Là vous avez
une caricature de ce que je vous ai donc
dit, comme il a un empire dans
l'Imperio, un petit cercle, qui rayonne
de son pouvoir dans l'autre. Seulement
l'Anglais se présente à lui, et Franz
avec lui, comme une communauté de
rabbin et de monsignores ; là sont
maintenant tout de suite ceux qui ne
sont pas là-dedans! Mais vous voyez, il
tâtonne seulement ainsi à travers.
Pourquoi tâtonne-t-il en fait ? Oui, il
se rappelle une fois de nouveau les
caprices fantaisistes de l'Anglais:
« Et bien plus tard, il est venu
aux idées si peut-être quelqu'un à qui
ce genre de compétences ne serait pas
inné, deviennent leurs associés en
participant, si on pourrait s'éduquer à
de telles forces, si elles peuvent être
apprises par entraînement. Mais les
exercices théosophiques l'on bientôt
déçu... » Ceux-là il les a
abandonnés ! Vous voyez, il y a en notre
présent, un tel tâtonner, tâtonnement.
Des gens comme Bahr, viennent en un âge
élevé, alors ils arrivent là-dessus, et
alors ils se font des représentations
grotesques. Une telle représentation
grotesque est encore contenue là. Oui,
voyez-vous, là ce Franz est maintenant
invité en son pays chez un chanoine. Ce
chanoine est une personnalité très
mystérieuse, un chanoine salzbourgeois ,
qui a une grande importance à Salzbourg-
la ville de Salzbourg n'est pas
mentionnée, mais on la reconnaît
seulement - une plus grande importance
que le cardinal ; car la ville entière
ne parlent plus du cardinal, mais du
chanoine : du chanoine, bien qu'il y ai
une douzaine de chanoines, mais on parle
du chanoine, ainsi que le Franz a donc
parfois ainsi l'idée s'il n'est pas
lui-même un tel de la Loge
blanche. Vous savez donc, on peut
facilement venir à de telles
vues. Maintenant, là il est une
fois invité dans une réception chez le
chanoine, le Franz. Là sont maintes
gens, et le chanoine est vraiment un
homme très tolérant car pensez qu'il est
chanoine catholique et s'est invité
ensemble le banquier juif avec un
jésuite, le Franz et quelques autres, et
avec un moine franciscain. C’est un
déjeuner amusant. Le banquier juif est
notabene un banquier, auquel presque
tous les gens sont obligés d’un quelque
remerciement tintant, mais qui fait tout
ça vraiment désintéressé, car il n'exige
généralement pas du tout qu’on lui rende
de nouveau ce qu’apparemment on emprunte
de lui, mais il veut juste être invité
tous les ans chez un Seigneur tel que le
chanoine; cela le rend
heureux. Et bientôt le Jésuite et
ce banquier juif sont dans une
conversation que cela devient trop fort
au Franz. Il s'en va, parce qu'ils font
maintenant des blagues vraiment
honteuses, il va à la bibliothèque, et
le chanoine le suit. «Elle» - la
bibliothèque - « n'était pas
grande, mais choisie. De théologie
seulement tout de suite le nécessaire,
les Bollandistes, beaucoup de
franciscains, Maître Eckhart, les
exercices spirituels, Catherine de
Gênes, la mystique de Gorres et la
symbolique de Mohler. La philosophie
déjà plus: tout Kant, y compris les
écrits de la Société Kant, Upanishads de
Deussen et son histoire de la
philosophie, la philosophie du comme
si de Vaihinger, et beaucoup
d'épistémologique. Ensuite, les
classiques grecs et romains,
Shakespeare, Calderon, Cervantes, Dante,
Machiavel et Balzac dans l'original,
mais des Allemands seulement Novalis et
Goethe, celui-là dans différentes
éditions, ses écrits de science de la
nature dans celle de Weimar. Franz en
pris un volume et trouva de nombreuse
remarques marginales de la main du
chanoine, qui à ce moment-là délaisse le
jeune moine et le jésuite et se dirigea
vers lui. Il a dit: « Oui, les écrits de
science de la nature de Goethe personne
ne les connaît ». Maintenant, ce qui est
caractéristique, c'est ce que le
chanoine trouve caractéristique aux
écrits scientifiques de Goethe, c'est
aussi bien d'un côté, ce qui est
maintenant vraiment à l'intérieur et ce
que le chanoine éclaire maintenant aussi
parce qu'il est vraiment un chanoine
catholique.
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Da haben Sie
eine Karikatur von dem, was ich Ihnen ja
gesagt habe, wie es gleichsam ein
Imperium in Imperio gibt, einen kleinen
Kreis, der in die anderen seine Macht
ausstrahlt. Nur stellt sich ihn der
Engländer vor, und der Franz mit ihm,
als eine Gemeinschaft der Rabbiner und
Monsignori; das sind nun gerade
diejenigen, die nicht darinnen sind!
Aber Sie sehen, er tappt sich nur so
durch. Warum tappt er denn eigentlich?
Ja, er erinnert sich einmal wieder der
schwärmerischen Schrullen des
Engländers: «Und viel später erst war er
auf den Gedanken gekommen, ob denn nicht
vielleicht auch jemand, dem derlei
Fähigkeiten nicht angeboren wären, ihrer
teilhaftig werden, ob man sich zu
solchen Kräften erziehen, ob man sie
durch Training erlernen könnte. Aber die
theosophischen Übungen hatten ihn bald
enttäuscht ...» Die hat er aufgegeben!
Sehen Sie, es gibt in unserer Gegenwart
ein solches Tappen, Tasten. Menschen wie
Bahr, sie kommen ins höhere Alter, da
kommen sie darauf, und dann machen sie
sich groteske Vorstellungen. Eine solche
groteske Vorstellung ist da noch
enthalten. Ja, sehen Sie, da ist nun
dieser Franz eingeladen in seiner Heimat
bei einem Domherrn. Dieser Domherr ist
eine ganz geheimnisvolle Persönlichkeit,
Salzburger Domherr, der in Salzburg eine
große Wichtigkeit hat - die Stadt
Salzburg ist nicht genannt, man erkennt
sie nur -, eine größere Wichtigkeit als
der Kardinal; denn die ganze Stadt
spricht nicht mehr von dem Kardinal,
aber von dem Domherrn:
Der Domherr, obwohl es dort ein Dutzend
Domherren gibt, aber von dem Domherrn
spricht man, so daß der Franz manchmal
so die Idee hat, ob der nicht selber so
einer ist von der weißen Loge. Sie
wissen ja, man kann leicht zu solchen
Anschauungen kommen. Nun, da ist er
einmal in eine Gesellschaft beim
Domherrn eingeladen, der Franz. Da sind
manche Leute, und der Domherr ist
wirklich ein sehr toleranter Mann, denn
denken Sie, er ist katholischer Domherr
und hat sich den jüdischen Bankier mit
einem Jesuiten, dem Franz und einigen
anderen und mit einem Franziskanermönch
zusammen eingeladen. Es ist ein lustiges
Mittagsmahl. Der jüdische Bankier ist
notabene ein Bankier, dem fast alle
Leute zu irgendwelchem klingenden Dank
verpflichtet sind, der das aber wirklich
alles selbstlos tut, denn er fordert in
der Regel gar nicht, daß man ihm das
wieder zurückgibt, was man sich
scheinbar ausleiht von ihm, sondern er
will nur alle Jahre bei so einem Herrn,
wie der Domherr ist, eingeladen sein;
das macht ihm Freude. Und bald sind der
Jesuit und dieser jüdische Bankier in
einem Gespräch darinnen, daß es dem
Franz zu stark wird. Er geht weg, weil
sie nun wirklich schon schändliche Witze
machen, geht an die Bibliothek, und der
Domherr geht ihm nach. «Sie» - die
Bibliothek - «war nicht groß, aber
gewählt. Von Theologie nur gerade das
Nötigste, die Bollandisten, viel
Franziskanisches, Meister Eckhart, die
geistlichen Übungen, Katharina von
Genua, die Mystik von Görres und Möhlers
Symbolik. Philosophie schon mehr: der
ganze Kant, samt den Schriften der
Kantgesellschaft, Deussens Upanischaden
und seine Geschichte der Philosophie,
Vaihingers Philosophie des Als Ob, und
sehr viel Erkenntniskritisches. Dann die
griechischen und römischen Klassiker,
Shakespeare, Calderon, Cervantes, Dante,
Macchiavell und Balzac im Original, aber
von Deutschen nur Novalis und Goethe,
dieser in verschiedenen Ausgaben, seine
naturwissenschaftlichen Schriften in der
Weimarer. Einen Band davon nahm Franz
und fand viele Randbemerkungen von der
Hand des Domherrn, der in diesem
Augenblick den jungen Mönch und den
Jesuiten verließ und zu ihm trat. Er
sagte: <Ja die
naturwissenschaftlichen Schriften
Goethes kennt niemand>.» Nun ist es
charakteristisch, was der Domherr an den
naturwissenschaftlichen Schriften
Goethes findet, charakteristisch sowohl
nach der einen Seite, nach dem, was nun
wirklich drinnen ist und dem Domherrn
nun auch davon aufleuchtet, wie
demjenigen, was dem Domherrn nun
aufleuchtet, weil er wirklich ein
katholischer Domherr ist.
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