Maintenant nous sommes dans le fait —
et tout ce que je dis correspond
absolument à la description de
l’apocalypse – arrivé à un point de
l’évolution de l’humanité, où
l’humanité se tient en une certaine
relation devant une décision. Nous
avons donc déjà montré comment, dans
notre époque, d’immenses forces de
l’esprit seront utilisées à veiller à
la satisfaction des besoins les plus
bas. Nous avons montré, comment le
téléphone, le télégraphe, le chemin de
fer, le bateau à vapeur et d’autres
choses qui viendront encore, ont
absorbé et absorberons d’immenses
forces de l’esprit, qui seront
seulement utilisées à la satisfaction
des besoins humains inférieurs. Mais
l’humain a seulement une certaine
somme de force de l’esprit. Regardez
une fois ce qui suit : l’humain a
utilisé une immense somme de forces de
l’esprit pour inventer des télégraphes
et construire des chemins de fer, des
ballons et ainsi de suite, pour
promouvoir la culture extérieure. –
Cela devait être ainsi. Cela aurait
été mal pour l’humanité si ce n’était
pas venu ainsi. Mais l’humain a encore
utilisé ces forces de l’esprit à
beaucoup d’autres choses. Pensez
seulement comme l’humain est venu à
filer aussi tous les rapports
sociétaux en un immense et fin
filet/réseau de raison (NDT :
raison analytique). Quelles forces de
l'esprit ont servi à amener si loin,
qu'on puisse établir un chèque en
Amérique et de nouveau l'honorer au
Japon. D'immenses forces de l'esprit
ont afflué dans cette activité. Ces
forces devaient une fois pour ainsi
dire descendre sous la ligne du plan
physique, qui sépare le royaume
spirituel de l'abîme. Car
effectivement l'humain est d'une
certaine manière déjà descendu dans
l'abîme, et qui étudie l'époque du
point de vue de science de l'esprit,
peut aussi voir aux phénomènes les
plus profanes, comment cela continue
de décennies en décennies, comment
toujours un certain point sera
atteint, où tout de suite la
personnalité peut encore se rattraper
elle-même. Si elle s'abandonne à ce
point du naufrage, alors la
personnalité se perd, alors la
personnalité ne sera pas sauvée, pour
monter dans les mondes spirituels.
Même dans les choses les plus
profanes/terrestres, on peut le
prouver. Par exemple, je pourrais vous
le prouver aux détails du
développement du système bancaire dans
la seconde moitié du XIXe siècle.
En effet, il est peut-être seulement
réservé aux historiens du futur de
clarifier qu'un changement fondamental
s'est produit, que nous pouvons
décrire avec cela : dans le
secteur bancaire, la personnalité
s'est progressivement
fragmentée. - Ensuite, je devrais
vous indiquer pour chaque moment où
les quatre Rothschild se sont
installés dans le monde à partir de
Francfort, l'un à Vienne, l'autre à
Naples, le troisième à Londres, le
quatrième à Paris, et comment là,
l'ensemble du système bancaire a été
introduit dans une sphère personnelle
justement par le talent personnel
orienté là-dessus. Là, la personnalité
s'est investie pour le système de
l’argent (NDT : traduction
littérale, ce qui est évoqué est
probablement plus que le système
monétaire). Aujourd’hui, voyez-vous,
l'ensemble du système bancaire devenir
impersonnel. Le capital passe aux
sociétés par actions, il n’est plus
géré par la personnalité de
l'individu. Le capital commence à
s'administrer/se gérer lui-même. Nous
avons de pures forces objectives, qui,
à l’intérieur du capital, gèrent/font
l’économie et même déjà des forces à
l’intérieur de ce domaine, qui tirent
à soi toutes volontés de la
personnalité, ainsi que la
personnalité est devenue impuissante.
Ainsi on peut avec des yeux voyants
poursuivre la chose jusque dans ces
choses du monde et pourra voir partout
comment l’humanité, en rapport à la
personnalité, descend jusqu’à un point
le plus profond. Maintenant la
personnalité peut se sauver et de
nouveau remonter. Elle peut se sauver
par ce qu’elle apprend, vraiment par
renforcement des forces d’âme
intérieures, à se placer sur
elle-même, se rendre indépendante des
puissances objectives du capital. Mais
la personnalité peut aussi se jeter
dans ces forces, peut en quelque sorte
faire voile dedans et se précipiter en
bas dans l’abîme, se laisser embobiner
par les forces agissantes dans le
capital.
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Jetzt sind wir in
der Tat — und alles, was ich sage,
entspricht durchaus der Darstellung
der Apokalypse — an einem Punkte der
Menschheitsentwickelung angelangt,
wo die Menschheit vor einer
Entscheidung steht in gewisser
Beziehung. Wir haben ja schon
gezeigt, wie in unserem Zeitraum
ungeheure Geisteskräfte dazu
verwendet werden, um für die
niedersten Bedürfnisse zu sorgen.
Wir haben gezeigt, wie Telephon,
Telegraph, Eisenbahn, Dampfschiff
und andere Dinge, die noch kommen
werden, ungeheure Geisteskräfte
absorbiert haben und absorbieren
werden, die nur zur bloßen
Befriedigung der niederen
menschlichen Bedürfnisse verwendet
werden. Der Mensch hat aber nur eine
gewisse Summe von Geisteskräften.
Betrachten Sie einmal folgendes: Der
Mensch hat eine ungeheure Summe von
Geisteskräften dazu verwendet, um
Telegraphen zu erfinden und zu
konstruieren, Eisenbahnen,
Dampfschiffe, Luftballons und so
weiter zu bauen, um die äußere
Kultur zu fördern. — Das mußte so
sein. Es würde der Menschheit
schlecht ergangen sein, wenn es
nicht so gekommen wäre. Der Mensch
hat diese Geisteskräfte aber noch zu
vielem anderen benützt. Denken Sie
nur, wie der Mensch nach und nach
dazu gekommen ist, auch alle
gesellschaftlichen Zusammenhänge in
ein ungeheuer feines Verstandesnetz
einzuspinnen. Was haben für
Geisteskräfte dazu gehört, es so
weit zu bringen, daß man einen
Scheck ausstellen kann in Amerika
und wieder einlösen kann in Japan.
Ungeheure Kräfte des Geistes sind
hineingeflossen in diese Tätigkeit.
Diese Kräfte mußten einmal sozusagen
hinuntersteigen unter die Linie des
physischen Plans, die das geistige
Reich vom Abgrund trennt. Denn
tatsächlich ist der Mensch in
gewisser Weise schon hineingestiegen
in den Abgrund, und wer vom
geisteswissenschaftlichen Standpunkt
aus die Zeit studiert, kann an den
profansten Erscheinungen sehen, wie
das von Jahrzehnt zu Jahrzehnt
weitergeht, wie immer ein gewisser
Punkt erreicht wird, wo gerade noch
die Persönlichkeit sich selbst
fangen kann. Überläßt sie sich an
diesem Punkte dem Hinabsinken, dann
verliert sich die Persönlichkeit,
dann wird die Persönlichkeit nicht
gerettet, um hinaufzusteigen in die
geistigen Welten.
Selbst in den weltlichsten Dingen
kann man das nachweisen. Zum
Beispiel könnte ich es Ihnen an den
Einzelheiten der Entwicklung des
Bankwesens in der zweiten Hälfte des
neunzehnten Jahrhunderts nachweisen.
Es ist nämlich vielleicht erst den
zukünftigen Geschichtsschreibern
vorbehalten, zur Klarheit zu
bringen, daß da eine gründliche
Veränderung eingetreten ist, die wir
damit bezeichnen können: Im
Bankwesen ist die Persönlichkeit
allmählich zersplittert. — Da würde
ich Sie hinweisen müssen auf jenen
Zeitpunkt, wo die vier Rothschilds
in die Welt ausgezogen sind von
Frankfurt aus, der eine nach Wien,
der andere nach Neapel, der dritte
nach London, der vierte nach Paris,
und wie da das ganze Bankwesen durch
die eben darauf gerichtete
persönliche Begabung in eine
persönliche Sphäre hineingebracht
worden ist. Da hat sich die
Persönlichkeit eingesetzt für das
Geldwesen. . Heute sehen Sie [141]
das ganze Bankwesen unpersönlich
werden. Das Kapital geht an die
Aktiengesellschaften über, es wird
nicht mehr von der
Einzelpersönlichkeit verwaltet. Das
Kapital fängt an, sich selbst zu
verwalten. Wir haben rein objektive
Kräfte, die innerhalb des Kapitals
wirtschaften, und sogar schon Kräfte
innerhalb dieses Gebietes, die allen
Willen der Persönlichkeit an sich
ziehen, so daß die Persönlichkeit
ohnmächtig geworden ist. So kann man
mit sehenden Augen bis hinein in
diese weltlichen Dinge die Sache
verfolgen und wird überall sehen
können, wie die Menschheit in bezug
auf die Persönlichkeit zu einem
tiefsten Punkt herunterstieg. Nun
kann sich die Persönlichkeit retten
und wieder hinaufsteigen. Sie kann
sich dadurch retten, daß sie zum
Beispiel durch Stärkung der inneren
seelischen Kräfte wirklich lernt,
sich auf sich selbst zu stellen,
sich unabhängig zu machen von den
objektiven Kapitalsmächten. Die
Persönlichkeit kann sich aber auch
hineinwerfen in diese Kräfte, kann
in gewisser Weise hineinsegeln und
hinunterdringen in den Abgrund, sich
umgarnen lassen von den im Kapital
wirksamen Kräften.
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