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Collection 204  :

Banquiers, banque,... banqueroutes.




La banque conglomère en État britannique des entrepreneurs privés à l'exemple de Cecil Rhodes.

 Die Konglomeratsbank im britischen Staat von Privatunternehmern wie Cecil Rhodes.

 


 

Les références Rudolf Steiner Œuvres complètes ga 337a 258-259 (1999) 28/07/1920

Original





Traducteur: FG v.01 - 11/05/2020 Éditeur: SITE

Mais l’étrange c'est que dans les conditions particulières anglaises, cela s'est développé de soi-même à partir d'un certain sens de la réalité. Pendant qu’en Europe centrale était disputé sur des théories socialistes et anti-socialistes pour rentrer alors dans les tentatives de construction sociale qui ne pourraient conduire à rien, ce fut la connaissance, conforme à la réalité, des propres rapports qui, dans l'Ouest ont amené des hommes à la surface qui maintenant ont vraiment fait ce qui est correct à leur place pour ce qu’on voulait atteindre là et ce que décrit Seeley, les actions correctes. Là, le sens de la réalité amena les hommes corrects à la bonne position - évidemment, ils n’étaient pas les corrects pour nous, mais ce n'était pas leur tâche d'être corrects pour nous. Prenez peut-être aussitôt l'un des plus grands - d'autres, plus petits, il y en avait donc beaucoup -, l'un des plus typiques : Cecil Rhodes. Toute son activité passe, en réalité, dans un façonnement vraiment pratique, pendant qu’on théorise en Europe centrale. En Europe centrale, on théorise sur l'état futur. Cecil Rhodes, sorti de toutes petites conditions, s'élabora vers le haut en le plus grand roi du diamant. Comment cela lui a-t-il réussi ? Parce que l'étrange se donne - pour nous, c'est étrange - que de son temps la puissante Banque Rothschild lui a donné les plus grands crédits au monde ; un homme les lui a procurés qui avait une main pratique, exactement d'après la direction de faire des affaires comme Seeley décrit à partir des idées britanniques, qui rentrent jusque dans les sociétés secrètes, la politique mondiale de la Grande Bretagne. Car Cecil Rhodes était un humain [259] qui ne faisait pas seulement des affaires, mais, toujours de nouveau et à nouveau, il retournait en Angleterre, étudiait Carlyle et des gens semblables, desquels lui ressortait : la Grande-Bretagne a une mission et nous nous mettons au service de cette mission. Et qu'est-ce qui découle de cela ? Tout d'abord, c'est l’établissement bancaire Rothschild, [qui lui procure des crédits] - donc une entreprise bancaire qui se confond avec l'État, mais provenant quand même de rapports privés. Mais alors : qu'est-ce qu'un tel homme, comme Cecil Rhodes, est-il en état de faire ?


Il est en état de considérer ce que l'on pourrait appeler l'État britannique tout à fait comme un instrument de la politique anglaise de conquête - et cela avec grand train -, lié avec la croyance en la mission de la Grande-Bretagne. Il est en état, comme beaucoup d'autres - il est seulement l'un des plus grands - d'utiliser l'État britannique comme instrument et de laisser resplendir en retour ce qu'il fait sur la puissance britannique devenant toujours plus grande et plus grande. Tout cela est justement seulement possible parce qu'une conscience de la tâche historique mondiale particulière en tant que peuple insulaire est disponible dans la population anglaise. Et à cela qui lui aurait grandi, rien ne pourra être opposé par l'Europe centrale. Que se passe-t-il alors dans l'Ouest ? Il grandit une politique économique portée ensemble par des personnalités avec la politique de l'État. Pourquoi grandissent-elles ensemble ? Parce que la politique anglaise est allée entièrement dans le sens des temps récents, et dans le sens des temps récents, est seulement quand on est dans la situation de comprendre des idées de la réalité dans laquelle on vit. Là peuvent grandir ensemble la politique de l'État et la politique économique. Mais l'État anglais est un État qui en tant que tel est seulement inscrit sur le papier – il est un conglomérat de rapports privés. C'est seulement une phrase quand on parle de l'État britannique ; on devrait parler de la vie britannique de l'économie et de vieilles traditions qui entrent là, des vieilles traditions spirituelles et du genre. Dans le sens où la France est un État, comme l'Allemagne aspire à devenir un État, la Grande-Bretagne n'a jamais été un État. Mais là on a compris le domaine sur lequel on vivait ; on a mis en place le criblage économique comme il correspond à ce domaine. Voyez-vous, aujourd'hui, les gens réfléchissent à comment l'Angleterre devrait être autre chose, comment l'Angleterre ne devrait pas pratiquer la politique mondiale de conquête, comment elle devrait devenir « bonne/brave ». Comme beaucoup de gens se la représentent aujourd'hui chez nous, l'Angleterre ne pourrait plus être l'Angleterre ; car ce qu’elle fait et a fait repose sur son être entier tout de suite en tant qu’empire insulaire. Elle peut seulement continuer d’évoluer parce qu'elle continue à pratiquer la même politique.


Aber das Merkwürdige ist: in den besonderen englischen Verhältnissen hat sich das aus einem gewissen Wirklichkeitssinn von selbst herausgebildet. Während in Mitteleuropa über sozialistische und antisozialistische Theorien gestritten wurde, um dann einzufahren in soziale Aufbauversuche, die zu nichts führen konnten, war es das wirklichkeitsgemäße Erkennen der eigenen Verhältnisse, das im Westen Männer an die Oberfläche brachte, die nun wirklich an ihren Stellen für dasjenige, was man da erreichen wollte und was Seeley schildert, das Rechte taten. Da brachte der Wirklichkeitssinn die rechten Männer an die rechte Stelle - selbstverständlich, sie waren für uns die unrechten, aber es war nicht ihre Aufgabe, für uns die rechten zu sein. Nehmen Sie vielleicht gleich einen der größten - andere, kleinere gab es ja viele - , einen der typischsten: Cecil Rhodes. Seine ganze Tätigkeit geht eigentlich in wirklich praktischer Gestaltung auf, während man in Mitteleuropa theoretisiert. In Mitteleuropa theoretisiert man über den Zukunftsstaat. Cecil Rhodes, aus ganz kleinen Verhältnissen herausgekommen, arbeitete sich herauf zum größten Diamantenkönig. Wie ist ihm das gelungen? Weil sich das Merkwürdige ergibt - für uns ist es merkwürdig —, daß ihm das zu seiner Zeit noch mächtige Bankhaus Rothschild die größten Weltkredite verschaffte; es verschaffte sie einem Mann, der eine praktische Hand hatte, genau nach der Richtung Geschäfte zu machen, wie Seeley aus den britischen Ideen heraus, die bis in die Geheimgesellschaften hineingehen, die Weltpolitik Britanniens schildert. Denn Cecil Rhodes war ein Mensch, [259] der nicht nur Geschäfte trieb, sondern immer wieder und wiederum ging er nach England zurück, zog sich in die Einsamkeit zurück, studierte Carlyle und ähnliche Leute, aus denen ihm hervorleuchtete : Großbritannien hat eine Mission, und wir stellen uns in den Dienst dieser Mission. Und was ergibt sich daraus? Zunächst ist es das Bankhaus Rothschild, [das ihm Kredite verschafft] - also eine Bankunternehmung, die mit dem Staat verflochten, aber doch aus privaten Verhältnissen hervorgegangen ist. Dann aber: Wozu ist solch ein Mann wie Cecil Rhodes imstande?


Er ist imstande, dasjenige, was man den britischen Staat nennen könnte, ganz als ein Instrument zu betrachten für die englische Eroberungspolitik -und das mit einem großen Zug - , verbunden mit dem Glauben an die Mission Britanniens. Er ist imstande, wie viele andere - nur ist er einer der Größten - den britischen Staat als Instrument dazu zu benützen und dasjenige, was er leistet, zurückleuchten zu lassen auf die immer größer und größer werdende britische Macht. Das alles ist eben nur möglich dadurch, daß ein Bewußtsein vorhanden ist in der englischen Bevölkerung von der besonderen welthistorischen Aufgabe als Inselvolk. Und dem konnte von Mitteleuropa nichts entgegengesetzt werden, was ihm gewachsen gewesen wäre. Was geschieht denn da im Westen? Es wächst eine von Persönlichkeiten getragene Wirtschaftspolitik zusammen mit der Staatspolitik. Warum wachsen sie zusammen? Weil die englische Politik gegangen ist ganz im Sinne der neueren Zeit, und im Sinne der neueren Zeit ist es nur, wenn man in der Lage ist, Ideen aus der Wirklichkeit heraus, in der man lebt, zu verstehen. Da kann zusammenwachsen Staatspolitik und Wirtschaftspolitik. Aber der englische Staat ist ein Staat, der als solcher nur auf dem Papiere steht - er ist ein Konglomerat der privaten Verhältnisse. Es ist nur eine Phrase, wenn man vom britischen Staat spricht; man müßte sprechen vom britischen Wirtschaftsleben und von alten Traditionen, die da hineingehen, von alten geistigen Traditionen und dergleichen. In dem Sinn, wie Frankreich ein Staat ist, wie Deutschland ein Staat zu werden strebt, war Britannien nie ein Staat. Da hat man aber das Gebiet verstanden, auf dem man lebte; man hat das Wirtschaftsieben so eingerichtet, wie es diesem Gebiete entspricht. Sehen Sie, heute denken die Leute nach, wie England etwas anderes sein sollte, wie England nicht Eroberungsweltpolitik treiben sollte, wie es «brav» werden sollte. So, wie es sich viele Leute heute bei uns vorstellen, so könnte England nicht mehr England sein; denn dasjenige, was es tut und getan hat, beruht auf seinem ganzen Wesen gerade als Inselreich. Es kann nur dadurch sich weiterentwickeln, daß es dieselbe Politik weiter betreibt.