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Institut pour une tri-articulation sociale
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Collection 204  :

Banquiers, banque,... banqueroutes.




Remarques autour du volet  économie des cours universitaire de 1920.
 Anmerkungen zur Wirtschaftskomponente der Universitätskurse von 1920.

 


 

Les références Rudolf Steiner Œuvres complètes ga 337b 015-016 (1999) 26/09/1920

Original





Traducteur: FG v.01 - 11/05/2020 Éditeur: SITE

« Pour la prochaine évolution de l'humanité, nous avons besoin de concepts, de représentations, absolument d'impulsions de la vie sociale, nous avons besoin d'idées, par la réalisation desquelles, nous pouvons amener des conditions sociales qui puissent donner un être-là semblant dignes aux humains de tous les états, classes, et ainsi de suite ». Au cours des trois semaines suivantes, fût tenu un certain nombre de conférences sur les questions de la vie sociale par des personnalités connues du mouvement anthroposophique : une fois Emil Molt, qui s'exprima sur le thème « L'industriel dans le passé et l'avenir du point de vue de la science de l'esprit », alors, Roman Boos qui parla sur « Science sociale phénoménologique », ensuite Arnold Ith sur « Système bancaire et formation de prix dans leur signification présente et d'avenir pour la vie de l'économie » et finalement Emil Leinhas sur « Côtés de lumière et d'ombre du capitalisme moderne ». Mais les auditeurs n'étaient pas toujours satisfaits des exposés, ainsi le désir se leva que Rudolf Steiner pourrait quand même tenir lui-même une conférence sur la tri-articulation et en particulier sur la vie de l'économie – une telle n'était initialement pas prévue dans le programme. Mais Rudolf Steiner n'a pas voulu tenir une conférence dans son sens traditionnel ; il a donc prié les participants du 9 octobre (dans ce volume), « de formuler leurs souhaits, leurs questions à cet égard, afin que [16] tout de suite puisse être considéré et discuté ce qui sera perçu comme non clair. Ainsi, je pourrai organiser la conférence demain soir afin que tout de suite vienne sur le devant ce qu'il est souhaité de savoir de différents côtés ». Il s'agissait d'une liste d'un total de 39 questions, qui a été présentée à Rudolf Steiner le jour suivant. Cependant, pour répondre à toutes, il se voit obligé de répondre aux diverses questions sur deux soirs, les 10 et 12 octobre. En dehors de ces deux soirées de questions, Rudolf Steiner a également participé à trois réunions de séminaires - qui ont eu lieu les 5, 7 et 11 octobre et ont été principalement consacrées à des questions de pratique économique. Avec ce travail, il y avait l'espoir que la connaissance fécondée spirituellement se transformerait en une activité économique pleine de vie. Rudolf Steiner se souhaitait de vrais praticiens qui étaient prêts à intervenir dans les circonstances données et à les redessiner selon les nouvelles idées. Ainsi, lors du deuxième séminaire du 7 octobre 1920 (dans ce volume), il a souligné : « Ce dont il s’agit aujourd'hui, ce n'est pas que nous discutions de manière abstraite sur des lois électorales et sur ce qu’une association peut être comparée à une corporation et ainsi de suite, mais ce dont il s'agit aujourd'hui, c'est que nous obtenions autant d’humains que possible avec de l’initiative, parce qu'aujourd'hui, il ne s'agit pas de voter, mais que les personnes correctes arrivent aux places correctes ».
Les personnes correctes aux places correctes - : c'était l'un des principaux problèmes avec lesquels les deux « instituts semblables à des banques », fondés en 1920, la "Futurum AG" en Suisse et "le jour qui vient AG" en Allemagne avaient à combattre. L’assemblée du 13 octobre, la dernière organisation du cours d'école supérieure pour ceux intéressés par l'économie (prévu pour GA 337c), servit à l'orientation sur l'état actuel des deux entreprises, « lesquelles sont à voir comme des écoulements absolument pratiques de notre mouvement anthroposophique ». Il devait toutefois se montrer, malheureusement en peu d'années, que ces deux entreprises n’ont pu répondre aux attentes placées en elles. Mais à Rudolf Steiner ne tenait pas juste à cœur une pratique de l'économie conforme à la réalité, mais il s'espérait aussi un nouvel élan par la création d'une « Association scolaire mondiale » dans les domaines de la vie de l'esprit - une idée qu'il a apporté pour la première fois en cette forme à un plus grand public lors de ce cours d’école supérieure.

«Wir brauchen für die nächste Entwicklung der Menschheit Begriffe, Vorstellungen, überhaupt Impulse des sozialen Lebens, wir brauchen Ideen, durch deren Verwirklichung wir soziale Zustände herbeiführen können, die den Menschen aller Stände, Klassen und so weiter ein ihnen menschenwürdig erscheinendes Dasein geben können.» Im Laufe der nächsten drei Wochen wurde eine ganze Anzahl von Vorträgen über Fragen des sozialen Lebens von bekannten Persönlichkeiten aus der anthroposophischen Bewegung gehalten: einmal Emil Molt, der sich zum Thema «Der Industrielle in Vergangenheit und Zukunft vom Gesichtspunkt der Geisteswissenschaft» äußerte, dann Roman Boos, der über «Phänomenologische Sozialwissenschaft» sprach, weiter Arnold Ith über «Bankwesen und Preisgestaltung in ihrer heutigen und zukünftigen Bedetung für das Wirtschaftleben» und schließlich Emil Leinhas über «Licht und Schattenseiten des modernen Kapitalismus». Die Zuhörer waren aber von den Ausführungen nicht durchwegs befriedigt, so daß der Wunsch entstand, Rudolf Steiner möge doch selber einen Vortrag über die Dreigliederung und insbesondere über das Wirtschaftsleben halten - ein solcher war ursprünglich im Programm gar nicht vorgesehen. Rudolf Steiner wollte aber nicht einfach einen Vortrag im herkömmlichen Sinne halten; er bat deshalb die Teilnehmer am 9. Oktober (in diesem Band), «ihre Wünsche, ihre Fragen diesbezüglich zu formulieren, , damit [16] gerade dasjenige berücksichtigt und besprochen werden kann, was als unklar empfunden wird. So werde ich den Vortrag morgen abend so einrichten können, daß gerade dasjenige vorkommt, was von verschiedenen Seiten gewünscht wird zu wissen.» Es war eine Liste von insgesamt 39 Fragen, die am nächsten Tag Rudolf Steiner überreicht wurde. Um sie alle zu beantworten, sah er sich allerdings gezwungen, an zwei Abenden, am 10. und 12. Oktober, auf die verschiedenen Fragen einzugehen. Abgesehen von diesen beiden Frageabenden beteiligte sich Rudolf Steiner auch an drei seminaristischen Zusammenkünften - sie fanden am 5., 7. und 11.Oktober statt und waren vor allem Fragen der wirtschaftlichen Praxis gewidmet. Mit dieser Arbeit war die Hoffnung verbunden, daß sich geistig befruchtete Erkenntnis in lebensvolles wirtschaftliches Tun umsetzen würde. Rudolf Steiner wünschte sich wirkliche Praktiker, die bereit waren, in die gegebenen Verhältnisse einzugreifen und sie gemäß den neuen Ideen umzugestalten. So betonte er am zweiten Seminarabend vom 7. Oktober 1920 (in diesem Band): «Dasjenige, um was es sich heute handelt, ist nicht, daß wir in abstrakter Weise herumdiskutieren über Wahlgesetze und darüber, ob eine Assoziation verglichen werden kann mit einer Korporation und so weiter, sondern dasjenige, um was es sich heute handelt, ist, daß wir möglichst viele Menschen bekommen mit Initiative, denn heute handelt es sich nicht darum, wie wir wählen, sondern daß die richtigen Leute an die richtigen Plätze kommen.»
Die richtigen Leute an den richtigen Plätzen - : das war eines der hauptsächlichen Probleme, mit denen die beiden 1920 begründeten «bankähnlichen Institute», die «Futurum A.G.» in der Schweiz und die «Der Kommende Tag A.G.» in Deutschland zu kämpfen hatten. Die Zusammenkunft vom 13. Oktober, die letzte Hochschulkurs-Veranstaltung für wirtschaftlich Interessierte (vorgesehen für GA 337c), diente der Orientierung über den gegenwärtigen Stand der beiden Unternehmungen, «welche als absolut praktische Ausflüsse unserer anthroposophischen Bewegung anzusehen sind». Es sollte sich allerdings leider in wenigen Jahren zeigen, daß diese beiden Unternehmungen die in sie gesetzten Erwartungen nicht erfüllen konnten. Rudolf Steiner lag aber nicht nur eine wirklichkeitsgemäße Wirtschaftpraxis am Herzen, sondern auch auf dem Gebiete des Geisteslebens erhoffte er sich neue Impulse durch die Schaffung eines «WeltschulVereins» - eine Idee, die er an diesem Hochschulkurs zum ersten Mal in dieser Form an eine größere Öffentlichkeit heranbrachte.