Il n’y a rien de plus naïf dans le
présent, que quand, du côté
prolétarien, résonne la doctrine de la
plus-value et qu'alors un quelque
syndic ou directeur d’une société par
actions dit ce qui va de soi, que la
plus-value qu’il calcule ensemble à
partir des billets de banque et ainsi
de suite, est si basse que si on
voulait la diviser, pour les
particuliers, rien n’en
sortirait. C’est le plus naïf, de
se comporter ainsi, par exemple,
envers la théorie de la plus-value.
Car ce que les messieurs font là comme
"addition", c'est donc tout à fait
évident, contre cela n'est rien à
objecter. Mais de ces choses il ne
s'agit pas du tout. Car quand on veut
« réfuter » ce qui est dit
immédiatement dans les paroles des
théories prolétariennes de cette
façon, alors c'est tout de suite ainsi
que quand, dans une pièce, on regarde
sur le thermomètre, qu'il montre tant
et tant de degrés, et alors, quand le
nombre de degrés ne vous convient pas,
quand il est trop bas ou trop haut, on
voudrait peut-être avec une petite
flamme, laisser le thermomètre grimper
plus haut. Le fait que l'on s'occupe
de la correction du thermomètre ne
concerne pas vraiment la cause
sous-jacente. Prendre et réfuter
littéralement ce que sont aujourd'hui
les théories prolétariennes est naïf.
Car les théories prolétariennes ne
sont rien de plus que – voudrais-je
parler en savant, ainsi je dirais - un
exposant de quelque chose qui repose
beaucoup plus profond que là où on le
cherche maintenant. Tout comme le
thermomètre indique la température
d'une pièce, mais ne la fait pas
lui-même, ainsi les théories du
prolétariat sont quelque chose à voir
comme un instrument, comme un signe de
ce qui vit de cette manière dans la
question sociale actuellement et dans
le futur proche. Et là on se le rend
généralement trop commode. Là on
regarde cette question comme une pure
question économique, parce qu'en
premier elle est venue en vis-à-vis en
tant qu'économique à partir des
revendications du prolétariat qui
était justement ficelé dans la vie
économique à l'ère du capitalisme
privé et de la technologie. Et on ne
voyait pas ce qui se cache réellement
derrière toutes les conceptions
relatives au capital, au travail et à
la marchandise dans les théories
prolétariennes. Le prolétaire
expérimente/vit tout le champ de la
vie humaine dans le domaine de
l'économique. Par conséquent, la
question sociale se presse à lui tout
à fait dans une perspective
économique.
|
Es gibt nichts
Naiveres in der Gegenwart, als wenn
von proletarischer Seite her die
Lehre vom Mehrwert ertönt und dann
irgendein Syndikus oder Direktor
einer Aktiengesellschaft das
Selbstverständliche sagt, daß der
Mehrwert, aus den Banknoten und so
weiter zusammengerechnet, so niedrig
ist, daß, wenn man ihn aufteilen
wollte, für den Einzelnen nichts
herauskommen würde. Es ist das
Allernaivste, so sich zu verhalten
zum Beispiel der Theorie des
Mehrwertes gegenüber. Denn was da
die Herren an «Rechnung» leisten,
ist ja ganz selbstverständlich,
dagegen ist durchaus nichts
einzuwenden. Aber um diese Dinge
handelt es sich gar nicht. Denn wenn
man das, was unmittelbar in den
Worten der proletarischen Theorien
gesagt wird, in dieser Weise
«widerlegen» will, dann ist das
gerade so, als wenn man in einem
Zimmer am Thermometer sieht, es
zeigt so und so viele Grade, und
dann, wenn einem die Anzahl der
Grade nicht paßt, wenn sie zu
niedrig oder zu hoch sind, etwa mit
einer kleinen Flamme das Thermometer
höhersteigen lassen wollte. Dadurch,
daß man sich damit beschäftigt, das
Thermometer zu korrigieren,
beschäftigt man sich wahrhaftig
nicht mit dem, was da wohl als
Ursachen zugrunde liegt. Was heute
proletarische Theorien sind,
wörtlich zu nehmen und zu
widerlegen, das ist naiv. Denn die
proletarischen Theorien sind nichts
weiter als - wollte ich gelehrt
sprechen, so würde ich sagen - ein
Exponent von etwas, das viel tiefer
liegt, als dort, wo man es jetzt
sucht. Ebenso wie das Thermometer
die Temperatur eines Zimmers
anzeigt, aber sie nicht selbst
macht, so sind die proletarischen
Theorien etwas, um wie an einem
Instrument, an einem Zeichen zu
erkennen, was in dieser Weise in der
sozialen Frage in der Gegenwart und
in der nächsten Zukunft lebt. Und da
macht man es sich in der Regel allzu
bequem. Da betrachtet man diese
Frage bloß als eine
Wirtschaftsfrage, weil sie einem
zuerst entgegengetreten ist als eine
wirtschaftliche aus den Forderungen
des Proletariats heraus, das eben
eingeschnürt war in das
Wirtschaftsleben in der Zeit des
Privatkapitalismus und der Technik.
Und man sah nicht, was eigentlich
hinter all den Auffassungen steckt,
die sich bei den proletarischen
Theorien auf Kapital, auf Arbeit und
auf Ware beziehen. Der Proletarier
erlebt das gesamte Gebiet des
menschlichen Lebens auf dem Felde
des Wirtschaftlichen. Daher rückt
sich ihm die soziale Frage ganz in
eine wirtschaftliche Perspektive.
|