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Institut pour une tri-articulation sociale
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Collection 204  :

Banquiers, banque,... banqueroutes.




Les directeurs de grandes firmes de banque écrivent leurs éditoriaux dans le journal de l'Homoncule qui devient riche.

 Die Direktoren der großen Banken schreiben ihre Leitartikel in der Zeitung des Homunkulus, der reich wird.

 


 

Les références Rudolf Steiner Œuvres complètes ga 063 382-384 (1986) 26/03/1914

Original





Traducteur: FG v.01 - 12/05/2020 Éditeur: SITE

Mais maintenant cela ne veut pas du tout aller. Car évidemment : l’homoncule grandi des pensées de son fabricant, disons : à partir de son convaincant et apporte ainsi maintes choses avec, qui vivait dans ces pensées à partir de l’entière constitution de notre temps. Il est nerveux, il apporte la nervosité avec lui. Là son érudit fabricant ne peut donc rien commencer, et il le rejette à cause de cela encore une fois dans l’éprouvette, le refait encore une fois germe humain, et le laisse, au moins du côté maternel, accueilli, porté à son terme correctement ; ainsi que nous n’avons quand même pas un homoncule entièrement correct devant nous, mais un qui est purement sans père naturel. Alors il traverse ses années d’apprentissage. Évidemment il devient aussi poète. Il vit ce qu’ainsi maints poètes vivent en notre temps : il cherche son éditeur. Il se file un sage rapport, pas seulement à son éditeur, mais aussi à cette fille qui lui est confiée quand ses poèmes trouvent la nécessaire diffusion. On a évidemment « des liaisons » dans le temps de l’homonculisme. Le livre sera brillamment loué ; comment Homuncule peut-il le croire autrement ! Mais là, il vit alors que l’année est à sa fin, l’éditeur a seulement vendu treize exemplaires. Il lui retire donc la fille, et homoncule doit continuer à chercher son chemin de vie. – Il entre dans les plus différents chemins. Ainsi il arrive aussi à un lieu de baignade, et là il apprend les traditions et usages de l’homonculisme, ce qui veut dire : les traditions et usages de la vie de la baignade moderne. Après il saisit le projet de création d'un journal, un « journal pour tout et pour tous ». Et a cela se pressent, parce que cela coûte peu et n'appartient à aucun parti, « les conseils de cour et d’État et d'autres ou aussi les dirigeants de puissants partis capables de payer », les directeurs de grandes firmes de banque et de commerce, et écrivent leurs éditoriaux et rapports. - Mais je vous prie de prendre en compte : depuis que l'"Homoncule" de Robert Hamerlings a été publié en 1887, ainsi ne pu être pensé avec cela aucune satire sur quelque chose qui aurait été appliquée en premier au jour actuel, sur des choses donc, qui sont apparues en premier beaucoup plus tard. Mais évidemment Homoncule n’est pas satisfait avec cela ; il aspire à quelque chose de plus haut. Il négocie sa feuille à un entrepreneur d’actions – ce n’est de nouveau pas une satire ! – et se consacre alors à ses entreprises supplémentaires. Là il devient alors « milliardaire », et vit comme tel d’une manière très particulière. Je voudrais accentuer une chose : ainsi il se vit correctement dans le temps de l’homonculisme. Ce que le non-homonculisme laisse atteindre par des forces dépourvues de vie, quand par exemple quelque chose devra être soutenu, quand des colonnes devront être dressées, par lesquelles sera porté quelque chose : tout cela appartient encore aux temps anciens. De gros serpents qui devront être apprivoisés, se tiennent chez Homoncule dans son pavillon de jardin et maintiennent ce toit de coupole. On avait autrefois dressé et enfermés dans des cages des écureuils. Cela n’a pas fait Homoncule, il les laisse fonctionner comme automates. Cela est l’homonculisme correct. Quelque chose de tel sortirait déjà, quand maints gens continueraient à développer des pensées qui existent déjà aujourd’hui.

Nun aber will es gar nicht gehen. Denn selbstverständlich: der Homunkulus wächst aus den Gedanken seines Erzeugers, sagen wir: seines Überzeugers heraus und bringt so manches mit, was in dessen Gedanken lebte aus der ganzen Verfassung unserer Zeit heraus. Er ist nervös; die Nervosität bringt er mit. Da kann sein gelehrter Erzeuger doch nichts beginnen, und er wirft ihn deshalb noch einmal in die Retorte zurück, macht ihn noch einmal zum Menschenkeim, und läßt ihn wenigstens von mütterlicher Seite aus richtig empfangen, ausgetragen werden; so daß wir doch nicht einen ganz richtigen Homunkulus vor uns haben, sondern einen, der bloß ohne natürlichen Vater ist. Dann macht er seine Lehrjahre durch. Selbstverständlich wird er auch zum Dichter. Er erlebt, was so manche Dichter erleben in unserer Zeit: er sucht sich seine Verleger. Es entspinnt sich ein artiges Verhältnis nicht nur zu seinem Verleger, sondern auch zu dessen Tochter, die ihm zugesprochen wird, wenn seine Gedichte die nötige Verbreitung finden. «Verbindungen» hat man selbstverständlich in der Zeit des Homunkulismus. Das Buch wird glänzend gelobt; wie kann Homunkulus es anders glauben! Aber siehe da: als das Jahr zu Ende ist, hat der Verleger nur dreizehn Exemplare verkauft. Er entzieht ihm also die Tochter, und Homunkulus muß weiter seinen Lebensweg suchen. - Alle möglichen Wege schlagt er ein. So kommt er auch an einen Badeort, und dort lernt er die Sitten und Gebräuche des Homunkulismus, will sagen: die Sitten und Gebräuche des modernen Badelebens kennen.
Darnach faßt er den Plan, eine Zeitung zu gründen, ein «Blatt für Alles und für Alle.» Und dazu drängen sich, weil es wenig kostet und keiner Partei angehört, «Hof- und Staats- und andere Räte, oder auch die Führer mächtiger zahlungsfähiger Parteien», die Leiter großer Bank- und Handelsfirmen, und schreiben ihre Leitartikel und Berichte.-Ich bitte aber zu berücksichtigen: da der «Homunkulus» Robert Hamerlings im Jahre 1887 erschienen ist, so kann damit keine Satire gemeint sein auf etwas, was erst der heutige Tag aufgebracht hätte, auf Dinge also, die erst viel später erschienen sind. - Aber selbstverständlich ist Homunkulus damit nicht zufrieden; er strebt etwas Höheres noch an. Er verhandelt sein Blatt an ein Aktienunternehmen - das ist wieder keine Satire! -und widmet sich dann seinen weiteren Unternehmungen. Da wird er dann zum «Billionär», und lebt als solcher in einer sehr eigenartigen Weise. Ich möchte das eine betonen, daß er sich so recht hineinlebt in die Zeit des Homunkulismus. Was der Nicht-Homunkulismus erreichen laßt durch leblose Kräfte, wenn zum Beispiel etwas gestützt werden soll, wenn Säulen aufgestellt werden, von denen etwas getragen wird: das alles gehört noch den vergangenen Zeiten an. Große Schlangen, die gezähmt werden, stehen bei Homunkulus in seinem Gartenpavillon und halten dessen Kuppeldach. Eichhörnchen hatte man früher abgerichtet und in Käfigen eingesperrt. Das hat Homunkulus nicht getan; er läßt sie als Automaten funktionieren. Das ist der richtige Homunkulismus. So etwas würde schon herauskommen, wenn manche heute schon existierende Gedanken weiterentwickelt werden.