Wilhelm von Blume : je ne suis
pas économiste et je ne parlerai
peut-être absolument pas du tout ici
aujourd'hui, si tout de suite par les
paroles de Monsieur le dernier
orateur, j’avais été incité à le
faire. Je voudrais aussitôt expliquer
une chose : je crois quand même
que la question de la tri-articulation
est finalement exacte, mais vous vous
êtes préparé ce qui suit : vous
voulez élargir davantage la
« communauté de travail » -
ce mot-clef/slogan sera utilisé - vous
voulez une communauté économique du
peuple entre les capitalistes et les
travailleurs.
Et les travailleurs parviennent
là-dessus ici et là. J'ai seulement
besoin de rappeler à l'industrie du
charbon, dont les travailleurs
eux-mêmes se pensent à la base
essentiellement entièrement en
capitalistes - - les travailleurs
eux-mêmes pensent diversement plus
en capitalistes que les
capitalistes - ils voient très bien le
profit qu'ils ont à cela. Et toute
l'économie vient en cela encore plus
loin dans l'abîme. Seuls ces secteurs
de l'économie tels que l'industrie du
charbon viennent dans les hauteurs,
comme de l'autre côté aussi,
l'ensemble du système bancaire,
parce que justement du crédit sera
pris pour le fonctionnement des
entreprises. Les autres branches
économiques déclineront
progressivement. On doit
commencer ici. On doit rendre clair
aux travailleurs qu'ils ne sont pas
purement des producteurs, mais aussi
des consommateurs, que des communautés
de travail seront établies de manière
telle que le Dr Steiner l'a décrit
hier. Un grand danger est tout d'abord
disponible dans ce qu’on indique
simplement aux gens : les
entrepreneurs et les travailleurs
devraient se mettre d'accord les uns
avec les autres. Dans tous les cas, il
faut conduire la politique des
producteurs et des consommateurs et
mouvoir la production à partir de la
consommation.
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Wilhelm von
Blume: Ich bin kein Wirtschafter und
würde ja vielleicht heute überhaupt
nicht hier sprechen, wenn nicht gerade
durch die Worte des letzten Herrn
Redners ich dazu veranlaßt würde. Eines
möchte ich gleich erklären: Ich glaube
doch, daß die Frage der Dreigliederung
letztlichgenau, sie haben sich aber
folgendes zurechtgelegt: Sie wollen die
«Arbeitsgemeinschaft» weiter ausbauen -
dieses Stichwort wird benutzt - , sie
wollen eine Volks
Wirtschaftsgemeinschaft zwischen den
Kapitalisten und den Arbeitern.
Und die Arbeiter gehen hie und da darauf
ein. Ich brauche nur zu erinnern an die
Kohleindustrie, die die Arbeiter im
Grunde genommen selbst ganz
kapitalistisch sich denken - die
Arbeiter denken vielfach
kapitalistischer als die Kapitalisten -;
sie sehen den Profit, den sie dabei
haben, sehr gut. Und die ganze
Wirtschaft kommt aber dabei doch weiter
in den Abgrund hinein. Nur diejenigen
Wirtschaftszweige wie zum Beispiel die
Kohleindustrie kommen in die Höhe, wie
auf der anderen Seite auch das ganze
Bankwesen, weil eben fortwährend Kredit
für den Betrieb der Unternehmen
gefordert wird. Die andern
Wirtschaftszweige gehen allmählich
zugrunde. Hier muß man einsetzen, man
muß den Arbeitern klarmachen, daß sie
nicht bloß Produzenten sind, sondern
auch Konsumenten, daß
Arbeitsgemeinschaften hergestellt werden
in der Art, wie gestern Herr Dr. Steiner
geschildert hat. Große Gefahr ist
zunächst einmal vorhanden darin, daß man
lediglich die Leute darauf hinweist:
Unternehmer und Arbeiter sollen sich
miteinander einigen. Man muß unter allen
Umständen Produzenten- und
Konsumentenpolitik treiben und die
Produktion vom Konsum aus betreiben.
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