Mais maintenant cela ne veut pas du
tout aller. Car évidemment :
l’homoncule grandi des pensées de son
fabricant, disons : à partir de
son convaincant et apporte ainsi
maintes choses avec, qui vivait dans
ces pensées à partir de l’entière
constitution de notre temps. Il est
nerveux, il apporte la nervosité avec
lui. Là son érudit fabricant ne peut
donc rien commencer, et il le rejette
à cause de cela encore une fois dans
l’éprouvette, le refait encore une
fois germe humain, et le laisse, au
moins du côté maternel, accueilli,
porté à son terme correctement ;
ainsi que nous n’avons quand même pas
un homoncule entièrement correct
devant nous, mais un qui est purement
sans père naturel. Alors il traverse
ses années d’apprentissage. Évidemment
il devient aussi poète. Il vit ce
qu’ainsi maints poètes vivent en notre
temps : il cherche son éditeur.
Il se file un sage rapport, pas
seulement à son éditeur, mais aussi à
cette fille qui lui est confiée quand
ses poèmes trouvent la nécessaire
diffusion. On a évidemment « des
liaisons » dans le temps de
l’homonculisme. Le livre sera
brillamment loué ; comment
Homuncule peut-il le croire
autrement ! Mais là, il vit alors
que l’année est à sa fin, l’éditeur a
seulement vendu treize exemplaires. Il
lui retire donc la fille, et homoncule
doit continuer à chercher son chemin
de vie. – Il entre dans les plus
différents chemins. Ainsi il arrive
aussi à un lieu de baignade, et là il
apprend les traditions et usages de
l’homonculisme, ce qui veut
dire : les traditions et usages
de la vie de la baignade moderne.
Après il saisit le projet de création
d'un journal, un « journal pour
tout et pour tous ». Et a cela se
pressent, parce que cela coûte peu et
n'appartient à aucun parti, « les
conseils de cour et d’État et d'autres
ou aussi les dirigeants de puissants
partis capables de payer », les
directeurs de grandes firmes de banque
et de commerce, et écrivent leurs
éditoriaux et rapports. - Mais je vous
prie de prendre en compte :
depuis que l'"Homoncule" de Robert
Hamerlings a été publié en 1887, ainsi
ne pu être pensé avec cela aucune
satire sur quelque chose qui aurait
été appliquée en premier au jour
actuel, sur des choses donc, qui sont
apparues en premier beaucoup plus
tard. Mais évidemment Homoncule n’est
pas satisfait avec cela ; il
aspire à quelque chose de plus haut.
Il négocie sa feuille à un
entrepreneur d’actions – ce n’est de
nouveau pas une satire ! – et se
consacre alors à ses entreprises
supplémentaires. Là il devient alors
« milliardaire », et vit
comme tel d’une manière très
particulière. Je voudrais accentuer
une chose : ainsi il se vit
correctement dans le temps de
l’homonculisme. Ce que le
non-homonculisme laisse atteindre par
des forces dépourvues de vie, quand
par exemple quelque chose devra être
soutenu, quand des colonnes devront
être dressées, par lesquelles sera
porté quelque chose : tout cela
appartient encore aux temps anciens.
De gros serpents qui devront être
apprivoisés, se tiennent chez
Homoncule dans son pavillon de jardin
et maintiennent ce toit de coupole. On
avait autrefois dressé et enfermés
dans des cages des écureuils. Cela n’a
pas fait Homoncule, il les laisse
fonctionner comme automates. Cela est
l’homonculisme correct. Quelque chose
de tel sortirait déjà, quand maints
gens continueraient à développer des
pensées qui existent déjà aujourd’hui.
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Nun aber will es
gar nicht gehen. Denn
selbstverständlich: der Homunkulus
wächst aus den Gedanken seines
Erzeugers, sagen wir: seines
Überzeugers heraus und bringt so
manches mit, was in dessen Gedanken
lebte aus der ganzen Verfassung
unserer Zeit heraus. Er ist nervös;
die Nervosität bringt er mit. Da
kann sein gelehrter Erzeuger doch
nichts beginnen, und er wirft ihn
deshalb noch einmal in die Retorte
zurück, macht ihn noch einmal zum
Menschenkeim, und läßt ihn
wenigstens von mütterlicher Seite
aus richtig empfangen, ausgetragen
werden; so daß wir doch nicht einen
ganz richtigen Homunkulus vor uns
haben, sondern einen, der bloß ohne
natürlichen Vater ist. Dann macht er
seine Lehrjahre durch.
Selbstverständlich wird er auch zum
Dichter. Er erlebt, was so manche
Dichter erleben in unserer Zeit: er
sucht sich seine Verleger. Es
entspinnt sich ein artiges
Verhältnis nicht nur zu seinem
Verleger, sondern auch zu dessen
Tochter, die ihm zugesprochen wird,
wenn seine Gedichte die nötige
Verbreitung finden. «Verbindungen»
hat man selbstverständlich in der
Zeit des Homunkulismus. Das Buch
wird glänzend gelobt; wie kann
Homunkulus es anders glauben! Aber
siehe da: als das Jahr zu Ende ist,
hat der Verleger nur dreizehn
Exemplare verkauft. Er entzieht ihm
also die Tochter, und Homunkulus muß
weiter seinen Lebensweg suchen. -
Alle möglichen Wege schlagt er ein.
So kommt er auch an einen Badeort,
und dort lernt er die Sitten und
Gebräuche des Homunkulismus, will
sagen: die Sitten und Gebräuche des
modernen Badelebens kennen.
Darnach faßt er den Plan, eine
Zeitung zu gründen, ein «Blatt für
Alles und für Alle.» Und dazu
drängen sich, weil es wenig kostet
und keiner Partei angehört, «Hof-
und Staats- und andere Räte, oder
auch die Führer mächtiger
zahlungsfähiger Parteien», die
Leiter großer Bank- und
Handelsfirmen, und schreiben ihre
Leitartikel und Berichte.-Ich bitte
aber zu berücksichtigen: da der
«Homunkulus» Robert Hamerlings im
Jahre 1887 erschienen ist, so kann
damit keine Satire gemeint sein auf
etwas, was erst der heutige Tag
aufgebracht hätte, auf Dinge also,
die erst viel später erschienen
sind. - Aber selbstverständlich ist
Homunkulus damit nicht zufrieden; er
strebt etwas Höheres noch an. Er
verhandelt sein Blatt an ein
Aktienunternehmen - das ist wieder
keine Satire! -und widmet sich dann
seinen weiteren Unternehmungen. Da
wird er dann zum «Billionär», und
lebt als solcher in einer sehr
eigenartigen Weise. Ich möchte das
eine betonen, daß er sich so recht
hineinlebt in die Zeit des
Homunkulismus. Was der
Nicht-Homunkulismus erreichen laßt
durch leblose Kräfte, wenn zum
Beispiel etwas gestützt werden soll,
wenn Säulen aufgestellt werden, von
denen etwas getragen wird: das alles
gehört noch den vergangenen Zeiten
an. Große Schlangen, die gezähmt
werden, stehen bei Homunkulus in
seinem Gartenpavillon und halten
dessen Kuppeldach. Eichhörnchen
hatte man früher abgerichtet und in
Käfigen eingesperrt. Das hat
Homunkulus nicht getan; er läßt sie
als Automaten funktionieren. Das ist
der richtige Homunkulismus. So etwas
würde schon herauskommen, wenn
manche heute schon existierende
Gedanken weiterentwickelt werden.
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