Dans la société qui devrait être la
société de l'avenir, là le travail
devrait régner d'une manière correcte.
Comme sera parlé du travail parmi les
humains aujourd'hui, cela est tout de
suite une folie, car le travail comme
tel n'a, pris à la base, rien du tout
à faire avec la fabrication des biens.
Karl Marx appelle la marchandise une
force de travail cristallisée. Cela
est pur non-sens, rien de plus. Car ce
dont il s'agit quand l'humain
travaille, c'est que d'une certaine
manière, il se consomme lui-même.
Maintenant, vous pouvez utiliser cette
autoconsommation d’une manière ou de
l'autre. Vous pouvez, si vous
avez tout de suite assez sur une
banque ou dans votre porte-monnaie,
faire du sport et vous fatiguer à
cela, et utiliser votre force de
travail à ce sport.
Mais vous pouvez aussi fendre du bois
ou faire une quelque chose
d'autre. Le travail peut tout à fait
être le même, quand vous fendez du
bois ou faites du sport. Il ne s'agit
pas de combien de force de travail
vous utilisez, mais de ce à quoi cette
force de travail sera utilisée dans la
vie sociale. La force de travail en
soi n'a rien à faire avec la vie
sociale, aussi loin que cette vie
sociale devrait produire des biens ou
des marchandises. Pour cela il sera
nécessaire que dans l'organisme social
tri-articulé, une tout autre
motivation au travail doive être là
que celle de fabriquer des biens. Les
biens doivent dans une certaine mesure
être fabriqués par le travail, parce
que le travail sera justement utilisé
sur quelque chose. Mais ce qui doit
reposer à la base afin que l'humain
travaille, cela doit être le plaisir
et l'amour au travail. Et nous ne
viendrons pas plus tôt à un
façonnement social de l'organisme
social, que quand nous trouvons les
méthodes pour que l'humain veuille
travailler, que ce lui soit une
évidence qu'il travaille.
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In der
Gesellschaft, welche die
Gesellschaft der Zukunft sein soll,
da wird außerdem in einer richtigen
Weise herrschen müssen die Arbeit.
Wie heute unter den Menschen von der
Arbeit geredet wird, das ist
geradezu eine Torheit, denn die
Arbeit als solche hat im Grunde
genommen gar nichts zu tun mit der
Erzeugung der Güter. Karl Marx nennt
die Ware kristallisierte
Arbeitskraft. Das ist bloßer Unsinn,
nichts weiter. Denn dasjenige, um
was es sich handelt, wenn der Mensch
arbeitet, das ist, daß er in einer
gewissen Weise sich selbst
verbraucht.
Nun können Sie dieses
Selbstverbrauchen bewirken entweder
auf die eine oder auf die andere
Weise. Sie können, wenn Sie gerade
genügend auf einer Bank oder in
Ihrem Portemonnaie haben, Sport
treiben und sich bei diesem
anstrengen und Ihre Arbeitskraft auf
diesen Sport verwenden.
Sie können aber auch Holz
hacken oder irgend etwas anderes
tun. Die Arbeit kann ganz die
gleiche sein, wenn Sie Holz hacken
oder wenn Sie Sport treiben. Nicht
davon hängt es ab, wieviel
Arbeitskraft Sie anwenden, sondern
wozu diese Arbeitskraft angewendet
wird im sozialen Leben. Arbeitskraft
an sich hat mit dem sozialen Leben
nichts zu tun, insofern dieses
soziale Leben Güter oder Waren
erzeugen soll. Daher wird es nötig
sein im dreigliedrigen sozialen
Organismus, daß ein ganz anderer
Antrieb zur Arbeit da sein muß als
derjenige, Güter zu erzeugen. Die
Güter müssen gewissermaßen durch die
Arbeit erzeugt werden, weil die
Arbeit eben auf etwas verwendet
wird. Aber dasjenige, was zugrunde
liegen muß, damit der Mensch
arbeitet, das muß die Lust und Liebe
zur Arbeit sein. Und wir kommen
nicht früher zu einer sozialen
Gestaltung des sozialen Organismus,
als wenn wir die Methoden finden,
daß der Mensch arbeiten will, daß es
ihm eine Selbstverständlichkeit ist,
daß er arbeitet.
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