Je ne pouvais pas exposer exactement
tout ce qui en expériences de la vie a
conflué dans les « Points
fondamentaux », car ils comptent
avec des lecteurs pensants. Et je peux
vous donner l'assurance, que c'est
très utile aujourd'hui, quand en
lisant un livre, on pense aussi un peu
et ne dit pas toujours : c'est si
difficile à comprendre, on doit donc
penser, cela aurait dû être écrit
beaucoup plus populaire. - Mais donc
tout de suite par les processus
éclairés des points les plus
différents dans les articles de notre
journal de tri-articulation, de plus
en plus, ce lien a donc été desserré
entre les producteurs et la
production. Et seulement parce que
vraiment dans les temps modernes, sous
l'influence avant tout de la manière
de penser matérialiste, a seulement
été vu plus sur la façon de la
production et non sur la constitution
et les facultés du produisant, est
donc même née la façon de voir des
agitateurs et penseurs abstraits,
socialistes, que la production en tant
que telle serait absolument ce qui
dominerait toute l'histoire, toute la
vie humaine. Cette façon de voir est
née de la raison qu’en fait, par la
technique moderne et par d'autres
rapports sociaux déterminés, une
domination du produit s’est introduite
sur les humains producteurs. Ainsi
qu'on peut dire : pendant que
dans le passé, jusqu’à il y a trois
siècles environ, encore beaucoup
d'autres choses étaient régnantes par
l’humain, [depuis] dans la vie
sociale, l'humain économique est
devenu celui qui semble donner la
mesure [aujourd’hui] – l’humain
économique et le processus économique.
D’humains tels que Renner, par
exemple, qui a même été jusqu'à
devenir chancelier de l'État
autrichien, ont donc déclaré qu'il ne
devrait plus être parlé de
" l'homo sapiens ", qui a
hanté les têtes des humains au cours
des derniers siècles, mais que pouvait
seulement encore être parlé de "
l'homo oeconomicus " – ce serait la
seule réalité. Mais maintenant depuis
le dix-neuvième siècle, parce que les
choses subissent en réalité des
transformations par leurs propres
lois, l'homo economicus, l'humain
économique, le processus économique,
n’est une fois de plus pas resté à
donner la mesure, mais nous pouvons
dire : environ à partir de
l'année 1810 - pour définir une date –
l'humain dominant/régnant est devenu
le banquier. Et plus que l'on croit,
dans ce XIXe siècle, le banquier
est devenu dominant dans la vie
économique du monde civilisé, le
changeur de monnaie, celui qui, en
fait, gère purement
l'argent. Tous les événements qui
depuis ce temps se sont présentés, se
tiennent plus ou moins sous
l'influence de ce revirement
historique : que dans le contexte
d'économie de peuple, à partir de
l'être humain économique et du
processus économique, est
progressivement venu le banquier, le
changeur de monnaie, le prêteur avant
toutes choses, et dans le processus
social public, la gestion financière,
la gestion/l'administration de
l'argent. Mais maintenant l'argent a
tout à fait certaines
propriétés. L'argent est un
représentant pour différentes choses,
mais l'argent comme tel est le même.
Je peux acquérir une somme d'argent
parce que je vends un morceau de
musique - une production
spirituelle. Ou je peux acquérir
une somme d'argent en ce que je vends
des bottes. La somme d'argent
peut toujours être la même, mais ce
que je vends, ce peut être très
différent. L'argent prend de ce
fait sur le processus de vie réel un
certain caractère abstrait. Et ainsi,
devait-il apparaître, sous l'influence
de l'économie mondiale du banquier,
l'extinction des interactions
concrètes dans les relations sociales
humaines, l'extinction des
interactions concrètes [entre produit
et ceux qui produisent, et est
apparue] la circulation des purs
représentants, de l'argent.
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Ich konnte nicht
alles, was an Lebenserfahrungen in
die «Kernpunkte» eingeflossen ist,
genau ausführen, denn sie sind ja
auf denkende Leser berechnet. Und
ich kann Ihnen die Versicherung
geben, es ist doch heute ganz
nützlich, wenn man beim Lesen eines
Buches auch ein bißchen denkt und
nicht immer sagt: Das ist ja so
schwer verständlich, dabei muß man
ja denken, das hätte viel populärer
geschrieben sein müssen. - Aber
durch die ja gerade in den Artikeln
unserer Dreigliederungszeitung von
den verschiedensten Gesichtspunkten
aus beleuchteten Vorgänge ist ja
immer mehr und mehr dieses Band
gelockert worden zwischen
Produzenten und Produktion. Und nur
dadurch, daß wirklich in der neueren
Zeit, unter dem Einfluß vor allem
auch der materialistischen
Denkweise, nur mehr auf die
Produktionsart und nicht auf die
Verfassung und Fähigkeit des
Produzierenden gesehen worden ist,
ist ja sogar die Anschauung
entstanden der abstrakten,
sozialistischen Agitatoren und
Denker, daß die Produktion als
solche überhaupt dasjenige sei, was
die ganze Geschichte, das ganze
Menschenleben beherrsche. Diese
Anschauung ist aus dem Grunde
entstanden, weil in der Tat durch
die moderne Technik und durch andere
gewisse soziale Verhältnisse eine
Herrschaft des Produktes über die
produzierenden Menschen eingetreten
ist. So daß man sagen kann: Während
früher, bis vor drei Jahrhunderten
ungefähr, noch viel anderes vom
Menschen herrschend war, ist
[seitdem] im sozialen Leben der
ökonomische Mensch derjenige
geworden, der [heute] maßgebend
erscheint - der ökonomische Mensch
und der ökonomische Prozeß. Solche
Menschen wie Renner zum Beispiel,
der es sogar dahin gebracht hat,
österreichischer Staatskanzler zu
werden, haben es ja ausgesprochen,
daß ferner nicht mehr geredet werden
solle von dem «homo sapiens», der in
den letzten Jahrhunderten spukte in
den Köpfen der Menschen, sondern daß
nur noch geredet werden könne von
dem «homo oeconomicus» - das sei die
einzige Wirklichkeit. Nun, seit dem
19. Jahrhundert aber, weil die Dinge
in der Wirklichkeit Verwandlungen
eingehen durch ihre eigenen Gesetze,
ist nicht einmal mehr maßgebend
geblieben der homooeconomicus, der
ökonomische Mensch, der ökonomische
Prozeß, sondern wir können sagen:
ungefähr vom Jahre 1810 ab - um
einen Zeitpunkt anzusetzen - ist der
herrschende Mensch geworden der
Bankier. Und mehr als man glaubt,
ist in diesem 19. Jahrhundert im
wirtschaftlichen Leben der
zivilisierten Welt der Bankier
herrschend geworden, der
Geldwechsler, derjenige, der
eigentlich bloß das Geld verwaltet.
Alle Ereignisse, welche seit jener
Zeit eingetreten sind, stehen mehr
oder weniger unter dem Einfluß
dieses geschichtlichen Umschwunges:
daß im volkswirtschaftlichen
Zusammenhang aus dem ökonomischen
Menschen und ökonomischen Prozeß
allmählich geworden ist der Bankier,
der Geldwechsler, der Verleiher vor
allen Dingen, und aus dem
öffentlichen sozialen Prozeß die
Finanzverwaltung, die
Geldverwaltung. Nun hat aber das
Geld ganz gewisse Eigenschaften. Das
Geld ist ein Repräsentant für
Verschiedenes, aber das Geld als
solches ist gleich. Ich kann eine
Summe Geldes erwerben dadurch, daß
ich ein Tonstück verkaufe - eine
geistige Produktion. Oder ich kann
eine Summe Geldes erwerben dadurch,
daß ich Stiefel verkaufe. Die Summe
Geldes kann immer gleich sein,
dasjenige aber, was ich verkaufe,
das kann sehr verschieden sein. Das
Geld nimmt dadurch gegenüber dem
wirklichen Lebensprozeß einen
gewissen abstrakten Charakter an.
Und so mußte entstehen unter dem
Einfluß der Welt-Bankierwirtschaft
die Auslöschung der konkreten
Wechselwirkungen im menschlichen
sozialen Verkehr, die Auslöschung
der konkreten Wechselwirkungen
[zwischen Produkt und
Produzierendem, und es entstand] der
Verkehr des bloßen Repräsentanten,
des Geldes.
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