Mais autre chose est pris en compte.
Prenons un certain fait, n'est-ce pas,
le fait de la façon dont le
Protestantisme a une fois émergé. Dans
les livres d'histoire c'est donc très
souvent raconté ainsi que le Tetzel
(NDT : Johann Tetzel (1465-1519)
prêtre dominicain) s'est déplacé à
l'intérieur de l'Europe centrale, et
que les gens étaient indignés de la
vente des indulgences et du genre.
Mais ce n'était pas seulement cela, ce
n'est que le point de vue de surface.
La chose principale qui était cachée
là derrière, était le fait qu’il y
avait à Gênes un établissement
bancaire, en contrat avec lequel - pas
en contrat avec le Pape – cet épicier
d'indulgences a fait le tour en
Allemagne, car cet établissement
bancaire avait accordé des crédits au
Pape pour ses autres besoins. Toute
l'histoire était une entreprise
capitaliste. À cet exemple du commerce
des indulgences comme une entreprise
capitaliste, où il a été fait du
commerce avec du spirituel, à cet
exemple, vous pouvez étudier - ou
mieux dit, quand on commence là à
étudier, on en vient peu à peu sur ce
que finalement toute la puissance du
capital revient finalement à la
suprématie du spirituel. Étudiez
comment le capital est en fait venu à
son pouvoir, ainsi vous trouvez
partout la suprématie du
spirituel. Et c'est vraiment
ainsi. N'est-ce pas, ce qui est malin,
qui est plein de ressources, c'est un
pouvoir plus grand que celui qui n'est
pas malin, n'a pas de
ressources. Et de cette manière,
beaucoup de ce qui est rassemblement
en bandes du capital apparaît de
manière justifiée - ou aussi de
manière injustifiée. Cela doit être
pris en compte lorsqu'on tient à l'œil
le concept de capital.
Lors de telles études réelles on
arrive derrière ce que le capital
repose sur le déploiement du pouvoir
spirituel et qu’aux droits à fond et
sol (NDT : foncier), aux droits
de conquérant, d’un autre côté s’est
joint le pouvoir de l’ancien esprit
théocratique. De la vieille église, il
est beaucoup sorti de ce qui
alors est en fait passé dans le
capitalisme moderne. Il y a un pendant
secret entre le pouvoir capitaliste
moderne et le pouvoir de la vieille
église. Et tout cela s’est rassemblé
en un foutoir (NDT : ein
Kuddelmuddel) dans l’état moderne de
pouvoir. Là-dedans vous trouvez les
vestiges des vieilles théocraties, les
vestiges des vieilles conquêtes. Et
finalement les conquêtes modernes
vinrent à cela, et la conquête la plus
moderne devrait maintenant être la
conquête de l’État par le socialisme.
Mais ainsi, on n’a en réalité pas la
permission de le faire. Il doit venir
quelque chose de nouveau, qui fait
complètement le ménage avec ces vieux
concepts et impulsions. C’est pourquoi
il s’agira que dans nos études nous
nous occupions aussi avec les concepts
qui reposent aussi à la base ici. Nous
devons aujourd’hui donner à chacun qui
veut parler sur des choses sociales,
exactement une explication sur ce
qu’est droit, ce qui est un pouvoir et
ce qui est en réalité un bien
(économique), un bien en forme de
marchandise et du genre. Sur ce
domaine seront faites les plus grandes
erreurs. Je veux par exemple rendre
attentif à une chose ; si vous
n’êtes pas attentif là-dessus, vous
comprendrez beaucoup de travers dans
mes livres.
|
Aber auch noch
etwas anderes ist berücksichtigt.
Nehmen wir eine bestimmte Tatsache,
nicht wahr, die Tatsache, wie der
Protestantismus einmal entstanden
ist. In den Geschichtsbüchern wird
es ja sehr häufig so erzählt, daß
der Tetzel herumgezogen ist
innerhalb Mitteleuropas und daß die
Leute entrüstet waren über den
Ablaßverkauf und dergleichen. Aber
das war es nicht allein, das ist nur
die Oberflächenansicht. Die
Hauptsache, die dahinter stak, war
die Tatsache, daß es in Genua ein
Bankhaus gab, in dessen Auftrag -
nicht im Auftrag des Papstes -
dieser Ablaßkrämer in Deutschland
herumzog, denn dieses Bankhaus hatte
dem Papst für seine anderen
Bedürfnisse Kredite gewährt. Die
ganze Geschichte war eine
kapitalistische Unternehmung. An
diesem Beispiel des Ablaßhandels als
einer kapitalistischen Unternehmung,
wo sogar auch mit Geistigem
gehandelt worden ist, an diesem
Beispiel können Sie studieren - oder
besser gesagt, wenn man da anfängt
zu studieren, kommt man allmählich
darauf - , daß schließlich alle
Kapitalmacht zurückgeht auf die
Übermacht des Geistigen. Studieren
Sie, wie das Kapital eigentlich zu
seiner Macht gekommen ist, so finden
Sie überall die Übermacht des
Geistigen. Und so ist es wirklich.
Nicht wahr, wer schlau ist, wer
findig ist, der hat eine größere
Macht als derjenige, der nicht
schlau, der nicht findig ist. Und
auf diese Art entsteht
gerechtfertigterweise - oder auch
ungerechtfertigterweise — vieles,
was Zusammenscharrung des Kapitals
ist. Das muß berücksichtigt werden,
wenn man ins Auge faßt den
Kapitalbegriff.
Bei solchen realen Studien kommt man
dahinter, daß Kapital auf Entfaltung
der geistigen Macht beruht und daß
zu den Grund- und Bodenrechten, zu
den Erobererrechten, von anderer
Seite hinzugekommen ist die Macht
des alten theokratischen Geistes.
Von der alten Kirche ist viel von
dem ausgegangen, was dann
übergegangen ist eigentlich in den
modernen Kapitalismus. Es gibt einen
geheimen Zusammenhang zwischen der
modernen kapitalistischen Macht und
der Macht der alten Kirche. Und das
alles hat sich zu einem Kuddelmuddel
zusammengezogen in den modernen
Machtstaat. Da drinnen finden Sie
die Überreste der alten Theokratie,
die Überreste der alten Eroberungen.
Und schließlich kamen die modernen
Eroberungen dazu, und die
allermodernste Eroberung soll jetzt
die Eroberung des Staates durch den
Sozialismus sein. Aber so darf man
es in Wirklichkeit nicht machen. Es
muß etwas Neues werden, was mit
diesen alten Begriffen und Impulsen
vollständig aufräumt. Daher wird es
darauf ankommen, daß wir uns bei
unseren Studien auch befassen mit
den Begriffen, die hier
zugrundeliegen. Wir müssen heute
jedem, der über soziale Sachen reden
will, genau Aufschluß geben darüber,
was Recht ist, was Macht ist und was
in Wirklichkeit ein
[wirtschaftliches] Gut ist, ein Gut
in Form von Waren und dergleichen.
Auf diesem Gebiet werden die größten
Fehler gemacht. Ich will zum
Beispiel auf einen aufmerksam
machen; wenn Sie darauf nicht
aufmerksam sind, werden Sie vieles
in meinem Buche mißverstehen.
|