Dans de telles économies primitives,
des rapports associatifs étaient
absolument disponibles qui seulement
ne s'exprimaient pas comme tels. Tout
cela est devenu non supervisable avec
l'élargissement des territoires
économiques, et de l'économie
mondiale. L'économie mondiale, à
laquelle c'en est venu en premier dans
le dernier tiers du XIXe siècle,
elle a donc en fait tout réduit dans/à
l'abstrait, cela signifie, tout
réduit, dans la vie économique, au pur
bénéfice en argent ou en valeur en
argent jusqu'à ce que cette réduction
ait conduit ad absurdum.
N'est-ce pas, lorsque le Japon a mené
la guerre avec la Chine et que le
Japon a gagné la guerre, là on pouvait
très facilement payer les
dédommagements de guerre en ce que le
Premier ministre chinois a simplement
remis un chèque à l'ambassadeur du
Japon, que l'ambassadeur du Japon,
pouvait alors donner à une banque au
Japon. C'est un processus réel. Là,
dans ce chèque qui est justement
argent et valeur d'argent, était
justement des valeurs.
Il y avait des valeurs là-dedans. Si
vous vous représentez que, dans le
temps, tout cela aurait dû être
transféré d'un territoire à l'autre,
cela aurait justement été
difficilement dans les conditions
modernes. Mais on pouvait faire cela
ainsi, par toute la façon et la
manière dont le Japon et la Chine
étaient placés dans l'économie
mondiale entière. Mais cela s'est donc
conduit à l'absurdité de soi-même.
Dans le commerce (NDT : ou
peut-être ici la négociation) entre
l'Allemagne et la France cela ne s'est
plus avéré possible. Je pense donc, on
peut à partir des contextes
économiques au mieux déterminer les
choses, et alors exposer la nécessité
du principe associatif.
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In solchen
primitiven Wirtschaften waren
durchaus assoziative Verhältnisse,
die sich nur nicht als solche
aussprachen, vorhanden. Das alles
ist mit der Vergrößerung der
wirtschaftlichen Territorien
unüberschaubar geworden, und
insbesondere dann sinnlos geworden
gegenüber der Weltwirtschaft. Die
Weltwirtschaft, zu der es ja erst
gekommen ist im letzten Drittel des
19. Jahrhunderts, die hat ja alles
ins Abstrakte, das heißt, im
wirtschaftlichen Leben auf den
bloßen Geld- oder Geldeswertumsatz
reduziert, bis sich eben dieses
Reduzieren ad absurdum geführt hat.
Nicht wahr, als Japan mit China
Krieg geführt und Japan den Krieg
gewonnen hatte, da konnte man sehr
einfach die Kriegsentschädigung
zahlen, indem einfach der
chinesische Minister dem japanischen
Gesandten einen Check übergab, den
der japanische Gesandte dann in
Japan auf eine Bank geben konnte.
Das ist ein tatsächlicher Vorgang.
Da waren eben Werte darinnen in
diesem Check, der Geld und
Geldeswert eben ist.
Es waren Werte darinnen. Wenn
Sie sich vorstellen, daß das dazumal
alles von dem einen Territorium in
das andere hätte übergeführt werden
sollen, es wäre unter den
neuzeitlichen Verhältnissen eben
schwer gegangen. Aber so konnte man
durch die ganze Art und Weise, wie
Japan und China in die ganze
Weltwirtschaft hineingestellt waren,
das machen. Aber das hat sich ja
selbst ad absurdum geführt.
In dem Handel zwischen Deutschland
und Frankreich hat sich das nicht
mehr als möglich erwiesen. Ich meine
also, man kann aus den
wirtschaftlichen Zusammenhängen
heraus am besten die Dinge erörtern,
und dann die Notwendigkeit des
assoziativen Prinzips darlegen.
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