Czernin dit aussi : « La
guerre perdue a balayé les
monarques ». Maintenant, les
événements du temps doivent aussi
balayer les humains de son genre de la
direction des affaires publiques. Mais
il s’agit que le plus grand nombre
possible d’humains vienne à la
connaissance sur la raison pour
laquelle des humains de ce genre
pouvaient « faire
l'histoire ». Le courant
d'évolution de l'humanité, qui a porté
de telles personnalités aux postes les
plus importants de la vie publique, il
avait une fois ses idées d’histoire du
monde. Il en a fait l'Europe
maintenant en déclin. On peut suivre
ces idées depuis les temps dans
lesquels du monde romain déclinant,
cette loi de portance de l’Europe,
maintient l'histoire du monde. On
vivait dans ces institutions après
qu’elles sont devenues une enveloppe
vide dans laquelle une première fois
l'esprit a régné. Et ces enveloppes
vides promouvaient à leur
administration des hommes remplis
d'une vision de la vie sans contenu,
sans idées, sans foi ; des hommes
qui ont fait dans le patriotisme avec
la conviction que, chez
quatre-vingt-dix-neuf pour cent de la
population, ce serait une
« question de l'estomac ».
La vérité est qu’à partir de
motivations spirituelles ont vu le
jour ces institutions, qui vont
maintenant vers leur dissolution,
parce qu’elles ont perdu leur vieil
esprit, parce que ceux à qui était
ouverte récemment la voie à la
gouvernance, étaient arrivés dans
la pleine banqueroute d’une façon
de voir la vie.
Une connaissance devrait illuminer de
l'expérience qui peut provenir de
publications de la sorte de Czernin.
Cette connaissance n'est pas encore là
parmi ceux qui, sans faire appel à une
nouvelle spiritualité, veulent
reconstruire l'Europe qui s'effondre.
Les décombres de l'ancienne stabilité
sont comme les parties d'une armoire
disloquée. On se tient devant ce qui
est disloqué. On aimerait reconstituer
de nouveau le tout avec toutes sortes
de rubans et de sangles. Mais on ne
remarque pas que les parties
elles-mêmes sont devenues pourries.
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Czernin sagt auch:
«Der verlorene Krieg hat die
Monarchen hinweggefegt.» Nun, die
Zeitereignisse müssen auch Menschen
seiner Art aus der Führung der
öffentlichen Angelegenheiten
hinwegfegen. - Es handelt sich aber
darum, daß möglichst viele Menschen
zur Besinnung über dasjenige kommen,
was der Grund davon ist, daß
Menschen dieser Art «Geschichte
machen» konnten. Die
Entwickelungsströmung der
Menschheit, die solche
Persönlichkeiten auf die wichtigsten
Posten des öffentlichen Lebens
getragen hat, sie hatte einmal ihre
weltgeschichtlichen Ideen. Sie hat
aus diesen heraus das jetzt
untergehende Europa gestaltet. Man
kann diese Ideen verfolgen von den
Zeiten an, in denen sich aus der
untergehenden römischen Welt dieses
Europa Trägheitsgesetze der
Weltgeschichte erhalten. Man lebte
in diesen Institutionen, nachdem sie
eine leere Hülle geworden sind, in
der einstmals Geist gewaltet hat.
Und diese leeren Hüllen forderten
für ihre Verwaltung Männer, die
erfüllt waren von einer
Lebensanschauung ohne Inhalt, ohne
Ideen, ohne Glauben; Männer, die in
Patriotismus machten mit der
Überzeugung, daß er bei
neunundneunzig Prozent der
Bevölkerung eine «Magenfrage» sei.
Die Wahrheit ist, daß aus geistigen
Antrieben diejenigen Institutionen
hervorgegangen sind, die jetzt ihrer
Auflösung entgegengehen, weil sie
ihren alten Geist verloren haben,
weil diejenigen, denen zuletzt die
Wege zur Führerschaft offenstanden,
bei dem völligen Bankerott einer
Lebensanschauung angekommen waren.
Eine Erkenntnis sollte aufleuchten
aus der Erfahrung, die aus
Veröffentlichungen Czerninscher Art
hervorgehen kann. Diese Erkenntnis
ist noch nicht da bei denen, welche,
ohne an eine neue Geistigkeit zu
appellieren, das zusammenstürzende
Europa wieder aufbauen möchten. Die
Trümmer des alten Bestandes gleichen
den Teilen eines
auseinandergefallenen Schrankes. Man
steht vor dem Auseinandergefallenen.
Man möchte durch allerlei Bänder und
Riemen das Ganze wieder gestalten.
Aber man bemerkt nicht, daß die
Teile selbst morsch geworden sind.
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