disait, tourné vers les partis de droite : « De vos journaux, de vos articles, chez vos séides résonne – vous me comprenez – continuellement l’invitation à un attentat contre nous ».

 

Und mit noch größerer Deutlichkeit wird im Almanach für 1914, der schon 1913 erschienen ist, auf diese Sache zurück gekommen. Es kann leichtgläubige Menschen geben, die nichts mehr und nichts weniger glauben als: da habe sich eine große Prophetie erfüllt, denen gar nicht in ihrem blinden Glauben klar zu machen ist, daß hier unlautere, in der europäischen Welt lebende Strömungen gewirkt haben, welche den Aberglauben und allerlei dunkle Okkultismen benützt haben, um irgend etwas in die Welt hineinzubringen. Wie das zusammenhängt mit allerlei unterirdischen Strömungen, das kann derjenige übersehen, der berücksichtigt, daß ein Pariser Blatt, «Paris am Mittag»,lange, lange vor den gegenwärtigen Wirren und ungefährgleichzeitig mit dem Erscheinen der eben besagten Notiz in dem gekennzeichneten Almanach einer angeblichen Hellseherin—ein Pariser Blatt, das nun durchaus nicht Anspruch darauf macht, irgendwie okkultistisch zu sein, sondern das sich vergleichen läßt mit anderen Blättern, die am Mittag erscheinen, — daß dieses Blatt eben auch lange Monate vorher es als seinen Wunsch ausgedrückt hat, daß der österreichische Erzherzog Franz Ferdinand ermordet werden möge. Da wird man schon auf gewisse unterirdische Zusammenhänge kommen. Und dieses selbe Blatt hat beider Besprechung der dreijährigen Dienstzeit geschrieben: Unter den Allerersten, die ermordet werden, wenn es zu einer Mobilisierung kommen soll, wird Jaures sein. Dieselbe Persönlichkeit, die jenen Almanach erscheinen läßt, ist in den ersten Augusttagen 1914 nach Rom gereist, um dort gewisse Leute zu beeinflussen, die eben solchem Einflusse zugänglich sind, nach einer Richtung hin, von der ich nicht sagen will, daß sie mit den Hauptursachen der Stellung Italiens verknüpft ist, die aber schon gewirkt hat in dieser Sache. Diese Dinge werden von mir nur deshalb besprochen, weil sie von anderer, von materialistischer Seite besprochen werden. Sie müssen aber besprochen werden, damit man sieht, daß wahre Geisteswissenschaft mit derlei Dingen, überhaupt mit allem auf die Leichtgläubigkeit der Menge rechnenden Aberglauben und mit dem, was unter dem Mantel des Aberglaubens im großen und im kleinen erschwindelt und getan wird, nichts zu tun hat. Geisteswissenschaft wird als wirkliche Wissenschaft, die sich neben die andere Wissenschaft hinstellen kann, eben erst erscheinen, wenn man sie wird frei halten von allem, was heute noch so leicht mit ihr verwechselt werden kann und was mit ihr nicht nur verwechselt wird unter dem Einfluß des beschränkten Urteils oftmals, das einfach nicht unterscheiden kann, sondern was auch verwechselt wird aus bösem Willen heraus. Und in der Literatur, die der Geisteswissenschaft entgegengeworfen wird, wird viel gewirtschaftet gerade damit, daß man das jenige, was man eben erlügen muß, wenn man Geisteswissenschaft charakterisieren will, so erlügt, daß Geisteswissenschaft dadurch auf denselben Boden gerückt wird, wo diejenigen Dinge stehen, die selbstverständlich von Geisteswissenschaft so scharf bekämpft werden müssen, wie sie von der materialistischen Wissenschaft bekämpft werden.

583 Almanach: «Almanach de Mme. de Thēbes. Conseils pour ētre heureux», Paris, 1912.

584 im Almanach für 1914: «Das tragische Ereignis im österreichischen Kaiserhaus, das ich vorausgesagt habe, ist zwar noch nicht eingetreten, es wird aber ganz bestimmt, und zwar vor Ablauf der ersten Hälfte des Jahres, eintreten». (s. o.), Paris 1913, «Mes prēdictions de Pan passe».daß der österreichische Erzherzog Franz Ferdinand ermordet werden möge: Vgl. Karl Heise, «Die Entente-Freimaurerei und der Weltkrieg», 3. Auflage, Basel 1920, S. 76.


Unter den Allerersten, die ermordet werden: In seiner Rede vor der Kammer vom 4. Juli 1913 sagte Jean Jaures, zu den Rechtsparteien gewandt: «Aus euren Zeitungen, aus euren Artikeln, bei euren Helfershelfern tönt — ihr versteht mich — fortgesetzt die Aufforderung zu einem Attentat gegen uns».