Parmi ceux-ci, qui ont mis en place
cette curieuse fable de mon judaïsme,
se trouve aussi le
« Semi-Kürschner » :
paru en 1913 à Berlin - le
« Semi-Kürschner » publié
par l'écrivain à tendances
nationaliste antisémite Philipp Stauff
(1876-1923) - un « Lexique littéraire
des écrivains, poètes, banquiers, gens
d'argent, médecins, acteurs, artistes,
musiciens, officiers, avocats,
révolutionnaires, activistes des
droits des femmes, sociaux démocrates,
et ainsi de suite, de race juive et
par alliance qui ont été actifs ou
connus de 1813 à 1913 en
Allemagne ». Dans le
« Semi-Kürschner » Rudolf
Steiner a aussi été enregistré :
« Steiner devrait certes être
d'origine catholique, mais si collé
aux ergoteries talmudiques qu'il - si
ce n'est que par hérédité inconsciente
– se tient certainement sous
l'influence de ceux-là mêmes ».
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Unter denjenigen,
die dieses komische Märchen von
meinem Judentum aufgebracht haben,
befindet sich auch der
«Semi-Kürschner»: 1913 erschien in
Berlin der vom
völkisch-antisemitisch gesinnten
Schriftsteller Philipp Stauff (1876
- 1923) herausgegebene
«Semi-Kürschner» - ein
«Literarisches Lexikon der
Schriftsteller, Dichter, Bankiers,
Geldleute, Ärzte, Schauspieler,
Künstler, Musiker, Offiziere,
Rechtsanwälte, Revolutionäre,
Frauenrechtlerinnern,
Sozialdemokraten und so weiter
jüdischer Rasse und Versippung, die
von 1813 - 1913 in Deutschland tätig
oder bekannt waren». Im
«Semi-Kürschner» war auch Rudolf
Steiner verzeichnet: «Steiner soll
zwar katholischer Herkunft sein,
seine Gedankenführung streift aber
so dicht an die talmudischen
Spitzfindigkeiten, daß er - wenn
auch nur durch unbewußte erbliche
Belastung - sicher unter dem Einfluß
desselben steht.
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